Last posts on pépites
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tiniak
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Pépites éhontées (ps'homme)
tag:pavupapri.hautetfort.com,2019-01-03:6117946
2019-01-03T23:01:00+01:00
2019-01-03T23:01:00+01:00
P épites éhontées, ces yeux ! (...tes yeux !) C'est du feu qui mâche le...
<p><strong>P</strong>épites éhontées, ces yeux !<br />(...tes yeux !)<br />C'est du feu qui mâche le marbre<br />c'est de la flamme sans palabres<br />mouronnant qui le verra mieux</p><p><strong>S</strong>es yeux - Ô dieux ! c'est du granit<br />(...bauxite ?)<br />C'est une offrande qui s'arrache<br />- sous le chocolat, la ganache...<br />avec ses passions favorites</p><p><strong>A</strong>vant même d'en dire plus<br />(...morues !)<br />voyez gonfler à vos chevilles<br />de tristes, bourgeoises, vétilles<br />Elle en préserve sa vertu</p><p><strong>U</strong>n petit point là-dessus ?<br />Diamant n'est pas qu' hypocrite !</p><p><strong>M</strong>anies, manies... restez sans suite !<br />(…trop cuites !)<br />Regardez-la mieux dans le fond<br />où mélancolie est un nom<br />lâchant, d'un clin d'œil, une invite</p><p><strong>E</strong>h, dimanche ! Laissons venir<br />(soupir…)<br />le cœur étanche et sans contrainte<br />se donner de la voix, sans plainte<br />et songer au soudain plaisir</p><p> </p><p style="text-align: right;"><img id="media-5934525" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://pavupapri.hautetfort.com/media/00/01/2999568629.jpg" alt="tiniak,acrostiche,van den berge,les yeux dans les yeux,pépites,diamant,taire ou dire ou dire" /></p><p style="text-align: right;"><span style="color: #808080;">tiniak ©2019 DUKOU ZUMIN &ditions TwalesK</span></p>
Aurélie
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Cake banane & pépites de chocolat (Marlette)
tag:lacuisinedaurelieetdesesamis.hautetfort.com,2016-02-22:5763718
2016-02-22T19:12:00+01:00
2016-02-22T19:12:00+01:00
Encore une recette de goûter largement inspirée du livre de Marlette (même...
<p>Encore une recette de goûter largement inspirée du livre de Marlette (même si j'ai changé beaucoup de choses): le cake banane & pépites au chocolat, un banana bread quoi!J'ai toujours des bananes et en ce moment, j'ai un sacré stock de pépites de chocolat... Du coup, je n'ai pas hésité.</p><p>Verdict: C'est super bon, un poil sucré mais pas trop, bien chocolaté et surtout régressif!</p><p> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-5301150" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lacuisinedaurelieetdesesamis.hautetfort.com/media/02/01/1527703943.JPG" alt="marlette, cake, banane, chocolat, pépites" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5301147" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lacuisinedaurelieetdesesamis.hautetfort.com/media/00/00/1250255288.2.JPG" alt="marlette, cake, banane, chocolat, pépites" /></p><p><span style="text-decoration: underline;">Ingrédients</span>:</p><p>-150 g de sucre (moi 130 g de sucre + 20 g de sucre vanillé thermomix)</p><p>- 2 œufs</p><p>- 280 g de farine bise T 80</p><p>- 2/3 d'un paquet de levure</p><p>- 110 g de beurre (moi j'ai mis 80 g de beurre et 30 g d'huile de pépins de raisins)</p><p>- 5 cas de lait + un peu de citron pour faire un lait ribot maison</p><p>- sel</p><p>- 2-3 bananes</p><p>- 200 g de pépites de chocolat</p><p style="text-align: center;"><img id="media-5301148" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lacuisinedaurelieetdesesamis.hautetfort.com/media/02/01/2590646593.JPG" alt="marlette, cake, banane, chocolat, pépites" /></p><p><span style="text-decoration: underline;">Préparation</span>:</p><p>Préchauffer le four à 170°C.</p><p>Dans un cul de poule, battre les œufs. Ajouter le sucre. Bien mélanger. Verser la farine et la levure. Bien mélanger. Ajouter le lait, le beurre fondu et le sel. Bien mélanger. Ajouter les bananes écrasées ou coupées en fines rondelles et les pépites de chocolat. Mélanger. <br />Verser dans un grand moule à cake préalablement beurré.<br />Mettre au four environ 50-60 minutes. Vérifier à l'aide de la pointe d'un couteau.</p>
Aurélie
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Cake framboise et chocolat noir
tag:lacuisinedaurelieetdesesamis.hautetfort.com,2016-02-17:5761368
2016-02-17T18:59:00+01:00
2016-02-17T18:59:00+01:00
Quand il fait un temps pluvieux ou froid, j'aime bien un bon goûter. Quand...
