Last posts on pollock
2024-03-28T22:46:38+01:00
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Houdaer
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COIFFE ORANGE
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2019-01-28T05:34:02+01:00
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donald trump a décroché le job mes amis enragent et pleurnichent sur les...
<p><span style="font-size: 14pt;">donald trump a décroché le job</span></p><p><span style="font-size: 14pt;">mes amis enragent et pleurnichent sur les réseaux sociaux</span></p><p><span style="font-size: 14pt;">en bas de chez moi</span></p><p><span style="font-size: 14pt;">un nouveau magasin vient d’ouvrir</span></p><p><span style="font-size: 14pt;">vendant exclusivement</span></p><p><span style="font-size: 14pt;">jeux de société et de patience</span></p><p><span style="font-size: 14pt;">j’en pousse la porte pour m’acheter un puzzle de 1000 pièces</span></p><p><span style="font-size: 14pt;">un spécial « Pollock »</span></p><p><span style="font-size: 14pt;">parce que j’aime bien les peintres financés par la C.I.A.</span></p><p><span style="font-size: 14pt;">je n’aurai pas trop de tout l’automne</span></p><p><span style="font-size: 14pt;">pour recomposer le tableau</span></p><p><span style="font-size: 14pt;">le temps d’assimiler tout un nouveau vocabulaire </span></p><p><span style="font-size: 14pt;"><em>impeachment</em></span></p><p><span style="font-size: 14pt;"><em>shutdown</em></span></p><p><span style="font-size: 14pt;">placer ces mots dans mes poèmes</span></p><p><span style="font-size: 14pt;">devrait m’aider à les retenir</span></p><p><span style="font-size: 14pt;"> </span></p><p><span style="font-size: 14pt;">à quoi finira par ressembler</span></p><p><span style="font-size: 14pt;">le puzzle dans lequel moi et mes amis</span></p><p><span style="font-size: 14pt;">prenons place ?</span></p><p> </p><p><span style="font-size: 10pt;">(extrait d'un recueil à paraître)</span></p><p> </p>
Kris
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Au 7ème jour....
tag:krisdeblog.hautetfort.com,2017-08-21:5972857
2017-08-21T21:27:00+02:00
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"La peinture est la découverte de soi. Chaque bon artiste peint ce...
<p style="text-align: right;"><img id="media-5675261" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://krisdeblog.hautetfort.com/media/01/01/1555189450.jpg" alt="Jackson Pollock Birth.jpg" /><strong><span style="color: #008000;">"La peinture est la découverte de soi. </span></strong></p><p style="text-align: right;"><strong><span style="color: #008000;">Chaque bon artiste peint ce qu’il est."</span></strong></p><p style="text-align: right;"><span style="color: #008000;">Jackson Pollock</span><br /><br /></p><p style="text-align: justify;">- J'ai envie de repeindre... Il faut que je m'y remette !! Je vais revendre mon tapis et ma table de salon, il me faut de l'espace... C'était moi... Je ne sortais plus de chez moi, complètement recentré sur moi, en moi... un bonheur véritable, ce qui me comble le plus... Rien ne fait me ressentir comme cela !</p><p style="text-align: justify;">- mais alors pourquoi as-tu arrêté de peindre ?</p><p style="text-align: justify;">- "J'étais trop jeune pour mourir" Tu sais tous les grands artistes meurent jeunes, de toute façon... </p><p style="text-align: justify;">Il veut que nous regardions <em>Pollock</em> le <em>film</em> d' Ed Harris ensemble, je me blottie dans ses bras... Je comprends.... </p><p style="text-align: justify;">Françoise est revenue d'un coup, ses spirales, ses planches à dessin, ses couleurs, son désir de grand atelier, les plans de ce lieu que nous avions imaginé ensemble un après-midi avec ceux de sa petite maison, ce foisonnement, cette impression d'avoir tout compris, d'être en lien avec les éléments, toutes ses photos au musée de Miro, cet amour de l'Art..... mais aussi, ses sculptures, son grand cerveau, tout ce qu'elle a détruit avant d'acheter sa corde et de s'y prendre... </p><p style="text-align: justify;">Pourquoi ces êtres d'exception m'attirent-ils ainsi, ? Que perçois-je d'eux.... ? </p><p style="text-align: justify;">J'ai terriblement peur pour lui, pour moi... une rencontre essentielle, pas envie d'une vie sans lui !!! ... mais pour cela et pour des tas d'autres raisons, avec lui ce n'est pas possible non plus.... </p><p style="text-align: justify;">Chronique d'une mort annoncée... </p>
Ridha DHIB
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The Scream
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2015-07-03T16:26:00+02:00
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À gorge déployée Souffle e(s)t all-over Le...
