Last posts on post-partisan2024-03-29T00:32:36+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/post-partisan/atom.xmlalvathttp://lafrancereconciliee.hautetfort.com/about.htmlL’Editorial d’Alexandre Vatimbella. Eloge des majorités d’idéestag:lafrancereconciliee.hautetfort.com,2018-03-09:60328522018-03-09T11:13:51+01:002018-03-09T11:13:51+01:00 Nous avons assez critiqué ici l’opportunisme dont beaucoup de...
<p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">Nous avons assez critiqué ici l’opportunisme dont beaucoup de personnalités politiques au centre ont en fait leur seule ligne directrice au cours de l’histoire politique.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">De même, nous avons souvent éreinté le comportement de l’UDI et de son président Jean-Christophe Lagarde qui veulent nous faire croire que l’on peut être à la fois dedans et dehors de la majorité présidentielle.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">Alors, ici, je veux positiver ce que l’on appelle des «majorités d’idées» et que le centriste Barack Obama a appelé de ses vœux au début de son premier mandat et a appelé l’«ère post-partisane» pour laquelle j’ai émis nombre de doutes à l’instar de politistes américains sur son émergence dans un espace politique aussi polarisé que celui des Etats-Unis d‘alors.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">L’unique volonté du Parti républicain était de torpiller la présidence du premier noir à la tête du pays pour qu’il ne fasse qu’un seul mandat, stratégie décidée lors d’une réunion de tous ses responsables peu après sa victoire.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">En effet, le paysage politique depuis 2008 et la victoire d’Obama dans l’ensemble des démocraties républicaines occidentales a évolué vers une fragmentation et l’éclosion, à nouveau, de mouvements populistes, démagogiques et extrémistes (aux Etats-Unis, c’est la frange radicale proche de l’extrême-droite qui domine désormais le Parti républicain).</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">Dès lors, on se retrouve avec des formations radicales qui font leur beurre sur la critique du fonctionnement de ces démocraties et des partis qui naviguent autour et dans l’axe central qui regroupe les libéraux progressistes et réformistes de droite, de gauche et du centre.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">En France, on a ainsi, la France Insoumise et le Front national (rejoint récemment par LR) qui prennent en étau un axe central pendant que nombre de socialistes demeurent en déshérence.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">Si la marche de l’Histoire voudrait que tous ceux qui composent l’axe central s’allient dans une coalition des démocrates, ce n’est pas encore le cas et, peut-être, pas souhaitable même si l'on pourrait définir La république en marche de formation de majorités d'idées.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">Je m’explique.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">Si l’on considère que l’offre politique va se réduire avec des extrémismes radicaux de chaque côté du spectre politique et un axe central libéral, nombre d’électeurs vont se retrouver coincé entre deux choix (extrémisme populisme contre libéralisme démocratique) qui ne correspondent pas à leurs idées.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">Dès lors, il n’est pas inutile d’avoir une droite conservatrice (une vraie) et une gauche social-démocrate (une vraie) pour accueillir leurs voix.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">Et c’est avec ces conservateurs et sociaux-démocrates que l’axe central pourrait élaborer des majorités d’idées, tantôt avec les uns, tantôt avec les autres, tantôt avec les deux en même temps.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">Bien sûr, tout cela est encore une vue de l’esprit et rien ne dit que les conservateurs et les sociaux-démocrates dans une lutte aux frontières de leurs extrémismes respectifs, ne jouent pas le jeu de la surenchère comme on le voit aujourd’hui au PS (LR étant déjà passé dans le camp du populisme radical).</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">Mais les majorités d’idées sont aussi une des forces de la démocratie où l’ensemble des citoyens (ou leur grande majorité) décident ensemble de règles et de mesures afin de la faire fonctionner pour le bien de tous.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">On pourrait évidemment l’appeler consensus mais les majorités d’idées ne le recherchent pas forcément puisqu’elles peuvent s’appuyer tantôt sur la gauche, tantôt sur le droite, sachant que l’axe central dans sa volonté de juste équilibre doit choisir, à chaque fois, le bon côté, ce qui nécessite sagesse, responsabilité et intelligence.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">Pour autant, ces majorités peuvent aboutir au consensus ultime, celui par lequel la grande majorité des citoyens fasse confiance à la démocratie républicaine pour avancer vers une meilleure société alors qu’actuellement nombre de fissures dans l’opinion publique font penser que cette confiance s’érode sans cesse sous les attaques, souvent mensongères, parfois pointant un réel dysfonctionnement, de ce régime, le seul qui peut apporter, à la fois, la liberté, l’égalité et la fraternité dans le respect et la dignité.