Last posts on pouvoirs2024-03-29T11:29:59+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/pouvoirs/atom.xmlJ.-P. Chauvinhttp://jean-philippechauvin.hautetfort.com/about.htmlLe Roi, statutairement libre : la décision politique prime sur les puissances économiques.tag:jean-philippechauvin.hautetfort.com,2019-12-31:62019332019-12-31T22:12:55+01:002019-12-31T22:12:55+01:00 Se battre pour une cause n’est pas forcément inutile, au contraire de ce...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'Verdana',sans-serif; font-size: 12pt;">Se battre pour une cause n’est pas forcément inutile, au contraire de ce que suggèrent les partisans du désordre établi et les fatalistes de tout acabit, et <strong>le royalisme</strong>, aujourd’hui marginalisé, <strong>mérite ainsi toute l’attention que l’on peut porter à une école de pensée et de pratique politique qui évoque le bien commun plutôt que la carrière de ses amis</strong>. Pourquoi ? Parce que, aujourd’hui, <strong>la question sociale semble, plus que jamais irrésolue</strong> et le pays déchiré autour du souci des retraites et de leur financement nécessaire. Or, s’il n’est pas de sauveur suprême, comme le chantaient jadis les marxistes, il n’y a pas pour autant de fatalité en ce domaine et <strong>la justice sociale n’est pas une option facultative mais une obligation, un devoir d’Etat</strong> qui, d’ailleurs, participe à fonder une part de sa légitimité. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'Verdana',sans-serif; font-size: 12pt;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'Verdana',sans-serif; font-size: 12pt;">Mais la République macronienne reste la République, et elle n’est pas, qu’on le veuille ou non, sociale, ne serait-ce que parce que son mode de fonctionnement favorise les rhéteurs et les « prêteurs » plutôt que l’intérêt supérieur de la nation et de ses peuples. Le mode de désignation du Chef de l’Etat, pourtant pensé par le général de Gaulle pour écarter les partis politiques, a, après lui, nourri les jeux politiciens et financiers : <strong>qui n’a pas le soutien d’un appareil</strong> (fût-il récent et largement artificiel dans le dernier cas vécu, mais toujours sous la forme de réseaux propre à l’époque et au système même) <strong>et des banques nécessaires à son bon fonctionnement, n’a guère de chance de pouvoir concourir et encore moins de conquérir la place </strong>! M. Macron, habile ministre des finances sous M. Hollande et issu de la Banque, a su jouer des malheurs du favori de Droite comme de ceux de son propre tuteur élyséen pour se frayer un chemin vers la magistrature suprême de la République, profitant aussi du « dégagisme » pourtant théorisé par d’autres que lui, voire même opposés à lui dans la joute électorale du printemps 2017. Mais <strong>l’énergie utilisée à prendre le pouvoir est déjà une énergie perdue pour son exercice</strong> et elle est vite « revendiquée », plus ou moins discrètement, par ceux qui l’ont alimentée, que ce soit les puissances d’argent ou les catégories sociales dominantes ou « clientes » (classes supérieures et mondialisées, et classes moyennes consommatrices et connectées, dans le cas de l’élection de M. Macron). </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'Verdana',sans-serif; font-size: 12pt;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'Verdana',sans-serif; font-size: 12pt;">Une Monarchie royale « à la française », elle, ne doit rien aux jeux de la Banque et des partis, parce que la transmission héréditaire de la magistrature suprême de l’Etat donne, par essence même, une indépendance statutaire au monarque : <strong>la naissance ne s’achète pas, quand l’élection se monnaye !</strong> Ainsi, le Roi est-il libre de décider sans l’aval des puissances financières, ce qui ne signifie pas que le monarque du moment soit forcément indifférent aux affaires financières et économiques du pays. Mais l’économique, « l’intendance » comme l’appelait le général de Gaulle, doit suivre et non « être suivie » : c’est le politique qui décide, et « <strong>la politique de la France ne se décide pas à la Corbeille</strong> », pour citer encore le fondateur d’une Cinquième République qui s’est faite à nouveau éminemment républicaine quand son père est parti, chassé par le suffrage référendaire. Cela est sans doute plus facile à théoriser qu’à pratiquer mais, la volonté du général s’en étant allée en même temps que sa personne du faîte de l’Etat, il s’agit d’enraciner cette volonté par le statut même de la magistrature suprême de l’Etat, et seule la Monarchie héréditaire et successible peut le faire, détachée du « choix des autres » qui, souvent, n’est que le paravent de celui de quelques uns, comme l’a démontré la dernière élection présidentielle… </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'Verdana',sans-serif; font-size: 12pt;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'Verdana',sans-serif; font-size: 12pt;">Cela signifie-t-il qu’en Monarchie royale sont bridées les expressions électorales et populaires ? Non, bien au contraire : <strong>la liberté statutaire de la magistrature suprême autorise les libertés réelles, citoyennes et professionnelles, provinciales et communales, et peut offrir plus de consistance aux pouvoirs locaux et sociaux</strong>. Cela pourrait redonner d’ailleurs du crédit à la discussion politique par la concrétisation locale de celle-ci à travers des décisions qui seraient prises conjointement par les administrés et les administrateurs communaux, professionnels, régionaux, après débats et expressions, y compris par le suffrage. C’était la motivation forte du royaliste La Tour du Pin quand il évoquait « <strong>la monarchie dans l’Etat, la démocratie dans la commune </strong>». </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'Verdana',sans-serif; font-size: 12pt;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'Verdana',sans-serif; font-size: 12pt;">En tout cas, la Monarchie royale doit profiter de sa situation au-delà des jeux économiques et politiciens (les uns étant souvent liés aux autres en République) pour imposer les conditions véritables de l’équilibre social et incarner la justice sociale, y compris au risque de mécontenter les puissances financières qu’il ne s’agit pas de détruire mais d’ordonner au bien commun, comme les rois capétiens et suivants surent le faire jusqu’au XVIIIe siècle : les Fouquet contemporains doivent vivre dans cette crainte salutaire d’un Louis XIV embastilleur. Cette crainte serait le commencement de la sagesse pour eux, et l’assurance de leur serviabilité au bénéfice du pays et de ses forces vives et populaires…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'Verdana',sans-serif; font-size: 12pt;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'Verdana',sans-serif; font-size: 12pt;"> </span></p>
Faelyshttp://www.petitesmadeleines.fr/about.htmlLes plieurs de temps, Manon Fargettontag:www.petitesmadeleines.fr,2017-05-24:59473572017-05-24T13:19:12+02:002017-05-24T13:19:12+02:00 Un super-pouvoir suffit-il à être super-heureux ? Dans ces...
