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Notes sur le tag : gombrowicz

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Dernières notes

G.

Ai-je raison de penser que plus la littérature est téméraire et d’un accès difficile, plus elle devrait retourner vers des formes anciennes, faciles, auxquelles les lecteurs se sont habitués ?  Gombrowicz (extrait de sa préface de « La pornographie », préface que je vous recommande de lire après le roman)  

Publié le 24/01/2019 dans Branloire... par Houdaer | Lire la suite...

Où je regroupe quelques super-héros...

Ezra Pound & Allen Ginsberg Dominique de Roux et Gombrowicz Céline & Bébert   Lanza Del Vasto, Véra & René Daumal Richard Ford & Raymond Carver (prêts à pécher ?) William Burroughs et ?

Publié le 01/07/2013 dans Branloire... par Houdaer | Lire la suite...

Pour saluer (tardivement) Michel Polac

... parce que (tout de même) le premier "Droit de réponse" maté du haut de mes quatorze ans... ... parce que le bonhomme m'a fait découvrir plus d'un auteur (Fante, Gombrowicz...) avant ma majorité... ... parce que je me souviens, quelques années plus tard, de Pierre-Jean Balzan - excellent éditeur (La Fosse aux ours) et voisin - m'expliquant comment Polac a sauvé sa toute jeune...

Publié le 22/08/2012 dans Branloire... par Houdaer | Lire la suite...

Jean Frémon, Silhouettes

 Silhouette de Vladimir Khlebnikov et de son chien   Sur une plage de la Caspienne   Ils mangent du caviar ramassé sur le sable                                *   Silhouette de Sandro Penna.  ...

Publié le 01/06/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Je suis un chien galeux

A ma chère Mawitournelle   « Moi qui étais déjà extérieur à toute beauté, exclu du filet chatoyant de la séduction – peu séduisant, incapable de charmer, indifférent à la nature… ah, pourtant, j’étais encore capable d’émerveillement, mais je savais que plus jamais mon émerveillement ne saurait émerveiller personne… et je ne participerais plus à la vie qu’en chien battu, en chien...

Publié le 16/06/2011 dans Pierre Cormary par Pierre CORMARY | Lire la suite...

Une semaine de catas (thema Part V)

Quand une jeune fille se met une fleur dans les cheveux, quand une plaisanterie surgit au cours d'une conversation, quand nous nous perdons dans le clair-obscur d'un crépuscule, tout cela n'est-il pas de l'art ? WITOLD GOMBROWICZ in Ferdydurke (1937). Editions Gallimard 1998. Vendredi. Ce fut comme une sensation de brouillard. Il ne voyait plus les gens venir. Il savait...

Publié le 07/06/2010 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...

Je suis un rat.

  A Mawitournelle. On ne me croira pas, mais je suis fou d’amour pour celui qui m’a, un soir, remis à ma place. Encore que l’amour ne soit pas véritablement le terme qu’il faut. Ce serait d’exaltation dont il faudrait mieux parler. Oui, voilà, ce type qui m’a humilié pour toute ma vie, j’en suis exalté. Mais il faut que je vous raconte. J’allais au concert pour la...

Publié le 29/11/2008 dans Pierre Cormary par Pierre CORMARY | Lire la suite...

Contre les poètes

En 1947 W. GOMBROWICZ se demande dans un texte curieux intitulé "Contre les poètes" si la poésie n'est pas, au fond, qu'une vaste supercherie. "La messe poétique a lieu dans le vide le plus complet" note-t-il. Il faut dire que W.GOMBROWICZ ne considère pas la littérature comme un refuge ou une rédemption. Pour lui la vie est une bagarre. Ses romans ne se considèrent pas au dessus de la...

Publié le 30/10/2008 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...

Rire ou ne pas rire

– Ce qui est épatant, c’est que des gens avec lesquels tu ne serais d’accord sur rien, mais alors sur rien, trouvent quand même le spectacle épatant… – C’est normal. Que je sois d’accord ou non avec mes personnages n’a aucune importance ; et même, ne regarde pas les gens. Pas davantage que je ne suis là pour raconter ma vie, je ne suis là pour exprimer ma petite pensée...

Publié le 21/05/2008 dans Theatrum Mundi par Pascal Adam | Lire la suite...

Commencer par la fin

Quand on tient l'esprit philosophique pour une sorte de maladie mentale, le cas de Gombrowicz, proche de la dépression et du suicide, est assez intéressant. Il y a une sincérité extrême chez Gombrowicz, qui le pousse à la fin de sa vie à reconnaître que Ferdydurke est un roman beaucoup trop calculé, "prémédité" c'est le terme qu'il emploie, pour être vraiment vivant et donc éternel. Seules...

Publié le 12/01/2007 dans Lapinos par Xavier JASSU | Lire la suite...

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