Last posts on traque2024-03-28T12:24:01+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/traque/atom.xmlZébrahttp://fanzine.hautetfort.com/about.htmlCaricature Attentat de Bostontag:fanzine.hautetfort.com,2017-03-16:59222872017-03-16T23:59:00+01:002017-03-16T23:59:00+01:00 La Semaine de Zombi. Jeudi : - L'indicible horreur comme si vous y...
<p style="text-align: justify;"><strong>La Semaine de Zombi. Jeudi :</strong> <em>- L'indicible horreur comme si vous y étiez ! </em>("Patriots Day" est une production CBS Films).</p><p style="text-align: center;"><a href="http://fanzine.hautetfort.com/media/01/02/1842398626.jpg" target="_blank"><img id="media-5586752" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://fanzine.hautetfort.com/media/01/02/2803114535.jpg" alt="webzine,bd,gratuit,zébra,fanzine,bande-dessinée,caricature,boston,attentat,traque,mark wahlberg,patriots day,cbs films,dessin,presse,satirique,editorial cartoon,zombi" /></a></p>
MILIQUEhttp://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/about.htmlTRAQUE ORDINAIREtag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2015-04-02:55191722015-04-02T10:06:00+02:002015-04-02T10:06:00+02:00 TRAQUE ORDINAIRE Nuit de chasse aux gros Et scène...
<p style="text-align: center;"><img id="media-4823914" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/00/02/1329193774.png" alt="au magma présent de l'écriture," /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #008000;"><strong>TRAQUE ORDINAIRE</strong></span></p><p style="text-align: center;"><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Nuit de chasse aux gros </strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Et scène de traque ordinaire</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Qui procure d'exaltants plaisirs.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Les mots résonnent, effroyables,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Sorte de jouissance ultime et infinie</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Pour ces nantis au regard malveillant</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Dont la seule autorité est d'être mince,</strong></span><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Parfois.</strong></span><br clear="none" /><br clear="none" /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>P. MILIQUE</strong></span></p>
Notehttp://almasoror.hautetfort.com/about.htmlA la tombée du soir, traquer les loups ?tag:almasoror.hautetfort.com,2014-08-25:54338982014-08-25T14:40:00+02:002014-08-25T14:40:00+02:00 Quand le soir tombe, quels crépitements de la nature n'entend-on pas loin...
<p style="text-align: justify;">Quand le soir tombe, quels crépitements de la nature n'entend-on pas loin des connexions civilisées. Nous déclinons dans ce billet, un peu plus bas, le soir de Tourgueniev, et celui de George Sand. Ils se répondent et se ressemblent.</p><p style="text-align: justify;">Mais quand le compositeur-arrangeur de l'album musical <a href="http://lhasadesela.com/lhasa_de_sela/menu.php?lang=fr" target="_blank">La Llorona, de Lhasa de Sela</a>, parle du loup avec <a href="https://www.youtube.com/watch?v=ECEMphsSZgQ" target="_blank">les mots de Vladimir Vissotsky</a>, c'est comme si Alfred de Vigny, l'auteur de <a href="http://www.revue-texto.net/Reperes/Cours/Mezaille/loup.html" target="_blank">La mort du loup</a>, réapparaissait quelques cinquantenaires plus tard, en Nouvelle-France.</p><p style="text-align: justify;">Québec, tes loups, comme ceux de France, sont en danger face à la plus grande arme de destruction massive qui existe : le cœur de l'homme.</p><p style="text-align: justify;"><iframe width="500" height="281" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="http://player.vimeo.com/video/96742861" frameborder="0" webkitallowfullscreen="" mozallowfullscreen="" allowfullscreen=""></iframe></p><p style="text-align: center;"><a href="http://vimeo.com/96742861">La chasse aux loups - Yves Desrosiers</a> from <a href="http://vimeo.com/audiogram">Audiogram</a> on <a href="https://vimeo.com">Vimeo</a>.