<p style="text-align: center;"><a href="http://www.petitesmadeleines.fr/media/02/01/573264141.png" target="_blank"><img id="media-5631955" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.petitesmadeleines.fr/media/02/01/378838475.png" alt="lesplieursdetemps.png" /></a></p><p style="text-align: center;"><strong><span style="font-size: 12pt;">Un super-pouvoir suffit-il à être super-heureux ?</span></strong></p><p style="text-align: justify;"> Dans ces deux volumes qui sortiront simultanément le 31 mai, les héros se découvrent "Plieurs de temps"; chacun possédant une horloge magique. Robin peut arrêter le temps, Anthony peut revenir cinq minutes en arrière. Fantastique? Pas tant que ça, parce que le super-pouvoir ne suffit pas, que la solitude du secret peut parfois être bien pesante, et que Robin et Anthony sont loin d'être les meilleurs amis du monde...</p><p style="text-align: justify;">Manon Fargetton m'avait carrément épatée avec <a href="http://www.petitesmadeleines.fr/archive/2017/01/14/le-suivant-sur-la-liste-l-integrale-manon-fargetton-5898612.html" target="_blank">"le suivant sur la liste"</a>, cette-fois elle écrit pour les plus jeunes (à partir de 9 ans selon l'éditeur), mais on retrouve avec plaisir sa plume qui mêle l'intime à l'action, le quotidien aux grandes aventures. </p><p style="text-align: justify;">Ces deux premiers volumes, "Robin à la dernière seconde" et "Anthony à cinq minutes près" sont aussi jolis de couvertures et d'illustrations (merci <a href="http://ygtgotta.blogspot.fr/" target="_blank">Noémie Chevalier</a>), que pleins de ressources. L'idée des plieurs de temps est ancrée sur la découverte extraordinaire d'horloges magiques par des enfants ordinaires. Ordinaires, attachants, et même parfois sacrément imparfaits. C'est pourquoi j'ai préféré "Anthony", d'abord parce que ce volume deux qui complète le premier est une prouesse d'écriture à double point de vue, mais surtout parce que son héros est la terreur de la classe. Un héros-zéro, qui ne s'aime vraiment pas beaucoup, qui a beaucoup de pépins au quotidien, qui est loin d'être l'ami qu'on se choisirait au premier abord...et pourtant qui va nous surprendre. Robin aussi est assez génial, mais Anthony est l'outsider qui détonne ;) . </p><p style="text-align: justify;">Dans la même lignée audacieuse, l'auteure aborde des sujets peu courants pour cette tranche d'âge. On y retrouve l'amitié, les histoires de cour de récré et le cercle familial bien sûr, (avec une belle place pour l'amour fraternel), mais aussi des évocations de harcèlement scolaire, de fausse-couche qui devient secret de famille pesant, d'affirmation du caractère, de culpabilité et de responsabilité. Un pouvoir, ça change la vie mais ça fait grandir aussi !</p><p style="text-align: justify;">Au final, une très jolie entrée en matière pour je l'espère une série à poursuivre qui ne prend pas les plus jeunes lecteurs pour des bébés aux goûts faciles. Et encore une belle réussite pour Manon Fargetton, la plume de Saint Malo...</p><p style="text-align: justify;"><em>Robin à la dernière seconde,</em> Manon Fargetton, Editions Rageot, (31 mai 2017), 224p., 11,90€</p><p style="text-align: justify;"><em> Anthony à cinq minutes près,</em> Manon Fargetton, Editions Rageot, (31 mai 2017), 224p., 11,90€</p><p style="text-align: center;"> <a href="http://www.petitesmadeleines.fr/">Blog littérature jeunesse, blog livres, blog lecture, blog livres ados</a></p>
Kralyhttp://lessongesdunenuit.hautetfort.com/about.htmlLes Anges... (2)tag:lessongesdunenuit.hautetfort.com,2015-11-08:57117402015-11-08T05:02:00+01:002015-11-08T05:02:00+01:00 L'ange gardien Mébahel Ange de justice, de vérité et de liberté,...
<p style="text-align: justify;"><span style="color: #ff0000;"><strong><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><br /><img id="media-5205124" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://lessongesdunenuit.hautetfort.com/media/00/02/2023765398.jpeg" alt="ange,mébahel,qualités,pouvoirs,équité,égalité,justice,vérité,amour,réflexion,comprendre,savoir,connaître" />L'ange gardien Mébahel</span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><br /><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #00ffff;">Ange de justice, de vérité et de liberté, il soutient pour obtenir l'équité, l'égalité, justice...</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #00ffff;">Il accorde victoire à des causes justes, il protège contre la calomnie et les tromperies. Il donne le goût de la vérité, de la liberté et de la justice, développe la probité, l'honnêteté, la droiture et la stabilité. Cet ange permet de reconquérir ce qui a été perdu injustement. Il protège les innocents en permettant de découvrir la vérité et en libérant ceux qui sont emprisonnés à tort. Il pénètre le secret des âmes et distingue l'intégrité de la corruption.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #00ffff;">Sous l'influence de Mébahel, le natif aime la jurisprudence, se distingue devant le barreau et rend affable et diplomate. Mébahel offre à son protégé un sens aigu de l'équité et l'égalité, il le soutient dans des luttes contre les oppressions, les injustices, les persécutions. Au quotidien, l'ange Mébahel invite le sujet à veiller dans ses actes à répartir justement les tâches, les droits et les devoirs de chacun dans un partage communautaire.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #00ffff;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #911365;"><em><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><span style="color: #ff0000;">à suivre...</span><br /></span></em></span></p>
Kralyhttp://lessongesdunenuit.hautetfort.com/about.htmlEntretien avec Etienne Chouard : le pouvoir de l'argent...tag:lessongesdunenuit.hautetfort.com,2014-09-13:54464382014-09-13T05:00:00+02:002014-09-13T05:00:00+02:00
<p><iframe width="853" height="480" src="http://www.youtube.com/embed/0fnGbpUnkMQ" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p>
J.-P. Chauvinhttp://jean-philippechauvin.hautetfort.com/about.htmlL'abstention ne suffit pas !tag:jean-philippechauvin.hautetfort.com,2014-03-25:53319932014-03-25T21:56:00+01:002014-03-25T21:56:00+01:00 Les élections municipales de dimanche dernier ont été marquées...
<p><span style="font-size: medium;"> </span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY"><span style="font-family: Verdana,sans-serif; font-size: medium;">Les élections municipales de dimanche dernier ont été marquées par une forte abstention, et je ne suis pas certain qu'il faille s'en féliciter, même si elle n'est pas forcément déshonorante : en effet, j'y vois <strong>une dépolitisation des Français, une forme de fatigue civique </strong>qui n'est pas de bon aloi car elle risque bien de laisser le champ libre à d'autres formes d'expression plus radicales ou plus efficaces (souvent plus dangereuses pour la pérennité de notre « vivre-ensemble », en tout cas), d'une part, et elle peut apparaître comme une démission devant la toute-puissance supposée de l'Economique, d'autre part : <strong>intégrisme et fatalité</strong>, en somme, c'est-à-dire <strong>le terreau de la soumission et de la fin de la liberté de l'esprit</strong>... Rien de très rassurant ! </span></p><p><span style="font-size: medium;"> </span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY"><span style="font-family: Verdana,sans-serif; font-size: medium;">Il y a aussi d'autres explications possibles, comme celle du <strong>néonomadisme</strong> actuel des jeunes diplômés à qui l'on vante une mobilité (souvent confondue avec la flexibilité par certains employeurs et économistes libéraux...) <strong>bien peu favorable à l'enracinement local et municipal</strong> : pourquoi, en effet, voter pour des édiles que l'on ne connaît pas (ou pas encore), faute même de connaître la commune d'accueil, et qui, en définitive, ne pèsent apparemment de rien dans l'organisation de la vie étudiante ou professionnelle ? « <strong>Je ne suis que de passage pour deux ans, pourquoi devrai-je voter ici ?</strong> », me confiait il y a quelques jours un interlocuteur versaillais : l'argument peut se comprendre... Dans un monde qui bouge de plus en plus, et de plus en plus vite, il risque d'avoir de plus en plus de partisans ! Mais ce qui vaut pour les Municipales, <strong>scrutin enraciné entre tous</strong>, ne vaut pas pour les autres élections, bien sûr, et l'on sent bien que <strong>l'abstention de dimanche dernier n'est rien à côté de celle qui risque de frapper le 25 mai prochain, jour des élections européennes</strong>.</span></p><p><span style="font-size: medium;"> </span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY"><span style="font-family: Verdana,sans-serif; font-size: medium;"><strong>L'abstention est un révélateur mais elle ne fonde pas une politique</strong> et je crains qu'au bout du compte, elle ne soit <strong>une excuse pour le Pays légal pour ne rien changer</strong>, certain qu'il est que ce mode d'expression par l'absence de vote et de choix n'est pas dangereux car « <strong>les absents ont toujours tort</strong> », en bonne logique démocratique. Je crois me souvenir que, dans son livre « <em><strong>Globalia</strong></em> », l'écrivain Jean-Christophe Rufin émettait l'idée d'<strong>une démocratie qui, malgré un taux de participation électorale de 2 %, continuait à fonctionner</strong>, les élus se parant de la seule « légitimité » des suffrages exprimés, ce qui est le cas aujourd'hui avec une participation certes plus élevée, mais qui, désormais et comme ce fut le cas aux élections européennes de 2004 et 2009 dans la plupart des pays de l'est de l'Union européenne, ne dépasse pas parfois les 15 % !</span></p><p><span style="font-size: medium;"> </span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY"><span style="font-family: Verdana,sans-serif; font-size: medium;">Ainsi, <strong>ce désaveu du système actuel de démocratie représentative</strong>, celle-ci n'étant que le masque de plus en plus transparent d'une oligarchie qui semble la vraie dirigeante des pays occidentaux, <strong>va à la fois prendre plus d'ampleur mais en même temps conforter de plus en plus sûrement ce même système</strong> qui se réfugie derrière l'argument que celui qui ne vote pas n'a rien à dire et encore moins à revendiquer, argument qui est désormais complété par l'idée que <strong>celui qui vote « mal »</strong>, c'est-à-dire « <em><strong>populiste</strong></em> », « <em><strong>colérique</strong></em> » ou «<em><strong> phobe</strong></em> » de quelque chose ou de quelqu'un, n'a pas à être entendu s'il peut néanmoins (concession sans conséquence du « Système »...) être écouté...</span></p><p><span style="font-size: medium;"> </span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY"><span style="font-family: Verdana,sans-serif; font-size: medium;"><strong>Rompre avec ce sortilège « démocratique » me semble urgent et, surtout, nécessaire </strong>: penser la politique différemment ; utiliser tous les moyens, « même légaux » comme dirait Maurras, pour faire entendre une voix qui ne soit pas celle des seuls intérêts particuliers ou capitalistiques ; <strong>« prendre le Pouvoir » pour instaurer un régime politique indépendant des oligarchies et des jeux politiciens</strong> (sans pour autant supprimer la nécessaire respiration démocratique et électorale des communes, des régions, de la nation), voilà qui n'est pas une simple réforme mais <strong>un véritable renversement de la logique qui prévaut aujourd'hui en notre République malade de ses propres principes et contradictions</strong>.</span></p><p><span style="font-size: medium;"> </span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY"><span style="font-family: Verdana,sans-serif; font-size: medium;"><strong>Un renversement qui se fera</strong>, non par la seule magie des urnes ou par la seule tempête de la rue, mais <strong>« par en haut »</strong>, par l'instauration d'un Pouvoir doté d'une légitimité assez forte et « libre » pour proposer <strong>un autre mode de distribution des pouvoirs et de « démocraties directes » locales et professionnelles, celles qui peuvent donner à nouveau l'envie aux citoyens d'exercer leurs droits et pouvoirs sans négliger leurs devoirs publics et civiques</strong>... </span></p><p><span style="font-size: medium;"> </span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium;"> </span></p><p><span style="font-size: medium;"> </span></p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium;"> </span></p><p><span style="font-size: medium;"> </span></p>
Kralyhttp://lessongesdunenuit.hautetfort.com/about.htmlChemins escarpés... (12)tag:lessongesdunenuit.hautetfort.com,2013-06-28:51056872013-06-28T05:00:00+02:002013-06-28T05:00:00+02:00 Vers les pouvoirs de la vie où s’ouvrent de multiples chemins, chemin de...
