Last posts on shaw2024-03-29T02:28:38+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/shaw/atom.xmlcentrifugehttp://eklektik.hautetfort.com/about.htmlEURO 2020 - FINALE : Italie - Angleterre 1-1 ap (3-2 tab)tag:eklektik.hautetfort.com,2021-07-12:63253792021-07-12T01:35:00+02:002021-07-12T01:35:00+02:00 IT'S COMING TO ROME : LA NAZIONALE REMPORTE L'EURO Au bout...
<p><strong><span style="color: #0000ff;"><img id="media-6276006" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://eklektik.hautetfort.com/media/02/02/3416176123.jpg" alt="finale euro 2020,euro 2021,euro 2020,euro,finale euro,italie" />IT'S COMING TO ROME : LA NAZIONALE REMPORTE L'EURO</span></strong></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><strong>Au bout d'une finale haletante, l'Italie a remporté l'Euro 2020 face à l'Angleterre (1-1 ; 3-2 aux tirs aux buts). La squadra azzura s'adjuge son second Euro, après celui de 1968.</strong></p><p style="text-align: justify;"><strong>J N</strong></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><em><img id="media-6276007" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://eklektik.hautetfort.com/media/01/01/2501770967.jpg" alt="finale euro 2020,euro 2021,euro 2020,euro,finale euro,italie" />It's coming</em> <em>to Rome</em> l'a finalement emporté sur <em>It's coming home</em>. Jouer sa finale à Wembley (une première depuis 1966) n'aura pas suffi à l'Angleterre, elle qui a joué 6 de ses 7 matchs dans son antre londonien. Ironie du sort, le seul match joué "à l'extérieur" (le quart de finale contre l'Ukraine), l'a été à.... Rome. On s'attendait à une finale intense et serrée entre la meilleure défense du tournoi (l'Angleterre n'avait encaissé qu'un seul but, sur coup-franc, contre le Danemark) et la meilleure attaque (12 buts et 6 buteurs chez les Italiens). On a été servi.</p><p style="text-align: justify;"><img id="media-6276008" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://eklektik.hautetfort.com/media/02/02/951106642.jpg" alt="finale euro 2020,euro 2021,euro 2020,euro,finale euro,italie" />Même très rapidement puisque les Three Lions ouvraient le score dès la 2ème minute. C'est l'Italie qui été entrée tambour battant dans le match mais sur la remontée du ballon, l'arrière Trippier centrait pour <strong>Luke Shaw</strong>, son pendant côté gauche. Libre de tout marquage aux 6 mètres, il trompait Donnarumma d'une volée rasante au premier poteau. Buteur pour la première fois en sélection (16 capes), le joueur de Manchester United venait d'inscrire également le but le plus rapide en finale d'Euro <strong>(0-1, 2e)</strong>.</p><p style="text-align: justify;"><img id="media-6276009" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://eklektik.hautetfort.com/media/02/02/2768702259.jpg" alt="finale euro 2020,euro 2021,euro 2020,euro,finale euro,italie" />Sonnés par ce but précoce, les transalpins mettaient du temps à réagir, d'autant plus qu'ils étaient privés de ballon et subissaient face à la rapidité des ailiers anglais. A ce moment-là, on n'en donnait pas cher de la peau d'une Italie prise dans la nasse. Mais la solidité de ses vieux briscards en défense (la charnière Bonucci-Chiellini) lui permettait de tenir la baraque. Bizaremment, les Anglais ont laché le pressing vers la demi-heure de jeu mais incapables de passer une défense tout aussi hermétique, les Italiens tentaient de loin, sans réussite (Insigne, 28e, Chiesa, 35e, Verratti, 45e). Transformée dans le second acte, la Nazionale prenait le contrôle du match et comme souvent c'est Chiesa qui sonnait la charge. Ses percussions à gauche étaient à deux doigts de faire mouche (57e, 66e) tandis que sa frappe à ras de terre, à l'entrée de la surface, était superbement repoussée par Pickford (61e).