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Notes sur le tag : littérature

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Dernières notes

Réquisitoire -3 -

Septembre égrena jour après jour les poussières d’une chaude fin d’été. Sur l’horizon cependant le soleil fléchissait et, soudain, surgirent les brouillards d’octobre. La forêt s’embrasa et sur ses lisières les ombres s’allongèrent. La Toussaint accueillit bientôt les premières grosses gelées de l’hiver ; la pluie et le gris du ciel prirent d’assaut la petite vallée où, chaque matin,...

Publié le 09/07/2014 dans L'EXIL DES MOTS par Bertrand REDONNET | Lire la suite...

Chien d'écrivain / 23 octobre

  Chomedey l’automne / toute une journée passée à tourner en rond dans le petit appartement humide à tripoter des livres jaunes sans avoir le courage de les ouvrir à tirer et à repousser la chaise à prendre et à reposer la plume sur la vieille table de la cuisine à boire du vin et à fumer les mauvais cigares du pauvre / toute une journée passée à...

Publié le 08/07/2014 dans Serge Viau :... par Serge Viau | Lire la suite...

Usage communal du corps féminin

La thèse de Rudolph était que la vie l'amour l'amitié et la filiation ne tenaient qu'à un cheveu. Autrement dit, tout pouvait basculer si tout n'était pas réglé au millimètre près. Et bien sûr, cette bascule entraînait chaque individu , chaque couple, chaque famille dans la mésentente et parfois la tragédie. Grâce à Gustave Machin, Marie Marron découvrait l'horreur du monde et s'en...

Publié le 08/07/2014 dans listesratures par absolu | Lire la suite...

La citation du jour - 85 / Proverbe japonais

Proverbe japonais La neige ne brise jamais la branche du saule. Proverbe japonais ( onelittleangel.com) image:  http://furoshiki.files.wordpress.com

Publié le 08/07/2014 dans Jubilate Deo par Claude Amstutz | Lire la suite...

Chemins de traverse - 36 / Hermann Hesse

Hermann Hesse O pluie, pluie d'automne, Montagnes drapées de gris, Branches lasses traînant au sol! Par les fenêtres embuées, Tu vois partir l'année malade. Tu sors, transi et ruisselant. A l'orée des forêts, salamandre et crapaud Marchent en titubant sur les feuilles jaunies. Dans un bouillonnement sans fin, L'au dévale inlassablement, Et dans le pré,...

Publié le 08/07/2014 dans Jubilate Deo par Claude Amstutz | Lire la suite...

Nous ne pourrirons pas ensemble

Je n'ai jamais dit -- mais Saul Bellow l'a fait, lui, dans Herzog , je crois -- : " Une salope de perdue vaut mieux que deux tu l'auras. "

Publié le 07/07/2014 dans Serge Viau :... par Serge Viau | Lire la suite...

VIALATTE MIEUX QUE GUY DEBORD

  Très vilaine peinture sous verre achetée à Bucarest en 1990, pour quelques virgules de porte-monnaie. ******* «  Voilà pourtant où va la civilisation. Elle ne vit plus qu’en état de guerre. Dès qu’un homme d’Etat parle de paix, on sait que c’est pour lui faire la guerre. Il y a toujours quelque Corée, quelque Tibet ou quelque Irak où on la garde à la glacière ;...

Publié le 07/07/2014 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...

Par pluie comme par beau temps

Dans le Jura français où j’habite il fait tellement mauvais qu’il faut allumer même en été si l’on veut prendre le café à l’aube Un scientifique et un agriculteur me disent chacun dans leur langue et sans jamais s’être rencontrés que je suis un irresponsable de ne pas aimer les étés pourris  « Le beau temps est une anomalie climatique » m’explique le premier « Tu préfères...

Publié le 07/07/2014 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

La citation du jour - 84 / Gustave Thibon

Gustave Thibon Ton amour n'a pas eu encore assez froid. Isole-toi dans le silence et la glace des cimes jusqu'au point où le froid te brûlera d'un baiser aussi pur que le rayon des étoiles et aussi ardent que le feu. Les saints sont ceux qui savent souffrir du froid jusqu'à la brûlure. Gustave Thibon, Notre regard qui manque à la lumière, dans: Daniel-Ange, Les feux du désert...

Publié le 07/07/2014 dans Jubilate Deo par Claude Amstutz | Lire la suite...

Morceaux choisis - 85 / Thomas Merton

Thomas Merton Comme Dieu est proche de nous, lorsque, reconnaissant et acceptant notre abjection, nous jetons en Lui tous nos soucis! Contre toute attente humaine, Il nous soutient lorsque nous en avons besoin et nous aide à faire ce qui semblait impossible. Nous apprenons alors à connaître Sa présence, non telle qu'on la trouve dans des considérations abstraites, déguisées...

Publié le 07/07/2014 dans Jubilate Deo par Claude Amstutz | Lire la suite...

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