Last posts on vargas2024-03-29T07:43:48+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/vargas/atom.xmlylepapehttp://lactualitedessocialistes.hautetfort.com/about.htmlLe meilleur de 2018/19 - « L'humanité en péril » : le cri d'alarme écologiste de Fred Vargastag:lactualitedessocialistes.hautetfort.com,2019-08-25:61484012019-08-25T14:50:00+02:002019-08-25T14:50:00+02:00 François Busnel reçoit Fred Vargas qui nous livre un cri d’alarme...
<p><iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/6F8HQ59y-78" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p><p>François Busnel reçoit Fred Vargas qui nous livre un cri d’alarme écologique à travers son dernier livre : « L’humanité en péril » (Éditions Flammarion). Face à l’urgence climatique, elle propose un manuel d’information et de survie. Elle dresse un panorama de toutes les menaces qui pèsent sur la planète et met en avant des motifs d’espoirs, des actions innovantes et des idées simples pour agir, ensemble.</p>
Soundandfuryhttp://talememore.hautetfort.com/about.htmlBois éternels Vargastag:talememore.hautetfort.com,2018-11-29:61085792018-11-29T18:59:00+01:002018-11-29T18:59:00+01:00 Dans les bois éternels , Fred Vargas Grand retour des livres audio,...
<h2><em><img id="media-5921067" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://talememore.hautetfort.com/media/01/00/3210042274.jpg" alt="vargas-bois-éternels" /><span style="color: #ffffff; background-color: #666699;">Dans les bois éternels</span></em><span style="color: #ffffff; background-color: #666699;">, Fred Vargas</span></h2><p style="text-align: justify;">Grand retour des livres audio, influencée par un collègue qui fait bien plus de route que moi et que j'ai ravitaillé en dévalisant le rayon à la médiathèque. </p><p style="text-align: justify;">Sachant combien je suis attachée au réalisme et à la cohérence des choses, d'après vous, quel avis vais-je émettre sur un roman dans lequel la police mobilise en quelques minutes un hélicoptère pour suivre un chat ? </p><p style="text-align: justify;">Perdu (ou gagné, si vous me connaissez mieux que bien) : j'ai adoré !! C'est mon troisième Vargas, je suis préparée, ce n'est pas un polar comme un autre, c'est une sorte de rêve un peu halluciné. Une errance poétique, qui porte Adamsberg, le héros flic, tantôt à écouter les mouettes, tantôt à lire à un bébé un livre sur la maçonnerie traditionnelle... Jusqu'à ce que le crime soit résolu.</p><p style="text-align: justify;">C'est une si belle écriture que chaque fois que j'en termine un, je l'oublie, comme on oublie un songe, même très agréable. Et je m'étonne à nouveau au roman suivant d'aimer à ce point cette auteure et de l'avoir si peu lue, finalement.</p><p style="text-align: justify;">Chaque personnage secondaire est une pépite. Les normands taiseux (scènes géniales), les histoires de bouquetins, les fantômes au grenier, la femme qu'on écoute en aimer un autre, les bois de cerf encombrants mais qu'il ne faut pas séparer, l'érudition de certaines explications... C'était parfait.</p><p> </p>
Cassiopéehttp://unpolar.hautetfort.com/about.htmlTemps glaciaires, de Fred Vargastag:unpolar.hautetfort.com,2015-03-24:55898562015-03-24T14:16:13+01:002015-03-24T14:16:13+01:00 Une chronique de Bruno (BMR). Pour celles et...
<p style="text-align: justify;" align="left"><strong><em> <img id="media-4982213" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://unpolar.hautetfort.com/media/01/00/1304009787.jpg" alt="temps_glaciaires.jpg" /></em></strong><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><strong><a href="http://www.babelio.com/livres/Fermine-Amazone/66990/critiques" target="_blank"><em>Une chronique de Bruno (BMR).</em></a></strong></span></p><p style="text-align: justify;" align="left"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><strong><em> <span style="color: #0000ff; background-color: #ffff00;">Pour celles et ceux qui aiment penser, d’un côté ou de l’autre.</span></em></strong></span></p><p style="text-align: justify;" align="left"><strong><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Clin d’œil islandais</span></strong></p><p style="text-align: justify;" align="left"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><em>Avertissement : ce billet a été rédigé sur un tölva (modèle HP), une sorcière qui compte.</em></span></p><p style="text-align: justify;" align="left"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">C’est toujours un grand moment de plaisir annoncé et attendu que d’ouvrir un nouveau <em>Fred Vargas</em>. Que de retrouver le mystérieux et fantasque Jean-Baptiste Adamsberg et toute sa clique du commissariat su XIII°. Que de découvrir toute une galerie de personnages étranges et originaux. Que d’avoir l’assurance d’apprendre tout un tas de choses sur on ne sait pas quoi encore mais on verra bien, ce sera forcément passionnant.</span><br /><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> Le commandant Danglard<sup>(1)</sup> nous dirait que c’est comme ouvrir une bouteille de bon vin, un cépage connu et apprécié. Chaque millésime offre son propre bouquet unique et particulier mais le goût est toujours celui qu’on attend. Le savoir-faire de la Maison Vargas a fait de ces pentes ardues et touffues de l’Adamsberg une grande région viticole.