Last posts on échec2024-03-28T18:31:52+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/échec/atom.xmlFernand Louis Olbechttp://lafaceclairedelanuit.hautetfort.com/about.htmlECHECtag:lafaceclairedelanuit.hautetfort.com,2023-04-11:64376822023-04-11T10:48:37+02:002023-04-11T10:48:37+02:00Fernand Louis Olbechttp://lafaceclairedelanuit.hautetfort.com/about.htmlnOTRE dAMEtag:lafaceclairedelanuit.hautetfort.com,2023-04-11:64376732023-04-11T10:43:50+02:002023-04-11T10:43:50+02:00iL Y A 80 ANS J'ai appris le jeu d'échec par mon père . On était poli et on...
iL Y A 80 ANS J'ai appris le jeu d'échec par mon père . On était poli et on annonçait l'échec la reine comme l'échec au roi . Dans le club d'échec que j'ai rejoint pour mes 90 ans à lille ,on ne parle plus de reine, mais de dame et on ne fait pas de cadeau au distrait. On li pique sa dame par surprise . On lui coupe la tête comme on fit tomber la tête de Marie-Antoinette après celle du roi LOUIS 16 ; lors de la révolution. Pourtant, il y a trois fleurs de Lys dans le blason de la capitale des Flandres D'autre part Mon père m'a appris la marche des chevaux, maintenant, on parle de cavalier. Mais cheval ou cavalier, C'est la seule pièce qui saute.<br />Il m'arrive de battre des jeunes gens qui pensent faire une bouchée d'un vieux bonhomme, mais pas des enfants qui ont appris des entrées par cœur et les mettent en œuvre consciencieusement. Heureusement, ils perdent le sérieux à l'adolescence et deviennent vulnérables quelque temps avant la maturité.De toute façon, enfant, jeune ou adulte, je perds plus souvent que je gagne et cultive ainsi une saine humilité . ET VOUS ,? <br />
galaventhttp://regardssurunevissansfin.hautetfort.com/about.htmlConcourstag:regardssurunevissansfin.hautetfort.com,2021-05-25:63179552021-05-25T03:04:00+02:002021-05-25T03:04:00+02:00 Chaque objet doit danser sa partition Entre deux figures remarquables...
<p style="padding-left: 120px;"><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;">Chaque objet doit danser sa partition</span><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;">Entre deux figures remarquables</span><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;">Ils sont là, immobiles, fiers d’être présents</span></p><p style="padding-left: 120px;"><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;">Le corps en harmonie, en attente</span><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;">Le cœur suspendu au regard du maître</span><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;">Ils sont là, immobiles, fiers d’être présents</span></p><p style="padding-left: 120px;"><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;">Posé sans fin pour paraître, impavides</span><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;">Ils agitent leurs bras et jambes</span><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;">Ils sont là, immobiles, fiers d’être présents</span></p><p style="padding-left: 120px;"><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;">Tels sont les danseurs au regard brillant</span><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;">Qui délaissent leur avenir et bonheur</span><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;">Ils sont là, immobiles, fiers d’être présents</span></p><p style="padding-left: 120px;"><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;">Lendemain d’un concours irascible </span><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;">Baignant dans leurs pensées malheureuses</span><br /><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 12pt; color: #0000ff;">Ils sont là, immobiles, peu fiers d’être présents</span></p>
E. S.http://www.upgradepc.review/about.htmlUne jeune fille s'immole dans son Lycée en région parisiennetag:www.upgradepc.review,2019-11-25:61932962019-11-25T18:51:45+01:002019-11-25T18:51:45+01:00 Les lumières artificielles de la nuit ne doivent tromper personne, elles...
<p style="text-align: center;"><img id="media-6061176" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.upgradepc.review/media/01/00/688224013.jpg" alt="ville nuit.jpg" /></p><p style="text-align: justify;"><em>Les lumières artificielles de la nuit ne doivent tromper personne, elles ne dégagent aucune chaleur humaine.</em></p><p style="text-align: justify;">Le 13 octobre 2011, une enseignante s'immole par le feu dans la cour du lycée Jean-Moulin de Béziers.</p><p style="text-align: justify;">Le 26 octobre 2011, une femme de 68 ans tente de s'immoler par le feu devant le palais de l'Élysée pour problèmes de logement.</p><p style="text-align: justify;">Le 8 août 2012, un infirmier au chômage de 51 ans à qui la CAF ne verse plus d'allocation depuis 3 mois, s'immole par le feu dans les locaux la CAF à Mantes-la-Jolie.</p><p style="text-align: justify;">Le 13 février 2013, un chômeur en fin de droit s'immole par le feu devant son agence<span class="text_exposed_show"> Pôle emploi. </span></p><p style="text-align: justify;"><span class="text_exposed_show">Le 4 mars 2013, un cadre d'une agence France Télécom de Pau s'immole à son domicile suite de sa mise à pied temporaire. </span></p><p style="text-align: justify;"><span class="text_exposed_show">Un document de Bollendorff et Collo, <em>Le Grand Incendie</em>, recense une cinquantaine d'immolations par le feu en France entre la seule période 2011 et 2013. </span></p><p style="text-align: justify;"><span class="text_exposed_show">Une grande partie de ces cas sont liés à une problématique de chômage et de conditions de travail. </span></p><p style="text-align: justify;"><span class="text_exposed_show">Nous sommes en marche vers l'horreur.</span></p><p style="text-align: justify;">Notre société démocratique et marchande considéré massivement comme le seul modèle possible et celui devant être apporté au monde (et par tous les moyens comme en Bolivie ou en Ukraine) n'est en rien un exemple ou un avenir, elle est profondément toxique et génère de très nombreuses pathologies inexistantes dans les sociétés primitives.</p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;"><strong>A lire :</strong></span></p><h4 style="text-align: justify;"><a href="https://fr.sputniknews.com/france/201911251042484329-une-eleve-de-18-ans-simmole-devant-son-lycee-en-seine-saint-denis/">Une élève de 18 ans tente de s'immoler «en plein cours» dans son lycée en Seine-Saint-Denis</a></h4><div class="b-article__lead" style="text-align: justify;"><p>Après qu'au début du mois un étudiant s’est immolé par le feu à Lyon, c'est maintenant en Seine-Saint-Denis qu'une lycéenne de 18 ans a réalisé le même geste dans son établissement, a appris l'AFP.</p></div><div class="b-article__text"><p style="text-align: justify;">Une élève de 18 ans a tenté de s'immoler avant de se défenestrer dans son lycée Georges-Clemenceau, à Villemomble, en Seine-Saint-Denis, lundi dans l'après-midi, ont indiqué à l'AFP des sources concordantes.</p><p style="text-align: justify;">Lire la suite sur <a href="https://fr.sputniknews.com/france/201911251042484329-une-eleve-de-18-ans-simmole-devant-son-lycee-en-seine-saint-denis/">Sputniknews.com</a></p><p> </p></div>
Jacques-Emile Mirielhttp://jemiriel.hautetfort.com/about.htmlMexique/Romantag:jemiriel.hautetfort.com,2019-08-27:61721722019-08-27T10:30:00+02:002019-08-27T10:30:00+02:00 L'Amérique du Sud est un vivier artistique assez remarquable...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"> L'Amérique du Sud est un vivier artistique assez remarquable et très créatif, que ce soit pour le cinéma ou la littérature, et sans doute pour beaucoup d'autres disciplines également. Cet été, je suis par exemple allé au cinéma voir le magnifique film de l'Argentin Benjamin Naishtat, <em>Rojo. </em>Cela faisait longtemps que je n'avais été autant fasciné. Pour cette rentrée littéraire, j'ai décidé de m'intéresser à une œuvre de ces pays-là. Je savais que les éditions Métailié en publient beaucoup ; depuis 1979, date de leur création, c'est un peu leur spécialité, même si elles proposent par ailleurs des romans d'autres pays ou des ouvrages de sciences humaines. En regardant sur leur site ce qu'elles sortent pour cette rentrée, j'ai eu mon attention attirée par une notice de présentation assez intrigante à propos du livre d'un certain Daniel Saldaña Paris (né à Mexico en 1984), intitulé <em>Parmi d'étranges victimes.</em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"> Je dois dire que ce fut une bien belle lecture. Le personnage principal, le jeune Rodrigo, travaille dans un musée où il s'occupe de la communication. Il mène une vie parfaitement "pré-bureaucratique", comme il le dit, sans définir réellement ce qu'il entend par là. Mais nous le suivons avec une grande précision dans les événements très restreints de son quotidien, principalement l'observation d'une poule dans le terrain vague qui jouxte son immeuble. Cette poule prend une immense importance pour Rodrigo, jusqu'à la folie. Puis, à la suite d'une plaisanterie dont il est la victime, il est contraint de se marier à une femme "postmoderne" sans intérêt. Cette union ne troublera presque pas sa léthargie, et sera l'occasion pour lui de réfléchir sur ses rapports avec autrui : "Communiquer, admet-il, consiste précisément à éluder la sincérité pour parvenir à des accords." Son lien avec la communauté reste improbable. Une sorte d'attente métaphysique l'envahit complètement, et il pourrait tout doucement sombrer dans la schizophrénie, peut-être le suicide, s'il ne décidait finalement de partir pour une bourgade lointaine, où vit sa mère. Il y rencontrera l'amant de celle-ci, un universitaire en année sabbatique, ainsi qu'un gourou californien qui se révélera avoir une grande importance à la fois directe et indirecte dans la suite des événements. La deuxième partie du roman, après quelques développements sur un auteur fictif qui ressemble beaucoup à Arthur Cravan, fait preuve d'une grande inventivité et ne déçoit pas le lecteur. Daniel Saldaña Paris n'a pas son pareil pour nous décrire le monde sauvage du Mexique profond, et ses rituels plus ou moins traditionnels à base d'alcool et d'hypnose. Sera-ce là-bas la rédemption pour Rodrigo, voire la rencontre de l'amour ?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"> Le roman de Daniel Saldaña Paris présente la logique d'un axiome mathématique. Nous connaissons déjà, dans la littérature, ce type de personnage qui, proche du nihilisme, sombre dans l'ennui et l'apathie. L'auteur sait évoquer cette précarité humaine, cette solitude individuelle avec componction, et beaucoup d'humour. Il est même quelquefois sur le point de se perdre volontairement dans l'abjection. Mais il ne s'arrête pas là, quelque chose le retient, comme une forme d'espoir qu'il faut aller chercher au fond de soi-même, pour se réconcilier peut-être avec le monde. Cette expérience a souvent été tentée en vain. Elle débouchait systématiquement sur l'échec. Ici, c'est un peu comme si, enfin, elle aboutissait. Le titre du roman est emprunté à un poème d'Arthur Cravan. Sans doute est-ce plus qu'un signe. La référence à un poète de cette génération est décisive, comme si l'avant-garde continuait, aujourd'hui, et offrait une réponse claire. <em>Parmi d'étranges victimes </em>est un roman superbement dirigé vers ce genre de solution radicale, comme si l'homme, de fait, n'avait qu'un seul choix : celui d'accéder véritablement à lui-même pour essayer tout simplement de <em>vivre.</em> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Daniel Saldaña Paris, <em>Parmi d'étranges victimes. </em>Traduit de l'espagnol (Mexique) par Anne Proenza. Éd. Métailié, 20 €.</span></p>
Atelier des Idéeshttp://www.atelier-idees.org/about.htmlRéunion de conciliation des deux comités de LaREM de Puteaux.tag:www.atelier-idees.org,2017-11-30:60042632017-11-30T17:56:02+01:002017-11-30T17:56:02+01:00 27/11/2017. 20 h30, à la Coupole. Un avis. En 2016, avant...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"><strong>27/11/2017. 20 h30, à la Coupole.</strong></span><br /><span style="font-size: 12pt;"><strong>Un avis.</strong></span><br /><span style="font-size: 12pt;"><strong>En 2016, avant l’élection présidentielle et jusqu’en août 2017, il n’y avait qu’un seul comité « historique » de LaREM dans la ville. Une scission est alors intervenue après deux mois de conflits verbaux violents entre divers participants majoritairement masculins, peu nombreux cependant. Le comité un a continué à rassembler des affiliés de la société civile et le comité deux plutôt des politiciens traditionnels du PS, du MoDem et de Puteaux En Mouvement, opposants endémiques au maire de la ville, par désirs aussi de postes de responsabilités municipales. Les deux principaux représentants de la décennie du MoDem et de Puteaux En Mouvement n’ont pas la dimension éthique attendue par notre démocratie : leurs failles sont critiquables. Deux exemples : celui d’une méconnaissance tragi-comique du droit pour l’un et d’un manquement lourd, rustaud, au respect d’autrui pour l’autre.</strong></span><br /><span style="font-size: 12pt;"><strong>Absente en juillet et août, j’ai eu la chance de ne pas assister à ce désastre politique. La séparation était une stupidité, parce que les deux comités étaient à 200 mètres de distance l’un de l’autre, l’un à la Coupole, l’autre au Longchamp et qu’ils ne respectaient pas le maillage territorial espéré des responsables nationaux. Les noms des deux sites concurrents sur Internet, Puteaux en marche et En marche Puteaux produisaient une information incohérente préjudiciable à l’harmonie souhaitable. La situation désagréable conduisait au retrait de citoyens civiques compétents. </strong></span><br /><span style="font-size: 12pt;"><strong>Malgré ce désordre et l’incapacité à s’entendre et à se respecter au sein d’un groupe restreint, les animateurs et certains membres de l’exécutif du comité deux continuaient à prôner la bienveillance, le renforcement du lien social, la transparence et la démocratie ! </strong></span><br /><span style="font-size: 12pt;"><strong>J’ai joint, par deux courriers recommandés et par une visite rue Sainte-Anne à Paris, des autorités nationales de LaREM pour demander une réunion de conciliation entre les deux comités. Je pense avoir été la seule à le faire et à en posséder, bien sûr, les justificatifs. Lors de la réunion de conciliation pourtant l’animateur du comité deux m’a accusée d’être à l’origine du refus de conciliation : ceci à partir du processus politique parfaitement exposé par Jean-François Kahn de l’inversion tactique entre le coupable et l’innocent. Un mensonge classique.</strong></span><br /><span style="font-size: 12pt;"><strong>Lors de cette réunion de conciliation, il y avait huit présents, trois de chaque comité et deux représentants de LaREM du 92. L’animateur du comité un avait démissionné le matin même refusant définitivement toute rencontre avec les responsables du comité deux, à partir d’une amertume légitime et d’un dégoût personnel, mots forts mais porteurs de sens. Les propos « des comités opposés » sont restés aux antipodes. Les deux représentants extérieurs n’ont pas su, pas pu ou pas voulu entrer dans cette quadrature de cercle. En conclusion, le comité un a mis fin à son existence « officielle », ses membres restent cependant inscrits à LaREM et liés entre eux dans une autre structure inventive vigilante, extérieure à la cordée hiérarchique macroniste mais non sans liens.</strong></span><br /><span style="font-size: 12pt;"><strong>Le comité deux reste pour l’instant illégitime. Certes chacun est libre de créer son comité mais doit recevoir l’accord des autorités nationales. Or, l’accord aurait été donné par un membre sans nom, sans statut connu, dans un QG obscur sans lieu géographique précisé. Accepter cette situation serait se soumettre à un procédé secret, redoutable et surtout anti-démocratique. La question reste posée.</strong></span><br /><span style="font-size: 12pt;"><strong>Un tract du comité deux lors de la réunion est un exemple caricatural qui bafoue le nouvel idéal de LaREM : faire de la politique autrement. L’animateur local, celui qui a initié la rupture, se donne pour rôle de faire adhérer le maximum de personnes et de fédérer les équipes...</strong></span><br /><span style="font-size: 12pt;"><strong>Annie Keszey </strong></span></p>
Atelier des Idéeshttp://www.rupture-et-metamorphose.org/about.htmlRéunion de conciliation des deux comités de LaREM de Puteaux.tag:www.rupture-et-metamorphose.org,2017-11-30:60042622017-11-30T17:52:44+01:002017-11-30T17:52:44+01:00 27/11/2017. 20 h30, à la Coupole. Un avis. En 2016, avant...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><strong>27/11/2017. 20 h30, à la Coupole.</strong></span><br /><span style="font-size: 14pt;"><strong>Un avis.</strong></span><br /><span style="font-size: 14pt;"><strong>En 2016, avant l’élection présidentielle et jusqu’en août 2017, il n’y avait qu’un seul comité « historique » de LaREM dans la ville. Une scission est alors intervenue après deux mois de conflits verbaux violents entre divers participants majoritairement masculins, peu nombreux cependant. Le comité un a continué à rassembler des affiliés de la société civile et le comité deux plutôt des politiciens traditionnels du PS, du MoDem et de Puteaux En Mouvement, opposants endémiques au maire de la ville, par désirs aussi de postes de responsabilités municipales. Les deux principaux représentants de la décennie du MoDem et de Puteaux En Mouvement n’ont pas la dimension éthique attendue par notre démocratie : leurs failles sont critiquables. Deux exemples : celui d’une méconnaissance tragi-comique du droit pour l’un et d’un manquement lourd, rustaud, au respect d’autrui pour l’autre.</strong></span><br /><span style="font-size: 14pt;"><strong>Absente en juillet et août, j’ai eu la chance de ne pas assister à ce désastre politique. La séparation était une stupidité, parce que les deux comités étaient à 200 mètres de distance l’un de l’autre, l’un à la Coupole, l’autre au Longchamp et qu’ils ne respectaient pas le maillage territorial espéré des responsables nationaux. Les noms des deux sites concurrents sur Internet, Puteaux en marche et En marche Puteaux produisaient une information incohérente préjudiciable à l’harmonie souhaitable. La situation désagréable conduisait au retrait de citoyens civiques compétents. </strong></span><br /><span style="font-size: 14pt;"><strong>Malgré ce désordre et l’incapacité à s’entendre et à se respecter au sein d’un groupe restreint, les animateurs et certains membres de l’exécutif du comité deux continuaient à prôner la bienveillance, le renforcement du lien social, la transparence et la démocratie ! </strong></span><br /><span style="font-size: 14pt;"><strong>J’ai joint, par deux courriers recommandés et par une visite rue Sainte-Anne à Paris, des autorités nationales de LaREM pour demander une réunion de conciliation entre les deux comités. Je pense avoir été la seule à le faire et à en posséder, bien sûr, les justificatifs. Lors de la réunion de conciliation pourtant l’animateur du comité deux m’a accusée d’être à l’origine du refus de conciliation : ceci à partir du processus politique parfaitement exposé par Jean-François Kahn de l’inversion tactique entre le coupable et l’innocent. Un mensonge classique.</strong></span><br /><span style="font-size: 14pt;"><strong>Lors de cette réunion de conciliation, il y avait huit présents, trois de chaque comité et deux représentants de LaREM du 92. L’animateur du comité un avait démissionné le matin même refusant définitivement toute rencontre avec les responsables du comité deux, à partir d’une amertume légitime et d’un dégoût personnel, mots forts mais porteurs de sens. Les propos « des comités opposés » sont restés aux antipodes. Les deux représentants extérieurs n’ont pas su, pas pu ou pas voulu entrer dans cette quadrature de cercle. En conclusion, le comité un a mis fin à son existence « officielle », ses membres restent cependant inscrits à LaREM et liés entre eux dans une autre structure inventive vigilante, extérieure à la cordée hiérarchique macroniste mais non sans liens.</strong></span><br /><span style="font-size: 14pt;"><strong>Le comité deux reste pour l’instant illégitime. Certes chacun est libre de créer son comité mais doit recevoir l’accord des autorités nationales. Or, l’accord aurait été donné par un membre sans nom, sans statut connu, dans un QG obscur sans lieu géographique précisé. Accepter cette situation serait se soumettre à un procédé secret, redoutable et surtout anti-démocratique. La question reste posée.</strong></span><br /><span style="font-size: 14pt;"><strong>Un tract du comité deux lors de la réunion est un exemple caricatural qui bafoue le nouvel idéal de LaREM : faire de la politique autrement. L’animateur local, celui qui a initié la rupture, se donne pour rôle de faire adhérer le maximum de personnes et de fédérer les équipes...</strong></span><br /><span style="font-size: 14pt;"><strong>Annie Keszey </strong></span></p>
Atelier des Idéeshttp://www.notreputeaux.com/about.htmlRéunion de conciliation des deux comités de LaREM de Puteaux.tag:www.notreputeaux.com,2017-11-30:60042602017-11-30T17:44:00+01:002017-11-30T17:44:00+01:00 27/11/2017. 20 h30, à la Coupole. Un avis. En 2016, avant...
<p><span style="font-size: 14pt;"><strong>27/11/2017. </strong><strong>20 h30, à la Coupole.</strong></span><br /><span style="font-size: 14pt;"><strong>Un avis.</strong></span><br /><span style="font-size: 14pt;"><strong>En 2016, avant l’élection présidentielle et jusqu’en août 2017, il n’y avait qu’un seul comité « historique » de LaREM dans la ville. Une scission est alors intervenue après deux mois de conflits verbaux violents entre divers participants majoritairement masculins, peu nombreux cependant. Le comité un a continué à rassembler des affiliés de la société civile et le comité deux plutôt des politiciens traditionnels du PS, du MoDem et de Puteaux En Mouvement, opposants endémiques au maire de la ville, par désirs aussi de postes de responsabilités municipales. Les deux principaux représentants de la décennie du MoDem et de Puteaux En Mouvement n’ont pas la dimension éthique attendue par notre démocratie : leurs failles sont critiquables. Deux exemples : celui d’une méconnaissance tragi-comique du droit pour l’un et d’un manquement lourd, rustaud, au respect d’autrui pour l’autre.</strong></span><br /><span style="font-size: 14pt;"><strong>Absente en juillet et août, j’ai eu la chance de ne pas assister à ce désastre politique. La séparation était une stupidité, parce que les deux comités étaient à 200 mètres de distance l’un de l’autre, l’un à la Coupole, l’autre au Longchamp et qu’ils ne respectaient pas le maillage territorial espéré des responsables nationaux. Les noms des deux sites concurrents sur Internet, Puteaux en marche et En marche Puteaux produisaient une information incohérente préjudiciable à l’harmonie souhaitable. La situation désagréable conduisait au retrait de citoyens civiques compétents. </strong></span><br /><span style="font-size: 14pt;"><strong>Malgré ce désordre et l’incapacité à s’entendre et à se respecter au sein d’un groupe restreint, les animateurs et certains membres de l’exécutif du comité deux continuaient à prôner la bienveillance, le renforcement du lien social, la transparence et la démocratie ! </strong></span><br /><span style="font-size: 14pt;"><strong>J’ai joint, par deux courriers recommandés et par une visite rue Sainte-Anne à Paris, des autorités nationales de LaREM pour demander une réunion de conciliation entre les deux comités. Je pense avoir été la seule à le faire et à en posséder, bien sûr, les justificatifs. Lors de la réunion de conciliation pourtant l’animateur du comité deux m’a accusée d’être à l’origine du refus de conciliation : ceci à partir du processus politique parfaitement exposé par Jean-François Kahn de l’inversion tactique entre le coupable et l’innocent. Un mensonge classique.</strong></span><br /><span style="font-size: 14pt;"><strong>Lors de cette réunion de conciliation, il y avait huit présents, trois de chaque comité et deux représentants de LaREM du 92. L’animateur du comité un avait démissionné le matin même refusant définitivement toute rencontre avec les responsables du comité deux, à partir d’une amertume légitime et d’un dégoût personnel, mots forts mais porteurs de sens. Les propos « des comités opposés » sont restés aux antipodes. Les deux représentants extérieurs n’ont pas su, pas pu ou pas voulu entrer dans cette quadrature de cercle. En conclusion, le comité un a mis fin à son existence « officielle », ses membres restent cependant inscrits à LaREM et liés entre eux dans une autre structure inventive vigilante, extérieure à la cordée hiérarchique macroniste mais non sans liens.</strong></span><br /><span style="font-size: 14pt;"><strong>Le comité deux reste pour l’instant illégitime. Certes chacun est libre de créer son comité mais doit recevoir l’accord des autorités nationales. Or, l’accord aurait été donné par un membre sans nom, sans statut connu, dans un QG obscur sans lieu géographique précisé. Accepter cette situation serait se soumettre à un procédé secret, redoutable et surtout anti-démocratique. La question reste posée.</strong></span><br /><span style="font-size: 14pt;"><strong>Un tract du comité deux lors de la réunion est un exemple caricatural qui bafoue le nouvel idéal de LaREM : faire de la politique autrement. L’animateur local, celui qui a initié la rupture, se donne pour rôle de faire adhérer le maximum de personnes et de fédérer les équipes...</strong></span><br /><span style="font-size: 10pt;"><strong><span style="font-size: 14pt;">Annie Keszey</span> </strong></span></p>
Ferrierhttp://thomasferrier.hautetfort.com/about.htmlLe Front National pris dans une aporie insoluble. Constat d'une faillite programmée.tag:thomasferrier.hautetfort.com,2017-08-27:59742252017-08-27T15:23:00+02:002017-08-27T15:23:00+02:00 Si le FN a dédiabolisé son discours, en renonçant en réalité à tout ce...