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'book antiqua', palatino; font-size: medium;"><span style="color: #ffff00;"><img id="media-4157708" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://lessongesdunenuit.hautetfort.com/media/02/02/1915680420.14.jpeg" alt="images-1.jpeg" />Vers les pouvoirs de la vie où s’ouvrent de multiples chemins, chemin de la connaissance, chemin de la recherche en soi, chemin de la conscience et d’autres… Mais c’est sur le chemin de la conscience que je veux m’arrêter, car IL est à lui seul le plus lumineux c’est celui qui t’élève au sein de l’espace par le<em> mudrã</em></span><span style="font-style: normal;"><span style="color: #ffff00;">, comme une danse spirituelle alors tes neurones se font les danseurs de ton esprit en mutation. Toutes les transmissions détentrices du savoir s’exposent alors à la richesse de ton intelligence en perpétuel mouvement. De cela, l’émergence de ce qui régit ton corps à toutes ses cellules qui activent avec force et détermination tout le fonctionnement organique de celui-ci en fait résolument une matière libérée. De cette matière en fusion, les imprégnations et déploiements de toute la vitalité sereine de ton être se terminent par un charmant sourire comme pour conclure une phrase que tes lèvres sensuelles dégagent.</span></span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; mso-pagination: none; mso-layout-grid-align: none; text-autospace: none;"><span style="color: black; font-family: 'book antiqua', palatino; font-size: medium;"><!--[if !supportEmptyParas]--> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; mso-pagination: none; mso-layout-grid-align: none; text-autospace: none;"><span style="color: #ff0000;"><em><span style="font-family: 'book antiqua', palatino; font-size: medium;">(Poème inédit de Franck Roy in "Chemins escarpés" à paraître)</span></em></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; mso-pagination: none; mso-layout-grid-align: none; text-autospace: none;"><span style="color: #ff0000;"><em><span style="font-family: 'book antiqua', palatino; font-size: medium;">à suivre...</span></em></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: Times; color: black;"><!--[if !supportEmptyParas]--> <!--[endif]--></span></p><p class="MsoNormal"><!--[if !supportEmptyParas]--> <!--[endif]--></p>
Boreashttp://verslarevolution.hautetfort.com/about.htmlLes fantasmagoriques pouvoirs de la CIAtag:verslarevolution.hautetfort.com,2012-12-26:49386262012-12-26T16:35:00+01:002012-12-26T16:35:00+01:00 « Les Etats-Unis n’ont absolument aucun besoin de la CIA pour...
<p style="text-align: center;"><img style="margin: 0.7em 0;" src="http://verslarevolution.hautetfort.com/images/cia.jpg" alt="cia.jpg" width="560" /></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">« <em>Les Etats-Unis n’ont absolument aucun besoin de la CIA pour <a href="http://www.politiqueinternationale.com/revue/article.php?id=77&id_revue=20&content=synopsis" target="_blank">financer la logistique de divers groupes</a> dont l’action peut, à court ou moyen terme, servir leurs propres objectifs. Les ONG y pourvoient déjà largement, à elles seules, et sans même avoir à en référer au Département d’Etat.</em></span></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Lorsque le Département d’Etat lui-même s’engage, c’est généralement lorsque la voie est libre, et la cause entendue. Et plus encore concernant la présidence… </span></em></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><em>A qui</em> [voudrait-on] <em><a href="http://www.voltairenet.org/article168673.html" target="_blank">faire croire</a> que <a href="http://verslarevolution.hautetfort.com/archive/2011/04/19/signes-avant-coureurs.html#c6666682" target="_blank">si la CIA</a> avait infiltré l’<a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Albert_Einstein_Institution#Controverse" target="_blank">Albert Einstein Institute</a>, elle exposerait ses membres aussi facilement en pleine lumière, sous les regards accusateurs de tous les paranoïaques de la planète en donnant à ceux-ci le pouvoir de la contrer</em> [...] <em>facilement</em> [...]<em>, mettant ainsi en péril la “bonne foi” – et les Américains sont ou plutôt étaient jusqu’à une certaine époque sourcilleux sur l’engagement de ce qu’ils estiment être leur bonne foi – de ce Département d’Etat ?</em></span></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">En 2001 et jusqu’à 2003, les Etats-Unis jouissaient encore de la confiance d’une majorité de la planète.</span> <span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Les militants patriotes sonnant le tocsin n’était pas si nombreux mais au moins la qualité était au rendez-vous : ils n’usaient que rarement et très prudemment de la grosse truelle estampillée CIA pour boucher les trous de leur construction analytique. Aujourd’hui elle est malheureusement la norme combien même la somme de documentation à disposition est bien plus imposante et directement disponible qu’elle ne l’a jamais été…</span></em></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><em>Concernant l’appartenance réelle, éventuelle, supposée ou simplement fantasmagorique de <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Otpor#Formation" target="_blank">Robert Helvey</a> à la CIA, le problème essentiel est que</em> [certains vivent] <em>cette question dans l’illusion de James Bond, super-espion omniscient et omnipotent qui peut remplir à lui seul toutes les tâches dévolues aux diverses strates d’un service secret qui n’existe qu’au cinéma.</em></span></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Le malheur est que cette base (retraité de l’US Army + ONG = CIA) se révèle bien trop fragile pour supporter tout le poids d’un si imposant échafaudage : on n’use pas aussi facilement de la CIA pour simplement remplir les blancs d’une construction conceptuelle aussi branlante. A Paranoïaland, au Pays du Grand N’importe Quoi, peut-être mais certainement pas dans le monde réel !</span></em></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><em>Parle-t-on vraiment d’un service secret dans</em> [la] <em>perception assez personnelle</em> [que certains ont] <em>de la CIA ?</em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><em>Dans l’expression “service secret”, le sens du mot “secret” semble visiblement</em> [leur] <em>échapper. Dans le cas de Robert Helvey, entre “services secrets” et “activités publiques”, ne</em> [voient-ils] <em>pas comme une sorte de contradiction ?</em></span></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Au vu des méthodes habituelles de ce service qui se sont souvent terminées en fiasco, en “remèdes pires que le mal”, ou en simples activités criminelles, on pourrait même considérer avec un peu de jugeotte, que moins la CIA s’impliquera dans une action décisive et plus cette action aura des chances d’atteindre des objectifs à court terme.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">La grande force des Etas-unis ne réside pas vraiment dans la réussite de ses services secrets, mais dans la réactivité de ses services politiques servis par une diplomatie très efficiente.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Ce n’est qu’en tant qu’agence de renseignement que la CIA peut seconder efficacement ces services, tâche bien moins aléatoire que celle de son Service Action dont [certains surestiment] les compétences réelles.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><em>Les Etast-Unis ne contrôlent ni n’organisent vraisemblablement rien à l’avance, moins encore sur le long terme (jusqu’à PREUVE du contraire mais de preuve</em> [il n'y en a pas] <em>trace), mais savent se saisir des opportunités offertes par les événements en cours.</em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><em>On pourrait aussi parler du bilan final de ce que</em> [certains affirment] <em>être des “opérations de la CIA” ; dans la version paranoïaque des choses, celle du contrôle américain de tous les rouages de l’action inhérente aux révolutions colorées et au delà, de tous les dérèglements politiques, et pourquoi pas climatologiques, qui affectent le monde.</em></span></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">De mémoire d’espions, ceux-là jugeraient sûrement n’avoir jamais eu de résultats aussi catastrophiques, inutiles et même souvent contre-productifs que ceux-ci :</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">1. Otpor, ombre fantasmagorique de “la CIA en Serbie”, n’a jamais cherché à s’emparer du pouvoir.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">2. Aucune de ces révolutions colorées ne passera le cap des 10 ans.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">3. Aucune n’a débouché sur un contrôle à long terme des tendances pro-américaines.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><em>4. L’OTAN n’a pas été élargi à tous ces pays concernés (les règles sont claires : aucun candidat ne peut être admis dans l’OTAN, tant qu’il ne contrôle pas la totalité de ses frontières ou reste en conflit frontalier avec ses voisins. J’imagine</em> [qu'on m'accordera] <em>tout de même que des agents de la CIA auraient su cela avant de “se lancer dans l’aventure”…).</em></span></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">5. Forte augmentation du loyer puis fermeture de la base américaine (ouverte en 2001 donc avant la “révolution des Tulipes”) du Kirghizistan prévue pour 2014.