</span></p><p style="text-align: justify;" align="left"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><em>« […] Tu penses à quelque chose ? <br /> — À rien. J'aimerais réfléchir un peu. <br /> Bourlin poussa un soupir découragé. Il connaissait Adamsberg depuis assez longtemps pour savoir que « réfléchir » n'avait aucun sens, le concernant. Adamsberg ne réfléchissait pas, il ne se posait pas seul à une table, crayon en main, il ne se concentrait pas devant une fenêtre, il ne récapitulait pas les faits sur un tableau, avec des flèches et des chiffres, il ne posait pas son menton sur son poing. Il vaquait, marchait sans bruit, il ondulait entre les bureaux, il commentait, arpentait le terrain à pas lents, mais jamais personne ne l'avait vu réfléchir. Il semblait aller tel un poisson à la dérive. Non, un poisson ne dérive pas, un poisson suit son objectif. Adamsberg évoquait plutôt une éponge, poussée par les courants. Mais quels courants ? »</em></span></p><p style="text-align: justify;" align="left"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Las, après les premières lampées toujours savoureuses, le cru Vargas 2015, étiquette cuvée spéciale <a href="http://www.babelio.com/livres/Vargas-Temps-glaciaires/682494#critiques" target="_blank"><strong>Temps glaciaires</strong></a>, sent un peu le bouchon et il faudra attendre le fond de la bouteille pour que celle-ci révèle enfin ses meilleurs arômes.</span><br /><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> Ça commençait plutôt bien avec un clin d’œil de l’auteure en direction de la vague nordique qui déferla dans nos librairies. Un titre explicite et une histoire qui évoque l’Islande d’<a href="http://bmr-mam.blogspot.fr/search/label/Arnaldur-Indridason">Indridason</a> et de son commissaire Erlendur.</span></p><p style="text-align: justify;" align="left"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><em>« […] Le fracas de la pluie sur le pare-brise réveilla Danglard. <br /> — Où en sommes-nous ? demanda-t-il. <br /> — On a dépassé Versailles. <br /> — Je parle de l'enquête. Meurtres ou suicides. <br /> — Deux suicidés qui laissent le même signe, Danglard. Deux suicidés liés au même rocher d'Islande. Ça ne va pas.<br /> […] Si tant est que l'Islande fût une véritable piste.<br /> […] — Mais pourquoi alors, dit Justin en fixant ses notes, nous envoie-t-on au début sur le drame islandais ? <br /> — Je ne sais pas si on nous y a jamais « envoyés », dit lentement Adamsberg en revenant sur ses pas.<br /> Nous sommes allés tout seuls en Islande.<br /> […] — Il n'empêche que les premières victimes avaient toutes deux été en Islande, dit-il. Coïncidence ? On n'aime pas les coïncidences. »</em></span></p><p style="text-align: justify;" align="left"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Et puis au fil des pages de ce gros pavé, la citoyenne Vargas nous perd dans les méandres confus d’une secte qui a entrepris (en costumes !) de reconstituer les débats et les discours de la Constituante<sup>(2)</sup>, lorsque l’intransigeant et incorruptible Robespierre faisait régner la terreur et s’attachait à détacher la tête de tous ceux qui s’égaraient hors du droit chemin. </span><br /><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> Le feu de paille islandais du début s’étiole, l’enquête piétine et le lecteur s’impatiente. Les Temps révolutionnaires déçoivent. </span><br /><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> On voudrait faire fi de ces chemises à jabot. La ci-devant Vargas se pousserait du col ? </span><br /><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> Entre la rigidité de Robespierre et la chaleur des pierres islandaises, l’auteure semble hésiter et courir deux sangliers à la fois<sup>(3)</sup>.</span><br /><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> Mais les plus patients, qui n’auront pas guillotiné trop tôt le bouquin, seront finalement récompensés par le dernier quart<sup>(4)</sup>. Adamsberg s’envole pour Reykjavik (yes !) et le roman décolle enfin<sup>(5)</sup>. Ce qui nous vaudra des pages superbes, peut-être les meilleures de Vargas (avec celles du <a href="http://bmr-mam.blogspot.fr/2009/01/bouquin-un-lieu-incertain.html">Lieu incertain</a>), tout à fait dignes de la référence à Indridason.</span></p><p style="text-align: justify;" align="left"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><em>« […] — C'est beau ici, dit Adamsberg en allumant les cigarettes à la ronde. Je ne vois rien à un mètre, mais je suis certain que c'est beau. <br /> — Atrocement beau, dit Almar. <br /> — Je crois que je vais rester là, dit Adamsberg. <br /> — Avec Gunnlaugur et Eggrún qui nous couvent à présent comme des canetons, je reste avec toi, dit Veyrenc. Il faudrait que je me trouve aussi un prénom islandais. Almar ? <br /> — Lúðvíg, tout simplement. <br /> — Parfait. Et Retancourt ? <br /> — C'est quoi son prénom ? <br /> — Violette, comme la petite fleur. <br /> — Alors, Víóletta. <br /> — C'est simple, au fond, l'islandais. <br /> — Atrocement simple. <br /> — Je n'ai jamais dit que je restais, dit Retancourt. Ils jouent beaucoup aux échecs ici ? <br /> — Sport national intense, dit Almar. <br /> — On n'a pas eu le temps de copier le texte de la stèle pour Danglard, dit