Last posts on stravinsky2024-03-29T14:59:04+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/stravinsky/atom.xmlBruno Chironhttp://www.bla-bla-blog.com/about.htmlBoulez, le maître au marteautag:www.bla-bla-blog.com,2015-03-26:55904132015-03-26T00:00:00+01:002015-03-26T00:00:00+01:00 Le 26 mars 2015 marque l'anniversaire d'une des plus grandes figures de...
<p><img src="http://www.bla-bla-blog.com/media/00/00/1103437732.jpg" id="media-6110351" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Le 26 mars 2015 marque l'anniversaire d'une des plus grandes figures de la musique actuelle. Pierre Boulez, né le 26 mars 1925, sera mis à l'honneur à la toute nouvelle Philharmonie de Paris, après une intégrale publiée il y a deux ans.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">La musique contemporaine est oubliée dans notre paysage sonore. On a paré le contemporain de tous les maux : un répertoire intellectuelle et " <em>inécoutable</em>" ; une musique réservée à une élite ; un genre dont les ruptures révolutionnaires successives ont été menées jusqu'à la sclérose. Les critiques sur Pierre Boulez ont été à l'aune de ces feux nourris, souvent avec mauvaise foi, parfois non sans raison. Le journal <em>Le Monde</em> rappelle dans son édition du 23 mars 2015 que les fréquentations de Boulez avec l'Etat et les gouvernements successifs lui ont permis "<em>de créer ses propres institutions, à l'instar de l'Ircam</em>" (Institut de Recherche et de Coordination Acoustique/Musique).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Pierre Boulez a en tout cas marqué le XXe siècle et le début du XXIe siècle. Né dans l'entre-deux guerres, c'est auprès de l'autre grande figure musicale, Olivier Messiaen, qu'il se forme en harmonie. L'élève est doué. Très doué. Pour autant, la rupture entre les deux hommes survient vite, Boulez revendiquant la rupture perpétuelle et reprochant à son professeur son académisme. Rapidement, le jeune musicien trouve ses modèles : Schoenberg, Varèse, Berg mais aussi Stravinsky, "<em>le néo-classique</em>", comme il le dit lui-même. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">A ce sujet une anecdote existe : en 1955, le jeune Boulez aborde le mythique auteur du <em>Sacre du Printemps</em> pour lui signaler une erreur de mesure sur sa partition de <em>Noces</em> (1914-1917). Le Maître écoute et, docile, reconnaît l’erreur du jeune homme et la corrige immédiatement au crayon. Tout Boulez est là : le talent, la rigueur et l'audace. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">C'est au "<em>marteau</em>" que Pierre Boulez impose son empreinte, dès 1955, avec, justement, <em>Le Marteau sans Maître</em>. Cette œuvre pour voix et six instruments, s'appuie sur des textes de René Char et constitue une pièce maîtresse dans la discographie de l'ancien élève de Messiaen. Elle marque profondément les esprits et installe durablement le compositeur au centre de la vie musicale de son époque. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">La carrière de Boulez navigue entre des créations pointues et sans cesse retravaillées (<em>Pli selon Pli, Éclats/Multiples, Structures, Incises, Anthèmes, Répons</em>), un engagement dans la vie musicale de son pays (ses rapports étroits avec l'Etat subventionneur ont été commentés et critiqués à de multiples reprises), le soutien au répertoire contemporain (à travers l'Ircam, nous l'avons dit), la pédagogie et l'orchestration.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Sur ce dernier point, il n'est sans doute pas assez dit que Pierre Boulez reste un de nos meilleurs chefs d'orchestre. S'appuyant sur une technique pointue et une oreille absolue, ses versions de Mahler, Berg et, bien entendu Stravinsky, frappent par leur précision, leur respect et - n’en déplaisent à, ceux qui accusent le Maître d’être (trop) "<em>analytique</em>" - leurs couleurs ! </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Il a été assez dit que Boulez était un technicien hors pair de la composition contemporaine ; redisons, en ce jour anniversaire, qu'il est aussi un magicien du son. </span></p><p style="text-align: right;"><span style="font-size: small;"><strong>"Pierre Boulez", exposition jusqu'au 28 juin 2015 à la Philharmonie de Paris<br />Pierre Boulez, <em>Intégrale</em>, 13 CD, </strong><span style="font-size: small;"><strong>Deutsche Grammophon, juin 2013<br /></strong></span><strong><a href="http://www.musicologie.org/publirem/entretien_avec_pierre_boulez.html" target="_blank" rel="noopener">"<em>Entretien avec Pierre Boulez : Les années d'apprentissages (1942-1946)</em>", par François Meïmoun</a></strong></span></p><p><iframe width="550" height="306" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="http://www.canal-u.tv/video/universite_de_lorraine/embed.1/entretien_pierre_boulez_claude_lefebvre.5452?width=550&height=306" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen" scrolling="no"></iframe></p>
Jacques-Emile Mirielhttp://jemiriel.hautetfort.com/about.htmlPensées éparsestag:jemiriel.hautetfort.com,2014-04-07:53412992014-04-07T15:48:00+02:002014-04-07T15:48:00+02:00 • Kundera, dans Les Testaments trahis , se place historiquement à...
<p style="text-align: left;"><img id="media-4512239" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://jemiriel.hautetfort.com/media/02/00/1383513772.2.jpg" alt="Leiris par masson.jpg" /></p><p style="text-align: left;">• Kundera, dans <em>Les Testaments trahis</em>, se place historiquement à l'origine de la modernité ("je fais partie de quelque chose qui n'est déjà plus", écrit-il). Voilà un joli tour de passe-passe. Il se trouve bien parmi Kafka, Broch et les autres, mais sans considérer ce qui est venu après eux. D'ailleurs, Kundera se reconnaît comme un <em>néoclassique</em>, en somme. D'où son éloge de Stravinsky, très révélateur. C'est comme si Kundera avait en fait à nous tenir des propos, non pas d'aujourd'hui mais d'hier.</p><p style="text-align: left;">• <em>Le besoin de répit</em> : celui-ci peut être si constant et si obsédant, dans le monde où nous vivons, qu'il en devient tout naturellement oisiveté, puis désœuvrement. C'est alors que la pensée la plus fine, la plus dérangeante commence, sans jamais cesser.</p><p style="text-align: left;">• Je me compte parmi les déçus de la métaphysique.</p><p style="text-align: left;">• "Le suicide qui me convient le mieux est manifestement la vie." (Imre Kertész, <em>Journal de Galère</em>)</p><p style="text-align: left;"><em>• </em>La pensée d'être un grand malade, si exagérée soit-elle, <em>soulage.</em></p><p style="text-align: left;">• "Le temps passe trop vite" signifie : je vais devoir faire un effort à nouveau, par exemple pour me lever. L'immobilité est intermittente. Le repos aussi, par conséquent.</p><p style="text-align: left;">• Il est beaucoup plus facile de mener une vie <em>morale </em>lorsqu'on est riche.</p><p style="text-align: left;">• Aujourd'hui, l'abstention acquiert un sens. Elle n'est plus seulement le fruit de la négligence. Elle devient logique, manifestation personnelle de volonté. Elle règne de manière inassouvie.</p><p style="text-align: left;">• "Homme social désorienté", expression lue sur Internet. Belle et juste formule, et vraie partout, dans l'anonymat des villes comme dans le désert des campagnes — dans cette errance interminable où même le suicide est impossible.</p><p style="text-align: left;">• Ne nous laissons pas berner par la nostalgie, au détriment de notre logique.</p><p style="text-align: left;">• J'ai toujours du silence à rattraper.</p>
SUR du VENT par Henri CHEVIGNARDhttp://surduvent.hautetfort.com/about.html1913 : DEUX RUSSEStag:surduvent.hautetfort.com,2014-01-10:52641772014-01-10T21:30:00+01:002014-01-10T21:30:00+01:00
<p style="text-align: center;"><img id="media-4391590" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://surduvent.hautetfort.com/media/00/02/3798467703.png" alt="13.fw.png" /></p>
laserlaserhttp://bijou-noir.hautetfort.com/about.htmlTriptyk (le sacre du printemps)tag:bijou-noir.hautetfort.com,2013-12-14:52410732013-12-14T00:06:00+01:002013-12-14T00:06:00+01:00 Le septième spectacle de Zingaro : Triptyk (sur Le Sacre du...