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">6. Fermeture définitive des bases américaines en Ouzbekistan (ouvertes en 2001 et 2002) en 2005.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">7. Les infrastructures des partis contestés par la population révoltée ont été laissées intactes, et une fois expurgés de leurs éléments les plus corrompus ou les plus tyranniques, ces partis ont pu revenir aux affaires sans changer une virgule de leur programme.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">8. Les premiers bénéficiaires des contestations populaires sont aujourd’hui tous marginalisés, ont été éliminés ou se retrouvent en prison, puisqu’ils ne sont eux-mêmes pas innocents de la corruption endémiques qui gangrènent ces pays. </span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Il est assuré que si on parvenait un jour à établir de manière irréfutable une quelconque activité de l’un ou l’autre service secret américain au cours des ces “révolutions”, leur discrédit serait encore mieux assuré qu’à l’heure actuelle.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Et certains espèreraient aujourd’hui nous repasser les mêmes plats pour impliquer cette même CIA dans le déclenchement des “printemps arabes”… Mais oui !</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">La réalité est aujourd’hui que seuls les gouvernements investis après une intervention militaire américaine officielle sont toujours en place, quand bien même ceux-là sont-ils extrèmement fragiles.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><em>Ce n’est jamais le cas de ceux nés d’une prétendue “intervention de la CIA”.</em> (...) »</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><a href="http://fortune.fdesouche.com/290769-la-bataille-pour-leurasie-va-t-elle-saccelerer/comment-page-1#comment-573418" target="_blank">@Lothaire</a></span></p>
Greg Armatoryhttp://dartetdamour.hautetfort.com/about.htmlX-Men : Le commencement (First Class)tag:dartetdamour.hautetfort.com,2011-06-11:36650482011-06-11T21:24:00+02:002011-06-11T21:24:00+02:00 Les Mutants sont de retour...ou plutôt ils arrivent, étant donné que...
<p style="text-align: center;"><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif;"><img id="media-3062003" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://dartetdamour.hautetfort.com/media/00/00/3425319377.jpg" alt="x-men, x-men first class, mutants, comics" width="368" height="308" /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia,palatino; color: #000000; font-size: large;">Les Mutants sont de retour...ou plutôt ils arrivent, étant donné que ce nouvel opus des X-Men raconte la création de l'école fondée par Charles Xavier et Magneto alors qu'ils sont de jeunes surdoués idéalistes et pas encore farouchement opposés.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia,palatino; color: #000000; font-size: large;">Evidemment, la surprise est beaucoup moins au rendez-vous. On en est au 4ème chapitre de la série et depuis les super-héros (et les super pouvoirs) ont inondé les grands écrans au point de les rendre presque ordinaires.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia,palatino; color: #000000; font-size: large;">Seulement, il y a quelques éléments de poids qui font de ce Commencement, une pierre de taille à l'édifice.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia,palatino; color: #000000; font-size: large;">Tout d'abord un casting sur-mesure avec James "<span style="color: #3366ff;"><a href="http://dartetdamour.hautetfort.com/archive/2014/11/07/wanted-cinema-critiques-5485063.html" target="_self"><span style="color: #3366ff;">Wanted</span></a></span>" McAvoy dans la peau et l'esprit de Charles Xavier. Le jeune comédien s'en sort honorablement d'autant plus qu'il joue le personnage à un âge où il est encore un homme avec tout ce que cela sous-entend. La comparaison avec Patrick Stewart est donc hors de propos. C'est aussi bien.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia,palatino; color: #000000; font-size: large;">Vient Michael Fassbender dans le rôle très convoité de Magneto. Un autre choiX de qualité car le comédien, au-delà de son charisme évident, distille une énergie tour à tour sombre et séduisante qui sied à merveille au personnage d'Erik Lensherr, pour le moins torturé et ambigü. Son parcours de vengeance n'est d'ailleurs pas sans rappeler celui du jeune Hannibal Lecter. Troublante ressemblance de destin qui ne fait que renforcer l'émotion déjà très présente tout au long du film.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia,palatino; color: #000000; font-size: large;">Le troisième gros atout de la distribution n'est autre que Kevin Bacon (<span style="color: #3366ff;"><a href="http://dartetdamour.hautetfort.com/archive/2012/07/23/death-sentence-par-james-wan.html" target="_self"><span style="color: #3366ff;">Death Sentence</span></a></span>) dans le rôle de Sebastian Shaw, le dirigeant du Club des Damnés allié à Emma Frost. Après avoir composé un autre Sebastian consumé par un prodigieuX pouvoir dans Hollow Man, l'acteur remet le couvert avec un plaisir décuplé. Le spectateur est lui aussi comblé. Qui mieuX que lui aurait pu incarner celui par qui le mal arrive ?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia,palatino; color: #000000; font-size: large;">Mais le film vous réserve bien d'autres surprises, car les références auX autres épisodes et membres de la saga sont légion, quitte à perturber quelque peu la mythologie telle que nous la connaissons. Attendez-vous donc à voir des têtes connues !</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: georgia,palatino; color: #000000; font-size: large;"><img id="il_fi" style="padding-right: 8px; padding-top: 8px; padding-bottom: 8px;" src="http://popbabble.files.wordpress.com/2013/03/x-men-first-class-nicholas-hoult-glasses.jpg" alt="Afficher l'image d'origine" width="320" height="240" /> <br /></span></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: georgia,palatino; color: #000000; font-size: large;">Hank McCoy alias Le Fauve est incarné dans sa jeunesse par le talentueux Nicholas Hoult (mémorable zombie de <span style="color: #3366ff;"><a style="color: #3366ff;" href="http://dartetdamour.hautetfort.com/archive/2013/03/19/warm-bodies-cinema-critiques.html">Warm Bodies</a></span>). Mais ce choix devient discutable physiquement lorsqu'on réalise qu'il ressemble beaucoup à James Marsden alias Cyclope dans la première trilogie. Choix encore plus discutable quand on lui assigne (comme de par hasard) la VF de James Marsden (oui, très con !)</span></em></p><p><em><span style="font-family: georgia,palatino; color: #000000; font-size: large;"><img id="il_fi" style="padding-right: 8px; padding-top: 8px; padding-bottom: 8px; display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="http://static.comicvine.com/uploads/original/12/124575/3085462-8465011968-Marsd.jpg" alt="Afficher l'image d'origine" width="326" height="196" /></span></em></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia,palatino; color: #000000; font-size: large;">Si le film est principalement construit sur la crise des missiles de Cuba, le scénario est assez malin pour s'en rapprocher et s'en éloigner aux bons moments, introduisant les futurs enjeuX de la lutte Humains/Mutants de manière réaliste.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia,palatino; color: #000000; font-size: large;">Tout comme dans les autres films, les thèmes de la différence, de la tolérance et naturellement de l'eXclusion sont au coeur de l'intrigue. En cela ce volet est très cohérent. On peut toutefois reprocher le traitement de certains personnages allant trop dans le sens de la chronologie de la série au détriment de celui de la logique. Les effets spéciauX, quant à euX, sont toujours dantesques avec un morceau de bravoure final comme on peut en espérer dans ce genre de Blockbuster intelligent. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia,palatino; color: #000000; font-size: large;">Après son cultissime Kick-Ass, Matthew Vaughn s'assagit, mais n'en reste pas moins très efficace dans l'eXercice. On aurait aimé peut-être un peu plus de mordant pour certaines scènes, mais le public visé n'étant assurément pas le même, on comprendra.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia,palatino; color: #000000; font-size: large;">Un retour en fanfare qui devrait se transformer en triomphe au boX-office.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia,palatino; color: #000000; font-size: large;">(Si vous voyez des X partout, c'est normal !!!)</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: small; color: #000000;"><em><span style="background-color: #ffffff;">T’as aimé…ou pas</span></em></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: small; color: #000000;"><em><span style="background-color: #ffffff;">T’as tout lu, tout vu, tout entendu…ou pas</span></em></span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: small; color: #000000;"><em><span style="background-color: #ffffff;">Peu importe, post un com et like la page pour dire que tu existes car ton avis est important pour moi, mais aussi pour le futur de ce blog, un gros merci d’avance !</span></em></span></p>
Kralyhttp://lessongesdunenuit.hautetfort.com/about.htmlLa Maison de demain...tag:lessongesdunenuit.hautetfort.com,2011-05-24:35701752011-05-24T05:34:30+02:002011-05-24T05:34:30+02:00 Présentation de la maison de demain !
