Last posts on zombie2024-03-28T19:07:37+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/zombie/atom.xmlZedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.htmlTour d'horizon... (186)tag:metapoinfos.hautetfort.com,2020-05-10:62368142020-05-10T16:00:00+02:002020-05-10T16:00:00+02:00 Au sommaire cette semaine : - sur L'Inactuelle , un article...
<p style="text-align: center;"><img id="media-6130283" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/01/01/3182757905.jpg" alt="Panzer III.jpg" /></p><blockquote><p> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Au sommaire cette semaine :</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">- sur <em>L'Inactuelle</em>, un article de <strong>Jacques Amar</strong> et <strong>Arnaud Raynouard</strong>, professeurs de droit, consacré à la signification de la présence envahissante de la figure du zombie dans la sphère culturelle contemporaine...</span></p><p class="entry-title" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;"><a href="https://linactuelle.fr/index.php/2020/05/04/zombies-jacques-amar-arnaud-raynouard/"><strong>Un monde peuplé de zombies</strong></a></span></p></blockquote><p style="text-align: center;"><img id="media-6130274" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/01/02/1764045669.jpg" alt="zombies.jpg" width="350" height="196" /></p><p> </p><blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">- sur <em>De Defensa</em>, une analyse de <strong>Philippe Grasset</strong> sur les accusations portées par Trump contre la Chine à propos de l'émergence du Coronavirus...</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;"><a href="https://www.dedefensa.org/article/notes-sur-un-profil-mussolinien"><strong>Notes sur un profil mussolinien</strong></a></span></p></blockquote><p style="text-align: center;"><img id="media-6130279" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/00/00/261766029.jpg" alt="Trump_Mussolini.jpg" width="339" height="226" /></p><p> </p><p class="entry-title"> </p>
mirabellehttp://mirabelle-cerisier.hautetfort.com/about.htmlCritique de Seoul Station, un film de Sang-ho Yeontag:mirabelle-cerisier.hautetfort.com,2017-05-01:59415432017-05-01T11:26:00+02:002017-05-01T11:26:00+02:00 Des zombies sur un plateau de jeu SEOUL STATION (SEOULYEOK,...
<p style="text-align: center;"><strong><span style="font-size: 18pt; font-family: Georgia; color: #000000;">Des zombies sur un plateau de jeu</span></strong></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Georgia; color: #000000; font-weight: 400;">SEOUL STATION (SEOULYEOK, 2016) - Sang-ho Yeon</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Georgia; color: #000000; font-weight: 400;">Guère de surprise pour ce film d’animation pré-</span><em><span style="font-family: georgia,palatino,serif; font-size: 14pt;"><a href="http://mirabelle-cerisier.hautetfort.com/archive/2016/09/25/dernier-train-sur-busan-5852405.html#more">Dernier Train pour Busan</a></span></em><span style="font-size: 14pt; font-family: Georgia; color: #000000; font-weight: 400;">. Comme pour </span><em><span style="font-family: georgia,palatino,serif; font-size: 14pt;"><a href="http://mirabelle-cerisier.hautetfort.com/archive/2015/02/07/ffcp-2014-2-5553927.html">The Fake</a></span></em><span style="font-size: 14pt; font-family: Georgia; color: #000000; font-weight: 400;">, le film intrigue plus au niveau de ses choix narratifs plutôt que dans ceux de la mise en scène et de la plastique de l’animation. La sortie récente de <em>Dernier Train pour Busan</em> confirme même que le cinéaste est clairement plus doué pour la prise de vue réelles plutôt que pour l’animation. Un renversement relativement rare car c’est souvent l’inverse qui est constaté. Pour Sang-ho Yeon, l’usage de l’animation n’a jamais autant desservi ce qu’il tentait de dire, de construire dans ses histoires. le médium était plus là en raison de moyens limités et d’une impossibilité d’accéder à la prise de vues réelles. En ce sens, </span><em><span style="font-size: 14pt; font-family: Georgia; color: #000000; font-weight: 400;">King of Pigs, The Fake</span></em><span style="font-size: 14pt; font-family: Georgia; color: #000000; font-weight: 400;">, puis </span><em><span style="font-size: 14pt; font-family: Georgia; color: #000000; font-weight: 400;">Seoul Station</span></em><span style="font-size: 14pt; font-family: Georgia; color: #000000; font-weight: 400;"> souffrent d’une évidente faiblesse esthétique.</span></p><p><img src="http://mirabelle-cerisier.hautetfort.com/media/00/01/2945013448.jpg" id="media-5620183" alt="" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5620185" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://mirabelle-cerisier.hautetfort.com/media/00/01/3296046620.jpg" alt="seoul station, zombie, film de zombie, sang-ho yeon, dernier train pour busan" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Georgia; color: #000000; font-weight: 400;">Cette faiblesse, elle est malheureusement particulièrement visible dans la représentation des zombies de </span><em><span style="font-size: 14pt; font-family: Georgia; color: #000000; font-weight: 400;">Seoul Station</span></em><span style="font-size: 14pt; font-family: Georgia; color: #000000; font-weight: 400;">. Les créatures n’émeuvent guère, ni ne terrifient. Absolument rien dans leur design n’évoque le repoussant, l’angoissant, le carnassier. Cela notamment parce que le film de Sang-ho Yeon manque singulièrement de jeux de textures. Le contraste n’existe pas, l’agencement visuel est lisse et n’autorise pas le jaillissement de surfaces, couleurs ou graphismes singuliers.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5620189" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://mirabelle-cerisier.hautetfort.com/media/02/00/51410906.png" alt="seoul station, zombie, film de zombie, sang-ho yeon, dernier train pour busan" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Georgia; color: #000000; font-weight: 400;">Les enjeux de mise en scène sont en outre beaucoup moins passionnants puisqu’il n’y a pas de train dans </span><em><span style="font-size: 14pt; font-family: Georgia; color: #000000; font-weight: 400;">Seoul Station</span></em><span style="font-size: 14pt; font-family: Georgia; color: #000000; font-weight: 400;">. Tout se passe dans la ville, dans une collection de lieux divers. Le film de Sang-ho Yeon mérite en ce sens son étiquette de “premier essai” dans le genre du film de zombies, puisqu’il s’éparpille facilement, propose diverses personnages et intrigues qui se croiseront plus ou moins, et de nombreuses situations narratives en regard de l’invasion. Une sorte de plateau de jeu, en somme, où le cinéaste se permet d’être moins inspiré que pour son film en prise de vue réelle, clairement plus écrit, concentré, affiné dans son point de vue.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5620186" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://mirabelle-cerisier.hautetfort.com/media/02/02/113960661.jpg" alt="seoul station, zombie, film de zombie, sang-ho yeon, dernier train pour busan" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: Georgia; color: #000000; font-weight: 400;">Néanmoins, deux idées intéressantes sont à relever au sein de cet ensemble. Tout d’abord, la dénonciation des luttes de classes sociales à l’oeuvre dans </span><em><span style="font-size: 14pt; font-family: Georgia; color: #000000; font-weight: 400;">Dernier Train pour Busan</span></em><span style="font-size: 14pt; font-family: Georgia; color: #000000; font-weight: 400;"> pointe déjà le bout de son nez lors des premières scènes du film. Car les premiers infestés sont d’abord les sans-abris, qui se réfugient dans le sous-sol d’une station. La prolifération des zombies, si elle parvient à se mettre en place, vient du fait que personne ne regarde, ni ne s’inquiète, du comportement étrange de certains SDF. Cette mise à l’écart de la couche sociale la plus inférieure de la société rappelle en cela le récent film japonais </span><span style="font-family: georgia,palatino,serif; font-size: 14pt;"><em><a href="http://mirabelle-cerisier.hautetfort.com/archive/2017/02/11/11eme-edition-du-festival-kinotayo-5909943.html#more">Destruction Babies</a></em><span style="color: #000000; font-weight: 400;">. Le jeune Yuya Yagiru vaquant dans les ruelles obscures, parcouru de pulsions meurtrières, était pris pour un ivrogne qu’on évitait sans se soucier des dégâts qu’il allait causer par la suite. <em>Seoul Station</em> montre de la même manière des habitants qui évitent soigneusement la réalité des sans-abris et finissent par en payer le prix.</span></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5620188" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://mirabelle-cerisier.hautetfort.com/media/02/01/1101125641.jpg" alt="seoul station, zombie, film de zombie, sang-ho yeon, dernier train pour busan" /></p><p style="text-align: justify;"><br /><span style="font-size: 14pt; font-family: Georgia; color: #000000; font-weight: 400;">La seconde idée du film est probablement la plus proche du huis-clos institué dans le train. C’est ce mur au sein d’une impasse où se trouvent de nombreux civils en attente d’être évacués, et derrière lequel grondent les forces armées. Les civils réfugiés là mettent en place un système de relais pour tenter de convaincre les policiers, mais également de limiter l’avancée des zombies de l'autre côté. Evidemment, ce système finit par rapidement s’effondrer et montre, de manière symbolique, la classique lutte du peuple contre les autorités. Au vu de la force de la situation, qui fonctionne sur une bonne vingtaine de minutes, on en regrette presque que Sang-ho Yeon n’y ait pas uniquement consacré son film. Car une fois l’insurrection lancée, de part et d’autre de la frontière, le reste de </span><em><span style="font-size: 14pt; font-family: Georgia; color: #000000; font-weight: 400;">Seoul Station</span></em><span style="font-size: 14pt; font-family: Georgia; color: #000000; font-weight: 400;"> n’est que longues cavalcades pour une vengeance sans enjeux. </span></p>
