Last posts on sandwiches2024-03-29T09:19:05+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/sandwiches/atom.xmlSUR du VENT par Henri CHEVIGNARDhttp://surduvent.hautetfort.com/about.htmlFLÛTEStag:surduvent.hautetfort.com,2019-07-15:61635182019-07-15T21:30:00+02:002019-07-15T21:30:00+02:00 dans la rue défilé de fifres prises à la...
<p style="text-align: center;"><img id="media-6012404" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://surduvent.hautetfort.com/media/00/01/876807108.jpg" alt="panier,panière," /></p><p> </p><p style="font-size: medium; font-family: Cambria; color: #000000; padding-left: 80px;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'Trebuchet MS';">dans la rue</span></p><p style="font-size: medium; font-family: Cambria; color: #000000; padding-left: 80px;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'Trebuchet MS';">défilé de fifres</span></p><p style="font-size: medium; font-family: Cambria; color: #000000; padding-left: 80px;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'Trebuchet MS';"> </span></p><p style="font-size: medium; font-family: Cambria; color: #000000; padding-left: 80px;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'Trebuchet MS';">prises à la hussarde</span></p><p style="font-size: medium; font-family: Cambria; color: #000000; padding-left: 80px;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'Trebuchet MS';">les flûtes </span></p><p style="font-size: medium; font-family: Cambria; color: #000000; padding-left: 80px;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'Trebuchet MS';">des sandwiches</span></p><p> </p><p> </p>
Le Corbeau 78http://corboland78.hautetfort.com/about.htmlBalades savoureusestag:corboland78.hautetfort.com,2011-07-08:37041612011-07-08T07:00:00+02:002011-07-08T07:00:00+02:00 Au début ils ont commencé par faire simple, deux tranches de pain...
<p>Au début ils ont commencé par faire simple, deux tranches de pain étouffe-chrétien avec au milieu une mince tranche de jambon histoire de donner du goût au pain. Ce n’était pas génial, mais il fallait amorcer la pompe. Pour faire mousser le truc ils l’ont appelé « sandwich », moi je pensais que ça venait de « sand » comme le sable qui craque sous la dent et de « ouiche » comme le borborygme émis quand on commence à s’étouffer, mais bien entendu ils avaient trouvé une explication plus exotique, une histoire de milord Anglais joueur invétéré trop pris pour avoir le temps de manger, des conneries quoi, mais ça a pris.</p><p>Après avoir décliné le concept sous toutes les formes les moins imaginables, sandwich à ceci ou à cela, ils ont vite compris qu’il faudrait renouveler l’exploit avec une autre idée. C’est alors qu’on a vu fleurir des marchands de kebabs. Me demandez pas ce que c’est exactement, je n’en ai aucune idée précise, si ce n’est que c’est de la viande coupée en fine tranches et déposées dans une galette roulée en cornet dans lequel on rajoute une sauce (pour les goinfres) et de la salade (pour ceux qui suivent un régime ?). La viande est sur une broche et le serveur la taille avec son long couteau, maintenant si vous vous interrogez sur le morceau de bidoche exposé vous n’avez pas fini d’avoir des problèmes de digestion ; ce n’est pas une cuisse, ce n’est pas un rôti, je serais très curieux de savoir dans quel animal on peut trouver un tel morceau de barbaque ?</p><p>Un peu dans le même genre, il y a les falafels. Encore une crêpe roulée en cornet dans laquelle s’empile une masse d’ingrédients mal déterminés, plusieurs légumes méditerranéens cuits, des boulettes de viande et une sauce recouvre le tout, non pas pour faire joli mais pour garder secrète la recette maison très certainement.