</p><p style="text-align: justify;"><img id="media-6276010" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://eklektik.hautetfort.com/media/01/02/4042923389.jpg" alt="finale euro 2020,euro 2021,euro 2020,euro,finale euro,italie" />Mais c'est un défenseur qui égalisait finalement. A la suite d'un corner dévié au second poteau par Cristante, <strong>Bonucci</strong> venait marquer à bout pourtant à la suite d'un cafouillage <strong>(1-1, 66e)</strong>. A ce moment-là, la physionomie et la psychologie avaient complètement tourné. Affichant une possession de balle de 70%, l'Italie n'était pas loin de marquer un second but (73e, 75e). On s'étonnera d'ailleurs que le sélectionneur Gareth Southgate n'avait fait qu'un seul changement (Saka, 70e), un coaching qui a probablement participé de la défaite anglaise (<em>voir ci-dessous</em>).</p><p style="text-align: justify;">Mieux dans les prolongations, l'Angleterre faisait jeu égal avec son adversaire. Les deux équipes auraient pu inscrire un second but, synonyme de k.o mais Pickford veillait au grain (103e, 107e) tandis que Donnarumma était suppléé par sa défense (108e, 110e). Direction le jeu cruel des tirs aux buts.</p><p style="text-align: justify;"><img id="media-6276012" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://eklektik.hautetfort.com/media/02/01/2982499895.jpg" alt="finale euro 2020,euro 2021,euro 2020,euro,finale euro,italie" />Bien malin aurait été celui capable de dire qui allait remporter la séance fatidique. L'exercice ne réussit pas beaucoup aux deux équipes. A l'Euro, l'Italie a réussi 3 séances sur 5 (la demi-finale contre l'Espagne incluse). En Coupe du monde, avant la victoire contre la France en 2006, elle avait systématiquement échoué (1998, 1994, 1990). L'Angleterre fait encore moins bien puisqu'à l'Euro, elle n'avait réussi qu'une séance sur 4 (et 3 échecs en Coupe du monde ; 2006, 1998, 1990). La tendance semble donc avoir été confirmée à ce niveau, d'autant plus que l'Italie avait battu son adversaire à ce jeu-là à l'Euro 2012. Un adversaire qui lui réussit souvent (<em>voir ci-dessous l'historique des confrontations entre les deux équipes</em>).</p><p style="text-align: justify;"><strong>Les choix de Southgate et les tirs aux buts</strong></p><p style="text-align: justify;"><img id="media-6276011" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://eklektik.hautetfort.com/media/02/01/1034158879.jpg" alt="finale euro 2020,euro 2021,euro 2020,euro,finale euro,italie" />En réussite dans ses choix tactiques jusqu'à cette finale (aucun but encaissé dans le jeu malgré les différents schémas et 5 victoires en 6 matchs), le sélectionneur anglais semble s'être emmélé les pinceaux au moment le plus crucial. Pourtant très bon dans son couloir droit, Trippier était remplacé à la 70e par le jeune Saka. Bien plus à son avantage lors des précédents matchs, le feu follet d'Arsenal s'est montré particulièrement brouillon et a été mangé tout cru par Chiellini. Remplaçant l'excellent mais émoussé Rice à un quart d'heure de la fin du temps réglementaire, Henderson a rendu une pâle copie. A la 120e, il était remplacé à son tour (!), Southgate ayant décidé de faire rentrer des tireurs de penalty. Mais le remplaçant Rashford ratait le sien. Les autres malheureux tireurs sont Sancho (également entré à la 120e) et Saka, respectivement âgés de 21 et 19 ans (Rashford en a 23). Avec une inexpérience pareille à ce stade de la compétition, la pression a été trop forte. Cette finale s'est finalement joué à un détail près, celui de l'expérience des coachs. Roberto Mancini a déjà 20 ans d'expérience (6 clubs entraînés dans 4 championnats en plus de la sélection nationale). En face, Gareth Southgate n'en a que 6...