</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;">Extrait N°1 T<strong>ourgueniev</strong>, <em>Iermolaï et la meunière</em>, du recueil<span style="text-decoration: underline;"> Les mémoires d'un chasseur</span>, traduit du russe par Henri Mongault :</p><p style="text-align: justify;">Un quart d'heure avant le coucher du soleil, au printemps, on se rend au bois sans chien, avec son fusil. On choisit un endroit près de la lisière, on inspecte les alentours, on vérifie son amorce, on échange un coup d’œil avec son compagnon. Un quart d'heure se passe. Le soleil est couché, mais dans le bois il fait clair encore ; l'air est pur et transparent, les oiseaux gazouillent à qui mieux mieux, l'herbe jeune brille avec un éclat joyeux d'émeraude... On attend. L'ombre s'empare peu à peu des bois ; les lueurs vermeilles du crépuscule glissent lentement des racines aux troncs, grimpent toujours plus haut, montent des premières branches, presque dénudées encore, jusqu'aux cimes, immobiles et assoupies... Voici que les cimes elles-mêmes sont devenues noires ; les feux du ciel passent au bleu foncé. La forêt, qui s'imprègne de moiteur, exhale une senteur plus puissante ; une brise légère vient mourir près de vous. Les oiseaux s'endorment, non pas tous à la fois, mais selon les espèces : les pinsons se sont tus les premiers, puis les fauvettes, puis les bruants. La forêt s'assombrit de plus en plus. Les arbres ne forment plus que de grandes masses noirâtres : dans le bleu du ciel, les premières étoiles, timidement, s'allument.</p><p style="text-align: justify;">Tous les oiseaux sont maintenant endormis. Seuls le rouge-queue et le grimpereau sifflotent d'une voix ensommeillée... Mais, à leur tour, ils ont fait silence. Une dernière fois le cri aigu du roitelet tinte au-dessus de nous ; dans le lointain le loriot a déjà poussé sa plainte, le rossignol, modulé son premier chant.</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;">Extrait N°2 <strong>Sand</strong>, <span style="text-decoration: underline;">François le Champi </span>:</p><p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal; text-align: justify;">Nous revenions de la promenade, R*** et moi, au clair de la lune, qui argentait faiblement les sentiers dans la campagne assombrie. C’était une soirée d’automne tiède et doucement voilée ; nous remarquions la sonorité de l’air dans cette saison et ce je ne sais quoi de mystérieux qui règne alors dans la nature. On dirait qu’à l’approche du lourd sommeil de l’hiver chaque être et chaque chose s’arrangent furtivement pour jouir d’un reste de vie et d’animation avant l’engourdissement fatal de la gelée : et, comme s’ils voulaient tromper la marche du temps, comme s’ils craignaient d’être surpris et interrompus dans les derniers ébats de leur fête, les êtres et les choses de la nature procèdent sans bruit et sans activité apparente à leurs ivresses nocturnes. Les oiseaux font entendre des cris étouffés au lieu des joyeuses fanfares de l’été. L’insecte des sillons laisse échapper parfois une exclamation indiscrète ; mais tout aussitôt il s’interrompt, et va rapidement porter son chant ou sa plainte à un autre point de rappel. Les plantes se hâtent d’exhaler un dernier parfum, d’autant plus suave qu’il est plus subtil et comme contenu. Les feuilles jaunissantes n’osent frémir au souffle de l’air, et les troupeaux paissent en silence sans cris d’amour ou de combat.</p><p style="text-align: justify;"> </p>
Cassiopéehttp://unpolar.hautetfort.com/about.htmlLa traque de la musaraigne, de Florent Couao-Zottitag:unpolar.hautetfort.com,2014-03-15:53231872014-03-15T15:24:15+01:002014-03-15T15:24:15+01:00 Une chronique de Cassiopée « Breton...
