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Notes sur le tag : michel leiris

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Dernières notes

Michel LEIRIS d'ANTIQUITÉ en AVENTURE

  ANTIQUITÉ - temps inquiétant quitté, que hantaient les Titans.   AVENTURE - les mâtures aveugles sont avides de vent.   Michel LEIRIS , Glossaire, j'y serre mes gloses, 1939.    

Publié le 28/07/2018 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

Michel LEIRIS et l'INSPIRATION

Contrairement à ce que j'ai toujours pensé, je m'aperçois qu'attendre d'être inspiré pour écrire, cela veut dire qu'on est un pur esthète. Dans ce cas en effet, l'inspiration n'est qu'un moyen, et c'est l'écriture qui est la fin. Ce qu'il faut au contraire, c'est écrire pour être inspiré. Si l'acte d'écrire n'inspire pas, s'il ne met pas dans cet état particulier qu'on évoque sommairement...

Publié le 31/03/2017 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

Michel Leiris, Le ruban au cou d'Olympia

                                                        Qu’est-ce que, pratiquement, je poursuis ? — La combinaison de mots, phrases, séquences, etc., que je suis seul à pouvoir bricoler et qui — dans ma vie pareille, comme toute autre, à...

Publié le 09/03/2017 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Michel Leiris, Mots sans mémoire

Marrons sculptés pour Miró   I Les poches veuves de cailloux blancs, viens-nous en où va la ligne qui s’envole sans avoir à jeter du lest.   II Ciel      comme celui du lit étoile     comme celle de la mer, cardinal    comme le gentil oiseau que dénomme sa couleur,...

Publié le 27/09/2016 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Miche Leiris, Le ruban au cou d'Olympia

À main droite, ma manie de manipuler, démantibuler, désaxer et malaxer les mots, pour moi mamelles immémoriales, que je tète en ahanant.   Murmure barbare en ma Babel, tu me tiens saoul sous ta tutelle et, bavard balourd, je balbutie.   À main gauche, mes machins, mes zinzins, mes zizanies, les soucis (chichis et...

Publié le 20/09/2016 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Michel Leiris, À cor et à cri

                                     Que le discours même le plus sensé soit incapable d’imposer silence aux méchants dont les agissements ensanglantent notre planète et, même à froid, vont à l’encontre de la justice la plus élémentaire, cela ne dévalorise-t-il pas toute forme de parole et...

Publié le 21/01/2016 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Michel Leiris, Nuits sans nuit et quelques jours sans jour

                  (1936)   23 avril 1934      Cette femme dont je suis amoureux et moi, nous suivons notre histoire dans une publication hebdomadaire illustrée destinée aux enfants. Chaque semaine, nous achetons un fascicule et, dans les petits blocs de textes comme dans...

Publié le 13/08/2015 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Michel Leiris, Le Ruban au cou d'Olympia

À main droite ma manie de manipuler, démantibuler, désaxer et malaxer les mots, pour moi mamelles immémoriales, que je tète en ahanant. Murmure barbare, en ma Babel, tu me tiens saoul sous ta tutelle et, bavard balourd, je balbutie. À main gauche, mes machins, mes zinzins, mes zizanies, les soucis (chichis et chinoiseries) qui me cherchent noise,...

Publié le 05/07/2014 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Michel Leiris, Nuits sans nuit et quelques jours sans jour

                                  Fin 1954                  ( au petit matin, après réveil prématuré )   Par besoin d'argent, je me suis...

Publié le 06/12/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Edouard Levé

   Quand j'habitais à la campagne, j'avais épinglé sur le mur de mon bureau, au-dessus de mon ordinateur, cette photo en noir et blanc d'Edouard Levé.Tout à côté, j'avais par ailleurs placé une reproduction d'un portrait de Michel Leiris peint par Francis Bacon – attendant rêveusement de posséder l'original. L'un et l'autre étaient là comme deux astres sombres, deux...

Publié le 11/11/2013 dans Le blog de... par Jacques-Emile Miriel | Lire la suite...

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