<p style="text-align: justify;"><img src="http://thomasferrier.hautetfort.com/media/02/02/1620049121.png" alt="http://thomasferrier.hautetfort.com/media/02/02/1620049121.png" /></p><p style="text-align: justify;"><img id="media-5677768" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://thomasferrier.hautetfort.com/media/01/02/519967369.png" alt="Front National,Marine Le Pen,échec" />Si le FN a dédiabolisé son discours, en renonçant en réalité à tout ce qui en faisait la sève, l’édulcorant au point de le rendre semblable à celui de tous les autres partis, il n’a pas démocratisé son mode de fonctionnement interne. Le président du parti, qui est toujours un Le Pen, est indéboulonnable et ne cède sa place que quand il le décide. Il est donc décrété candidat naturel du parti ad vitam aeternam, et en ce sens la présidence de « Marine » est conforme à la présidence de « Jean-Marie ».<br /><br />La campagne de 2017 a révélé un double échec : échec personnel de Marine Le Pen qui n’a pas été élue présidente, même si elle a été élue député, sans groupe, dans la meilleure circonscription de France pour son parti ; échec de la stratégie politique du Front National, avec ses thèmes souverainistes, à l’instar de l’abandon de l’euro. Aux législatives, le FN a dû se contenter d’un petit 13,2%, loin des 27% obtenus aux élections européennes de 2014. Aux présidentielles, le FN a obtenu 21,3% des voix, soit à peine un point de plus que François Fillon, et 33,9% au second tour. Ce dernier résultat, s’il atteint un record, est néanmoins très inférieur à ce que le parti pouvait espérer.<br /><br />Contrairement à 2002, le second tour a eu lieu d’une manière classique, le moment clé étant le débat entre les deux finalistes. Emmanuel Macron ne se déroba pas à l’affrontement, même si tactiquement il laissa filtrer la fausse information selon laquelle il quitterait le débat si Marine Le Pen l’y poussait. Les « stratèges » de Marine Le Pen tombèrent dans le piège en la poussant à un discours de rupture et de provocation.<br /><br />Marine Le Pen n’a pas seulement perdu l’élection et le débat. Dans ce débat, elle a révélé son vrai niveau de compétence ou d’incompétence, selon le fameux principe de Peter. Très bonne candidate quand on lui oppose des anathèmes sans fondement, elle devient médiocre lorsqu’elle est amenée à exposer ce qui lui sert de programme. Elle est parue confuse, déconnectée des enjeux, attaquant son adversaire sur le terrain où celui-ci est le plus fort. Épuisée par une campagne mais aussi par des choix stratégiques absurdes, comme sa visite la veille du débat à un collectif africain où elle a promis 15 milliards d’euros par an pour l’Afrique, alors qu’elle ne cessait de vitupérer contre les 9 milliards d’euros versés chaque année à l’Union Européenne, elle n’avait manifestement pas le niveau. Enfin, ses quelques pas de danse à la fin d’une soirée d’échec électoral, créant une désespérance profonde auprès de ses électeurs, sympathisants et militants, ont accentué le désaveu.<br /><br />On peut se remettre d’une contre-performance électorale mais pas d’un débat de second tour vu par des millions de Français, dont ses électeurs, où elle a révélé son vrai visage. Car nombreux étaient ceux qui depuis de nombreuses années connaissaient la réalité derrière le masque. Les bons résultats électoraux de ces dernières années avaient envoyé un message trompeur.<br /><br />La stratégie a été mise en cause et à juste titre, mais changer de stratégie n’est pas aussi simple. Le débat sur l’euro a été mis sous le boisseau, même si Florian Philippot y revient sans cesse, mais le parti reste officiellement opposé à la monnaie unique. Le choix est désormais de ne plus en parler et d’axer le propos sur le rétablissement des frontières nationales. C’est inaudible. Les thèmes identitaires, mis en avant par Bay, et les thèmes souverainistes, mis en avant par Philippot, sont irréconciliables.<br /><br />Une stratégie est également incarnée. Marine Le Pen a tellement mis en avant une ligne souverainiste qu’il lui est impossible d’y renoncer. Si changement de ligne le FN doit adopter, ce qui ne passe pas nécessairement par un changement de nom, relevant d’une logique cosmétique, il faut un changement de dirigeant, de candidat. Or c’est impossible pour les raisons évoquées préalablement. Marine Le Pen est indéboulonnable, et personne ne s’opposera à elle lors du congrès de 2018, mais elle est gravement démonétisée, et même décrédibilisée par le débat du second tour. Même Florian Philippot reconnaissait, selon un propos rapporté par le Canard Enchaîné dont il niera ensuite la réalité, que Marine Le Pen « était décrédibilisée à jamais ».<br /><br />Robert Ménard, dans une tribune qui lui a valu les foudres de Florian Philippot, a clairement indiqué la nécessité d’un changement stratégique et d’un changement de direction, espérant l’émergence d’une personnalité nouvelle. Si une telle personne devait émerger, néanmoins, cela ne serait pas au Front National. A moins d’une démission surprise de Marine Le Pen, qui créerait automatiquement une scission en deux, le parti est promis à un déclin plus ou moins long. Or le FN empêche l’émergence d’une nouvelle personnalité, en son sein aussi bien qu’en dehors, car il est encore en position de monopole sur des thèmes identitaires que pourtant il réfute.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Thomas FERRIER (Le Parti des Européens)</strong></p>
Ferrierhttp://thomasferrier.hautetfort.com/about.htmlElections présidentielles françaises : un échec collectif.tag:thomasferrier.hautetfort.com,2017-04-25:59365322017-04-25T00:36:00+02:002017-04-25T00:36:00+02:00 A l’issue d’une campagne pénible, polluée par les interventions de la...
<p style="text-align: justify;"><img src="http://thomasferrier.hautetfort.com/media/00/01/3571613594.png" alt="http://thomasferrier.hautetfort.com/media/00/01/3571613594.png" /></p><p style="text-align: justify;"><img id="media-5612245" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://thomasferrier.hautetfort.com/media/02/01/2007881197.PNG" alt="Sans titre.PNG" />A l’issue d’une campagne pénible, polluée par les interventions de la justice, où onze candidats, dont quatre étaient réduits au simple témoignage, se sont affrontés, le premier tour a abouti au duel Macron / Le Pen, celui-là même que tous les sondages indiquaient depuis plusieurs semaines, mais l’ordre prévu a été inversé. Aucun candidat, même les deux finalistes, ne peut s’estimer être sorti vraiment vainqueur de cette confrontation.<br /><br />Avec 24,01% des voix, Emmanuel Macron est sorti finalement en tête, en ayant bénéficié d’un report de voix favorable à la fois de la droite du PS, du centre et de la gauche de LR, mais aussi d’un soutien médiatique sans faille et de l’action des réseaux Hollande. Candidat créé artificiellement par le système politico-médiatique, sans assise populaire, n’ayant jamais été candidat à la moindre élection même locale, représentant par excellence de la bobocratie, il a su donner l’illusion d’être un homme neuf, libre de tout appareil politicien comme des fameuses « Primaires » qui ne survivront sans doute pas à 2017. En réalité, il a été soutenu par les plus démonétisés et « has been » de la classe politique française, de Robert Hue à Alain Madelin, et par tous les « philosophes » du conformisme le plus béat.<br /><br />Avec 21,3% des voix, Marine Le Pen réussit à accéder pour la première fois au second tour d’une élection présidentielle. Sa présence était prévue par tous les instituts de sondage depuis plus d’un an, mais en tête et plus près des 27% que des 20%. Or elle a bien failli être éliminée, François Fillon obtenant 20,01% des voix et Jean-Luc Mélenchon 19,58%. Les sondages montraient en effet cette dernière semaine un tassement des intentions de vote en faveur de Marine Le Pen. Les raisons de cette contre-performance sont multiples.<br /><br />Elle a été concurrencée sur le terrain du vote protestataire par Jean-Luc Mélenchon, sur le terrain de l’Europe, où Nicolas Dupont Aignan a proposé un souverainisme modéré, renonçant à tout départ de l’UE ou de tout abandon de l’euro, et enfin sur le terrain des valeurs conservatrices par François Fillon. Ce dernier a repris à droite ce qu’il a perdu au centre, mais de manière insuffisante. Son pari insensé, alors que l’affaire « Pénélope » l’avait plombé, a bien failli réussir. Il était néanmoins difficile de penser qu’il pourrait vaincre Macron. Certains ont ainsi proposé un vote stratégique, en cherchant à opposer Marine Le Pen et Fillon au second tour, garantissant ainsi l’élimination de la gauche et du candidat médiatique Macron.<br /><br />D’autres raisons ont pu amener à décourager certains électeurs en sachant que 80% de ceux-ci ont voté Marine Le Pen pour signifier leur opposition à l’immigration sous-entendue extra-européenne. Les prises de position en faveur d’une coopération avec l’Afrique, les aides annoncées aux DOM-TOM, message qui a été fort bien entendu par les domiens par ailleurs, sa modération sur l’islam, devenu compatible avec la république selon elle, auront déstabilisé certains électeurs. Elle aura aussi subi les effets pervers de la dédiabolisation, faisant apparaître Jean-Luc Mélenchon comme davantage contestataire du système en place qu’elle-même. Ses positions sur l’Union Européenne et l’euro ont maintenu entre elle et l’électorat de droite un cordon sanitaire naturel. <br /><br />La surprise est venue du vote des DOM en sa faveur. 23,5% à la Réunion, 27,3% à Mayotte (île à 99% bantoue et musulmane), 32,5% en Polynésie Française ou encore plus de 25% en Guyane. Une façon de marquer leur sentiment d’appartenance à la France ? Ou bien plutôt la marque des « vertus » de la démagogie socialisante sauce mariniste dans ces territoires ? A Paris, elle ne fait que 5% des voix, score lamentable, pour 12,6% en moyenne en Ile de France. L’ouest reste rétif (15,3% en Bretagne seulement), l’Est,le Nord et le sud-est sont forts. La Corse voit le FN atteindre presque 28% des voix, les nationalistes n’hésitant pas à la soutenir au niveau national alors qu’ils la rejettent au niveau régional.<br /><br />Fillon échoue de peu, n’ayant néanmoins jamais réussi à remonter la pente. Mélenchon absorbe la gauche du PS sur une ligne plébéienne où il incarne un côté robespierrien, évoquant sa « patrie bien aimée » dans un étrange discours de défaite.<br /><br />Avec 6,36% des voix, le candidat du Parti Socialiste, Benoît Hamon, prend une correction dans les urnes. Pris en tenailles entre un Mélenchon qui pouvait espérer le second tour et un Macron rejoint par plusieurs ténors du PS, il était contraint à faire de la figuration. Le score du PS laisse augurer d'une future extinction.<br /><br />Nicolas Dupont-Aignan, avec 4,7% des voix, échoue de peu à voir sa campagne remboursée. Cette perte financière va certainement limiter ses ambitions qu’il annonçait immenses au moment des résultats. Il n’a pas apporté de soutien à Marine Le Pen dimanche soir. Il est douteux qu’il le fasse car cela signifierait un ralliement implicite, dans un contexte où la dédiabolisation du FN a échoué, même si l’anti-fascisme de bazar semble adouci par rapport à 2002, car aucun dirigeant politique, aucune personnalité, n’a annoncé son soutien à la candidate du FN.<br /><br />Le sympathique quoique peu audible Lassalle sort premier des petits candidats avec 1.2% des voix. Les gauchistes Poutou (1,09%) et Arthaud (0,64%) montrent la réalité électorale de leur activisme de rue, à savoir qu’ils ne représentent personne. Avec 0,92% des voix, Asselineau réalise une performance pour quelqu’un de parfaitement inconnu du plus grand nombre en dehors des réseaux sociaux, même si son score reste très modeste. L’européiste identitaire que je suis ne va pas pleurer sur son sort. Cheminade, n’ayant obtenu que 0,18% des voix seulement, la colonisation de Mars prend du plomb dans l’aile.</p><p style="text-align: justify;">Au second tour, Marine Le Pen peut espérer un report favorable des électeurs de Dupont-Aignan, d'au moins la moitié des électeurs de François Fillon du premier tour, d'une petite part de mélenchonistes. Elle devrait pouvoir dans un contexte gauche/droite réunir 40% des voix, si comme tout le laisse penser, beaucoup de gens de gauche répugnent à voter pour Macron et restent chez eux. Ses chances réelles de victoire sont néanmoins très faibles.</p><p style="text-align: justify;">Enfin un troisième tour, avec les élections législatives, peut laisser espérer à la droite classique de prendre sa revanche. Il est douteux que le mouvement "En marche", très composite et sans colonne vertébrale, puisse réunir autour de lui une majorité, à moins d'une "grande coalition" très hypothétique au centre.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Thomas Ferrier (Le Parti des Européens)</strong></p>
Littérature de partouthttp://litteraturedepartout.hautetfort.com/about.htmlSamuel Beckett, Lettres, III, 1957-1965tag:litteraturedepartout.hautetfort.com,2017-01-28:59030972017-01-28T05:00:00+01:002017-01-28T05:00:00+01:00 ...
<p> </p><p><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p style="text-align: center;"> <img id="media-5552908" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://litteraturedepartout.hautetfort.com/media/00/02/1304234012.jpg" alt="arton918.jpg" /></p><p style="padding-left: 210px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">A Matti Megged, 21.11.60 </span></p><p style="padding-left: 210px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p style="padding-left: 210px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;">(…) Votre point de vue semble être que ce que vous ne pouvez vivre vous devriez au moins être capable de l’énoncer — et ensuite vous vous plaignez de ce que votre énoncé a dévitalisé son objet. Mais le matériau de l’expérience n’est pas le matériau de l’expression et je pense que le malaise que vous ressentez, en tant qu’écrivain, vient d’une tendance de votre part à assimiler les deux. La question a été en gros soulevée par Proust dans sa campagne contre le naturalisme, et la distinction qu’il opère entre le « réel » de la condition humaine et le « réel idéal » de l’artiste reste certainement valable pour moi et aurait même grand besoin d’être ranimée. Je comprends — je crois mieux que personne — la fuite de l’expérience vers l’expression et je comprends l’échec de nécessaire de l’un et de l’autre. Mais c’est la fuite d’un ordre ou désordre vers un ordre ou désordre d’une nature différente, et les deux échecs sont d’une nature foncièrement différente. Ainsi la vie dans l’échec ne peut-elle guère être autre chose que sinistre dans le meilleur des cas, tandis qu’il n’est rien de plus stimulant pour l’écrivain, ou plus riche en possibilités expressives inexploitées, que l’incapacité d’exprimer.</span></p><p style="padding-left: 210px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p style="padding-left: 210px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">Samuel Beckett, <em>Lettres, III, 1957-1965</em>, Gallimard, 2016, p. 461.</span></p>
Atelier des Idéeshttp://www.atelier-idees.org/about.htmlUne évaluation d'un président de la République française : Nicolas Sarkozy.tag:www.atelier-idees.org,2016-10-21:58638602016-10-21T18:11:00+02:002016-10-21T18:11:00+02:00 Sources : Henri Guaino, « En finir avec l’économie du...