<p>Quand il fait un temps pluvieux ou froid, j'aime bien un bon goûter. Quand j'ai pas trop d'idée, je feuillette mon livre de pâtisseries Marlette. Là les mini-cakes à la myrtille sont devenus un cake framboises et pépites de chocolat... car j'en avais et que le mélange matche a priori. J'ai adapté la recette. Un délice!</p><p style="text-align: center;"><img id="media-5296652" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lacuisinedaurelieetdesesamis.hautetfort.com/media/01/01/178738815.JPG" alt="marlette, cake, framboise, chocolat, pépites, rapadura" /></p><p><span style="text-decoration: underline;">Ingrédients</span>:</p><p>- 3 oeufs</p><p>- 150 g de sucre rapadura</p><p>- 175 g de farine de blé</p><p>- 120 g de beurre fondu</p><p>- 1 sachet de poudre à lever</p><p>- 3 cas de lait</p><p>- 1 vingtaine de framboises congelées</p><p>- 35 g de pépites de chocolat noir</p><p> </p><p><span style="text-decoration: underline;">Préparation:</span></p><p>Préchauffer le four à 190°C.</p><p>Battre les oeufs avec le sucre rapadura jusqu'à ce que le mélange soit mousseux. Ajouter la farine et la levure, puis le beurre fondu et le lait. Bien mélanger.</p><p>Verser la moitié de la pâte dans un moule à cake préalablement beurré. Disposer les framboises tout le long du moule à cake et les saupoudrer de pépites de chocolat. Recouvrir du reste de pâte.<br />Passer au four à 190°C pendant 30 minutes puis à 160°C pendant 20-30 minutes.<br /><br />Manger froid.</p>
Frasby
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La pieume du Nabirosina (V.F.)
tag:certainsjours.hautetfort.com,2009-07-28:2315196
2009-07-28T03:05:00+02:00
2009-07-28T03:05:00+02:00
"Dze sais pas si vos connaissi l'Mile : aul a passé pas loin de quarante...
<p><b>"Dze sais pas si vos connaissi l'Mile : aul a passé pas loin de quarante ans à la coopérative de Tçarolles, aul a entendu causi du patois de totes les acabies et vu qu'aul avot pas ses oreilles dans sa potce apeu qu'yetau pas un beurdin, aul a pensi que si eu peurnot le temps d'y écrire, y servot comme qui dirot d'pense-bête à tous tcé là qu'aimant not' chti pays, apeu qu'sant contents d'se rappeler la façon de causer vé nos (...) Apeu surtout y seur'vra a rév'lli vot' patois, et ça y vo fr'a point d'mau".</b></p> <p>"LE PERE MATHURIN" extr. du Billet publié dans le journal local <i>"la Renaissance"</i> du 26/01/1991.</p> <p><img src="http://certainsjours.hautetfort.com/media/00/01/1362119998.JPG" id="media-1910274" alt="chemin69.JPG" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" /></p> <p>L'Mile oeuvra si bien à son petit bouquin, (son petit dictionnaire), que le <i>Père Mathurin</i> proposa à la <i>"Renaissance"</i>, (journal local, l'équivalent du <i>"Monde"</i> au <i>Nabirosina</i>,) de publier <i>l' boulot du Mile,</i> sous forme de petits récits, qu'il découpa, pour que les gens puissent les déguster bien <i>"comme y faut"</i>. Durant plusieurs années le pays tout entier se demanda qui était ce fameux <i>"Père Mathurin"</i> qu'on lisait à voix haute et dont chacun se faisait passer les petits billets de maison en maison... Quant à l'identité du patoisant, je la laisse au secret. Et comme promis précédemment, voici la traduction de cette histoire bien sympathique <i>"de chataîgnes et de poêle".</i>..</p> <p><i>Nota</i> : une promesse pour un lendemain qui se retrouve avant hier ? Il faut noter qu'en nos hameaux, le temps se ralentit tellement, que même <i>"certains jours"</i> nous échappent. Puissiez vous lecteurs (des villes et des campagnes) être un brin éclairés.