Last posts on toxic2024-03-29T03:13:39+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/toxic/atom.xmlTikahttp://stylistika.hautetfort.com/about.htmlGALERIE GERALDINE ZBERRO, INCUBATEUR D'ARTISTEStag:stylistika.hautetfort.com,2012-04-20:46857622012-04-20T15:43:00+02:002012-04-20T15:43:00+02:00 Une galerie aux murs blancs, une jolie blonde, des...
<p> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-3546371" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://stylistika.hautetfort.com/media/00/00/1967999025.jpg" alt="g zberro.jpg" /></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><strong>Une galerie aux murs blancs, une jolie blonde, des tableaux vifs, de loin c’est une banale galerie d’art parisienne. Mais de près tout change. La galerie est petite mais ses murs abritent d’immenses talents. A chacun de ses vernissages, le succès est là. La blonde c’est Géraldine Zberro. Sa Galerie porte son nom. Un nom en grand sur la devanture, c’est un minimum. Bienvenue à la <a href="http://www.galerie-geraldine-zberro.com/" target="_blank">Galerie Géraldine Zberro</a>, notre coup de coeur de la semaine.</strong></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Géraldine sait exactement ce qu’elle veut. Et elle obtient tout ce qu’elle veut. Depuis toute petite, elle sait que l’art sera son métier. Formée dès le plus jeune âge au goût et aux couleurs par une élégante voisine passionnée d’art, elle parcourt les expos, et prend le temps d’apprendre. Les plus grands amateurs d’art se forment sur le terrain, pas sur les bancs de l’école. Géraldine a quand même fait l’école du Louvre, et surtout elle a osé.</span></p><p> </p><p><span style="font-size: small;"><strong>Sans oser, on n’expose pas ! </strong></span></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Ce qui est valable pour l’artiste, mais surtout pour le galeriste qui prend le risque de soutenir le créateur. <strong>A l’époque de Sacrée Soirée, Géraldine fait déjà un sacré démarrage</strong> avec une première expo en 1993. Les artistes, elle va les rencontrer, les sélectionner, et quand c’est le coup de foudre, elle sait que ce n’est pas un hasard. Elle ouvrira ensuite une galerie dans le Marais en 2001, mais c’est surtout en organisant des expos privées, des shows, des squats artistiques qu’elle va se faire connaître, ou dans son appartement galerie, mais aussi partout ailleurs en France et en Belgique. En 2007, soutenue par les jeunes talents qu’elle a lancés, elle s’installe à deux pas des Champs Elysées.</span></p><p> </p><p><span style="font-size: small;"><strong>Un incubateur de talents</strong></span></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><strong>Encore adolescente, Robert Combas, Erro ou Peter Klasen ont provoqué un déclic en Géraldine.</strong> Depuis elle œuvre à faire émerger des nouveaux héros sur la scène contemporaine. Pop art, Street art, figuratif, réalisme, hyper réalisme, pas seulement ; à la galerie, on trouve des peintres sculpteurs, des sculpteurs photographes, des graphistes peintres. Des artistes complets que la galeriste pousse aussi à l’expression. <strong>Ces artistes multiples et variés trouvent en la galerie un esprit de famille, « Une famille où on grandit ensemble »,</strong> comme le souligne Géraldine. Elle n’est pas seule, avec Joseph son mari, elle compose un duo complémentaire qui entoure les artistes, les guide, les propulse. Et les artistes sympathisent entre eux également, créant une communauté d’intérêt, un esprit « collectif ». Les acheteurs suivent, les collectionneurs viennent y puiser le rêve et la valeur. Plus qu’un lieu de créativité, la galerie Géraldine Zberro est une pépinière artistique.</span></p><p> </p><p style="text-align: justify;" align="left"><span style="font-size: small;">La liste des talents est hétéroclite et longue. On retrouve <strong>TOXIC</strong>, l'ami de Basquiat, <strong>SETH </strong>le graphiste, street artiste, <em>globe painter</em> qui ne peint que pour Géraldine. Outre ces grosses pointures, regardons de plus près les coups de cœur Styl is Tika.</span></p><p style="text-align: justify;" align="left"> </p><p align="left"><span style="font-size: small;"><a href="http://www.pascalvilcollet.com/" target="_blank"><strong>Pascal Vilcollet</strong></a>, illustrateur à l’origine de livres pour enfants, peint et déconstruit l’image de stars, Marylin a le rimmel qui coule, ou Romy Schneider a le piercing sensuel. Son trait de fusain est encore visible de près, du grand art. Le grand coup de coeur Styl is Tika.