</p><p>Quand j’étais jeune homme, le week-end j’adorais déambuler dans les rues de la capitale, guidé par mon instinct infaillible et mon estomac toujours demandeur, à la recherche de ces spécialités gastronomiques qu’on avale sur un coin de comptoir ou assis sur un banc de square, me réjouissant du spectacle de la rue et maudissant les coulées de sauce toujours prêtes à ruiner ma chemise ou une jambe de mon pantalon. </p><p>Arrivé à ce stade, on peut déjà faire une constatation, les sandwiches il y en a partout alors que les kebabs et les falafels ont leurs territoires dans les quartiers populaires. Il fallait donc imaginer quelque chose pour les plus aisés, ce furent les sushis. Alors que sandwiches, falafels et kebabs s’enfournent dans le gosier à la main sans chichis, se taper des <span style="color: #ff0000;"><strong><a href="http://corboland78.hautetfort.com/archive/2010/02/02/les-sushi.html#more%20%20%20%20%20%20%20%20"><span style="color: #ff0000;">sushis</span></a></strong></span> procède du cérémonial.</p><p>D’abord il faut entrer dans un restaurant Japonais et l’on sait que le nippon fripon utilise une paire de petits bâtons en guise de fourchette, ce qui déroute beaucoup au début, j’en connais même qui intimidés n’ont jamais osé franchir le seuil de l’honorable commerçant. Supposons que vous entriez, le restaurateur avisé et lassé d’expliquer vous a remis un menu avec des images, comme à l’école maternelle vos premiers livres, afin que vous compreniez ce que vous alliez vous risquer à commander et surtout à ingurgiter. Sushis, makis, les photos en couleurs sont très belles, les prix aussi souvent. J’ai dit que le restaurateur était avisé, vous allez voir à quel point il connaît votre hygiène douteuse, puisqu’il vous apporte une serviette chaude afin de vous laver les mains, mais n’en faites pas trop pour lui être agréable en vous la passant sous les aisselles. Puisque vous êtes là, autant se jeter à l’eau, vous avez opté pour un menu, la soupe miso et une planche qui pourrait servir à découper une entrecôte saignante si nous étions dans le meilleur des mondes, couvertes de paires de sushis de différentes couleurs rangées en ordre de bataille, sur le bord de la planche un petit étron de machin verdâtre et une pile de trucs rosâtres. Aimablement la serveuse vous a indiqué que la bouteille de sauce noire doit être versée dans la coupelle et qu’il faudrait y faire trempette, du moins j’imagine qu’elle dit quelque chose d’approchant car je ne parle toujours pas le japonais.</p><p>La première fois, en général, on regarde discrètement ses voisins de table pour voir comment ils procèdent, partant d’une idée pas réellement brillante qu’ils sont plus qualifiés que vous, mais peut-être est-ce leur première fois à eux aussi ? La soupe, un bouillon léger, vous avez su l’avaler, le bol et la cuillère, c’était un peu comme àla maison. Lessushis, vous avez commencé par les regarder attentivement pour vérifier que le poisson cru était réellement mort, peut-être ? Mais avant toute chose il a fallu en passer par le maniement des baguettes, certains en prennent une dans chaque main, je vous garantis que ce n’est pas du tout pratique ; quand vous avez réalisé votre erreur, le second casse-tête consista à placer deux baguettes entre cinq doigts sachant que l’idée directrice consiste à obtenir une sorte de pince permettant de coincer entre les deux extrémités le fameux sushi que vous commencez à craindre de ne jamais manger. Et il est vrai qu’il ne faut pas trop s’éterniser car la boulette de riz supportant le poisson doit rester ferme pour être préhensible, sinon elle s’écroule en grains dans la coupelle de sauce et là ça commence à ressembler à une porcherie.</p><p>Bon, vous avez trouvé le moyen de manipuler vos baguettes, une technique très personnelle et peu orthodoxe certes, mais qui a le mérite de fonctionner ce qui est l’essentiel. Sur le premier sushi vous ajoutez du truc rose et vous trempez votre paquet dans la sauce, là un doute vous assaille, dois-je engloutir le tout d’une bouchée (tapez 1) ou plus délicatement le picorer du bout des lèvres (tapez 2), si vous avez fait le choix deux vous avez compris que c’était une nouvelle erreur qui s’apparente à celle de la trempette. Sur le second sushi, une bonne couche du truc vert (le rose était si doux et parfumé, ces Japonais sont réellement délicats) et gloup ! direct dans le gosier. Si vous portiez une moumoute elle s’est décollée et envolée, vos yeux à bout de nerf optique sont au milieu de la table, si on vous laissait faire vous hurleriez mais la bouche pleine serait-ce raisonnable ? Vous avez déjà bien dégueulassé la table tout à l’heure avec le sushi effrité dans la sauce soja. Le truc vert, c’est du wasabi et ça pique ! (Ces Japonais sont réellement un peuple étrange). Un réflexe évident mais idiot ici, c’est de chercher la corbeille à pain pour atténuer l’incendie, le Japonais ne mange pas de pain, vous en pleureriez de déception si vous n’aviez déjà des larmes plein les yeux. L’important c’est de ne pas se décourager, tout apprentissage en passe par ces phases d’expérimentation douloureuse mais ensuite quelle satisfaction quand possédant tous les codes, vous pouvez faire votre malin sous les yeux admiratifs de vos voisins de table qui n’en sont eux, qu’à leur première fois ! </p><p>Dans un prochain billet, si l’envie m’en prend, j’évoquerai peut-être les pizzerias ou MacDonald, qui sait ? </p><p> </p>
Yfighttp://yfigexnihilo.hautetfort.com/about.htmlDe l’art de la provocation en tant qu’art du dire n’importe quoi ! Madame Claude fume la pipe dans son boudoir …. Pendatag:yfigexnihilo.hautetfort.com,2009-11-08:24577072009-11-08T16:03:00+01:002009-11-08T16:03:00+01:00 Voyons voir un peu ce que...
<p> </p> <p> </p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Voyons voir un peu ce que notre brave Pierre Driout nous a concocté pendant que je m’échinais sur une conférence sérieuse sur la peinture, les styles, les mouvements et l’impressionnisme à Honfleur ?</span></b></p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Il nous dit :</span></b></p> <p class="MsoNormal">« Tout est dans tout, certes ! Mais je préfère les petits tout au Grand Tout.<br /> <br /> Le grand déclassement de la peinture comme manière de vivre et de voir.<br /> Qu'est-ce qui différencie la peinture contemporaine de la peinture ancienne ? C'est que son inculture ne la gêne pas du tout. Tous les sujets sont égaux, toutes les matières ont même dignité.<br /> On n'aurait pas songé à mettre sur le même plan une nature morte et un allégorie savante. Il y avait des peintres de grand genre et des peintres de petit genre. Cette remarque a été faite à de nombreuses reprises par exemple par Valéry, mais de rétrécissement en rétrécissement on se demande si l'objet même de la peinture n'en a pas été affecté, il s'agissait de refaire un monde, il ne s'git plus que de manières dans le style du peintre, de coups de pinceau, on a donc réduit l'inspiration à sa plus simple expression, celle de la technique et de la technique on ne recherche que l'écume, la facilité en tous genres. Plus d'oeuvres concertées, plus de pensée qui prévaut avant l'acte ...<br /> La cinématographie de l'art de peindre s'est réduite comme peau de chagrin, la dimension temporelle et donc intellectuelle déclassée au profit des genres mécaniques. L'art industriel du cinéma a vaincu la dimension artisanale du peintre qui se cultivait tout en cherchant le coup d'oeil particulier depuis l'esquisse la plus allusive jusqu'à la composition la plus concertée. Même la pornographie paraît plus aboutie que tout ce fatras de la peinture contemporaine, au moins là on met dans le mille à tous coups !<br /> <br /> La soupe Campbell de Warhol est le nec plus ultra de nos rêves et la source profonde de nos désirs dit le psychiatre-peintre car regarder ou manger sont une même chose, il s'agit de s'assimiler le monde au profit de nos intestins, de cette machine immonde que nous ignorons mais qui nous connaît. »</p> <p class="MsoNormal"><i><span style="font-size: 10pt;">(J’ai laissé les fautes, je fais comme lui !)</span></i></p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">L’image de la soupe à la tomate :</span></b></p> <p class="MsoNormal"> </p> <div style="text-align: center"><img src="http://www.poster.net/warhol-andy/warhol-andy-campbells-soup-7900576.jpg" alt="warhol-andy-campbells-soup-7900576.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></div> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><span style="font-size: 18pt;"><a href="http://www.poster.net/warhol-andy/warhol-andy-campbells-soup-7900576.jpg">http://www.poster.net/warhol-andy/warhol-andy-campbells-soup-7900576.jpg</a></span></p> <p> </p> <p class="MsoNormal"><span style="font-size: 18pt;"><a href="http://www.poster.net/warhol-andy/warhol-andy-campbells-soup-7900576.jpg"></a></span></p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Faudrait peut-être que notre critique d’art se renseigne un peu de ce qui se fait de par le monde !