<p><iframe width="480" height="269" frameborder="0" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/xisg26?theme=spring&foreground=%23C2E165&highlight=%23809443&background=%23232912"></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/xisg26_presentation-de-la-maison-de-demain_tech" target="_blank">Présentation de la maison de demain !</a> </p>
Ghttp://yoga.hautetfort.com/about.htmlYoga-Sutrastag:yoga.hautetfort.com,2010-09-19:29048112010-09-19T15:18:23+02:002010-09-19T15:18:23+02:00 "Les pouvoirs sont innés ou engendrés par l’utilisation de plantes, de...
<p>"Les pouvoirs sont innés ou engendrés par l’utilisation de plantes, de mantras ou par la pratique du Yoga et du Samadhi."<br /><br />Patanjali IV.1</p>
Ghttp://yoga.hautetfort.com/about.htmlYoga-Sutrastag:yoga.hautetfort.com,2010-04-26:27100932010-04-26T15:07:14+02:002010-04-26T15:07:14+02:00 "Se détacher de tous ces pouvoirs conduit à la suprême Liberté, quand toute...
<p>"Se détacher de tous ces pouvoirs conduit à la suprême Liberté, quand toute semence d'erreur a été détruite."</p> <p>Patanjali III.51</p>
Ghttp://yoga.hautetfort.com/about.htmlYoga-Sutrastag:yoga.hautetfort.com,2010-04-24:27100922010-04-24T16:01:00+02:002010-04-24T16:01:00+02:00 "Connaître seulement la différence entre la guna Sattva (état de...
<p>"Connaître seulement la différence entre la <a title="Gunas" href="http://yoga.hautetfort.com/archive/2010/04/03/bhagavad-gita-chapitre-xiv.html" target="_blank">guna</a> Sattva (état de l'équilibre, de l'harmonie et de la lumière) et le principe absolu suffit à donner le pouvoir sur toutes les manifestations et la connaissance de toute chose."</p><p>Patanjali III.50</p>
Ghttp://yoga.hautetfort.com/about.htmlYoga-Sutrastag:yoga.hautetfort.com,2010-04-20:27100832010-04-20T16:13:14+02:002010-04-20T16:13:14+02:00 "Grâce au Samyama, on obtient la maîtrise des sens, sur leur pouvoir de...
<p>"Grâce au Samyama, on obtient la maîtrise des sens, sur leur pouvoir de perception, leur substance propre, le sentiment d'exister qu'ils procurent et la relation entre ces caractéristiques et leur fonction."</p> <p>Patanjali III.48</p>
J.-P. Chauvinhttp://jean-philippechauvin.hautetfort.com/about.htmlRisques de la démocratie, possibilités de la monarchie.tag:jean-philippechauvin.hautetfort.com,2009-12-07:25039092009-12-07T21:18:25+01:002009-12-07T21:18:25+01:00 La récente votation citoyenne en Suisse a provoqué un véritable tonnerre...
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 11pt;">La récente <b>votation citoyenne en Suisse</b> a provoqué un véritable tonnerre de réactions, de joie comme d’indignation, au risque de masquer certains éléments de réflexion soulevés par les résultats inattendus de celle-ci. En fait, cet événement politique a relancé la double polémique sur « <b>le peuple</b> » et « <b>la démocratie </b>», polémique qui, en France depuis le premier tour de l’élection présidentielle de 2002 et le référendum sur le traité constitutionnel européen, rebondit désormais régulièrement sans parfois beaucoup de discernement et de retenue, de part et d’autre !</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 11pt;"> </span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 11pt;">Car, enfin, de quoi s’agit-il ? De savoir si la démocratie, si la pratique de celle-ci, rejoint le mot et son étymologie connue : « <b>Pouvoir du peuple</b> » ; de savoir si la forme « <b>démocratie directe</b> » est plus, ou moins démocratique que la forme « <b>démocratie représentative</b> » ; mais aussi de savoir ce que l’on met derrière le mot « <b>peuple</b> » et derrière l’expression « <b>pouvoir du peuple</b> » ; de savoir si, en fait, les débats actuels ne traduisent pas, au-delà de la nature de la démocratie, une sorte de « <b>crise de la démocratie</b> » ou, plus encore, la crise de la politique dans nos pays et la mésentente entre ce que Maurras nommait « <b>Pays légal</b> » et « <b>Pays réel</b> »…</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 11pt;"> </span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 11pt;">Au regard des réactions indignées des gouvernements européens, il semble que <b>la démocratie directe ne soit pas la plus appréciée par les Démocraties occidentales</b> car, en remettant la décision politique aux électeurs eux-mêmes, pourtant théoriquement et constitutionnellement considérés comme source de la souveraineté et de la légitimité démocratique, le risque paraît trop grand pour les élites d’une « <b>brutalité originelle</b> » (ainsi que l’évoquent quelques constitutionnalistes) de la « <b>Vox populi</b> », c’est-à-dire, plus clairement, d’une inadéquation entre les idées des électeurs (en fait de la majorité d’entre eux) et les nécessités de la diplomatie et de l’art de gouverner… La démocratie représentative est censée être le filtre nécessaire aux volontés des électeurs, puisqu’<b>elle limite le champ de la décision des votants à la sélection effectuée par eux de leurs représentants</b> : d’où le poids pris par les partis dans cette forme de démocratie qui prétend ne pas confisquer le pouvoir des électeurs mais le (et les) représenter.</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 11pt;"> </span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 11pt;">Je ne trancherai pas ici sur la meilleure forme de démocratie (pour autant qu’il y en ait une, ce qui n’est pas forcément impossible) ni sur les contradictions que ce que j’évoque plus haut entraîne au cœur même de la démocratie, dans son esprit comme dans sa pratique. Mais je profite de l’occasion pour rappeler que, sans être un régime parfait (ce qui n’existe d’ailleurs pas, puisque le politique est éminemment humain, et que l’humanité se définit justement par son imperfection qui la distingue de la divinité, selon la théorie classique), <b>la Monarchie « à la française » dépasse certaines contradictions de la démocratie parce qu’elle distingue des espaces politiques différents</b>, dont chacun dispose de ses propres modes de légitimation et de pratique (<b>le couple monarchie a-démocratique/démocratie a-monarchique</b>) : ce que le légiste de l’Ancien Régime résumait par la formule « <b>Sub rege, rei publicae</b> » (« <b>Sous le roi, les libertés publiques</b> » ou, mieux, « <b>les</b> <b>républiques</b> »). Maurras le traduira par la formule « <b>l’autorité en haut (au sommet), les libertés en bas (à la base)</b> ».