</span></p><p align="left"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-3546389" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://stylistika.hautetfort.com/media/01/02/2522438971.jpg" alt="Vilcollet.jpg" /></p><p align="left"> </p><p align="left"><span style="font-size: small;"><strong><a href="http://cintract.com/index.php?page_name=home&index.php?page_name=home" target="_blank">David Cintract</a>, </strong>le libre technicien, entre photo, graphisme, résine. Instigateur du mouvement <em>Pop Libre</em>, entre sujet ou technique, c'est no limit.</span></p><p align="left"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-3546396" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://stylistika.hautetfort.com/media/00/02/2159292965.JPG" alt="N1728_~1.JPG" /></p><p align="left"> </p><p align="left"> </p><p align="left"><span style="font-size: small;"><strong>Maximilian Wiedemann</strong>, concepteur rédacteur dans la publicité, sculpteur, peintre, il a une facilité déconcertante à tirer la couverture à lui, enfin celle d'un VOGUE imaginaire, dans un humour bien british.</span></p><p align="left"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-3546399" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://stylistika.hautetfort.com/media/01/02/2214457143.jpg" alt="maw wiederman brigitte.jpg" /></p><p align="left"> </p><p align="left"><span style="font-size: small;"><strong>Pimax</strong>, nouvel artiste de la galerie. Avec ses codes pop, il a la goutte facile, mais ne croyez pas que tout est simple, la technique et la rigueur font de ces pièces uniques des morceaux choisis sortis tout droit d’une toile d’Andy Warhol.</span></p><p align="left"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-3546401" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://stylistika.hautetfort.com/media/00/02/3223399881.jpg" alt="pimax.jpg" /></p><p align="left"> </p><p align="left"><span style="font-size: small;"><strong>Adeline Calosci, </strong>ou comment faire d’un bout de bois une lame de rasoir assez tranchante grand format, pour accueillir les<strong> </strong>codes pop. Ou bien comment logotyper les symboles et voir la marque en grand.</span></p><p align="left"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-3546406" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://stylistika.hautetfort.com/media/01/02/3525804488.PNG" alt="CHANEL~1.PNG" /></p><p align="left"> </p><p align="left"><span style="font-size: small;"><em><strong>Artistes permanents :</strong> <br />David Cintract, Boudro, Maximilian Wiedemann, Aurélie Lafond, Ramon Martins, Jean-Claude Cuenca, Johanne 8, Philippe Clairé, Pascal Vilcollet, Julien Malland dit "SETH", TOXIC, Takashi Murakami, Adeline Calosci.</em></span></p><p align="left"> </p><p align="left"><span style="font-size: small;"><em>Dernière actu : l'interview de <a href="http://www.galerie-geraldine-zberro.com/les-videos" target="_blank">Géraldine Zberro sur BFM TV</a></em></span></p>
Environnement2100http://environnement2100.hautetfort.com/about.htmlDelenda est Goldman Sachs ! (II)tag:environnement2100.hautetfort.com,2012-04-10:46717582012-04-10T13:41:17+02:002012-04-10T13:41:17+02:00 Traduction libre de l'article Why I Am Leaving Goldman Sachs , New York...
<p>Traduction libre de l'article <em><a href="http://www.nytimes.com/2012/03/14/opinion/why-i-am-leaving-goldman-sachs.html?_r=1&pagewanted=all&src=ISMR_AP_LO_MST_FB" target="_blank">Why I Am Leaving Goldman Sachs</a>, New York Times</em>, 14 mars 2012, de Greg Smith.</p><p>"Aujourd'hui est mon dernier jour à Goldman Sachs. Après 12 années dans cette société, d'abord en tant que stagiaire à Stanford, puis à New York pendant 10 ans, et maintenant à Londres, je pense que j'ai travaillé ici suffisamment longtemps pour comprendre la direction prise par sa culture, ses collaborateurs et son identité. Et je peux sincèrement dire que l'environnement est devenu le plus toxique et destructif que j'aie jamais vu.</p><p>En termes simples, les intérêts du client continuent d'être négligés dans la façon dont la compagnie fonctionne et pense sa façon de gagner de l'argent. Goldman Sachs est l'une des plus grandes et des plus importantes banques d'investissement, et elle est trop consubstancielle à à la finance mondiale pour continuer à se comporter de cette façon. La firme a dérivé si loin de ce qu'elle était quand je l'ai rejointe en sortant de l'école, qu'en toute conscience je ne peux plus dire que je m'identifie avec ce qu'elle défend.