</p> <p><i><b>Traduction :</b></i></p> <p><b>"Cà se passait vers les années 1925, celui qu'on appelait "le fils", l'ancien tuilier de la Vaivre, était venu veiller avec sa femme Eugénie et leur fille Marguerite. C'était la rendue</b> <span style="font-size: x-small;">(1)</span><b>. Nous étions allés chez eux l'année précédente. J'étais impatient de les voir arriver. Soudain, les voilà ! On les entend marcher bruyamment dans la cour, puis ils vont poser leurs sabots à la porte près du réchaud à bois. Asseyez vous près du poêle, mettez vos pieds sur la tablette</b> <b>ou dans le four si vous avez froid ! Et voilà la conversation partie sur la guerre, de Ham à la forêt de Paroy, des histoires à écrire des livres, évacuation des blessés, entendues cent fois. Avec mon père, il était de la classe 93, l'autre était de la classe 94 et, trop vieux, ils avaient été versés dans les territoriaux . Un moment après, ma mère a mis les châtaignes sur le feu, mais le meilleur, c'était le saucisson qui cuisait à petit feu et qui envoyait une odeur à faire baver un chien tellement çà sentait bon. Mais d'un seul coup, voilà-t-il pas que le gros chien noir se querelle avec le gros matou gris - tous deux couchés sous le poêle - à grands coups de dents et de griffes. Le collier du chien s'accroche dans un boulon qui tenait le poêle, et le voilà parti avec sa chaudière sur le dos à travers la maison, les tuyaux sens dessus dessous, à grands bruits, les deux casseroles renversées qui font de la fumée comme une chaudière. La peur passée, il a fallu tout mettre en place, il fallait prendre des gants pour ne pas se brûler les doigts, et balayer la cendre sur les carreaux. Comme c'était à peu près cuit, nous nous sommes mis à table comme s'il n'y avait rien eu. Tout çà n'avait même pas enlevé l'appétit. Ensuite vint le fromage, le café et l'eau de vie, et puis ma foi, au revoir et à l'année prochaine ! "<br /></b><br /> <span style="font-size: x-small;">(1) Invitation en retour d'une précédente.</span></p> <p>Photo : Toujours sur la grande route de la maison du fils de l'ancien tullier de la Vaivre, quelquepart entre le hameau des"Combes" et le Pays de Montmelard. Juillet 2009. © Frb</p>
Frasby
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”Tu seras bonne ménagère, ma Jacqueline !”
tag:certainsjours.hautetfort.com,2009-03-09:2090320
2009-03-09T22:52:00+01:00
2009-03-09T22:52:00+01:00
Comme un lundi . Suite à la réaction de certains lecteurs, à propos de...
<p><b>Comme un lundi</b><b>.</b></p> <p>Suite à la réaction de certains lecteurs, à propos de l'authenticité du billet précédent (ou suivant) c'est à dire billet du dimanche voir ci-dessous : "journée de...", je vous propose, un texte vraiment authentique, datant de 1950, qui ne sera pas détectable en tant que "faux" sur la toile, puisque je le tiens en vrai entre mes mains, à cet instant, bien ouvert à la page 102. Ce livre, concerne toujours, sinon, l'économie domestique, les bons conseils à l'épouse ou la fiancée. L'ouvrage s'appelle "Construire un foyer" qui dût être très utile en son temps à "Jacqueline" (la jeune fille à qui sa mère s'adresse et prodigue des conseils, des informations dont je vous épargne les passages les plus "anatomiques", quoiqu'un jour peut-être)... L'extrait a été choisi ici, en résonance avec le faux-vrai (?) "manuel scolaire catholique d'économie domestique" de 1960. Une variation sur les deux thèmes (quasi jouxtés) mensonge-vérité... A vous de savoir si, entre ce qui se cache sous la vraie rose, et ce qui se cache sous ce graff (qui se prend pour une vraie rose), si entre vérité et mensonge; il y a, au fond, de tant de différences que cela...