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Notes sur le tag : poéme

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Dernières notes

Blogème LX

Il est si difficile d’aider quiconque en vérité ! Par conséquent, refuse sans équivoque le rôle de guide qu’on te poussera à endosser. Tout au plus, peut-on accompagner quelqu’un là où il se perd, là où l’on commence à discerner l’inintelligible de ses contours dans la nuit.

Publié le 30/05/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Blogème LIX

Entrevoir un autre homme dans la prodigieuse proximité de ces portes d’ombre suffit à faire comprendre que même le serpent de la terre est en train de s’essouffler dans sa danse vertigineuse.

Publié le 27/05/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Blogème LVIII

Dans ce monde sans ordre apparent, aie toute foi en ton intuition pour guider tes pas : elle est ton sonar, et bien meilleure conseillère de toute façon que de longues études ou réflexions. Mais comment prendre langue avec cette partie de toi qui reste en boule, tapie quelque part au-dessus et au-dessous de toi ? C’est là tout le problème.

Publié le 22/05/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Blogème LVII

Un aphorisme n’est après tout guère plus dangereux qu’un poème avançant à visage masqué. On y décèle l’indifférence d’un feu sans forme, l’image transitoire de l’esprit entré dans le secret de ses obscurités. Il nous apprend tout ce qu'il faut savoir...

Publié le 19/05/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Mémorial

Ce printemps, je m'ai pas vu fleurir les arbres À peine un peu de blanc suspendu insouciant aux branches Cela s’est fait si vite, en une nuit, comment s’y retrouver ? J’ai tant de peine depuis que tu n’es plus là pour soutenir mon cœur La mort, quelle muette aveugle chose quand elle nous étrangle ! Pourtant, tout semble né une fois encore du mystère Il y a ce pollen semé de...

Publié le 17/05/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

L'art et le reste

Voici bientôt un an que je n’ai plus écrit le moindre vers. Rien ne coule de source, et pourtant c’est là, tout près, je le sens Ça végète déjà, juste refusé, pour poindre avec le jour, peut-être Est-on maître après tout de ce qui se donne sans se livrer ? Je vois mon père, grand et dur, penché sur son jardin Le pommier est en fleurs, c’est les matins qu’il préfère J’entends ma...

Publié le 15/05/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Blogème LVI

C’est un fait, il faut avouer que tu as pris goût à tes exils intérieurs. Tu t’y complais tel un récidiviste qui s’éloigne dans la nuit, le revolver sur la tempe.

Publié le 13/05/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Blogème LV

Quand la maison monte en flammes, il y a peut-être plus urgent que de tirer les carottes au potager .

Publié le 11/05/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Blogème LI

Impossible d'aller d'une traite à l'originalité, tant celle-ci blesse l'animal repu en nous. Après tout, on ne se dévore que très rarement soi-même, et encore jamais sans se départir d'une certaine tenue.

Publié le 06/05/2008 dans Blogèmes par Ferenc Rákóczy | Lire la suite...

Florence Pazzottu

  Petite, lorsqu'à ma mère je demandai si elle m'aimait également quand contre moi elle s'emportait, elle répondit, troublée, qu'elle m'aimait également, que seulement peut-être elle oubliait qu'elle m'aimait ; sa réponse, fragile, fraya en moi un doute assez ferme pour y établir mes fondations, qui durent encore ; jamais je n'oubliai l'oubli possible de tout amour, ni la nécessité de se...

Publié le 08/10/2007 dans Poésie... par Plume | Lire la suite...

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