<p>Le septième spectacle de <strong><em><span style="color: #00ffff;">Zingaro</span></em></strong>: <strong>Triptyk</strong> (sur <em>Le Sacre du printemps</em> de Stravinsky, <em>Dialogue de l'ombre double</em> de Boulez et la <em>Symphonie de psaumes</em> de Stravinsky) se déroulait sur une musique enregistrée...</p><div id="r1PostCPBlock" style="overflow: hidden; color: #000000; background-color: #ffffff; text-align: left; text-decoration: none; position: absolute; left: -99999px;">Le Sacre du printemps, de Stravinsky, Dialogue de l'ombre double, de Boulez, et la Symphonie de psaumes, de Stravinsky.<br /><span>En savoir plus sur <a style="color: #003399;" href="http://www.lexpress.fr/culture/scene/a-cheval-sur-la-musique_639955.html#A1RUs1EUcsQpTZMz.99">http://www.lexpress.fr/culture/scene/a-cheval-sur-la-musique_639955.html#A1RUs1EUcsQpTZMz.99</a></span></div><p> </p><p><strong>Mais</strong> à Villepinte fin Octobre 2002, trois représentations spéciales avec <strong>l'Orchestre de Paris</strong> et son choeur, disposés sur une partie des gradins, ont été dirigées par Pierre <strong><em>Boulez</em></strong>.</p><div id="r1PostCPBlock" style="overflow: hidden; color: #000000; background-color: #ffffff; text-align: left; text-decoration: none; position: absolute; left: -99999px;">à Villepinte, trois représentations avec l'Orchestre de Paris et son choeur, disposés sur une partie des gradins, seront dirigées live par Pierre Boulez.<br /><span>En savoir plus sur <a style="color: #003399;" href="http://www.lexpress.fr/culture/scene/a-cheval-sur-la-musique_639955.html#A1RUs1EUcsQpTZMz.99">http://www.lexpress.fr/culture/scene/a-cheval-sur-la-musique_639955.html#A1RUs1EUcsQpTZMz.99</a></span></div><div id="r1PostCPBlock" style="overflow: hidden; color: #000000; background-color: #ffffff; text-align: left; text-decoration: none; position: absolute; left: -99999px;">à Villepinte, trois représentations avec l'Orchestre de Paris et son choeur, disposés sur une partie des gradins, seront dirigées live par Pierre Boulez.<br /><span>En savoir plus sur <a style="color: #003399;" href="http://www.lexpress.fr/culture/scene/a-cheval-sur-la-musique_639955.html#A1RUs1EUcsQpTZMz.99">http://www.lexpress.fr/culture/scene/a-cheval-sur-la-musique_639955.html#A1RUs1EUcsQpTZMz.99</a></span></div><p> </p><p> </p><p><iframe width="640" height="360" src="http://www.youtube.com/embed/XrOUYtDpKCc?feature=player_detailpage" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p>
Jean-Pierre WILLEMShttp://willemsconsultants.hautetfort.com/about.htmlTours et détourstag:willemsconsultants.hautetfort.com,2013-07-02:51122392013-07-02T02:44:00+02:002013-07-02T02:44:00+02:00 Le détour pédagogique est une méthode selon laquelle le plus court chemin...
<p style="text-align: justify;">Le détour pédagogique est une méthode selon laquelle le plus court chemin pour aller de A à B est de passer par C. Elle permet de déconstruire les représentations, de fréquenter de nouveaux territoires et d'aborder sous un angle nouveau de vieilles questions. La méthode n'est pas sans risque. A faire des détours on peut se perdre en route, je jamais retrouver le but ou bien faire un voyage pour rien, si à l'arrivée le regard n'a pas évolué. Existe aussi le risque que le détour ne soit qu'un tour, un artifice sans profondeur et sans valeur.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-4167548" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://willemsconsultants.hautetfort.com/media/00/00/2630883670.jpg" alt="485x485.fitandcrop.jpg" width="423" height="423" /></p><p style="text-align: justify;">Akram Khan, à qui on a demandé de revisiter le Sacre du Printemps, de Stravinsky, a choisi le détour. Il a fait composer une nouvelle musique à trois compositeurs et s'est éloigné du Sacre pour s'installer dans la tête de Stravinsky, d'où le titre de son spectacle : iTMOi (in the mind of Igor). Qui aura pris le détour d'Akram Khan ne peut plus voir, ou revoir, le Sacre du printemps, sans penser au sacrifice, au gong lancinant, au diable qui rôde, à la mariée, à l'homme pris dans les rets de la vie ou à la jeune femme qui virevolte vers la libération finale et printanière, sans que ne s'efface totalement le long cheminement hivernal. Un vrai détour qui vaut le détour.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-4167550" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://willemsconsultants.hautetfort.com/media/01/00/3296253217.jpg" alt="p019rr0c.jpg" width="457" height="326" /></p>
Christian COTTET-EMARDhttp://cottetemard.hautetfort.com/about.html1 : Stravinsky et Cocteau. 2 : Stravinsky dirige L'Oiseau de feutag:cottetemard.hautetfort.com,2011-10-07:38131012011-10-07T23:22:00+02:002011-10-07T23:22:00+02:00 Fermer Watch the whole concert here: http:// www.medici.tv...