</span></b></p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">On ne s’improvise pas critique d’art, cela demande beaucoup de travail, de patience, de connaissances ….</span></b></p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Les personnes sans compétences et qui fondent un jugement sur leur avis personnel, leur goût plus ou moins élaboré, leur culture plus ou moins approfondie … sont pléthore !</span></b></p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Chacun de donner son opinion ! Mais sans jamais argumenter, sans jamais chercher à comprendre les arcanes politiques, économiques, religieuses, esthétiques, relationnelles …. qui président ou ont participées à faire de l’art ce qu’il est aujourd’hui.</span></b></p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Or, si on ne possède pas une vision claire et complète de l’histoire de l’art, on ne peut pas comprendre !</span></b></p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Il faut regarder les petits cailloux blancs que les artistes nous ont laissés pour que nous puissions retrouver leur cheminement.</span></b></p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">C’est vrai, c’est fastidieux, parce que ça représente beaucoup de sentiers escarpés à arpenter en tout sens, en fouinant de son museau comme le font tous les fins limiers …… mais ça en vaut la peine !</span></b></p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Jusqu’à la fin de la Renaissance (‘Italienne’, je vous rappelle !), ça reste assez simple :</span></b></p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Le moine Théodore, puis Cennino de Cennini, puis Léonard de Vinci nous ont laissé des écrits qui nous éclairent sur les tenants et les aboutissants de leur travail.</span></b></p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Ils travaillent en atelier (le maître et ses disciples) sur commande des puissants (souvent religieux) qui attendent de leur peintre des portraits valorisants d’eux-mêmes et de leurs proches.</span></b></p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Ils fabriquent eux-mêmes leurs pigments parfois en utilisant des moyens assez croquignolesques (miel et urine chaude sur des barres de cuivres enfouies sous du fumier …….. pour fabriquer du vert – oxyde de cuivre … etc …. Oxyde de plomb pour le blanc ….)</span></b></p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">La première grande révolution surgit brutalement avec « l’invention » de la peinture à l’huile par les frères Van Eyck (1390 - 1441) et <span>Van der Weyden</span></span></b></p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">« invention » entre guillemets puisqu’ils ont, en fait, collecté et fixé des recettes découvertes par eux-mêmes mais aussi par d’autres peintres.</span></b></p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Leur mérite n’est pas moins grand puisqu’ils ont établi un certain nombre de règles qui nous servent encore aujourd’hui (rassurez-vous, certaines sont tombées en totale désuétude !).</span></b></p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Dans la foulée, les peintres du cinquecento inventent ou découvrent ou apprennent … la perspective !</span></b></p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Ce sont deux grandes découvertes qui vont bouleverser les canons de la peinture !</span></b></p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Désormais, les paysages et les personnages prennent une dimension qu’ils n’avaient pas.</span></b></p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">De représentations hasardeuses, ils deviennent présences.</span></b></p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">A partir du XVII siècle commencera la guerre des « mouvements » et des « écoles » !