Alicehttp://janeausten.hautetfort.com/about.htmlPride and Prejudice and Zombies, le filmtag:janeausten.hautetfort.com,2017-03-29:59181602017-03-29T09:43:00+02:002017-03-29T09:43:00+02:00 P our commencer, et même si j'ai détesté le livre , je...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 12pt;"><a href="http://janeausten.hautetfort.com/media/02/02/2249818047.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-5595830" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://janeausten.hautetfort.com/media/02/02/2510510755.jpg" alt="pride and prejudice,orgueil et préjugés,jane austen,zombie,orgueil et préjugés et zombies,pride and prejucide and zombies,sam riley,matt smith" /></a> </span><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 300%;">P</span><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif;">our commencer, et même si <strong>j'ai détesté le livre</strong>, je faisais partie de ceux qui avaient <strong>de grands espoirs pour ce film</strong> et je continue à penser que l'idée était bonne et qu'il y avait quelque chose de génial à faire. Malheureusement, ça n'a pas été fait ici...</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif;"> Le problème principal de cette adaptation est que <strong>le mélange des genres n'est absolument pas équilibré et la sauce ne prend pas</strong>. Certaines scènes d'époque, de combat, de romantisme, dramatiques sont très bonnes mais le tout manque de cohérence. Malgré tout, le résultat aurait pu être sympa si le film n'était pas <strong>quasi totalement dénué d'humour. </strong>Au lieu d'exploiter le potentiel humoristique déjà bien présent dans l'oeuvre originale de Jane Austen, l'auteur de cette parodie, et le réalisateur à sa suite, se sont <a href="http://janeausten.hautetfort.com/media/02/00/2700949402.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-5595832" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://janeausten.hautetfort.com/media/02/00/1236413376.jpg" alt="pride and prejudice,orgueil et préjugés,jane austen,zombie,orgueil et préjugés et zombies,pride and prejucide and zombies,sam riley,matt smith" /></a>contentés d'insérer quelques vannes idiotes d'humour de base à l'américaine. Non seulement ça ne m'a même pas fait sourire mais ça rend certains passages totalement ridicules. C'est d'autant plus décevant que, je le répète, tout le potentiel était là pour faire un film qui déchire mais il est évident que n'est pas Jane Austen qui veut. </span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif;"> Et <strong>le casting n'était pas le moindre des points forts de cette adaptation</strong>. Nous avons une brochette d'acteurs plus géniaux les uns que les autres et pourtant <strong>certains semblent perdus, d'autres sont totalement inexistants</strong>. Honnêtement, je ne le leur reproche pas et cela ne remet pas en cause leur talent mais on sent jusque dans leur jeu le manque de cohérence du film. <a href="http://janeausten.hautetfort.com/media/02/00/710514660.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-5578638" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://janeausten.hautetfort.com/media/02/00/1854721262.jpg" alt="pride and prejudice,orgueil et préjugés,jane austen,zombie,orgueil et préjugés et zombies,pride and prejucide and zombies,sam riley,matt smith" /></a>Bon, sûrement qu'un visionnage de plus suffirait à me faire tomber amoureuse de Sam Riley, mais dans le cas de Colin Firth, et même de MMF, il ne m'avait fallu, comme Lizzie, qu'un regard... Le seul qui tire véritablement son épingle du jeu est <strong>Matt Smith, extraordinaire</strong> et très largement au-dessus de la mêlée. Il est tout ce que le film aurait dû être.</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif;"> Le format film est comme toujours peu adapté à la richesse de l'oeuvre et <strong>des scènes m'ont cruellement manquée</strong> comme la visite de Pemberley ou la danse d'Elizabeth et Darcy mais j'ai quand même aimé certaines idées, notamment celles qui tournent autour de Wickham. <strong>La fin m'a également bien plue</strong> et je pense que finalement tout le film aurait gagné à abandonner le pastiche et à basculer franchement du côté réellement horrifique de l'histoire.</span></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif;"> Le film sort aujourd'hui en DVD en France avec un sous-titrage en français (sur le doublage, j'ai un doute, à vérifier directement au visionnage) et je pense malgré tout qu'il reste incontournable dans une DVDthèque austenienne.</span></span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://janeausten.hautetfort.com/media/00/00/222873641.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-5578639" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://janeausten.hautetfort.com/media/00/00/3110507840.jpg" alt="pride and prejudice,orgueil et préjugés,jane austen,zombie,orgueil et préjugés et zombies,pride and prejucide and zombies,sam riley,matt smith" /></a></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'book antiqua', palatino, serif; font-size: 10pt;"><a title="Voir "Orgueil et Préjugés et Zombies" sur Amazon" href="https://amzn.to/2QAvMqz" target="_blank" rel="noopener noreferrer">Si vous voulez l'ajouter d'urgence à votre DVDthèque, c'est par ici</a></span></p>
ITENARASAhttp://quel-bookan.hautetfort.com/about.htmlL'Assassin royal, tome 4 : Le Poison de la Vengeance - Robin Hobbtag:quel-bookan.hautetfort.com,2016-05-28:58076062016-05-28T12:50:00+02:002016-05-28T12:50:00+02:00 L'ombre de lui-même Loin de Castlecerf, Burrich et Umbre tente de...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><img id="media-5382272" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px;" title="" src="http://quel-bookan.hautetfort.com/media/02/02/4112518095.jpg" alt="Le poison de la vengeance tome4 L'assassin royal,robin hobb,Art et Vif,tel le phoenix il renaît de ses cendres,zombie,revival et mauvais karma,espoir" /><span style="color: #ffffff; background-color: #435942;">L'ombre de lui-même</span><br /></span></p><p style="text-align: justify;">Loin de Castlecerf, Burrich et Umbre tente de redonner son humanité à Fitz, ressuscité d'entre les morts grâce au Vif et à son loup.<br />Mais après avoir repris figure humaine et recouvré la mémoire des évènements, Fitz se laisse porter par la colère et le désir de faire payer ceux qui l'ont torturé à mort. Tel un poison se distillant dans les veines, cette soif de vengeance va le contraindre à cheminer seul, loin des derniers amis qui lui restent.<br />Ce chemin ne sera pas sans nouvelles embûches.</p><p style="text-align: justify;">Il n'y a peut-être que ceux qui ont lu cette saga (et qui l'apprécient) qui comprendront le plaisir ressenti à retrouver FitzChevalerie, ses compagnons et cet univers de L'Assassin Royal. C'est comme retrouver une famille à laquelle on tient tout particulièrement.</p><p style="text-align: justify;">Ce Tome 4 est un tome relativement sombre, aussi sombre que les pensées du jeune Fitz. Un tome où la souffrance psychologique du garçon est prégnante.<br /><br />Avant tout, il y a cette lutte pour que son esprit d'Homme retrouve son corps. Une lutte de longue haleine où Burrich et Umbre sont à deux doigts de perdre tout espoir de retrouver Fitz tel qu'il était avant de fusionner avec son loup grâce au Vif.<br />D'ailleurs, à bien y regarder le Fitz d'avant n'est plus vraiment là, marqué et traumatisé par les tortures subies, il a perdu toute confiance en lui. Mais toujours aussi impulsif et dominé par sa colère, le bâtard au Vif, va décider, contre toute attente, de tracer sa route seul, non sans avoir réussi à se brouiller avec ces vieux amis.</p><p style="text-align: justify;">La rupture avec les tomes précédents est significative. Fitz a perdu de sa superbe, il n'est plus le jeune héros pimpant et assuré de ses compétences d'assassin. Il doute, il hésite et commet des erreurs, manquant encore une fois d'y laisser sa vie. Il prend alors conscience de ses faiblesses et de son orgueil et regrette amèrement les conseils avisés d'Umbre et même de Burrich. Sans leur protection, il comprend sans doute enfin les faux pas qui l'ont mené là où il est.