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Notes sur le tag : judith chavanne

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Dernières notes

Judith Chavanne, De mémoire et de vent

Un corps navré ; à terre les feuilles ternes.   Jours de défaite ? Ou est-ce que l’on a simplement désarmé ?   D’autres feuilles dans la dernière lumière sur le bouleau orange illuminées.   Une rose pâle, comme décolorée.   Faut-il être jusque dans sa chair la tristesse, le champ piétiné d’insondables batailles ?...

Publié le 26/03/2023 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Judith Chavanne, De mémoire et de vent

                On aurait pu se dire soustraits au temps dans la cuisine à l’abri des intempéries d’avril : il avait neigé sur les plateaux, il faisait humide, et la vapeur du thé ajoutaitp à la brume.   On avait dérobé un jour au calendrier des jours ouvrables et dûment remplis  par on ne savait quoi au...

Publié le 25/03/2023 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Judith Chavanne, De mémoire et de vent

                      Rêves et projets que l’on forma à notre insu parfois sont comme fantômes ou brumes d’automne quand le soleil est trop incertain, trop faible pour les dissiper.   Ce sont présences qui nous environnent marchent à nos côtés ; on en conçoit de l’inquiétude, loin de se sentir...

Publié le 23/03/2023 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

JUDITH CHAVANNE : HALEINE PERDUE

    Oui, la Toussaint vaut mieux que ce parterre tonitruant de chrysanthèmes, place de l'Hôtel de Ville :     Une bouche soudain ne happe plus sa bouffée d'air, ne prend plus part à la respiration immense, à l'haleine mêlée des bêtes et des hommes, à la sève exsudée dans l'obscurité par les feuilles, à l'humidité stagnante.   Sonne...

Publié le 01/11/2011 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

Judith CHAVANNE : COIN de LUMIÈRE

    Elle chantait. Et c 'était comme la roche doit se réjouir d'être pour l'eau ruisselante un passage où comme le cageot dans l'herbe défend son coin de lumière quand vient le soir et l'écorce du sapin n'est plus qu'une rose halte.   Tant, disait-elle, que cette joie reconnaîtra son lieu en ma voix.   Judith CHAVANNE , Arpa n°98....

Publié le 14/12/2010 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

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