Veyrenc après un silence. Cela devait raconter quelque chose comme : étranger, toi qui foules cette terre, prends garde… <br /> — … aux vices immondes des hypocrites infâmes, poursuivit Adamsberg. <br /> On pourrait réussir à deviser comme cela toute notre vie sans en parler, finalement. Sans jamais parler de l'île tiède et des os. On ne s'en sort pas si mal. On se dirait des choses et d'autres, et puis on les répéterait, et puis on irait finir notre verre, et puis on dormirait. <br /> — À quelle heure est l'avion demain ? demanda Veyrenc. <br /> — Midi sur le tarmac, dit Adamsberg. Le temps qu'ils effarouchent le million d'oiseaux, on sera à 13 heures à l'aéroport de la ville d'en face. »</em></span></p><p style="text-align: justify;" align="left"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Ce doit être ça, la magie de ces terres froides et brumeuses.</span><br /><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> Nombreux sont les critiques qui commettent l’erreur de classer les ouvrages du Docteur Vargas parmi les polars. Alors que de tout évidence, il s’agit plutôt de traités scientifiques.</span><img id="media-4982214" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://unpolar.hautetfort.com/media/01/02/2000663006.jpg" alt="vargas.jpg" /><br /><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> Des essais savants dans lesquels la citoyenne Vargas explore avec précaution, conscience et ténacité les mécanismes complexes et les cheminements diffus de la pensée humaine. Ceux qui se devinent en creux sous la surface apparente des choses.</span></p><p style="text-align: justify;" align="left"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><em>« […] Adamsberg leva une main réclamant le silence, sortit lentement son carnet et nota la dernière phrase qu'il venait de prononcer. Le médecin sort un os de sa bouche. Puis il la relut en la suivant du doigt, comme un homme qui n'en comprend pas le sens. Il rempocha son carnet et son regard réapparut dans ses yeux. <br /> — J'ai pensé, dit-il sur un ton d'excuse. <br /> — À quoi ? <br /> — Aucune idée. »</em></span></p><p style="text-align: justify;" align="left"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Dans une vingtaine d’années, on peut facilement imaginer un congrès mémorable de savants au cours duquel, après avoir englouti des milliards de dépenses, les chercheurs reconnaitront leur défaite et s’apprêteront à abandonner le projet de supercalculateur (un super-tölva) qui devait penser enfin comme nous. Dans le silence déçu qui accompagnera cette annonce solennelle, un murmure indistinct se fera entendre au fond de la salle.</span><br /><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> <em>”Faudrait peut-être qu’on relise Fred Vargas …”</em> grognera l’un des congressistes en frappant la moquette de sa canne.</span></p><p style="text-align: justify;" align="left"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><em>« […] Veyrenc fit de nouveau retomber la béquille au sol, en un martèlement régulier. <br /> — C'est énervant ce bruit, Louis. <br /> — Je réfléchis, c'est tout. <br /> — Oui mais je ne sais pas pourquoi, cela m'énerve. <br /> — Pardon, c'est un réflexe. […]<br /> Il se fit un long silence, qu'Adamsberg ne rompit pas. Il ouvrait les yeux dans le vide, et ne voyait que brume épaisse, brume d'afturganga. Il attrapa soudain le poignet de Veyrenc. <br /> — Continue, dit-il, continue et tais-toi. <br /> — À quoi ? <br /> — À frapper le sol. Continue. Je sais pourquoi cela m'énerve. Parce que cela fait monter un têtard. <br /> — Quel têtard ? <br /> — Un début d'idée informe, Louis, se hâta d'expliquer Adamsberg, de peur de se perdre à nouveau dans la brume. Les idées sortent toujours de l'eau, d'où crois-tu qu'elles viennent ? Mais elles s'en vont si l'on parle. Tais-toi. Continue. »</em></span></p><div style="text-align: justify;"><p align="left"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Dans cet épisode, la brigade du XIII° semble prendre un nouveau virage et Jean-Baptiste Adamsberg préparer peut-être sa retraite. Danglard, Retancourt, Veyrenc, et tous les autres, même Estalère, tous semblent jouer au diapason dans un orchestre dont Adamsberg ne serait que le chef armé s’une seule petite baguette, sans même avoir besoin d’emboucher lui-même un puissant instrument à vent. </span><br /><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> Les mécanismes de la brigade tournent comme ceux d’une horloge (ou bien sûr une montre, réglée sur celles d’Adamsberg et les pissées de Lucio). Chacun y joue sa partition, l’effet d’ensemble est très réussi, l’harmonie est palpable.</span><br /><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> Mais on l’a vu, le tempo de la musique s’alentit, le rythme s’épuise, et il faudra bientôt que le chef d’orchestre s’empare lui aussi d’un instrument (ce sera une canne) pour reprendre la tête de la fanfare et mener tout son petit monde jusqu’au bouquet final.</span></p></div><p style="text-align: justify;" align="left"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">(1) - notons que, une fois n’est coutume, ce n’est pas le commissaire qui picole mais son adjoint !