<p style="text-align: justify;"><span style="color: #0000ff; font-family: times new roman,times; font-size: small;"><em><strong><img id="media-4481359" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://unpolar.hautetfort.com/media/02/01/563385158.jpg" alt="traque,musaraigne,florent,couao-zotti" />Une chronique de <span style="text-decoration: underline;"><a href="http://unpolar.hautetfort.com/chroniques-de-cassiopee.html" target="_self"><span style="color: #0000ff; text-decoration: underline;">Cassiopée</span></a> </span></strong></em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><strong> </strong></span><span style="color: #0000ff; font-family: times new roman,times; font-size: small; background-color: #ffff00;"><strong><em>« Breton sur le continent africain doit veiller au grain…. »</em> </strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><strong> </strong></span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">C’est avec des proverbes aussi improbables que celui mis en exergue que Florent Couao-Zotti introduit chacun de ses chapitres. Florilège typiquement africain, vous vous prenez à attendre ces titres pour sourire… Mais il n’y pas que ça…A croire que l’éditeur sait trouver des pépites parmi les auteurs de ce continent, et cette fois-ci c’est un béninois. C’est le premier roman que je lis de cet écrivain et je ne le regrette pas.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Si l’intrigue n’a rien d’extraordinaire (en vieillissant, je deviens difficile), les rebondissements sont légion, l’atmosphère est retranscrite à merveille et ce pauvre Stéphane Néguirec est vraiment attachant bien qu’on ait envie de le secouer parfois et de lui glisser à l’oreille « Mais arrête mon vieux, rentre chez toi, à Guingamp, ce n’est pas parce qu’il pleut souvent en Bretagne que tu es mieux en Afrique… » Mais bon, s’il m’avait écouté, il n’y aurait pas eu d’histoire….Et lui, il pense être bien intégré. <em>« Il avait réussi, au fil des jours et des semaines, à s’intégrer à la géographie humaine et à se convaincre qu’il était devenu, à défaut d’être Noir, presque invisible. »</em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Il a laissé derrière lui, deux enfants et une femme aimante pour aller « poétiser » à Cotonou au Bénin. Je ne vous apprendrai rien en précisant que les poèmes, ça ne nourrit pas bien et que c’est un job assez fermé ; pour faire son trou, c’est un peu dur… Mais Stéphane se contente de peu et il a la chance de plaire aux femmes….Un blanc sur l’oreiller, c’est pas mal….Mais il ferait bien de se méfier, son visa est expiré depuis des lustres… Il va rencontrer une femme d’un soir qui va devenir un peu plus qu’accompagnatrice d’un soir et même carrément collante… Avec elle, à cause d’elle, pour elle, il va vivre des événements qu’il ne maîtrise plus puis qu’ils ne maîtrisent plus, la situation échappant également à sa compagne…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">A travers leur périple, on entrevoit la réalité quotidienne d’un pays qui se cherche, où les coutumes (avec notamment la place de la femme) sont encore très ancrées et non discutables. La corruption est présente chez les uns et les autres, l’argent et la drogue seraient-ils les nerfs de la guerre ?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Stéphane Néguirec est embarqué, bien malgré lui, dans une sombre histoire et il va alors découvrir « la face cachée » du lieu où il avait élu domicile. Il va se battre pour expliquer qu’il n’a rien à voir avec tout ça, mais ce sera très laborieux. Pourquoi croire un blanc ? Qui plus est sans boulot fixe ni place officielle? Bref, il est dans l’embarras (pour ne pas dire dans la m…) jusqu’au cou et sans doute plus, et les aides qui vont se présenter à lui en seront-elles vraiment ?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">L’écriture de Florent Couao-Zotti est bien dosée. Il n’a pas trop intégré de termes locaux, juste quelques uns, expliqués dans un glossaire en fin d’ouvrage. Il les place à bon escient pour maintenir lecteur dans l’ambiance du coin. De plus, certaines tournures de phrases sont très poétiques, dans un langage que je qualifierai de « fleuri » et amènent le sourire aux lèvres.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><em>« Les rondeurs de la Béninoise, en pagne ou en bouteille. » »La poignée de mains fut vigoureuse, comme si ce geste allait sceller entre eux une amitié aussi bouffante qu’un boubou. »</em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><em> </em></span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Comme il n’y a pas de temps mort, cet opus est très agréable à lire et permet de découvrir une nouvelle plume de romans policiers originaux et intéressants. Que demander de plus ?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><strong><em>Titre : La traque de la musaraigne<br /></em></strong><strong><em>Auteur : Florent Couao-Zotti<br /></em></strong><strong><em>Éditions : Jigal (février 2014)<br /></em></strong><strong><em>Collection : Polar<br /></em></strong><strong><em>ISBN : 979-1092016130<br /></em></strong><strong><em>Nombre de pages : 215</em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><strong>Quatrième de couverture</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> <em>Quand Stéphane Néguirec, jeune Breton un brin rêveur, poète à ses heures, amoureux du large et des horizons lointains, débarque à Cotonou, au Bénin, il ne sait pas encore que question dépaysement, il va être servi ! Aux paysages enchanteurs qui l'électrisent, s'ajoutent les charmes des filles aux courbes délicieuses et notamment, ceux de la mystérieuse Déborah Palmer qui lui propose très vite un mariage blanc contre une fortune en billets verts. À l'autre bout de la ville, Jésus Light, un voyou ghanéen, traque sans relâche sa femme, Pamela, partie précipitamment avec le butin de son dernier casse...</em></span></p>
MILIQUEhttp://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/about.htmlCONCISION FRAGMENTAIRE 32tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2014-03-03:52851512014-03-03T09:54:00+01:002014-03-03T09:54:00+01:00 CONCISION FRAGMENTAIRE 32 Nuit de chasse...
