Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Créez votre blog gratuit ou pro

Je crée mon blog Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère Explorez la blogosphère

Notes sur le tag : samuel beckett

Tags relatifs

Dernières notes

Samuel Beckett, Mal vu mal dit

De sa couche elle voit se lever Vénus. Encore. De sa couche par temps clair elle voit se lever Vénus suivie du soleil. Elle en veut alors au principe de notre vie. Encore. Le soir par temps clair elle jouit de sa revanche. À Vénus. Devant l’autre fenêtre. Assise raide sur sa vieille chaise elle guette la radieuse. Sa vieille chaise en sapin à barreaux et sans bras. Elle émerge des derniers...

Publié le 18/09/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Samuel Beckett, L'innommable

Où maintenant ? Quand maintenant ? Qui maintenant ? Sans me le demander. Dire je. Sans le penser. Appeler ça des questions, des hypothèses. Aller de l’avant, appeler ça aller de l’avant, appeler ça de l’avant. Se peut-il qu’un jour, premier pas va, j’y sois simplement resté, où au lieu de sortir, selon une vieille habitude, passer jour et nuit aussi loin que possible de chez...

Publié le 17/07/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Samuel Beckett, Nouvelles et textes pour rien

Où irais-je, si je pouvais aller, que serais-je, si je pouvais être, que dirais-je, si j’avais une voix, qui parle ainsi, se disant moi ? Répondez simplement, que quelqu’un réponde simplement. C’est le même inconnu que toujours, le seul pour qui j’existe, au creux de mon inexistence, de la sienne, de la nôtre, voilà une simple réponse. Ce n’est pas en pensant, qu’il me trouvera, mais...

Publié le 25/06/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Et puis...

On aurait comme les freins serrés à bloc. Et me sentant soudain envahi d'une grande fatigue, malgré l'heure qui était celle de ma vitalité maxima. Je rejetai la bicyclette dans le buisson et me couchai par terre. SAMUEL BECKETT "Molloy" , éditions de minuit 1951 Les mots vous lâchent, il est des moments où même eux vous lâchent" (S.B.)    Les mots entrent en...

Publié le 06/04/2011 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...

Samuel Beckett, Worstward Ho / Cap au pire (traduction Edith Fournier)

                                                                On. Say on. Be said on. Somehow on. Till nohow on. Said nohow on.   Say for be said . Missaid. From now say for be missaid.   Say a...

Publié le 20/03/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Catastrophe, de Samuel Beckett

Il y a longtemps maintenant que j’entends de prétendus créateurs, interprètes incultes tombés en mégalomanie d’autant plus facilement que l’institution a fait de cette mégalomanie une de ses nécessités objectives, se plaindre que Samuel Beckett aie rendu impératives ses didascalies ; à lire ce très bref chef d’œuvre, dix petites pages, qu’est Catastrophe , on comprend à quel...

Publié le 17/01/2010 dans Theatrum Mundi par Pascal Adam | Lire la suite...

A la voix de Madeleine Renaud

Madeleine Renaud dans Oh les beaux Jours, ce soliloque qui se déploie en arabesques, vie qui se prolonge pour rien, pour dire , comme disaient les anciens, c'est juste pour dire... Le raffinement de Madeleine Renaud - le vieux style - et son articulation exquise, sa joie désolée, sa désolation joyeuse, le souffle de Beckett, ponctuant chaque silence du grincement de ses éclats de...

Publié le 12/12/2008 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

L'oreille du libraire

  François Perche vient de m'envoyer son nouveau livre de poésie, Le Troupeau au détour, publié aux éditions L'Improviste. Je suis en train de le lire et j'en parlerai. En attendant, l'occasion m'est fournie de donner de nouveau un petit coup de projecteur sur un de mes livres préférés de François Perche, L'Oreille du libraire. Ma critique de ce livre est parue dans le n°40 (2003) de la revue...

Publié le 30/09/2006 dans LE BLOG... par Christian COTTET-EMARD | Lire la suite...

Page : Précédent 2 3 4 5 6