<p><strong><font>Sources </font></strong><font>: Henri Guaino, « En finir avec l’économie du sacrifice».- </font><font> </font><font>François Lenglet, « Tant pis ! Nos enfants paieront ». Thomas Piketty*, « Aux urnes citoyens ! ».- Le Laboratoire interdisciplinaire d’évaluation des politiques publiques (Liepp) de Sciences-Po- Le CNRS** - Biskeo -</font><font> </font><font>Yves Surel, Jacques Maillard, « Les politiques publiques sous Sarkozy », presse de Sciences-Po. - </font><span style="color: #800000;"><a style="color: #800000;" href="http://www.perdre-la-raison.com/"><font>www.perdre-la-raison.com</font></a></span><font><span style="color: #800000;">** – Carole Barjon, « Mais qui sont les assassins de l’Ecole ? ».-</span></font><font> </font><font>Terra Nova et Donald Hébert dans le Nouvel Observateur.- Dominique Paillé sur le site d’Atlantico. L’INSEE. Challenges avec Stéphane Carcillo et Yann Algan de Sciences Po, André Zylbergerg du CNRS et Pierre Cahuc de polytechnique**. Transparence internationale France***.</font></p><p><font>Aucun auteur n’a de responsabilité dans l’évaluation suivante, mais ils sont tous remerciés. Un organisme expert et indépendant devrait systématiquement informer </font><em><font>le peuple </font></em><font>des bilans présidentiels et des projets : la raison critique de l’électeur dialoguerait avec son idéologie.</font></p><p><strong><font>Nicolas Sarkozy</font></strong><font>. Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa, dit Nicolas Sarkozy, fils d’un immigré hongrois, avocat, est élu président de la République, face à Ségolène Royal, le 6 mai 2007 avec 53,6 % des suffrages. Il exerce son mandat du 16 mai 2007 au 15 mai 2012. Il a appartenu aux mouvement et partis successifs suivants : UJP-UDR-RPR-UMP et LR. En 2007 a lieu la crise des </font><em><font>subprime</font></em><font>s aux Etats-Unis et, en 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers. Cette crise majeure atteint et frappe l’Europe qui entre en récession aiguë. Le bilan de certains mandats précédents, de plus, est lourd. </font></p><p><font>Mais pour gouverner, il faut aussi savoir prévoir.</font></p><p><font>L’évaluation suivante est celle des principaux résultats, sans recenser toutes les transformations du mandat. A partir de sources différentes, pourtant sérieuses, il est parfois difficile de trouver </font><strong><font>la vérité.</font></strong><font> Les mesures jugées positives par une majorité d’analystes sont inscrites en rouge foncé.</font></p><p><strong><font>Synthèse. </font></strong><font>Nicolas Sarkozy fut un président omniprésent, au style volontariste, nerveux, souvent affabulateur* qui n’a pas su concrétiser les</font><font> </font><font>principaux engagements** de sa campagne électorale. </font></p><p><font>Il investit sa sensibilité excessive dans une activité démesurée. Son tempérament, son comportement lui nuisent. D’abord populaire, il perd peu à peu</font><font> </font><font>l’attachement de nombreux français à cause de son tempérament</font><font> </font><font>dit « bling-bling », après le dîner au Fouquet’s pour fêter son élection, suivi d’un séjour sur le yacht de Vincent Bolloré*, </font><span style="color: #c00000;"><font>ce qu’il regrettera en 2016</font></span><font>. L’usage occasionnel du registre de langue relâché, par exemple « </font><em><font>Casse-toi, pauv’con </font></em><font>» heurte le statut digne attendu d’un président de la République. Le recours constant aux medias a</font><font> </font><font>un effet de saturation : 20 % seulement des Français ont confiance en leur président en 2011.</font><font> </font><font>Son hyper présidentialisme a renvoyé son premier ministre </font><font> </font><font>au rang de </font><em><font>collaborateur</font></em><font>.</font><font> </font><font> </font><font>Il n’y a pas eu la </font><font> </font><strong><font>rupture promise</font></strong><font> dans l’organisation française.</font></p><p><strong><font>Le socle corporatiste et clientéliste du fonctionnement de l’Etat n’a pas varié. </font></strong></p><p><strong><font>Quelques réformes ont réussi mais la plupart ont échoué ou sont inabouties, d’autres ont été annulées après leur annonce : </font></strong><font>par exemple la taxe sur les nuits d’hôtels les plus chers a vécu 10 jours... Son bilan économique est calamiteux, l’appareil productif en 2012 est en piteux </font><font> </font><font>état, la formation, l’investissement et l’innovation ont été délaissés et on a assisté à une gabegie sans précédent de l’argent public au bénéfice des patrimoines.* Il a</font><font> </font><font>certes subi de fortes oppositions à ses ambitions venant de certains de ses ministres, de l’Assemblée nationale, du Parlement qui ont détourné la plupart des textes de leurs buts, </font><strong><font>des lobbys</font></strong><font>, des instances européennes, des syndicats qu’il n’a pas rénovés et du peuple. Les </font><strong><font>lobbys</font></strong><font>, par exemple, ont torpillé la réforme des taxis, celle de l’installation des médecins en zone rurale... Son absence de vision politique française et européenne claire et cohérente, ne lui a pas permis de juguler la crise. La politique d’austérité européenne, inadaptée, a fait obstacle à la croissance. </font><font> </font><font>La logique d’intérêt a plus souvent parlé que celle des droits de l’homme. Il avait promis, à Epinal en juillet 2007, une République irréprochable, mais dès le début du quinquennat il augmentait son salaire présidentiel de</font><font> </font><font>172 %, une des prémices inquiétantes. </font></p><p><strong><font>Son mandat est un échec. L’excellence attendue au sommet n’est pas au rendez-vous. </font><font> </font><font>A la fin de son mandat, la pauvreté, les inégalités sociales, le chômage, la dette publique, la fiscalité et la dépense publique avaient augmenté, la croissance, le pouvoir d’achat, les fonds pour le logement, les fonds généraux pour la recherche, la Justice et l’Education avaient diminué. Il n’a pas su proposer la transformation des institutions européennes, ni créer les conditions politiques, certes complexes, d’un fonctionnement réussi de la monnaie unique. Les débats permanents, </font><em><font>cafouilleu</font></em><font>x et sans issues sur les thèmes, identité-intégration-laïcité-multiculturalisme, ont piétiné. </font></strong></p><p><strong><font>L’emploi. </font><font> </font></strong><font>Le 6 mai 2007 Nicolas Sarkozy promet le plein emploi, il va se battre. </font><span style="color: #c00000;"><font>En janvier 2009, Pôle emploi est créé</font><font> </font><font>par la fusion</font><font> </font><em><font>UNEDIC-ASSEDIC</font></em><font>. Les projets de recrutement en main- d’œuvre recensés par l’enquête des besoins en main- d’œuvre de Pôle emploi sont en augmentation de 6,1 %. </font></span><font>En 2011, ces projets sont en recul de 6 %, avec une augmentation des projets à caractère saisonnier.</font></p><p><font>Sur 45 000 salariés de Pôle emploi, à peine 13 000 s’occupent directement des chômeurs. Rien n’a été fait pour la formation professionnelle des adultes, opaque, inefficace et inégalitaire. Le droit du travail n’a pas évolué, le contrat unique promis n’a pas existé. </font></p><p><strong><font> </font><font>L</font></strong><font>a loi de 2007 sur la défiscalisation des heures supplémentaires encapsulée dans la loi TEPA en faveur du travail, de l’emploi et du pouvoir d’achat aboutira cinq ans plus tard à la destruction de 30 000 emplois avec un coût record de 133 000 € par </font><em><font>job </font></em><font>! La loi TEPA est très controversée pour un coût énorme</font><font> </font><font>par an. La défiscalisation des heures supplémentaires est abandonnée le 18/07/2012. </font></p><p><font>Fin 2012 et depuis 2007, il y a un million de chômeurs supplémentaires selon la source DARES, 450 000 selon l’INSEE : le taux est passé de 8,1 % en 2007, à 10 % en 2012. Retrouver un emploi est une épreuve. 57 % des nouveaux emplois</font><font> </font><font>entre 2008 et 2012 le sont dans quatre métropoles seulement. La France périphérique est à la peine. </font></p><p><font> </font><font>Aucun emploi marchand n’a été créé. Le nombre de jours de grève </font><font> </font><font>a augmenté depuis 2007.</font></p><p><span style="color: #c00000;"><font>En octobre 2010, les retraites sont réformées, l’âge du départ passe, en général, de 60 ans à 62 ans.</font></span> <font>Mais, par peur ou par calcul, la réforme n’a pas la profondeur nécessaire et il faudra la transformer ultérieurement en analysant son coût, les nombreux régimes spéciaux et les inégalités... La réforme favorise les retraités du moment au détriment des retraités à venir.</font></p><p><font>Les jeunes sont frappés par l’insuffisance de formation pour 120 000 d’entre eux chaque année et par le chômage. </font><span style="color: #c00000;"><font>En septembre 2009 Nicolas Sarkozy prend des mesures pour les jeunes et engage 500 millions d’euros par an</font></span><font>. Mais il n’y a pas de mesures assez fortes sur les ressources, le logement et l’emploi des jeunes.</font></p><p><strong><font>Les pauvres, les riches. </font></strong><font>Nicolas Sarkozy veut être le président de l’augmentation du pouvoir d’achat au Congrès de l’UMP en janvier2007. 337 000 personnes supplémentaires passent sous le seuil de pauvreté : 954 €/mois (en 2009). Il y a 8,2 millions de pauvres en fin de mandat.</font></p><p><font>En 2012, 10 % des employés les plus riches touchent 665 % du salaire des 10 % les plus pauvres.</font></p><p><strong><font> </font></strong><font>L’indemnité parlementaire </font><font> </font><font>mensuelle est de 7 100 € en 2012 soumise à l’impôt et l’indemnité représentative de frais de mandat de 6 400 €/mois, non contrôlée, non imposable. Après vingt ans de cotisations les députés touchent une retraite à taux plein.</font></p><p><span style="color: #c00000;"><font>Le RSA, moyen de combiner protection sociale et réhabilitation de la valeur travail, est institué le 1/12/2008 </font></span><font>mais il ne va pas avoir l’efficacité attendue. 470 000 sur 1 870 000 titulaires du RSA, seulement, combinent cette aide sociale avec les revenus d’un travail. 49 % des personnes qui y ont droit ne le réclament pas tant le dispositif est illisible.</font></p><p><strong><font>La dette</font></strong><font>. Nicolas Sarkozy, dans </font><em><font>Le Parisien</font></em><font>, en mars 2007, s’engage à ramener la dette en dessous de 60 % du PIB d’ici 2012 : elle est alors de 64 % du PIB. Elle sera de 85 % du PIB en 2012. Les économistes s’accordent pour attribuer à la crise le tiers de cette augmentation de 21% du PIB. En fin de mandat la dette est passée de 900 milliards d’euros à 1 800 milliards d’euros***.</font></p><p><font>Augmentation de la dette publique en pourcentage du produit intérieur brut (PIB) : Mitterrand + 16 %, Balladur/Chirac + 18 %, Jospin – 1 %, Chirac + 7 %, Sarkozy + 21%.</font></p><p><font>Le déficit de la balance du commerce extérieur est de – 51, 53</font><font> </font><font>milliards d’euros en </font><font> </font><font>2010 et de – 69, 59 milliards d’euros en 2011.</font></p><p><strong><font>L’éducation. </font></strong><font>L’Ecole dite de </font><em><font>l’égalité des chances </font></em><font>devient plus inégalitaire</font><span style="color: #c00000;"><font>. </font></span><font>La dégradation de l’Ecole est un des principaux points noirs du quinquennat. </font><span style="color: #c00000;"><font>En août 2007, la loi relative aux libertés et responsabilités des universités est approuvée. En janvier 2011, 90 % des universités ont opté pour la gestion autonome.</font></span> <font>En 2012, on arrive péniblement à une dépense de 10 000 € par étudiant, alors que les Etats-Unis dépassent les 30 000 €. Or, il y a une nécessité impérieuse de faire le choix du capital humain (plutôt que de diminuer l’ISF ou les droits de succession).* Seule une minorité </font></p><p><font>d’étudiants, dans des filières sélectives des grandes écoles, bénéficie des moyens adéquats. Plusieurs universités, en difficultés financières, ont été mises sous tutelle.</font></p><p><font> </font><span style="color: #c00000;"><font>La formation initiale des enseignants est portée à Bac+ 5, </font></span><font>bonne initiative, mais sans formation à la gestion des groupes ni à la pédagogie. Les jeunes enseignants étant nommés dans les Zones d’Education prioritaires (ZEP) n’y restent pas. Les ZEP échouent. La liberté de choix de l’établissement, engagée, n’a pas abouti. L’évaluation des collèges n’a pas été instaurée et les choix reposaient sur des rumeurs. L’inégalité sociale entre les collèges s’est cependant amplifiée.</font></p><p><font>65 400 postes d’enseignants ont été supprimés entre 2007 et 2012. Les effectifs d’élèves, de tous âges, ont augmenté, sauf </font><em><font>une perte</font></em><font> de 150 000 enfants de moins de 3 ans restant à la maison.</font></p><p><font>Nicolas Sarkozy braque le monde enseignant</font><font> </font><font>en s’interrogeant sur l’importance d’avoir lu</font><em><font> la Princesse de Clèves </font></em><font>pour passer un concours administratif ou sur la médiocrité de la recherche française, le 22/01/2009. Il dénigre le savoir classique et dévalorise la figure de l’enseignant.</font></p><p><strong><font>La sécurité</font></strong><font>. 6 251 postes de policiers</font><font> </font><font>et 6 218 postes de gendarmes</font><font> </font><font>ont été supprimés pendant ce mandat. La loi de programmation militaire de 2009 a prévu la suppression de 54 000 postes jusqu’en 2015. Pour changer la police l’ambition est faible : les forces opérationnelles sont coupées de leur environnement local</font><span style="color: #c00000;"><font>... La délinquance des jeunes diminue</font></span><font> mais les violences contre les personnes augmentent, ainsi que le trafic de drogue et la consommation. 47 000 personnes sont emprisonnées en 2001, 66 000 en 2010. L’impensé de la situation des prisons perdure.</font></p><p><strong><font>La laïcité.</font></strong><font> Le 20/12/2007, Nicolas Sarkozy obtient le titre (anachronique) de chanoine honoraire de Saint-Jean de Latran et se prononce pour une « laïcité positive », plus souple donc </font><span style="color: #002060;"><font>! </font></span><font>Il hiérarchise la morale religieuse au-dessus de la morale laïque. Dans la transmission des valeurs </font><em><font>et dans l’apprentissage de la différence entre le bien et le mal, l’instituteur ne pourra jamais remplacer </font></em><font>le </font><em><font>curé ou le pasteur</font></em><font>...dit-il.</font></p><p><span style="color: #c00000;"><font>Créateur en 2003, du Conseil français du culte musulman</font></span><font>, qui ne réussira pas « l’islam de France</font></p><p><font>autonome </font><font> </font><font>quant aux pays d’origine », il aura, avant son élection, des relations</font><font> </font><font>de « lune de miel » avec l’Union des organisations islamiques de France, l’UOIF. A partir de 2005, le désintérêt, la rancœur et le « trouble jeu » s’emparent de Nicolas Sarkozy qui entre dans des relations tumultueuses avec l’UOIF. </font></p><p><span style="color: #c00000;"><font>En 2010, la loi interdisant le voile intégral dans l’espace public est approuvée</font></span><font>.</font></p><p><font>La discrimination dont sont victimes les travailleurs étrangers n’a pas été prise en compte par l’Etat.</font></p><p><strong><font>La réforme de l’Etat</font></strong><font>. La RGPP, Révision générale des politiques publiques de 2007 n’est qu’un processus favorisant, d’un côté, une pression à la baisse sur les moyens et, de l’autre, des moyens plus ou moins standardisés de réorganisation. La masse salariale a continué d’augmenter. Le résultat est confus du fait des dispositifs empilés et de la profusion des labels. Les nouvelles lois sont </font><font> </font><font>très nombreuses avec des textes de plus en plus imposants malgré la décision de simplification.</font></p><p><font>La réforme constitutionnelle de 2008 n’apporte que des changements très limités, très inférieurs aux attentes. </font><span style="color: #c00000;"><font>Les libertés du Parlement sont accrues et un socialiste, de l’opposition, est nommé président de la commission des Finances : Didier Migaud. La question prioritaire de constitutionnalité est pertinente. Le statut de l’auto-entrepreneur, la création de l’autorité de la concurrence et les soutiens aux PME (suppression de la taxe professionnelle, réduction des délais de paiement, banque...) semblent aussi des mesures positives.</font></span></p><p><font>Le cumul des mandats n’a pas été supprimé pour les parlementaires. La TVA sociale approuvée en 2012 est supprimée par le président suivant en 2012 !</font></p><p><strong><font>Le logement</font></strong><font>. Nicolas Sarkozy, en 2007, souhaitait instaurer « une France de propriétaires » en se fixant le but de 70 %. En 2007, 57 % des Français étaient propriétaires, en 2011 : 57 % ! La subvention étatique pour construire un logement social ordinaire a diminué de 60 % entre 2009 et 2010. Les dispositifs Scellier et de Robien ont profité aux contribuables les plus aisés, mais le résultat global est désastreux, beaucoup de logements restant vides dans des zones sans demandes. Les prix de l’immobilier ont considérablement augmenté pendant le mandat.</font></p><p><font> </font></p><p><strong><font>La justice</font></strong><font>. Nicolas Sarkozy trahit l’obligation de respect de sa fonction en comparant les magistrats à </font><em><font>des petits pois sans saveur. </font></em><font> </font><font>Entre 2008 et 2010, 401 juridictions sont supprimées. La pénalisation s’accroit : la loi sur la récidive d’août 2007 et la loi Loppsi 2 de mars 2011 définissent les peines- </font><em><font>planchers</font></em><font> ou peines minimales pour personnes en situation de récidive ou auteurs de délits avec violences aggravées. Jugées inefficaces, injustes et susceptibles d’accroître les récidives par un rapport de magistrats, les peines minimales sont abrogées en juin 2014.</font><font> </font></p><p><font>La rétention de sûreté intervient en 2008, elle est approuvée par la procédure d’urgence du 49-3 et partiellement censurée par le Conseil </font><font> </font><font>constitutionnel. Elle est très peu appliquée, 5 cas en 7 ans, et fortement réprouvée par Adeline Hazan, contrôleuse des lieux de privation de liberté.</font></p><p><font>Un tribunal correctionnel pour mineurs récidivistes de 16 à 18 ans est créé. Il sera régulièrement contesté pour sa composition et parce qu’il constitue un abaissement déguisé de la majorité pénale à 16 ans. L’ONU critique sévèrement la France quant à sa conception des droits de l’enfant.</font></p><p><font>La Justice manque de moyens : son budget rapporté au PIB est 37</font><sup><font>ème</font></sup><font>/43, en Europe.</font></p><p><strong><font>L’identité. </font><font> </font><font>L’immigration. </font></strong><font>Nicolas Sarkozy, ministre, avait fermé le centre pour migrants de Sangatte en 2002. Le ministre Eric Besson avait démantelé le nouveau camp en 2009...</font></p><p><font>Le 18/05/2007 est créé le ministère de l’Immigration, de l’Intégration, de l’identité nationale et du Codéveloppement. Supprimé le 13/11/2010, il n’a cessé d’être critiqué par des associations, des chercheurs, des universitaires, l’ONU, à partir d’interventions publiques et de pétitions. Le philosophe Michel Wieviorka le déclare « catastrophe intellectuelle et politique pour l’image générale de la France ». </font><span style="color: #002060;"><font>Moins ostensiblement répressive, sans apparences racistes, une assemblée démocratique se substituant au ministre aurait pu positiver un essai préventif.</font></span></p><p><span style="color: #c00000;"><font>La loi du 20/11/2007 pour limiter l’immigration clandestine est approuvée </font><font> </font><font>et le Conseil constitutionnel censure l’autorisation d’effectuer des statistiques ethniques. </font></span></p><p><font>L’expulsion des Roms en 2010 fait débat.</font></p><p><font>Les réformes de l’immigration restent inachevées. Moins de 10 accords bilatéraux sont signés avec plusieurs pays sur </font><em><font>l’immigration choisie</font></em><font>, mais peu utilisés. Les quotas ne seront pas respectés. Les Tunisiens de la « </font><em><font>Révolution du Jasmin » </font></em><font>sont indésirables.</font></p><p><span style="color: #c00000;"><font>Les regroupements familiaux se sont maintenus. La proposition d’un député de faire des tests ADN pour prouver les liens familiaux</font><font> </font><font>a été rejetée.</font></span></p><p><strong><font>La croissance</font></strong><font>. Elle est atone. En 2007, la croissance du PIB</font><font> </font><font>est de 5 % en valeur et de 2,4 % en volume. En 2012, elle est de 1,3 % en valeur et de 0,2 % en volume, selon l’INSEE. </font></p><p><font>Entre 2007 et 2013, la richesse produite en France en euros courants a vu sa valeur progresser de 8 %. Pour la même période l’Allemag
Littérature de partouthttp://litteraturedepartout.hautetfort.com/about.htmlThomas Bernhard, Mes prix littérairestag:litteraturedepartout.hautetfort.com,2016-10-20:58626642016-10-20T05:00:00+02:002016-10-20T05:00:00+02:00 ...
<p style="text-align: center;"> <img id="media-5482517" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://litteraturedepartout.hautetfort.com/media/01/00/1367173700.jpg" alt="thomasbernhard.jpg" /></p><p style="padding-left: 180px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">Discours de la remise du prix d’État autrichien</span></p><p style="padding-left: 180px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p style="padding-left: 180px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;"> Il n’y a rien à célébrer, rien à condamner, rien à dénoncer, mais il y a beaucoup de choses dérisoires, tout est dérisoire quand on songe à la <em>mort</em>.</span></p><p style="padding-left: 180px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;"> On traverse l’existence affecté, inaffecté, on entre en scène et on la quitte, tout est interchangeable, plus ou moins bien rodé au grand magasin d’accessoires qu’est l’État : erreur ! ce qu’on voit : un peuple qui ne se doute de rien, un beau pays — des pères morts consciencieusement dénués de con science, des gens dans la simplicité et la bassesse, la pauvreté de leurs besoins… Rien que des antécédents hautement philosophiques, et insupportables. Les époques sont insanes, le démoniaque en nous est un éternel cachot patriotique au fond duquel la bêtise et la brutalité sont devenues les éléments de notre détresse quotidienne. L’État est une structure condamnée à l’échec permanent, le peuple une structure perpétuellement condamnée à l’infamie et à l’indigence d’esprit. La vie est désespérance, à laquelle s’adossent les philosophies, mais qui en fin de compte condamne tout à la folie.</span></p><p style="padding-left: 180px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p style="padding-left: 180px;"><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">Thomas Bernhard, <em>Mes prix littéraires</em>, 2010, p. 142-143.</span></p>
Ghttp://yoga.hautetfort.com/about.htmlLe Yoga, c'est aussi ça...tag:yoga.hautetfort.com,2016-05-29:58077572016-05-29T16:54:00+02:002016-05-29T16:54:00+02:00 Les poètes font grand cas de la mort et des afflictions extérieures, mais...
<p>Les poètes font grand cas de la mort et des afflictions extérieures,<br />mais les seules tragédies sont les échecs de l'âme, et la seule épopée,<br />l'ascension triomphante de l'homme vers la divinité.<br /><br />Sri Aurobindo</p>
AMDhttp://www.lioneltardy.org/about.htmlQuestion à la Ministre du Travail sur l'échec des contrats de générationtag:www.lioneltardy.org,2016-02-18:57617032016-02-18T13:21:00+01:002016-02-18T13:21:00+01:00 Dans le cadre de la séance de questions sur la politique de l'emploi,...
<p style="text-align: justify;">Dans le cadre de la séance de questions sur la politique de l'emploi, mercredi soir, j'ai interpellé Myriam El-Khomri sur les contrats de génération.</p><p style="text-align: justify;">Dans son dernier rapport, la Cour des Comptes parle d'un "échec" (à 480 millions d'euros par an) et recommande d'abandonner le dispositif... recommandation que le gouvernement ne compte visiblement pas suivre.</p><p style="text-align: center;"><span style="color: #ff0000;">Ma Question à la Ministre du Travail :</span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #ff0000;"><iframe width="360" height="260" frameborder="0" src="//www.dailymotion.com/embed/video/x3svfoe" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe><br /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #ff0000;"><br />La réponse de Myriam El-Khomri :</span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #ff0000;"><iframe width="360" height="260" frameborder="0" src="//www.dailymotion.com/embed/video/x3svgjb" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe><br /></span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://www.lioneltardy.org/media/01/01/2321306539.jpg" target="_blank"><img id="media-5297098" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.lioneltardy.org/media/01/01/922095017.jpg" alt="contrats,génération,aidés,emploi,échec,travail,cour des comptes,el-khomri,question" /></a></p><p style="text-align: center;"><a href="http://www.lioneltardy.org/media/02/00/3353508401.jpg" target="_blank"><img id="media-5297475" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.lioneltardy.org/media/02/00/2610014644.jpg" alt="contrats,génération,aidés,emploi,échec,travail,cour des comptes,el-khomri,question" /></a></p>
Kralyhttp://lessongesdunenuit.hautetfort.com/about.htmlLa Pensée Positive... (14)tag:lessongesdunenuit.hautetfort.com,2016-02-09:57571892016-02-09T05:00:00+01:002016-02-09T05:00:00+01:00 Les individus qui jugent leurs échecs momentanés, ponctuels et dus à des...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #00ccff;"><img id="media-5288442" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://lessongesdunenuit.hautetfort.com/media/00/00/1915680420.49.jpeg" alt="optimiste,pensées positives,Nürnberger,circonstances,efforts,raisons,échec,livre,réflexion, comprendre,savoir,connaître" />Les individus qui jugent leurs échecs momentanés, ponctuels et dus à des circonstances extérieures font une nouvelle tentative sans s'inquiéter exagérément. Celui qui considère que ses succès sont permanents, durables, applicables à d'autres domaines et le résultat de ses propres talents, capacités ou efforts va voir son optimisme sans cesse confirmé. Autrement dit : les optimistes cherchent la raison de leur échec en dehors d'eux-mêmes ("L'examen était trop difficile") ou sont convaincus qu'il ne s'agit que d'un faux pas ponctuel et qu'ils pourront changer la situation la prochaine fois.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #ff0000;"><em><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">à suivre...</span></em></span></p>
Ghttp://yoga.hautetfort.com/about.htmlLe Yoga, c'est aussi ça...tag:yoga.hautetfort.com,2016-02-07:57560312016-02-07T16:33:45+01:002016-02-07T16:33:45+01:00Faites ce que vous pouvez avec le maximum de sincérité, d'humilité et de...
Faites ce que vous pouvez avec le maximum de sincérité, d'humilité<br />et de sentiment d'unité consciente. Voyez, le succès, comme l'échec,<br />appartiendra à Dieu !<br /><br />Sri Chinmoy<br />
Littérature de partouthttp://litteraturedepartout.hautetfort.com/about.htmlStéphane Korvin, Percolamourtag:litteraturedepartout.hautetfort.com,2015-11-14:57124202015-11-14T05:00:00+01:002015-11-14T05:00:00+01:00 une semaine sur deux quelques jours...
<p style="text-align: center;"> <img id="media-5206312" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://litteraturedepartout.hautetfort.com/media/02/00/3626444336.jpg" alt="korvin.jpg" /></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;">une semaine sur deux</span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;">quelques jours</span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;">trois semaines </span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;">un mois, devant</span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;">un soir</span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;">quatre jours et puis</span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;">perdue, huit mesure s’en va</span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;">un jour par feuille, un arbre</span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;">trois saisons</span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;">une rue deux pièces</span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;">une minute</span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;">quelques secondes</span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;">cinq mots</span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;">un temps</span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;">un timbre un chien </span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;">ton</span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;">toi virgule mon moi virgule</span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;">un temps à coucher dehors</span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville; color: #0000ff;">Stéphane Korvin, <em>percolamour</em>, </span></p><p style="padding-left: 300px;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Baskerville; color: #0000ff;">isabelle sauvage, 2012, p. 45.</span></p>
Espérance Nouvellehttp://esperancenouvelle.hautetfort.com/about.htmlPrécisions sur la notion de ”mariages ayant échoué”tag:esperancenouvelle.hautetfort.com,2015-10-06:56957972015-10-06T11:38:00+02:002015-10-06T11:38:00+02:00
<p> </p><p><iframe width="560" height="315" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="https://www.youtube.com/embed/7k2dRh6pIfE?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p> </p>
MILIQUEhttp://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/about.htmlEN MÈCHES DE SOUVENIRS 4tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2015-09-18:56557372015-09-18T11:07:00+02:002015-09-18T11:07:00+02:00 A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à juste...
<p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: small;"><img id="media-5099005" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/00/00/3104850699.2.jpg" alt="au magma présent de l'écriture," /></span></p><p style="page-break-before: always;" align="CENTER"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: small;"><strong><span style="color: #0000ff;"><span style="font-family: Arial Black,sans-serif;">A l'attention des multiples lecteurs</span></span></strong> <strong><span style="color: #0000ff;"><span style="font-family: Arial Black,sans-serif;">qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.<br />Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...</span></span></strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #008000;"><strong>EN MÈCHES DE SOUVENIRS</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #008000;"><strong> 4</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Fulgurante préhension d'un étonnant réel trop réel dans la conscience</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>D'un échec fortuit qui violemment déconcerte, perturbe et blesse.</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>La brutalité précise de telles émotions confirme par les larmes</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>A quel point dans la vie il est dur de prétendre parvenir jusqu'à soi.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Ma préoccupation de ce fait est devenu d'un tout autre ordre</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Puisqu'elle me conduit, chaque jour, de douleurs en douleurs</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Jusqu'au désir de ne plus être avant que la proximité de la mort,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Par bonheur, ne me révèle en creux indéchiffrable prix de la vie.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Il n'empêche que régulièrement, le silence se fait trop assourdissant.</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Et cependant...</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>(FIN)</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>P. MILIQUE</strong></span></p>
Littérature de partouthttp://litteraturedepartout.hautetfort.com/about.htmlCummings, No Thankstag:litteraturedepartout.hautetfort.com,2015-08-17:56712582015-08-17T05:00:00+02:002015-08-17T05:00:00+02:00 10 petit homme (à tout allure pris d’une énorme...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5130289" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://litteraturedepartout.hautetfort.com/media/00/01/1689476406.jpg" alt="cummings.jpg" /></p><p></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">10</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">petit homme</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">(à tout allure</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">pris d’une énorme</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">inquiétude)</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">halte arrête oublie du calme</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">attends</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">(petit enfant</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">qui as tenté</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">qui as échoué</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">qui a pleuré)</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">couche-toi bravement</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">et dors</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">grande pluie</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">grande neige</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">grande lune</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">grand soleil</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">(pénètrent</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">en nous)</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">Cummings, <em style="mso-bidi-font-style: normal;">No Thanks</em>, NOUS, </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">traduit et présenté par Jacques</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 163.05pt; text-align: justify; padding-left: 30px;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">Demarcq, 2011, np.</span></p>
Ghttp://yoga.hautetfort.com/about.htmlLe Yoga, c'est aussi ça...tag:yoga.hautetfort.com,2015-05-25:56265082015-05-25T15:31:00+02:002015-05-25T15:31:00+02:00 Vous avez essayé et vous n'avez pas réussi. Cela ne veut pas dire que vous...
