Last posts on poezibao2024-03-29T09:05:07+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/poezibao/atom.xmlHoudaerhttp://houdaer.hautetfort.com/about.html”Pardon my french”, encore...tag:houdaer.hautetfort.com,2016-09-18:58488402016-09-18T00:00:00+02:002016-09-18T00:00:00+02:00 Mince, mon dernier recueil de poèmes fait encore causer. Cette fois,...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18pt;">Mince, mon <a href="http://houdaer.hautetfort.com/archive/2016/05/06/pardon-my-french-presentation-premieres-critiques-5798021.html"><span style="color: #ff0000; text-decoration: underline;"><strong>dernier recueil de poèmes</strong> </span></a>fait encore causer. Cette fois, sur deux sites assez inattendus :</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18pt;">- sur Poezibao, une <a href="http://poezibao.typepad.com/poezibao/2016/09/note-de-lecture-fr%C3%A9d%C3%A9rick-houdaer-pardon-my-french-par-jean-pascal-dubost.html?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+typepad%2FKEpI+%28Poezibao%29"><span style="text-decoration: underline;"><span style="color: #ff0000; text-decoration: underline;"><strong>formidable critique</strong> </span></span></a>de Jean-Pascal Dubost.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18pt;">- sur <strong><span style="color: #ff0000;"><a style="color: #ff0000;" href="http://remue.net/spip.php?article8407">Remue.net</a></span></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 18pt;">On fête ça avec une belle chanson ?</span></p><p><iframe width="560" height="315" allowfullscreen="allowfullscreen" frameborder="0" src="https://www.youtube.com/embed/TXi6As75nyw"></iframe></p><p> </p>
Houdaerhttp://houdaer.hautetfort.com/about.html« PARDON MY FRENCH » (présentation en n’images qui bougent)tag:houdaer.hautetfort.com,2016-06-02:58088782016-06-02T08:01:00+02:002016-06-02T08:01:00+02:00 Je ne sais pas pourquoi, c’est toujours quand il pleut (matez la qualité...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><font>Je ne sais pas pourquoi, c’est toujours quand il pleut (matez la qualité de la lumière dans cette vidéo, on dirait un film polonais de Zulawski datant du début des années 70) et après une nuit presque blanche (matez mes cernes) que j’enregistre mes p’tiotes vidéi.</font></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt;"><font>À venir, d’autres vidéi consacrées aux « <a href="http://etc-iste.blogspot.fr/2016/05/lardoise-remerciement-76-clochards.html"><span style="color: #ff0000;">76 clochards célestes </span></a>» de Thomas Vinau , au <a href="http://erotikmentalfood.midiblogs.com/archive/2016/05/12/je-n-ai-jamais-ete-mais-il-est-encore-temps-852218.html"><span style="color: #ff0000;">dernier recueil de Natyot</span> </a>et/ou au poète <a href="http://poezibao.typepad.com/poezibao/2008/02/roger-lahu.html"><span style="color: #ff0000;">Roger Lahu</span></a>.</font></span> </p><p><iframe width="420" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/lI70TrwXpuU" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p><p><span style="font-size: 14pt;">Commander l'ouvrage ? <a href="http://livre.fnac.com/a9693029/Frederick-Houdaer-Pardon-my-french"><span style="color: #ff0000;"><strong>ICI</strong></span></a>.</span></p><p> </p>
SUR du VENT par Henri CHEVIGNARDhttp://surduvent.hautetfort.com/about.htmlLes POETES ? Georges GUILLAIN leur dit MERCI !tag:surduvent.hautetfort.com,2012-04-17:46761502012-04-17T21:30:00+02:002012-04-17T21:30:00+02:00 Dans une contribution à POEZIBAO , Georges GUILLAIN tord le cou au...