<p><br /><a href="http://fr.wrs.yahoo.com/_ylt=A2KLqIlNa49OD1QAdB.OAQx.;_ylu=X3oDMTBxOHJkdnFuBHBvcwMyBHZ0aWQDBHNsawNpbWcEc2VjA3Ny/SIG=1m92usch5/EXP=1318050765/**http%3a//fr.video.search.yahoo.com/video/play%3fn=21%26ei=utf-8%26fr=yfp-t-703%26tnr=20%26p=stravinsky%2bet%2bcocteau%26vid=1080544592549%26dt=1242509181%26l=95%26turl=http%253A%252F%252Fts2.mm.bing.net%252Fvideos%252Fthumbnail.aspx%253Fq%253D1080544592549%2526id%253Dfec4c8bae62516efb1df98c7cba92fdc%2526bid%253DlhAO3PIq4fKuaw%2526bn%253DThumb%2526url%253Dhttp%25253a%25252f%25252fwww.youtube.com%25252fwatch%25253fv%25253dARLnH0BOwSY%26rurl=http%253A%252F%252Fwww.youtube.com%252Fv%252FARLnH0BOwSY%2526autoplay%253D1%2526fs%253D1%2526autoplay%253D1%26tit=5-Igor%2be%2bCocteau%26sigr=11v0bi4ic%26newfp=1%26surl=http%253A%252F%252Fwww.youtube.com%252Fwatch%253Fv%253DARLnH0BOwSY%26sigs=11afl3oqh" data-bk="8.1" data-bns="API"><img id="imghvr_1" style="padding: 0px;" title="" src="http://ts2.mm.bing.net/videos/thumbnail.aspx?q=1080544592549&id=fec4c8bae62516efb1df98c7cba92fdc&bid=lhAO3PIq4fKuaw&bn=Thumb&url=http%3a%2f%2fwww.youtube.com%2fwatch%3fv%3dARLnH0BOwSY" alt="" width="128" height="96" /></a><a href="http://fr.wrs.yahoo.com/_ylt=A2KLqIjdbo9OkFMAr32OAQx.;_ylu=X3oDMTByazIzYTE2BHBvcwM1MQR2dGlkAwRzbGsDaW1nBHNlYwNzcg--/SIG=1o6rbd5g7/EXP=1318051677/**http%3a//fr.video.search.yahoo.com/video/play%3fb=41%26ei=UTF-8%26fr=yfp-t-703%26tnr=20%26p=stravinsky%26vid=1059750938139%26dt=1213081200%26l=185%26turl=http%253A%252F%252Fts4.mm.bing.net%252Fvideos%252Fthumbnail.aspx%253Fq%253D1059750938139%2526id%253D14e28ddeae7ab349835ea35978fdac0d%2526bid%253DNj96AgSoZ7ScZQ%2526bn%253DThumb%2526url%253Dhttp%25253a%25252f%25252fwww.youtube.com%25252fwatch%25253fv%25253dmUwdyN27TWI%26rurl=http%253A%252F%252Fwww.youtube.com%252Fv%252FmUwdyN27TWI%2526autoplay%253D1%2526fs%253D1%2526autoplay%253D1%26tit=Igor%2b%2bStravinsky%2b%2bconducts%2b%2bThe%2b%2bFirebird%2b%2b%2528L%2526%252339%253BOiseau...%26sigr=11vv2r1ht%26newfp=1%26surl=http%253A%252F%252Fwww.youtube.com%252Fwatch%253Fv%253DmUwdyN27TWI%26sigs=11a5tpvej" data-bk="26.1" data-bns="API"><img id="imghvr_10" style="padding: 0px;" title="" src="http://ts4.mm.bing.net/videos/thumbnail.aspx?q=1059750938139&id=14e28ddeae7ab349835ea35978fdac0d&bid=Nj96AgSoZ7ScZQ&bn=Thumb&url=http%3a%2f%2fwww.youtube.com%2fwatch%3fv%3dmUwdyN27TWI" alt="" width="128" height="96" /></a></p><div class="picntr"><label id="ln_10" for="bn_10"><a>Fermer</a></label><input id="bn_10" class="bn" type="button" value="Fermer" /></div><div id="hvr_10" class="hvr" style="display: none;"><div style="width: 122px; padding: 3px; height: 84px; color: #000000;">Watch the whole concert here: http:// www.medici.tv /#! /<strong>stravinsky </strong>-conducts -<strong>stravinsky </strong>-the -firebird Watch all our Igor <strong>Stravinsky </strong>videos here: http:// www.medici.tv /#!/igor ...</div></div><div class="picntr"><label id="ln_1" for="bn_1"><a>Fermer</a></label><input id="bn_1" class="bn" type="button" value="Fermer" /></div><div id="hvr_1" class="hvr" style="display: none;"><div style="width: 122px; padding: 3px; height: 84px; color: #000000;">La quinta di "Dodici pastiglie" per la nostra salute musicale - Omaggio a Igor <strong>Stravinsky</strong>, (da un film di Janos Darvas, 2001)</div></div>
Christian COTTET-EMARDhttp://cottetemard.hautetfort.com/about.htmlCarnet des nuits scintillantes et glacialestag:cottetemard.hautetfort.com,2010-01-04:25409202010-01-04T02:52:00+01:002010-01-04T02:52:00+01:00 Cela faisait un bout de temps que je n’avais pas vu le renard. Ces...
<p><img src="http://cottetemard.hautetfort.com/media/01/00/226256606.JPG" id="media-2195953" alt="P1000577.JPG" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" />Cela faisait un bout de temps que je n’avais pas vu le renard. Ces dernières nuits scintillantes et glaciales, je l’ai d’abord entendu, malgré le double vitrage, non pas glapir mais pousser de longues plaintes rauques. Plusieurs fois, derrière la vitre où se reflétait le feu, je l’ai regardé trotter en direction du village. Il avait l’air très agité, peut-être affamé, ce qui expliquerait son passage si près des maisons. L’avant-dernière nuit, alors que je m’étais enveloppé dans mon manteau pour fumer un cigare sur le seuil, le bruit sec de ses pattes sur la neige gelée m’a alerté et je n’ai eu qu’à bouger les yeux pour le voir apparaître à dix mètres à peine, dans la clarté du premier lampadaire de l’éclairage public. La direction de l’air ne lui a pas permis de flairer ma présence et, grâce à ma considérable aptitude à l’immobilité, j’ai pu constater sans l’inquiéter que ce renard n’était pas un freluquet. <img src="http://cottetemard.hautetfort.com/media/02/00/1046830621.jpg" id="media-2195955" alt="lxt61711.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" /></p> <p>Du coup, je me suis remémoré les premières mesures de <a href="http://brahms.ircam.fr/works/work/12246/"><i>Renard</i> de Stravinsky</a>, et cette musique m’a accompagné jusqu’au bord du sommeil.</p> <p>Le lendemain matin, les deux chats sont revenus mendier leur pitance. Le froid ne les ménage pas et ils engloutissent leur pâtée, l’un en me faisant des fêtes (le gros mâle dominant déjà d’un certain âge) et l’autre, la minette au coup de patte facile, mais qui oublie toute prudence lorsque je remplis la gamelle. J’ai décidé de l’appeler Diane car elle est très gracieuse et chasse avec une efficacité redoutable les mulots, campagnols et souris qu’elle avale en commençant par la tête. Après, on voit la queue du malheureux rongeur disparaître dans la gueule et la petite diane chasseresse repartir momentanément repue vers d’autres aventures.</p> <p>Je me demande si les chats et le renard se surprennent en rôdant autour de la maison mais j’ai plutôt l’impression qu’entre espèces incapables de s’entendre, ils ont la sagesse de s’éviter. Après tout, leur monde est assez vaste pour cela et chacun y trouve son compte...</p> <p>Entre Noël et le jour de l’an, la promenade prévue avec des amis n’a pas été possible. Je me suis pour ma part contenté de l’indispensable petit tour quotidien dans les futaies, sentiers et petits crêts au-dessus de la maison.<img src="http://cottetemard.hautetfort.com/media/02/01/2031450263.JPG" id="media-2195952" alt="P1000585.JPG" style="border-width: 0; float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" /></p> <p>Je vais tenter de placer le sapin Frazer en pot qui a cette année supporté les guirlandes et les boules multicolores dans un endroit de la propriété propice à sa survie. Cette espèce étant canadienne, le climat jurassien ne devrait pas trop lui déplaire.</p> <p>Ces fêtes endeuillées sont maintenant terminées. Malgré la disparition d’un être cher, on a célébré Noël et souhaité la bonne année, la vie est ainsi faite, elle continue car elle ne sait pas faire autrement.</p> <p><span style="font-size: x-small;"><b>Photos :</b> crépuscule à la Vierge et fin d'après-midi sur les crêtes au-dessus de la maison.</span></p>
guyhttp://unsoirouunautre.hautetfort.com/about.htmlMarie Chouinard: la vie des animauxtag:unsoirouunautre.hautetfort.com,2008-04-02:15442742008-04-02T19:15:00+02:002008-04-02T19:15:00+02:00 C'est vite vu: ce soir le vocabulaire chorégraphique va plus...