</span><br /><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> (2) - la Constituante, c’était pour le jeu de mots, les puristes auront deviné bien sûr qu’il s’agit plutôt de la Convention.</span><br /><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> (3) - il est d’ailleurs beaucoup questions d’animaux qui bougent dans ce livre : canards, coccinelles, corneilles, macareux, phoques (là on n’est pas bien sûr), mouettes, marcassins, têtards, et j’ai sûrement loupé une partie du bestiaire.</span><br /><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> (4) - oui quand même, mais comme c’est un gros pavé, ça laisse un morceau de choix</span><br /><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> (5) - j’étais moi-même dans l’avion : l’illusion était parfaite !</span></p><p style="text-align: justify;" align="left"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><em>Bruno ( BRM) : </em><span style="text-decoration: underline;"><a href="http://bmr-mam.blogspot.fr/search/label/bouquin">les coups de Coeur de MAM et BMR</a></span></span></p><p style="text-align: justify;" align="left"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span></p><p> </p><p> </p><div class="igtranslator-activator-icon" title="Click to Show Translation"> </div><p> </p><div class="igtranslator-activator-icon" title="Click to Show Translation"> </div><p><iframe style="display: none; width: 0px; height: 0px;" scrolling="no" class="igtranslator-iframe" src="about:blank" frameborder="0"></iframe></p><div class="igtranslator-activator-icon" style="background-image: url('resource://jid1-dgnibwqga0sibw-at-jetpack/igtranslator/data/content_script/icon.png'); display: none; top: 17.1167px; left: 511.85px;" title="Click to Show Translation"> </div><p><iframe style="display: none; width: 0px; height: 0px;" scrolling="no" class="igtranslator-iframe" src="about:blank" frameborder="0"></iframe></p><div class="igtranslator-activator-icon" style="background-image: url('resource://jid1-dgnibwqga0sibw-at-jetpack/igtranslator/data/content_script/icon.png'); display: none; top: 17.1167px; left: 511.85px;" title="Click to Show Translation"> </div>
Soundandfuryhttp://talememore.hautetfort.com/about.htmlLes mijotéstag:talememore.hautetfort.com,2014-12-06:55047382014-12-06T17:29:00+01:002014-12-06T17:29:00+01:00 En vitesse avant de parler de mon grand coup de coeur du mois, un mot sur...
<p style="text-align: justify;">En vitesse avant de parler de mon grand coup de coeur du mois, un mot sur deux titres qui ont battu des records de durée de lecture!</p><h2 style="text-align: justify;"><img id="media-4786068" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://talememore.hautetfort.com/media/02/02/1843599198.png" alt="lieu incertain.png" /><span style="color: #ffffff; background-color: #000000;">Un lieu incertain, Fred Vargas</span></h2><p style="text-align: justify;">Ce n'était que mon 2e F. Vargas pourquoi ne seraient-ils pas tous aussi bons? Ce n'est pas comme si l'histoire comptait. L'intrigue policière flotte quelque part au loin tandis que l'écriture fait tout, que le personnage d'Adamsberg et tous les personnages secondaires font tout. Un petit côté érudit et mystérieux. Dense. J'aime vraiment cette auteure. Ici il était question d'une lignée de types fêlés qui se prennent pour des monstres et s'entretuent. comme ça, ça semble assez peu attrayant. On flirtait avec le surnaturel, mais on garde les pieds sur la terre ferme : la terre maudite du lieu incertain. C'est poétique, par certains aspects. Je crois que l'interjection "plog" quand elle est apparue, a décidé de mon coup de coeur pour le roman.</p><p style="text-align: justify;">Roman qui n'a pas été vraiment "lu", mais écouté en livre audio - très belle voix d'homme. Commencé cet été sur une route italienne et fini en novembre tandis que ma voiture agonisait. C'était parfois un peu difficile de retrouver le fil !</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;">Mais ce n'était rien à côté de cet autre roman, lecture commencée il y a ... un an ? deux ans ?</p><h2 style="text-align: justify;"><img id="media-4786071" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://talememore.hautetfort.com/media/00/01/3836826315.png" alt="cercle_flèche_ness.png" /><span style="color: #ffffff; background-color: #000000;">Le cercle et la flèche, T2 du Chaos en marche de Patrick Ness</span></h2><p style="text-align: justify;"><a href="http://talememore.hautetfort.com/archive/2010/09/25/rien-dans-la-tete.html">Voir article T1 et attention au spoil du premier volume dans la suite de cet article ! ^^</a></p><p style="text-align: justify;">Cette série jeunesse est fabuleuse, elle ne ressemble à rien d'autre. Un OVNI situé dans un monde futuriste mais arriéré où les pensées des gens flottent dans l'air, accessibles à tous.</p><p style="text-align: justify;">Nous revoici en compagnie de Todd, qui a passé tout le premier volume à fuir avec Viola la ville dont il est originaire et son terrible Maire, pour atterrir finalement entre ses griffes.</p><p style="text-align: justify;">560 pages. Ce n'est pas rien, 560 pages! C'est du costaud. Et que se passe-t-il pendant 560 pages? Todd et Viola sont séparés et pensent l'un à l'autre. Le terrible Maire s'est emparé de la ville et les femmes, menées par Mrs Coyle, organisent la résistance. Puis on boucle sur tout ça. Maire manipulateur, Todd abattu, Viola furieuse, Mrs Coyle insaisissable.