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: trebuchet ms,geneva; font-size: small;">Dans <a title="...toujours de bonne tenue" href="http://poezibao.typepad.com/poezibao/2012/04/carte-blanche-pourquoi-toujours-la-po%C3%A9sie-par-georges-guillain.html" target="_blank">une contribution à <span style="color: #3366ff;"><strong>POEZIBAO</strong></span></a>, <span style="color: #000080;"><strong>Georges GUILLAIN</strong></span> tord le cou au péché d'élitisme habituellement attribué à la poésie :</span></p><blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: trebuchet ms,geneva; font-size: small;">Plutôt que de reprocher leur élitisme à ceux qui continuent à se vouloir poètes quand tout les pousse à tenter plutôt autre chose, de plus visible socialement, de plus rentable économiquement, ne devrions-nous pas plutôt les remercier de continuer à entretenir l’existence, la possibilité, d’un rapport au langage qui rompe avec cette "prolétarisation des esprits" à l’œuvre dans l’usage contemporain de la langue ? Les encourager à œuvrer dans les profondeurs de cette langue pour qu’elle cesse de n’être, par la pauvreté de ses propositions formelles, qu’un agent de fermeture de l’intelligence et de l’imagination ?</span></p></blockquote>
amhttp://lapoesiedoitquitterlabeaute.hautetfort.com/about.htmlLettre ouverte à Poezibao / Censuretag:lapoesiedoitquitterlabeaute.hautetfort.com,2010-06-16:27929952010-06-16T12:37:00+02:002010-06-16T12:37:00+02:00 LETTRE OUVERTE À POEZIBAO Madame, Je viens d'apprendre que...
<p><br /> LETTRE OUVERTE À <em>POEZIBAO</em></p><p> </p><p>Madame,</p><p style="text-align: justify;">Je viens d'apprendre que vous avez refusé, sur votre site <em>Poezibao</em>, un de mes poèmes figurant dans l'anthologie en ligne d'Alain Marc, <em>Poésies du cri</em>, issue de son essai <em>Écrire le cri</em>. Motif de votre refus : le contenu explicitement érotique de ce texte que vous jugez irrecevable pour votre revue.</p><p style="text-align: justify;">Vous trouverez une lettre ouverte au sujet de votre décision de censure signée par moi-même, suivie d'une lettre d'Alain Marc.</p><p style="text-align: right;">Philippe Guénin</p><p> </p><p>Lettre de Philippe Guénin :</p><p>Voici donc le texte soumis à votre censure.</p><p style="padding-left: 30px;">De retour, au centre du corps et du rêve, tout cela tu l'attendais, l'amant, avance plus vite, ne te refuse rien, viens-moi, ouvre-toi, je serai là, tu arracheras tes écorces d'acier, d'enfer et de joie, je t'attendrai,, je serai là, tu regarderas, tu me regarderas, et ta queue inventera mon corps, tu maîtriseras tout, je te le dis, je te dirais, mon seigneur, tu es mon maître, tout donné je suis, ressuscité autour de ton sexe, pour toi, que pour toi, jouir de ton plaisir que de ton plaisir, ne casse rien, cesse de dire non, abandonne les semelles de plomb, chausse les bottes de plumes de l'amour, , , , , , , , , , , , , , , , , , , oui, patrick, toi aussi, nu, devant toi à travers moi, et tu te bats encore, , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,</p><p style="padding-left: 30px;"> </p><p style="padding-left: 30px;">[...]</p><p style="text-align: justify;">Il s'agit d'un passage du livre <em>Tessons de lune</em>, paru en 1993 au Mercure de France dans la collection <em>« les Lettres françaises »</em> que dirigeait Jean Ristat.</p><p style="text-align: justify;">Eléments de réponses donnés à l'<em>énigme</em> suivante : quand apparaissent, comme ici dans ce poème, des paroles ouvertement érotiques, pourquoi sont-elles, à vos yeux, irrecevables (publiquement) ?</p><p style="text-align: justify;">Si l'on parcourt votre site de poésie contemporaine <em>Poezibao</em>, dans l'ensemble des poèmes présentés - le panorama est très large -, certains font preuve de la plus grande audace formelle (bouleversement radical des règles syntaxiques, déconstruction du sens, etc.). Néanmoins, l'horizon des poèmes, de facture <em>classique</em> ou plus <em>avant-gardiste</em>, que vous avez choisis, demeure toujours policé et sublimé.