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">Bien entendu, ces majorités d’idées doivent être portées par la plus grande responsabilité des politiques.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">Il s’agit bien ici d’œuvrer sans préjugés, sans arrière-pensées d’aucune sorte, pour le bien du pays.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">Ici, pas de positionnements irresponsables, pas de postures électoralistes, pas de communication mensongère.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">Non, seul l’intérêt de la communauté toute entière serait le critère fondamental.</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"><span style="font-size: 12pt;"><span style="font-family: 'Arial','sans-serif';">Dès lors, si toutes les conditions étaient réunies, on pourrait entrer dans cette ère post-partisane et l’on pourrait même trouver quelques vertus à la stratégie actuelle de l’UDI…</span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"> </p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt;"> </p>
alvathttp://lafrancereconciliee.hautetfort.com/about.htmlLe choix centriste de Barack Obama pour la Cour suprêmetag:lafrancereconciliee.hautetfort.com,2016-03-20:57765632016-03-20T15:59:00+01:002016-03-20T15:59:00+01:00 Si on l’avait oublié, Barack Obama est un centriste assumé qui souhaitait...
<p>Si on l’avait oublié, Barack Obama est un centriste assumé qui souhaitait que la vie politique américaine, sous sa présidence, devienne «post-partisane», c’est-à-dire que le gouvernement se fasse sur des majorités consensuelles d’idées selon les cas et non plus sur des blocs antagonistes, même s’ils pouvaient faire des compromis sur certains sujets de manière «bipartisane».</p><p>Ce consensus d’un nouveau genre a été enterré par les républicains dès après l’investiture d’Obama en janvier 2009.</p><p>A la place, lors d’une réunion à Washington, les leaders républicains ont décidé d’une guérilla de tous les instants, d’un blocage systématique et d’attaques qui ont permis la création du mouvement Tea party qui a réuni ensemble tous les populistes et les extrémistes de droite que compte l’Amérique, aboutissant aujourd’hui à ce que le primaire républicaine soit dominée par un populiste démagogue, Donald Trump, et un conservateur proche de l’extrême-droite, Ted Cruz.</p><p> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Une sorte de retour à l’envoyeur qui met l’establishment républicain dans tous ses états…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Il faut rappeler ici que cette stratégie de la terre brûlée a été adoptée en premier lieu pour faire échec à ce président à la popularité alors énorme et qui menaçait, par sa main tendue, tout l’édifice que les ultraconservateurs républicains avaient patiemment mis en place depuis la présidence Reagan dans les années 1980, voire depuis la présidence Nixon dix ans plus tôt, pour déporter définitivement l’Amérique à droite toute et délégitimer le plus possible les démocrates mais également tous les centristes, qu’ils soient démocrates ou républicains.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Dans le même temps, Barack Obama a du, faute d’ouverture, se rabattre sur l’unique Parti démocrate pour gouverner, ce qui l’a parfois légèrement déplacé au centre-gauche notamment après 2010 lorsque les démocrates ont perdu la majorité à la Chambre des représentants et, surtout, après 2012 avec la perte du Sénat.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Néanmoins, il a gardé les fondamentaux de sa ligne politique centriste, celle qu’il prêchait déjà dans ses ouvrages alors qu’il n’était même pas candidat à la présidence.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">C’est pourquoi, son choix du juge Merrick Garland, un centriste reconnu, pour remplacer le juge d’extrême-droite Antonin Scalia à la Cour suprême qui vient de décéder, ne peut qu’étonner ceux qui se sont toujours trompés (ou trompent la population) sur Obama en le présentant comme un homme de gauche et un activiste «liberal».</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Ici aussi il faut faire un rappel en n’oubliant pas que le sénateur socialiste Bernie Sanders, candidat à l’investiture démocrate face à Hillary Clinton, a été maintes fois un critique d’Obama et qu’il souhaitait même une primaire en 2012 avec un candidat de gauche face à ce dernier qu’il a toujours considéré comme un centriste.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Bien entendu, le président des Etats-Unis savaient qu’il devait choisir un homme modéré afin de tenter de lézarder puis de faire voler en éclats le véto des leaders républicains sur toute nomination à la Cour suprême, le Sénat, à majorité républicaine, devant confirmer le choix du président.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Le plus extraordinaire pour bloquer la machine démocratique a été le motif utilisé par le Parti républicain.