</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 11pt;"> </span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 11pt;">Ainsi, <b>autant la magistrature suprême de l’Etat ne doit rien au choix des électeurs</b>, ce qui permet une grande liberté de décision à celle-ci (y compris pour prendre ou faire approuver les plus difficiles et les moins « populaires » aux yeux des citoyens-contribuables), <b>autant un certain nombre de décisions sont-elles laissées à l’appréciation des citoyens dans leurs sphères de vie et de représentation professionnelles et locales</b> : cela peut éviter bien des frustrations et, surtout, redonner le sens des responsabilités personnelles et publiques aux électeurs tout en leur permettant de décider, non de tout, mais de ce qui peut directement influer sur leur vie et sur lequel ils peuvent agir sans menacer l’équilibre social et national. Il ne s’agit plus pour les citoyens de seulement « <b>arbitrer les élites</b> » (comme c’est aujourd’hui le cas, de la présidentielle aux régionales façon actuelle) ou de répondre, parfois violemment aux décisions ou aux oukases du « pays légal », mais de « <b>reprendre leurs pouvoirs</b> », concrets, politiques ou professionnels, communaux ou provinciaux, etc. et de les exercer dans un cadre délimité qui n’empiète pas sur les pouvoirs régaliens de l’Etat, pouvoirs dont il est bon de mieux définir le cadre pour éviter des malentendus qui dresseraient les uns contre les autres. Subtil équilibre pas forcément facile à trouver puis à faire respecter, il faut l’avouer…</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 11pt;"> </span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 11pt;">L’architecture de la <b>Nouvelle Monarchie</b> est évidemment à construire mais <b>le principe d’une séparation des domaines d’exercice des Pouvoirs doit permettre d’atténuer les risques de conflits et de confusion entre les uns et les autres</b> : quand nos démocraties actuelles semblent incapables de penser la diversité des espaces politiques autrement qu’en termes de conflictualité et d’affrontement, la Monarchie « à la française » pratique une « <b>distinction et complémentarité active des pouvoirs </b>» au sein du territoire national, sans négliger pour autant d’ailleurs le jeu des partis et l’espace électoral européen.</span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 11pt;"> </span></p> <p class="MsoNormal" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: Verdana; font-size: 11pt;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span></span></p>
Ghttp://yoga.hautetfort.com/about.htmlYoga-Sutrastag:yoga.hautetfort.com,2009-02-27:20713832009-02-27T17:34:00+01:002009-02-27T17:34:00+01:00 Les Siddhis (Pouvoirs) "Au stade du Samyama, on a la connaissance du...
<p>Les Siddhis (Pouvoirs)</p> <p>"Au stade du Samyama, on a la connaissance du passé et du futur."</p> <p>Patanjali III.16</p>
J.-P. Chauvinhttp://jean-philippechauvin.hautetfort.com/about.htmlLes partis et l'arbitre.tag:jean-philippechauvin.hautetfort.com,2008-11-30:19229662008-11-30T00:38:34+01:002008-11-30T00:38:34+01:00 Sur ma précédente note a été déposé un commentaire qui me permet de...
<p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><i><span style="font-size: 10pt; font-family: Verdana; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">Sur ma précédente note a été déposé un commentaire qui me permet de préciser utilement mon point de vue sur les partis politiques</span></i> <span style="font-size: 10pt; font-family: Verdana; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">:</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 10pt; font-family: Verdana; mso-bidi-font-size: 12.0pt;"><br /> je suis effectivement opposé, assez logiquement, au régime des partis qui fait de l'Etat une proie et l'empêche d'assumer complètement ses devoirs, responsabilités et droits régaliens.<br /> Mais cela ne veut pas dire que je souhaite la fin ou la disparition des partis, je souhaite juste qu'ils ne monopolisent pas le Pouvoir dont ils ne doivent pas être les maîtres, mais les conseillers, les critiques aussi, etc.<br /> Dans une Monarchie "à la française", <b>la magistrature suprême de l'Etat échappe aux jeux des partis</b> dans le sens où <b>le souverain n'est pas leur élu</b> et qu'il n'est pas le résultat d'un choix mais au contraire celui d'un "hasard" et de la transmission du Pouvoir par une dynastie de hasards...<br /> Dans cette optique <b>le roi est donc indépendant et libre des partis sans, pour autant négliger leur présence, leur importance, leur rôle</b> au sein des assemblées, des institutions régionales, municipales ou nationales,voire européennes.<br /> <b>Le jeu politique</b> n'est pas exactement déséquilibré, il <b>repose juste sur une autre architecture des rapports politiques et des institutions de Pouvoir au sein du pays</b> : provinces, communes, chambres syndicales, professionnelles, agricoles, etc., exercent des pouvoirs qui peuvent, par rapport au pouvoir central, apparaître comme des <b>contre-pouvoirs</b>, capables de représenter des opinions et idées diverses, et de gouverner les collectivités locales et régionales.</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 10pt; font-family: Verdana; mso-bidi-font-size: 12.0pt;">En somme, cette structuration institutionnelle peut se résumer par "<b>les pouvoirs locaux à la base, aux citoyens ; l'autorité de l'arbitrage au sommet</b>". Coordonnateur, arbitre, éventuellement à l'origine des grandes impulsions, le roi n'est pas "seul" au pays, il laisse les communautés locales se gouverner par elles-mêmes, dans le cadre et les limites de l'unité française.<br /> <b>Cette nouvelle structuration institutionnelle permet une redistribution concrète des pouvoirs</b>, ce qui n'empêchera pas tous les conflits mais contribuera à les "amortir"...<br /> En tout cas, la monarchie peut jouer, de par son indépendance statutaire et réelle, ce pour quoi elle est faite en priorité : son rôle d'arbitre.<br /> Ainsi, la lutte des factions, si elle peut se poursuivre, est-elle toujours surplombée et limitée par l'autorité de "<b>l'arbitre-roi</b>".<br /> Mais, là encore, n'imaginons pas un roi omniprésent et "big brother", mais bien plutôt un souverain (et non un suzerain) capable d'écouter et de trancher, de décider...</span></p> <p style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify;" class="MsoNormal"><span style="font-size: 10pt; font-family: Verdana;"> </span></p>
guyhttp://unsoirouunautre.hautetfort.com/about.htmlTimon-Macbeth: 34-10tag:unsoirouunautre.hautetfort.com,2007-10-19:12410032007-10-19T23:50:00+02:002007-10-19T23:50:00+02:00 Le match est disputé sur un terrain qui n'est pas neutre. Sur lequel les...
