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Notes sur le tag : léon bloy

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Dernières notes

Car il faut, indispensablement, que cela finisse…

C'est pourquoi tout ce qui a quelque quantité virile, depuis une trentaine d'années, se précipite éperdument au désespoir. Cela fait toute une littérature qui est véritablement une littérature de désespérés. [...] Il ne faut pas chercher cette situation inouïe des âmes supérieures en un autre point de l'histoire que cette fin de siècle, où le mépris de toute transcendance intellectuelle ou...

Publié le 03/04/2012 dans Die... par Kurgan | Lire la suite...

Marc-Édouard Nabe dans la Zone

Crédits photographiques : Ueslei Marcelino (Reuters). Marc-Édouard Nabe le si peu bloyen . Marc-Édouard Nabe n'enfonce pas vraiment le clou . Marc-Édouard Nabe ou la colère du bourdon . Au régal des vermines ou les poisons inoffensifs de Marc-Édouard Nabe . Alain Zannini de Marc-Édouard Nabe (extrait de La Critique meurt jeune ) . Hélas Nabe !...

Publié le 11/03/2012 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...

L'autre visage de Louis Massignon de Laure Meesemaecker

Crédits photographiques : Julie Jacobson (AP). À propos de Laure Meesemaecker, L'autre visage de Louis Massignon ( Éditions Via Romana , 2011). LRSP (livre reçu en service de presse). Sur Parole donnée de Louis Massignon. «Celui qui aime entre dans la dépendance de celui qui est aimé.» Charles Péguy, Note conjointe sur M. Descartes et la philosophie cartésienne ,...

Publié le 16/12/2011 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...

Les écrivains au carrefour des lieux communs

Dans le lourd pavé qu’il consacra à James Joyce en 1959, Richard Ellmann rappelle ce conseil que prodiguait  le vieux maître (qui, par ailleurs, disait de lui-même : « Je ne suis qu’un clown irlandais, un plaisantin universel ») : « si tu entends un lieu commun, fuis immédiatement» Avec sept milliards d’individus sur Terre, le programme est de plus en plus ardu à...

Publié le 06/11/2011 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

Le Tartuffe Benoît XVI

En préambule de cette note, je dissuade d'accorder un quelconque crédit au groupuscule de Jacques de Guillebon et Olivier François, baptisé "anarchriste", qui se réunira bientôt dans un quartier chic de la capitale, sans doute pour signifier le périmètre de sécurité duquel la brigade mondaine de Benoît XVI ne sortira jamais (maman ne le permettrait pas). L'anarchisme de Jésus-Christ heurte...

Publié le 26/10/2011 dans Lapinos par Xavier JASSU | Lire la suite...

Léonissime Imposture

    En hommage à Léon Bloy, ma complaisante gratitude pour cette toujours désobligeante histoire.   Il était un de ces rares adeptes qui nient la mort, se persuadant que l'auto survie est un acte simple de la volonté, et qu'il est incomparablement plus facile de s'éterniser que de finir. Selon lui, la mort dont parlent tant les imbéciles n'est qu'une...

Publié le 26/12/2010 dans Fodio par Fodio | Lire la suite...

Georges Darien, un barbare intolérant, par Nicolas Massoulier (Infréquentables, 7)

Crédits photographiques : Michael Regan (Getty Images). Tous les infréquentables . Quel intérêt, quand on est cet indistinct habitant du quartier tout juste destiné à indiquer l’adresse qu’on sait devoir être trouvée un jour ou l’autre, cette ombre passagère qu’on peut tout aussi bien appeler «un passeur», un presque spectre que rien ne destine à sortir de son rôle, quel intérêt...

Publié le 07/12/2010 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...

Les cinq francs de Léon Bloy

L e 17 décembre 1914, dans son Journal Au seuil de l'Apocalypse , Léon Bloy rapporte la découverte providentielle, par sa femme Jeanne , d'un billet de cinq francs qu'elle ne se souvenait plus avoir laissé dans un tiroir. «  De quoi vivre un jour », conclut, lapidaire mais satisfait, le bien-nommé mendiant ingrat. (1)   M endiant Ingrat : Ce premier...

Publié le 15/07/2010 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

Pour exaspérer les imbéciles

Pour exaspérer les imbéciles est un texte que Léon Bloy dédia à son ami André Roullet. Cinq jours auparavant, le 4 mai 1897, l’incendie qui avait ravagé le Bazar de la Charité en un quart d’heure à peine avait causé la mort de plus de 120 personnes, essentiellement des femmes de l’aristocratie européenne (dont la sœur de l’impératrice d’Autriche et la duchesse d’Alençon), venues...

Publié le 04/05/2010 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

Bloy, Serge & Jules Bonnot

Le 27 avril 1912 mourait Jules Bonnot.  I l y a de cela 98 ans Selon la légende, Bonnot avait été un temps le chauffeur  privé de Sir Arthur Conan Doyle. Plus prosaïquement, il fut l’amant de l’épouse  de Thollon, l'humble gardien du cimetière de la Guillotière à Lyon, et un petit malfrat de province avant de devenir le grand Bonnot, chef de la bande de la rue...

Publié le 27/04/2010 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

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