</p><p style="text-align: justify;"><img id="media-6276013" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://eklektik.hautetfort.com/media/00/01/1361203167.jpg" alt="finale euro 2020,euro 2021,euro 2020,euro,finale euro,italie" />Que tous les tireurs italiens (deux se sont ratés) soit âgés d'au moins 26 ans n'est pas anodin. Ce constat renvoie à une équipe italienne plus expérimentée. Une statistique édifiante souligne d'ailleurs cette caractéristique. Agés respectivement de 34 et 36, les défenseurs Bonucci et Chiellini totalisent à eux deux 221 sélections nationales (109 et 112) mais surtout, étaient tous deux titulaires lors de la finale de l'Euro 2012 (!), perdue par l'Italie.</p><p style="text-align: justify;">L'expérience italienne couplée à une combativité de tous les instants a été la clé de la réussite lors de cette finale. Quant à l'Angleterre, elle possède actuellement une de ses générations les plus prometteuses. Si elle progresse davantage, elle sera plus expérimentée au Qatar fin 2022 et pourrait aller loin également.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Autour de la finale</strong></p><p style="text-align: justify;">Italie - Angleterre est la première finale d'un Euro, depuis 20 ans, où les deux finalistes inscrivent au moins un but. A l'Euro 2000, la France avait battu l'Italie 2-1 en prolongations (but en or). Sur 16 éditions, 7 se sont terminées de la sorte (43.7%). Elle est également la 6ème à aller en prolongations (37.5%) mais la 2ème seulement (après Tchécoslovaquie - RFA en 1976) à se décider aux tirs aux buts. Les buts ont également un sens. A 34 ans et 71 jours, Leonardo Bonucci est le plus vieux buteur en finale, battant le record de l'Allemand Berd Hölzenbien (30 ans et 103 jours), établi en 1976.</p><p style="text-align: justify;">Quant au but de Luke Shaw, marqué après 2 minutes, il est le plus rapide d'une finale de l'Euro. L'arrière-gauche inaugure par la même occasion deux premières étonnantes : il est le premier joueur non-espagnol de Premier League (après Fernando Torres, Juan Mata et David Silva) et le premier joueur de Manchester United à marquer en finale.</p><p style="text-align: justify;">Enfin, l'Italie remporte sa 2ème finale après celle 1968. Elle s'était inclinée contre l'Espagne en 2012 et contre la France en 2000.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Italie / Angleterre</strong></p><p style="text-align: justify;">Si le bilan global entre les deux équipes est équilibré (10 victoires italiennes, 8 anglaises et 10 matchs nuls), celui des rencontres officielless est très largement en faveur de l'Italie. En 9 matchs (<em>voir ci-dessous</em>), les Anglais ne se sont imposés qu'une seule fois, c'était le 16 novembre 1977 en éliminatoires de la Coupe du monde 1978. En compétition officielle, ils n'ont tout simplement jamais gagné (ou ne se sont jamais qualifiés après un match nul). Si <span style="color: #0000ff;"><a style="color: #0000ff;" href="http://eklektik.hautetfort.com/archive/2021/06/25/euro-2020-8emes-angleterre-allemagne-6323633.html">la malédiction allemande a été vaincue</a></span>, l'Italienne se poursuit.</p><p style="text-align: justify;">- Euro 2020 (finale) : <strong>Italie</strong> - Angleterre 1-1 ap (3-2 tab)</p><p style="text-align: justify;">- CM 2014 (premier tour) : Angleterre - <strong>Italie</strong> 1-2</p><p style="text-align: justify;">- Euro 2012 (quart) : Angleterre - <strong>Italie</strong> 0-0 ap (2-4 tab)</p><p style="text-align: justify;">- QUAL CM 1998 : Italie - Angleterre 0-0</p><p style="text-align: justify;">- QUAL CM 1998 : Angleterre - <strong>Italie </strong>0-1</p><p style="text-align: justify;">- CM 1990 (match pour la 3ème place) : <strong>Italie </strong>- Angleterre 2-1</p><p style="text-align: justify;">- Euro 1980 (premier tour) : <strong>Italie </strong>- Angleterre 1-0</p><p style="text-align: justify;">- QUAL CM 1978 : <strong>Angleterre</strong> - Italie 2-0</p><p style="text-align: justify;">- QUAL CM 1978 : <strong>Italie </strong>- Angleterre 2-0</p><p>.....................................................................................................................................