</p> <p><img src="http://certainsjours.hautetfort.com/media/02/02/730275567.2.JPG" id="media-1629353" alt="IMG_0121.JPG" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" /></p> <p><b>"Tu seras une bonne ménagère, ma Jacqueline, c'est à dire une vraie maman pour les tiens. Tu as appris à faire la cuisine, à laver, à coudre, à repasser, à entretenir un appartement, à le rendre gai et accueillant par tout le charme des détails : rideaux, fleurs, photos, qui sont le secret de la femme. Il faudra continuer, malgré les efforts que cela te demandera chaque jour de ta vie, à tenir ton foyer attirant et joyeux. Cela ne sera pas si facile lorsque s'ajouteront encore les soins à donner aux enfants et que tu devras veiller tard parfois pour que le lendemain toute ta petite famille, sans oublier le papa, ait bien ce qu'il lui faut (...) Il faut perdre ta vie pour la retrouver. Et tu n'auras jamais tant de joie que lorsque tu verras ton mari rentrer du travail, tes enfants de l'école, ravis de te retrouver, toujours souriante, nette, élégante même (on peut l'être avec si peu de choses, un peu de poudre, un tablier propre) ayant tout préparé pour que le foyer soit un nid bien chaud où il fait si bon vivre."</b></p> <p>CLAIRE SOUVENANCE extr. "Construire un foyer" - "Le livre de la fiancée et de la jeune épouse" - Editions Xavier Mappus , 1950</p> <p>Photo : Vrai-faux printemps (?) foulé aux pieds sur les escaliers de la Grande Côte, qui mène à la colline travailleuse. Vrai faux graff, "introuvable (improuvable?) en ce mois de mars, (car déjà effacé par les brigades nettoyeuses, hélas !). Il fût pourtant vu l'année dernière à Lyon, presque à la même saison. © Frb.</p>
Frasby
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Big Boum
tag:certainsjours.hautetfort.com,2009-02-04:2032435
2009-02-04T23:20:00+01:00
2009-02-04T23:20:00+01:00
COMME UN MERCREDI : "- En 1981, vous avez voté pour qui ? -...
<p><b>COMME UN MERCREDI :</b></p> <p><b>"- En 1981, vous avez voté pour qui ?<br /> - Mitterrand. J'en garde un souvenir de fierté et d'espoir. En 1988 aussi. En 2002, Chirac, évidemment. En 2007, j'ai été très embarrassée. Je ne voulais pas voter Sarkozy et encore moins Royal. Alors j'ai eu la tentation Bayrou, qui aurait été un non-choix, un vote lâche. Finalement, dans l'isoloir, j'ai choisi à l'aveugle, en disposant les bulletins devant moi, et ma main est tombée sur celui de Sarkozy. Et je ne le regrette pas... Je vais encore me faire lyncher par la profession (rires)."</b></p> <p>EXTR : du JDD du 03 février 2009. Entretien avec Sophie MARCEAU. Rubrique culture. A l'occasion de la sortie du film "LOL" = (mort de rire !)</p> <p><img src="http://certainsjours.hautetfort.com/media/02/01/454473876.JPG" id="media-1559322" alt="menteuse.JPG" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-1559322" /></p> <p>Rassurez vous, on ne va pas vous parler de Sophie Marceau... Ou plutôt si. Car voyez vous, parmi toutes les pépites ciselées à l'or (plus ou moins) fin qui nous tombent dans les oreilles depuis quelques semaines, on aurait tendance à s'enivrer seulement de ces perles que les politiciens (dames et messieurs) nous offrent avec beaucoup de décomplexion et de décontraction, mais voilà, il y a aussi les actrices, on les oublie trop souvent. Et Sophie Marceau entre toutes, qui cette semaine dans le JDD, côté décomplexion, ne manque pas d'air. Je veux dire, soit elle le fait exprès, soit c'est involontaire, (j'opterai plutôt pour la deuxième solution, elle y croit vraiment à ce qu'elle raconte ...) mais en tout cas, il y a un blème. Relisez bien cet extrait d'interview ci-dessus... Vous ne remarquez rien d'anormal ? ... Comme quoi on peut vraiment faire avaler des couleuvres à tout le monde, et "personne ne s'en aperçoit" (comme dit l'autre) ou presque personne. Je vous avoue que moi même en lisant l'interview du JDD, je n'ai pas immédiatement percuté quoique ça faisait bizarre. En quelques lignes à peine, il y a tellement d'énormités... C'est juste à la deuxième lecture que ça m'a gênée. Vous ne remarquez toujours rien ? Relisez bien! D'accord c'est pas terrible de "voter à l'aveugle", je veux dire, par les temps qui courent, et surtout de ne pas le regretter après ;-) D'accord ! la démocratie en prend encore un coup dans l'aile, et puis le François Bayrou aussi, en passant, tant qu'à faire! sympa pour le "non choix", "le vote lâche", il va être