<p style="text-align: center;"><img id="media-4035190" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/01/02/466591903.2.jpg" alt="concision fragmentaire.jpg" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large; color: #008000;"><strong>CONCISION FRAGMENTAIRE 32</strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Nuit de chasse aux gros et,</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Scènes de traques ordinaires </span> </strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Initiatrice de plaisirs exaltants.</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">L’adjectif fait effroi,</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Sorte de jouissance ultime et infinie</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Pour ces nantis aux regards malveillants</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><span style="font-family: Arial,sans-serif;">Dont la seule richesse est d’être minces. Parfois. </span> </strong></span></p><p> </p>
Pascal Adamhttp://theatrummundi.hautetfort.com/about.htmlLa Bouche pleine de terre, de Branimir Šćepanovićtag:theatrummundi.hautetfort.com,2012-07-12:47787312012-07-12T10:58:00+02:002012-07-12T10:58:00+02:00 « Après un long silence quelqu’un...
<p style="text-align: center;"><img id="media-3666083" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://theatrummundi.hautetfort.com/media/01/02/1177306159.jpg" alt="Scepanovic la bouche pleine de terre.jpg" /></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times;"><strong><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%;">« Après un long silence quelqu’un dit : « Et si, par hasard, cet homme n’existait pas ? » Il y avait dans cette question inattendue et apparemment absurde, quelque chose d’effarant et de dangereux qui passait notre entendement. Et, tous, nous nous mîmes à invectiver ce fou, qui se figurait que pendant une journée entière il avait poursuivi une ombre ou un pressentiment. »</span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times;"><strong><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%;"> </span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;">Quelques évocations qu’on y trouve de la vie moderne et de ses objets – trains, villes, travaux de chimie, fusils, tourisme… –, <em>La Bouche pleine de terre</em> est une fable antique, une histoire immémoriale dont on s’explique mal en vérité qu’elle n’ait pas été écrite il y a deux ou trois mille ans. La sûreté avec laquelle Šćepanović écrit cette traque à travers la plaine, puis la forêt, vers la montagne (montagne de l’enfance, non sans portée symbolique), paraît n’avoir aucun équivalent, comme si l’histoire, venue de temps très anciens, naissait pourtant d’elle-même, indifférente à la nasse de l’histoire littéraire, exception faite peut-être de quelque légende improbable, secrètement transmise de bouche à oreille, et se trouvant tout à coup, presque par miracle, écrite, et définitivement. </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times;"><strong><em><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%;">« Il voulait seulement s’épargner toutes les humiliations auxquelles il se serait autrement exposé, soit qu’il réclamât de la compassion, soit qu’il fût contraint d’en accepter. »</span></em></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times;"><strong><em><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%;"> </span></em></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;">L’homme malade, condamné, usé, qui fait retour vers son pays natal pour y mourir, s’y tuer plus précisément, cherchant à éviter la main tendue, la compassion et même simplement le regard de ses contemporains, les fuyant pour ne pas leur céder, c’est-à-dire céder sur sa résolution de mourir, provoque leur ire, au point que deux campeurs paisibles, en vacance de quelque activité dont nous ne saurons rien, se mettent à le traquer, d’abord au prétexte sympathique d’éclaircir les raisons de sa fuite, puis bientôt, l’homme continuant de fuir, pour tout bonnement le tuer, rejoints bientôt par d’autres gens, sans autre raison que celle qu’ils s’imaginent ou s’inventent, de plus en plus nombreux. </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;">Si l’histoire paraît à ce point évidente en sa complexité, à la fois sinueuse et profonde sans cesser d’être limpide, n’hésitant pas à faire peut-être aussi de la haine un des moyens apparents du salut, force est de reconnaître que l’alternance par paragraphes serrés de deux récits, qui ont d’abord l’air tout à fait indépendants avant de se faire face, cruellement dirais-je, rien ne semblant pouvoir jamais résorber même un peu la béance les séparant : le premier, en caractères romains, raconte les actes, pensées et sentiments des deux campeurs (et de leurs suiveurs bientôt) dont l’un – et c’est un point à mon avis crucial – est narrateur, quoique l’effet de groupe et d’entraînement y fasse depuis le départ prédominer la première personne du pluriel ; le second, en