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Notes sur le tag : martine broda

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Dernières notes

Paul Celan, Grille de parole

       Une main   La table, de bois d’heures, avec le plat de riz et le vin. On se tait, on mange, on boit.   Une main, que je baisais, fait la lumière pour les bouches.   Paul Celan, Grille de parol , traduction Martine Broda, Christian Bourgois, 1991, p. 65.

Publié le 08/10/2019 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Paul Celan, Grille de parole

                        Avec lettre et horloge   De la cire pour sceller le non-écrit qui devina ton nom, qui chiffre ton nom.   Viens-tu maintenant, nageante lumière ?   Des doigts, de cire eux aussi, passés en d’étranges, de douloureux anneaux. Fondus leurs bouts....

Publié le 01/03/2016 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Paul Celan, Enclos du temps, traduction Martine Broda

  Viens, explique le monde à ton aune, viens, laisse-moi vous combler de toute opinion, je ne fais qu’un avec toi, pour nous capturer, même maintenant.   Komm, leg die Welt aus mit dir, komm, laß mich euch zuschütten mit allem Meinen, Eins mit dir bin ich, uns zu erbeuten, auch jezt. Paul Celan, Enclos du temps, traduit par...

Publié le 03/12/2015 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Paul Celan, Grille de parole (traduction Martine Broda)

               Un œil ouvert   Heures, couleur mai, fraîches. Ce qui n’est plus à nommer, brûlant, audible dans la bouche.   Voix de personne, à nouveau.   Profondeur douloureuse de la prunelle : la paupière ne barre pas la route, le cil ne compte pas ce qui entre....

Publié le 26/10/2015 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

L'ÊTRE PASSÉ de MARTINE BRODA

  l’être passé dans le mot été vide d’être   ce vide est d’être là en ville ouvrant son coeur la vacance des squares   en ville dépliant une fois la dernière soie blessée sous les couteaux vibrants de la lumière l’encore intensité juste avant qu’elle casse la corde tendue d’un désir funambule   vérité de l’été à peine plus sévère...

Publié le 04/08/2015 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

Guennadi Aïgui, Dernier ravin

                                                                        Dernier ravin...

Publié le 20/07/2014 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Paul Celan, La Rose de personne [Die Niemandsrose]

Avec toutes les pensées je suis sorti hors du monde : tu étais là, toi, ma silencieuse, mon ouverte, et — tu nous reçus.   Qui dit que tout est mort pour nous quand notre œil s'éteignit ? Tout s'éveilla, tout commença.   Grand, un soleil est venu à la nage, claires, âme et âme lui ont fait face, nettes, impératives, elles lui ont tu son...

Publié le 17/05/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Paul Celan, La Rose de personne, traduction Martine Broda

... Bruit la fontaine   Vous couteaux aiguisés de prière, de blasphème, de prière, de mon silence.   Vous mes paroles, qui vous estropiez avec moi, vous mes paroles droites.   Et toi : toit, toi, toi, de vérité chaque jour plus vraie écorché, mon plus-tard des roses — :   Combien, ô combien du monde. De...

Publié le 18/12/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Guennadi Aïgui, Dernier ravin

                                                       Dernier ravin...

Publié le 16/04/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

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