<p>Le match est disputé sur un terrain qui n'est pas neutre. Sur lequel les deux équipes se sont entraînées: la salle Laborey du <a target="_blank" href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/tag/T.N.O.">T.N.O</a>.. Mais chaque camp joue seul et en alternance, devant un public silencieux, ni cornes de brumes ni sifflet. Quand à <img name="media-613484" src="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/media/00/00/edefe139363371222d9a74a679a4093c.jpg" alt="f661ae2a6ca0d7997ec45348352e1e30.jpg" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt; border-width: 0pt" id="media-613484" />l'arbitre, c'est le grand Will en personne. Dans les ceux équipes, pas de stars internationale, mais des talents déjà remarqués. A noter, au nombre des transferts, <b><font color="#FF0000">Audrey Sourdive</font></b>, déjà remarquée en pilier dans la mêlée des religieuses de <a target="_blank" href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/archive/2007/04/01/port-royal.html"><b>Port Royal</b>,</a> ici talentueuse dans le rôle de la Lady. <a target="_blank" href="http://www.macbeth-2007.com/"><b>Macbeth</b></a> part favori, avec l'avantage de la notoriété, un public presque acquis, plus exigeant aussi? <a target="_blank" href="http://la.torche.ardente.free.fr./cadrefin.htm"><b>Timon d'Athenes</b></a> du même <b>Shakespeare</b> est un outsider, quasi inconnu, mal aimé des critiques, qui vont même jusqu'à douter de la paternité de la pièce.</p> <p>Las, Macbeth peine à marquer, un peu joué ras le texte. Beaucoup de passes manquées entre les acteurs, pas tous du même niveau. Jouent ils trop perso? Déception, on se souvenait de l'entraîneuse plus inspirée par <b><a target="_blank" href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/archive/2006/07/19/pasiphae-mais-on-s-y-fie-quand-meme1.html">Montherlant</a></b>. ll y a des beaux moments de jeu, pourtant, mais trop de démonstrations inutiles, de longueurs plombés d'emphase. On se disperse, sans rentrer dans nos 22 mètres. La sorcière marque un essai, mais pas pas vraiment transformé. Trop de pression? Manque d'entraînement ?</p> Timon fait vite la différence, d'une élégance intemporelle, en habit chic colonial. On se souvient de la performance de l'équipe sous la bannière de <b><a target="_blank" href="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/archive/2006/05/21/jeanne-et-les-juges-mais-ils-vont-la-bruler.html">Jeanne d'Arc</a></b>. Le terrain dramatique est ce soir<img name="media-613742" src="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/media/01/02/a0b0305ed2940ae2cdd33e5b0eff6c36.jpg" alt="43fb9e1190dd68ce707aa010afb73124.jpg" style="float: right; margin: 0.2em 0pt 1.4em 0.7em; border-width: 0pt" id="media-613742" /> bien occupé, dominé d'un bout à l'autre. L'avantage est assuré par un jeu de haut niveau dés le début de partie, sur les thèmes de la prodigalité de Timon et de l'hypocrisie de ses invités. <strong><font color="#FF0000">Jerome Keen</font></strong> marque l'essai. Actions d'équipes brillantes à la mi temps, alors que Timon est ruiné, la scène du banquet d'eau chaude servi aux convives avides est d'une précision et d'une énergie à couper le souffle. Dans un même mouvement, l'aisance et l'efficacité. La transformation est réussie, lors d'une belle malédiction jetée à la face d'Athènes, par un Timon amer. Le choc: on est plaqué. Fin de partie un peu moins vive, plus défensive, avec Timon l'ermite.<br /> <p>C'était <a target="_blank" href="http://www.macbeth-2007.com/"><b>Macbeth</b></a>, mis en scène par <b>Damiane Goudet</b>, et <a target="_blank" href="http://la.torche.ardente.free.fr./cadrefin.htm"><b>Timon d'Athènes</b></a> (traduit par Jean-Claude Carrière) mis en scène par <b>Cyril Le Grix</b> - <a target="_blank" href="http://la.torche.ardente.free.fr./">La Torche Ardente,</a> au <a target="_blank" href="http://theatredunordouest.com/"><b>T.N.O.</b></a> en alternance jusqu'à début mars, dans le cadre de 'intégrale <b>Shakespeare.</b></p> <p><a href="mailto:unsoirouunautre@yahoo.fr">Guy</a></p> <p>P.S. : <a target="_blank" href="http://la.torche.ardente.free.fr./cadrefin.htm">des photos de Timon, ici</a></p>
guyhttp://unsoirouunautre.hautetfort.com/about.htmlShakespeare, pleine mesuretag:unsoirouunautre.hautetfort.com,2007-08-10:11505262007-08-10T17:05:00+02:002007-08-10T17:05:00+02:00 Parvenu dans la salle du bas, on traverse comme à chaque fois la...
<p>Parvenu dans la salle du bas, on traverse comme à chaque fois la scène pour rejoindre son fauteuil. Mais on est accueilli ce soir sur cette scène par des jeunes gens qui y dansent, jouent de la guitare et des oeillades langoureuses. <img name="media-485615" src="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/media/00/01/f620369d277fe86b039739a720717599.jpg" alt="5c253727713ad0541e02345447c02e02.jpg" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; border-width: 0px" id="media-485615" />Belle troupe qui chante à l'unisson, dont trois rousses qu'un ado dévore des yeux. Belle invitation, évocation un peu canaille, mais assez sage à tout prendre, des bas-fonds de Vienne.</p> <p>On s'y amuse, dans ces bas-fonds, mais pas pour très longtemps. Car le Duc décide de quitter Vienne et laisser les pleins pouvoirs à son régent, Angelo, que celui ci remette de l'ordre dans les moeurs et la cité. Que la loi soit y appliquée dans toute sa rigueur originelle. Première mesure prise pour l'exemple: condamner à mort le jeune Claudio au motif de fornication.</p> <p>Difficile d'attaquer de manière plus extrême, on peut après ce départ en force considérer dans quelles situations la justice doit s'oublier pour accepter la tentation du pardon. Avec une intrigue qui se complique, car, comme souvent chez <strong>Shakespeare,</strong>les masques se flouent ou tombent: le pur et dur Angelo n'est pas si pur que cela, d'une humanité même odieuse à force de passions secrètes. Tandis que le Duc, allégé du poids de l'autorité, revient incognito observer les résultats de l'expérience: c'est un air connu et repris dans maints contes. Dilemme sur Dilemme, chez chacun des personnages s'affrontent en un combat aux ressonnances érotiques la rigidité des principes et la fragilité de la condition humaine. En premier lieu chez Isabella, soeur de Claudio, mise en situation de céder aux avances d'Angelo et ainsi pécher contre ses voeux de nonne. Mais pour la bonne cause: sauver par là la tête de son frère. Chacun des protagonistes se partage, confronté à la décision. C'est dialectique et joué sur le rythme d'une réthorique jamais pesante et trés moderne, on croirait par moment voir du Montherlant.</p> <p>Avant <strong>Hamlet, le Roi Lear, Othello</strong> et consorts à la rentrée, le <a target="_blank" href="http://theatredunordouest.com/"><strong>T.N.O</strong>.</a> prend le risque de laisser un peu de place dans cette <strong>intégrale Shakespeare</strong> à des jeunes compagnies. Sans convaincre à tous les coups- on a vu peu avant ici un <strong>Conte d'Hiver</strong> entrepris avec un peu trop de naïveté. Mais en permettant d'excellentes surprises. C'est ce soir le cas: passé la nervosité un peu palpable des premières minutes, l'enthousiasme paye. Car il est ici justement question de générosité, d'appétit de vivre et d'aimer malgré les lois et les règles. La pièce commence en drame, mais c'est le pardon et la tolérance qui ont le dernier mot, dans une très belle conclusion, sage et appaisée. D'une thématique, c'est assez inhabituel chez Shakespeare, nettement chrétienne.</p> <p>C'était <strong><em>Mesure pour Mesure</em></strong> de <strong>William Shakespeare,</strong> mis en scène par <strong>Béla Grushka,</strong> en alternance jusqu'en février 2008 au <strong><a target="_blank" href="http://theatredunordouest.com/">T.N.O.</a></strong>, dans le cadre de l'intégrale Shakespeare.</p> <p>Guy</p>
guyhttp://unsoirouunautre.hautetfort.com/about.htmlScapin sans pitiétag:unsoirouunautre.hautetfort.com,2007-06-30:11123212007-06-30T11:50:00+02:002007-06-30T11:50:00+02:00 Le théâtre contemporain n'a peut être pas eu grand chose à inventer,...
<p>Le théâtre contemporain n'a peut être pas eu grand chose à inventer, question noirceur, violence et férocité. C'est ce à quoi l'on songe devant le spectacle de <b>Scapin</b> qui roue de coups de bâton un vieillard enfermé dans un sac. Les enfants rient, n'ayant pas pris la mesure de la barbarie de la scène. Et ont ils vraiment tout compris de l'intrigue? C'est loin d'être sûr, tant tout est mené tambour battant, par un Scapin surexcité, franchement inquiétant. Avec l'allure d'un affairiste qui aurait un peu trop tiré sur la coke. Pourtant pas d'anachronismes bon marché, tout est joué d'époque et en costumes, avec toute la belle énergie du théâtre de tréteaux. Rien n'est sacrifié de la langue de <b>Molière(1622-1673)</b>, archaismes compris.</p> <p>Car c'est d'une actualité plus insidieuse. Rien n'a changé sous le soleil. Les vieux ont l'argent et restent assis dessus. Et voudraient en prime être respectés. Leurs fils pourraient chanter le <i>Young Man's blues</i>de Moses Allison popularisé par "The Who": <i>you know nowadays, It's the old man, He's got all the money. And a young man ain't got nothin' in the world these days, I said nothing.</i> Scapin lui ne se plaint pas, il ne chante pas: il agit. Il pense, il intrigue. Mi voyou mi jeune-loup, avec la tchache d'un agent immobilier surdoué et sans scrupule, qui voudrait gagner assez d'argent et assez vite pour prendre sa retraite à trente ans. Quand on a rien, tous les moyens sont bons. Les intrigues amoureuses des jeunes premiers un peu ternes, contrariés par les desseins des pères qui par dessus tout entendent posséder et contrôler la vie des autres, passent au second plan. Tout est concentré en ce combat à mort, d'une virtuosité verbale sans égal, entre Scapin (<b><font color="#FF0000">Arnaud Denis)</font></b> et les deux vieillards <font color="#FF0000"><b>(Jean Pierre Leroux et Bernard Métraux</b></font>), plus vieillards que nature. C'est méchant, virtuose et bien mené. Si drôle et hargneux, que la réconciliation finale ne peut tromper personne.</p> <p>C'étaient <b>Les Fourberies de Scapin</b> de <b><font color="#FF0000">Molière</font></b>, mis en scène par <b><font color="#FF0000">Arnaud Denis</font></b>, au <b><a target="_blank" href="http://www.theatre13.com/">Théatre 13</a></b>.</p> <p>Guy</p>
guyhttp://unsoirouunautre.hautetfort.com/about.htmlBaudelaire: l'éternel procéstag:unsoirouunautre.hautetfort.com,2007-03-20:9398912007-03-20T22:40:00+01:002007-03-20T22:40:00+01:00 Baudelaire est à terre. A genoux, défait, prostré, il fouille sa...