</p><p><span style="color: #0000ff;"><strong>Buts :</strong></span> Bonucci (66e) pour l'Italie ; Shaw (2e) pour l'Angleterre.</p><p style="text-align: justify;"><strong><span style="color: #0000ff;">Avertissements : </span></strong>Barella (47e), Bonucci (55e), Insigne (84e), Chiellini (90e), Jorginho (113e) pour l'Italie ; Maguire (106e) pour l'Angleterre.</p><p style="text-align: justify;"><strong>Italie : </strong>Donnarumma - Di Lorenzo, Bonucci, Chiellini (cap.), Emerson (Florenzi, 118e) - Barella (Cristante, 54e), Jorginho, Verratti (Locatelli, 96e) - Chiesa (Bernardeschi, 86e), Immobile (Berardi, 55e), Insigne (Belotti, 91e).</p><p style="text-align: justify;"><strong>Angleterre :</strong> Pickford - K. Walker (Sancho, 120e), Stones, Maguire - Trippier (Saka, 70e), Philips, Rice (Henderson, 74e) (Rashford, 120e), Shaw - Sterling, Mount (Grealish, 99e) - Kane (cap.).</p>
Zedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.htmlIntra muros...tag:metapoinfos.hautetfort.com,2017-09-15:59785332017-09-15T16:00:00+02:002017-09-15T16:00:00+02:00 Les éditions Via Romana viennent de publier le journal de prison de...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Les éditions Via Romana viennent de publier le journal de prison de <strong>Pierre-Antoine Cousteau</strong> sous le titre <em><strong>Intra muros</strong></em>. Journaliste, plume de Je suis partout depuis les débuts du journal et ami de <strong>Lucien Rebatet</strong>, Pierre-Antoine Cousteau a cosigné avec lui <em><strong>Dialogues de vaincus </strong></em>(Berg international, 1999), tirés des échanges qu'ils ont eu au cours de leurs huit années de captivité, après leur condamnation pour faits de collaboration.</span></p><p> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-5684975" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/02/02/1312949824.jpg" alt="Cousteau_Intra muros.jpg" /></p><blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">" Incarcéré à Fresnes le 12 janvier 1946, Pierre-Antoine Cousteau ne retrouve la liberté que le 18 juillet 1953, et son premier acte d'homme libre est d'aller fleurir la tombe de sa maman disparue, à Saint-Andréde-Cubzac. Mais quelle est donc sa vie de captif, durant ces 17 mois à Fresnes dont 141 jours aux chaînes, et 7 ans à Clairvaux et Eysses ? Le journal inédit publié ici, soixante ans après sa mort prématurée à 52 ans de suites d'un cancer lié à sa détention, dévoile le rude quotidien du journaliste et de ses compagnons d'infortune, resté droit dans ses bottes et attentif au monde extérieur. Devenu l'intime de Lucien Rebatet, l'ancien rédacteur en chef de Je suis partout lit et écrit. Il lit énormément et exprime son bonheur à découvrir Proust, Rivarol, Aymé, Wilde, Shaw, Huxley, Nietzsche, France, Dostoïevski, Machiavel, Hemingway, Anouilh, Laurent, Mohrt, Koestler, etc., et écrit plus encore, « il écrit plus librement qu'il n'eût pu le faire en homme libre » : ses réflexions devant la mort, Dieu, les religions, la démocratie, la poésie, la littérature, le bagne, la fidélité à ses engagements, et son pessimisme souriant se retrouvent aussi en des pensées et aphorismes où se concentre son regard sur la vie. Il écrit ce qu'il est. Le résultat, outre ses lettres à son épouse Fernande et à son frère le célèbre commandant Cousteau, c'est ce journal, Intra muros, qui n'est de fait pas un journal comme les autres mais une chronique de huit ans d'éditoriaux du plus haut intérêt. Une comédie humaine sans concession pour ses contemporains, juges, politiques, écrivains et journalistes, acteurs ou témoins de l'effondrement de l'Occident moderne. "</span></p></blockquote>
Krishttp://krisdeblog.hautetfort.com/about.htmlQuelque part....tag:krisdeblog.hautetfort.com,2015-07-16:56568952015-07-16T09:48:00+02:002015-07-16T09:48:00+02:00 "Le pire pêché envers nos semblables, ce n'est pas de les haîr, mais de...