</p><p>Cela peut paraître surprenant aux gens de l'extérieur, mais la culture a toujours été une part vitale du succès de Goldman Sachs. Elle était constituée de travail d'équipe, d'intégrité, d'humilité, et de tout faire pour le bien de nos clients. La culture était ce liant secret qui embellissait cet endroit et nous a permis de mériter la confiance de nos clients pendant 143 ans. Il ne s'agissait pas simplement de gagner de l'argent ; cela seul ne soutient pas une société pendant aussi longtemps. C'était la fierté et la foi dans l'organisation. Je suis triste à l'idée qu'aujourd'hui je ne vois rien autour de moi de la culture qui m'a fait aimer travailler pour cette compagnie pendant toutes ces années. Je n'ai plus ni fierté, ni foi.</p><p> Cela n'a pas toujours été le cas. Pendant plus de dix ans j'ai recruté et formé des candidats au long de notre exigeante procédure de sélection. J'ai été l'une des dix personnes sélectionnées (parmi les 30 000 employés de la société) pour participer au clip video de recrutement, qui est présenté sur chaque campus que nous visitons dans le monde. En 2006 j'ai géré le stage de vente et de trading à New York pour les 80 étudiants sélectionnés parmi des milliers de candidatures.</p><p>J'ai comprois qu'il était temps de partir quand je me sui srendu compte que je ne pouvais plus dire aux candidats, droit dans les yeux, comme c'était formidable de travailler ici.</p><p>Quand on écrira les livres d'histoire, ils révèleront peut-être comment le Dr Général, Lloyd C. Blankfein, et le Président, Gary D. Cohn, ont perdu le contrôle de la culture de leur propore société. Je pense sincèrement que le déclin de la fibre morale de cette société constitue la menace la plus sérieuse vis-à-vis de cette société à long terme.</p><p>Tout au long de ma carrière j'ai eu le privilège d'être le conseiller de deux des plus grands hedge funds de la planète, de cinq des plus grands gestionnaires d'investissements aux USA, de trois des fonds souverains les plus importants au Moyen-Orient et en Asie. Mes clients représentent des fonds supérieurs à mille milliards de dollars. J'ai toujours ressenti une grande fierté à conseiller à mes clients ce qui est bon pour eux, même si cela revient pour la société à gagner un peu moins d'argent. Cette conception est devenue imporpulaire à Goldman Sachs, un autre signe qu'il était temps de partir.</p><p> Comment en sommes -nous arrivés là ? La compagnie a changé de conception du leadership. Le leadership, c'était les idées neuves, montrer l'exemple et faire ce qui est bien. Aujourd'hui, si vous faites gagner suffisamment d'argent à la société (sans pour autant être un véritable assassin), vous aurez une promotion.</p><p>Trois façons de devenir directeur rapidement chez nous : a) Faire fonctionner les "haches", jargon interne pour persuader nos clients d'investir dans des actions ou produits dont nous souhaitoins nous débarrasser parce que leur rentabilité future nous apparaît faible. b) "Chasser l'éléphant" En clair : faire acheter à nos clients - dont certains sont compétents, d'autres moins - les produits qui nous rapportent le plus. Je suis peut-être dépassé, mais je ne peux vendre à mes clients des produyitys qui ne leur conviennent pas. c) Trouvez-vous une mission où votre responsabilité consiste à vendre tout produit opaque et non liquide avec un acronyme en trois lettres.</p><p>Aujourd'hui, la culture Goldman Sachs chez beaucoup de ces dirigeants est inexistante. Je participe à des réunions sur la vente d'instruments financiers à nos clients, au cours desquelles on ne consacre pas une minute à se demander comment nous pouvons aider nous clients. Il s'agit simplement de se demander comment nous pouvons gagner le maximum d'argent sur leur dos. Un Martien qui viendrait participer à ces réunions penserait que la réussite ou le bien de nos clients ne fait tot simplement partie de nos préoccupations.</p><p> J'en suis malade d'entendre avec quel mépris les gens chez nous parlent de rouler nos clients. Ces douze derniers mois mois, j'ai vu 5 directeurs différents appeler leurs propres clients "muppets", parfois par mail interne. Même après la SEC, <a href="http://nymag.com/daily/intel/2010/04/email_from_goldmans_fabulous_f.html" target="_blank">Fabulous Fab</a>, Abacus, <a href="http://blogs.wsj.com/marketbeat/2009/11/09/goldman-sachs-blankfein-on-banking-doing-gods-work/" target="_blank">God's Work</a>, Carl Levin, <a href="http://www.rollingstone.com/politics/news/the-great-american-bubble-machine-20100405" target="_blank">Vampire Squids</a> ? Aucune humilité ? Incroyable. L'intégrité ? Elle s'érode. Je n'ai pas connaissance de délits quelconques, mais est-ce que les collaborateurs proposent des produits lucratifs et compliqués à nos clients indépendamment de leurs objectifs ? Certainement. En fait, tous les jours.</p><p>Je suis stupéfait que la direction ne se rende pas compte de l'évidence : si les clients ne vous font plus confiance, ils finiront par ne plus travailler avec vous. Peu importe que vous soyez brillant.