<p>Vous avez essayé et vous n'avez pas réussi.<br />Cela ne veut pas dire que vous n'essayerez plus.<br />Essayez encore une fois ! Non seulement vous réussirez<br />dans la vie en devenir, mais vous progresserez également<br />dans la vie qui est éternellement.<br /><br />Sri Chinmoy</p>
Ghttp://yoga.hautetfort.com/about.htmlLe Yoga, c'est aussi ça...tag:yoga.hautetfort.com,2015-03-15:55819252015-03-15T16:24:00+01:002015-03-15T16:24:00+01:00 Peu importe l'échec dans la vie, la plus grande infortune est de rester sur...
<p>Peu importe l'échec dans la vie, la plus grande infortune est de rester<br />sur place.<br /><br />Hazrat Inayat Khan</p>
.http://pdf31.hautetfort.com/about.htmlCapitulation du gouvernement de « combat » Valls Itag:pdf31.hautetfort.com,2014-08-28:54350192014-08-28T06:05:00+02:002014-08-28T06:05:00+02:00 Publié par Guy Jovelin Un gouvernement né entre le 31 mars...
<div class="meta"><p>Publié par Guy Jovelin</p></div><p> </p><div class="entry"><div class="ob-section ob-section-html"><p style="text-align: center;"><img style="height: 351px; width: 550px;" src="http://cdn-lejdd.ladmedia.fr/var/lejdd/storage/images/media/images/politique/photo-du-gouvernement-valls/9501151-1-fre-FR/Photo-du-gouvernement-Valls_pics_809.jpg" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Un gouvernement né entre le 31 mars (nomination de Manuel Valls comme premier ministre) et le 2 avril (publication du décret sur la composition du gouvernement) pouvait difficilement être crédible. Né comme un poisson d’avril dans les jours qui suivaient la défaite humiliante du Parti socialiste (PS) aux élections municipales, le gouvernement s’est autodissous dans la confusion et le ridicule après 147 jours de <em>« combat »</em> contre du vent.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">La disparition de Valls I a été l’occasion de nombreuses moqueries tant à droite (l’UMP évoquant une « <em>démission nécessaire </em>» et la « <em>passivité naturelle </em>» de François Hollande) que dans la presse.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">« <em>Son pouvoir </em><em>[de François Hollande] </em><em>ne dépasse plus les grilles de l’Élysée. </em><em>[…] </em><em>Les fidèles sont devenus des mutins qui trouent la coque d’un rafiot qui prend déjà l’eau de toute part</em> » note <em>L’Alsace.</em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">« <em>T</em><em>ir à la canonnière contre le navire gouvernemental. </em><em>[…] À</em><em> la soute, les Français, eux, continuent de ramer. Sans cap et sans capitaine</em> »ajoute <em>Le Parisien.</em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">« <em>Dans le bateau ivre qu’est devenu l’exécutif, tout est possible </em>»conclut <em>Le Journal de la Haute-Marne</em>.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Censé incarner l’unité et le combat, Manuel Valls a conduit la gauche à l’échec et la désunion. Dès le jour de sa nomination, Manuel Valls avait été attaqué par la gauche du PS. Le lendemain, EÉLV annonçait son départ du gouvernement. L’attribution des portefeuilles, effectuées dans l’urgence, est l’occasion d’un affrontement entre Arnaud Montebourg et Laurent Fabius ; Manuel Valls arbitrera au profit de ce dernier. En mai, un conflit oppose Ségolène Royal et Arnaud Montebourg puis Michel Sapin. Au fil des semaines, les rangs des députés <em>« frondeurs »</em> s’étoffent, les critiques émanant du gouvernement contre l’exécutif se multiplient : sécurité sociale, pacte de responsabilité, intermittents du spectacle, austérité, tout est sujet à polémique ; couacs, mauvais chiffres économiques, désastre sur le terrain de l’emploi, de la sécurité : pas un seul jour Manuel Valls n’a incarné le <em>« combat »</em> ni <em>« l’unité »</em>.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><a href="http://jeune-nation.com">Source</a></span></p></div></div>
Littérature de partouthttp://litteraturedepartout.hautetfort.com/about.htmlÉdith Azam, Jean-Christophe Bellevaux, Bel échectag:litteraturedepartout.hautetfort.com,2014-08-21:54310392014-08-21T05:00:00+02:002014-08-21T05:00:00+02:00 les mains se referment étreignent le vide voudraient le saisir...
<p style="text-align: center;"><img id="media-4663447" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://litteraturedepartout.hautetfort.com/media/02/00/772533361.11.jpg" alt="images.jpg" /></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">les mains se referment</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">étreignent le vide</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><s><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">voudraient le saisir</span></s></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><s><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">l'empoigner pour de bon</span></s></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><s><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">en briser la frontière mais...</span></s></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><s><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">on ne le sait que trop :</span></s></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><s><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">le vide</span></s></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><s><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">n'épargne personne</span></s></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">c'est à peine c'est-à-dire</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">si la peine si le dire</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">si les roses et les choses</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">tout s'emmêle et se noue :</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">les battements du cœur et les mots indigents,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">tout va, la pluie, l'absence, tout va bien</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><s><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">tout va bien</span></s></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><s><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">tout s'en va</span></s></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><s><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">tout est perdu :</span></s></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><s><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">très bien...</span></s></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><s><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">mais que l'échec au moins</span></s></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><s><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">on le tente au plus juste</span></s></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><s><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">oui</span></s></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><s><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">que l'échec humain soit :</span></s></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><s><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">notre plus bel échec.</span></s></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><s><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; font-variant: small-caps;"><span style="text-decoration: none;"> </span></span></s></p><p style="padding-left: 60px;"><!--[if gte mso 9]><xml> <o:OfficeDocumentSettings> <o:AllowPNG/> </o:OfficeDocumentSettings></xml><![endif]--><!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:TrackMoves>false</w:TrackMoves> <w:TrackFormatting/> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:PunctuationKerning/> <w:DrawingGridHorizontalSpacing>18 pt</w:DrawingGridHorizontalSpacing> <w:DrawingGridVerticalSpacing>18 pt</w:DrawingGridVerticalSpacing> <w:DisplayHorizontalDrawingGridEvery>0</w:DisplayHorizontalDrawingGridEvery> <w:DisplayVerticalDrawingGridEvery>0</w:DisplayVerticalDrawingGridEvery> <w:ValidateAgainstSchemas/> <w:SaveIfXMLInvalid>false</w:SaveIfXMLInvalid> <w:IgnoreMixedContent>false</w:IgnoreMixedContent> <w:AlwaysShowPlaceholderText>false</w:AlwaysShowPlaceholderText> <w:Compatibility> <w:BreakWrappedTables/> <w:DontGrowAutofit/> <w:DontAutofitConstrainedTables/> <w:DontVertAlignInTxbx/> </w:Compatibility> </w:WordDocument></xml><![endif]--><!--[if gte mso 9]><xml> <w:LatentStyles DefLockedState="false" LatentStyleCount="276"> </w:LatentStyles></xml><![endif]--> <!--[if gte mso 10]><style> /* Style Definitions */table.MsoNormalTable{mso-style-name:"Tableau Normal";mso-tstyle-rowband-size:0;mso-tstyle-colband-size:0;mso-style-noshow:yes;mso-style-parent:"";mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;mso-para-margin:0cm;mso-para-margin-bottom:.0001pt;mso-pagination:widow-orphan;font-size:12.0pt;font-family:"Times New Roman";mso-ascii-font-family:Cambria;mso-ascii-theme-font:minor-latin;mso-fareast-font-family:"Times New Roman";mso-fareast-theme-font:minor-fareast;mso-hansi-font-family:Cambria;mso-hansi-theme-font:minor-latin;}</style><![endif]--> <!--StartFragment--> <!--EndFragment--></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 92.15pt; padding-left: 60px;"><span style="font-size: 18.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">Édith Azam, Jean-Christophe Bellevaux, <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Bel échec</em>, images d'Élice Meng, Dernier Télégramme, 2014, p. 25.</span></p>
J.-P. Chauvinhttp://jean-philippechauvin.hautetfort.com/about.htmlUne Europe légale qui oublie les Européens.tag:jean-philippechauvin.hautetfort.com,2014-05-01:53596492014-05-01T14:02:14+02:002014-05-01T14:02:14+02:00 Normal 0 21 MicrosoftInternetExplorer4...
<p><!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:View>Normal</w:View> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:Compatibility> <w:BreakWrappedTables/> <w:SnapToGridInCell/> <w:WrapTextWithPunct/> <w:UseAsianBreakRules/> </w:Compatibility> <w:BrowserLevel>MicrosoftInternetExplorer4</w:BrowserLevel> </w:WordDocument></xml><![endif]--></p><p><!--[if gte mso 10]><style> /* Style Definitions */ table.MsoNormalTable{mso-style-name:"Tableau Normal";mso-tstyle-rowband-size:0;mso-tstyle-colband-size:0;mso-style-noshow:yes;mso-style-parent:"";mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;mso-para-margin:0cm;mso-para-margin-bottom:.0001pt;mso-pagination:widow-orphan;font-size:10.0pt;font-family:"Times New Roman";}</style><![endif]--></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;">La campagne des élections européennes ne préoccupe guère les foules en France alors que, chez notre voisin allemand, les débats sont parfois vifs, en particulier sur la monnaie unique ou sur le rôle de l’Allemagne dans l’ensemble européen : il semble que, chez nous, les tabous sur l’Europe soient plus nombreux ou que, surtout, <strong>le désaveu d’une construction européenne tout à la fois trop libérale et trop technocratique se manifeste par une sorte de haussement d’épaules généralisé, d’indifférence méprisante ou, parfois, de fatalisme assumé</strong>. La promesse d’une très forte abstention (65 % ?) n’est pas faite pour motiver les médias à engager de grands débats ou à susciter la réflexion sur l’Union et ses perspectives.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;">Il faut bien avouer que <strong>« l’Europe » a perdu de son aura démocratique près de nos concitoyens dans les années 2000</strong>, en particulier depuis que la constitution européenne, rejetée par les électeurs en 2005 à près de 55 %, a été imposée à ceux-ci sans que, cette fois, on leur demande leur avis, et en passant par les seuls parlementaires nationaux : <strong>ce contournement de la démocratie directe référendaire par la démocratie représentative</strong>, contournement hautement revendiqué par certains commissaires européens qui s’indignaient que les peuples puissent saboter les projets institutionnels de l’Union, <strong>a eu un effet immédiat, celui de dévaloriser la démocratie électorale aux yeux de nombre d’électeurs</strong>, en particulier ceux connaissant les plus grandes difficultés sociales. « <strong><em>Pourquoi voter, puisque quand le résultat ne plaît pas à ceux qui ont posé la question et qui nous gouvernent, on n’en tient pas compte ?</em></strong> », pensent-ils. </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;">En fait, la démocratie représentative et parlementaire européenne et en Europe (ce qui n’est pas tout à fait la même chose !) officialise (plus encore qu’elle ne le légitime…) <strong>une véritable « Europe légale » qui, comme le « pays légal » face au « pays réel » français, n’est pas vraiment « l’Europe réelle », celle des nations historiques, des communautés culturelles et des personnes</strong>. Cette Europe légale est constituée par les différentes institutions européennes, qu’elles soient politiques ou juridiques, mais aussi par tous ces organismes financés ou soutenus par l’Union européenne, et, d’une certaine manière, par ces fameux groupes de pression qui ont pignon sur rue à Bruxelles, au cœur même de l’Union. <strong>Le souci, c’est que cette Europe légale suit une idéologie qui, comme toutes les idéologies messianiques, a tendance à s’émanciper des réalités concrètes</strong>, au risque de ne pas comprendre ce qui fait vivre et s’épanouir l’Europe réelle : cela explique <strong>le désamour des Européens à l’égard de cette Europe légale</strong> qui apparaît, de plus en plus, déconnectée de leurs problèmes sociaux et trop administrative et rigide quand il faudrait de la souplesse et de l’imagination. </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;">Aujourd’hui, l’Europe légale suscite la méfiance car elle semble avoir trop promis et le paradis de la croissance et de la prospérité, annoncé lors des débats autour du traité de Maëstricht en 1992 ou lors de la naissance de la monnaie unique en 1999, n’est pas encore en vue et ne le sera sans doute jamais : les Etats et les peuples d’Europe (les uns n’étant pas toujours confondus avec les autres…) souffrent, de manière diverse, des oukases d’une Union (et de sa Commission, surtout) qui semble n’avoir comme ligne d’horizon que la réduction des déficits (d’ailleurs nécessaire mais qui doit se faire avec la possibilité, aussi, de concilier rigueur budgétaire et justice sociale et, dans certains cas, « remise des dettes »…) ou le retour d’une hypothétique croissance. </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;">De toute façon, cela ne suffirait pas pour faire aimer l’Europe : comme le disaient les jeunes royalistes des années 90, « <strong><em>on n’est pas amoureux d’un taux de croissance</em></strong> », et <strong>l’économie, si elle peut donner quelques moyens d’existence et de prospérité, ne donne guère de raisons de vivre, au sens noble du terme</strong>. En se cantonnant à une logique seulement économique, avec un saupoudrage de quelques principes généraux et parfois généreux, <strong>l’Europe légale ne fait guère rêver les peuples et n’offre pas de véritable destin à l’Europe réelle.</strong></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;">L’Europe légale, par sa logique européiste et néolibérale actuelle (mais n’est-elle pas déjà contenue dans le traité de Rome de 1957 que dénonçait, avec des mots cinglants, Pierre Mendès France ?), semble condamner l’Europe réelle à subir les effets de la globalisation et non à les maîtriser : ce fossé entre les deux Europe qui s’élargit un peu plus à chaque rendez-vous électoral n’est pas heureuse. Mais cela oblige sans doute à <strong>repenser, sans tarder, l’Europe elle-même</strong> mais aussi ses institutions et ses pratiques. <strong>La repenser pour la refonder !</strong></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: Verdana;"> </span></p>
Solkohttp://solko.hautetfort.com/about.htmlDans le vide mais jusqu'où?tag:solko.hautetfort.com,2014-04-01:53369022014-04-01T00:02:00+02:002014-04-01T00:02:00+02:00 C’est incroyable comme ce type qui vient subitement parler à 20 heures,...
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica; font-size: medium; color: #000000;">C’est incroyable comme ce type qui vient subitement parler à 20 heures, assigner « trois objectifs » et, à un pacte « de responsabilité » en adjoindre un autre « de solidarité », n’est plus crédible, et semble appartenir à un autre temps, un ordre déjà décomposé, un temps fini. Comme s’il sonnait le glas de sa propre présidence, d’un ton morne et haché, récité sans joie, comme s’il était déjà politiquement mort, et le <em>combat</em> qu’il veut mener avec lui, combat somnambulique d’apothicaire. Je ne rêve pas, il ânonne « Je Je », comme jadis il jetait son « Moi Moi » à la gueule du téléspectateur. Mais comment peut-il imaginer qu’on croit encore en son Je ? « Il aime être le seul qui ne prend aucune décision », dit de lui un proche. Terrible. Comment a-t-on pu élire un con pareil à un tel poste ? « L’électorat de droite te hait, une partie de la gauche te déteste », lui aurait dit un autre proche. Terrible. Il est certain que ce type est carbonisé.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica; font-size: medium; color: #000000;">Les Verts se sont barrés du gouvernement pour sauver leurs scores aux Européennes, et c’est vrai qu’ils peuvent espérer passer en 3<sup>ème</sup> position, même devant le PS, s’ils ne grimpent pas sur la barque de « l’équipe resserrée, cohérente, soudée », déjà en plein naufrage. Les gens de gauche, les Besancenot, les Mélenchon sont effarés : « A un désastre électoral, Hollande répond par un suicide politique », dit ce dernier. David Assouline, en bon petit apparatchik, parle « de la gravité et de la sincérité » de Hollande. Je l’ai connu, ce type, lorsqu’il était à Jussieu, militant dans les coordinations lycéennes en 1986, déjà beau parleur dans des haut-parleurs, déjà programmé pour une carrière de sénateur. Et Fillon, rusé, matois, expérimenté aussi sans doute, souhaite <em>bonne chance </em>à Valls, entrevoyant déjà l’échec dans quelques mois. « <em>Manuel de survie, Vals mène la danse, Ayrault valse </em>», la presse française n’a rien à en dire, parce qu’il n’y a rien à en dire, sinon quelques pirouettes verbales elles aussi convenues, usées, avant les échanges de fauteuils et les chaises tournantes. C’est l’état de ce pays, où il n’y a plus que la bonne bourgeoisie de Paris, Lille ou Lyon pour souhaiter poursuivre le malentendu avec ce PS quand le reste du pays vote FN, UMP, ou s’abstient. Une sorte de société inversée, finalement, et qui tourne toute seule, dans le vide, mais jusqu’où ? Et derrière ce vide, ce blabla sidérant,, quelle dissolution sans fin pour le pays ?</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4504555" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://solko.hautetfort.com/media/01/02/2713752946.jpg" alt="valls,remaniement,politique,élections,france,politique,rigolade,échec," /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: center;"><span style="font-family: helvetica; font-size: medium;">Trente ans en 93</span></p>
Creseveurhttp://creseveur.hautetfort.com/about.htmlMunicipales 2014: le PS défait. Le FN refait.tag:creseveur.hautetfort.com,2014-03-24:53305002014-03-24T12:11:22+01:002014-03-24T12:11:22+01:00
<p style="text-align: center;"><img id="media-4494420" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://creseveur.hautetfort.com/media/02/00/1524335152.jpg" alt="Le PS s'essuie le front .jpg" /></p>
MILIQUEhttp://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/about.htmlLENTE ESQUISSEtag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2014-03-23:37239172014-03-23T00:47:00+01:002014-03-23T00:47:00+01:00 LENTE ESQUISSE Il y a quelque chose de...
<p style="text-align: center;"><img id="media-3135166" style="margin: 0.7em 0pt;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/01/01/507216369.jpg" alt="REGARD.jpg" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large; color: #008000;"><strong>LENTE ESQUISSE</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong> </strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Il y a quelque chose de majestueux et de lancinant</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Dans la lente esquisse d’un regard qui s’obscurcit</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Au gré d’un échec rendu plus amer encore</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Par la folle espérance suscitée.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong> </strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Ainsi naît l’ombre dense du désenchantement.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong> </strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>L’attirance est là, forte et mystérieuse,</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>D’un destin excessif traversant le néant</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>D’un temps trop simplificateur.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Représentation abstraite,</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Proche de l’émerveillement premier</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>D’une vie souveraine</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Aux éclats brefs et tumultueux.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong> </strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>P. MILIQUE</strong></span></p>
Littérature de partouthttp://litteraturedepartout.hautetfort.com/about.htmlYves di Manno, Champs, un livre de poèmestag:litteraturedepartout.hautetfort.com,2014-03-21:53278352014-03-21T05:01:00+01:002014-03-21T05:01:00+01:00...
<p style="text-align: center;"><img id="media-4489839" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://litteraturedepartout.hautetfort.com/media/02/01/599541714.3.jpg" alt="Yves di Manno, Champs, un livre de poèmes, échec, mots, octobre, vers" /></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Dissolution d'octobre</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Un mois de pénurie. Un mois sans qu'on s'</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Entende (rire, pleurer) — un mois d'échecs.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Pièces sur le damier : les jours aux jours</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Pareils. Et qui s'insurge ?<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Si</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">La main revient au papier, le corps à la</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Charrue : bourbiers : charniers : abstraits.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Un pas de plus, un mot de trop sans doute</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Et nous n'y verrons rien. (La nuit tombée ?</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Le froid, glacial ?) <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Ah quel tort de nous </em></span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Croire !</span></em><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> (EUX, rires.) Et la jambe pliée, le</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Vers ancien — l'absinthe — la mouche sur la</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">Plinthe : plainte écartée, plaie rejetée. </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">L'usure (de l'inversion ?) qui nous conduit</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;">À prendre de leurs mots une mesure neuve.</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>(<em style="mso-bidi-font-style: normal;">interférence</em>)</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">Yves di Manno, <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Champs, un livre de poèmes 1975-1985</em>,</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville; color: blue;">Flammarion, 2014, p. 123.</span></p><p><!--[if gte mso 9]><xml> <o:OfficeDocumentSettings> <o:AllowPNG/> </o:OfficeDocumentSettings></xml><![endif]--><!--[if gte mso 9]><xml> <w:WordDocument> <w:Zoom>0</w:Zoom> <w:TrackMoves>false</w:TrackMoves> <w:TrackFormatting/> <w:HyphenationZone>21</w:HyphenationZone> <w:PunctuationKerning/> <w:DrawingGridHorizontalSpacing>18 pt</w:DrawingGridHorizontalSpacing> <w:DrawingGridVerticalSpacing>18 pt</w:DrawingGridVerticalSpacing> <w:DisplayHorizontalDrawingGridEvery>0</w:DisplayHorizontalDrawingGridEvery> <w:DisplayVerticalDrawingGridEvery>0</w:DisplayVerticalDrawingGridEvery> <w:ValidateAgainstSchemas/> <w:SaveIfXMLInvalid>false</w:SaveIfXMLInvalid> <w:IgnoreMixedContent>false</w:IgnoreMixedContent> <w:AlwaysShowPlaceholderText>false</w:AlwaysShowPlaceholderText> <w:Compatibility> <w:BreakWrappedTables/> <w:DontGrowAutofit/> <w:DontAutofitConstrainedTables/> <w:DontVertAlignInTxbx/> </w:Compatibility> </w:WordDocument></xml><![endif]--><!--[if gte mso 9]><xml> <w:LatentStyles DefLockedState="false" LatentStyleCount="276"> </w:LatentStyles></xml><![endif]--> <!--[if gte mso 10]><style> /* Style Definitions */table.MsoNormalTable{mso-style-name:"Tableau Normal";mso-tstyle-rowband-size:0;mso-tstyle-colband-size:0;mso-style-noshow:yes;mso-style-parent:"";mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;mso-para-margin:0cm;mso-para-margin-bottom:.0001pt;mso-pagination:widow-orphan;font-size:12.0pt;font-family:"Times New Roman";mso-ascii-font-family:Cambria;mso-ascii-theme-font:minor-latin;mso-hansi-font-family:Cambria;mso-hansi-theme-font:minor-latin;mso-ansi-language:EN-GB;mso-fareast-language:EN-US;}</style><![endif]--> <!--StartFragment--> <!--EndFragment--></p><p class="MsoNormal" style="margin-top: 0cm; margin-right: 28.05pt; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 4.0cm; text-align: justify;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 14.0pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; font-family: Baskerville;"> </span></em></p>
MILIQUEhttp://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/about.htmlDOULEUR D'AIMER 5tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2014-03-15:53037122014-03-15T09:47:00+01:002014-03-15T09:47:00+01:00 A l'attention des multiples lecteurs qui arpentent, à...
