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Notes sur le tag : maurice pialat

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Dernières notes

La fête du court métrage

Aujourd'hui et jusqu'au 31 mars se tient la fête du court métrage. Les événements étant ce que nous savons, elle va se tenir cette année en ligne. Vous pouvez découvrir de nombreux films via le site de la manifestation : www.lafeteducourt.com . Ils proposent de télécharger un lecteur sécurisé pour voir les sélections de films. De mon côté, j'ai envie de marquer le coup en vous...

Publié le 25/03/2020 dans Inisfree par Vincent JOURDAN | Lire la suite...

Autoportrait

              Maurice Pialat  Autoportrait à 17 ans

Publié le 13/12/2016 dans La renouée... par Paola Pigani | Lire la suite...

Remise à niveau (anglais) # 30

Publié le 03/08/2015 dans Branloire... par Houdaer | Lire la suite...

Lettre (de saison) signée René Daumal

Autrement ? La croix-Rousse ressemble toujours à un tableau de Pialat .

Publié le 20/11/2013 dans Branloire... par Houdaer | Lire la suite...

De La Domination dans le couple

  Nous ne vieillirons pas ensemble , Maurice Pialat, 1972 Catherine et Jean ont été ensemble pendant six ans. C’est une relation illégitime, car Jean est marié. Pourtant, ils se voient fréquemment. Jean n’arrête pas de s’énerver contre elle. La scène la plus longue et la plus connue est celle de la longue tirade humiliante qu’il débite dans sa voiture : « Alors tu vas...

Publié le 20/08/2012 dans Art &... par Fabien Rothey | Lire la suite...

La Gueule ouverte

La Gueule ouverte, Maurice Pialat, 1974 Nathalie : […] on s’engueulait sans arrêt. Je pouvais plus te supporter. Si tes parents étaient pas partis en Auvergne, tu m’aurais jamais épousée ; de toute façon, je ne voulais pas me marier. Ça me rendait malade. Philippe : c’était peut-être ce qu’on aurait mieux fait de faire. Nathalie : Tu te souviens de toutes les...

Publié le 14/07/2012 dans Art &... par Fabien Rothey | Lire la suite...

SOUS LE SOLEIL DE SATAN - Le film de Pialat pour Pialat

  La palme d’or la plus controversée de l’histoire du festival pour le film le plus discutable, mais non le moins passionnant, de Pialat. L’on se rappelle le scandale. Les sifflets. Le poing levé du cinéaste. Son fameux « Si vous ne m’aimez pas, je peux vous dire que je ne vous aime pas non  plus » alors qu’il les aime, lui, ceux qui le huent, c’est évident....

Publié le 20/08/2007 dans Pierre Cormary par Pierre CORMARY | Lire la suite...

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