</p><p>Ces derniers jours, la question la plus courante que j'entende de la part des jeunes analystes à propos des produits dérivés, c'est "Combien d'argent avons-nous pris au client ?" Ca me gêne à chaque fois que je l'entends, car elle reflète simplement le comportement de leurs dirigeants. Projetez cela dix ans dans l'avenir : pas besoin d'être un génie pour deviner que le jeune analyste entendant parler de "marionnettes", "arracher les yeux" et "se faire payer" ne donnera pas pas exactement un citoyen modèle.</p><p>Quand j'étais dans ma première année j'étais très ignorant. J'ai appris à m'intéresser aux finesses du métier, ce que sont les produits dérivés, à comprendre la finance, connaître nos clients et ce qui les motive, apprendre comment ils définissent la réussite et comment nous pouvons les aider à y pervenir.</p><p>Les moments de ma vie dont je suis le plus fier - obtenir une bourse à Stanford en venant d'Afrique du Sud, être sélectionné en finale nationale de la bourse Rhodes, gagner une médaille de bronze en tennis de table aux Jeux Maccabi en Israël, connus comme les Jeux Olympiques juifs - sont tous arrivés par le travail, pas par des voies détournées. Aujourd'hui Goldman Sachs c'est trop de voies détournées et pas assez de réussite. Ca ne me va tout simplement plus.</p><p>J'espère que ceci peut servir d'alarme au conseil d'administration. Rendre à nouveau le client le centre de notre activité. Sans clients, personne ne gagne d'argent. En fait, on n'existe plus. Eliminez les gens moralement perdus, indépendamment de l'argent qu'ils font gagner à la société. Remettez la culture sur les bons rails, afin que les gens veuillent travailler à nouveau ici pour les bonnes raisons. Ceux qui ne s'intéressent qu'à l'argent qu'ils gagnent ne soutiendront pas cette société, ni la confiance de ses clients, pendant très longtemps."</p><p><em>Greg Smith démissionne le 14 mars de son poste de directeur exécutif et responsable des produits dérivés en Europe, Moyen-Orient et Afrique.</em> </p><p><a href="http://lecercle.lesechos.fr/entreprises-marches/finance-marches/finances/221138097/delenda-est-goldman-sachs" target="_blank">Delenda est Goldmans Sachs !</a> Première partie sur ce blog</p><p><a href="http://www.youtube.com/watch?v=Lx4poQw1mZo" target="_blank">I want to work at Goldman Sachs</a> un clip bref et clair qui en dit presque aussi long.</p><p><a href="http://www.goldmansachs.com/media-relations/comments-and-responses/current/nyt-op-ed-response.html" target="_blank">GOLDMAN SACHS' RESPONSE TO MARCH 14, 2012 NEW YORK TIMES OP-ED</a> et pour être équitable, la réponse de Goldman Sachs.</p><p> </p><p> </p>
Lizouzouhttp://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/about.html”Toxic Planet T1 : Milieu Naturel” de David Rattetag:lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com,2011-09-23:37890912011-09-23T09:25:00+02:002011-09-23T09:25:00+02:00 Toxic Planet c'est une série de gags sur un monde pollué, où les gens...
<p style="text-align: center;"><img id="media-3209499" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/media/02/00/213265813.jpg" alt="toxic-planet-1-milieu-naturel.jpg" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: trebuchet ms,geneva; color: #800080; font-size: small;">Toxic Planet c'est une série de gags sur un monde pollué, où les gens seraient obligés de porter des masques à gaz en permanence, où la propreté n'existe pas, où l'air pur est considéré comme une vraie drogue et où les arbres seraient exposés dans les musées ! </span></p><p style="text-align: justify;"><br /><span style="font-family: trebuchet ms,geneva; color: #800080; font-size: small;">Cette BD se lit très vite et on sourit (ou rit !) à chaque page ! J'aime beaucoup cet humour décalé qui malheureusement se rapproche parfois de la réalité (même le président ressemble étrangement au notre...) ! </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: trebuchet ms,geneva; color: #800080; font-size: small;">Bon elle date un peu (2006 si je ne me trompe pas) mais essayez de la trouver en bibliothèque ! Elle vaut le détour ! ;)</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: trebuchet ms,geneva; color: #800080; font-size: small;">Un petit extrait pour la route :</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-3209502" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/media/02/00/2503446781.jpg" alt="toxic-planet.jpg" /></p>
Shopgirlhttp://theshoparoundthecorner.hautetfort.com/about.htmlReprise non toxiquetag:theshoparoundthecorner.hautetfort.com,2008-04-27:15929112008-04-27T10:41:00+02:002008-04-27T10:41:00+02:00 Les reprises ont quelque chose de mystérieux: soit on aime d'emblée la...