<p style="text-align: center;"><img id="media-4450052" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/00/01/1335447070.jpg" alt="au magma présent de l'écriture" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="page-break-before: always;" align="CENTER"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong><span style="color: #0000ff;"><span style="font-family: Arial Black,sans-serif;">A l'attention des multiples lecteurs</span></span></strong> <strong><span style="color: #0000ff;"><span style="font-family: Arial Black,sans-serif;">qui arpentent, à juste titre il va de soi, ce lieu modeste certes mais, reconnaissez-le, pas loin d'être génial, cette histoire qui va débuter là sous vos yeux va être fractionnée -- confort de lecture oblige -- en autant d'épisodes qu'il sera nécessaire.<br />Il suffira donc aux autres, tout aussi nombreux, qui la prendront en cours de narration, de remonter (si cela leur dit mais comment en douter) le fil du temps récent pour en identifier le fil géniteur...</span></span></strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;" lang="fr-FR"><span style="color: #008000; font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large;"><strong>DOULEUR D'AIMER</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;" lang="fr-FR"><span style="color: #008000; font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large;"><strong> 5</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;" lang="fr-FR"> </p><p style="margin-top: 0.49cm; margin-bottom: 0cm; text-align: center;" lang="fr-FR"><span style="color: #000000; font-size: large;"><span style="font-family: Arial Unicode MS,sans-serif;"><strong>Il a pleuré comme jamais. Il s'est senti dépossédé.</strong></span></span></p><p style="margin-top: 0.49cm; margin-bottom: 0cm; text-align: center;" lang="fr-FR"><span style="color: #000000; font-size: large;"><span style="font-family: Arial Unicode MS,sans-serif;"><strong>Par un échec qui lui est tellement insupportable</strong></span></span></p><p style="margin-top: 0.49cm; margin-bottom: 0cm; text-align: center;" lang="fr-FR"><span style="color: #000000; font-size: large;"><span style="font-family: Arial Unicode MS,sans-serif;"><strong>Avec son lot de souffrances qui le mènent, </strong></span></span></p><p style="margin-top: 0.49cm; margin-bottom: 0cm; text-align: center;" lang="fr-FR"><span style="color: #000000; font-size: large;"><span style="font-family: Arial Unicode MS,sans-serif;"><strong>Au rugueux silence d'une douleur minérale.</strong></span></span></p><p style="margin-top: 0.49cm; margin-bottom: 0cm; text-align: center;" lang="fr-FR"> </p><p style="margin-top: 0.49cm; margin-bottom: 0cm; text-align: center;" lang="fr-FR"><span style="color: #000000; font-size: large;"><span style="font-family: Arial Unicode MS,sans-serif;"><strong>Il est devenu un homme tourmenté.</strong></span></span></p><p style="margin-top: 0.49cm; margin-bottom: 0cm; text-align: center;" lang="fr-FR"><span style="color: #000000; font-size: large;"><span style="font-family: Arial Unicode MS,sans-serif;"><strong>Il est devenu un homme qui pleure.</strong></span></span></p><p style="margin-top: 0.49cm; margin-bottom: 0cm; text-align: center;" lang="fr-FR"><span style="color: #000000; font-size: large;"><span style="font-family: Arial Unicode MS,sans-serif;"><strong>(A SUIVRE...)</strong></span></span></p><p style="margin-top: 0.49cm; margin-bottom: 0cm; text-align: center;" lang="fr-FR"> </p><p style="margin-top: 0.49cm; margin-bottom: 0cm; text-align: center;" lang="fr-FR"><span style="color: #000000; font-size: large;"><span style="font-family: Arial Unicode MS,sans-serif;"><strong>P. MILIQUE</strong></span></span></p>
Atelier des Idéeshttp://www.atelier-idees.org/about.htmlLE LYCEE AGORA : UNE ACCABLANTE ABSURDITE.tag:www.atelier-idees.org,2014-02-17:53008302014-02-17T12:06:00+01:002014-02-17T12:06:00+01:00 Priorité de l’élection municipale de mars 2014. ...
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="color: #1f497d; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Priorité de l’élection municipale de mars 2014.</span></span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium; font-family: Times New Roman;"><img id="media-4445688" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://www.atelier-idees.org/media/02/02/1780356631.JPG" alt="toutes 150.JPG" /> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: large; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium; font-family: Times New Roman;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Dans Puteaux, ville opulente, le lycée AGORA est en situation d’échec massif et durable. </span></span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Ce lycée dépend de l’Education nationale, prioritairement, et de la Région.</span></span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">D’après la dernière évaluation du ministère de l’Education nationale, le taux de réussite au baccalauréat 2011-2012 était de 63% pour un taux attendu de 77%. Le classement appuyé<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>sur<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>cette évaluation, proposé par <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Parisien </em>et <em style="mso-bidi-font-style: normal;">l’Etudiant, </em>montrait que l’Agora était 51ème/ 51 dans le département, 446<sup>ème</sup> sur 463 dans la région et 2270<sup>ème</sup> sur 2297, en France.</span></span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Les attentes des élèves et des parents sont trahies.</span></span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">De plus, ces résultats en fin de parcours, dans la ville, interpellent sur l’ensemble des résultats de la « colonne scolaire »,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>depuis la base. </span></span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">La séparation actuelle entre les divers responsables du système éducatif est d’une mystérieuse et inacceptable inefficacité.</span></span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium; font-family: Times New Roman;"> </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium; font-family: Times New Roman;"> </span></span></strong></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><strong><span style="color: #1f497d; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Il est urgent d’instaurer un « mutualisme » financier entre l’Etat, la région, le département et la commune. Ces principaux responsables de l’instruction communale doivent travailler, régulièrement, en équipe, sur un objectif prioritaire, celui de la réussite scolaire pour tous, par un projet<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>pédagogique vertical, intelligent et contrôlé. </span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><strong><span style="color: #1f497d; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><strong><span style="color: #1f497d; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Madame la ministre de la Réussite éducative, monsieur le ministre de l’Education nationale, madame la ministre des Droits des femmes, messieurs les présidents de la Région et du Département, monsieur le proviseur, madame la maire, arrêtez la litanie volatile nationale de l’égalité des chances et œuvrez énergiquement pour sa réalisation, ici.</span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Annie Keszey.</span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><a href="http://www.notreputeaux.com/"><span style="font-family: Times New Roman;">www.notreputeaux.com</span></a></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><a href="http://www.atelier-idees.org/"><span style="font-family: Times New Roman;">www.atelier-idees.org</span></a></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;"><span style="font-size: large;"><strong>L’évaluation complète du lycée Agora a été publiée antérieurement et se trouve toujours sur ces sites.</strong></span></span></span></span></p>
Atelier des Idéeshttp://www.notreputeaux.com/about.htmlLE LYCEE AGORA : UNE ACCABLANTE ABSURDITE.tag:www.notreputeaux.com,2014-02-17:53008142014-02-17T11:58:00+01:002014-02-17T11:58:00+01:00 Priorité de l’élection municipale de mars 2014....
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: #1f497d; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Priorité de l’élection municipale de mars 2014.</span></span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: large; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium; font-family: Times New Roman;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: large; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium; font-family: Times New Roman;"> <img id="media-4445664" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://www.notreputeaux.com/media/01/01/1780356631.JPG" alt="toutes 150.JPG" /></span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Dans Puteaux, ville opulente, le lycée AGORA est en situation d’échec massif et durable. </span></span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Ce lycée dépend de l’Education nationale, prioritairement, et de la Région.</span></span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">D’après la dernière évaluation du ministère de l’Education nationale, le taux de réussite au baccalauréat 2011-2012 était de 63% pour un taux attendu de 77%. Le classement appuyé<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>sur<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>cette évaluation, proposé par <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Le Parisien </em>et <em style="mso-bidi-font-style: normal;">l’Etudiant, </em>montrait que l’Agora était 51ème/ 51 dans le département, 446<sup>ème</sup> sur 463 dans la région et 2270<sup>ème</sup> sur 2297, en France.</span></span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">Les attentes des élèves et des parents sont trahies.</span></span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">De plus, ces résultats en fin de parcours, dans la ville, interpellent sur l’ensemble des résultats de la « colonne scolaire »,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>depuis la base. </span></span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;">La séparation actuelle entre les divers responsables du système éducatif est d’une mystérieuse et inacceptable inefficacité.</span></span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium; font-family: Times New Roman;"> </span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><strong><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium; font-family: Times New Roman;"> </span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: #1f497d; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Il est urgent d’instaurer un « mutualisme » financier entre l’Etat, la région, le département et la commune. Ces principaux responsables de l’instruction communale doivent travailler, régulièrement, en équipe, sur un objectif prioritaire, celui de la réussite scolaire pour tous, par un projet<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>pédagogique vertical, intelligent et contrôlé. </span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: #1f497d; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="color: #1f497d; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Madame la ministre de la Réussite éducative, monsieur le ministre de l’Education nationale, madame la ministre des Droits des femmes, messieurs les présidents de la Région et du Département, monsieur le proviseur, madame la maire, arrêtez la litanie volatile nationale de l’égalité des chances et œuvrez énergiquement pour sa réalisation, ici.</span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; mso-ansi-language: FR;"><span style="font-family: Times New Roman;">Annie Keszey.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; mso-ansi-language: FR;"><a href="http://www.notreputeaux.com/"><span style="font-family: Times New Roman;">www.notreputeaux.com</span></a></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: large; mso-ansi-language: FR;"><a href="http://www.atelier-idees.org/"><span style="font-family: Times New Roman;">www.atelier-idees.org</span></a></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="mso-ansi-language: FR;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman;"><span style="font-size: large;">L’évaluation complète du lycée Agora a été publiée antérieurement et se trouve toujours sur ces sites.</span></span></span></span></p>
Atelier des Idéeshttp://www.rupture-et-metamorphose.org/about.htmlL'ECHEC DU LYCEE AGORA DE PUTEAUX.tag:www.rupture-et-metamorphose.org,2013-04-02:50337102013-04-02T12:18:09+02:002013-04-02T12:18:09+02:00 Le lycée public, général et technologique, 120 rue de Verdun à...
<p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; color: #0000ff;"><img id="media-4043263" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://www.rupture-et-metamorphose.org/media/01/01/289275174.jpg" alt="évaluation des lycées, lycée Agora, Puteaux, échec, inégalité des chances, Richard Descoings, Philippe Meirieu, éducation nationale" /></span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; color: #0000ff;">Le lycée public, général et technologique, 120 rue de Verdun à Puteaux, est le moins efficace des lycées du département des Hauts-de-Seine, d’après la dernière évaluation du Ministère de l’Education nationale et les interprétations raisonnées de la presse. Cette grave situation requiert une séance de travail, pour établir un plan urgent et exigeant de rétablissement du lycée, entre tous les responsables impliqués : Recteur, Proviseur, représentants des professeurs, des parents et des élèves, représentants de la région, du département et Maire de Puteaux. Les niveaux d’enseignement, avant le lycée, écoles maternelles, écoles élémentaires, collèges ne sont peut-être pas eux-mêmes performants.</span></strong><br /><span style="font-size: medium;">Les participants pourraient être porteurs des dernières connaissances sur les réformes à entreprendre diffusées par des spécialistes : Claude Thélot, Marcel Gauchet, Philippe Meirieu, Richard Descoings…Ce dernier, le 2 juin 2009, après avoir parcouru la France et réalisé un grand nombre d’entretiens a remis ses préconisations au Président de la République, Nicolas Sarkozy, dans un rapport précieux.</span><br /><span style="font-size: medium;">Les résultats de l’évaluation des lycées proviennent du Ministère de l’Education nationale. Les classements divers entre établissements sont des déductions qui proviennent d’autres sources.</span><br /><span style="font-size: medium;"><strong>Le lycée Agora est classé dernier du département des Hauts-de-Seine, d’après le journal « Le Parisien »: 51ème sur 51!</strong> Le lycée public, Frédéric et Irène et Joliot- Curie de Nanterre, occupe la 50ème place. Le lycée privé sous contrat, Madeleine Daniélou, de Rueil-Malmaison, est premier. Le journal appuie ce classement sur les données ministérielles.</span><br /><span style="font-size: medium;">Au classement régional, le lycée Agora est 446ème sur 463 et au classement national 2270ème sur 2297.</span><br /><br /><span style="font-size: medium;">Les indicateurs de valeur ajoutée des lycées évaluent non seulement la réussite des élèves de terminale d'un établissement au baccalauréat, mais aussi la capacité de cet établissement à accompagner le maximum d’élèves de seconde jusqu'à l'obtention de ce diplôme, en prenant en compte les caractéristiques sociodémographiques et scolaires des élèves. Ils offrent en cela une analyse plus fine que le taux de réussite au baccalauréat qui ne permet pas d’apprécier le caractère plus ou moins sélectif des établissements et le parcours scolaire des élèves depuis leur entrée au lycée jusqu’au baccalauréat. </span><br /><strong><span style="font-size: medium;">Trois indicateurs sont utilisés pour mesurer la "valeur ajoutée", valeur précieuse, d'un établissement.</span></strong><br /><span style="font-size: medium;"><strong>Le taux de réussite au baccalauréat,</strong> c’est-à-dire la proportion de bacheliers parmi les élèves ayant passé le baccalauréat : le taux global de réussite au baccalauréat 2011- 2012, 63%, du lycée Agora, est très inférieur au taux moyen attendu calculé par le ministère pour des élèves d'âge, d'origine sociale, de sexe et de niveau scolaire comparables et scolarisés dans des lycées comparables en termes d'âge, d'origine sociale et de sexe de l'ensemble de l'académie de Versailles, 77% . La valeur ajoutée attendue n’est pas atteinte, moins 14% ! Le taux de réussite au baccalauréat du lycée public Louis Pasteur de Neuilly, 13ème sur 51, par exemple, est de 98%. La valeur ajoutée attendue est exactement atteinte. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><img id="media-4043265" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://www.rupture-et-metamorphose.org/media/02/02/3592054812.jpg" alt="évaluation des lycées, lycée Agora, Puteaux, échec, inégalité des chances, Richard Descoings, Philippe Meirieu, éducation nationale" /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Le lycée privé breton Diwan de Carhaix-Plouguer, lycée bilingue, est remarquable d’efficacité, malgré ses classes surchargées. La valeur ajoutée attendue est dépassée! Le Figaro du 28 mars 2013 le classe 1er des lycées d’enseignement général de France. Les enseignements se font en breton par une pédagogie d’immersion. </span><br /><span style="font-size: medium;">2 <strong>Le taux d’accès au baccalauréat,</strong> qui est la proportion d’élèves de seconde ou de première qui obtiennent le baccalauréat en restant dans l’établissement : cette proportion pour le lycée Agora est de 39%. Pour le lycée Louis Pasteur, par exemple, elle est de 87%.</span><br /><span style="font-size: medium;">3. <strong>La proportion de bacheliers parmi les élèves qui quittent l'établissement.</strong></span><br /><span style="font-size: medium;">72% des élèves de terminale quittent le lycée Agora avec leur BAC en poche, en prenant en compte les redoublements. Au lycée Louis Pasteur, la proportion de bacheliers qui quittent l’établissement est de 98 %, redoublements également pris en compte.</span><br /><br /><span style="font-size: medium;">Le ministère de l’Education nationale ne souhaite pas réaliser un classement des lycées mais proposer, à travers cette notion de « valeur ajoutée », une image de la réalité complexe et relative que constituent les résultats d'un établissement. La presse et les usagers traduisent les résultats en classements, parfois durs mais toujours positifs s’ils induisent les nécessaires modifications des projets d’établissement.</span><br /><span style="font-size: medium;">D’autres données, non encore exploitées publiquement par le ministère, interpellent. Au lycée Agora, sur 36 élèves reçus au baccalauréat général, 2 ont eu la mention «Très bien » et 7 la mention « Assez bien ». Au lycée Pasteur, sur 86 élèves reçus au Baccalauréat général, 50 ont eu la mention « Très bien », plus de 50% donc, et 10 la mention « Assez bien ». Titulaires d’un baccalauréat national, les élèves du lycée Agora, sans mention, rencontrent une autre inégalité quant à l’accès aux Grandes écoles ou aux inscriptions en classe préparatoire. Ils ne sont pas préparés à cette autre compétition.</span></p><p style="text-align: justify;"><br /><span style="font-size: medium;"><strong><span style="color: #0000ff;">La situation de ce lycée Agora est contraire aux objectifs fondamentaux de l’égalité des chances et de la réussite scolaire. L’objectif de promotion de la jeunesse n’est pas atteint. Le déterminisme social ne semble pas dépassé. L’évolution des résultats depuis 2008 interpelle</span></strong>.</span></p><p style="text-align: justify;"><br /><span style="font-size: medium;">Des grilles nombreuses d’analyse des établissements scolaires, depuis des décennies, ont été construites par des experts. Ont-elles été utilisées depuis 2008, au lycée Agora ? Quelques critères:</span><br /><span style="font-size: medium;">- Les exclusions d’élèves par le proviseur ou le conseil de discipline sont supprimées. Les élèves perturbateurs sont inclus, en heures supplémentaires, au CDI, dans une autre classe, dans un atelier… pour y travailler.</span><br /><span style="font-size: medium;">- Les jours ou heures d’absence, sauf dans les cas justifiés, sont récupérés. Les devoirs sont obligatoirement faits et les leçons sues. Un groupe d’adultes spécialement constitué interdit l’absentéisme et les pertes d’élèves en cours de scolarité. </span><br /><span style="font-size: medium;">- L’emploi du temps prévoit le travail, en équipes disciplinaires, des professeurs, une heure par semaine .L’alignement d’une heure au moins de chaque discipline dans l’emploi du temps de plusieurs classes, d’un même niveau, permet d’ouvrir la classe pour l’organiser en groupes de besoins. La liberté pédagogique du professeur ne peut être revendiquée en situation d’échec. La cohésion, l’entraide, l’échange de documents de cours entre enseignants doivent prévaloir.</span><br /><span style="font-size: medium;">- Chaque élève, en début d’année, pense et rédige son projet scolaire annuel et son désir d’orientation. Les parents sont impliqués.</span><br /><span style="font-size: medium;">- Le proviseur, travailleur, présent, accessible, sévère, exigeant, très juste est formé à la pédagogie et aux évaluations scientifiques. Souple quant aux statuts rigides dépassés, il soutient les professeurs en difficultés par des aides concrètes et s’engage dans les initiatives les plus complexes pour les élèves en difficultés. Avec les équipes, il instaure, implacablement, un climat collectif studieux de respect mutuel. Il écoute et donne confiance.</span><br /><span style="font-size: medium;">- Des formations collectives, régulières, sur place, apportent des réponses scientifiques, modernes aux vieilles questions et inventent une pédagogie « vraiment éclairée »…</span><br /><span style="font-size: medium;">Le site www.lycee-agora.fr ne publie aucun résultat, ce 1er avril 2013. </span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: medium;">Images : puteaux.fr et Ouest-France. Annie Keszey. www.notreputeaux.com</span><br /><br /></p>
Atelier des Idéeshttp://www.atelier-idees.org/about.htmlL'ECHEC DU LYCEE AGORA DE PUTEAUX.tag:www.atelier-idees.org,2013-04-02:50337012013-04-02T12:08:00+02:002013-04-02T12:08:00+02:00 Le lycée public, général et technologique, 120 rue de Verdun...