<div class="figsco__quote__block" style="outline: 0px; box-sizing: border-box; margin: 10px 0px 0px; padding: 0px; border: 0px; vertical-align: baseline; min-height: 125px; font-size: 1.4em; font-family: Lato, sans-serif; background-image: url('http://static.evene.fr/sites/all/themes/evene/scope/images/quote.svg'); background-color: rgba(217, 215, 215, 0.2); background-size: 226px; background-position: 96% 50%; background-repeat: no-repeat;"><img id="media-5100924" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://krisdeblog.hautetfort.com/media/00/00/4285831914.JPG" alt="roses, lyon" /><h3 class="figsco__quote__text" style="outline: 0px; box-sizing: border-box; margin: 0px auto; padding: 20px 0px; border: 0px; vertical-align: baseline; font-size: 1em; max-width: 75%; text-align: right;"><span style="color: #008000; font-size: small; font-weight: 300;">"Le pire pêché envers nos semblables,</span><span style="color: #008000; font-size: small; font-weight: 300;">ce n'est pas de les haîr, mais de les traiter avec indifférence, c'est là l'essence de l'inhumanité".</span></h3><h3 class="figsco__quote__text" style="outline: 0px; box-sizing: border-box; margin: 0px auto; padding: 20px 0px; border: 0px; vertical-align: baseline; font-size: 1em; max-width: 75%; text-align: right;"><span style="font-size: small; color: #008000;"><span class="underline" style="outline: 0px; box-sizing: border-box; margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; vertical-align: baseline;"><a style="outline: none; box-sizing: border-box; text-decoration: none; margin: 0px; padding: 0px; border: none; vertical-align: baseline; color: #702a82;" href="http://evene.lefigaro.fr/citations/george-bernard-shaw"><span style="color: #008000;">George Bernard Shaw</span></a></span> </span></h3></div><p><span style="font-size: x-small;">J'aimais ta proximité, ton sens du toucher... ta façon de prendre soin d'elle, assis tout contre, anticipant ses désirs, surveillant du coin de l'oeil, pardonnant ses maladresses, la défendant contre celui qui parfois exprimait un peu de lassitude.</span></p><p><span style="font-size: x-small;">Elle a été une bonne mère, tu as été un bon fils !</span></p><p><span style="font-size: x-small;">Un souvenir parmi tant d'autres : vous marchiez</span><span style="font-size: x-small;"> dans le jardin, tu étais fier de l'avoir à ton bras, vous déambuliez tel un vieux couple, vous étiez beaux...</span></p><p><span style="font-size: x-small;">En vous regardant ainsi, je me souviens avoir pensé que c'était une sacrée chance de pouvoir encore donner forme à ton amour maternel, que le moment était précieux (on s'en rend toujours compte trop tard). J'ava</span><span style="font-size: x-small;">is fait quelques photos pour ne pas oublier... mais en fait, il n'y a pas besoin de photos... </span></p><p><span style="font-size: x-small;">Ce soir, je pense à ma Maman, partie trop tôt, à Françoise qui a baissé les bras, à ma Grand-mère qui par son amour m'a fait grandir, à mon Grand-père... mais aussi à cette maman et à son fils....</span></p><p><span style="font-size: x-small;">Je te sais dans le chagrin et j'ai envie de prendre soin de toi.... </span></p>
laserlaserhttp://bijou-noir.hautetfort.com/about.htmlShawtag:bijou-noir.hautetfort.com,2014-02-21:52981032014-02-21T00:10:00+01:002014-02-21T00:10:00+01:00 "Les journaux sont incapables de faire la distinction...