</p><p style="text-align: justify;">Des figures connues dans les précédents tomes, il en reste au final fort peu. Certes, Robin Hobb continue de distiller quelques informations à leur sujet grâce aux visions liées à l'Art, mais leur présence rassurante au côté de Fitz n'est plus. Reste seule, celle de Vérité, comme un dernier souffle, une dernière prière qui lui enjoint de le retrouver.</p><p style="text-align: justify;">La fuite de Fitz est alors l'occasion de croiser de nouvelles têtes (la ménestrelle Astérie en est d'ailleurs une que j'aimerais retrouver dans les prochains tomes), d'en apprendre plus sur le Vif (autrement appelé Lignage par ceux qui le maîtrisent), de découvrir aussi d'autres lieux du Royaume des Six-Duchés (Gué-de-Négoce). Et de comprendre surtout que Royal le fait courir à sa perte en ayant abandonné la défense des côtes contre les Pirates Rouges, tout occupé qu'il est à piller son peuple pour son compte.</p><p style="text-align: justify;">La fin est pleine de rebondissements, d'intensité, elle donne aussi tout son sens à ce titre <strong>Le poison de la vengeance</strong>. Mais cette fin, je l'ai trouvée quelque peu abrupte. La faute à ce choix éditorialiste de découpage français (grmmbl)... Extrêmement frustrant parce qu'on a l'impression que l'histoire décolle enfin et puis... Ôô WTF, pourquoi ça s'arrête là?!!!<br />Pour autant, cela reste un très bon tome. Très introspectif pour le coup car Fitz est tourné vers l'intérieur, partagé entre le Vif et l'Art, encore plus sur la défensive et toujours plus aux abois.<br /><br />Bon, je me "débarrasse" de quelques lectures "imposées" par certains rendez vous et je plonge dans le tome 5!</p><p><span style="background-color: #435942; color: #ffffff;"><em>"Parfois, on ignore la gravité de sa blessure tant que quelqu'un d'autre ne la sonde pas."</em></span></p><p><span style="background-color: #435942; color: #ffffff;"><em>"Je ne puis être chasseur si je m'attends toujours à devenir proie ; je dois donc le chasser avant qu'il puisse me chasser."</em></span></p><p><span style="background-color: #435942; color: #ffffff;"><em>"Chasser, c'est commencer à manger."</em></span></p><p><span style="background-color: #435942; color: #ffffff;"><em>"On ne récolte pas plus en plantant moins."</em></span></p><p><span style="background-color: #435942; color: #ffffff;"><em>"C'est bien des humains de se soucier de choses qui peuvent aussi bien se produire que ne pas se produire."</em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000;">Et retrouvez ici mes précédents avis :</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #000000;"><a style="color: #000000; text-decoration: underline;" href="http://quel-bookan.hautetfort.com/archive/2015/05/01/l-assassin-royal-tome1-l-apprenti-assassin-robin-hobb-5613784.html">Tome 1</a></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #000000; text-decoration: underline;"> <a style="color: #000000; text-decoration: underline;" href="http://quel-bookan.hautetfort.com/archive/2015/09/01/l-assassin-royal-tome-2-l-assassin-du-roi-robin-hobb-5678643.html">Tome 2</a></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #000000;"><a style="color: #000000; text-decoration: underline;" href="http://quel-bookan.hautetfort.com/archive/2016/01/24/l-assassin-royal-tome-3-la-nef-du-crepuscule-robin-hobb-5749691.html">Tome 3</a></span></span></p>
icnidhttp://anvedj.hautetfort.com/about.htmlDégoût, envie, espoir, ...tag:anvedj.hautetfort.com,2013-05-16:50725492013-05-16T23:56:11+02:002013-05-16T23:56:11+02:00 Vous est-il jamais arrivé de ne plus pouvoir avancer, d'être...
<p> </p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm;">Vous est-il jamais arrivé de ne plus pouvoir avancer, d'être vidé, anéanti, alors que rien n'est arrivé de pire que d'habitude, que le soleil brille, pour vous comme pour les autres. Et pourtant, simplement, il a suffit d'une goutte supplémentaire, d'un rien, pour vous écœurer, pour vous empêcher d'agir, de réagir. Cette situation, dans laquelle vous êtes passif, spectateur de votre absence, organisateur de retard, sans volonté alors que le temps passe, que la prescription vous guette. Cet état que toutes les victimes connaissent, abîme sans fond, et marque du manque de solidarité, cet état, que le poids de l'inconscience administrative s'obstine à créer, tout en se plaignant des lourdeurs et de la mauvaise foi, ces aberrations qui permettent aux fonctionnaires zélés de plaider l'obéissance aux ordres que personne ne trouve, cette turpitude qui permet de faire durer jusqu'à l'absurdité l'incohérence et l'ubuesque, ces comportements stupides et inhumains que personne ne dénonce par peur des retours de bâton de ceux qui se noient dans la masse pour ne pas réfléchir et ne pas être humains.</p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm;">Au bout de vingt ans, trente ans de réclamations toujours vaines, le cerveau vous pousse à oublier, à laisser tomber, pour ne pas perdre la tête, pour vivre un peu au présent, pour rester humain et ne pas se comporter en zombie. Le mauvais fonctionnement des services judiciaires s'appuie donc sur les conséquences physiologiques et psychologiques qu'entraînent la durée anormalement longue d'une « histoire vécue ». Nous vieillissons tous les jours, et les âges de la vie nous amènent à penser différemment selon nos époques, ce qui n'est pas le cas des administrations toujours alimentées en sang neuf, selon les critères qui ont permis leur développement.</p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm;">Dès qu'une procédure est anormalement longue, il devrait donc y avoir un signal d'alarme, permettant de chercher une solution adaptée aux intérêts de tous. Surtout à une époque où la loi du PIB s'impose à tous, il serait bien temps de se rendre compte que les heures passées à embrouiller, à tromper, à falsifier, à démêler, … ne peuvent être une amélioration du revenu global de la collectivité. Accessoirement, ce genre de problème devraient attirer l'attention des économistes sur les erreurs des cumuls de tout et n'importe quoi pour paraître plus riche !</p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm;">L'administration judiciaire utilise donc le temps pour écarter les gêneurs, hors un principe de droit veut que nul ne puisse invoquer sa propre turpitude, la prescription ne peut donc être opposée au plaignant chaque fois que les retards sont le fait des services administratifs.</p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm;">Rappelons encore que derrière chaque document administratif, il y a un auteur, un signataire, car nous ne croyons plus à la génération spontanée. Les erreurs administratives sont donc un moyen de pratiquer un état des lieux de la capacité des services à préparer l'avenir. Tuer l'espoir, c'est préparer la guerre civile, et tous les groupes humains dirigés par des « illuminés » qui enlèvent tout espoir font le lit des affrontements sanglants qui mettront fin à leur dictature. Il y a bien sûr des durées plus ou moins longues selon les mœurs, les époques, mais l'espoir renaît toujours, heureusement pour l'humanité.</p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm;">De là l'intérêt de grouper les expériences, d'échanger des informations, des lieux, des noms, l'intérêt de chercher comment imposer des obligations d'avancer à des systèmes qui génèrent en permanence des retours en arrière, en raison de la méthode qui préside au recrutement et à la formation de leurs membres.</p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm;">Au sein d'une culture du mensonge, du faux-semblant, de l'illusion, du silence, de l'égoïsme, il faut promouvoir l'émergence de la vérité, du réel, de la transparence, du collectif.</p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm;">Il est quand même étonnant de voir les juges reprocher aux malfrats leur manque d'empathie, alors qu'eux-mêmes ne se préoccupent qu'accessoirement des victimes.</p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm;">Il n'est pas admissible que l'État peine à reconnaître sa responsabilité, alors qu'il se substitue aux fauteurs de trouble pour créer des anomalies en tous genres à tous les étages de la société.</p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm;">« L'erreur est humaine, la persévérance est diabolique », devons-nous en conclure que l'Administration échappe à ceux qui la créent, ou bien qu'elle est un outil qui est détourné de son but, et que ce n'est pas par hasard !!!</p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm;"> </p><p> </p>
MILIQUEhttp://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/about.htmlL'EAU A LA BOUCHE : DEAD MEAT (1/5) LES ZOMBIES ATTAQUENTtag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2013-05-06:50627702013-05-06T06:19:00+02:002013-05-06T06:19:00+02:00 L'EAU A LA BOUCHE DEAD MEAT (1/5) LES...