<ul><li><span style="font-size: medium; font-family: courier new,courier;">À gorge déployée</span></li></ul><p style="padding-left: 30px;"><span style="font-size: medium; font-family: courier new,courier;"> </span></p><ul><li><span style="font-size: medium; font-family: courier new,courier;">Souffle e(s)t all-over</span></li></ul><p style="padding-left: 30px;"><span style="font-size: medium; font-family: courier new,courier;"> </span></p><ul><li><span style="font-size: medium; font-family: courier new,courier;">Le monde est troué</span></li></ul><p> </p><p> </p><p> </p><p><iframe width="780" height="439" src="https://www.youtube.com/embed/pb5NbRCTKCs" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p>
Solko
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L'art pour tous
tag:solko.hautetfort.com,2013-05-18:5073621
2013-05-18T10:36:00+02:00
2013-05-18T10:36:00+02:00
Connaissez-vous Jussi Pylkkanen ? C’est le président de Christie’s...
<p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica; font-size: medium; color: #000000;">Connaissez-vous Jussi Pylkkanen ? C’est le président de Christie’s Europe. Il s’est écrié hier, au vu des résultats de la vente de Christie's à New York (495 millions de dollars) : </span><span style="color: #000000;"><span style="font-family: helvetica; font-size: medium;">«Nous sommes entrés dans une nouvelle ère du marché de l’art, où les collectionneurs chevronnés et les nouveaux enchérisseurs rivalisent au plus niveau sur la scène internationale » </span><span style="font-family: helvetica; font-size: medium;">On dirait un qatari qui parle de footballeurs.</span></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4106508" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://solko.hautetfort.com/media/00/00/1150380359.2.jpg" alt="000par7559436.jpg" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica; font-size: medium; color: #000000;">52. Millions de dollars (+ les frais = 58,4) pour <em>Number 10</em> de Jackson Pollock (ci-dessus), 48,9 millions de dollars pour <em>Dustheads</em> de Basquiat, 56, 1 millions pour <em>Woman with Folowered Hat </em>de Roy Lichtenstein. On est encore loin de l’enchère record de 119,2 millions de dollars pour l’une des versions du <em>Cri</em> de Munch en 2012. Au dessus, cependant, de Cézanne et de ses<em> Pommes</em>, nature morte adjugée mardi 7 mai pour 41 605 000 dollars par maison Sotheby's.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica; font-size: medium; color: #000000;">Il faut dire que Jackson Pollock, adepte de l’art primitif, des indiens d’Amérique et des figures dématérialisées, alcoolique, claqué à 44 ans dans un accident de voiture, Jean Michel Basquiat, ne à Brooklyn, métisse, pionnier du Street Art, maqué à Warhol, canné à 27 ans d’une overdose de coke, Roy Liechtenstein, septuagénaire emblématique de l’acrylique et de la térébenthine, né et mort à Manhattan, virtuose de l’auto-dérision, qui affirma un jour : « Je pense que mon travail est différent de la BD, mais je n’appellerais pas ça une transformation, je ne pense pas que ce soit important pour l’art. »<span class="apple-converted-space"><span style="line-height: 115%;"> </span></span> ont tout pour alimenter la légende bidon des temps ineptes et paradoxaux dont nous subissons la continuelle mise en spectacle et/ou mise en politique, les deux allant de pair dorénavant.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica; font-size: medium; color: #000000;">Dans un monde où l’argent et le marché seuls font encore autorité, il devient impossible de critiquer, voire même de ricaner, sans passer pour l’atrabilaire ou l’idiot de service : admettons donc que ces gens ont un talent <em>unique </em>et<em> incontestable</em>, tant leurs œuvres sont, in fine, significatives de la crise de la valeur qui crucifie le monde contemporain. Leurs œuvres appartiennent à la fois au temps de <em>l’après Bien et Mal</em>, de l’<em>après Beau et Laid</em>, de <em>l’après Goût</em> et de l’après <em>Histoire.