<p style="margin: 0cm 0cm 0pt" class="MsoNormal"><img src="http://unsoirouunautre.hautetfort.com/images/thumb_baudelaire2.jpg" alt="medium_baudelaire2.jpg" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; border-width: 0px" /></p> <p><a target="_blank" href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Baudelaire">Baudelaire</a> est à terre. A genoux, défait, prostré, il fouille sa plaie du tranchant de ses mots, pendant que de l’ombre, émerge une future mariée. Sans visage, inaccessible. Sa montée silencieuse répond à l’implacable descente au cœur de l’âme dévastée de Baudelaire, dont la litanie déchire un silence devenu palpable. La blancheur virginale de sa robe est portée par l’acquiescement muet du fond noir. Le noir neutre de l’institutionnel, de la morale, celui de la décence. Derrière des paravents, les ombres jetées de la bêtise et de l’hypocrisie, sur fond gris. Au premier plan, Baudelaire lumineux se détache de l’obscurité qui emprunte ici au noir de l’exigence. Celui de l’absolu, de la solitude et du dépouillement. A ses côtés, juste une petite table, pour l’élégance. Entre ces deux conceptions du noir, deux cubes de scène pour le décalage permanent des niveaux de discours, car on ne s’adresse au poète que de haut. La justice d’abord, par le biais du procureur Pinard, puis les institutions, à travers « la jeune file assassin de l’art », celée sous son voile nuptial. La société, ses pairs, en groupes de vautours, toujours de biais. La pièce, emportée par un texte implacable prend toutes les allures d’une mise à mort. Le dialogue entre le procureur et le poète, celles d’un duel impossible, entre création et morale. Jeté hors la loi, hors le monde dans sa solitude et son isolement, le poète expie, vulnérable, presque enfantin dans sa souffrance.</p> <p>C'était <strong>Le Procés des Fleurs du Mal</strong> de <strong><font color="#FF0000">Philippe Blondeau</font></strong>, mis en scène par <font color="#FF0000"><strong>Georges Zaragoza</strong></font>, avec les <strong>Compagnons d’Eleusis</strong> au Théâtre Municipal d’Epinal, vendredi 9 mars, dans le cadre du printemps des poètes, 150 ans après les faits.</p> <p><a target="_blank" href="http://www.amazon.fr/exec/obidos/ASIN/2847640142"><strong><font color="#FF0000">Isabelle Viéville Degeorges</font></strong></a></p>
guyhttp://unsoirouunautre.hautetfort.com/about.htmlPirandello est un géanttag:unsoirouunautre.hautetfort.com,2007-01-17:8321182007-01-17T22:55:00+01:002007-01-17T22:55:00+01:00 Le texte est inachevée, et se suspend ainsi sur un instant si beau- un...
<p>Le texte est inachevée, et se suspend ainsi sur un instant si beau- un très surprenant tombé de rideau-qu'on en reste le souffle coupé.</p> <p>Pièce inachevée à la mort de <a target="_blank" href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Luigi_Pirandello"><b><span style="color: #ff0000;">Pirandello</span></b></a>(1867-1936), et de la mort il est beaucoup question: la mort du poète, qui s'est tué par amour pour l'actrice, comme il avait écrit la pièce par amour pour elle, la mort du comédien qui se rêve en train de se pendre- ou rêve-t-il le rôle du poète?-, la mort qui guette la vieille guidée par les anges- mais peut-être est elle déjà morte, en tout cas elle le croit. Et les personnages encore un peu vivants ne sont pas très en forme, presque déjà des âmes en peine, comédiens dans la pièce, comédiens déclassés dans une société qui ne s'interesse plus à voir jouer, qui errent en poussant une charrette à bras jusqu'à cet endroit tout à l'écart du monde. </p> <p>Un lieu de l'entre-deux, un refuge où éclosent les rêves. Y Règne sur sa cours des miracles un magicien pouilleux: Coltrone- <b><span style="color: #ff0000;">Hervé Pierre</span></b>- personnage surnaturel, charnel et enfantin à la fois. Mais qu'est ce qui est dehors, qu'est ce qui est dedans? Où est le foyer et où est l'exil? Car peut-être les acteurs sont ils arrivés là dans le dernier endroit où ils peuvent jouer et être? Eux en qui s'incarnent les esprits d'autres, alors que le magicien fait des corps émerger les spectres, et imagine la réalité.</p> <p>De cet endroit la nuit on ne peut s'échapper alors que les rêves prennent forme. Où n'est ce que procédés et illusions? Qu'importe de le savoir, il faut rester tel un enfant et croire. C'est à ce moment de la pièce dans la pièce qu'est mis joyeusement en oeuvre toute l'arsenal des artifices: mime, masques, pantin, fumées, substitutions, lumières, décors en trompe-l'oeil. Ce qui était une réflexion sur l'agonie du théâtre se transforme ainsi en la plus belle démonstration de sa vitalité.</p> <p>Dans l'ombre intimidante des <b>Géants de la Montagne</b>, qui incarnent le matérialisme et la stupidité du monde de demain, ces bâtisseurs de murailles, dont les comédiens devraient peut-être flatter l'orgueil, pour ne pas mourir de faim. Nous sommes en Italie peut-être, en 1936. Mais ces géants là sur scène on ne les verra pas. Pour cause propice d'inachèvement. Seul sur la scène le théâtre se représentant lui même en abîme aura droit de cité.</p> <p>C'étaient "<b><a target="_blank" href="http://www.theatredelaville-paris.com/theatre/cadre_theatre.htm">Les Geants de la montagne"</a> </b> <span><b><span style="font-family: Times New Roman; color: #ff0000;"><span><b><span style="font-family: Times New Roman; color: #ff0000;"><span><b><span style="font-family: Times New Roman; color: #ff0000;">♥</span></b></span></span></b></span><span><b><span style="font-family: Times New Roman; color: #ff0000;"><span><b><span style="font-family: Times New Roman; color: #ff0000;"><span><b><span style="font-family: Times New Roman; color: #ff0000;">♥<span><b><span style="font-family: Times New Roman; color: #ff0000;"><span><b><span style="font-family: Times New Roman; color: #ff0000;"><span><b><span style="font-family: Times New Roman; color: #ff0000;">♥<span><b><span style="font-family: Times New Roman; color: #ff0000;"><span><b><span style="font-family: Times New Roman; color: #ff0000;"><span><b><span style="font-family: Times New Roman; color: #ff0000;">♥<span><b><span style="font-family: Times New Roman; color: #ff0000;"><span><b><span style="font-family: Times New Roman; color: #ff0000;"><span><b><span style="font-family: Times New Roman; color: #ff0000;">♥</span></b></span></span></b></span></span></b></span><b style="color: #ff0000"><span style="font-size: 10pt"><span style="color: #c0c0c0"><b style="color: #ff0000"><span style="font-size: 10pt"><span style="color: #c0c0c0">♥</span></span></b></span></span></b></span></b></span></span></b></span></span></b></span></span></b></span></span></b></span></span></b></span></span></b></span></span></b></span></span></b></span></span></b></span>m.e.s. par <b><span style="color: #ff0000;">Laurent Laffargues</span></b> au <b><a target="_blank" href="http://www.theatredelaville-paris.com/">Théatre de la Ville</a></b> jusqu'à fin janvier.</p> <p>Guy</p> <p><i><b>Exprimez vous: vous pouvez laisser un commentaire... et/ou voter <a target="_blank" href="http://snappoll.com/poll/175926.php">ici!</a></b></i></p>