<p style="text-align: center;"><iframe width="280px" height="270px" src="http://download.arteradio.com/static/player/export.html?ids=616214" frameborder="no" marginheight="no" marginwidth="no"></iframe></p><p style="text-align: center;"> </p><h1 style="text-align: center;"><span style="color: #000000;"><strong><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large;"><a class="read" title="Cacher le contenu de la fiche son nommée L'eau à la bouche" href="http://www.arteradio.com/son/616214/"><span style="color: #000000;">L'EAU A LA BOUCHE</span></a></span></strong></span><br /><span style="color: #0000ff;"><strong><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large;"> DEAD MEAT (1/5)</span></strong></span></h1><h1 style="text-align: center;"><span style="font-size: large;"><strong><span style="font-family: arial black,avant garde;">LES ZOMBIES ATTAQUENT </span></strong></span></h1><h1 style="text-align: center;"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="font-family: arial black,avant garde;">(5’27’’)</span></strong></span><br /><span style="color: #0000ff;"><strong><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large;"> « Le bestiau s'est mis à trembler »</span></strong></span></h1><div class="authors" style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><a class="author" title="Afficher la liste des sons de l'auteur Marine Angé" href="http://www.arteradio.com/auteur/609678/marine_ange/"><span style="color: #000000;">Marine ANGE</span></a></strong></span></div><div class="authors" style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><br /></strong></span></div><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>D'étranges phénomènes se produisent dans un village d'Alsace : une petite fille disparaît, la viande se met à bouger... Il y du zombie dans l'air. Du virus en chair et en os. Dead Meat (1/5) : L'eau à la bouche.</strong></span></p><p style="text-align: center;"><strong><span style="color: #000000; font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><br /></span></strong></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde;"><strong><span style="color: #000000; font-size: medium;">Enregistrements : novembre 12-janvier 13</span></strong></span><br /><span style="font-family: arial black,avant garde;"><strong><span style="color: #000000; font-size: medium;">Voix : Marco Benigno, Antonin Bounmy, Eddy Ekété, Gauthier Sibillat</span></strong></span><br /><span style="font-family: arial black,avant garde;"><strong><span style="color: #000000; font-size: medium;">Guitare: Jean-Charles Mougel</span></strong></span><br /><span style="font-family: arial black,avant garde;"><strong><span style="color: #000000; font-size: medium;">Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch</span></strong></span><br /><span style="font-family: arial black,avant garde;"><strong><span style="color: #000000; font-size: medium;">Réalisation & musique : Marine Angé</span></strong></span></p>
MILIQUEhttp://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/about.htmlL'EAU A LA : BOUCHE DEAT MEAT(1/5): LES ZOMBIES ATTAQUENTtag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2013-05-03:50605992013-05-03T05:59:00+02:002013-05-03T05:59:00+02:00 L'EAU A LA BOUCHE DEAT MEAT(1/5) LES ZOMBIES...
<p style="text-align: center;"><iframe width="280px" height="270px" src="http://download.arteradio.com/static/player/export.html?ids=616214" frameborder="no" marginheight="no" marginwidth="no"></iframe></p><p style="text-align: center;"> </p><h1 style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large;"><a class="read" title="Cacher le contenu de la fiche son nommée L'eau à la bouche" href="http://www.arteradio.com/son/616214/"><span style="color: #000000;">L'EAU A LA BOUCHE</span></a></span><br /> <span><span style="color: #0000ff; font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large;"><strong>DEAT MEAT(1/5)</strong></span></span></h1><h1 style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde;"><strong><span style="color: #000000; font-size: x-large;"> LES ZOMBIES</span> ATTAQUENT</strong></span></h1><h1 style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><span style="color: #000000;"> (5’27’’)</span></strong></span><br /> <span style="font-family: arial black,avant garde;"><strong>« Le bestiau s'est mis à trembler »</strong></span></h1><div class="authors" style="text-align: center;"><span style="color: #0000ff; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><a class="author" title="Afficher la liste des sons de l'auteur Marine Angé" href="http://www.arteradio.com/auteur/609678/marine_ange/"><span style="color: #0000ff;">Marine Angé</span></a></strong></span></div><div class="authors" style="text-align: center;"><span style="color: #0000ff; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><span style="color: #0000ff;"><br /></span></strong></span></div><p style="text-align: center;"><span style="color: #008000; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>D'étranges phénomènes se produisent dans un village d'Alsace : une petite fille disparaît, la viande se met à bouger... Il y du zombie dans l'air. Du virus en chair et en os. Dead Meat (1/5) : L'eau à la bouche.</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #008000; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><br /></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Enregistrements : novembre 12-janvier 13</strong></span><br /><span style="color: #000000; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Voix : Marco Benigno, Antonin Bounmy, Eddy Ekété, Gauthier Sibillat</strong></span><br /><span style="color: #000000; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Guitare: Jean-Charles Mougel</strong></span><br /><span style="color: #000000; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch</strong></span><br /><span style="color: #000000; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Réalisation & musique : Marine Angé</strong></span></p>
MLirehttp://librairiemlire.hautetfort.com/about.htmlJ'ai embrassé un zombie et j'ai adoré (Adam Selzer) - chronique de Guillaume #46tag:librairiemlire.hautetfort.com,2011-07-28:37240252011-07-28T09:20:00+02:002011-07-28T09:20:00+02:00 J’ai embrassé un zombie (et j’ai adoré) de Adam Selzer Albin...
<p><span style="font-size: small; font-family: trebuchet ms,geneva;"><span style="font-size: large;"><img id="media-3135332" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt;" title="" src="http://librairiemlire.hautetfort.com/media/02/01/1414899652.jpg" alt="j ai embrassé un zombie et j'ai adoré" /><span style="color: #ff99cc;">J’ai embrassé un zombie (et j’ai adoré)</span></span> de <span style="font-size: large;">Adam Selzer </span></span></p><p><span style="font-size: small; font-family: trebuchet ms,geneva;">Albin Michel jeunesse, coll Wiz - 13,50 €</span></p><p><span style="font-size: small; font-family: trebuchet ms,geneva;">Traduction : Cécile Moran</span></p><p> </p><p><span style="font-size: small; font-family: trebuchet ms,geneva;">Alley Rhodes n’a plus que quelques mois à passer avant d’entrer à l’université. D’ici là, elle ronge son frein dans la banlieue de Des Moines en médisant sur ses camarades dans le journal du lycée. Tout cela ressemble à une vie tout à fait normale pour une jeune fille de son âge, à ceci près que dans le monde d’Alley, les vampires, les loups garous et autres créatures morbides existent bel et bien, au vu et au su de tous. Ils sont même particulièrement bien intégrés dans la société grâce à des substituts nutritifs évitant tous les problèmes de régimes alimentaires agressifs. Sortir avec un vampire est d’ailleurs l’ambition suprême de nombreuses jeunes femmes au plus grand mépris d’Alley. Jusqu’au jour où elle croise le regard d’un étrange jeune homme…</span></p><p><span style="font-size: small; font-family: trebuchet ms,geneva;">Après le raz-de-marée Twillight et compagnie, écrire un roman original mettant en scène des vampires tient de la haute voltige. Avec J’ai embrassé un zombie (et j’ai aimé), Adam Selzer n’est pas loin d’être cet audacieux équilibriste. Les deux premières phrases (qui m’ont d’emblée conquis) annoncent la couleur : <em>Voir un vampire embrasser une idiote avec la langue, c’est un peu comme aller au marché agricole et croiser un tas de fermier avec des doigts en moins suite à des accidents du travail. Ca a beau être un peu dérangeant, on arrive pas à détourner les yeux. </em> Vous l’aurez compris, Adam Selzer travaille sur le registre du second degré (voire un peu plus) et il y travaille admirablement, tant et si bien. C’est frais, c’est drôle et tout le monde en prend pour son grade même si la trame demeure finalement fort consensuelle.</span></p><p><span style="font-size: small; font-family: trebuchet ms,geneva;">Un très bon moment de lecture, plein de vie !</span></p>
fakakirhttp://snpsp1.hautetfort.com/about.htmlUrgent : Nouveaux affrontements à Dar El Afia (Kouba)tag:snpsp1.hautetfort.com,2010-11-26:30031152010-11-26T01:20:00+01:002010-11-26T01:20:00+01:00 quand le peuple se soulevera,ni l'armé ni la police ,ni GIGN algerien...