italiques, raconte à la troisième personne du singulier les actes, pensées et sentiments de l’homme fuyant le monde, qui avait décidé de mourir et qui fuyant les hommes, supposant qu’ils voudraient l’en dissuader, a déclenché leur colère, leur folie meurtrière, laquelle à son tour a réveillé en lui un besoin de vie formidable… force est de reconnaître, disais-je donc plus haut, que l’alternance de ces deux récits place son extrême modernité – mais c’est une modernité concise, dénuée de tout bavardage ou de toute exhibition d’elle-même, bref de toute son ordinaire esbroufe – au service simplement de cette question du salut (ou non) par la fuite, et peut-être même par la traque. L’acmé du livre, et le point d’ignition de l’hypothétique salut de l’homme traqué, tient dans cette scène extraordinaire précédant l’ultime course, où, après la traversée de la forêt, sur un plateau jauni, l’homme seul, à bout de forces, se retourne et fait face à la meute d’hommes le chassant, retournant en quelque sorte contre eux leur propre haine, et, leur faisant face, les arrête, comme sidérés :</span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times;"><strong><em><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%;"> </span></em></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times;"><strong><em><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%;">« Il lui sembla alors que dans le spectacle qui, l’instant d’avant, lui avait brûlé les yeux, quelque chose avait changé, mais il ne parvint pas tout de suite à saisir ce que c’était. Ce n’est qu’au bout d’un moment qu’il s’aperçut que cette foule éreintée et suante se retirait lentement, reculait devant lui, comme si elle avait eu peur de le voir s’approcher de trop près. Il sourit à nouveau, surpris du tour inattendu et presque invraisemblable que prenaient les choses, et il pensa qu’en lui aussi un changement commençait à s’opérer, car dans le frisson agréable qui parcourait son corps, il percevait déjà une sensation forte et tout à fait nouvelle qui, au bruit assourdi de son pouls, étouffait tout ce qui, jusqu’à alors, avait existé en lui.</span></em></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times;"><strong><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%;"> </span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times;"><strong><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%;">En fait, nous reculions devant sa haine presque inhumaine, qui, sans nous faire peur, nous rendait tout à fait incapable de nous opposer à lui de quelque façon que ce fût. »</span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;">Mais les choses et les sentiments, jusqu’à même la géographie, tout dans ce livre tremble, à la fois présent et absent, infiniment volatile, et rien n’est assuré : l’homme traqué est-il vraiment revenu vers la montagne de son enfance, la Prékornitsa, ce toit du monde pour lui, ou se le figure-t-il seulement ? Et sa propre résurrection même, ou ce qu’il vit comme telle – utilisant comme moteur de sa fuite l’histoire entendue dans l’enfance de son bisaïeul se relevant de son lit de mort, mangeant d’un coup le repas prévu pour les funérailles, brisant à la hache son cercueil, chassant tout le monde de sa maison, puis vivant de nombreuses années, non sans porter à chaque enterrement d’un de ses proches des sous-vêtements taillés dans son prétendu linceul – eût-elle seulement pu avoir lieu sans cette chasse à mort lancée pour presque rien, pour un salut – au sens le plus quotidien, cette fois – ou une banale conversation de trois fois rien qu’on refuse ? De sorte qu’il semble bien que ce que je nomme ici tremblement, faute de mieux sans doute, soit la manifestation dans ce livre de la réversibilité de tout ; il y a et il n’y a pas salut.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;">Il me paraît tout à fait possible, mais absolument pas souhaitable, de tenter plus avant une ébauche d’interprétation de ce qui est en question, réellement, dans ce livre qui, d’évidence, est aussi parabole ; cette rare maîtrise de l’artificialité fait de <em>La Bouche pleine de terre</em> un livre de haute poésie, non pas au sens seulement où il serait très bien écrit, mais au sens où un enseignement, même non formulable – ou plutôt, peut-être : à quoi bon tenter de le formuler, d’une manière qui serait fatalement réductrice, et tellement inférieure à celle par laquelle l’auteur l’a très exactement écrit ? –, peut et doit en être tiré.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times;"><strong><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%;">La Bouche pleine de terre, de Branimir Šćepanović, L’Âge d’Homme, traduit du serbe par Jean Descat, 1975</span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p>
Cassiopéehttp://unpolar.hautetfort.com/about.htmlTraque sur le Web, de Didier Fosseytag:unpolar.hautetfort.com,2012-07-11:47775232012-07-11T05:52:40+02:002012-07-11T05:52:40+02:00 Une chronique de Cassiopée . Derrière l'écran.......