</p><p style="text-align: justify;">560 pages statiques, je me suis sentie comme engluée, sans trouver ça désagréable. C'est tellement étrange, comme roman. J'ai l'impression que ça n'est pas un livre, mais allez expliquer un truc comme ça, vous :p</p><p style="text-align: justify;">Si loin des sentiers battus. Todd a son livre ? Il ne lui sert à rien. Il continue à déformer des mots? On apprend rien de plus à ce sujet. On fait une terrible pause à Haven, ville qui n'a rien d'un paradis. Davy, le fils du maire... lui, il bouge. Je me suis concentrée sur lui, j'en attendais beaucoup. Et puis... groumpf.</p><p style="text-align: justify;">Les protagonistes, dans les deux camps, sont tordus. Peut-être qu'aucune cause n'est juste, quand l'appétit de guerre est à ce point aiguisé. J'attends avec une grande curiosité de voir comment le dernier volume conclura cette affaire. 631 pages...</p><p> </p><p> </p><p> </p>
Kurganhttp://lantiquoriumduke.hautetfort.com/about.htmlAlberto VARGAS - Playboy’s Vargas girlstag:lantiquoriumduke.hautetfort.com,2012-02-14:45994162012-02-14T19:07:00+01:002012-02-14T19:07:00+01:00 Alberto VARGAS : « Playboy’s Vargas girls »...
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"> </p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: medium;"><strong><span style="font-family: Verdana; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"><span style="color: #ffcc00;">Alberto VARGAS : « Playboy’s Vargas girls »</span></span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 3pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Livre regroupant quelques-unes des plus célèbres « pin-up(s) » dessinées par le génialissime Alberto Vargas pour Playboy au fil des décennies. Plutôt dur à dénicher en nos hexagonales contrées… mais incontournable pour tout fan d’illustrations, de pin-up(s) et ( surtout ) du grand Vargas, maître incontesté et incontestable de cet art délicieusement vintage.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">« Lui » et la France eurent Aslan… les lecteurs de Playboy eurent <span style="color: #ffcc00;"><strong>Alberto Vargas</strong></span> !<span style="mso-spacerun: yes;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 3pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Playboy presse – 1972 - 112 pages.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">27,5 x 20,5 cms – couverture souple – 325 grammes.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Les plats présentent quelques petites marques d’usage ( essentiellement d’infimes frottements propres aux couvertures souples ) et la tranche un petit accro d’un millimètre sur le haut… mais l’intérieur est nickel de chez nickel, et l’on peut donc aisément classer cet exemplaire dans la case « bon lorgnant vers le très bon »… surtout pour une édition de 1972 !…</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 9pt; mso-bidi-font-size: 12.0pt; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-ansi-language: FR; mso-fareast-language: FR; mso-bidi-language: AR-SA;">>>> <span style="text-decoration: line-through;"><span style="color: #ffcc00; text-decoration: line-through;"><strong>2</strong><strong><span style="color: #ffcc00; text-decoration: line-through;">0</span> €uros.</strong></span></span> <span style="color: #ff00ff;">/ <strong>Vendu !</strong> - Temporairement indisponible.</span></span><span style="font-family: 'Times New Roman'; color: #ff0000; font-size: 12pt; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-ansi-language: FR; mso-fareast-language: FR; mso-bidi-language: AR-SA;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span></span><span style="font-family: 'Times New Roman'; color: #ff0000; font-size: 12pt; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-ansi-language: FR; mso-fareast-language: FR; mso-bidi-language: AR-SA;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: 'Times New Roman'; color: #ff0000; font-size: 12pt; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-ansi-language: FR; mso-fareast-language: FR; mso-bidi-language: AR-SA;"><span style="mso-spacerun: yes;"><img id="media-3439391" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://lantiquoriumduke.hautetfort.com/media/00/02/642493655.jpg" alt="Vargas-01.jpg" /></span></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-3439407" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lantiquoriumduke.hautetfort.com/media/02/01/4004193191.jpg" alt="Vargas-04.jpg" /><img id="media-3439403" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lantiquoriumduke.hautetfort.com/media/00/00/1552678839.jpg" alt="Vargas-03.jpg" /><img id="media-3439409" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lantiquoriumduke.hautetfort.com/media/00/00/3553298967.jpg" alt="Vargas-05.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #00ccff;"><a href="http://www.thepinupfiles.com/vargas1.html"><span style="color: #00ccff;">http://www.thepinupfiles.com/vargas1.html</span></a></span></p>
Soundandfuryhttp://talememore.hautetfort.com/about.htmlLe chant du signetag:talememore.hautetfort.com,2010-09-17:29038782010-09-17T22:24:00+02:002010-09-17T22:24:00+02:00 Pars vite et reviens tard , Fred Vargas Mon second livre audio....
