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Club Littérature
Ces férus de belles-lettres feront de vous des lecteurs intéressés et curieux.
Les blogueurs littéraires partagent le fruit de leurs diverses lectures et leur passion pour la littérature, la poésie et le théâtre. Au fil de leurs blogs, vous apprécierez leurs descriptions, leurs critiques sur les ouvrages qu’ils ont appréciés, leurs réflexions sur le monde des Lettres. Ils vous donneront l’envie d’explorer de nouveaux horizons littéraires.


Le séducteur de spectres
Découverte de Gesualdo Bufalino, par Fabio Ciaralli Connaissez-vous Gesualdo Bufalino et Le Semeur de peste? Si ce n’est pas le cas, j’aimerais vous faire pénétrer dans l’œuvre de cet auteur merveilleux et vous parler de son premier roman. Gesualdo Bufalino, Sicilien de la province de Raguse – de Comiso précisément – naît en 1920 et meurt, dans la même petite ville,...
Publié le 05/06/2024 dans Carnets de JLK par JLK | Lire la suite...

Les Bêtises de Jacques Laurent ou les arabesques de la mémoire
Photographie (détail) de Juan Asensio. Sur Histoire égoïste . Note sur les Minutes d'un libertin . Au nom du père de Christian Guillet . Tout texte quelque peu sincère a maille à partir avec le souvenir, donc la mémoire, l'exploration des différentes couches de nos vies qui sont autant de strates de formes, d'odeurs, de lumières, de sensations...
Publié le 05/06/2024 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...

Délivrez-nous des heures
(Le Temps accordé. Lectures du monde VII, 2024) À la Maison bleue, ce mardi 4 juin .- Si ce n’était mon dernier voyage, je l’aurai vécu comme tel: comme une vraie folie, et sans cesser de me traiter de fou cédant à mes impulsions et compulsions tout en me jugeant avec la lucidité conséquente d’un être plus que raisonnable: comme un enfant lancé en l’air par un vieux dément,...
Publié le 04/06/2024 dans Carnets de JLK par JLK | Lire la suite...

Que de la joie
(Le Temps accordé. Lectures du monde VII, 2024) À la Maison bleue, ce mercredi 5 juin . - Le lendemain du premier jour à Boccadasse, je m’étais retrouvé à marcher seul le long de l’embouchure marine de Bocca di Magra, d’une bouche à l’autre je m’étais rapproché de mes amis et là, à la hauteur de deux pêcheurs, le plus tout jeune et le pas tout à fait vieux,...
Publié le 04/06/2024 dans Carnets de JLK par JLK | Lire la suite...

Accroche le mot au nuage
Les mots sont là pour s’étonner, venus du fin des âges, au temps des anges émus sans ailes ni messages... La muse a délivré la nuit des mots les plus secrets, qui retenaient, sous le déni tant d’aveux interdits... Les mots s’embrochent et recomposent, en rondes et en croches, les mélodies, de proche en proche, des enjambées en prose......
Publié le 03/06/2024 dans Carnets de JLK par JLK | Lire la suite...

Souvenirs à venir
(Pour Anthony et Timothy) Les jeux d’enfants abandonnés sous la neige d’antan vous attendaient en matinée dans le jardin du temps, pauvres objets tout décatis aux coloris pâlis qui jamais n’auront oublié vos petites mains accrochées à la rampe de la fusée… Vous restez un peu interdits à cette apparition dans la brume du matin...
Publié le 02/06/2024 dans Carnets de JLK par JLK | Lire la suite...

La mer aux fleurs passées
Le vert de la mer nous survit, et c’est toute une joie, de lauriers roses en mimosas, de la savoir là-bas, remuante et parfois cruelle, splendidement indifférente en son miroir factice de moires photogéniques, ou lisse et douce comme une main ridée de vieille fée souriante et complice… Les instants restent en suspens au fronton des...
Publié le 01/06/2024 dans Carnets de JLK par JLK | Lire la suite...

Le chemin sur la mer
« Certes, le vieux monde n’est plus de ce monde, mais plus vivant que jamais » (Ossip Mandelstam) Qui aura chanté pour l’enfant dans vos rangs défilés de battants obsédés par la plus vide arborescence ? Au présent digitalisé, tout adonnés à vos écrans, vous vivez par procuration: même le vent s’est absenté, le vent, la mer aussi blessée...
Publié le 31/05/2024 dans Carnets de JLK par JLK | Lire la suite...

Merci qui ? Merci mon chien...en poche
Avec tendresse, avec humour, le créateur de la Noiraude (la vache qui a des états d'âme et téléphone régulièrement à son vétérinaire ) rend hommage et remercie les animaux qui ont traversé sa vie, mais aussi tous les animaux en général (à l'exception des mites, mouches, moustiques et autres vecteurs de maladie). Il fait appel à quelques auteurs (Tesson, Kundera , entre autres) pour appuyer...
Publié le 31/05/2024 dans cathulu par cathulu | Lire la suite...

La mer en son absence
La mer en sa tranquillité au bord des soirs d’été où nous étions à ne rien faire, la mer nous écoutait nous taire… Se taire était notre façon en ces fins de journées de nous parler de nos passions tendrement partagées… Tu me disais ne croire en rien qu’en ces moments perdus à ne faire qu’à nous aimer devant l’immensité...
Publié le 30/05/2024 dans Carnets de JLK par JLK | Lire la suite...
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