<p>C'est vite vu: ce soir le vocabulaire chorégraphique va plus chercher ses inspirations coté zoo et basse-cour que dans le catalogue académique. Ce <em>F<strong>aune </strong></em> ne s'envole pas vers le poétique, il trace son chemin à coups de sabots, de mouvements hachés, tout contrefait et tourné en dedans, sur un seul <img name="media-938172" src="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/media/00/00/1171651922.jpg" alt="586661700.jpg" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; border-width: 0px" id="media-938172" />plan, de gauche à droite de la scène et retour, ni profondeur ni mouvement vers le haut, bête sans ambiguïté. Le collant est hérissé, évoque de plutôt loin les photos de Nijinski. Faute de nymphe disponible, la créature finit par faire l'amour aux cônes de lumière, sa corne repositionnée où il faut, dans un élan masturbatoire et espiègle. On ne sait au juste ce que Marie Chouinard a choisit de retenir de ceux qui l'ont précédés, pour exécuter ces deux pièces de répertoire, et ce qu'elle a choisi d'oublier de toute la tradition pour revenir à plus archaïque, mais le résultat est drôle et perturbant.</p> <p>Pour le <strong><em>Sacre,</em></strong> l'habituelle thématique sacrificielle est laissée au bord du chemin, pourquoi pas? Ce printemps s'éveille en pleine nature, évidemment. Les danseurs-animaux s'agitent tous azimuth, chacun dans sa prison lumineuse, mais sans barreaux. La lumière, en l'absence de décor- comme pour le <em><strong>Faune-</strong></em>, structure et découpe l'espace au cordeau. Moulinets, sauts et parades tout y passe, nerveux et saccadé. Jusqu'aux démonstrations d'art martiaux, façon grand maître mimant la prise du chat ou de l'oiseau. Quelques espaces lumineux finissent par se croiser, pour des rencontres assez troublantes: un mâle en rut se frotte à une femelle bardée de cones pointues. Les autres bestioles continuent solitaires à se dépenser up-tempo, les espaces-lumières s'allument et s'éteignent, on commence à se lasser, et même de Stravinsky. Les danseurs évoluent vers le collectif, mais un peu trop tard, puis le printemps se transforme franchement en saison des animaux amoureux. Le faune de tout à l'heure s'est-il glissé parmi eux incognito? C'est, en tout cas, le retour des cornes en érections. Se sent on menacé dans notre virilité? On frôle en tout cas la sur-dose de symboles phalliques. Tout cela, jusque dans la rudesse des gestes, est masculin à l'excès. Est ce l'expression du complexe de castration érigé en système chorégraphique?</p> <p>C'était <a target="_blank" href="http://scenes20.over-blog.com/article-6005137.html"><em><strong>Prélude à l'aprés-midi d'un faune</strong></em> et <em><strong>Le Sacre du Printemps</strong></em>, <strong><font size="2"><font color="#FF0000">♥♥♥</font><font color="#C0C0C0" style="color: #c0c0c0">♥♥♥</font></font></strong></a> de <strong><font color="#FF0000">Marie Chouinard</font></strong>, au <strong><a target="_blank" href="http://www.theatredelaville-paris.com/danse/cadre_danse.htm">Théâtre de la Ville</a></strong>. Jusqu'au 6 avril.</p> <p><a href="mailto:unsoirouunautre@yahoo.fr" class="null">Guy</a></p> <p><em>photo du site internet du Théatre de la Ville</em></p> <div style="text-align: center"><object classid="clsid:D27CDB6E-AE6D-11cf-96B8-444553540000" codebase="http://download.macromedia.com/pub/shockwave/cabs/flash/swflash.cab#version=6,0,29,0" width="371" height="283"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/Vmuw9Fa2kvQ&hl=fr" /> <param name="quality" value="high" /> <param name="menu" value="false" /> <param name="wmode" value="" /> <embed src="http://www.youtube.com/v/Vmuw9Fa2kvQ&hl=fr" wmode="" quality="high" menu="false" pluginspage="http://www.macromedia.com/go/getflashplayer" type="application/x-shockwave-flash" width="371" height="283" /></object></div>
guyhttp://unsoirouunautre.hautetfort.com/about.htmlUnger et Ferron: Short, cygnes, poupéestag:unsoirouunautre.hautetfort.com,2008-01-28:14225582008-01-28T07:15:00+01:002008-01-28T07:15:00+01:00 A la lecture, les intentions énoncées par les plumitifs d'...