<h2><span style="color: #800080;"><strong><em><img id="media-2651329" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://talememore.hautetfort.com/media/01/01/2812572730.jpg" alt="Pars_vite_reviens_tard_vargas.jpg" /><span style="color: #ffffff; background-color: #993300;">Pars vite et reviens tard</span></em><span style="color: #ffffff; background-color: #993300;">, Fred Vargas</span></strong></span></h2><p style="text-align: justify;"><img id="media-2651389" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://talememore.hautetfort.com/media/01/01/3852008944.2.jpg" alt="note.jpg" width="25px" />Mon second livre audio. J'ai décidé d'apposer, par commodité, un petit signe! </p><p style="text-align: justify;">Le retour des articles sérieux, mes amis, avec ce roman policier. Image de couv, résumé et tout le bazar. Royal, non?</p><p style="text-align: justify;">Ma première lecture de Vargas. Oui, à mon âge, mais que voulez-vous, je ne peux pas être partout. J'ai vu qu'il y en avait 3 dans le baby challenge polar! Quelle diversité... M'enfin...</p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #008080;">L'histoire débute sur une place parisienne, sur laquelle Joss, breton expatrié, s'est installé comme crieur de nouvelles. Entre les annonces pour des ventes <span style="text-decoration: line-through;">de poireaux</span> de concombres et les déclarations d'amour, apparaissent d'étranges messages qui mêlent citations latines et menaces de fléaux d'un autre temps.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #008080;">Au même moment, des portes d'immeubles se couvrent d'étranges signes tracés à la peinture noire: des 4 à l'envers.</span></p><p style="text-align: justify;">Difficile d'en dire plus sans en dire trop. Je craignais de voir mon plaisir gâché par ma connaissance du film, heureusement, il y a des avantages à ma mémoire de poisson rouge! Si je me souvenais du thème, qui n'est pourtant révélé qu'assez avant dans le roman, je ne me souvenais pas du tout de la fin, ou très vaguement et j'ai pu profiter un peu du suspense.</p><p style="text-align: justify;">Profiter même d'un surcroît de suspense puisqu'il m'a fallu gérer la gravure des Cds (consommés au rythme d'un par jour) entre le soir et le matin suivant, avec quelques ratages dans la succession des pistes et quelques oublis purs et simples d'où un retour forcé à la radio.</p><p style="text-align: justify;">Un très bon livre, lent à démarrer, parce qu'il prend le temps de croquer toute une série de délicieux personnages. Joss, déjà cité, repris de justice qui n'a jamais pu retravailler en mer et conclut avec nostalgie sa criée par des récits de naufrages. La petite Eva, femme battue réfugiée chez l'érudit de la place, Decambrais. Lisbeth, l'ancienne prostituée. Damas, le crétin aux gros muscles. Le patron du bar le Viking, qui se prend pour un descendant de Thor...</p><p style="text-align: justify;">Et bien sûr, Jean-Baptiste Adamsberg, le flic mal fagoté, qui n'a pas vraiment le profil, qui snobe les ordinateurs, se trimballe en sandales et ciré, passe son temps de travail en vadrouille et vadrouille de même en amour. J'ai cru comprendre qu'il s'agissait d'un personnage récurrent chez Vargas (ne me demandez pas où j'ai péché l'info. Et non, pas envie de vérifier, je compte sur vous, comme toujours). Si c'est le cas, ça ne me dérangera pas de le retrouver, même s'il est loin d'être mon préféré. Dommage, il avait tout pour me plaire.</p><p style="text-align: justify;">Mais je crois que mon jugement a été altéré par un paramètre incontrôlable: la voix du lecteur. J'ai oublié son nom mais c'était excellent! J'ai fini par m'y croire. Bon, au début, quand à 6h30 du mat', sur une route de campagne, vous entendez un mec vous faire la voix de la grosse Lisbeth, la prostituée, avec son accent indéfinissable ou celle de Joss, le marin... ça fait un effet curieux. Mais on s'habitue, puis on aime, puis on succombe complètement, comme moi. Mais je dois dire qu'avec les Lisbeth, j'ai déjà des histoires de coeur bien avancées (Je pense à Millénium, par exemple).</p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #800080;">Un sacré plus, cette lecture audio.</span> J'en souligne la qualité, car j'étais toute impatiente d'enchaîner sur <em><strong>les mystères de Paris</strong></em>, d'Eugène Sue, qui me font envie depuis des années, mais je n'ai tenu que... 1 minute et 18 secondes! Voix luuuuugubre, irrespect total de la prosodie, de la ponctuation... L'horreur! J'ai bien tenté un second essai, après une pause radio. Mais non, vraiment, pas possible de m'habituer. Tant pis, je ferai mieux la semaine prochaine.</p><p style="text-align: justify;">En cours de lecture-pour-de-vrai-avec-du-bon-papier-bien-de-chez-nous: <strong><em>La voix du couteau</em></strong>. Mais il faudra attendre un peu, rythme de lecture en nette régression. Trop fatiguée le soir!</p>
Vincent JOURDANhttp://hispaniola.hautetfort.com/about.htmlUn peu de douceurtag:hispaniola.hautetfort.com,2010-08-31:28691832010-08-31T22:00:00+02:002010-08-31T22:00:00+02:00
<div style="text-align: center;"><img id="media-2611134" style="margin: 0.7em 0;" src="http://hispaniola.hautetfort.com/media/00/00/4233572521.jpg" alt="Pin Up.jpg" /></div><p> </p>
Christian COTTET-EMARDhttp://cottetemard.hautetfort.com/about.htmlLE MAGAZINE DES LIVRES n°23 (mars-avril 2010)tag:cottetemard.hautetfort.com,2010-03-19:26590282010-03-19T00:46:00+01:002010-03-19T00:46:00+01:00 En kiosques Dans ce numéro, la suite de mon feuilleton Tu écris...