<p>Les reprises ont quelque chose de mystérieux: soit on aime d'emblée la nouvelle version de la chanson, soit on reste coincé, la version originale en boucle dans un coin de notre tête, maudissant le jeune artiste qui a osé saccagé l'oeuvre.</p> <p>Au fil des années, j'ai compris comment et pourquoi on pouvait rester scotché à un morceau et ne vouloir que personne n'y touche: il y a tant de souvenirs, d'images liés à certains morceaux qu'ils en deviennent comme "sacrés" à nos yeux et gare à celui qui ose s'en approcher.</p> <p>Et il y a de jolies suprises qui font que l'on ne pense même pas à l'original ! Comme cette douce version de " <font color="#FF00FF"><em><strong>Toxic</strong></em></font> " de Yaël Naim...</p> <p> </p> <div style="text-align: center"><object classid="clsid:D27CDB6E-AE6D-11cf-96B8-444553540000" codebase="http://download.macromedia.com/pub/shockwave/cabs/flash/swflash.cab#version=6,0,29,0" width="354" height="291"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/j5pP55u9s10&hl=fr&color1=0xcc2550&color2=0xe87a9f" /> <param name="quality" value="high" /> <param name="menu" value="false" /> <param name="wmode" value="" /> <embed src="http://www.youtube.com/v/j5pP55u9s10&hl=fr&color1=0xcc2550&color2=0xe87a9f" wmode="" quality="high" menu="false" pluginspage="http://www.macromedia.com/go/getflashplayer" type="application/x-shockwave-flash" width="354" height="291" /></object></div> <p> </p> <p>Pour rappel, <font color="#FF00FF">" <em><strong>Toxic</strong></em> "</font> <font color="#000000">est un morceau appartenant au répertoire de Miss Spears, figurant sur son avant-dernier cd si mes souvenirs sont bons (il fut une époque où j'aimais ce que faisait Brit'...).</font></p> <p>Du coup, si j'étais un peu lassée d'entendre "<em>New Soul</em>" à chaque fois que j'allumais la radio , je pense tout de même aller écouter le reste des chansons de l'artiste sur Deezer...</p> <p>Bonne journée ensoleilée !</p>
Nellyhttp://deambulations.hautetfort.com/about.htmlYael Naimtag:deambulations.hautetfort.com,2007-09-24:12329262007-09-24T03:15:00+02:002007-09-24T03:15:00+02:00 Je vous ai parlé de Yael Naim il y a peu, à propos de son premier single,...
<p align="justify">Je vous ai parlé de <b>Yael Naim</b> il y a peu, à propos de son premier single, <b>New Soul</b>. Depuis, j'ai eu la chance d'écouter son prochain album (dans les bacs le 22 octobre), et il y a deux morceaux qui me laissent sans voix. C'est simple, ils tournent en boucle sur ma chaîne depuis jeudi. </p> <div style="text-align: center"><img src="http://savemybrain.hautetfort.com/media/02/02/9c6c043c4108a13f04985c6e16c58d0f.jpg" id="media-564160" alt="9c6c043c4108a13f04985c6e16c58d0f.jpg" style="border-width: 0pt; margin: 0.7em 0pt" name="media-564160" /></div> <p align="justify">Le premier est la deuxième piste de l'album : <b>Too Long</b>. A mon humble avis, le meilleur morceau de l'album. Paroles et musique magnifiques !</p> <p align="justify">Le deuxième est une étonnante reprise de... Britney Spears ! Mais quelle reprise... <b>Toxic</b>, façon Yael Naim, c'est magique ! Envoûtant ! Vous pouvez l'écouter sur son myspace : <a href="http://www.myspace.com/yaelnaim" target="_blank">http://www.myspace.com/yaelnaim</a></p> <p align="justify">Je n'en démords pas, la demoiselle a, en plus d'un beau brin de voix, un talent qui va faire du bruit !</p> <p> </p>