<p>A la lecture, les intentions énoncées par les plumitifs d' <strong><a target="_blank" href="http://www.etantdonne.fr/"><font color="#FF0000">Etant Donné</font></a></strong> pour ce <em><strong>Show Case Trilogie</strong> </em>paraissent un poil sérieuses et auto-centrées <em>("Explorer les notions constitutives du spectacle: l'idée de la beauté, l'idée du temps, l'idée de vacuité").</em> Elles laissent craindre un pensum sur la représentation représentée. Mais, soulagement, les chorégraphes mettent ces intentions sur le tapis avec une fraîcheur bienvenue.</p> <p>Démonstration faite avec l'attaque de <em><strong>Let's Dance. </strong></em>Le tapis blanc immaculé apparaît comme un gouffre un peu effrayant dans lequel nos trois danseurs n'osent s'engager, avant de trouver un moyen- joliment enfantin- de d'y risquer. On a vu manière plus ennuyeuse de remettre en perspective l'espace scénique. C'est autant de distance ironique partagée vis à vis de ce qui pourra s'y dérouler ensuite: l'attaque en règle d'un morceau de choix de la matière-répertoire. Tchaikovsky en prend pour son grade, les irréprochables figures classiques en ressortent blessées à mort, même si les cygnes bougent encore. Les décalages sont parfois nets- des gags musicaux dans un esprit cartoon-, parfois installés avec plus de légèreté. Même si on atteint pas les sommets pince-sans-rire qu'ont explorés les <a target="_blank" href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/tag/Delgado+Fuchs"><strong><font color="#FF0000">Delgado-Fuchs</font></strong></a>. Mais dans ce jeu, très précis et élaboré, des quatre coins, la jubilation se fait complice. On pense un peu à la phrase de Charles B. (1821-1867) : <em>"Le génie est l'enfance douée d'organes adultes pour s'exprimer".</em></p> <p>En seconde position, <strong><em>Laps </em></strong>est le type même de la pièce urticante. D'un coté il est toujours intéressant de s'intéresser au temps, de l'autre on reste tout de même très loin de Saint Augustin. D'un coté le sous-titre est remarquable-<em>"solo pour un danseur en short"-</em>, de l'autre on se dit, passées presque cinq minutes de course sur place, que les plaisanteries les plus courtes sont les moins longues. D'un coté on a rarement vu sur scène quelque chose d'aussi sublimement laid que les chaussettes rouges et jaunes de <strong><font color="#FF0000">Jerôme Ferron</font></strong>, de l'autre l'usage répété de l'aquarium apparaît d'une gratuité assez lassante. D'un coté il est approprié que Ravel soit la seconde victime, avec un bolero qui ne semble ne jamais commencer, de l'autre la performance ne semble pas parvenir à résoudre la difficulté qu'il y a à montrer l'attente tout en s'interdisant de suggérer plus que le commencement d'autre chose.</p> <p>De <strong><em>Beauté plastique</em></strong>, on a <a target="_blank" href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/archive/2007/05/03/show-case-beaute-plastique.html"><strong>déja parlé ici l'an dernier</strong></a> de manière raisonnée. Non sans mérite car les belles <strong><font color="#FF0000">Frédérique Unger et Emily Mézière </font></strong>n'arrêtent pas de déshabiller, ce qui trouble un peu le recul critique. Mais ce qui ne nous distrait pas, il est vrai, du sujet en lui même: l'expérience de la beauté. La pièce gagne encore en cohérence quand ici elle conclue la trilogie: la saturation de notre espace de vision par les poupées (style) barbies prend une nouvelle force en vis à vis du vide aveuglant du tout début. Et la performance en froide efficacité: cette fois pas plus de 3 poupées renversées. La pièce persiste à être la plus construite et équilibrée des trois, et même la plus féroce. Pour autant l'ensemble reste cohérent et ludique. Quitte sans doute à risquer, pour cette raison même, plus d'un procés en superficialité et insignifiance... Acquitté!</p> <p>C'était <strong><em>Show Case trilogie: Let's Dance..., Laps (solo pour un danseur en short), et Beauté Plastique,</em></strong> de et par <a target="_blank" href="http://www.etantdonne.fr/"><strong><font color="#FF0000">Jérome Jerôme Ferron et Frédérike Unger (Etant Donné)</font></strong>,</a> avec aussi <strong><font color="#FF0000">Emily Mézières</font></strong>, à <strong><a target="_blank" href="http://www.micadanses.fr/">Micadances</a></strong>, avec le <strong><a target="_blank" href="http://www.faitsdhiver.com">festival Faits d'hiver</a></strong></p> <p><strong><a href="mailto:unsoirouunautre@yahoo.fr" class="null">Guy</a></strong></p>
guyhttp://unsoirouunautre.hautetfort.com/about.htmlEmmanuel Gat: complettag:unsoirouunautre.hautetfort.com,2007-11-22:13300982007-11-22T20:30:00+01:002007-11-22T20:30:00+01:00 De : Reservation CND <reservation@cnd.fr> À : guy.degeorges@xxxxx...
<p><i>De : Reservation CND <reservation@cnd.fr><br /> À : <a href="mailto:guy.degeorges@xxxxx">guy.degeorges@xxxxx</a></i></p> <p><i>Envoyé le : <font color="#FF0000"><u>Mardi, 13 Novembre 2007</u>,</font> 16h35mn 23s<br /> Objet : Re: [RESERVATION]<br /> <br /></i><font face="Verdana, Helvetica, Arial"><span style="font-size: 12px"><i>Bonsoir,<br /> <br /> Nous n’avons malheureusement plus de place pour ce spectacle, si vous en avez la possibilité, nous vous proposons de venir le soir même, nous ferons une liste d’attente au cas où, il y aurait des désistements de dernière minute.<br /> <br /> Cordialement,<br /> L’équipe Billetterie<br /> <br /> Centre national de la danse<br /> Service Réservation/Billetterie<br /> 1, rue Victor Hugo<br /> 93507 Pantin Cedex<br /> T 01 41 83 98 98<br /></i><i><font color="#0000FF"><u>reservation@cnd.fr<br /></u></font><br /></i></span></font><font face="Verdana, Helvetica, Arial"><span style="font-size: 12px"><br /> <i><font color="#FF0000"><u>le 30/10/07</u></font> 7:10, <a href="mailto:guy.degeorges@xxxxx">guy.degeorges@xxxxx</a> a écrit :<br /> <br /></i></span></font><font face="Verdana, Helvetica, Arial"><span style="font-size: 12px"><i><b>RESERVATION :</b><br /> <b>Référence(s) :</b><br /> <b>Artiste(s) :</b> Emanuel Gat / Emanuel Gat Dance <br /> <b>Titre :</b> My favorite things (coproduction) / Le Sacre du printemps<br /> <br /> <b>Dates :</b> Mercredi 21 au vendredi 23 novembre 2007 à 20h30, samedi 24 à 17h et 20h30<br /> <br /> <b>Adresse :</b> CND - Pantin<br /> 93507 Pantin<br /> <br /> <b>Tarifs :</b> 14€, TR: 11€<br /> Abonné : 10€, TR: 8€<br /> <br /></i><i><b>Réservations<br /></b>Du lundi au vendredi, de 10h à 19h<br /> <b>T 01 41 83 98 98</b> / reservation@cnd.fr<br /> <br /> <b>Nom :</b> Degeorges <br /> <b>Prénom :</b> Guy <br /> <b>Adresse : XXXXXXXXXXXXX</b> <br /> <b>Téléphone : XXXXXXXXXXXX</b><br /> <b>Adresse mail :</b> <a href="mailto:guy.degeorges@xxxx">guy.degeorges@xxxx</a><br /> <br /> <b>Date :</b> jeudi 22 novembre<br /> <b>Nombre de places :</b> 2<br /> <br /> <b>Commentaires :</b> <br /> --</i></span></font></p>
guyhttp://unsoirouunautre.hautetfort.com/about.htmlXavier Le Roy n'est pas un chef d'orchestretag:unsoirouunautre.hautetfort.com,2007-10-25:12748512007-10-25T19:15:00+02:002007-10-25T19:15:00+02:00 Depuis un peu trop longtemps on n'avait pas réussi à sourire devant une...