<h2>quand le peuple se soulevera,ni l'armé ni la police ,ni GIGN algerien ne l'arretera pire encore 5 octobre(manipule') allah yastare el moumnine ,trops hogra.</h2><p class="postmeta"><br /><a class="comments-link" title="Commentaire sur Urgent : Nouveaux affrontements à Dar El Afia (Kouba)" href="http://www.lequotidienalgerie.org/2010/11/25/urgent-nouveaux-affrontements-a-dar-el-afia-kouba/#respond"></a></p><div style="float: left; margin-right: 10px;"><p><a style="text-decoration: none;" type="box_count" name="fb_share" href="http://www.facebook.com/sharer.php?u=http%3A%2F%2Fwww.lequotidienalgerie.org%2F2010%2F11%2F25%2Furgent-nouveaux-affrontements-a-dar-el-afia-kouba%2F&t=Le%20Quotidien%20d%27Alg%C3%A9rie%20%C2%BB%20Urgent%20%3A%20Nouveaux%20affrontements%20%C3%A0%20Dar%20El%20Afia%20%28Kouba%29&src=sp"><span class="fb_share_size_Small fb_share_count_wrapper"><span> </span><span class="fb_share_count fb_share_count_top"> </span></span></a><img class="alignright size-medium wp-image-16821" title="1" src="http://www.lequotidienalgerie.org/wp-content/uploads/2010/11/1-243x300.jpg" alt="" width="243" height="300" /><img id="media-2767584" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://snpsp1.hautetfort.com/media/01/02/4263132641.jpeg" alt="index3.jpeg" /><img id="media-2767585" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://snpsp1.hautetfort.com/media/00/02/675536636.jpeg" alt="index5.jpeg" /><img id="media-2767586" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://snpsp1.hautetfort.com/media/02/02/2933369938.jpeg" alt="index6.jpeg" /><img id="media-2767587" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://snpsp1.hautetfort.com/media/02/02/1703641079.jpeg" alt="index7.jpeg" /><img id="media-2767580" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://snpsp1.hautetfort.com/media/02/02/2235619870.4.jpeg" alt="index.jpeg" /><img id="media-2767581" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://snpsp1.hautetfort.com/media/00/02/3016924394.jpeg" alt="index1.jpeg" /><img id="media-2767582" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://snpsp1.hautetfort.com/media/00/00/893840964.jpeg" alt="index2.jpeg" /></p><p>Une très vive tension persiste à Dar El Afia (Kouba) où des affrontements ont repris aujourd’hui entre les brigades anti-émeutes et la population révoltée par la destruction des baraques, laissant les familles sans abri et sous la pluie. A 18h, la route menant des Anassers vers Kouba était bloquée par d’importants renforts de brigades anti-émeutes. La circulation est déviée vers Garidi et les Sources.</p></div>
papillotehttp://incroyablesaventuresinexistantes.hautetfort.com/about.htmlZombies au centre commercialtag:incroyablesaventuresinexistantes.hautetfort.com,2009-07-03:22689702009-07-03T14:00:00+02:002009-07-03T14:00:00+02:00 Ce matin, énervée, je me résigne à mettre les pieds au centre commercial....
<p style="text-align: justify;"><img src="http://incroyablesaventuresinexistantes.hautetfort.com/media/02/02/1290357616.jpg" id="media-1855375" alt="centre commercial zombie.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" />Ce matin, énervée, je me résigne à mettre les pieds au centre commercial. Mon vilain appareil photo a fricoté avec du sable, qui lui a refilé une maladie mortelle. Il faut que je le remplace pour immortaliser les chamois la semaine prochaine à la montagne. Les bestioles m’attendent sagement en prenant la pose.</p> <p style="text-align: justify;">J’ai expliqué que j’exècre le bruit, la foule, la musique pourrie, l’éclairage brutal des centres commerciaux. Or ce matin, le centre est ouvert, mais il est plongé dans le noir et tous les magasins sont fermés. Panne d’électricité. On erre dans les immenses couloirs en y voyant pas à deux mètres. Le silence est total. On aperçoit trois lueurs inquiétantes au bout d’une allée : les lampes de poche du personnel de sécurité. Puis je remarque que des gens sont avachis sur les bars, sans bouger ni parler, désespérés d’attendre. Glauque, l'ambiance ?<br /> <br /> Moi au contraire, je suis toute contente : « T’as vu ? On se croirait dans <i>Dawn of the dead</i> de Roméro ! Même décor que le film ! Même atmosphère ! Les gens ressemblent à des zombies ! Enregistre avec ton téléphone, on va faire un remake! Trop cool!»<br /> <br /> Le shopping devrait toujours être comme ça.</p>
Rébellionhttp://rebellion.hautetfort.com/about.htmlCapital et Zombietag:rebellion.hautetfort.com,2009-04-07:21367872009-04-07T22:56:00+02:002009-04-07T22:56:00+02:00 Editorial du numéro 35 de Rébellion ( disponible au début de...
<div style="text-align: center"><em><a target="_blank" href="http://rebellion.hautetfort.com/media/02/00/1574736893.gif"></a></em></div> <p><em>Editorial du numéro 35 de Rébellion ( disponible au début de la semaine prochaine) </em></p> <p style="text-align: justify;">Si le développement du monde moderne et sa mobilisation totale sous l’égide de la puissance scientifico-technique ont réalisé le « désenchantement du monde », la danse méphistophélesque du cycle de valorisation du capital s’étendant à tout le globe terrestre n’a parallèlement guère laissé d’espace vierge où le fétichisme de la marchandise n’aurait pas cours. Ainsi toutes les pratiques et croyances humaines se trouvent être ensorcelées par le processus de mondialisation contemporain. Les dernières semaines de rébellion aux Antilles viennent nous rappeler, via le vocabulaire vaudou, et l’articulation dialectique contradiction principale/contradiction secondaire recouvrant le binôme lutte de classe /lutte de race, qu’il est toujours possible de se « dézombifier ». Le soi disant contrat social cher aux théoriciens du droit naturel de l’époque ascensionnelle du mode de production capitaliste n’était en réalité qu’un pacte inégal et trompeur avec le royaume des ténèbres et son maléfique souverain, le capital qui est la valeur ayant le diable au corps. Contre quelques rares et insuffisantes espèces sonnantes et trébuchantes, le prolétaire, libre contracteur sur un marché de dupes, ne pouvait qu’aliéner son âme, sa volonté et donc son corps à un maître collectif ivre de consommation de sa force de travail. Le prolétaire était transformé en zombie auquel étaient magnanimement accordées les miettes plus ou moins importantes issues du productivisme le plus abject.</p> <p style="text-align: justify;">Dans sa phase d’expansion coloniale, le capital n’avait guère d’autre ressource pour satisfaire sa soif de profit et de trafic que d’instaurer dans certains pays le mode de production esclavagiste excluant le salariat et son illusoire liberté, mais dont la finalité - à la différence de l’esclavage antique ou perdurant dans des pays non européens au marché plus ou moins restreint dans son intensité - était essentiellement tournée vers l’exportation en direction des métropoles européennes. C’est ainsi que la France a hérité dans ses départements antillais d’une société à structure coloniale puis néocoloniale en ce sens que la domination de classe s’articule à une domination de race. L’inertie propre aux représentations idéologiques, couplée aux archaïsmes économiques hérités de phases économiques antérieures a largement laissé perduré une situation sociale et politique jugée à juste titre comme insupportable par la majorité des antillais. Et comme la crise capitaliste s’approfondissant ne laisse aucun lieu de la planète à l’abri d’une paupérisation croissante, les prolétaires antillais poussés dans leurs derniers retranchements ne purent que se lancer dans la lutte de classe. Nous disons bien de classe ; car si l’esclave-marchandise fut bien importé pour sa corporéité visible de race, son usage effectif dans le procès de consommation de sa force de travail fut effectivement réalisé au sein du rapport social capitaliste engendré au sein du commerce mondial (et l’épanouissant en retour) et du rapport entre les nations dominantes se partageant celui-ci et son espace géographique. L’identité antillaise visible dans sa corporéité raciale et ses pratiques culturelles put ainsi apparaître au premier plan de la lutte récente, dirigée très souvent et immédiatement contre la minorité béké, tout aussi visible en sa position dominante. Mais ce qui est visible, l’apparence, fait retour à son intelligibilité essentielle : la contradiction principale - l’activité humaine devenant marchandise - celle entre le travail mort (le capital accumulé) et le travail vivant (la force de travail). Quand le capital ne peut plus consommer de force vive de travail (crise) il la laisse dépérir, elle est surnuméraire. Quand il ne peut l’entretenir un tant soit peu en attendant de nouvelles opportunités d’extension de marché (chômage, allocations diverses) sa condition s’aggrave : le prolétaire vit de plus en plus comme un zombie. Lorsque le descendant d’esclaves n’a pu accéder, du moins pas la majorité d’entre eux, à la condition des couches moyennes à cause de la pérennité de structures économico-sociales remontant à une phase antérieure du mode de production capitaliste, la contradiction secondaire raciale (secondaire parce que dérivée de la situation du commerce de l’esclave-marchandise comme nous l’avons expliqué ci-dessus) se manifeste au premier plan, se réactualise car engendrée par la dynamique propre à la contradiction principale qui, elle, s’approfondit parce qu’universelle (crise actuelle du capitalisme).