</p><p style="text-align: justify;">Ainsi tout se passe bien, tout est permis (selon vos critères) tant que l'écriture poétique demeure cantonnée dans un Éther formel qui la maintient le plus loin possible du magma des pulsions.</p><p style="text-align: justify;">C'est précisément contre cela, chère madame, que <em>Tessons de lune</em> fut écrit.</p><p style="text-align: justify;">En prenant le risque de ne plus séparer l'écriture du corps (sexué !), j'ai voulu évoquer crûment une passion et faire entendre, tel un chant, la fureur obscène du désir amoureux - pouvant parfois devenir, à mes yeux, l'une des dimensions primordiales de la poésie.</p><p style="text-align: justify;">C'est donc cela que vous rejetez... Ce genre de paroles qui seraient pourtant « la voix barbare et fêlée venant de la profondeur de ton ventre » (Bataille), vous ne voulez donc ni les voir ni les entendre sur votre site <em>généraliste</em>.</p><p style="text-align: justify;">Enfin sachez que <em>Tessons de lune</em> fut écrit à partir de l'amour fou d'un homme - l'écrivain Pierre Boudot dont j'ai été un élève et un ami proche - pour un autre homme. Cet amour incandescent alla jusqu'à la mort de Pierre Boudot. Ma façon de l'évoquer poétiquement ne fut pas un épanchement lyrique et larmoyant mais un <em>requiem</em> obscène.</p><p style="text-align: justify;">Et j'irai jusqu'à penser que le contenu explicitement homosexuel du texte ci-joint n'a sans doute pas contribué à atténuer votre intransigeance normative...</p><p style="text-align: right;">Philippe Guénin</p><p> </p><p>Lettre d'Alain Marc :</p><p style="text-align: justify;">J'ai effectivement vu après un plein accord la publication en ligne de mon anthologie <em>Poésies du cri</em> brutalement interrompue. Cette anthologie est issue de mon essai <em>Écrire le cri</em> sur lequel <em>Poezibao</em> a pourtant consacré un très bel article. D'autre part, la liste des poètes concernés avait été préalablement donnée et acceptée <a name="_ftnref1"></a>[1].</p><p style="text-align: justify;">Tout se passa très bien pour les onze premières publications. Il me parut alors nécessaire de montrer ce qu'était réellement une <em>poésie du cri</em> et de choisir dans la liste donnée une poésie encore plus parlante. Le moment était venu d'aller plus loin. Deux poèmes posèrent particulièrement problème : un premier de Paul Verlaine, tiré de son recueil <em>Hombres</em>, et un autre, extrait du superbe <em>Tessons de lune</em> de Philippe Guénin sous le prétexte qu'ils étaient trop explicites - sexuellement. Je proposai bien plusieurs solutions, comme de faire précéder le poème de Verlaine, l'un de ses plus corsés mais aussi de ses plus modernes, pourtant publié en poche depuis les années 70, par une introduction citant Sollers à propos de l'impossibilité de lire un extrait des <em>120 journées</em> au journal de 20 heures. Rien n'y fit. Je me vis proposer le choix : soit de continuer une version forcément édulcorée de cette anthologie en censurant les poèmes ne "convenant pas", soit d'en arrêter purement et simplement la publication, ce que je fis.</p><p style="text-align: justify;">Je poursuivis néanmoins ma route comme je le fais depuis le début, habitué des nombreuses embûches qui en jalonnent le parcours, non sans en sous-entendre, ici ou là, ce nouvel incident notamment sur le site <em>Terres de femmes</em> <a name="_ftnref2"></a>[2].</p><p style="text-align: justify;">Les attirances mutuelles jouant bien leur rôle, il se trouve que je rencontrai Philippe Guénin quelque temps plus tard. Une collaboration s'engagea. C'est la perspective de la sortie de l'un de mes livres les plus importants à mes yeux qui me fit ressortir le dossier en décidant de mettre en ligne sur mon propre blog, <em>lapoésiedoitquitterlabeauté</em>, ce même extrait. J'en parlai naturellement, presque <em>innocemment</em> même, à son auteur. C'est face à sa réaction que je me ressaisis du sujet, et que quelques remarques me viennent à l'esprit.