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Notes sur le tag : roland barthes

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Dernières notes

Le moine et le footballeur

Un footballeur multimilliardaire, l’inénarrable « Zizou » a déjà pris la place de l’abbé Pierre dans le cœur des Français (l’expression régulièrement répétée sur les chaines de télé depuis 98 possède quelque chose d’aussi pathétique que ridicule). Un autre footballeur guigne donc le même statut et part en croisade pour le conquérir « Le mythe de l'abbé Pierre...

Publié le 11/01/2012 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

Les bêtises

"Les bêtises des gens intelligents sont fascinantes" Roland Barthes (prononcer "Barte")

Publié le 07/10/2011 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

L'insignifiant et son signifié

  Lu ce matin sur le site du Monde.fr : notre intellectuel président a, mercredi 28 septembre, remis l'ordre du mérite à la très révolutionnaire Julia Kristeva. À cette occasion, il a prononcé un discours dans lequel Roland Barthes est devenu Roland Barthesse . Rappelons qu'il n'y a pas de faute (au sens classique du terme) sur les noms propres. Soit, mais une certaine...

Publié le 01/10/2011 dans off-shore par nauher | Lire la suite...

La censure

« La censure est détestable à deux niveaux : parce qu’elle est répressive, parce qu’elle est bête ; en sorte qu’on a toujours envie,  contradictoirement, de la combattre et de lui faire la leçon. » Roland Barthes

Publié le 23/09/2011 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Un brin de soleil... encore.....

  "Ce que cache mon langage, mon corps le dit... Mon corps est un enfant entêté, mon langage est un adulte très civilisé." Roland Barthes "Fragments du discours amoureux"  "J 'ai pardonné des erreurs presque impardonnables, j'ai essayé de remplacer des personnes irremplaçables et oublier des personnes inoubliables. J'ai agi par impulsion, j'ai...

Publié le 08/09/2011 dans Kris de Blog par Kris | Lire la suite...

Barthes est bath

Dans son essai intitulé Mythologies , Roland BARTHES consacre quelques lignes à une réflexion sur le théâtre bourgeois . En voici un extrait fort intéressant : «  […] dans le théâtre bourgeois, l’acteur, "dévoré" par son personnage, doit paraître embrasé par un véritable incendie de passion. Il faut à tout prix "bouillir", c'est-à-dire à la fois brûler et se répandre ;...

Publié le 23/07/2011 dans l'Illustre... par L U C | Lire la suite...

LES MEMOIRES DE FREDERICK TRISTAN

Frédérick Tristan   Les entretiens avec Jean-Luc Moreau ( Le Retournement du gant , éditions Fayard, 2000) étaient une entrée dans l'oeuvre de Frédérick Tristan munie de loupes. L'auteur du Dieu des mouches (Grasset, 1959 ; Fayard, 2001) détaillait le chemin d'une écriture qui compose un singulier dédale où interagissent les voyages, les jeux de la mémoire et le goût de...

Publié le 03/10/2010 dans GUY DAROL... par WG | Lire la suite...

Le rêve bourgeois

Il n’est pas inscrit dans nos gènes. Il n’est pas inné. Mais il est inscrit dans l’histoire du   pays. Dans le déroulement de son évolution. Et ce rêve bourgeois , nous   en portons tous, qui que nous soyons, un morceau. Qui que nous soyons, français de souche (prolétarienne, paysanne ou   bourgeoise), immigré de n’importe quel coin du monde et de n’importe quelle...

Publié le 16/07/2010 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

Mythe au logis

« L’imagination du voyage correspond chez Verne à une exploration de la clôture, et l’accord de Verne et de l’enfance ne vient pas d’une mystique banale de l’aventure, mais au contraire d’un bonheur commun du fini, que l’on retrouve dans la passion enfantine des cabanes et des tentes : s’enclore et s’installer, tel est le rêve existentiel de l’enfance et de Verne. L’archétype de...

Publié le 28/04/2010 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Ici ou là

"Nous sommes nos propres démons, nous nous expulsons de notre paradis" GOETHE. Extr. "Les souffrances du jeune Werther". Editions Gallimard Folio classique 2003. Déréel (définition) :" Pensée déréelle, pensée détournée du réel et des nécessités logiques'. Je me retire de la réalité. Je marche seule dans la foule, toute personne me paraît immobile, séparée du monde où je vis....

Publié le 21/04/2010 dans Certains jours par Frasby | Lire la suite...

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