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Quittant la Maison blanche en janvier prochain, Barack Obama ne devrait plus rien faire sauf gérer les affaires courantes!</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Surtout, il ne devrait pas nommer un juge à la Cour suprême.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Une lecture totalement aberrante de la Constitution et contraire à l’état de droit démocratique mais qui ne semble pas perturber du tout la majorité des républicains, ce qui est sans doute le plus grave dans une démocratie républicaine.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Toujours est-il que Merrick Garland, juge à la Cour d’appel du district de Columbia, ne souffre d’aucun doute sur ses capacités, son expérience et ses qualités.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">En outre, sa réputation de centriste ne peut que renforcer une institution que de plus en plus d’Américains estiment être devenue totalement partisane et donc plus du tout au-dessus de la mêlée même si elle ne l’a jamais vraiment été dans les faits.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Et même si l’on peut penser que le choix de M. Garland n’aurait peut-être pas été celui du président s’il avait eu la majorité au Sénat, il faut louer cette initiative.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Tout en ne jouant pas à l’ingénu.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Il est évident qu’Obama sait que son choix a mis le Parti républicain dans l’embarras.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">D’une part, parce que Merrick Garland avait été proposé précédemment par certains républicains pour être juge à la Cour suprême.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">D’autre part, parce qu’en fermant la porte à un homme de qualité, les républicains vont une nouvelle fois apparaître comme des idéologues bornés dont le seul but est d’empêcher les institutions de fonctionner normalement.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Et ce en une année électorale où, non seulement, la présidence du pays est en jeu mais également la majorité au Sénat qui pourrait bien rebasculer en faveur des démocrates (cela semble beaucoup plus difficile pour la Chambre des représentants dominée largement par les républicains grâce à des redécoupages de circonscriptions qu’ils ont décidé et qui les avantage outrageusement).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">C’est pourquoi l’on a vu certains sénateurs républicains qui vont se présenter à l’élection de novembre (le Sénat se renouvèle par tiers), déclarer qu’ils s’entretiendraient avec le juge Garland, ce qui pourraient préfigurer une ouverture dans l’examen de sa nomination, ce que veulent éviter à tout prix les leaders du parti.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Pourquoi cet acharnement à tout bloquer, in fine?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Parce que la Cour suprême, avant le décès de Scalia, sur ses neuf membres, en comptait cinq conservateurs ou ultraconservateurs et quatre centristes ou de centre gauche, ce qui permettait souvent de dessiner une législation et une jurisprudence très conservatrice voire réactionnaire ainsi que de laisser la porte ouverte à toutes les initiatives que pourraient prendre un président républicain élu en novembre, notamment sur l’annulation de la loi sur l’assurance santé, sur l’interdiction de l’avortement, sur l’interdiction du mariage gay, sur l’extension du droit de port d’arme, sur le retour en force de la religion à l’école avec les théories créationnistes, etc.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Et la Cour suprême peut encourager ou autoriser toutes ces mesures car sa compétence s’étend sur tous les cas relevant de la Constitution et des lois du pays (fédérales et étatiques) ainsi que des traités conclus par les Etats-Unis.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Concrètement, elle décide si une loi peut ou non s’appliquer (elle ne peut l’abroger mais sa décision s’impose à tous les tribunaux du pays) en la déclarant constitutionnelle ou non.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">De même, elle décide si une situation de fait ou un jugement d’un tribunal, en l’absence d’une loi, est conforme aux droits fondamentaux des citoyens tels qu’ils sont définis par la Constitution si elle est saisie à cet effet.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">On voit donc son rôle crucial, dénoncé dès sa création par certains comme inconstitutionnel et aboutissant à un gouvernement des juges, et la raison pour laquelle les républicains tiennent tellement à y rester majoritaires.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Mais quoi qu’il arrive dans cette affaire, Barack Obama sera demeuré tout au long de son mandat, un président centriste, non pas par nécessité comme beaucoup l’on fait aux Etats-Unis et ailleurs, mais par conviction.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Alexandre Vatimbella</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Voir le site <a href="http://www.lecentrisme.com/">Le Centrisme</a></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;"> </span></p>