</span></b></p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Ca commence par le classicisme, puis le romantisme classique, puis l’orientalisme et ça se termine par l’acmé de l’académisme avec la fondation de l’école des beaux arts et de l’école de Rome.</span></b></p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">L’académie des beaux arts devient l’école de l’Etat et le nu académique devient l’art officiel.</span></b></p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;"><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cole_nationale_sup%C3%A9rieure_des_beaux-arts">Ecole des beaux arts.</a></span></b></p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;"><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cole_nationale_sup%C3%A9rieure_des_beaux-arts">http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89cole_nationale_sup%C3%A9rieure_des_beaux-arts</a></span></b></p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Ce qu’il y a de bien avec les écoles, c’est quelles limitent l’art à l’enseignement et à la reconnaissance de la forme d’art maîtrisée par le directeur de l’école.</span></b></p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Ca permet aussi et surtout au gouvernement d’avoir la main mise sur l’art et d’en freiner les élans révolutionnaires (souvenons-nous de Courbet et des refusés (1863) !)</span></b></p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">D’ailleurs, puisque nous en parlons, parallèlement à l’école officielle de la Nation, se développe le mouvement impressionniste qui prend ses racines des 1790 avec les peintres Anglais comme Turner et les Français comme Georges Michel (tableaux à voir au musée Eugène Boudin de Honfleur).</span></b></p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Et puis est venue la guerre de 1870 qui a cassé tous les mouvements dans un même mouvement brutal et arbitraire.</span></b></p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">C’était fantastique !</span></b></p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Tout était à refaire.</span></b></p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Hélas, les marchands du temple se sont bien vite emparés de l’espace abandonné et quelques riches nabis se sont empressés de créer des styles et des mouvements incohérents et gesticulatoires !</span></b></p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">On a eu droit au début du n’importe quoi, suivi du dadaïsme et le ready-made de Duchamp à la sortie de la guerre de 1914, vite remplacé par le surréalisme dépassé par le cubisme, suivi de l’abstrait remplacé par l’art contemporain !</span></b></p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Mais tout ce tape à l’œil n’est que l’arbre qui cache la forêt !</span></b></p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Il y a de véritables talents (et je ne parle pas de moi qui suis un rapin dominical), ils sont étouffés par le système qui fait que seul un petit nombre profite des subsides accordés par l’Etat aux artistes de la famille, mais leur travail existe, il est visible et à vendre et quand le public aura retrouvé son libre arbitre, quand on aura réussi à lui apprendre à juger par lui-même et à se libérer des propagandes commerciales qui les empêchent d’ouvrir les yeux ….. ce jour là, le public finira par découvrir tous ces merveilleux artistes qui travaillent dans l’ombre de leur atelier ou à l’ombre des châtaigniers !</span></b></p> <p class="MsoNormal"> </p> <p class="MsoNormal"><b><span style="font-size: 14pt; font-family: "Bradley Hand ITC"; color: #003366;">Cherchez (sur internet) et vous trouverez !</span></b></p>
SUR du VENT par Henri CHEVIGNARDhttp://surduvent.hautetfort.com/about.htmlCRUDITÉ (définition)tag:surduvent.hautetfort.com,2009-06-18:22429962009-06-18T21:30:00+02:002009-06-18T21:30:00+02:00 crudité, n.m. : qualité de ce qui est cru. Au pluriel, et...
<p><span style="font-family: mceinline;"><br /></span></p> <p><b><span style="font-family: mceinline;">crudité, n.m. :</span></b> <span style="font-family: mceinline;">qualité de ce qui est cru.</span></p> <p><span style="font-family: mceinline;">Au pluriel, et pour les marchands de sandwiches, synonyme de mayonnaise.</span></p> <p> </p>