</p> <p style="text-align: justify;">En conséquence de quoi nous considérons que la lutte des travailleurs antillais ces dernières semaines, signifie une tentative de reprise en main de leur propre destin dans leurs conditions particulières d’existence ainsi qu’une réponse adéquate à la paupérisation dont ont actuellement à pâtir tous les travailleurs confrontés à la crise capitaliste. C’est là toute la portée de ce que nous appelons, faisant référence à la culture des caraïbes, leur dézombification. Désormais celle-ci a gagné la métropole où la journée de grève du 19 mars a été un succès alors que pleuvent quotidiennement les licenciements sur la tête des prolétaires. Alors qu’aux Antilles accouraient quelques quimboiseurs aux visages pâles venus offrir leurs services afin de récupérer le mouvement de révolte, on pourra compter ici également sur la gauche et l’extrême gauche du capital pour faire tourner en rond les travailleurs, désamorcer la puissance de leur combat qui devra s’actualiser pour résister à l’ampleur de la crise économique et sociale du capital. Néanmoins la ficelle est usée et de plus en plus de monde comprend le rôle alloué à ces soit disants anticapitalistes promus par les médias de la bourgeoisie. Ainsi chacun a pu voir sur Internet les images de l’agression conduite contre le cortège du centre Zahra venu apporter son soutien au combat de la résistance palestinienne lors d’une manifestation parisienne, par les bandes policières anarcho-trotskistes. Les travailleurs comprendront à l’occasion de leurs luttes ce que représente le gauchisme depuis des décennies : quelques rouages secrets du pouvoir du capital.</p> <p style="text-align: justify;">Les enjeux actuels sont gigantesques ; le système n’a d’autre solution à proposer à sa crise structurelle qu’un discours lénifiant sur son illusoire refondation et moralisation et la pratique d’une planétarisation de son économisme délirant le conduisant à une course aux abîmes dans des conflits impérialistes guerriers de grande ampleur. Obama sera l’exécuteur de cette tension extrême dirigée vers les puissances à abattre pour les Etats-Unis, que sont principalement la Russie et la Chine, et cela selon les vœux de son mentor et stratège, et des intérêts de la Trilatérale qu’il représente, Brzezinski. L’Europe comme toujours fait montre de son néant politique et du vide sidéral de ses intentions. Elle est zombifiée par la volonté impériale étasunienne et Sarkozy vient d’annoncer, ce que nous qualifiions dans notre précédent éditorial de ce qui restera le « fait marquant de la présidence sarkozyenne », l’intégration totale de la France au sein de l’OTAN, trahissant de fait la grande vision géopolitique gaullienne d’indépendance de notre Nation et de l’Europe à l’égard de l’impérialisme étasunien. Le Général de Gaulle avait clairement analysé ce qui se tramait au moyen de cette structure militaire impérialiste déployée sur notre continent : « le protectorat américain sous le couvert de l’OTAN ». <i>Charles de Gaulle</i> en 1966. Le représentant politique de la bourgeoisie française vient de céder le glaive de notre souveraineté à l’empire unipolaire porteur du projet du choc des civilisations et de la stratégie d’occupation et de démantèlement de l’espace eurasien.</p> <p style="text-align: justify;">Tout comme aux Antilles, où ti baron samedi veille la nuit à l’entrée des cimetières, ti baron Sarkozy veille désormais à l’entrée du cimetière de l’indépendance nationale et du destin de l’Europe. </p> <p style="text-align: justify;"> </p> <p style="text-align: justify;">Erratum du numéro 35 : Dans la traduction, par ailleurs irréprochable, de Yves Branca de l'entretien de Tiberio Graziani, s'est malencontreusement glissée une coquille, page 10, dernier paragraphe, ligne quatre. Il fallait lire "séparatistes-sécessionnistes" au lieu de "sioniste". </p>
cabine13http://cabine13.hautetfort.com/about.htmlDIARY OF THE DEADtag:cabine13.hautetfort.com,2008-07-22:17145732008-07-22T10:27:00+02:002008-07-22T10:27:00+02:00 de Georges A. Romero avec Michelle...
<p style="margin-bottom: 0cm;" lang="en-GB" align="justify"><img id="media-1133235" style="border-width: 0pt; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt; float: left;" src="http://cabine13.hautetfort.com/media/00/02/1214838542.jpg" alt="diary-of-the-dead.jpg" /><span style="color: #c0c0c0; font-size: small;"><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span>de Georges A. Romero</span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="justify"><span style="font-size: small; color: #c0c0c0;"><span lang="fr-FR"><span><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span><br /></span></span></span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="justify"><span style="font-size: small; color: #c0c0c0;"><span lang="fr-FR"><span><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span>avec</span></span></span></span> <span><span style="text-decoration: none;"><span lang="fr-FR"><span><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span>Michelle Morgan</span></span></span></span></span></span><span lang="fr-FR"><span><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span>,</span></span></span></span> <span><span style="text-decoration: none;"><span lang="fr-FR"><span><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span>Shawn Roberts</span></span></span></span></span></span><span lang="fr-FR"><span><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span>,</span></span></span></span> <span><span style="text-decoration: none;"><span lang="fr-FR"><span><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span>Nick Alachiotis, Joshua Close, Amy Ciupak Lalonde, Joe Dinicol, <span style="color: #ff6600;"><a title="Tatiana Maslany" href="http://cabine13.hautetfort.com/tag/tatiana%20maslany"><span style="color: #ff6600;">Tatiana Maslany</span></a></span>, Chris Violette, Megan Park...</span></span></span></span></span></span><img id="media-1133236" style="border-width: 0pt; margin: 0.2em 0pt 1.4em 0.7em; float: right;" src="http://cabine13.hautetfort.com/media/01/01/1372178212.gif" alt="picto_12ans.gif" width="35" height="35" /></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="justify"> </p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="justify"><span style="color: #c0c0c0; font-size: small;"><span style="text-decoration: none;"><span lang="fr-FR"><span><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span><br /></span></span></span></span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="justify"><span style="color: #c0c0c0; font-size: small;"><span style="text-decoration: none;"><span lang="fr-FR"><span><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span>Horreur – Etats-Unis (2007)</span></span></span></span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" align="justify"> </p><p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" align="justify"><span style="color: #c0c0c0; font-size: small;"><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span><br /></span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" align="justify"><span style="color: #c0c0c0; font-size: small;"><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span>Dernier film de zombie du papy Romero, et bien malgré son grand âge on en redemande.</span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" align="justify"><span style="color: #c0c0c0; font-size: small;"><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span><br /></span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" align="justify"><span style="color: #c0c0c0; font-size: small;"><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span>Scénario classique de zombie : un virus, l’expansion du virus, quelques survivants que l’on suit tout au long du film avec bien sur parmi eux quelques morts.</span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" align="justify"><span style="color: #c0c0c0; font-size: small;"><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span><br /></span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" align="justify"><span style="color: #c0c0c0; font-size: small;"><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span>Mais l’intérêt du film est ailleurs.