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Notes sur le tag : thomas bernhard

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Dernières notes

Des arbres à abattre (Une irritation) de Thomas Bernhard, par Gregory Mion

Crédits photographiques : Holly Lynton ( The Guardian ). «Il s’empressa donc de dire qu’il n’avait pas pensé à mal.» Hermann Broch, Les Somnambules . «Joe a encore plus de vanité que vous n’en avez jamais eue, et vous en aviez déjà beaucoup pour votre part.» William M. Thackeray, La Foire aux Vanités . Si Thomas Bernhard a eu les effets désirables et indésirables d’un produit...

Publié le 26/12/2022 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...

En voilà, une question particulièrement stupide

André Müller: A qui pensez-vous quand vous écrivez ? Thomas Bernhard: En voilà, une question particulièrement stupide.

Publié le 03/11/2021 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Un vieil article inédit sur Thomas Bernhard

    Ce 9 février, le grand écrivain autrichien Thomas Bernhard, aurait eu 90 ans, s'il n'était mort prématurément il y a déjà trente-deux ans. C'est un écrivain qui a beaucoup compté pour moi. J'ai gardé tous ses livres dans ma bibliothèque, j'en relis certains de temps à autre. En 1988, alors que Bernhard était en pleine créativité, j'avais consacré un article à son roman Maîtres...

Publié le 11/02/2021 dans Le blog de... par Jacques-Emile Miriel | Lire la suite...

Thomas Bernhard, Mes prix littéraires

             [après la publication de Gel ]      [...] lorsque le déluge de critiques, incroyablement violent et complètement contradictoire, des éloges les plus embarrassants aux descentes en flèche les plus féroces, a pris fin, je me suis senti d'un seul coup comme anéanti, comme si je venais de tomber sans rémission dans un...

Publié le 19/05/2019 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Thomas Bernhard, Kulterer

                                       Plus approchait le jour où il serait libéré de la centrale, plus Kulterer craignait de revenir auprès de sa femme. Il menait une vie refermée sur elle-meme, totalement ignorée par ses co-détenus, et il tuait le temps libre, qui était souvent bien trop...

Publié le 15/05/2017 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Thomas Bernhard, Mes prix littéraires

                                    Discours de la remise du prix d’État autrichien      Il n’y a rien à célébrer, rien à condamner, rien à dénoncer, mais il y a beaucoup de choses dérisoires, tout est dérisoire quand on songe à la mort .    On traverse l’existence...

Publié le 20/10/2016 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Thomas Bernhard, Je te salue Virgile

Octobre   Sur ces amas de décombres, ne riment à rien     les lamentations de la mère, à rien l'intercession du père ivrogne,     à rien le récit mortuaire du lieutenant, la rébellion des cardinaux à rien,     à rien la projection de l'avenir, les pleurs de tous les peuples à rien, à rien l'éther mortifié,...

Publié le 15/10/2015 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Ingeborg Bachmannn, la chute dans le temps

   L'écrivain autrichien Thomas Bernhard n'a à ma connaissance jamais parlé de Paul Celan, et de sa poésie fulgurante. Bernhard s'intéressait pourtant bien à ce genre littéraire, qu'il a lui-même illustré dans sa jeunesse, avant de ne devenir exclusivement que romancier. En revanche, concernant sa compatriote exilée à Rome, Ingeborg Bachmann, les allusions de Bernhard sont...

Publié le 21/09/2015 dans Le blog de... par Jacques-Emile Miriel | Lire la suite...

Café Bräunerhof

Le café Bräunerhof à Vienne (Stallburggasse 2), dont l'écrivain Thomas Bernhard était un des habitués. Sa photo figure encore sur la vitrine de l'établissement.    

Publié le 23/04/2015 dans L'annexe par Jean-Jacques NUEL | Lire la suite...

Thomas Bernhard, Sur la terre comme en enfer

                  Tu ne sais rien, mon frère, de la nuit   Tu ne sais rien, mon frère, de la nuit rien de ce tourment qui m'épuisait comme la poésie qui portait mon âme, rien de ces mille crépuscules, de ces mille miroirs qui me précipitent dans l'abîme. Tu ne sais rien, mon frère, de la nuit que j'ai dû traverser à...

Publié le 10/11/2014 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

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