<p style="text-align: justify;"><em><strong><span style="text-decoration: underline;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><strong><em><img id="media-3664543" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://unpolar.hautetfort.com/media/02/01/979736281.jpg" alt="Traqesurle web.jpg" />Une chronique de <span style="text-decoration: underline;"><a href="http://unpolar.hautetfort.com/chroniques-de-cassiopee.html" target="_self"><span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #5f7183;">Cassiopée</span></span></a>.</span></em></strong></span></span></span></strong></em></p><p style="text-align: justify;"><em><strong><span style="text-decoration: underline;">Derrière l'écran....<br /></span></strong></em></p><p style="text-align: justify;">Cassiopée, jeune quinquagénaire dynamique, aimant la vie, la lecture, l’astronomie et les voyages, souhaite rencontrer homme cultivé et fiable, âge en rapport….</p><p style="text-align: justify;"> J’ai lu le livre « Traque sur le Web » donc je choisis……Cliquer ici pour « supprimer cette fiche »….</p><p style="text-align: justify;"> Si vous êtes seule et que vous cherchez à faire des rencontres par l’intermédiaire d’un site sur internet, soyez prudente !!!</p><p style="text-align: justify;"> Comme vous le comprenez, le roman de Didier Fossey nous raconte la chasse aux femmes qu’a décidé un prédateur…. Pourquoi, quand, comment peut-on en arriver à souhaiter la mort des autres dans des conditions abominables?</p><p style="text-align: justify;"> Au-delà des faits, le roman est intéressant par ces à côtés. Quels sont les événements qui peuvent pousser un homme à commettre l’inéluctable? Comment peut-on prendre goût à l’horreur, à la souffrance de l’autre au point d’y trouver une bienheureuse jouissance?</p><p style="text-align: justify;">Je pense d’ailleurs que cet aspect du personnage principal méritait un peu plus de développement. La « face » psychologique aurait pu être approfondi mais peut-être que cela aurait apporté trop de lourdeur à l’écriture.</p><p style="text-align: justify;"> En effet, le texte est aéré, allant droit au but, avec des phrases bien construites, des dialogues percutants. Le propos est pertinent, d’actualité …. Internet, sa facilité d’accès, de contact pour les personnes isolées mais en contrepartie les risques inhérents à ce type de pratiques. Qu’en est-il de la fiabilité des personnes qui se trouvent de l’autre côté d’un écran ? Comment sélectionner, faire confiance ?</p><p style="text-align: justify;"> L’intrigue est bien menée. On suit le tueur, sans le cerner vraiment, on observe les futures victimes sans pouvoir agir, et d’autre part, on accompagne les enquêteurs dans leurs recherches. Boris Le Guenn dirige les investigations, il essaie d’obtenir un maximum d’informations, quitte à faire intervenir des collègues de façon plus ou moins orthodoxe (la scène d’échanges avec Mamadou est un pur régal).</p><p style="text-align: justify;"> Les faits exprimés sont très visuels et pourraient donner lieu à un excellent téléfilm (en voilant un peu les scènes trop dures, d’accord ?), les situations sont bien décrites et tout s’enchaîne sans difficultés de compréhension.</p><p style="text-align: justify;"> Ce n’est pas pour autant un polar de plage car le sujet traité est très proche de la vie actuelle. Il nous oblige à garder les pieds sur terre et à se rappeler que, malheureusement, le risque zéro n’existe pas…</p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: justify;"> Cassiopée</p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><strong><em>Titre: Traque sur le web</em></strong><br /><strong><em>Auteur: Didier Fossey</em></strong><br /><strong><em>Editeur: Les deux Encres</em></strong><br /><strong><em>Date de parution: Juin 2010</em></strong><br /><strong><em>Collection: Sang D'encre</em></strong><br /><strong><em>Nombre de pages: 260</em></strong><br /><strong><em>ISBN: 978-2351681640</em></strong></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><strong>Quatrième de couverture:</strong></p><p style="text-align: justify;"> <em>Sur Internet, les sites de rencontres se sont multipliés et, pour des millions d’internautes, sont devenus aujourd’hui un moyen de communication… Mais aussi un formidable vivier pour des prédateurs en recherche d’une proie.