<p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; color: #0000ff;"><br /></span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; color: #0000ff;"><img id="media-4043256" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://www.atelier-idees.org/media/02/01/289275174.jpg" alt="Puteaux, lycée Agora,inégalité des chances, évaluation des lycées, échec, Richard Descoings, Philippe Meirieu" /></span></strong></p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium; color: #0000ff;">Le lycée public, général et technologique, 120 rue de Verdun à Puteaux, est le moins efficace des lycées du département des Hauts-de-Seine, d’après la dernière évaluation du Ministère de l’Education nationale et les interprétations raisonnées de la presse. Cette grave situation requiert une séance de travail, pour établir un plan urgent et exigeant de rétablissement du lycée, entre tous les responsables impliqués : Recteur, Proviseur, représentants des professeurs, des parents et des élèves, représentants de la région, du département et Maire de Puteaux. Les niveaux d’enseignement, avant le lycée, écoles maternelles, écoles élémentaires, collèges ne sont peut-être pas eux-mêmes performants.</span></strong><br /><span style="font-size: medium;">Les participants pourraient être porteurs des dernières connaissances sur les réformes à entreprendre diffusées par des spécialistes : Claude Thélot, Marcel Gauchet, Philippe Meirieu, Richard Descoings…Ce dernier, le 2 juin 2009, après avoir parcouru la France et réalisé un grand nombre d’entretiens a remis ses préconisations au Président de la République, Nicolas Sarkozy, dans un rapport précieux.</span><br /><span style="font-size: medium;">Les résultats de l’évaluation des lycées proviennent du Ministère de l’Education nationale. Les classements divers entre établissements sont des déductions qui proviennent d’autres sources.</span><br /><span style="font-size: medium;"><strong>Le lycée Agora est classé dernier du département des Hauts-de-Seine, d’après le journal « Le Parisien »: 51ème sur 51!</strong> Le lycée public, Frédéric et Irène et Joliot- Curie de Nanterre, occupe la 50ème place. Le lycée privé sous contrat, Madeleine Daniélou, de Rueil-Malmaison, est premier. Le journal appuie ce classement sur les données ministérielles.</span><br /><span style="font-size: medium;">Au classement régional, le lycée Agora est 446ème sur 463 et au classement national 2270ème sur 2297.</span><br /><br /><span style="font-size: medium;">Les indicateurs de valeur ajoutée des lycées évaluent non seulement la réussite des élèves de terminale d'un établissement au baccalauréat, mais aussi la capacité de cet établissement à accompagner le maximum d’élèves de seconde jusqu'à l'obtention de ce diplôme, en prenant en compte les caractéristiques sociodémographiques et scolaires des élèves. Ils offrent en cela une analyse plus fine que le taux de réussite au baccalauréat qui ne permet pas d’apprécier le caractère plus ou moins sélectif des établissements et le parcours scolaire des élèves depuis leur entrée au lycée jusqu’au baccalauréat. </span><br /><strong><span style="font-size: medium;">Trois indicateurs sont utilisés pour mesurer la "valeur ajoutée", valeur précieuse, d'un établissement.</span></strong><br /><span style="font-size: medium;"><strong>Le taux de réussite au baccalauréat</strong>, c’est-à-dire la proportion de bacheliers parmi les élèves ayant passé le baccalauréat : le taux global de réussite au baccalauréat 2011- 2012, 63%, du lycée Agora, est très inférieur au taux moyen attendu calculé par le ministère pour des élèves d'âge, d'origine sociale, de sexe et de niveau scolaire comparables et scolarisés dans des lycées comparables en termes d'âge, d'origine sociale et de sexe de l'ensemble de l'académie de Versailles, 77% . La valeur ajoutée attendue n’est pas atteinte, moins 14% ! Le taux de réussite au baccalauréat du lycée public Louis Pasteur de Neuilly, 13ème sur 51, par exemple, est de 98%. La valeur ajoutée attendue est exactement atteinte. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><img id="media-4043258" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://www.atelier-idees.org/media/02/01/3592054812.jpg" alt="Puteaux, lycée Agora,inégalité des chances, évaluation des lycées, échec, Richard Descoings, Philippe Meirieu" /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;">Le lycée privé breton Diwan de Carhaix-Plouguer, lycée bilingue, est remarquable d’efficacité, malgré ses classes surchargées. La valeur ajoutée attendue est dépassée! Le Figaro du 28 mars 2013 le classe 1er des lycées d’enseignement général de France. Les enseignements se font en breton par une pédagogie d’immersion. </span><br /><span style="font-size: medium;">2 <strong> Le taux d’accès au baccalauréat</strong>, qui est la proportion d’élèves de seconde ou de première qui obtiennent le baccalauréat en restant dans l’établissement : cette proportion pour le lycée Agora est de 39%. Pour le lycée Louis Pasteur, par exemple, elle est de 87%.</span><br /><span style="font-size: medium;">3. <strong>La proportion de bacheliers parmi les élèves qui quittent l'établissement.</strong></span><br /><span style="font-size: medium;">72% des élèves de terminale quittent le lycée Agora avec leur BAC en poche, en prenant en compte les redoublements. Au lycée Louis Pasteur, la proportion de bacheliers qui quittent l’établissement est de 98 %, redoublements également pris en compte.</span><br /><br /><span style="font-size: medium;">Le ministère de l’Education nationale ne souhaite pas réaliser un classement des lycées mais proposer, à travers cette notion de « valeur ajoutée », une image de la réalité complexe et relative que constituent les résultats d'un établissement. La presse et les usagers traduisent les résultats en classements, parfois durs mais toujours positifs s’ils induisent les nécessaires modifications des projets d’établissement.</span><br /><span style="font-size: medium;">D’autres données, non encore exploitées publiquement par le ministère, interpellent. Au lycée Agora, sur 36 élèves reçus au baccalauréat général, 2 ont eu la mention «Très bien » et 7 la mention « Assez bien ». Au lycée Pasteur, sur 86 élèves reçus au Baccalauréat général, 50 ont eu la mention « Très bien », plus de 50% donc, et 10 la mention « Assez bien ». Titulaires d’un baccalauréat national, les élèves du lycée Agora, sans mention, rencontrent une autre inégalité quant à l’accès aux Grandes écoles ou aux inscriptions en classe préparatoire. Ils ne sont pas préparés à cette autre compétition.</span></p><p style="text-align: justify;"><br /><strong><span style="font-size: medium; color: #0000ff;">La situation de ce lycée Agora est contraire aux objectifs fondamentaux de l’égalité des chances et de la réussite scolaire. L’objectif de promotion de la jeunesse n’est pas atteint. Le déterminisme social ne semble pas dépassé. L’évolution des résultats depuis 2008 interpelle.</span></strong></p><p style="text-align: justify;"><br /><span style="font-size: medium;">Des grilles nombreuses d’analyse des établissements scolaires, depuis des décennies, ont été construites par des experts. Ont-elles été utilisées depuis 2008, au lycée Agora ? Quelques critères:</span><br /><span style="font-size: medium;">- Les exclusions d’élèves par le proviseur ou le conseil de discipline sont supprimées. Les élèves perturbateurs sont inclus, en heures supplémentaires, au CDI, dans une autre classe, dans un atelier… pour y travailler.</span><br /><span style="font-size: medium;">- Les jours ou heures d’absence, sauf dans les cas justifiés, sont récupérés. Les devoirs sont obligatoirement faits et les leçons sues. Un groupe d’adultes spécialement constitué interdit l’absentéisme et les pertes d’élèves en cours de scolarité. </span><br /><span style="font-size: medium;">- L’emploi du temps prévoit le travail, en équipes disciplinaires, des professeurs, une heure par semaine .L’alignement d’une heure au moins de chaque discipline dans l’emploi du temps de plusieurs classes, d’un même niveau, permet d’ouvrir la classe pour l’organiser en groupes de besoins. La liberté pédagogique du professeur ne peut être revendiquée en situation d’échec. La cohésion, l’entraide, l’échange de documents de cours entre enseignants doivent prévaloir.</span><br /><span style="font-size: medium;">- Chaque élève, en début d’année, pense et rédige son projet scolaire annuel et son désir d’orientation. Les parents sont impliqués.</span><br /><span style="font-size: medium;">- Le proviseur, travailleur, présent, accessible, sévère, exigeant, très juste est formé à la pédagogie et aux évaluations scientifiques. Souple quant aux statuts rigides dépassés, il soutient les professeurs en difficultés par des aides concrètes et s’engage dans les initiatives les plus complexes pour les élèves en difficultés. Avec les équipes, il instaure, implacablement, un climat collectif studieux de respect mutuel. Il écoute et donne confiance.</span><br /><span style="font-size: medium;">- Des formations collectives, régulières, sur place, apportent des réponses scientifiques, modernes aux vieilles questions et inventent une pédagogie « vraiment éclairée »…</span><br /><span style="font-size: medium;">Le site www.lycee-agora.fr ne publie aucun résultat, ce1er avril 2013. Images : puteaux.fr et Ouest-France. Annie Keszey. www.notreputeaux.com</span><br /><br /></p>
Atelier des Idéeshttp://www.notreputeaux.com/about.htmlL'INEGALITE DES CHANCES ET L'ECHEC PERSISTANTS AU LYCEE AGORA.tag:www.notreputeaux.com,2013-04-02:50336702013-04-02T11:58:33+02:002013-04-02T11:58:33+02:00 Le lycée public, général et technologique, 120 rue de Verdun à...
<p style="text-align: justify;"><span style="color: #0000ff;"><strong><span style="font-size: medium;"><img id="media-4043231" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://www.notreputeaux.com/media/02/01/289275174.jpg" alt="agora.jpg" /></span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #0000ff;"><strong><span style="font-size: medium;">Le lycée public, général et technologique, 120 rue de Verdun à Puteaux, est le moins efficace des lycées du département des Hauts-de-Seine, d’après la dernière évaluation du Ministère de l’Education nationale et les interprétations raisonnées de la presse. Cette grave situation requiert une séance de travail, pour établir un plan urgent et exigeant de rétablissement du lycée, entre tous les responsables impliqués : Recteur, Proviseur, représentants des professeurs, des parents et des élèves, représentants de la région, du département et Maire de Puteaux. Les niveaux d’enseignement, avant le lycée, écoles maternelles, écoles élémentaires, collèges ne sont peut-être pas eux-mêmes performants.</span></strong></span><br /><span style="font-size: medium;">Les participants pourraient être porteurs des dernières connaissances sur les réformes à entreprendre diffusées par des spécialistes : Claude Thélot, Marcel Gauchet, Philippe Meirieu, Richard Descoings…Ce dernier, le 2 juin 2009, après avoir parcouru la France et réalisé un grand nombre d’entretiens a remis ses préconisations au Président de la République, Nicolas Sarkozy, dans un rapport précieux.</span><br /><span style="font-size: medium;">Les résultats de l’évaluation des lycées proviennent du Ministère de l’Education nationale. Les classements divers entre établissements sont des déductions qui proviennent d’autres sources.</span><br /><span style="font-size: medium;"><strong>Le lycée Agora est classé dernier du département des Hauts-de-Seine,</strong> d’après le journal « Le Parisien »: <strong>51ème sur 51!</strong> Le lycée public, Frédéric et Irène et Joliot- Curie de Nanterre, occupe la 50ème place. Le lycée privé sous contrat, Madeleine Daniélou, de Rueil-Malmaison, est premier. Le journal appuie ce classement sur les données ministérielles.</span><br /><span style="font-size: medium;">Au classement régional, le lycée Agora est 446ème sur 463 et au classement national 2270ème sur 2297.</span><br /><br /><span style="font-size: medium;">Les indicateurs de valeur ajoutée des lycées évaluent non seulement la réussite des élèves de terminale d'un établissement au baccalauréat, mais aussi la capacité de cet établissement à accompagner le maximum d’élèves de seconde jusqu'à l'obtention de ce diplôme, en prenant en compte les caractéristiques sociodémographiques et scolaires des élèves. Ils offrent en cela une analyse plus fine que le taux de réussite au baccalauréat qui ne permet pas d’apprécier le caractère plus ou moins sélectif des établissements et le parcours scolaire des élèves depuis leur entrée au lycée jusqu’au baccalauréat. </span><br /><span style="font-size: medium;"><strong>Trois indicateurs sont utilisés pour mesurer la "valeur ajoutée", valeur précieuse, d'un établissement</strong>.</span><br /><span style="font-size: medium;"><strong>Le taux de réussite au baccalauréat</strong>, c’est-à-dire la proportion de bacheliers parmi les élèves ayant passé le baccalauréat : le taux global de réussite au baccalauréat 2011- 2012, 63%, du lycée Agora, est très inférieur au taux moyen attendu calculé par le ministère pour des élèves d'âge, d'origine sociale, de sexe et de niveau scolaire comparables et scolarisés dans des lycées comparables en termes d'âge, d'origine sociale et de sexe de l'ensemble de l'académie de Versailles, 77% . La valeur ajoutée attendue n’est pas atteinte, moins 14% ! Le taux de réussite au baccalauréat du lycée public Louis Pasteur de Neuilly, 13ème sur 51, par exemple, est de 98%. La valeur ajoutée attendue est exactement atteinte.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><img id="media-4043233" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://www.notreputeaux.com/media/00/01/3592054812.jpg" alt="seconde image diwan.jpg" /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"> Le lycée privé breton Diwan de Carhaix-Plouguer, lycée bilingue, est remarquable d’efficacité, malgré ses classes surchargées. La valeur ajoutée attendue est dépassée! Le Figaro du 28 mars 2013 le classe 1er des lycées d’enseignement général de France. Les enseignements se font en breton par une pédagogie d’immersion. </span><br /><span style="font-size: medium;">2 <strong>Le taux d’accès au baccalauréat,</strong> qui est la proportion d’élèves de seconde ou de première qui obtiennent le baccalauréat en restant dans l’établissement : cette proportion pour le lycée Agora est de 39%. Pour le lycée Louis Pasteur, par exemple, elle est de 87%.</span><br /><span style="font-size: medium;">3. <strong>La proportion de bacheliers parmi les élèves qui quittent l'établissement.</strong></span><br /><span style="font-size: medium;">72% des élèves de terminale quittent le lycée Agora avec leur BAC en poche, en prenant en compte les redoublements. Au lycée Louis Pasteur, la proportion de bacheliers qui quittent l’établissement est de 98 %, redoublements également pris en compte.</span><br /><br /><span style="font-size: medium;">Le ministère de l’Education nationale ne souhaite pas réaliser un classement des lycées mais proposer, à travers cette notion de « valeur ajoutée », une image de la réalité complexe et relative que constituent les résultats d'un établissement. La presse et les usagers traduisent les résultats en classements, parfois durs mais toujours positifs s’ils induisent les nécessaires modifications des projets d’établissement.</span><br /><span style="font-size: medium;">D’autres données, non encore exploitées publiquement par le ministère, interpellent. Au lycée Agora, sur 36 élèves reçus au baccalauréat général, 2 ont eu la mention «Très bien » et 7 la mention « Assez bien ». Au lycée Pasteur, sur 86 élèves reçus au Baccalauréat général, 50 ont eu la mention « Très bien », plus de 50% donc, et 10 la mention « Assez bien ». Titulaires d’un baccalauréat national, les élèves du lycée Agora, sans mention, rencontrent une autre inégalité quant à l’accès aux Grandes écoles ou aux inscriptions en classe préparatoire. Ils ne sont pas préparés à cette autre compétition.</span><br /><span style="color: #0000ff;"><strong><span style="font-size: medium;">La situation de ce lycée Agora est contraire aux objectifs fondamentaux de l’égalité des chances et de la réussite scolaire. L’objectif de promotion de la jeunesse n’est pas atteint. Le déterminisme social ne semble pas dépassé. L’évolution des résultats depuis 2008 interpelle.</span></strong></span><br /><span style="font-size: medium;">Des grilles nombreuses d’analyse des établissements scolaires, depuis des décennies, ont été construites par des experts. Ont-elles été utilisées depuis 2008, au lycée Agora ? Quelques critères:</span><br /><span style="font-size: medium;">- Les exclusions d’élèves par le proviseur ou le conseil de discipline sont supprimées. Les élèves perturbateurs sont inclus, en heures supplémentaires, au CDI, dans une autre classe, dans un atelier… pour y travailler.</span><br /><span style="font-size: medium;">- Les jours ou heures d’absence, sauf dans les cas justifiés, sont récupérés. Les devoirs sont obligatoirement faits et les leçons sues. Un groupe d’adultes spécialement constitué interdit l’absentéisme et les pertes d’élèves en cours de scolarité. </span><br /><span style="font-size: medium;">- L’emploi du temps prévoit le travail, en équipes disciplinaires, des professeurs, une heure par semaine. L’alignement d’une heure au moins de chaque discipline dans l’emploi du temps de plusieurs classes, d’un même niveau, permet d’ouvrir la classe pour l’organiser en groupes de besoins. La liberté pédagogique du professeur ne peut être revendiquée en situation d’échec. La cohésion, l’entraide, l’échange de documents de cours entre enseignants doivent prévaloir.</span><br /><span style="font-size: medium;">- Chaque élève, en début d’année, pense et rédige son projet scolaire annuel et son désir d’orientation. Les parents sont impliqués.</span><br /><span style="font-size: medium;">- Le proviseur, travailleur, présent, accessible, sévère, exigeant, très juste est formé à la pédagogie et aux évaluations scientifiques. Souple quant aux statuts rigides dépassés, il soutient les professeurs en difficultés par des aides concrètes et s’engage dans les initiatives les plus complexes pour les élèves en difficultés. Avec les équipes, il instaure, implacablement, un climat collectif studieux de respect mutuel. Il écoute et donne confiance.</span><br /><span style="font-size: medium;">- Des formations collectives, régulières, sur place, apportent des réponses scientifiques, modernes, aux vieilles questions et inventent une pédagogie « vraiment éclairée »…</span><br /><span style="font-size: medium;">Le site www.lycee-agora.fr ne publie aucun résultat, ce 2 avril 2013. </span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: medium;">Images:puteaux.fr et Ouest-France.</span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: medium;"> Annie Keszey</span></p>
MILIQUEhttp://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/about.htmlÉCHEC PARTAGEtag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2013-03-19:49955172013-03-19T09:00:00+01:002013-03-19T09:00:00+01:00 ÉCHEC PARTAGE Une révolte légitime a généré de...
<p style="text-align: center;"><img id="media-3982749" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/01/00/4199647514.jpeg" alt="REVOLTE.jpeg" /></p><p style="text-align: center;"> </p><div><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium; font-family: arial black,avant garde;"><strong><span style="color: #339966; font-size: x-large;">ÉCHEC PARTAGE</span><br clear="none" /></strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium; font-family: arial black,avant garde;"><strong>Une révolte légitime a généré de récentes péripéties</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium; font-family: arial black,avant garde;"><strong>Accompagnées d'encore trop nombreuses maladresses.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium; font-family: arial black,avant garde;"><strong>Menacée par le possible d'une répression collective,</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium; font-family: arial black,avant garde;"><strong>L'obligation nécessaire à d'essentielles alliances</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium; font-family: arial black,avant garde;"><strong>A mis en avant l'exigence des combats communs.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium; font-family: arial black,avant garde;"><strong>Lui, à la fois rêveur et redoutablement pragmatique,</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium; font-family: arial black,avant garde;"><strong>A puisé en son tréfonds l'initiative d'une relance</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium; font-family: arial black,avant garde;"><strong>Dans la compréhension vitale de l'intangible urgence</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium; font-family: arial black,avant garde;"><strong>A dépasser la querelle née d'un échec à partager.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium; font-family: arial black,avant garde;"><strong>Quelle autre explication plausible opposer à tout cela?</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium; font-family: arial black,avant garde;"><strong>Il doit, l'impératif l'exige, sortir l'avenir de l'oubli</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium; font-family: arial black,avant garde;"><strong>Pour lui offrir bien davantage qu'un long soupir.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: medium; font-family: arial black,avant garde;"><strong>P. MILIQUE </strong></span></p></div>
MILIQUEhttp://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/about.htmlJE M'ACCUSE 24tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2013-01-24:49571702013-01-24T09:39:00+01:002013-01-24T09:39:00+01:00 Je m'accuse De n'avoir toujours Pensé mon...
<p style="text-align: center;"><img id="media-3582872" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/00/02/2935823739.jpg" alt="JE M'ACCUSE.jpg" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: x-large;"><strong><span style="font-family: arial black,avant garde; color: #0000ff;">Je m'accuse</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: x-large;"><strong><span style="font-family: arial black,avant garde; color: #0000ff;">De n'avoir toujours</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: x-large;"><strong><span style="font-family: arial black,avant garde; color: #0000ff;">Pensé mon existence</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: x-large;"><strong><span style="font-family: arial black,avant garde; color: #0000ff;"> Qu'en termes de fuites et d'échecs. </span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: x-large;"><strong><span style="font-family: arial black,avant garde; color: #0000ff;">L'implacable bilan alors dressé s'exalte, </span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: x-large;"><strong><span style="font-family: arial black,avant garde; color: #0000ff;">Aussi lucide que désespérant.<br /></span></strong></span></p>
MILIQUEhttp://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/about.htmlOUTRAGE RELATIONNELtag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2012-12-31:49082232012-12-31T09:11:00+01:002012-12-31T09:11:00+01:00 OUTRAGE RELATIONNEL C'est avec une...
<p style="text-align: center;"><img id="media-3852903" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/02/02/2566428529.jpeg" alt="IMPASSE.jpeg" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><div><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde;"><strong><span style="font-size: large;">OUTRAGE RELATIONNEL </span></strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>C'est avec une forme d'opiniâtreté douteuse</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Condamnée à l'impasse donc à l'échec,</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Qu'il s'était sans prudence investi</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Dans cette improbable aventure</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Consistant à prendre d'emblée le parti</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>De tous les oubliés, vagabonds du monde.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>A force de lutter adossé au mur,</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>La gravité de l'outrage relationnel</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Est devenue aveuglante de clarté.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Avec un soupir d'infini soulagement,</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>L'apparence d'une normalité affichée</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>S'est un jour dissoute en un lourd silence</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Dans la désintégration parvenue d'une vie gâchée,</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Dans l'élaboration de mensonges délibérément établis.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Pour rien.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>P. MILIQUE </strong></span></p></div>
Pascal Adamhttp://theatrummundi.hautetfort.com/about.htmlMise en espace aléatoiretag:theatrummundi.hautetfort.com,2012-06-20:47583152012-06-20T23:43:00+02:002012-06-20T23:43:00+02:00 En prose : S’est jeté dans la...
<p style="text-align: center;"><a href="http://theatrummundi.hautetfort.com/media/00/02/2631459009.jpg" target="_blank"><img id="media-3636005" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://theatrummundi.hautetfort.com/media/00/02/545466588.jpg" alt="2012-06-20 15.30.41.jpg" /></a></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;">En prose :</span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;">S’est jeté dans la gueule du poème celui qui fait du moins disant mieux disant, et sa bulle de vide n’en nourrira pourtant pas la poésie, tant mieux.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times; font-size: medium;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-family: 'times new roman', times; font-size: medium;">Commentaire :</span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times; font-size: medium;">Il est quand même difficile de ne pas se foutir, mais en acte, de la gueule de la poésie d’aujourd’hui, de sa nécessité à la mords-moi-l’-nœud – et dans la foulée de sa propre gueule à soi. Mais presque aléatoirement tartiner sur toute la page cette pauvre phrase en prose ne prenant pas deux minutes au café, ce serait dommage de se priver de ce petit plaisir narcissique. Quant à ce que ça fait...</span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p>
Notehttp://almasoror.hautetfort.com/about.htmlNostalgies des chansons : la comtesse au cœur brûlétag:almasoror.hautetfort.com,2012-05-21:47000812012-05-21T07:18:00+02:002012-05-21T07:18:00+02:00 (Un billet d'Esther Mar) « Ma vie ne fut que cet...
<p style="text-align: center;"><img id="media-3563051" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://almasoror.hautetfort.com/media/00/00/3217326608.jpg" alt="extase, Pierre Bachelet, India Song, Marguerite Duras, Jeanne Moreau, Monsieur William, Léo Ferré" /></p><p style="margin-bottom: 0cm;"><em><br /></em></p><p style="margin-bottom: 0cm;"><em>(Un billet d'Esther Mar)</em></p><p style="margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm;"><em>« Ma vie ne fut que cet échec du rêve »</em><br /><em>Jacques Bertin</em></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">Elle était comtesse comme je suis reine du Zimbabwe et elle avait un cœur brûlé aux substances illicites et aux amours suicidées. Elle les écoutait, ces chansons, en marchant dans l'hôtel à l'aube, attendant avidement que le jour se lève pour dissoudre ses angoisses. Elle était belle, je crois – je trouve -, mais j'étais jeune et son visage en mon esprit est une reconstitution impalpable.</p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">J'ai retrouvé toutes les chansons que j'ai connues grâce à elle et c'est un hommage que j'offre aujourd'hui à sa mémoire, à la mémoire de la comtesse au cœur brûlé.</p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">Bienvenue dans mon bain de nostalgie musicale, en voix, en étrangeté et en délicatesse.</p><p style="margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm;">Monsieur William, texte par Jean-Roger Caussimon, musique et voix de Léo Ferré.</p><p><object id="gsSong341613719" width="250" height="40" data="http://grooveshark.com/songWidget.swf" type="application/x-shockwave-flash"><param name="wmode" value="window" /><param name="allowScriptAccess" value="always" /><param name="flashvars" value="hostname=cowbell.grooveshark.com&songIDs=34161371&style=metal&p=0" /><param name="src" value="http://grooveshark.com/songWidget.swf" /><img src="http://www.hautetfort.com/admin/javascript/tinymce/themes/advanced/img/trans.gif" class="mceItemMedia mceItemFlash" width="250" height="40" data-mce-json="{'video':{},'params':{'wmode':'window','allowScriptAccess':'always','flashvars':'hostname=cowbell.grooveshark.com&songIDs=34161371&style=metal&p=0','src':'http://grooveshark.com/songWidget.swf'},'object_html':'<span>Monsieur william by <a href="http://grooveshark.com/artist/L+o+Ferr/88422" title="Lu00e9o Ferru00e9">Lu00e9o Ferru00e9</a> on Grooveshark</span>'}" alt="" /></object></p><p style="margin-bottom: 0cm;">L'écharpe, écrite et interprétée par Maurice Fanon.</p><p><iframe width="480" height="360" src="http://www.youtube.com/embed/Blp1r-m2j6k" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p style="margin-bottom: 0cm;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm;">Emmanuelle, écrite et interprétée par Pierre Bachelet.</p><p><object id="gsSong3077001788" width="250" height="40" data="http://grooveshark.com/songWidget.swf" type="application/x-shockwave-flash"><param name="wmode" value="window" /><param name="allowScriptAccess" value="always" /><param name="flashvars" value="hostname=cowbell.grooveshark.com&songIDs=30770017&style=metal&p=0" /><param name="src" value="http://grooveshark.com/songWidget.swf" /><img src="http://www.hautetfort.com/admin/javascript/tinymce/themes/advanced/img/trans.gif" class="mceItemMedia mceItemFlash" width="250" height="40" data-mce-json="{'video':{},'params':{'wmode':'window','allowScriptAccess':'always','flashvars':'hostname=cowbell.grooveshark.com&songIDs=30770017&style=metal&p=0','src':'http://grooveshark.com/songWidget.swf'},'object_html':'<span>Emmanuelle by <a href="http://grooveshark.com/artist/Pierre+Bachelet/115060" title="Pierre Bachelet">Pierre Bachelet</a> on Grooveshark</span>'}" alt="" /></object></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm;">India Song, texte de Marguerite Duras, musique de Carlos d'Alessio, voix de Jeanne Moreau.</p><p><object id="gsSong2483094658" width="250" height="40" data="http://grooveshark.com/songWidget.swf" type="application/x-shockwave-flash"><param name="wmode" value="window" /><param name="allowScriptAccess" value="always" /><param name="flashvars" value="hostname=cowbell.grooveshark.com&songIDs=24830946&style=metal&p=0" /><param name="src" value="http://grooveshark.com/songWidget.swf" /><img src="http://www.hautetfort.com/admin/javascript/tinymce/themes/advanced/img/trans.gif" class="mceItemMedia mceItemFlash" width="250" height="40" data-mce-json="{'video':{},'params':{'wmode':'window','allowScriptAccess':'always','flashvars':'hostname=cowbell.grooveshark.com&songIDs=24830946&style=metal&p=0','src':'http://grooveshark.com/songWidget.swf'},'object_html':'<span>India Song by <a href="http://grooveshark.com/artist/Jeanne+Moreau/43682" title="Jeanne Moreau">Jeanne Moreau</a> on Grooveshark</span>'}" alt="" /></object></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm;">Esther Mar</p><p style="text-align: center;"><img id="media-3563053" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://almasoror.hautetfort.com/media/01/01/2259186970.jpg" alt="extase, Pierre Bachelet, India Song, Marguerite Duras, Jeanne Moreau, Monsieur William, Léo Ferré, Maurice Fanon, l'écharpe, Esther Mar" /></p><p style="text-align: center;">Merci aux internautes qui ont mis les vidéos à disposition.<span class="st"><br />Merci à <a href="http://almasoror.hautetfort.com/mavra-photographe.html" target="_blank">Mavra Nicolaïevna Novogrochneïeva</a> pour les photos. <br /></span></p>
herissonhttp://deliredumonde.hautetfort.com/about.htmlC'est un echec ! ! !tag:deliredumonde.hautetfort.com,2012-05-03:46363372012-05-03T23:55:00+02:002012-05-03T23:55:00+02:00 Il faut en tirer les conséquences ...
