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Notes sur le tag : sandy bel

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Dernières notes

Ma patrie, un bout de l’éternité

Ma patrie, un bout de l’éternité Un lieu sans lieu peint sur un mirage, ailleurs.   J’ai oublié ses rives. Je n’ai aucun moyen de les revoir, ni aucune envie d’ailleurs .   A cause du pain qui est cher et de l’hystérie des colons.   Je me souviens de la  nuit où je...

Publié le 13/01/2010 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Poèmes de Sandy Bel

Doux vent Imprégné du levant   La nuit Est-elle finie ?   La ville comme une bête noyée Sommeille   Dans l’immense corbeille Un chat retient la vie D’une souris Prête à s’échapper                         ****...

Publié le 15/12/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Mon île

J’aime la regarder par la fenêtre Quand je suis seule Sans bruit Je crains toujours qu’ils puissent me surprendre du dehors Quand ils retournent à leur maison Et qu’ils découvrent que je brûle pour elle Ce sont des craintes inutiles, je ne veux pas, mais qu'y faire ? Elles me dominent à jeun C’est la vérité    ...

Publié le 25/10/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Ma patrie, un bout de l’éternité

Ma patrie,  un bout de l’éternité. Un lieu sans lieu peint sur un mirage, ailleurs.   J’ai oublié ses rives. Je n’ai aucun moyen de les revoir, ni d’ailleurs aucune envie.   A cause du pain qui est cher et  l’hystérie des colons.   Je me souviens  de la  nuit  où je suis partie.   Il...

Publié le 19/10/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Ce premier matin de liberté

Je n’ose pas y croire Ce premier matin de liberté découpe la lumière en aubes nouvelles Le parfum d’espoir remplit le ciel de juillet Les revenants arrivent ivres de fatigue, les mains posées sur leurs plaies qui saignent encore Ils marchent vers nous baisant à chaque pas les lèvres de la terre Les volontaires déverrouillent les portes...

Publié le 27/09/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Encore, toujours, être à soi

J’attends dans mon lit, bientôt la nuit viendra et je serais morte pour le monde Le soir arpente les trottoirs, il s’éteint, se perd Le songe est assis sur mes rives et se hâte de remplir ma tête Le vide est un ogre avide qui hante ma mémoire En silence, je regarde la lune Son regard est si pur, si doux que je veux le conserver sur tout...

Publié le 30/07/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Derrière une porte de pluie

Derrière une porte de pluie Un bruit de caresse d’étoffe arrive sur mes rives et je rêve de l’océan Des hommes silencieux retenus depuis l’enfance   Entre eux et le feu Une femme parle avec peine de ce qui vient Elle cherche un sens qui l’aide à vivre Elle aimerait arrêter cette pluie, lui indiquer un autre lieu...

Publié le 26/06/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Entre tonnerre et éclairs

Entre tonnerre et éclairs mon rêve tremble Sa sève féconde se dilue dans mon sang Ce qui reste de cette saveur descend au plus profond et s’écroule en moi comme un naufrage Elle contient le monde Les animaux, ivres de gestes et de cris éperdus S’accordent une trêve imprévue Tout se met en mouvement sans rien briser Des insectes...

Publié le 20/05/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Ecrire l’histoire

A l’heure ou nous sortions transis de froid et de misère des veilles brumeuses Fenêtres et portes se sont ouvertes en éclats de sourire Des yeux braqués sur le réveil se bousculent pour boire un jus de soleil Le parfum de la liberté flotte d’un bout à l’autre de la ville Des vieilles indiennes tatouées sorties pour la première fois de chez elles, se...

Publié le 19/05/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Maintenant que chacun te caresse...

Maintenant que chacun te caresse pour se rassurer, je me vante de t’avoir découvert le premier Pourtant, c’est le contraire Je me souviens quand tu gisais   Sur le sol je t’ai soulevé Et posé sur mes épaules C’était pendant la révolution Les gens las d’avoir rêvé plutôt que vécu Prenaient la fuite   Oui...

Publié le 17/05/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

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