</em></p><p style="text-align: justify;"><em>Quand le premier cadavre d’une femme atrocement mutilée est découvert dans le 13eme arrondissement à Paris, le commandant Boris Le Guenn est loin d’imaginer où va le conduire cette affaire. Très vite, il comprend qu’il est confronté à un tueur en série organisé, méthodique, et qui ne laisse aucune trace derrière lui. Et Internet semble être le lien entre les victimes.</em></p><p style="text-align: justify;"><em>C’est une enquête d’un genre nouveau qui se présente à Le Guenn et à son équipe qui vont apprendre qu’il ne faut pas se laisser piéger par les apparences.</em></p>
Zedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.htmlSur les traces de Big brother...tag:metapoinfos.hautetfort.com,2010-10-25:29572052010-10-25T17:45:00+02:002010-10-25T17:45:00+02:00 Les éditions L'Editeur viennent de publier Sur les traces de Big Brother...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Les éditions L'Editeur viennent de publier <strong><em>Sur les traces de Big Brother</em></strong>, d'<strong>Alain Levy</strong>, un ouvrage consacré au système tentaculaire de surveillance qui se met insidieusement en place autour de nous. L'auteur est, si l'on peut dire, un homme de l'art, puisque, ingénieur des Ponts et Chaussées, il est devenu l'un des spécialistes des techniques commerciales de ciblage sur internet. Son livre est à la fois descriptif et pratique, puisqu'il donne des techniques pour échapper à la surveillance de Big Brother... </span></p><p><span style="font-size: small;"><p><span style="font-size: small;"><img id="media-2713788" style="margin: 0.7em auto; display: block;" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/01/01/929440237.jpg" alt="Big brother.jpg" /></span></p></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">''Big Brother is watching you'', écrivait George Orwell dans 1984. Aujourd'hui plus que jamais, il est impossible d'échapper à l'oeil de Big Brother. Où que l'on aille, nous sommes suivis à la trace. On ne cesse de nous le rappeler, ''Vous êtes filmé par des caméras de surveillance'' tous vos déplacements sont suivis et ''Votre navigateur doit accepter les cookies'' ces petit logiciels qui permettent de rapidement tout savoir sur vous afin de tracer votre profil et de vous envoyer des publicités parfaitement ciblées. Pourtant, presque personne ne se plaint, tant le besoin de sécurité a supplanté l'exigence de liberté.</span><br /><span style="font-size: small;">Au carrefour de toutes les techniques de communication, Alain Levy était certainement le mieux placé pour écrire ce livre qui, en deux parties, décrit toutes les techniques de traque du citoyen-consommateur et aussi toutes les manières d y échapper.</span></p>
jeanplumehttp://misterplume.hautetfort.com/about.htmlfocale 33tag:misterplume.hautetfort.com,2009-04-16:21494492009-04-16T13:41:00+02:002009-04-16T13:41:00+02:00 Je suis chrétien d'adoption, baptisé d'eau, de feu et du sang de...
<p> </p> <p>Je suis chrétien d'adoption, baptisé d'eau, de feu et du sang de l'Agneau<br /> Je ne suis d'aucune chapelle et mon seul Maître est Dieu<br /> <br /> Je n'ai pour ennemis que les vantards et les orgueilleux<br /> Je m'accommode de la haine, mais n'escomptez pas que je baisse la garde<br /> <br /> Le monde m'a abandonné le jour où Dieu m'a recueilli<br /> Mes quelques amis, des rapprochés, ceux qui ont cru avant de voir<br /> <br /> J'aurais toujours mon mot à dire tant que les violents ne seront pas soumis<br /> Ma tâche sur cette terre est de traquer ceux qui nient l'Esprit<br /> <br /> Manque de foi que de se projeter dans la durée<br /> N'avez-vous pas lu que Dieu a le pouvoir de Tout contrecarrer ?<br /> <br /> Placer sa foi en l'homme c'est aimer la flatterie déplacée<br /> Ici le miroir est cassé, le puits est creusé, le trésor déterré<br /> <br /> J'ajoute que je suis déterminé, plut à Dieu que je sois non-né<br /> Mes intentions offertes en holocauste, c'est LUI qui agit à travers moi.</p> <p> </p>