<h3 id="p1"><span style="color: #ff0000;"><span style="font-weight: bold;"><span style="font-size: x-small;">En kiosques</span><br /></span></span></h3> <p><span style="color: #800040; font-weight: bold;">Dans ce numéro, la suite de mon feuilleton <i>Tu écris toujours ? (conseils à ceux qui croient pouvoir aider un écrivain en difficulté)</i></span></p> <p style="text-align: justify;"><span style="color: #800040; font-weight: bold;">Sommaire :</span><span style="font: 12px Verdana,serif;"><br /></span><span style="font: bold 11px Verdana,serif;"><img src="http://cottetemard.hautetfort.com/media/00/01/182783325.jpg" id="media-2343544" alt="1103888499.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" />Synopsis]</span> <span style="font: 10px Verdana,serif;">Les derniers du Culte</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Eli Flory</i></span><span style="font: 10px Verdana,serif;"><br /></span><span style="font: bold 11px Verdana,serif;">Digressions]</span> <span style="font: 10px Verdana,serif;">Lectures</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Joseph Vebret</i></span><span style="font: 10px Verdana,serif;"><br /></span><span style="font: bold 13px Verdana,serif;">DOSSIER<br /></span><span style="font: 12px Verdana,serif;">Tu ne plagieras pas ton voisin</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Eli Flory<br /></i></span><span style="font: bold 13px Verdana,serif;">RENCONTRE<br /></span><span style="font: 12px Verdana,serif;">Bernard-Henri Lévy sans masque</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Joseph Vebret<br /></i></span></p> <p style="text-align: left;"><span style="font: bold 13px Verdana,serif;">CARTE BLANCHE À…<br /></span><span style="font: 12px Verdana,serif;">Fred Vargas. Sur le chemin<br /></span></p> <p style="text-align: justify;"><span style="font: bold 11px Verdana,serif;">Aparté]</span> <span style="font: 10px Verdana,serif;">Conseils à ceux qui croient pouvoir aider un écrivain en difficulté</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Christian Cottet-Emard<br /></i></span></p> <p style="text-align: left;"><span style="font: bold 13px Verdana,serif;">RENCONTRE<br /></span><span style="font: 12px Verdana,serif;">Richard Millet : « Je défends la littérature »</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Joseph Vebret<br /></i></span></p> <p><span style="font: bold 13px Verdana,serif;">Une vie d’Écrivain<br /></span><span style="font: 12px Verdana,serif;">Jean d’Ormesson. Le bonheur d’écrire</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Thierry Richard<br /></i></span><span style="font: bold 11px Verdana,serif;">Lire la musique]</span> <span style="font: 10px Verdana,serif;">Rap et minimalisme</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Guy Darol</i></span><span style="font: 10px Verdana,serif;"><br /></span><span style="font: bold 13px Verdana,serif;">ENTRETIEN<br /></span><span style="font: 12px Verdana,serif;">Gilles Heuré. À la rencontre de Paul Valéry</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Joseph Vebret<br /></i></span><span style="font: bold 11px Verdana,serif;">Chemin faisant]</span> <span style="font: 10px Verdana,serif;">Morceaux d’Amérique</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Pierre Ducrozet</i></span> <span style="font: 10px Verdana,serif;"><br /></span><span style="font: bold 13px Verdana,serif;">ENTRETIEN<br /></span><span style="font: 12px Verdana,serif;">Jean-Bernard Pouy. Le retour du Poulpe</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Pierre Gillieth<br /></i></span><span style="font: bold 13px Verdana,serif;">CLASSIQUE<br /></span><span style="font: 12px Verdana,serif;">Alexandre Dumas. Cherchez le « nègre »</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Frédéric Saenen<br /></i></span><span style="font: bold 11px Verdana,serif;">Les livres que vous n’avez pas lus]</span> <span style="font: 10px Verdana,serif;">La face cachée de Cocteau</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Bertrand du Chambon</i></span><span style="font: 10px Verdana,serif;"><br /></span><span style="font: bold 13px Verdana,serif;">Perdu de vue<br /></span><span style="font: 12px Verdana,serif;">Henri Béraud, un demi-siècle plus tard</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Francis Bergeron<br /></i></span><span style="font: bold 13px Verdana,serif;">DOCUMENTS<br /></span><span style="font: 12px Verdana,serif;">Inédits : Bernard Frank en VO</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Annick Geille<br /></i></span><span style="font: bold 13px Verdana,serif;">IDÉES<br /></span><span style="font: 12px Verdana,serif;">Pierre