</span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" align="justify"><span style="color: #c0c0c0; font-size: small;"><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span><br /></span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" align="justify"><span style="color: #c0c0c0; font-size: small;"><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span>Son film traite en fait des nouveaux médias, les blogs, les forums, myspace, youtube… Il nous pose la question un peu démagogique certes, de savoir s’il faut faire confiance aux médias dits officiels car il semble donner plus de crédibilité à la blogosphère ou tout autre médias présents sur le web, tout en posant là aussi la problématique de savoir si on peut leur faire confiance étant donné les nombreuses communautés différentes qui s’y sont créées.</span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="justify"><span style="font-size: small; color: #c0c0c0;" lang="fr-FR"><span><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span><br /></span></span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="justify"><span style="font-size: small; color: #c0c0c0;" lang="fr-FR"><span><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span>Si son film est réalisé au travers des caméras des protagonistes et des différents modes de vidéosurveillance, procédé très en vogue depuis le <strong>PROJET BLAIR WITCH</strong> et plus récemment <strong>CLOVERFIELD</strong> (vrai faux film de monstres), sa façon de réaliser et le montage des séquences sont réglés au millimètre, les exécutions qu’elles soient humaines ou "zombiennes" sont brutales, soudaines et violentes, pas d’extravagance ni de fioriture, on est là pour se défendre ou attaquer point à la ligne, un peu comme dans un western.</span></span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="justify"><span style="font-size: small; color: #c0c0c0;" lang="fr-FR"><span><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span><br /></span></span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="justify"><span style="font-size: small; color: #c0c0c0;" lang="fr-FR"><span><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span>Un soin particulier a été apporté à la photo du film, on oscille dans les tons gris bleu, comme si dans cette noirceur un peu d’espoir était encore là. D’ailleurs <strong>DIARY OF THE DEAD</strong> est enveloppé d’une ambiance à la fois comique mais aussi fataliste, lyrique et désespérée. Une ambiance presque poétique en fait.</span></span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" align="justify"><span style="color: #c0c0c0; font-size: small;"><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span><br /></span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" align="justify"><span style="color: #c0c0c0; font-size: small;"><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span>Caractère classique de ses thèmes de prédilection : des femmes fortes (en personnalité), défense de la communauté noire (ici elle aide les survivants alors que la garde nationale les dépouille), héros torturé et désabusé…</span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" align="justify"><span style="color: #c0c0c0; font-size: small;"><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span><br /></span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" align="justify"><span style="color: #c0c0c0; font-size: small;"><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span>Un très bon Romero mais qui ne fera certainement pas l’unanimité niveau carnage.</span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" align="justify"> </p><p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" align="justify"> </p><p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" align="right"><span style="color: #c0c0c0; font-size: small;"><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span><em>Xavier</em></span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" align="justify"> </p><p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" align="justify"><span style="color: #c0c0c0; font-size: small;"><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span><br /></span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" lang="fr-FR" align="justify"><span style="color: #c0c0c0; font-size: small;"><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span>PS : Une seule paire de nichons dans le film.</span></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;" lang="fr-FR" align="justify"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;" lang="fr-FR" align="justify"> </p><div style="text-align: center;"><span style="font-size: small; color: #c0c0c0;"><object width="370" height="304" data="http://www.dailymotion.com/swf/x5wnmh&related=0" type="application/x-shockwave-flash"><param name="quality" value="high" /><param name="menu" value="false" /><param name="wmode" value="" /><param name="src" value="http://www.dailymotion.com/swf/x5wnmh&related=0" /><param name="pluginspage" value="http://www.macromedia.com/go/getflashplayer" /></object></span><br /><span style="font-size: small; color: #c0c0c0;"> <strong><a href="http://www.dailymotion.com/video/x5wnmh_diary-of-the-dead-trailer-de-la-sem_shortfilms"><span style="color: #c0c0c0;">Diary of the Dead Trailer de la semaine</span></a></strong></span><br /><span style="font-size: small; color: #c0c0c0;"> <em>envoyé par <a href="http://www.dailymotion.com/troiscouleurs"><span style="color: #c0c0c0;">troiscouleurs</span></a></em></span></div>
Nellyhttp://deambulations.hautetfort.com/about.htmlThe Cranberries - No Need To Arguetag:deambulations.hautetfort.com,2008-06-06:16505152008-06-06T17:38:00+02:002008-06-06T17:38:00+02:00 Finalement, après avoir écouté " Faudra Faire Avec " de Tétard , j'ai mis...
<p align="justify">Finalement, après avoir écouté "<b>Faudra Faire Avec</b>" de <b>Tétard</b>, j'ai mis "<b>No Need To Argue</b>" des <b>Cranberries</b>, et c'est plutôt celui que je vais chroniquer aujourd'hui. <b>Tétard</b>, on verra plus tard.</p> <div style="text-align: center"> <div style="text-align: center"><img src="http://deambulations.hautetfort.com/media/02/01/1518333671.jpg" id="media-1055563" alt="The_Cranberries-No_Need_To_Argue-Frontal.jpg" style="border-width: 0pt; margin: 0.7em 0pt" name="media-1055563" /></div> </div> <div style="text-align: center"> </div> <p align="justify"> </p> <div align="justify"></div> <p align="justify">Il me semble l'avoir eu en 1999, dans une brocante, quelques mois après avoir découvert les <b>Cranberries</b> avec "<b>Bury The Hatchet</b>". Je connaissais déjà un peu les deux grands classiques de ce CD, <b>Ode to my Family</b> et le formidable <b>Zombie</b>.</p> <div align="justify"></div> <p align="justify">Comment parler de cet album ? Chaque chanson est fabuleuse et fait honneur à la voix de <b>Dolores</b>. Beaucoup d'émotions, toujours grâce à la puissance de cette voix que j'adore. Comme j'ai actuellement l'album dans les oreilles, pourquoi ne pas parler des morceaux que je préfère ?</p> <div align="justify"></div> <p align="justify"> </p> <div style="text-align: center"><img src="http://deambulations.hautetfort.com/media/00/01/461069414.jpg" id="media-1055565" alt="dolores01.jpg" style="border-width: 0pt; margin: 0.7em 0pt" name="media-1055565" /></div> <div align="justify"></div> <p align="justify">Piste n°1 : <b>Ode to my Family</b>. Qui n'a jamais entendu les "<i>doo doodoo doo</i>" ? Pour commencer l'album, le ton est donné. Je l'ai toujours beaucoup aimée, sans doute pour justement cet ode à la famille, très émouvant. </p> <div align="justify"></div> <p align="justify"><i>My mother, my mother she hold me<br /> Did she hold me, when I was out there<br /> My father, my father, he liked me<br /> Ol he liked me, does anyone care</i></p> <div align="justify"></div> <p align="justify"> </p> <div align="justify"></div> <p align="justify">Piste n°2 : <b>I can't be with You</b>. Morceau très entraînant, tout en étant triste car cette chanson évoque l'absence... C'est vraiment le rythme qui me plait ici, même si les paroles sont évidemment touchantes.</p> <div align="justify"></div> <p align="justify"><i>Put your hands, put your hands,<br /> Inside my face and see that it's just you.<br /> But it's bad and it's mad and it's making me sad,<br /> Because I can't be with you. </i></p> <div align="justify"></div> <p align="justify"> </p> <div align="justify"></div> <p align="justify">Piste n°4 : <b>Zombie</b>. Je ne peux plus dissocier cette chanson du concert de Dolores auquel j'ai assisté en juin 2007. Dès les premières notes, j'avais commencé à pleurer, tellement c'était troublant de l'entendre en live (je rappelle que je ne savais pas que Dolores chanterait aussi les morceaux des Cranberries). La voix est sublime, douloureuse, émouvante. Le thème est poignant, on sent la colère de Dolores. J'en ai des frissons à chaque fois que je l'entends...