<p>Depuis un peu trop longtemps on n'avait pas réussi à sourire devant une scène, à force de toujours y voir souffrir de la danse contemporaine. Merci à <b><a target="_blank" href="http://insituproductions.net/enter.html"><span style="color: #ff0000;">Xavier Le Roy</span></a></b> d'entrouvrir un espace au comique, dans cette étude sur les rapports entre gestes et musique. En incarnant ce soir un chef d'orchestre, qui de son corps dirige le <b>Sacre du Printemps</b>. Bonne idée: les musiciens en action sont des acteurs à part entière (On se souvient de <a target="_blank" href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/archive/2007/05/20/claude-parle-et-jean-pierre-robert.html"><span style="color: #ff0000;">Jean Pierre Robert!)</span></a>. Si beaucoup de danseurs (<a target="_blank" href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/archive/2007/01/26/kataline-patkai.html">Patkai,</a> <a target="_blank" href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/archive/2007/04/21/mette-ingvartsen.html">Ingvartsen</a>, <a target="_blank" href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/archive/2007/09/27/guillotine.html">La Zampa</a>, ...) s'emparent de la gestuelle des rockers, il y a aussi de la matière à développer du coté des classiqueux. Mais se faire un Sacre, c'est une prise de risque, tant la pièce de <b><a target="_blank" href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Stravinsky"><span style="color: #ff0000;">Stravinsky</span></a></b> (1882-1971) est, chaque saison, vue, revue et réentendue. Rien que le printemps dernier <a target="_blank" href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/archive/2007/03/09/les-printemps-de-leveille.html"><span style="color: #ff0000;">Daniel Leveillé</span></a> exhumait sa version, plus tard on applaudissait <a target="_blank" href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/archive/2007/05/03/show-case-beaute-plastique.html"><span style="color: #ff0000;">Ferron et Unger</span></a> pour avoir détourné le thème. Et c'est loin d'être fini, ce printemps va refleurir par soudaines embellies jusqu'à l'été prochain, il faut pour commencer qu'on pense à réserver <a target="_blank" href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/archive/2007/11/22/emmanuel-gat-complet.html">Emmanuel Gat</a> au <a target="_blank" href="http://www.cnd.fr/">CND</a> (avec <a target="_blank" href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/archive/2007/03/09/les-printemps-de-leveille.html">JD</a> s'il n'a pas oublié).</p> <p><a target="_blank" href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/archive/2007/03/09/les-printemps-de-leveille.html"><b>Leveillé</b></a> nous avait un peu déçu, c'est que le <b>Sacre</b> est si fort musicalement qu'on parait souvent faible à juste l'accompagner: il faut s'y opposer pour s'imposer et marquer sa différence. Ou bien prendre cette musique à bras le corps. C'est le choix de <b>Le Roy,</b> et cet homme, dégingandé, a des bras démesurés. La musique est le sujet central, l'enjeu obsédant, dans une démarche toute contraire à celle entreprise dans <a target="_blank" href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/archive/2007/10/13/alban-richard-lointain.html"><b>Lointain</b></a> où la musique se situait à coté de la danse, créait une distance. Le chef d'orchestre est seul ce soir, pour incarner la musique, avec elle ne faire qu'un, seul face à d'invisibles musiciens. Mais face à nous en vérité: c'est donc nous qu'il interpelle de la main, de la tête, du pied. Pour un étrange jeu à trois, où nous spectateurs sommes deux à la fois, vrais spectateurs et faux musiciens. Et il devient vite évident que ce chef n'en en pas un et ne cherche même pas à faire semblant. Les soit-disant gestes de direction d'orchestre s'extrapolent bientôt en danse, en un code élaboré. Le processus est inversé car c'est la musique qui produit ce mouvement. </p> <p>Le comique jaillit vite d'une expressivité exagéré. Quitte à frôler parfois Fantasio version Mickey. Les enfants sont d'ailleurs ce soir inhabituellement nombreux dans la salle du Centre Pompidou. Pourtant ils semblent peu concernés, somnolent un peu. C'est peut-être typiquement la catégorie de spectacles dont les parents branchés imaginent qu'ils passionneront leurs enfants si éveillés. Délicat pour ces derniers d'apprécier ces jeux de miroirs et de connivences. On regarde Xavier Le Roy, qui s'offre toujours entier, le corps commandé par les asymétries rythmiques de Stravinsky, tout en toujours affectant de les apprivoiser de la main. On songe qu'un authentique chef d'orchestre serait tout autant mu de l'intérieur par une musique pré-existante avant d'aider l'oeuvre à accoucher au jour. On se surprend marquer du pied la mesure, anticiper les notes et les accents à venir, imaginer les mouvements qui vont suivre, spectateurs et virtuels musiciens dirigés à notre tour. Par Le Roy, medium expressif, qui réussit à nous animer, la boucle est bouclée.</p> <p>C'était Le <b>Sacre du Printemps</b> <strong><span style="color: #ff0000; font-family: Times New Roman;">♥♥♥♥</span></strong> dansé par <b><a target="_blank" href="http://insituproductions.net/enter.html">Xavier Le Roy</a></b>, au <a target="_blank" href="http://www.cnac-gp.fr/Pompidou/Manifs.nsf/0/45C340E5ECF1826EC12572EB004BEF0E?OpenDocument&sessionM=2.10&L=1">Centre Georges Pompidou</a>, avec le <a target="_blank" href="http://www.festival-automne.com/newmain_index.php">Festival d'Automne à Paris</a>.</p> <p><a href="mailto:unsoirouunautre@yahoo.fr" class="null">Guy </a></p> <p style="text-align: center;"><object codebase="http://download.macromedia.com/pub/shockwave/cabs/flash/swflash.cab#version=6,0,40,0" classid="clsid:d27cdb6e-ae6d-11cf-96b8-444553540000" width="329" height="288"><param name="allowFullScreen" value="true" /> <param name="allowscriptaccess" value="always" /> <param name="src" value="http://www.youtube.com/v/FkBPFh1dB5M&hl=fr&fs=1" /> <embed allowfullscreen="true" src="http://www.youtube.com/v/FkBPFh1dB5M&hl=fr&fs=1" allowscriptaccess="always" width="329" height="288" type="application/x-shockwave-flash" /></object></p>
guyhttp://unsoirouunautre.hautetfort.com/about.htmlUnger & Ferron: Poupées plastiquestag:unsoirouunautre.hautetfort.com,2007-05-04:10209172007-05-04T01:05:00+02:002007-05-04T01:05:00+02:00 Les poupées, au masculin ou féminin, se font ces temps ci très présentes...