</em></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica; font-size: medium; color: #000000;">La valeur de ces œuvres, en effet, ne se calcule non pas à l’aune de ce qu’elles créent de nouveau, car il n’y a là vraiment rien de nouveau, mais à celle de ce qu’elles détruisent en terme de tradition. Leur valeur symbolique est de sanctifier, dans des espaces muséaux créés à leur usage, le fait égalitaire comme constituant <em>number one</em> de l’esthétique démocratique, en lieu et place des critères anciens. « J’aurais pu en faire autant » (variante de « n’importe qui pourrait en faire autant », car un parmi des milliards, je suis n'importe qui) : voilà ce que doit penser le pékin moyen qui se promène avec son portable numérique devant ce type de toiles, d’expositions en galeries, même si, de toute évidence, il ne l’aurait pas fait : Reconnaître sa propre médiocrité, en tout point égale à celle de son voisin et s'en satisfaire, telle est l'expérience ontologique que l'art contemporain. - serviteur du politique - propose au citoyen du monde.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4106509" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://solko.hautetfort.com/media/01/02/3597957359.jpg" alt="basquiat-cpgf-dustheads-1982.jpg" /></p><p class="MsoNormal" style="text-align: center;"><span style="font-family: helvetica; font-size: medium; color: #000000;"><em style="text-align: justify;">Dustheads</em><span style="text-align: justify;"> de Basquiat</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica; font-size: medium; color: #000000;">Ces œuvres, qui se prétendent dépositaires de <em>l’art pour tou</em>s, sont chargés de la même vulgarité, si l’on veut bien se souvenir de l’étymologie du mot, et de la même imposture que tout ce qui relève du <em>pour tous</em> : car ce que le nombre, le chiffre, le montant ou le record, comme on voudra l’entendre, sacralisent ici, ce n’est pas l’œuvre, mais l’individu à mon image qui l’a signée, moi devenu star, en quelque sorte, dans une illusion de valeur. Parce que je le vaux bien... La marque. </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica; font-size: medium; color: #000000;">Comme sur les terrains de foot. Au fond, il n’y a plus beaucoup de différences entre les stades et les musées. Sinon que dans les seconds, on fait en sorte de paraître mieux élevé : mais il se peut que l’Art contemporain et ses dérives financières produisent à son tour ses hooligans, ses briseurs de fêtes et de rêves. Ce serait justice.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4106503" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://solko.hautetfort.com/media/01/01/2723319987.jpg" alt="11421602_1.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><em style="font-family: helvetica; font-size: medium; text-align: justify;">Woman with Folowered Hat </em><span style="font-family: helvetica; font-size: medium; text-align: justify;">de Roy Lichtenstein</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: helvetica; font-size: medium; text-align: justify;">Le tiercé gagnant de Christie's</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: helvetica; font-size: medium; color: #000000;"><br /></span></p>
nauher
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Fontana, la saignée
tag:off-shore.hautetfort.com,2012-05-01:4651479
2012-05-01T07:55:59+02:00
2012-05-01T07:55:59+02:00
Concetto spaziale, Attesa , 1965 Il est bien étrange, et...