ravi, virilité un peu écornée, elle est mignonne, mais il s'en fout, il n'est pas de la génération "La boum", les rêves ne sont pas sa réalité. Lui, c'est le terroir... Et puis tant qu'à lire ça, autant qu'il retourne penser sur son tracteur, bref "ce n'est pas le chemin qui est difficile, c'est le difficile qui est le chemin" (cette phrase de Bayrou, décidément, je l'aime beaucoup) ... Le problème pourrait être là, sur le chemin... Tant pis pour "le vote à l'aveugle", elle ne l'a pas fait exprès. Au diable ! la fierté joyeusement claironnée du non regret après "vote à l'aveugle". La Sophie, elle cartonne. Toujours avec le sourire et une vraie gentillesse, grosse générosité évidemment sincère ;-) et vous croyez le lièvre levé ? Que nenni ! Car le problème, il est ailleurs comme la clef du mystère au milieu du tapis. Ou bien, pour le trouver ce fameux blème, peut être faut-il être de la génération de la boum ? Avoir l'âge de Sophie Marceau ? Et c'est là, que tout s'éclaire... Parce que voyez vous, la Sophie elle est un tout petit peu plus jeune que moi, pas trop, juste assez pour que je me souvienne de mon âge en 1981 quand Mitterrand a été élu, alors... ça y est, tu as voté Sophie ? Est ce qu'enfin vous la voyez venir la couleuvre avec ses gros sabots ? Allez, c'est juste qu'en comparant ma biographie à celle de Sophie Marceau, je me suis dit que c'était pas possible ! Et même si je ne sais pas compter, après une nuit d'additions, de soustractions, de divisions à virgules, sachant que j'avais quelques années de plus que Sophie Marceau (oh pas trop non plus ;-) et qu'en 1981 je n'étais pas majeure, il m'a paru soudain évident qu'il y avait "baleine sous gravillon" et que si je n'étais pas majeure en 1981, Sophie Marceau qui a grosso modo un ou deux ans de moins que moi, ne pouvait pas l'être non plus. Vous me suivez j'espère ? Or il me semble, que pour avoir le droit d'obtenir une carte d'électeur, il faut être majeur. Alors personnellement ça m'épate que Sophie Marceau ait voté Miterrand en 1981 et encore plus qu'elle en garde un souvenir de fierté et d'espoir... En même temps, si elle trouve des gens pour la croire, pourquoi pas ? "Dreams are reality"... Comme disait mon cher père : "Le cinéma, y'a que ça de vrai". La boum est éternelle, entre big bang et big bisous, avec Sophie, la grande Histoire est belle. Sacrée Sophie va ! Comme le remarque un lecteur du JDD à la suite de l'article, je le cite, et je le félicite : "Elle est balaise Sophie, d'avoir pu voter en 81, à l'âge de 15 ans !". Moi, je n'ai pas pu. Trop injuste ! La prochaine fois je vous raconterai ma rencontre avec René Coty, j'en ai encore les larmes aux yeux ...</p> <p>Lire l'entretien du JDD avec Sophie Marceau ci dessous (Comme quoi, ça ne s'invente pas)</p> <p><a target="_self" href="http://www.lejdd.fr/cmc/culture/200906/generation-sophie-marceau_183971.html">http://www.lejdd.fr/cmc/culture/200906/generation-sophie-marceau_183971.html</a></p> <p>Pour mémoire : En 1981, Une page de l'Histoire se tournait, (remember, le très solennel "au revouâââre" de Giscard précédant la très poilante chaise (marron) vide sur fond de "Marseillaise" on en rit encore !)</p> <p>A revoir le plan de la chaise pour le plaisir (archives INA)</p> <p><a target="_blank" href="http://www.ina.fr/archivespourtous/index.php?vue=notice&id_notice=CAB00018244">http://www.ina.fr/archivespourtous/index.php?vue=notice&id_notice=CAB00018244.