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> </div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"> </div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><em><strong><span style="color: #00ffff;"><span class="st">"Les journaux sont incapables de faire</span> la distinction entre un accident de bicyclette et le déclin d'une civilisation."</span></strong></em></div><p style="text-align: center;"><br /> <strong> George Bernard Shaw (Dublin 1856-1950)</strong> </p><p style="text-align: center;"> <img id="media-4450688" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://bijou-noir.hautetfort.com/media/02/02/3681967155.jpg" alt="shaw,citation,gb shaw" width="262" height="265" /></p>
Hervéhttp://ghor.hautetfort.com/about.html_How to write science fiction_tag:ghor.hautetfort.com,2010-02-17:25910552010-02-17T07:49:00+01:002010-02-17T07:49:00+01:00 How to write science fiction : Bob SHAW : 1993 : Allison & Busby :...
<p><em>How to write science fiction</em> : Bob SHAW : 1993 : Allison & Busby : ISBN-10 0-74900-135-6 : 158 pages (pas d'annexes) : coûtait 7 GBP pour un TP non illustré qui se trouve parfois d'occase.</p> <div style="text-align: center"><img src="http://ghor.hautetfort.com/media/01/01/92985174.jpg" alt="How to write science fiction.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" id="media-2255954" /></div> <p>Cet ouvrage fait partie de la catégorie relativement fournie des guides d'écriture à destination des aspirants écrivains (anglo-saxons). Il s'agit d'une véritable niche éditoriale qui se subdivise en guides plus ou moins spécialisés sur tel ou tel genre ou sur telle ou telle facette du métier d'écrivain. Pour la SF, il en existe plusieurs dont au moins un (le Card) a été traduit en VF chez Bragelonne.</p> <div style="text-align: center"><img src="http://ghor.hautetfort.com/media/02/00/1487328564.jpg" alt="How to write science fiction and fantasy.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" id="media-2255999" /></div> <p>En matière de structure, ce court ouvrage est divisé en neuf chapitres d'une quinzaine de pages chacun. Il commence par des généralités sur le métier d'écrivain, enchaîne sur la définition de la SF, passe trois chapitres sur des points techniques généraux (intrigue, personnages, choix d'une titre) et trois sur les éléments propres au genre (utilisation de la science, création de planètes, thèmes récurrents). Il se conclut par la mise sur le marché du produit fini. A noter une des originalités de cet ouvrage : l'inclusion de la célèbre nouvelle <em>Light of other days</em> (de la série "Slow glass") qui sert de support pratique aux divers points développés par Shaw.</p> <div style="text-align: center"><img src="http://ghor.hautetfort.com/media/02/01/1349146445.jpg" alt="FI 205.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" id="media-2256024" /></div> <p>N'étant pas écrivain de SF (ni même aspirant écrivain), je ne suis pas le mieux placé pour donner un avis motivé sur la qualité des conseils prodigués par l'auteur (qui s'enorgueillit d'avoir vendu tout ce qu'il a écrit). Je peux juste brièvement dire que la lecture, comme souvent avec Shaw, est un moment plutôt agréable avec un humour permanent et la présence constante d'une excellente connaissance du genre. L'ouvrage étant assez aéré, il se lit suffisamment vite et avec plaisir même pour le simple amateur de SF que je suis.</p> <div style="text-align: center"><img src="http://ghor.hautetfort.com/media/00/00/201894055.jpg" alt="Les yeux du temps (LDP 1978).jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" id="media-2256054" /></div> <p>Note GHOR : 2 étoiles</p>
Hervéhttp://ghor.hautetfort.com/about.html_Bob Shaw_tag:ghor.hautetfort.com,2009-07-06:22739472009-07-06T11:32:00+02:002009-07-06T11:32:00+02:00 Bob Shaw : Paul KINCAID & Geoff RIPPINGTON (éditeurs) : BSFA (série...