<p><br /><br /><object style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" width="425" height="355" data="http://www.youtube.com/v/ZcgQvZZeBVU&rel=1" type="application/x-shockwave-flash"><param name="wmode" value="transparent" /><param name="src" value="http://www.youtube.com/v/ZcgQvZZeBVU&rel=1" /></object></p><p> </p><p style="text-align: center;"> <span style="font-size: small;"> Il faut en tirer les conséquences . . . (sic)</span></p>
DHhttp://www.dh-conseil.eu/about.htmlIl y a une vertu positive de l’échec, par Charles Pépintag:www.dh-conseil.eu,2011-12-14:39405222011-12-14T05:53:00+01:002011-12-14T05:53:00+01:00 Le philosophe Charle Pepin jette un regard éclairé sur...
<p><img style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="data:image/jpeg;base64,/9j/4AAQSkZJRgABAQAAAQABAAD/2wCEAAkGBhQQEBIUEBQVFBUVFBQUFBQUFRQVFBAVFBAVFBUVFBUXHCYeGBwjGRQUHzAgIycpLC0sFR8xNTAqNSYrLCkBCQoKDgwOGg8PGikcHyQpKSwpKSwpLCwpKSosKSkpLCksLCksLCkpLSkpKSksLCkpKSkpLCksKSwpLCksLCksKf/AABEIALcBEwMBIgACEQEDEQH/xAAcAAABBQEBAQAAAAAAAAAAAAACAAEDBQYEBwj/xAA+EAACAQIDBgMGBQMDAwUBAAABAgADEQQhMQUGEkFRYRNxkSIygaGxwQdCUtHwI3LhFGKSJILxM0NTY8IV/8QAGQEAAgMBAAAAAAAAAAAAAAAAAAECAwQF/8QAKBEBAQACAgIBAgYDAQAAAAAAAAECEQMhEjFBMlEEEyJhcZHR4fBC/9oADAMBAAIRAxEAPwDcqJIsFRJAJkajqJIoggSRYEICPaMIYEYICEBEBCtAGIhARESOviVQXY2+/lAJSbSB8XyGfkL+so9tbeA4VGWpvxKNBkNZBs3F06pfhGYa17gEAWtbtr95HyS8WmoYgNrkehk4ErKNRWXOwItplYywStcZG8lKjYlgiLijrGR4oooEUcxhHMAGHBhwCIjOK0c6xQBrRiIUaAARGtDaMIANoFpJaCRAI7QbSQiDaARkSKoJMRI6ggHORFJCsURgWSLIhJFiSSAQhBEkURkcCGIwhAQB4UYRO4AJOggEOOxq0ULuQoHM/bqe08z3n3wep1VbeyuVyL6k6nl2nJvvvkXZgGbmFUZBVy946knoLAdzpgKmJZiSfmZD6lk1itcdtp3zLEkaXMWE3nqKbhiGGl5RsxP8vIRhCTcyfhEblWoq771y3vm46ZfIzR7D/ECq7Klc3zBVrcJBBvYka6Wz6zz9aHU3I+XmZ1UqvDpn/OsVk+Bu/L6A2ftxaik3vY2v9vr6S1o1gRcT5/wO8dSl7rsvl9Jrtgb+txKGsRkCbnPzuYt69n479PV7x5WYfatMqCHDXF7LmdNLCdlDEcWRBHnlJbV2JxHMQiMZGEOBDEAjbWPE8UAUa0eKACRGEIxhAGtAIkkEiBIyIxhmCYBGYDyUiRuIGiMePaNAIlEICMskUSKR1EkWCBDURgQEMQRCECOBMxv1vCMNh2Cn23BC9RlmZp7zxX8TMeXxbqNBYAm+gFiAOnEDFUsWLxNQuxJgBbny+vSSNy8r/sIz5AD+d5KComhIbZ9vtnAU5/H6CET9PqYyPQqWOefx6ycuToPWdGyNkGsbgWGnEc/QTVYbd1FtcX+8qz5JGjj4csptQ7H2Mapz0GveXWN2EKCNUpAkjhy/QeMXbuLXEvcNhggFgBOrgDAg5gggjqCM5R+ZbWn8iTHTabCXioox5jMW0POWgXO/aw+/0E5NlKPCFtCBb0E7hNU9OdfZxFFFJImhiBCEQC8UTxCAKKKKANGhQYA8ZoUFoyAYJhmCYABgOJIYDRBFFCigbnUQxEohgSKRwZIIAEMRgQhARhCECNVcKCToBc+QnzpvFtA1qruxuXP/ABHJfSw8hPoXHt/SqZ/lbXIaT5v2i4Dnmb/fkIr7Tx9Ofiz+X0kdV7nLlJKS8zlI6lYDID/MlBQKn+ZJRpl2AXU2Akb1MrTQ7v4NVHESCT8hFllqbS48PK6aDY+BFKmFHLXuZaoJXriVAyM5MXtJjdVyyzPne3rY+kx+Nyrp7mMaBKoGsnFUDO+UwisXfhLH43yt2ynXVesyFUN6a8PGwGagtw9fjLPylX5/Xp67ultanXpFUYMaZsewa5H3Hwl8J5lufsyvTovUp0lZW1LYmrRK8AOq019o585ut2qrNhaRe5JDZkliQKjAXJzJtaaMeunOz7tqziiikkDQlgxxAGeIR3ggwB4ohFAFBMKCYgKMY4jGMgmCYRgmACYLQzAMAiiiiiNGskEBYaxJDAhAQRCEZCCx4wEeAYP8S8fVSmBSLKrXD6i+WhtnbI9tZ5BUqqDfInrnPWt/Mbei2vQAakkEXPQWvYa5E+Xj2JQqSW1kMe6svUR1sR2nVhdkl7Z2va5t20nDUHun4zQYN/EQFfIrexBuT95LK6nSfFjMr2pa2A4X4X05HrNHszYFFl90H4t9jCbZvHSs6lWF9efMEGTbDw70rhiCMrSrLO2e1+HHMcu507aO7uHH/tDpmWP1MKjsynSZx7KA8JW+Q0IIBPSw9Z306kmRryryrTePH46VHhUyxPEDrkpuSetluTO/YlIUgbZcRvboNAD8Bp3h424UhdbSqqbXKZKliObf4Efd6hSY43dem7C4qmHejSCgfqY5IH1soFzoemus0mFw4poqLooAHe3OY78O6jMajMR7i6aZkGbaaMPTnc+pndFGijEyakoQgiPeAO+kEQmgLACijR4AoJjxjACWIxljmBAMEwoxgAmRsZIYDQDzvbH4hPRr1KYpj2WtmSDpHj7xVqQxNQMEJut7tn7ixStY3AaGDI1kgkiSKYYkQkimASiOYF5HimARib5AnK98vKMmD3zwYU1KjDLhdVW+jZDjt3CjPpPHtpPxMfM9+09R/EGmzGkVqMytxBWJUhcuI34QLezfXoehnlmLXM2OXXrI4e1mXpDRq5cLfD9pLh67Um4kPmOR8xK9hJQ5+ctsVzKxtsLtcVUFxY/KdlJ5mNguTxD4y5o1rHOZcsdV0MOTym6t6ZMnFW06NmYNGpXce01+E3OQ5G3nKqtXt8Lg+YkJ2tu5JUeP2oFaxYKO51lTW2rTzvdutgbetpNUe5JI9bSVd2K+KUWtSpk3Lvf2v7VGZ+Qls1PbPlvL124ae/WJpBlw1Q0VNr8NuMhb2uxFxrytLHY/4pY6iwLVTWXmlb2gfJveHwM59rfh89NVOHfxmJsycIQjL3hdrWy59pmcThnouUqqUZdVYWIl+Nxs6ZOTHPG/qj6Q3V3spbQpcdP2WWwqUybtTJ0z5qbGx7cjLqfNe6m9L4DEpWUEro66Coh95fuOhAn0hhcStREdDdXVXU9VZQwPoRCzSCUCKNeIxATQFhmRrACjyOrVCi7EAdSbCGjggEG4PMZgwGvkoxmQbeepSxNRat7ByCv+2+RX4WM1lGuHUMpuCLgyGOUyWZ8Vw1b8jWEZBVxK0xdyFHeSU6oYAqbg6Ec5LavV1sjGjmNGQTAaEYLRB45vjsnix1c21ZTqP/jWPK/fLd7EHH4gorMpfiBF7WZQfvFEk9nWSLIlkqwMYEMCCJR72b3U8BSNyDVYf06Z58uJraKPnaw7ML96gUXYgDqSAPUxqeISpkrq39rK30M+ddubXqYxy9d2Y8rn2V7Kui/CUjgofZPxEn4oeT078R6OHwz8CHi49adOoy+A+vE65rmCcsiOmc8wq1b3EGtXLjMm/n6yEVc84TDR+WxNS9ekdcx8ZCzjlJsM3tCMo0WwaNhLnD4PjqKLam58hmZwbNGWU1GyKQCM3Mnh8gM/55TJnXR4sZp0viOEFjkAPpymZPE7HhBJY6DU36S7xbGpdV068rg6Ts2RgVpi497mfsOkql0vzly6Q7K3fWlZ61mfkn5V8/1H5Syq41m9gZsdATkB1PQSOvVI9wcTHToO7HpHoYUIDc3Y5u/X9h2kbbfZySdRJVVcOhqM1+EEu1tABc2HSYA4tcdizWZfZXhRAbXIXO7d8/n2my29W4cHWYnLw2Udy44AfnPLsDialFvYsRzH80mnhx6tY/xGfcx+HptbYFHE0Ch9kkey+pRuR7jt0npO7+GFHB4emWB8OjSQtfIlUCnXuDPGtkbyAlR+Y5cJNhfzHL9pDvRtiq1bw/E/plQyoDZVbhsSUGV7j0tLMZZ1WfLV7j3yIzzjcjfVwtOhUDVQotxgMzBeV+wOWfS09FRwwBGYOYklY4AMORiAUm9AWoq0xUCVQeNAxsGyI4WOgvyJmf2Zt6rh34CpyPt02yseduhl3vNu6ax8Wlm4FmQ6VANLHk3yMytR2f2alwyeyvFfjp2/Ib5lf9p05EZ3z57l238Wrh4+/vGj25hEx1PxKH/rIL8OjOvNO/Y/DnKzYO8PgkA+4TZgfy52J7ESppY91YcN1dfUdx1BkNSqRXYsBaoS/YMTdh6mV3Lvfysx45q43uLzbu1jVrsqn2VJVemRsT8T9pt8JhxTpqo5ADzPM+t5gNi4MVMRTFsiwv3C5n5CeiGXcXe6z/ibqY4T4MYMcwZcxmMEwjAMQQPQUm5AikhigblUyVTIEMkDSKbh3l3gXBUDUbNj7NNf1tb6DU/5nhW0toPWqM9Q8bMbknMn4mX+/wBtxsTi3APsUiaaD+02Zvibn06TJu/WXYxXaFmt1H0kTAcv8GGxkTDpJIoXT4GREX85MT1kTrGSG1pNRNiDGtfzj0oBqNl19Ok1OAa6dr/YTC7IrXJF9PpNtsxCKV+py8hl+8x8006PBltYF/hCpvaQr1MkB6zO1bWFGoLd4LLxHPTp+o95z4edS9v/AAItHWS3+2iVCUVvZjxseR4TYL65+kx1Fpdb9Y4NiQi6U1AP9zHi+Q+8oqZyM6HFNYxyua7zqbDViHy/hkdZiWPEb3PvdfORhvaHnDL3veWaVbbzcjHpRojxRduPjAJI8ZbABeIaHLn65kj13Ym0qVamDROQ1U+8h1IYHMa/wZzwzYOIDr4ds0W/mo/a81+7hYuGWt4TKSA3CDxqrZioCRcdBlbW4Mpt1e1sm49VEDnMxjt/aeHpBqo4nY8KeGQadUjUq+gtzBzFxlmCezYG9lLF5D2H/QTr/aecEdKfbmIq4TGGqCSr5rf3SAACh8vuDO7E0Ke0EFSiQlYLmp1b/a3UdG5fKX2PwCV6ZSoLg+qnkQeRE8/2rs2rg6gse6VFyvb6HqJVlNfw14ZTPXxY5HUkkNcEEjupGvxhizZONM/8iR7S2lUqVRUZVsVCuVFrsPzMPTTpDRrzPWqfuvd0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alt="" /></p><p> </p><p><strong><span class="Apple-style-span" style="line-height: 17px; background-color: #fdfdfd; color: #993300; font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;">Le philosophe Charle Pepin jette un regard éclairé sur l’univers de l’entreprise… Prof et consultant, Charles Pépin observe ainsi que si outre-Atlantique l’échec est quasiment un brevet de compétence tant il a forgé l’expérience, en France il rend suspect, ferme les portes, interdit une seconde chance. Alors qu’aux Etats-Unis, c’est quasiment l’inverse : ne pas avoir connu l’échec suscite la suspicion. “Car le succès n’apprend pas grand- chose”, enseigne le professeur qui appelle à la rescousse Lacan, Bachelard et Nietsche afin de démontrer que les savants ne progressent que grâce aux erreurs.</span></strong></p><p> </p><p style="background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: #fdfdfd; border-style: initial; border-color: initial; margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 20px; margin-left: 0px; vertical-align: baseline; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-family: arial, sans-serif; text-align: justify; color: #333333; font-size: 12px; line-height: 17px; border-width: 0px; padding: 0px;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small; color: #333333;">Bref, le manager qui ne doute pas, qui n’a pas conscience de ses fragilités… est des plus fragiles. Cela peut changer, en donnant des dimensions plus humanistes à l’enseignement, dans les entreprises. Plutôt qu’un sans-faute inoxydable et élitiste, le management revu et corrigé par Charles Pépin réclame le droit à l’erreur et à une seconde chance. “Mais comme on a pris pour habitude le déni des erreurs, cela n’est pas des plus commodes.” Avec un peu de philosophie.</span></p><p style="background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: #fdfdfd; border-style: initial; border-color: initial; margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 20px; margin-left: 0px; vertical-align: baseline; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-family: arial, sans-serif; text-align: justify; color: #333333; font-size: 12px; line-height: 17px; border-width: 0px; padding: 0px;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small; color: #333333;"><strong>"</strong>L’échec est perçu de façon radicalement différente en France qu’aux Etats-Unis et dans beaucoup d’autres pays. Nous avons une vision assez négative de l’échec, plus précisément de celui qui a échoué. Quelqu’un qui a échoué est d’abord vu comme un homme qui a échoué. <span style="color: #993300;"><strong>Alors qu’aux Etats-Unis par exemple, mais aussi en Grande-Bretagne, dans les pays scandinaves, un homme qui a échoué, c’est d’abord un homme qui a une expérience, qui a tenté quelque chose, et parfois même, surtout aux Etats-Unis, c’est éventuellement un homme qui va réussir et n’a pas encore réussi.</strong></span></span></p><p style="background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: #fdfdfd; border-style: initial; border-color: initial; margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 20px; margin-left: 0px; vertical-align: baseline; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-family: arial, sans-serif; text-align: justify; color: #333333; font-size: 12px; line-height: 17px; border-width: 0px; padding: 0px;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small; color: #333333;">Chez nous, c’est suspect… alors que rétroactivement, on ne trouve pas d’exemple de grande vie accomplie avec exclusivement des succès. Si on creuse un peu en s’interrogeant sur cet état de fait, on s’aperçoit que cela peut signifier un autre rapport au temps. C’est intéressant car ce n’est pas ce que l’on croit. En effet, on a l’impression que l’Américain est court-termiste, qu’il veut de la jouissance immédiate tout de suite et que le Français, lui, pourrait miser sur le long terme. C’est plutôt le contraire qui apparaît. En vérité, il y a un court-termisme spécifiquement français qui fait que l’on prend une situation à l’instant T et qu’on l’absolutise. Contrastant avec une culture anglo-saxonne – une sorte de prise en compte d’une temporalité qui fait qu’on se dit, de toute façon on jugera à la fin, pour l’instant, on va voir. Intéressant car ce n’est pas ce qu’on croit spontanément.</span></p><p style="background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: #fdfdfd; border-style: initial; border-color: initial; margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 20px; margin-left: 0px; vertical-align: baseline; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-family: arial, sans-serif; text-align: justify; color: #333333; font-size: 12px; line-height: 17px; border-width: 0px; padding: 0px;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small; color: #993300;"><strong style="background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: transparent; border-style: initial; border-color: initial; vertical-align: baseline; font-weight: bold; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-family: inherit; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial; border-width: 0px; padding: 0px; margin: 0px;">Le succès n’apprend pas grand-chose, alors que l’échec…</strong></span><br /><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small; color: #333333;">Cette culture anglo-saxonne pense qu’il a pu s’enrichir de cet échec, et que cela apporte un plus. Du coup, cela permet de préciser autre chose : finalement, il n’y a peut-être pas vraiment de sagesse enfantée par le succès. Au fond, qu’apprend-on d’un succès ? Pas grand-chose, il y a une forme d’ivresse, une joie, mais est-ce qu’il y a une sagesse enfantée de succès ? Ce n’est pas sûr. <span style="color: #993300;">A contrario, il peut y avoir une sagesse enfantée par l’échec. Certes, pas toujours, il y a des échecs qui détruisent, mais il peut y avoir une sagesse enfantée par ceux-ci.</span></span></p><p style="background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: #fdfdfd; border-style: initial; border-color: initial; margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 20px; margin-left: 0px; vertical-align: baseline; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-family: arial, sans-serif; text-align: justify; color: #333333; font-size: 12px; line-height: 17px; border-width: 0px; padding: 0px;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small; color: #333333;">Il y a une vertu positive de l’échec, mais à plusieurs conditions. Il faut d’abord accepter de le reconnaître. Ensuite, il faut essayer de l’analyser. Donc accepter ce temps de l’analyse de l’échec, parfois long. <span style="color: #993300;">Cela signifie avoir présente en soi l’idée que la réussite n’est pas le succès, que la réussite est sur le long terme alors que le succès est ponctuel et que peut-être le succès trop tôt a un coût.</span> On voit par exemple des sportifs ayant trop de succès trop tôt et ne pas s’en remettre, car il ne faut jamais oublier cette dimension du coût du succès, souvent en termes de fatigue physique, psychique. Ce temps qu’on a gagné quelque part, on peut le reperdre après.</span></p><p style="background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: #fdfdfd; border-style: initial; border-color: initial; margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 20px; margin-left: 0px; vertical-align: baseline; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-family: arial, sans-serif; text-align: justify; color: #333333; font-size: 12px; line-height: 17px; border-width: 0px; padding: 0px;"><span style="color: #993300;"><strong><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small;">Le système scolaire parmi les responsables</span></strong></span><br /><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small; color: #333333;">Je ne vais pas remonter à la Révolution française ou à Clovis pour trouver les causes de cette différence culturelle concernant l’échec,je n’en sais rien. Ce qui est certain, c’est qu’il y a une cause venant du système scolaire. Le nôtre favorise les bons élèves, et cette idolâtrie du bon élève pousse à ne pas trop s’intéresser à celui qui n’est pas très bon scolairement, mais qui a du talent. C’est un problème. C’est d’ailleurs peut-être en train de changer avec cette espèce de culture qui vient des quartiers plus simples, où, en fait, le bon élève est mal vu. Cela veut dire que l’on ouvre un peu les yeux sur des talents qui seraient moins scolaires, qui seraient moins le talent du premier de la classe mais un talent plus singulier qui peut tout à fait donner ensuite de bons chefs d’entreprise ou des entrepreneurs intéressants. N’oublions pas quand même qu’il y a beaucoup d’entrepreneurs qui réussissent après avoir été de mauvais élèves. Des autodidactes.</span></p><p style="background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: #fdfdfd; border-style: initial; border-color: initial; margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 20px; margin-left: 0px; vertical-align: baseline; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-family: arial, sans-serif; text-align: justify; color: #333333; font-size: 12px; line-height: 17px; border-width: 0px; padding: 0px;"><strong><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small; color: #993300;">Positiver l’échec, début du succès</span></strong><br /><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small; color: #333333;">Pour qu’en France, l’échec devienne constructif, il faudrait d’abord s’en nourrir et comprendre, grâce à un peu de théorie, pourquoi il y a une vertu positive de l’échec. On pourrait par exemple se souvenir de ce que disait Gaston Bachelard, philosophe français, à propos de la manière dont les savants ont progressé dans la science. <span style="color: #993300;">Il explique très bien que les savants, comme nous tous, commencent toujours par se tromper. La première idée qu’ils se font des choses est fausse, et il y a toujours un travail pour déconstruire les premières idées fausses. Donc ce n’est pas que l’échec soit constructif, c’est qu’on n’arrive jamais à la vérité si on ne se trompe pas d’abord et si on ne sait pas rectifier la première erreur.</span></span></p><p style="background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: #fdfdfd; border-style: initial; border-color: initial; margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 20px; margin-left: 0px; vertical-align: baseline; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-family: arial, sans-serif; text-align: justify; color: #333333; font-size: 12px; line-height: 17px; border-width: 0px; padding: 0px;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small; color: #333333;">C’est la belle phrase de Bachelard : “Il faut faire une psychanalyse de ses erreurs initiales.” Il évoque les savants, mais on peut exporter cela à l’entrepreneur. C’est-à-dire qu’il ne faut pas juste se planter, il faut se planter puis avoir l’humilité et le courage de tirer quelque chose de ce “plantage”. Si on disait simplement à ces entrepreneurs que se planter peut finalement être enrichissant, cela pourrait déjà leur donner un peu d’énergie.</span></p><p style="background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: #fdfdfd; border-style: initial; border-color: initial; margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 20px; margin-left: 0px; vertical-align: baseline; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-family: arial, sans-serif; text-align: justify; color: #333333; font-size: 12px; line-height: 17px; border-width: 0px; padding: 0px;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small; color: #993300;"><strong style="background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: transparent; border-style: initial; border-color: initial; vertical-align: baseline; font-weight: bold; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-family: inherit; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial; border-width: 0px; padding: 0px; margin: 0px;">Celui qui n’a jamais trébuché n’ira pas loin </strong></span><br /><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small; color: #333333;">L’habitude des élites, de son sytème d’études, peut nous laisser penser que la réussite est une succession de succès. Or, c’est tout simplement faux. Quand on évoque de grands artistes, de grands entrepreneurs, de grands écrivains, de grands chanteurs, de grands hommes politiques, on s’aperçoit toujours que leur réussite, sur le long terme, n’est jamais une succession de succès, c’est toujours une succession d’échecs et de succès. Alors, pourquoi une réussite n’est-elle jamais une succession de succès ?</span></p><p style="background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: #fdfdfd; border-style: initial; border-color: initial; margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 20px; margin-left: 0px; vertical-align: baseline; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-family: arial, sans-serif; text-align: justify; color: #333333; font-size: 12px; line-height: 17px; border-width: 0px; padding: 0px;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small; color: #333333;">Pour une raison très simple, c’est qu’on n’apprend pas grand-chose d’un succès. Donc, si jeune, on n’a que des succès qui s’additionnent, on va perdre quelque chose du rapport à l’existence qui fait que sur le long terme, on va être doublé par ceux qui auront eu des échecs et des succès, et qui auront su tirer des leçons de ces deux types d’expériences. Donc le réel ne se donne à nous que dans des moments d’ouverture. Or il est vrai qu’un succès ouvre un peu le réel, mais pas trop. On est tellement enivré qu’on ne voit pas vraiment ce qui est à voir. <span style="color: #993300;">En revanche, un échec peut ouvrir le réel, et on peut voir du coup de quoi il est fait. Le mot crise vient du grec krinein, qui signifie séparer. La crise est le moment où il y a une séparation dans le réel. Donc il s’ouvre, je peux voir dedans et un peu comprendre.</span></span></p><p style="background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: #fdfdfd; border-style: initial; border-color: initial; margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 20px; margin-left: 0px; vertical-align: baseline; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-family: arial, sans-serif; text-align: justify; color: #333333; font-size: 12px; line-height: 17px; border-width: 0px; padding: 0px;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small; color: #993300;"><strong style="background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: transparent; border-style: initial; border-color: initial; vertical-align: baseline; font-weight: bold; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-family: inherit; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial; border-width: 0px; padding: 0px; margin: 0px;">Les erreurs à l’origine du progrès</strong></span><br /><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small; color: #333333;">Un exemple très simple. Vous utilisez une perceuse. Quand elle marche bien, c’est super, mais vous ne comprenez rien. C’est magique, cela perce un trou et on ne comprend pas comment. Au moment où elle tombe en panne, vous la dévissez, vous essayez de remettre la pièce qui ne va pas, et là, vous commencez à comprendre comment elle marche. Finalement, vous commencez à comprendre comment fonctionne la perceuse le jour où vous êtes confronté à l’échec du système. Pareil en informatique, <span style="color: #993300;">ce sont les échecs systèmes qui nous ouvrent un peu les yeux sur comment marchent les systèmes en temps normal. Ou en médecine.</span></span></p><p style="background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: #fdfdfd; border-style: initial; border-color: initial; margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 20px; margin-left: 0px; vertical-align: baseline; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-family: arial, sans-serif; text-align: justify; color: #333333; font-size: 12px; line-height: 17px; border-width: 0px; padding: 0px;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small; color: #333333;">L’ histoire du progrès médical, c’est celle de la manière dont les maladies nous ont informés du fonctionnement normal du corps humain. C’est d’ailleurs peut-être ce qu’on est en train de vivre, avec le capitalisme et l’économie de marché. Cette crise du capitalisme est peut-être celle qui nous manquait pour comprendre un peu mieux ce que c’est que le capitalisme. Je ne sais si on va comprendre pourquoi il est viable ou pas. Mais en tout cas, il y a une ouverture dans le réel. C’est le moment d’ouvrir les yeux.</span></p><p style="background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: #fdfdfd; border-style: initial; border-color: initial; margin-top: 0px; margin-right: 0px; margin-bottom: 20px; margin-left: 0px; vertical-align: baseline; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-family: arial, sans-serif; text-align: justify; color: #333333; font-size: 12px; line-height: 17px; border-width: 0px; padding: 0px;"><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small; color: #993300;"><strong style="background-image: initial; background-attachment: initial; background-origin: initial; background-clip: initial; background-color: transparent; border-style: initial; border-color: initial; vertical-align: baseline; font-weight: bold; outline-width: 0px; outline-style: initial; outline-color: initial; font-family: inherit; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial; border-width: 0px; padding: 0px; margin: 0px;">Des solutions à portée de main </strong></span><br /><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small; color: #333333;">Ce qu’il faut peut-être développer dans toutes ces grandes écoles, dans tous leurs concours, <span style="color: #993300;">c’est une vision plus humaniste de l’humain, au sein de laquelle on fait de la place à l’enseignement qu’on peut tirer d’un échec. Concrètement, cela pourrait vouloir dire par exemple qu’on apprend aux élèves à expliquer à un moment du CV un échec instructif par exemple. Or on ne le dit jamais.</span> Alors qu’en vérité, dans les entretiens, c’est ce qui va se passer. On va souvent interroger les candidats sur ce qu’ils ont raté et sur ce qu’ils en ont tiré. Mais on ne les prépare pas à cela.</span><br /><span style="font-family: 'trebuchet ms', geneva; font-size: small; color: #333333;">Cela va tellement mal que l’on est en train de comprendre que cela peut bouger. Je suis intervenu deux fois
Jean-Pierre WILLEMShttp://willemsconsultants.hautetfort.com/about.htmlD'une culture l'autretag:willemsconsultants.hautetfort.com,2011-08-26:37530962011-08-26T10:41:00+02:002011-08-26T10:41:00+02:00 Il n'est pas un français pour contester que la cuisine est une tradition...
