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Notes sur le tag : ramon gomez de la serna

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Dernières notes

N'importe quel arbre peut être appelé ainsi

" - Pour toi, ce jardin, qu'est-ce que c'est ?  - Une sorte de paradis perdu à Naples, le lieu où l'on pense au paradis perdu. - Et où se trouve l'arbre de la science du bien et du mal ? - N'importe quel arbre peut être appelé ainsi : cela dépend de ce que chaque femme promet sous son feuillage. "  La femme d'ambre / Ramón Gómez de la Serna

Publié le 03/02/2012 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Les seins des masques

Dès qu'une femme se met un masque, ses seins deviennent plus gros et ressortent davantage. Quelle panique produisent les seins des masques! Les femmes masquées n'ont plus de visage et restent gouvernées par leurs seins; conduites par eux, elles sont intéressantes grâce à eux. Derrière leur masque, elles regardent et voient tout l'effet causé par leurs seins et leur corps. Elles ont couvert...

Publié le 25/09/2010 dans Midi à sa porte par màsp | Lire la suite...

Variations

" C'est quand on les saisit par derrière que les seins donnent la sensation d'être le plus grands. Quand on les surprend ainsi et qu'on les presse, on devine leur aspiration, on les sent tirer, tirer en avant, s'échapper, se tendre, saillir. C'est de cette façon seulement, en les prenant par derrière, qu'on les confond et qu'on les devine : car, sans même le vouloir, quand ils sont...

Publié le 28/08/2010 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Quelques Greguerias de plus

A lire ici, aéroport JLK, décollage immédiat...

Publié le 30/04/2010 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Aphorismes et périls

J'ai souvent parlé ici des Greguerias , de Ramon Gomez de la Serna, en voici quelques autres, toujours dans la traduction française de Jean-Yves Carcelen et Georges Tyras, aux éditions Cent pages : Nous fronçons les sourcils comme si nous voulions saisir avec des pinces quelqu'importante pensée qui nous échappe Lorsqu'une femme se met du rouge à lèvres devant son miroir de...

Publié le 28/11/2009 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Greguerias, Ramon Gomez de la Serna

La forme brève invite paradoxalement à la lenteur. On y revient, on la savoure. Le texte court, par le peu de place qu’il occupe, n’envahit pas les pages ni l’emploi du temps. L’aphorisme, le trait, la maxime, légers, primesautiers en apparence, mais parfois incisifs comme un coup de poignard peuvent nous laisser sans défense en quelque sorte. Le court n’a pas bonne presse en Occident –...

Publié le 21/10/2009 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Les ”Greguerias”, de Ramon Gomez de la Serna

La forme brève invite paradoxalement à la lenteur. On y revient, on la savoure. Le texte court, par le peu de place qu’il occupe, n’envahit pas les pages ni l’emploi du temps. L’aphorisme, le trait, la maxime, légers, primesautiers en apparence, mais parfois incisifs comme un coup de poignard peuvent nous laisser sans défense en quelque sorte. Le court n’a pas bonne presse en Occident – rien...

Publié le 22/09/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Les Greguerias, for ever

La forme brève invite paradoxalement à la lenteur. On y revient, on la savoure. Le texte court, par le peu de place qu’il occupe, n’envahit pas les pages ni l’emploi du temps. L’aphorisme, le trait, la maxime, légers, primesautiers en apparence, mais parfois incisifs comme un coup de poignard peuvent nous laisser sans défense en quelque sorte. Le court n’a pas bonne presse en Occident – rien...

Publié le 04/06/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

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