</p><p style="text-align: justify;">Premièrement. Quand on passe visiblement de la théorie à son application tout devient plus conséquent, c'est-à-dire parlant, c'est-à-dire obscène. Mais n'est-ce pas là, justement, le but de toute vraie littérature ? Deuxièmement. Contrairement à ce numéro « porno » des <em>Lettres françaises</em> de Jean Ristat, qui fit date - août 1992 -, où il était prégnant que les images étaient bien plus inacceptables que les textes présents, ici, sur Internet, il s'agirait d'une régression supplémentaire, à un deuxième niveau...</p><p style="text-align: justify;">Faut-il avoir si peur de ces petits boutons sur lesquels on n'a qu'à cliquer pour « Dénoncer un abus » et accepter de sacrifier la littérature sur l'autel d'une poésie banalisée et passe-partout ? Ce qui nous ferait presque croire qu'il n'y aurait plus dans ce monde de la poésie que des éditeurs bons chics publiant des poètes bons genres. Avec l'adage, que la poésie se doit d'être <em>poétique</em> ! Et <em>seulement</em> poétique ! Or la poésie est aussi, beaucoup plus que l'on ne croit, une poésie de combat. Ce qu'étaient, à n'en pas douter une seconde, les poésies érotiques de la fin de la vie de Verlaine. Or la poésie est aussi propulsion, et vers « par flèches jeté » (Mallarmé). Si je suis venu à la poésie et à la littérature, vierge de toute <em>connaissance</em> et de tous préjugés, c'est parce que j'ai rencontré des livres et des écrits qui m'ont parlé, directement.</p><p style="text-align: justify;">Trop de structures en place sclérosent la poésie, lesquelles immanquablement censurent, au nom de la bonne foi. Or la censure est le contraire de la vie. Et ne peut que pousser au conformisme (nous voilà revenus au temps de la censure du <em>Château de Cène</em> de Bernard Noël, ou d'<em>Eden, Eden, Eden</em> de Guyotat, c'est-à-dire au tout début des années... 70 !). Ce que fuient toute vraie littérature et toute vraie poésie dignes de ce nom (est-il besoin de rappeler Bataille et les seuls livres <em>nécessaires</em> qu'il se promettait d'écrire ?).</p><p style="text-align: justify;">Que peut être un site qui se veut le reflet de la poésie d'aujourd'hui s'il en filtre les expressions ? Un site, et un reflet, sûrement pas complet, ni fidèle, ni même <em>honnête</em>. En un mot : un site <em>mort</em>, qui véhicule la seule mort de la poésie (le contraire d'une poésie vivante). Et la poésie que je défends est hors de toute censure, hors de tout jugement moral. La poésie que je défends est une poésie ouverte à la pulsion de la psyché, et à tous ses imprévus. La poésie que je défends est une poésie qui parfois pulvérise le bon ordre, et toutes les idées en place. Une poésie, oui, qui serait capable d'empêcher un homme de se suicider ! Toujours en lien avec la vie, elle est : libre !</p><p style="text-align: right;">Alain Marc</p><p> </p><p>Voici trois autres passages de <em>Tessons de lune</em>.</p><p style="padding-left: 30px;">reliefs de silence, vallée polaire, bougie humaine amputée, battement, coincement de sexe, lui, chez cette femme, un autre, une femme, des lanières de métal en torsio
SUR du VENT par Henri CHEVIGNARDhttp://surduvent.hautetfort.com/about.htmlQUATRE BOUGIEStag:surduvent.hautetfort.com,2008-12-01:19263972008-12-01T23:19:15+01:002008-12-01T23:19:15+01:00 POEZIBAO, site internet dédié (et même consacré)...
<p> </p> <p> </p> <p> </p> <p>POEZIBAO, site internet dédié (et même consacré) à la poésie vient de passer le cap des quatre années de vie.</p> <p>Le genre de miracle qui force l’étonnement...</p> <p> </p> <p>C’est un peu comme un géranium, qu’on aurait posé au bord d’une fenêtre, pour faire comme tout le monde, mais qui se maintiendrait de printemps en printemps.</p> <p> </p> <p> </p> <p> </p>