<p style="text-align: justify;">Il n'est pas un français pour contester que la cuisine est une tradition française. Peut être un peu moins pour reconnaître que cette tradition existe dans tous les pays et que le rapport à la nourriture, à la manière de la préparer et de la consommer, en dit aussi long sur l'état d'une société que la lecture de son Code pénal (non moins bon révélateur toutefois).</p><p style="text-align: justify;">Le succès des émissions culinaires télévisées est à cet égard instructive. On pourrait penser que pour des passionnés de cuisine, la participation à un programme où il s'agit avant tout de cuisiner est une fête, dans la tradition française, mais aussi européenne : si le banquet marque la fin de toute aventure d'Astérix, archétype du héros Gaulois, il emprunte parfois aux maîtres flamands.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-3171185" style="margin: 0.7em 0pt;" title="" src="http://willemsconsultants.hautetfort.com/media/01/01/1159943971.jpg" alt="bruegel revu par Uderzo.jpg" width="416" height="290" /></p><p style="text-align: center;">Le Banquet de Bruegel revu par Uderzo</p><p style="text-align: justify;">Mais surprise, les candidats tirent des têtes de six pieds de long, pleurent à tout instant, sont en permanence à fleur de nerfs et vivent névrotiquement le rapport au succès ou à l'échec. Toute mise à l'écart est plus terriblement vécu que le départ d'Eve et d'Adam du paradis. Traversant les siècles, la culpabilité aurait donc poursuivi son terrible office ? pourquoi ce rapport pathologique à l'échec ? problème éducatif ? reste judéo-chrétien ? infantilisme généralisé ? égos déployés à tout va ?</p><p style="text-align: justify;">Un début de réponse peut être trouvé outre-atlantique. Dans le même type d'émission culinaire, des Québécois (libres évidemment), apprentis cuisiniers, concourent pour un titre de Chef. Compétition joyeuse, remerciements de ceux qui sont éliminés pour la participation, convivialité. Taux lacrymal quasi-nul, concentration n'excluant pas le sourire, sérieux mariné dans l'humour. Bref, pas encore la bacchanale de Picasso, mais pas loin.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-3171223" style="margin: 0.7em 0pt;" title="" src="http://willemsconsultants.hautetfort.com/media/00/02/3019178578.jpg" alt="Bacchanale-Picasso.jpg" /></p><p style="text-align: center;">Picasso - Bacchanale</p><p style="text-align: justify;">Pourquoi tant de décalage ? il vient peut être de loin et les peintres, comme souvent, peuvent nous aider. D'où le Caravage a-t-il sorti ce Bacchus triste devant l'abondance de chère ? d'une profonde mélancolie qui habite la vieille Europe et qui en fait la zone du monde à la fois la plus riche et la plus consommatrice d'anti-dépresseurs ?</p><p style="text-align: center;"><img id="media-3171228" style="margin: 0.7em 0pt;" title="" src="http://willemsconsultants.hautetfort.com/media/02/00/3924847332.jpg" alt="Bacchus-Caravage.jpg" /></p><p style="text-align: center;">Caravage - Bacchus</p><p style="text-align: justify;">Les Québecois ont fait leur cuisine avec une part de culture greco-latine et une part de culture anglo-saxonne. Le mélange est plutôt savoureux. Il nous permet de ne pas oublier ce que proclamait un grand ripailleur français, François Rabelais, que le rire, et non les larmes, est le propre de l'homme.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-3171237" style="margin: 0.7em 0pt;" title="" src="http://willemsconsultants.hautetfort.com/media/00/00/1402618744.jpg" alt="le_rire_de_gouarch_m.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><a href="http://tonylotteillustration.blog.ouestjob.com/index.php/">Anthony Lelgouarch</a> - Le rire de Gouarch</p>
Pedroshttp://xyzabcd.hautetfort.com/about.htmlNe peut-on pas avancer d'échec en échec ? ! DSK, Marine, Révolution tranquille !tag:xyzabcd.hautetfort.com,2011-08-25:37524272011-08-25T17:17:00+02:002011-08-25T17:17:00+02:00 Et si l’affaire DSK, l’arrivée de Marine, pouvaient engendrer une...
<p> </p><p class="MsoNormal"><strong>Et si l’affaire DSK, l’arrivée de Marine, pouvaient engendrer une Révolution tranquille en 2012 ? !</strong></p><p class="MsoNormal"><strong>Sous le signe de l’humour : L’embellie possible ou l’effet « Tsumarine » </strong></p><p class="MsoNormal"><strong>(Après l’affaire DSK, l’été social calamiteux de la 1<sup>ère</sup> Année « Toujours moins »)</strong></p><p class="MsoNormal"><em>(Le masculin neutre sera utilisé)</em></p><p class="MsoNormal">Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs les mécontents, vous pressentez que :</p><p class="MsoNormal">-la Société est en train de se délabrer,</p><p class="MsoNormal">-les politiciens (de tous les partis) essaient par tous les moyens de « sauver d’abord leurs meubles » en nous racontant presque n’importe quoi (Plus c’est gros et plus ça passe !) pour tenter de nous appâter une fois de plus !</p><p class="MsoNormal">-la planète est « toujours plus » (t. p) en danger.</p><p class="MsoNormal"> </p><p class="MsoNormal"><strong>Si les suggestions qui suivent ne promettent pas la Lune, elles ont le mérite de prouver que :</strong></p><p class="MsoNormal"><strong>-nous ne sommes pas des enfants et ne croyons plus au Père Noël,</strong></p><p class="MsoNormal"><strong>-quel que soit le résultat, nous aurons « fait notre possible ».</strong></p><p class="MsoNormal"><em>Et ceux qui reprochent à Daniel Cohn Bendit sa formule « Elections, piège à cons » auront peut-être l’occasion de lui montrer qu’il avait tort !</em></p><p class="MsoNormal"><span style="text-decoration: underline;">Comme disait M. Mauroy en 81, tous les clignotants sont au vert (ou au rouge !) </span>puisque le « nivellement par le bas » s’accentuera t. p. !</p><p class="MsoNormal"><span style="text-decoration: underline;">Les patrons, qui ne sont pas des philanthropes,</span> commencent tellement à sentir une odeur de « roussi » dans la Maison qu’ils proposent de payer plus d’impôts !</p><p class="MsoNormal"><span style="text-decoration: underline;">Les pollutions tous azimuts (</span>notamment celles à effet différé) progresseront t. p. (En particulier via les pays émergents …).</p><p class="MsoNormal"><strong>Toutes les<span> </span>victimes du Système capitaliste (T. p. de profits, de consommation) ont la possibilité (C’est la dernière qui pourra se dérouler « à froid » !) d’infléchir le cours de l’Histoire en votant en 2012 !</strong></p><p class="MsoNormal">-1) Il suffirait de voter massivement pour la Marine nationale pour l’élire au 1<sup>er</sup> ou au second tour.</p><p class="MsoNormal">La panique s’installerait à bord, et aussi chez elle !</p><p class="MsoNormal">2) A l’élection législative qui suivrait, il s’agirait ou de s’abstenir ou de voter uniquement pour des candidats s’engageant à bloquer la Machine par tous les moyens.</p><p class="MsoNormal">Au bout de quelques semaines, la « présidente d’un mois », prenant conscience du piège dans lequel elle serait tombée, démissionnerait.</p><p class="MsoNormal">3) Des nouvelles élections seraient organisées avec des têtes plus originales. Les mammouths, les éléphants, les requins, le<span> </span>prédateurs, etc., seraient écartés, sommés de prendre une retraite dans une réserve … Les anciens coqs seraient invités à perdre définitivement leurs voix.</p><p class="MsoNormal"><strong>Si elle rencontrait des amateurs, cette Missive de fin août 2011 : </strong></p><p class="MsoNormal">-annoncerait la couleur ;</p><p class="MsoNormal">-inciterait les politiciens actuels désireux de continuer leur mission à se détacher et se désengager immédiatement de leur parti, afin d’élaborer un programme plus cohérent en prévision de l’avènement de la 6<sup>ème</sup> République ;</p><p class="MsoNormal">-mobiliserait les esprits ouverts à la Renaissance de l’Espèce en voie ou danger de disparition ;</p><p class="MsoNormal">-les « boosterait » ;</p><p class="MsoNormal">-les convaincrait de la nécessité de préparer de toute urgence un programme « Après Tsumarine »</p><p class="MsoNormal"><strong>Mesdemoiselles, mesdames et Messieurs, à vous de jouer !</strong></p><p class="MsoNormal"><strong>Bons vents ! </strong></p><p class="MsoNormal"><em>N. B. Il est évident que des tas de problèmes inédits surgiraient.</em></p><p class="MsoNormal"><em>Mais, n’éviteraient-ils pas avantageusement ceux qui nous attendraient si rien ne changeait ? !</em></p><p class="MsoNormal"><em>Inversement, La France serait une seconde fois l’initiatrice d’une forme de Révolution tranquille qui se répandrait dans les autres pays.</em></p><p class="MsoNormal"><em>Les conséquences seraient le contraire de celles de la Loi des 35 heures/semaine promulguée par Me Aubry et imaginée par DSK !</em></p><p class="MsoNormal"><em>Pour le moment, ne peut-on pas t. p. constater :</em></p><p class="MsoNormal"><em>-la dégradation du tissu social,</em></p><p class="MsoNormal"><em>-l’augmentation de la violence envers les personnes,</em></p><p class="MsoNormal"><em>L’ampleur des transgressions et arnaques en tout genre,</em></p><p class="MsoNormal"><em>-etc. ? ! </em></p><p class="MsoNormal"><em>D’ici quelques années, des groupes de gens dans la galère et sans futur (les Raptags : Rien À perdre, Tout À Gagner) n’organiseront-ils pas des coups de manière, avec un peu de chance, à « bien vivre » quelques mois avant de recommencer, quitte à mourir sous les balles d’une Police t. p. débordée ? ! </em></p><p class="MsoNormal"><strong>Aurions-nous quelque chose à perdre en optant pour « La solution de la dernière chance ou en désespoir de cause » ? !<span> </span></strong></p><p class="MsoNormal"><strong>C. Q. F. D. (Oui / Non ? !)</strong></p>
Zedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.htmlTour d'horizon... (12)tag:metapoinfos.hautetfort.com,2011-07-31:37221792011-07-31T11:53:00+02:002011-07-31T11:53:00+02:00 Au sommaire : - sur Le nouvel Economiste , Xavier Raufer...
<p style="text-align: center;"><img id="media-3132756" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/00/02/870206405.jpg" alt="Longue-vue.jpg" width="463" height="295" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p><span style="font-size: small;">Au sommaire :</span></p><p><span style="font-size: small;">- sur <em>Le nouvel Economiste</em>, <strong>Xavier Raufer</strong> dresse le bilan des deux guerres "antiterroristes" d'Irak et d'Afghanistan...</span></p><p><span style="font-size: small;"><strong><a href="http://www.lenouveleconomiste.fr/a-la-mi-2011-les-fondamentaux-en-matiere-de-securite-globale-10901/#more-10901">A la mi-2011 : les fondamentaux de la "sécurité globale"</a></strong></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-3132717" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/02/02/607007409.jpg" alt="Talibans.jpg" /></p><p><strong></strong> </p><p><span style="font-size: small;">- sur son blog personnel, <strong>Malika Sorel</strong> s'intéresse aux ingérences américaines dans la politique française concernant les minorités ethniques...</span></p><p><span style="font-size: small;"><strong><a href="http://www.malikasorel.fr/archive/2011/07/21/l-inacceptable-ingerence-americaine.html">L'inacceptable ingérence américaine</a></strong></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-3132732" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/02/00/3762537921.jpg" alt="Ambassadeur Etats-Unis.jpg" width="416" height="267" /></p><blockquote><p style="text-align: justify;">Will. i.am des Black Eyed Peas, pose avec l'ambassadeur des Usa en France Charles H. Rivkin et la secrétaire d'Etat à la jeunesse Jeannette Bougrab le 25 juin 2011 à Paris avant la rencontre avec des jeunes du 20ème arrondissement de Paris, dans le cadre du Hip Hop festival de Paris.</p></blockquote>
Ghttp://yoga.hautetfort.com/about.htmlLe Yoga, c'est aussi ça...tag:yoga.hautetfort.com,2011-07-10:37072882011-07-10T16:11:07+02:002011-07-10T16:11:07+02:00 L'échec est le fondement de la réussite. Lao-Tseu
<p>L'échec est le fondement de la réussite.<br /><br />Lao-Tseu</p>
Pascal Adamhttp://theatrummundi.hautetfort.com/about.htmlRomantag:theatrummundi.hautetfort.com,2010-11-20:29943692010-11-20T14:40:00+01:002010-11-20T14:40:00+01:00 Il...
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: small; font-family: Times New Roman;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="color: #003366;"><span style="font-size: small; font-family: Times New Roman;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="color: #003366;"><span style="font-size: small; font-family: Times New Roman;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="color: #003366;"><span style="font-size: small; font-family: Times New Roman;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: medium; color: #003366;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: medium; color: #003366;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;"><span style="font-size: medium; color: #003366;"><span style="font-family: Times New Roman;">Il secondait admirablement sa femme dans l’organisation nécessaire à ses propres échecs ; ne fallait-il pas au moins qu’il fût maintenu dans le monde et que pas un instant il ne se crût exempté de la médiocrité commune ? </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: medium; color: #003366;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: medium; color: #003366;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="color: #003366;"><span style="font-size: small; font-family: Times New Roman;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="color: #003366;"><span style="font-size: small; font-family: Times New Roman;"> </span></span></p>
Pascal Adamhttp://theatrummundi.hautetfort.com/about.htmlUne histoire idiotetag:theatrummundi.hautetfort.com,2010-06-14:27893202010-06-14T01:31:00+02:002010-06-14T01:31:00+02:00 ...
<p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <div style="text-align: center"><span style="font-size: 14pt;"><img src="http://theatrummundi.hautetfort.com/media/01/02/405745007.jpg" alt="notre-galaxie.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" id="media-2512409" /></span></div> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="color: #0000ff;"><span style="font-family: times new roman,times;"> </span></span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="color: #0000ff;"><span style="font-family: times new roman,times;"> </span></span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="color: #0000ff;"><span style="font-family: times new roman,times;"> </span></span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="color: #0000ff;"><span style="font-family: times new roman,times;"> </span></span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="color: #0000ff;"><span style="font-family: times new roman,times;">Sous ces tropiques de plus en plus artificiels, le gamin exerçait la profession délicate et mal rémunérée de <i>perdant</i>. Son boulot consistait, pour flatter de pâles clients luisants de fric, à jouer aux échecs avec les noirs et à perdre à coup sûr. Un soir, il tomba sur un type tellement aberrant qu’il ne lui fût pas possible de le faire gagner. C’est ainsi du moins qu’il expliqua la chose. Et il perdit son job.</span></span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="color: #0000ff;"><span style="font-family: times new roman,times;"> </span></span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="color: #0000ff;"><span style="font-family: times new roman,times;"> </span></span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="color: #0000ff;"><span style="font-family: times new roman,times;"> </span></span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <p style="text-justify: inter-ideograph; margin: 0cm 0cm 0pt; text-indent: 9pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 14pt;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p> <div style="text-align: center"></div>
gergovie67http://environnementemptreinte.hautetfort.com/about.htmlGrande première en Inde : Monsanto avoue l’échec de son coton Bttag:environnementemptreinte.hautetfort.com,2010-03-15:26513392010-03-15T03:23:00+01:002010-03-15T03:23:00+01:00 Samedi 6 mars, le géant des semences OGM Monsanto annonçait...
<p><input id="post_form_id" name="post_form_id" value="8ea2a046fdc15bd6fb10804c4fcfadc5" autocomplete="off" type="hidden" /></p> <p><img style="width: 460px;" src="http://external.ak.fbcdn.net/safe_image.php?d=59e695cc7668ed083f0d9a6dab2c2d69&url=http%3A%2F%2Fblog-s.greenpeace.fr%2Fuploads%2F2010%2F03%2Fcotonogm.jpg" class="ext_img" onload="var img = this; onloadRegister(function() { adjustImage(img); });" /></p> <p>Samedi 6 mars, le géant des semences <b>OGM</b> <b>Monsanto annonçait une nouvelle fracassante : les insectes contre lesquels était censé lutter son coton Bt ont développé des résistances à l’insecticide secrété par cette plante génétiquement modifiée</b>. De ce fait, les centaines de milliers d’agriculteurs, petits paysans qui ont depuis plusieurs années adopté cette variété de coton sont désormais contraints d’utiliser une quantité grandissante de pesticide. Greenpeace avait depuis longtemps annoncé les risques de résistance que pouvaient développer les insectes ciblés. Et ce, pas uniquement pour ce coton mais aussi pour de nombreuses variétés d’OGM comme par exemple le maïs MON 810.</p> <p><a href="http://www.facebook.com/note_redirect.php?note_id=363787460501&h=3b40c42de32135bf1f25466df31e6627&url=http%3A%2F%2Fwww.thehindu.com%2F2010%2F03%2F06%2Fstories%2F2010030658401400.htm+" target="_blank" title="http://www.thehindu.com/2010/03/06/stories/2010030658401400.htm ">La nouvelle a été relayé dans un article du journal indien « The Hindu »</a> .</p> <p>Cette découverte est issue d’une étude de terrain menée sur les cultures de coton Bt dans l’état du Gujarat (à l’ouest de l’Inde) révélant que ces cultures ne résistaient plus aux attaques du papillon ravageur contre lequel le coton Bt avait été initialement conçu......</p> <p>source OGM J'EN VEUX PAS</p>