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Notes sur le tag : saint-john perse

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Dernières notes

Les reflets et les ombres

        Photographie de Lucien Clergue (1934-2014), Saint-John Perse, Les Vigneaux, presqu'île de Giens (1965), tirage argentique moderne, à l'exposition "Lucien Clergue', au Grand Palais, photographie (avec des reflets) : décembre 2015.        

Publié le 13/06/2016 dans Les Lettres... par Frédéric Tison | Lire la suite...

Saint-John Perse, Amers - Avent littéraire #19

Ce soir, rendez-vous avec un arpenteur du monde, un diplomate écrivain, comme notre pays sait en produire de magnifique. Saint-John Perse est un être mystérieux, pour moi, quelqu’un que j’imagine d’une présence incroyable, qui transmet son magnétisme à travers ses mots. J’aime les poètes voyageurs, amoureux des larges étendues et des océans. Sa poésie est imposante, un peu comme celle de...

Publié le 19/12/2015 dans Oh Océane par Océane | Lire la suite...

Saint-John Perse,une ode à la femme

  Saint-John Perse, en des lignes poétiques, pour moi inégalées, chante la femme en tant que fille de notre Mère Nature. Je voudrais aujourd'hui partager avec vous une petite partie de cet hymne à l'amour puissant comme une vague et d'un érotisme émouvant, au vrai sens du mot érotisme trop souvent galvaudé. Ariaga. ***   " Ô femme et fièvre faite femme ! Lèvres qui...

Publié le 29/11/2015 dans Laboratoire... par Ariaga | Lire la suite...

Saint-John Perse, Exil

                     Photo Lucien Clergue (1974)   Portes ouvertes sur les sables, portes ouvertes sur l’exil,    Les clés aux gens du phare, et l’astre roué vif sur la pierre du seuil :    Mon hôte, laissez-moi votre maison de verre dans les...

Publié le 01/04/2015 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

De la douceur et du murmure

    Parler de poésie, c'est comme risquer d'effrayer un oiseau ; il est de s'en approcher tout doucement, à tâtons, murmurant, et de regarder.   (Un grand poète que je connais me racontait naguère qu'un poète de ses amis lui avait dit que Saint-John Perse, qu'il avait personnellement connu, lisait en murmurant ses poèmes. Les Éloges , les Vents ! murmurés...)...

Publié le 16/08/2013 dans Les Lettres... par Frédéric Tison | Lire la suite...

Saint-John Perse, Éloges

                                   XIII   La tête de poisson ricane entre les pis du chat crevé qui gonfle — vert ou mauve ? — Le poil, couleur d’écaille, est misérable, colle, comme la mèche que suce une très vieille petite fille osseuse, aux    mains blanches de...

Publié le 18/08/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Il neigeait

  Il neigeait, et voici, nous en dirons merveilles : l’aube muette dans sa plume, comme une grande chouette fabuleuse en proie aux souffles de l’esprit, enflait son corps de dahlia blanc. Saint-John Perse Soir de neige à Honcho Street de Kobayashi Kiyochika

Publié le 08/03/2010 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Je ne veux pas revenir

    Oui, c'est Nana Mouskouri, mais écoutez sans effroi, s'il vous plait.     Où es-tu passé, mon passé Perdu dans les gorges de la Chiffa ? Le ruisseau oublie la guerre L'eau coule comme naguère Les enfants ne font plus de grimaces Ils dansent dans la vallée Ils oublient leur faim et leur race Ils jouent en liberté Où es-tu mon...

Publié le 20/09/2009 dans Oh Océane par Océane | Lire la suite...

La pluie frappait à ma fenêtre

Les lumières du bateau ne s'éteidrait pas de la nuit semble-t-il. Normal 0 21 false false false MicrosoftInternetExplorer4 Pour la première fois, je naviguais. Ou plutôt, je mettais le pied sur une embarcation. Un voilier blanc, impeccable tant qu’il restait au soleil de la méditerranée. Nous devions partir pour une...

Publié le 10/04/2009 dans Oh Océane par Océane | Lire la suite...

Tenir le monde entre mes doigts de silence

Terre de collines. Ocre et rouge. Achevalé sur ma monture, je parcours les steppes. Les ombres jouent avec les replis de la terre, le gris de la roche avec le bleu des montagnes.   Alpha et oméga du monde, rien ne semble avoir été posé ici par hasard. Ni les vallées, ni les lacs, ni les temples. Vallées fumeuses de brume, étagées de rizières. Pays cosmique. Vérité inscrite dans...

Publié le 21/09/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

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