</a></p> <p>Ce que nous ignorions en 1981, (Sophie Marceau et moi ;-) c'est qu'à notre majorité, nous serions jusqu'au cou dans les "Années fric" mais cela n'était pas encore notre souci, notre fierté et nos espoirs en 1981, c'était plutôt le monde des tee-shirts "Snoopy" à l'arrière des motoguzzi 125, dans les bras des garçons (pantalons à pinces, cheveux courts devant et longs derrière)... Je me souviens quand même de ce début de soirée (passé avec mes parents devant la télévision), de 38 secondes de suspens insoutenable et d'une apparition, enfin, (dans un design déjà technologique façon Kraftwerk) le visage du président... "Force tranquille"</p> <p>Petit rappel des fait (archives INA)</p> <p><a target="_blank" href="http://www.ina.fr/archivespourtous/index.php?vue=notice&id_notice=I00002041">http://www.ina.fr/archivespourtous/index.php?vue=notice&id_notice=I00002041</a></p> <p>Photo: Vue sur un mur de la colline, la star des croix, des ronds et des bâtons version fifille, neuneu et bouche cousue, conçue par "re" dit-on ... Lyon. Janvier 2009. © Frb</p> <p>Voir ou revoir un autre graff fait de croix, de ronds et bâtons, version garçon non-modifié, neuneu, piqué (mais pas des hannetons) : <a target="_blank" href="http://certainsjours.hautetfort.com/archive/2008/08/20/comme-un-mercredi.html">http://certainsjours.hautetfort.com/archive/2008/08/20/comme-un-mercredi.html</a></p>
Frasby
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” Quand tu seras arrivé tout en haut de la montagne, grimpe encore ”
tag:certainsjours.hautetfort.com,2008-08-23:1763395
2008-08-23T16:47:00+02:00
2008-08-23T16:47:00+02:00
Bien sûr nous nous étions promis de ne pas parler ici d'un sujet qui...
<p><img src="http://certainsjours.hautetfort.com/media/02/02/1845445181.jpg" id="media-1232983" alt="chine-2757.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-1232983" /></p> <p><b>Bien sûr nous nous étions promis de ne pas parler ici d'un sujet qui fâche, tout occupés à compter "nos" médailles... Au pire, une caravane passerait, et nous au chaud, dans notre niche nous resterions jusqu'à la fin du carnaval sans aboyer. Juste à parler des ciels qui ne sont pas encore "tombés de l'éventail", du temps qui vient, du temps qu'il fait, des mondes flottants de Zaragoza, nous plongerions nos têtes dans le sable, des peaux de saucisses sur les yeux, nous irions le poing dans la poche (sans oublier le mouchoir dessus), relire les Gustave</b> <b><a target="_blank" href="http://lafindesharicots.hautetfort.com/archive/2008/08/19/histoire-de-gustaves.html">CLICK</a></b><b>, les Alfred, même les Alphonse... Bref, la chose serait insoutenable, n'en pouvant plus, nous chercherions un remède pour ne plus penser et là, dans une salle d'attente, nous aurions le réflexe bête, d'ouvrir une revue, de celles qui sont très coloriées, avec des gros titres dessus et la revue nous happerait ... Puis nous tomberions sur des pages, où d'irrésistibles images bien légendées, nous feraient un instant trahir notre promesse, tandis que la caravane passerait, avec des chapeaux pointus, des clochettes, des cow boys, même une princesse. Nous ne pourrions plus résister : ces choses là, se partagent, se mangent avec les doigts comme des brochettes. Bouddha nous accompagnerait, (celui-ci plus haut, vécût en vitrine entre quelques plats préparés... ). Assis sur l'extrait de pépites, son sourire viendrait t'embaumer. Tu</b> <b>ferais silence en toi-même</b><b>, tu monterais sur la montagne, et dans un ciel bien dégagé, le Bouddha te dirait: "Regarde ! Regarde ! petit Scarabée" ...<br /></b></p> <p>Pépite 1 : "(...) Que compte faire le divin réincarné pour régler le problème français ? Sommes nous encore assez riches et assez influents pour entretenir cette secte ? (...) Qui manipule ce cirque ? (...)"</p> <p>Pépite 2 :" Y'en a marre du Dalaï lama !"</p> <p>Pépite 3: " C'est tout et n'importe quoi. Le monde devient fou de toutes ces courbettes pour un homme qui se dit être la réincarnation "de"et qui nous manipule tous"</p> <p>Pépite 4: "La tournée de Dalaï Lama consiste à récolter les fonds (...)"</p> <p>Pépite 5 : " Le Dalaï Lama, chef spirituel de lui même. Que vaut cet homme qui prétend être la réincarnation d'un autre blaise. il vend sa soupe spirituelle, avec sourire mais elle a un goût de rata " etc ... etc ...</p>