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Notes sur le tag : littérature
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Dernières notes
Tout lieu est retraite
J'ai bâti ma maison parmi les humains Mais nul bruit de cheval ou de voiture ne m'importune. - Comment cela se peut-il ? - A coeur distant, tout lieu est retraite. (T'AO YUAN MING, Poèmes) Cet auteur Chinois est né en 365 et il est décédé en 427.
Publié le 12/12/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...
Nuits maudites
Nuits maudites, maux inouïs. L'obscurité te prend tout entier, ne t'épargne jamais. Aucun répit, nul repos. Nuits maudites, mots inaudibles. Tu parles, dans ton sommeil, tu gémis, tu appelles. Mais n'entends rien. Et personne ne répond. Nuits maudites, jours meurtris. Comme ce corps que je ne vois pas, qui m'en dirait long sur toi. Le souvenir te dévore, ses griffes plantées dans ta chair...
Publié le 11/12/2008 dans listesratures par absolu | Lire la suite...
La soupe de Cornebidouille (M. BONNIOL - P. BERTRAND)
Attention, mesdames et messieurs, je vous livre aujourd'hui un véritable secret de famille. Un livre-culte. Capable de réunir en cercle autour de vous les enfants... mettons de deux à dix ans (et je ne parle pas des adultes...)... capable de réunir les enfants, disais-je, et de les entendre déclamer en choeur : Elle était laide, elle ne sentait pas bon, elle avait du poil au menton....
Publié le 11/12/2008 dans Ma Cuisine... par Patricia Sarrio | Lire la suite...
FIN du 1er TRIMESTRE (Le journal de Juliette, n° 43)
Francine ne quitte plus Gabriel , son professeur d'Allemand. Depuis la Boum, Martine apparaît chaque matin avec les yeux bien maquillés. En ce lundi de fin décembre, elle sort du Lycée emportant un disque de Georges BRASSENS que Gabriel lui prête pour la semaine. En cours de Français, le professeur accepte de passer des disques pendant que les élèves s'amusent à quelques jeux : la...
Publié le 11/12/2008 dans elisabethleroy par Elisabeth | Lire la suite...
Polska B dzisiaj
Peut-être en compensation de ce vague à l’âme permanent du déracinement, l’exilé n’a pas de quotidien. Il observe, il touche, il interroge son monde. Rien ne lui est familier au point de devenir invisible. Pour prix de cette pointe de mélancolie qui musarde dans son air du temps, il semble immunisé contre la lobotomie des habitudes. Tellement que les gens pèsent moins lourd sur le...
Publié le 11/12/2008 dans L'EXIL DES MOTS par Bertrand REDONNET | Lire la suite...
La carretera de Cormac McCarthy
Crédits photographiques : Takashi Noguchi (AFP/Getty Images). Voici la traduction en espagnol de mon premier article sur La Route , que je dois à l'amabilité de Carmen Muñoz Hurtado . C'est encore Carmen qui me donnera de ce texte, très prochainement, une traduction en anglais... Enfin, la Zone devient, plus que labyrinthique, babélique... «Ya se fueron. Huyen desterrados en la...
Publié le 11/12/2008 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...
Chronique de la grammaire, de la vieille dame indigne et du général de Gaulle
« Il faut toujours garder un vice pour ses vieux jours. » : L’idée de garder un vice pour ses vieux jours, tout d’abord : je la trouve excellemment formulée. L’idée qu’un vice puisse se garder au frais, comme une bouteille pour la Noël, ou des boites de sucre sous le lit, ou le livret A sous une pile de drap. Un vice. Pour ses vieux jours : Je pense...
Publié le 11/12/2008 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...
La vibration
Léonore travaille à son livre. Voir c’est capter l’esprit du monde, le sensible. Peindre, saisir du regard l’ensemble, le devenir. Ce sera la vibration chez Cézanne, l’amour ingénu chez Chagall, la sensualité, sa finesse chez Titien, la compassion chez Greco, l’harmonie chez Poussin. Regard qui perce l’univers, trouve le lien, le point nodal. Rembrandt l’ombre, Caravage la rage, Fragonard...
Publié le 11/12/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...
Où il ne se passe rien
Petite ville ruinée sur la Meuse, ciel plombé, septembre. Je suis le seul client du café-cantine. Derrière le comptoir, deux jeunes gens ; lui, en survêtement de supporter, elle, je ne sais plus comment. J’ai parcouru le canard local, je trie à présent les notes dans mon portefeuille. Radio de merde en fond sonore. Défilé de paroles...
Publié le 11/12/2008 dans Theatrum Mundi par P. A. | Lire la suite...
La littérature à l'estomac
Julien Gracq , La littérature à l'estomac : "Un écrivain américain à chaque ouvrage repart à zéro : le succès de l'oeuvre précédente ne lui garantit nullement que son éditeur ne refusera pas un nouveau manuscrit trop faible. Quiconque en france s'est trouvé une fois édité, si son début a été seulement honorable, a toutes chances de l'être toujours : il y compte d'ailleurs, et ne...
Publié le 10/12/2008 dans Des mots en... par olleduc | Lire la suite...
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