<p><img src="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/images/thumb_beaute_plastique.gif" alt="medium_beaute_plastique.gif" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; border-width: 0px" />Les poupées, au masculin ou féminin, se font ces temps ci très présentes sur les scènes contemporaines, depuis <span style="color: #ff0000;"><b>Brigittte Seth</b> et <b>Roser Montlo Guberna</b></span> en passant par <b><a target="_blank" href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/archive/2007/02/15/ersatztrip-0.html"><span style="color: #ff0000;">Christina Ubl</span></a></b>, jusqu'à cette piece de <b><a target="_blank" href="http://www.etantdonne.fr/"><span style="color: #ff0000;">Frédérike Unger & Jérome Ferron</span></a></b>. Moqueuses allégories de la condition de l'artiste? Pour autant doit se montrer assez patient pour regarder une danseuse aligner implacablement, une par une, soixante-deux poupées barbies nues sur le plateau, tandis que sa partenaire tente de venir à bout de son solo dans un espace ainsi réduit à sa portion congrue?</p> <p>Sûrement, car cet envahissement de l'espace par la blonditude en série détermine toute la suite des évènements. Qui s'imposent aux deux plus grandes poupées vivantes, livrées sans aucun accessoires elles non plus. Enfin plus exactement habillées de fausses fleurs pour une entrée adaptée à ce sacre du printemps. Puis bientôt simples Venus pour arpenter la scène, impavides et sur pointes imaginaires: c'est une littérale exposition de la <a target="_blank" href="http://monsite.wanadoo.fr/showcase/page1.html"><b>beauté plastique</b></a> du titre. Et froidement méthodique: de face, de dos, de profil. Après, se rhabillant- première rupture- à dessein très pauvrement: couleurs de mauvais gout et survet' déchiré aux fesses-pour le solo de l'une, en progression enchainée par basculements au sol, gestes exagérés de poupée et sourire figé. Eclipsant la laideur vestimentaire s'impose alors justement la beauté du geste. C.Q.F.D.? De même pour le solo de l'autre, d'un classique élégant et glacé, modèle de beauté formelle, calibré tout prés de l'irréprochable et pas loin du parodique.</p> <p>Incongru entre ces deux soli, <img src="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/images/thumb_beaute_3.gif" alt="medium_beaute_3.gif" style="float: right; margin: 0.2em 0px 1.4em 0.7em; border-width: 0px" />un déshabillage encore, arrêt sur image pour une nouvelle exposition assumée. Noir, lumière et toutes deux encore immobiles en nudité, avant échange des mêmes fringues au rabais. Après ces danses le x-ième et dernier passage par l'exhibition préludera à son inéductable décadence en une version grinçante: sous-vêtements couleur-chair qui dessinent une grossière caractérisation sexuelle, quasi-industrialisée, masques maquillés de cils et rouge à lèvres d'un vulgaire obscène. La dépersonnalisation, en une féminité réduite à son plus triste stéréotype: c'est le prix à payer pour s'intégrer incognito chez les poupées barbies. Leur transformation ainsi parfaite en femmes-objets, les deux danseuses progressent entre petites poupées sans renverser celles-ci, de gestes stéréotypés en poses imposées d'un triste imaginaire de séduction. On échappe pas aux poupées de plastique, qui à la fin dansent par images grotesques et saccadées jusque sur le fond d'écran. Les vraies danseuses n'ont alors plus qu'à ramper, avec un embarras qui les rendraient presque à nouveau humaines, dans l'espace que les lumières transforment en un milieu onirique et cauchemardesque. Bilan: seulement 6 ou 7 barbies renversées.</p> <p><img src="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/images/thumb_beaute_2.2.jpg" alt="medium_beaute_2.2.jpg" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; border-width: 0px" />Sur le thème de la dictature qu'exercent les images de la beauté, dictature exercée sur celles qui tendent à s'y conformer tant que pour ceux qui les regardent faire et s'aliéner, la démonstration est sans failles. Elle s'appuie sur la mise en oeuvre d'une séduction irrésistible au premier degré, pourtant ambiguë dés la première seconde, pour amener à une prise de distance lors de l'apothéose en douche froide. L'exercice n'est pas d'une originalité ébouriffante, mais pour le moins efficace, affûté, cohérent. Portée par ce scénario sans temps morts la danse entendue au sens strict est loin d'être anecdotique. Pour terminer, le rapport conceptuel avec <b>"Le sacre du printemps"</b>de Stravinsky -version un peu psychédélique et arrondie d'échos- semble ténu. Mais cela fonctionne, étrangement.</p> <p>Sur le papier au moins c'était une bonne idée d'enchainer avec ensuite avec <b>"Ta femme en kit"</b> de la compagnie <b>bobainko</b>, car la thématique à priori voisine: les stéréotypes de la femme idéale. Mais on fut moins convaincu. L'exploration méthodique de divers modes de la culture musicale populaire: chanson sentimentale, valse violoneuse, comédie musicale bas de gamme, punk, rap, etc... nous semblait un peu gratuite et surtout dispersée, malgré de beaux effets de robes à paniers. Et on y a entendu une adaptation en français de <b>"</b><a target="_blank" href="http://dipitadidia.unblog.fr/tag/ma-musique-a-moi/jazz/neville-brothers/"><b>Tell it like it is".</b></a> Sacrilège. Disqualification. Seul <b><a target="_blank" href="http://www.aaronneville.com/"><span style="color: #ff0000;">Aaron Neville</span></a></b> a le droit de chanter <a target="_blank" href="http://dipitadidia.unblog.fr/tag/ma-musique-a-moi/jazz/neville-brothers/"><b>"Tell it like it is</b></a><b>".</b> </p> <p>C'était <b>Show case #"1 - Beauté plastique</b> <span><b><span style="color: #ff0000; font-family: Times New Roman;"><span><b><span style="color: #ff0000; font-family: Times New Roman;"><span><b><span style="color: #ff0000; font-family: Times New Roman;">♥</span></b></span></span></b></span><span><b><span style="color: #ff0000; font-family: Times New Roman;"><span><b><span style="color: #ff0000; font-family: Times New Roman;"><span><b><span style="color: #ff0000; font-family: Times New Roman;">♥<span><b><span style="color: #ff0000; font-family: Times New Roman;"><span><b><span style="color: #ff0000; font-family: Times New Roman;"><span><b><span style="color: #ff0000; font-family: Times New Roman;">♥</span></b></span></span></b></span></span></b></span></span></b></span></span></b></span></span></b></span></span></b></span><span><b><span style="color: #ff0000; font-family: Times New Roman;"><span><b><span style="color: #ff0000; font-family: Times New Roman;"><span><b><span style="color: #ff0000; font-family: Times New Roman;">♥</span></b></span></span></b></span></span></b></span><span><b><span style="color: #ff0000; font-family: Times New Roman;"><span><b><span style="color: #ff0000; font-family: Times New Roman;"><span><b><span style="color: #ff0000; font-family: Times New Roman;"><span><b><span style="color: #ff0000; font-family: Times New Roman;"><span><b><span style="color: #ff0000; font-family: Times New Roman;"><span><b><span style="color: #ff0000; font-family: Times New Roman;">♥</span></b></span></span></b></span></span></b></span></span></b></span></span></b></span></span></b></span>de <span style="color: #ff0000;"><b><a target="_blank" href="http://www.etantdonne.fr/">Fredérike Unger et Jérome Ferron</a></b></span>, avec <span style="color: #ff0000;"><b>Frederike Unger et Emily Mézière-Compagnie Etant Donné</b></span> à <a target="_blank" href="http://www.etoiledunord-theatre.com/index2.html"><b>l'Etoile du Nord</b></a><b>.</b> Suivi de "<b>Ta femme en kit"</b> de <b><span style="color: #ff0000;">Domitille Blanc, Aurélie Burgeot, Vanessa Morisson et Marie Rual</span></b>. Jusqu'à samedi encore.</p> <p>Guy</p> <p><i><b>Exprimez vous: vous pouvez laisser un commentaire... et/ou voter</b> <a target="_blank" href="http://snappoll.com/poll/190692.php"><b>ici!</b></a></i></p>
guyhttp://unsoirouunautre.hautetfort.com/about.htmlLes Printemps de Léveillétag:unsoirouunautre.hautetfort.com,2007-03-10:9234802007-03-10T22:00:00+01:002007-03-10T22:00:00+01:00 Extraites du répertoire de Daniel Léveillé , deux pièces jetaient hier...