Leroux, un théoricien oublié, un philosophe négligé<br /></span><span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Jean-François Foulon<br /></i></span><span style="font: bold 11px Verdana,serif;">Économie du livre]</span> <span style="font: 10px Verdana,serif;">Pasionarias de la librairie</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Christophe Rioux</i></span><span style="font: 10px Verdana,serif;"><br /></span><span style="font: bold 11px Verdana,serif;">Les mains dans les poches]</span> <span style="font: 10px Verdana,serif;">Dispersion</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Anthony Dufraisse</i></span><span style="font: 10px Verdana,serif;"><br /></span><span style="font: bold 13px Verdana,serif;">LE CAHIER DES LIVRES<br /></span><span style="font: 10px Verdana,serif;">Focus, Romans, Documents, Théâtre, Musique, Revues, BD, En vrac<br /></span><span style="font: bold 11px Verdana,serif;">Musique & littératures]</span> <span style="font: 10px Verdana,serif;">Le bonheur tranquille de Clarika</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Jean-Daniel Belfond</i></span><span style="font: 10px Verdana,serif;"><br /></span><span style="font: bold 11px Verdana,serif;">Cinéma & littératures]</span> <span style="font: 10px Verdana,serif;">Un Dumas caricatural</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Anne-Sophie Demonchy</i></span><span style="font: 10px Verdana,serif;"><br /></span><span style="font: bold 11px Verdana,serif;">Relecture]</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>L’Éternel mari</i></span> <span style="font: 10px Verdana,serif;">de Dostoïevski</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Stéphanie Hochet</i></span><span style="font: 10px Verdana,serif;"><br /></span><span style="font: bold 11px Verdana,serif;">Poésies]</span> <span style="font: 10px Verdana,serif;">Petit tour de table</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Gwen Garnier-Duguy</i></span><span style="font: 10px Verdana,serif;"><br /></span><span style="font: bold 13px Verdana,serif;">BONNES FEUILLES<br /></span><span style="font: 10px Verdana,serif;">La sélection d’Annick Geille<br /></span><span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>L’horizon</i></span><span style="font: 10px Verdana,serif;">, Patrick Modiano<br /></span><span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>Dans la cathédrale</i></span><span style="font: 10px Verdana,serif;">, Christian Oster<br /></span><span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>Les carnets d’Alexandra</i></span><span style="font: 10px Verdana,serif;">, Dominique Simon<br /></span><span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>L’écuyer mirobolant</i></span><span style="font: 10px Verdana,serif;">, Jérôme Garcin<br /></span><span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>Petit papa Noël</i></span><span style="font: 10px Verdana,serif;">, François Cérésa<br /></span><span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>Le conflit</i></span><span style="font: 10px Verdana,serif;">, Élisabeth Badinter<br /> Quelques auteurs marquants</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Annick Geille</i></span><span style="font: 10px Verdana,serif;"><br /></span><span style="font: bold 11px Verdana,serif;">Il était une fois l’Auteur…]</span> <span style="font: 10px Verdana,serif;">L’Auteur participe à un salon (suite et fin)</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Emmanuelle Allibert</i></span><span style="font: 10px Verdana,serif;"><br /></span><span style="font: bold 11px Verdana,serif;">Visages d’écrivains]</span> <span style="font: 10px Verdana,serif;">Bernard Frank</span> <span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i>par Louis Monier<br /> <br /></i></span> <span style="font: 11px Verdana,serif; color: #141413;">Avec : Emmanuelle Allibert, Marc Alpozzo, Bartleby, Stéphane Beau, Jean-Daniel Belfond, Francis Bergeron, Brigit Bontour, Arnaud Bordes, Adeline Bronner, Christian Cottet-Emard, Pierre Cormary, Guy Darol, Anne-Sophie Demonchy, Stéphanie des Horts, Bertrand du Chambon, Pierre Ducrozet, Anthony Dufraisse, Eli Flory, Jean-François Foulon, Gwen Garnier-Duguy, Annick Geille, Pierre Gillieth, Christophe Henning, Stéphanie Hochet, Christophe Mory, Jean-Jacques Nuel, Olivier Philipponnat, Thierry Richard, Christophe Rioux, Frédéric Saenen, Cécile Thomas, Marc Villemain, Carole Zalberg.<br /> Photos : Louis Monier / Couverture : François Bouchon.<br /> Illustrations : Miège et Innocent.<br /> Coordination : Delphine Gay.</span><span style="font: 10px Verdana-Italic;"><i><br /></i></span></p>