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Notes sur le tag : thomas bernhard

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Dernières notes

Lettre de Varsovie

   C'est du milieu des années 80 que date ma rencontre avec Gilles Renard (photo), dans cette ville de province où je passais alors souvent. Notre amitié allait durer de manière très forte, malgré une séparation géographique quasi constante : Gilles choisit en effet de partir en Pologne, début 1990, afin de suivre les cours de cinéma de la fameuse Ecole de Lodz. Il y étudia,...

Publié le 24/07/2014 dans Le blog de... par Jacques-Emile Miriel | Lire la suite...

Autant que possible

    "Les remises de prix sont, si je fais abstraction de l'argent qu'elles rapportent, ce qu'il y a de plus insupportable au monde, j'en avais déjà fait l'expérience en Allemagne, elles n'élèvent pas, comme je le croyais avant de recevoir mon premier prix, elles abaissent, et de la manière la plus humiliante. C'est seulement parce que je pensais toujours à l'argent qu'elles...

Publié le 01/12/2013 dans off-shore par nauher | Lire la suite...

Thomas Bernhard, ”Retrouvailles”, dans Goethe se mheurt [sic]

       (...) Tant que nous avons vécu chez nos parents, nous étions en réalité enfermés dans deux cachots, et lorsque l'un de nous croyait être enfermé dans le cachot le plus terrible des deux, l'autre avait tôt fait de le détromper en rapportant que le sien était bien plus terrible. Les maisons familiales sont toujours des cachots, rares sont ceux qui parviennent...

Publié le 07/11/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Le Président de Michel Raskine

Au centre du texte  du Thomas Bernhardt et dans les propos du président lui-même se niche la comparaison entre l’art politique (le premier dans sa hiérarchie) et l’art dramatique (celui qui vient juste après, avant les Beaux-Arts et tous les autres): Le dispositif  imaginé par Raskine pour la mise en scène du Président , actuellement au théâtre de la Croix-Rousse, tient tout entier...

Publié le 06/10/2013 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

En continu

  Dernièrement, dans un grand centre commercial (en centre ville...), mon esprit ne s'est pas seulement abîmé d'une foule qui, comme des électrons affolés, allait dans tous les sens ; d'une intempestive lumière agressant mes pupilles ; d'un flot d'écritures réduites à des marques, à des appels aux soldes et à des chiffres ; d'une myriade de visages et de corps trafiqués. Il y avait...

Publié le 14/05/2013 dans off-shore par nauher | Lire la suite...

Thomas Bernhard, Sur la terre comme en enfer

     Personne ne te connaît                            Du festin de joie ne resta que la cruche du tourment...

Publié le 07/05/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Thomas Bernhard : Extinction

L’auteur qui vit à Rome reçoit un télégramme de ses deux sœurs l’informant du décès dans un accident de voiture, de leurs parents et frère. Murau quitte la capitale italienne et rentre en Autriche dans le domaine familiale de Wolfsegg afin d’assister à l’enterrement et prendre possession de cette vaste propriété qui désormais lui revient. Ces quelques jours vont être le prétexte pour Murau à...

Publié le 09/10/2012 dans Le Bouquineur par Le Bouquineur | Lire la suite...

Les Exutoires et les plaisirs du désespoir

  Le Naufragé , Thomas Bernhard Der Untergeher   Riccardo Carobbio, Sconosciuto 04 La première fois qu’on lit Thomas Bernhard, on se laisse séduire par ce nihilisme qu’il verse et reverse partout. Ou alors on se lasse, et l’on s’ennuie. Dans les deux cas, on commet l’erreur de le prendre beaucoup trop au sérieux. En effet, contrairement à ce que l’auteur pourrait...

Publié le 14/09/2012 dans Art &... par Fabien Rothey | Lire la suite...

Thomas Bernhard et ses lecteurs

  Vouloir lire Thomas Bernhard dans le noir Andrea Gallo Si les romans de Thomas Bernhard fascinent ou exaspèrent, c’est d’abord parce qu’on accepte ou refuse la noirceur dont ils sont imprégnés de bout en bout. Le plaisir des uns comme l’agacement des autres provient de l’adhérence au discours du narrateur, aux jugements qui émaillent son soliloque, à la vision du monde qu’il...

Publié le 06/09/2012 dans Art &... par Fabien Rothey | Lire la suite...

Thomas Bernhard, Sur la terre comme en enfer

Ma mort viendra bientôt par le champ, fatiguée, quand les ombres des corbeaux noirs se précipitent sur l'herbe et, derrière la maison, l'arbre ferme les paupières dans la neige et quand soufflent les mots de l'hiver qui approche         L'âme malade, regardant autour d'elle, ne glisse plus vers le village.  ...

Publié le 10/07/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

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