<p style="text-align: center;"><img id="media-3504484" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://off-shore.hautetfort.com/media/02/00/3493730995.jpg" alt="6a010534aec579970c01053687a06c970b-500wi.jpg" /></p><p style="text-align: center;"><em>Concetto spaziale, Attesa</em>, 1965</p><p style="text-align: center;"> </p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Il est bien étrange, et parfois sans explication très claire ou raisonnement imparable, de saisir ce qui dans une œuvre nous plaît ou nous dérange, ce qui articule notre adhésion immédiate ou notre rejet instinctif. On a beau y revenir, quelque chose nous dépasse. </span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Pourquoi, par exemple, entrer dans l'univers de Rothko, de Soulages, de Pollock, dont les détracteurs diront, non sans justesse, qu'ils font toujours la même chose, que leur art est un gimmick, un maniérisme facile dont on a fait le tour dans la minute même où l'on contemple leurs tableaux <span style="font-size: small;">(1)</span>, pourquoi eux et pas Lucio Fontana ? Pourquoi cet ennui devant son <em>concetto spaziale</em> à répétiton, cette impression de dérision et cette attention fastidieuse que me demandent ces toiles ?</span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;">Pour aller à l'essentiel, cette réticence tient au caractère démonstratif de l'entreprise. La question de la planéité du tableau (selon ce qu'en rappelait Clement Greenberg à la suite de Maurice Denis) peut justement aboutir à une exploration des possibles dans les limites (qui, du coup, n'en sont plus, paradoxalement) de ce cadre (lequel cadre ne se réduit plus à un objet réel et délimité, avec un point de fuite en perspective, mais un espace à composer ex nihilo) toujours incertain ?</span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: large;">Lucio Fontana prend le défi à l'envers. La monochromie pourrait être une aventure facile, qu'en tailladant la toile, il dévoilerait. Regardez, semblerait-il dire : tout est faux. L'unité n'existe pas ; l'uniformité est une plaisanterie. Rien n'est calme. La mer étale (ce que sera le grand Bleu de Klein, d'une certaine manière) est inaccessible. Les coups de cutter seraient interprétables comme une action. Mieux : une contre-action de l'artiste sur ce qu'il produit. Il y a sans doute chez Fontana une aspiration à la critique, une envie de dénoncer (disons : de mettre à jour) les incohérences du monde et de nos croyances. Alors même qu'un tableau uni tranquilliserait l'œil et l'esprit (à l'inverse de l'agitation brûlante de l'expressionnisme abstrait, des fils ténus et barbelés de Pollock aux affrontements colorés de Rothko) l'artiste italien veut rompre la monotonie. Il taille dans le vif et nous demande de/à <em>passer outre</em>. La toile est tranchée ; elle se rétracte et tout à coup apparaissent les cicatrices, comme si l'homme qui œuvre y mettait en jeu sa peau.</span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: large;">Elles sont à la fois désignation du tableau en structure solide avec une coulisse et en outil passif d'un décorum sans épaisseur. C'est bien d'une scène qu'il s'agit et la théâtralité de toute peinture est dénoncée/énoncée. La conception spatiale se dévoile par l<em>'entrouvert </em>de la toile fonctionnant comme si dans le rideau de cette scène l'œil pouvait se glisser pour entrer dans l'appareil du dispositif. </span></p><p align="JUSTIFY"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: large;">Et l'ennui provient de cette invitation trop évidente. Le coup de cutter se transforme en signature sur-signifiée ; le tableau redouble le discours de l'artiste en action. Cette omniprésence est proprement agaçante. La toile est investie de sorte que ce que nous voyions à l'excès la parole de l'artiste. Il ne laisse aucune liberté ; tel est le paradoxe qui fait de Fontana moins un briseur de tableau qu'un conformiste didactique. Il ne nous lance pas dans le monde, ne nous agresse pas d'un univers sien. Il n'est pas nécessaire de s'interroger. On ne cherche pas : tout est là. L'invisible n'existe pas ; l'arrière-plan est déjà connu. Le spectateur comprend presque immédiatement comment<em> ça</em> fonctionne. La toile saignée, l'artiste (se) signe. De trois ou quatre coups de lame il bascule du côté de Narcisse et nous toise. Le <em>concetto spaziale</em> se veut représenter la violence ; il ne fait que la feindre et au deuxième tableau du genre, on soupire. On connaît la <em>musique du déjà-vu</em> (si je puis oser l'oxymore), sa ritournelle poussive. Dommage...</span></p><p align="JUSTIFY"> </p><p align="JUSTIFY"><span style="font-size: medium; font-family: arial,helvetica,sans-serif;">(1)Écrivant cela, je me fais l'avocat de mes « diables » puisque ces peintres me sont précieux...</span></p>
Frasby
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L'enfance du peintre
tag:certainsjours.hautetfort.com,2009-09-07:2365569
2009-09-07T17:19:00+02:00
2009-09-07T17:19:00+02:00
"Un critique a écrit que mes tableaux n'avaient ni commencement ni fin. Il...