<p><em>Bob Shaw</em> : Paul KINCAID & Geoff RIPPINGTON (éditeurs) : BSFA (série "British Science Fiction writers" #1) : 1981 : pas d'ISBN (publication amateur) : 38 pages (y compris bibliographie) : format A5 agrafé avec 4 pages d'illustrations en N&B, à peu près introuvable.</p><div style="text-align: center;"><img id="media-1861388" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" src="http://ghor.hautetfort.com/media/01/02/564975201.jpg" alt="Bob Shaw.jpg" /></div><p>Ce livre est le premier d'une courte (il ne semble y en avoir eu que deux, celui-ci et celui sur Keith Roberts) série de monographies sur les auteurs de SF britanniques. Publiée par la BSFA, cette collection était dirigée par Kincaid & Rippington, deux membres actifs du fandom UK, et se voulait le porte-drapeau d'une réévaluation des auteurs nationaux qui étaient (selon la 4ème de couverture) injustement négligés dans les ouvrages de référence au profit des américains. Le choix de Bob Shaw est parfaitement logique dans cette optique puisqu'il va rester un écrivain typiquement britannique (même si au début ses oeuvres seront d'abord publiées aux USA). En effet, dans le futur de ce livre, ses tentatives d'une SF plus "à grand spectacle" (les suites de <em>Orbitsville</em> ou la série <em>Land & Overland</em>) ne lui donneront jamais une grande visibilité sur le marché US.</p><div style="text-align: center;"><img id="media-1861450" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" src="http://ghor.hautetfort.com/media/01/01/1698655187.jpg" alt="Orbitsville departure (Granada 1985).jpg" /></div><p>Cette monographie se compose d'une préface de Shaw lui-même; d'un long (30 pages) essai de Brian Stableford qui parcourt chronologiquement la production de l'auteur en détaillant quasiment l'ensemble de ses textes (nouvelles et romans) et d'une bibliographie complète (à l'époque) compilée par Mike Ashley qui liste les romans (moins d'une vingtaine), les publications faniques (Shaw était un acteur incontournable du fandom UK) et les nouvelles (une soixantaine). On notera les quatre pages de reproduction de couvertures (16 au total) qui se concentrent sur les éditions Pan (le principal éditeur de Shaw).</p><div style="text-align: center;"><img id="media-1861488" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" src="http://ghor.hautetfort.com/media/02/00/911032808.jpg" alt="Medusa's children (Pan 1978).jpg" /></div><p>Cette étude est effectivement la bienvenue vu la rareté des textes sur Shaw, un auteur qui n'a donc jamais passionné les foules, y compris en VF où seulement une petite partie de sa production a été traduite. L'essai de Stableford est donc une excellente base pour comprendre le trajet d'un auteur qui, comme Brunner, a souvent dû concilier d'une façon parfois bancale ses impératifs économiques et ses désirs artistiques. La bibliographie de Ashley est digne de son auteur et représentait en 1981 un document irremplaçable.</p><div style="text-align: center;"><img id="media-1861512" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" src="http://ghor.hautetfort.com/media/02/00/2089492309.jpg" alt="A wreath of stars (Pan 1978).jpg" /></div><p>C'est, semble t-il, le seul ouvrage consacré à Shaw qui existe, à ce titre il est donc un ouvrage important sur un auteur qui est certainement l'un des "petits maîtres" du genre. On regrettera bien sûr le fait qu'il ait presque une trentaine d'années ce qui n'est pas sans impact sur sa pertinence.</p><p> </p><p>Note GHOR : 2 étoiles</p>
Olivier Leguayhttp://www.inclassablesmathematiques.fr/about.htmlDe George Bernard Shawtag:www.inclassablesmathematiques.fr,2009-04-30:21711902009-04-30T13:00:00+02:002009-04-30T13:00:00+02:00 Puisque les gens raisonnables s'adaptent au monde et que les gens...
<p style="text-align: center;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: "Comic Sans MS", sans-serif;"><span style="font-size: large;">Puisque les gens raisonnables s'adaptent au monde et que les gens déraisonnables le modifient, le progrès humain dépend de ces derniers.</span></span></span></p> <p style="text-align: center;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: "Comic Sans MS", sans-serif;"><a href="http://www.flickr.com/photos/15134271@N03/3387149008/" title="George Bernard Shaw, London [210309] de danielweir.esq, sur Flickr"><img src="http://farm4.static.flickr.com/3583/3387149008_8b2afbc8b7.jpg" width="380" height="500" alt="George Bernard Shaw, London [210309]" /></a></span></span></p> <p style="text-align: center;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: "Comic Sans MS", sans-serif;">Photo : <a href="http://www.flickr.com/photos/15134271@N03/" target="_blank">Danielwer.esq</a></span></span></p>