<p>Extraites du répertoire de <a target="_blank" href="http://www.danielleveilledanse.org/"><font color="#FF0000"><b>Daniel Léveillé</b></font></a>, deux pièces jetaient hier soir un regard 20 ans en arrière. Mais deux pièces, qui, de notre point de vue qui n'est pas celui de l'historien, résonnent- comme <b>Herses</b>- plus actuelles que bien des nouveautés. Sauf à considérer qu'il faille du texte ou de la vidéo pour être moderne.</p> <p>Or pas même de musique au début du premier solo, <b>Traces N°2</b>. Une lumière simple et une femme- <font color="#FF0000"><b>Louise Bédard</b></font>- un vrai personnage bientôt. Embarrassée d'habits trop grands. Dans ce silence qui de plus en plus pèse, l'interprète exécute brusquement des spasmes comme nerveux. S'installe l'illusion que ces spasmes saisissent malgré lui le personnage ainsi créé. Brèves interruptions, mais pour laisser s'exprimer l'angoisse d'un regard à la dérive. Un visage décomposé. Cris. L'invention hachée et brute d'un nouveau vocabulaire gestuel, violemment inédit. Que Gilles de La Tourette aurait pu composer. Langage sans compromis, qui vient chercher quelque chose très loin dans le corps, pour nous l'imposer. Cela continue. Stupeur et tremblements. Gène, et toujours aucune musique pour l'atténuer.</p> <p>C'est une révélation poignante quand, une éternité de 10 minutes plus tard sautillent les premiers accords de guitare de "<a target="_blank" href="http://www.ctio.noao.edu/ftp/pub/ochoa/Musica_Brasil/antonio%20carlos%20jobim%20-%20the%20girl%20from%20ipanema.mp3"><b>The girl from Ipanéma</b></a>", qu'on a entendu mille fois, mais jamais comme cela. Louise Cavallier déambule alors gauchement, comme une danseuse de buto. "But she doesn't see....?" La phase répétée par <a target="_blank" href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Stan_Getz"><font color="#FF0000"><b>Stan Getz</b></font></a>sur le registre brumeux mais léger du sax ténor installe un contraste pathétique avec ce qui est vu. Mais le dérangement n'en est pas atténué, ni happy end ni rémission.</p> On ne parvient pas, après ces émotions, à s'intéresser vraiment au <b>Sacre du Printemps</b> qui suit. Malgré <a target="_blank" href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Stravinsky"><font color="#FF0000"><b>Stravinsky <font color="#000000">(1882-1971)</font></b></font></a><font color="#000000">,</font> malgré les toutes les trouvailles, malgré l'énergie et l'excellence des quatre danseurs, rhabillés de la <a target="_blank" href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/archive/2007/02/15/daniel-leveille.html"><b>Pudeur des Icebergs</b></a>. La majorité de l'audience semble pourtant acquise ou conquise, de la pré-ado à couette du premier rang aux mamies expansives derrière. Mais cette pièce va beaucoup moins loin que <b>Traces</b>. C'est simplement de la danse, et les pas sont toujours placés, impeccablement, SUR le tempo. <p>C'étaient, de <b><a target="_blank" href="http://www.danielleveilledanse.org/"><font color="#FF0000">Daniel Léveillé</font></a>, Traces N°II</b> (1989) -<span><b><font color="#FF0000" face="Times New Roman"><span><b><font color="#FF0000" face="Times New Roman"><span><b><font color="#FF0000" face="Times New Roman">♥</font></b></span></font></b></span><span><b><font color="#FF0000" face="Times New Roman"><span><b><font color="#FF0000" face="Times New Roman"><span><b><font color="#FF0000" face="Times New Roman">♥<span><b><font color="#FF0000" face="Times New Roman"><span><b><font color="#FF0000" face="Times New Roman"><span><b><font color="#FF0000" face="Times New Roman">♥<span><b><font color="#FF0000" face="Times New Roman"><span><b><font color="#FF0000" face="Times New Roman"><span><b><font color="#FF0000" face="Times New Roman">♥</font></b></span></font></b></span></font></b></span><span><b><font color="#FF0000" face="Times New Roman"><span><b><font color="#FF0000" face="Times New Roman"><span><b><font color="#FF0000" face="Times New Roman">♥-</font></b></span></font></b></span></font></b></span></font></b></span></font></b></span></font></b></span></font></b></span></font></b></span></font></b></span></font></b></span>interprété par <b><font color="#FF0000">Louise Bédard</font></b>, puis <b>Le Sacre du Printemps</b> (1982), interprété par <font color="#FF0000"><b>Frédéric Boivin</b></font>, <font color="#FF0000"><b>Mathieu Campeau</b></font>, <font color="#FF0000"><b>Justin Gionet</b></font>, <font color="#FF0000"><b>Emmannuel Prouix</b></font>. Une fois encore à <b>Vanves Théatre</b>, avec <b><a target="_blank" href="http://www.artdanthe.fr/">Artdanthé</a>.</b></p> <p><b>Guy </b></p> <p><i><b>Exprimez vous: vous pouvez laisser un commentaire... et/ou voter <a target="_blank" href="http://snappoll.com/poll/177181.php">ici!</a></b></i></p>