</p> <div align="justify"></div> <p align="justify"><i>"What's in your head, in your head ? Zombie, Zombie, Zombie..."</i></p> <div align="justify"></div> <p align="justify"> </p> <div align="justify"></div> <p align="justify">Piste n°7 : <b>The Icicle Melts</b>. Je n'ai jamais bien saisi le sens de cette chanson mais le refrain suggère un drame et la voix de Dolores qui monte jusqu'à s'érailler légèrement, ça m'a toujours scotchée. En musique, je trouve très souvent la beauté dans les morceaux les plus dramatiques, torturés, où la voix évoque la douleur sans craindre de se faire mal.</p> <div align="justify"></div> <p align="justify"> <i>How could you hurt a child<br /> Now does this make you satisfied<br /> I don’t know what’s<br /> Happening to people today<br /> When a child, he was taken away</i></p> <div align="justify"></div> <p align="justify"> </p> <div align="justify"></div> <p align="justify">Piste n° 9 : <b>Ridiculous Thought</b>. J'aime les "ah ah ah aaaaah" au début, qui se taisent pour laisser place à la musique, j'aime le rythme, le côté assez acerbes des paroles qui se vengent d'un ancien amour. </p> <div align="justify"></div> <p align="justify"><i>Twister, I shouldn’t have trusted you<br /> Twister<br /> It’s not going to happen no<br /> You’re not going to make fun of me<br /> Happen no</i></p> <div align="justify"></div> <p align="justify"> </p> <div align="justify"></div> <p align="justify">Piste n°11 : <b>Yeat's Grave</b>. Encore une chanson qui parle de la mort. Je ne m'étais pas penchée sur les paroles avant aujourd'hui, on comprendra donc que ce n'est pas spécialement pour elles que j'aime cette chanson. Ici encore, c'est le côté très poignant qui me touche. Les passages parlés aussi. Et puis, et puis, encore et toujours la voix, le rythme...</p> <div align="justify"></div> <p align="justify"> </p> <div align="justify"></div> <p align="justify">Piste n°12 : <b>Daffodil Lament</b>. Après les deux classiques tubesques, c'est ce morceau que je préfère. Une chanson en plusieurs parties, un début très mélancolique, d'une tristesse plus que perceptible. La douleur d'une femme qui sait qu'elle n'est plus aimée par quelqu'un qui n'est pas le bon de toute façon.</p> <div align="justify"></div> <p align="justify"><i>Holding on that’s what I do<br /> Since I met you<br /> And it won’t be long, would you notice<br /> If I left you<br /> And it’s fine for some<br /> Cause you’re not the one</i></p> <div align="justify"></div> <p align="justify">Le rythme s'accélère un peu, une colère s'installe, et finit par éclater "<i>I can't sleep, here !</i>". </p> <div align="justify"></div> <p align="justify">Puis ça se calme, s'instrumentalise. Comme si quelque chose s'était brisé. Effectivement, la suite est plus optimiste, enjouée, même si elle évoque une rupture. La femme semble plus sereine, enjouée.</p> <p align="justify">Mon passage préféré : </p> <p align="justify"><i>Ol in your eyes I can see the disguise<br /> Ol in your eyes I can see the dismay<br /> Has anyone seen lightning<br /> Has anyone looked lovely</i></p> <p align="justify">ça finit sur une touche que je prends comme optimiste, les jonquilles qui semblent ravissantes... J'adore cette chanson, elle va vraiment loin dans les sentiments, et les exprime à merveille, autant dans la voix de <b>Dolores</b> que dans les paroles. Et puis, pour cloturer, un chant avec choeurs qui semblerait presque religieux. ça me fait penser à <b>Electric Blue</b> sur <b>To The Faithful Departed</b>.</p> <p align="justify"> </p> <p align="justify">Voilà pour mes morceaux préférés. On remarquera sans peine qu'ils sont quasi tous tristes, torturés. Beaucoup ryhtmés. Mais surtout, ils sont tous portés par la voix de <b>Dolores</b>, toujours plein d'émotions, de sentiments, et c'est indéniablement ce qui me touche... Je pense que bientôt, je parlerai de <b>To The Faithful Departed</b> ! En tous cas, je suis contente de l'avoir écouté aujourd'hui, ce <b>No Need To Argue</b>.</p> <p align="justify"> </p> <p align="justify"> </p> <div style="text-align: center"><img src="http://deambulations.hautetfort.com/media/00/00/1814008803.jpg" id="media-1055571" alt="cranberries.jpg" style="border-width: 0pt; margin: 0.7em 0pt" name="media-1055571" /></div>
all_zebesthttp://all-zebest.hautetfort.com/about.htmlZebest sort de sa torpeur et part à la chasse aux zombies ザベストかゾンビーか分からん!tag:all-zebest.hautetfort.com,2007-11-19:13237882007-11-19T08:55:00+01:002007-11-19T08:55:00+01:00 Le soldat du savoir pose un instant sa kalach et, aux trois quarts de son...
<p>Le soldat du savoir pose un instant sa kalach et, aux trois quarts de son parcours, il arpente le net et tombe sur des <a href="http://www.lastdaysjournal.com/">choses</a> intéressantes, car il sait où chercher.</p> <p>Bref, je suis tombé sur ce jeu : <i>Left 4 Dead</i> (Laissé pour mort) :<br /> <a href="http://www.l4d.com/" target="_blank">http://www.l4d.com/</a><br /> Les amateurs de jeux en ont déjà entendu parler. Il s'agit d'un FPS (jeu de tir à la 1ère personne) coopératif auquel on peut jouer seul (les coéquipiers étant joués par l'ordinateur) ou à plusieurs sur internet (et j'espère en LAN (réseau local)) Les assidus de mon blog connaissent ma passion pour les ruines, les environnements post-apocalyptiques et les histoires de zombies. Eh bien il semblerait que nous tenions là un beau fleuron de jeu de zombie, bien fichu, et soutenu par une communauté de fans bien plus intelligents que pour la majorité des jeux. Le forum est un endroit <b>très agréable</b> où, avec de l'humour mais un esprit constructif et une <b>bonne mentalité</b>, <b>des personnes de bonne compagnie</b> proposent une montagne d'idées dont les développeurs feraient bien de prendre de la graine.</p> <p> Grâce à l'un des intervenants, j'ai découvert également un micro (?)-projet de jeu (commercial, pas un <i>fan-game</i>) de type MMORPG, <i>Exanimus</i>, qui ne m'a pas emballé graphiquement au stade où il en est (c'est trop tôt) mais m'a intéressé comme une piste parmi d'autre pouvant éventuellement mener à un renouveau du jeu de zombie. Car faire un jeu de zombie, c'est aussi et surtout faire un jeu de survivant, c'est penser l'homme dans ce qu'il a de plus essentiel et de parfois contradictoire : le vouloir vivre et l'altruisme.<br /> Le site du MMO à son stade embryonnaire :<br /> <a href="http://www.exanimusthegame.com/" target="_blank">http://www.exanimusthegame.com/</a> </p> <p>Le forum de <i>Left 4 Dead</i>, sur lequel je vous invite à aller, est en anglais, et je déplore qu'il n'existe pas en français de forum de cette qualité, sans Kévins ni Niktamère ou autre Essèmesse. J'ai vraiment goûté leur topic sur le zombisme réel et la possibilité probable et scientifiquement plausible d'une <a href="http://www.cracked.com/article_15643_5-scientific-reasons-zombie-apocalypse-could-actually-happen.html">épidémie de zombisme</a>. Avec le P4 de Lyon où sont étudiés et stoqués les virus les plus mortels de la planète, on peut très bien imaginer un virus dégénératif attaquant le néocortex et ne laissant plus subsister que le cerveau reptilien malade, avide de violence et/ou de nourriture.<br /> <a href="http://forums.steampowered.com/forums/forumdisplay.php?f=130" target="_blank">http://forums.steampowered.com/forums/forumdisplay.php?f=130</a></p> <p> Bref, goûtez le teaser de <i>Left 4 Dead</i> et allez voir le forum : on y trouve toujours une nouvelle discussion de qualité pleine d'idées et une communauté très attachante et terriblement humaine, mais dans le bon sens.</p>
JAQhttp://jaqimages.hautetfort.com/about.htmlGabriel le zombietag:jaqimages.hautetfort.com,2007-01-30:8561172007-01-30T21:27:35+01:002007-01-30T21:27:35+01:00 Encore un petit OVNI à plumes pour compléter la série des...
<strong> Encore un petit OVNI à plumes pour compléter la série des</strong> <strong><em>Angéliques</em>...</strong> <img src="http://jaqimages.hautetfort.com/images/angevampire.jpg" />
JAQhttp://jaqimages.hautetfort.com/about.htmlLes Figurinestag:jaqimages.hautetfort.com,2006-12-22:7962462006-12-22T16:20:00+01:002006-12-22T16:20:00+01:00 Et rond et rond recyclons! Ici pas que du carton, même si il reste la...
<p><font color="#663300"><strong>Et rond et rond recyclons!</strong> Ici pas que du carton, même si il reste la base... Crazy bony zombie est fait d'un bassin de lièvre <em>(déniché par mon petit Clément lors d'une balade parmi les sapins...)</em> pour le masque, de plumes et de métal, le tout maintenu par des aimants.</font></p> <img src="http://jaqimages.hautetfort.com/images/carton-3d.jpg" />