<p><b>"Un critique a écrit que mes tableaux n'avaient ni commencement ni fin. Il ne l'entendait pas comme un compliment, or c'en était un. C'était même un beau compliment. Seulement il ne le savait pas."</b></p> <p><a target="_blank" href="http://kennethtangnes.files.wordpress.com/2009/01/pollock.jpg">JACKSON POLLOCK</a></p> <p><a target="_blank" href="http://kennethtangnes.files.wordpress.com/2009/01/pollock.jpg"><b><img src="http://certainsjours.hautetfort.com/media/02/01/1888202482.jpg" id="media-1974735" alt="pollock CL.jpg" style="border-width: 0; float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" name="media-1974735" /></b></a></p> <p><i>"J'ai encore renversé le lait !" s'écria le petit <a target="_blank" href="http://www.lesartistescontemporains.com/Artistes/pollock.html">J. POLLOCK</a> en rentrant les mains vides à la maison avec juste l'argent de la monnaie.</i></p> <p><i>"</i> <i>Oh mais c'est pas possible ! s'écria sa maman,</i> <i>je vais finir par croire que tu le fais exprès !"</i></p> <p>Si vous voulez vous aussi devenir <a target="_blank" href="http://www.youtube.com/watch?v=7bICqvmKL5s&eurl=http%3A%2F%2Fvideo%2Egoogle%2Efr%2Fvideosearch%3Fimgsz%3Dl%26imgtbs%3Dz%26hl%3Dfr%26q%3Daction%2520painting%26um%3D1%26ie%3DUTF%2D8%26sa%3DN%26tab%3Dwv&feature=player_embedded">Jackson POLLOCK,</a> c'est par <a target="_blank" href="http://www.jacksonpollock.org/">ICI</a></p> <p>Photo : Rue René Leynaud, à Lyon, <i>les "apprentis POLLOCK</i>" réinventent l'enfance du peintre. Tandis que nous marchons sans souci du lendemain et que la ville suit à la semelle, l'itinéraire de nos petits souliers blancs... Septembre 2009. © Frb</p>
Raymond ALCOVERE
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Une expression bouffonne et égarée au possible
tag:raymondalcovere.hautetfort.com,2006-11-05:722453
2006-11-05T05:04:19+01:00
2006-11-05T05:04:19+01:00
"Enfin, ô bonheur, ô raison, j'écartai du ciel l'azur, qui est du noir, et...
<p><img src="http://raymondalcovere.hautetfort.com/images/medium_Golden_Study_20Pollock.2.jpg" alt="medium_Golden_Study_20Pollock.2.jpg" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; border-width: 0px" />"Enfin, ô bonheur, ô raison, j'écartai du ciel l'azur, qui est du noir, et je vécus étincelle d'or de la lumière <em>nature</em>. De joie, je prenais une expression bouffonne et égarée au possible."</p> <p>Rimbaud</p> <p>Pollock</p>