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ICI C'EST TOULON !
tag:stephanedugast.hautetfort.com,2016-12-14:5874285
2016-12-14T08:57:00+01:00
2016-12-14T08:57:00+01:00
Le Musée de la Marine met à l’honneur Toulon, la ville-port, enclavée...
<p style="line-height: 150%; text-align: justify;" align="justify"><span style="font-family: Verdana,sans-serif;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: 10pt;"><span style="font-family: verdana,geneva,sans-serif;"><span lang="fr-FR"><strong>Le Musée de la Marine met à l’honneur Toulon, la ville-port, enclavée entre mer et montagne, </strong></span><span lang="fr-FR"><strong>profondément </strong></span><span lang="fr-FR"><strong>marquée par sa </strong></span><span lang="fr-FR"><strong>dimension </strong></span></span><span lang="fr-FR"><strong><span style="font-family: verdana,geneva,sans-serif;"> militaire.</span> </strong></span></span></span></span></p><p><img src="http://stephanedugast.hautetfort.com/media/02/00/2515433956.jpg" id="media-5502155" alt="" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5502158" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://stephanedugast.hautetfort.com/media/02/02/3791404252.jpg" alt="exposition,musée de la marine,photographier,le port,toulon,1845,2016" /></p><p style="line-height: 150%;" align="justify"><span style="font-family: verdana,geneva,sans-serif; font-size: 10pt;"><span lang="fr-FR"><span style="font-weight: normal;">À partir d’une unité de lieu – Toulon – et d’un art – la photographie – une belle exposition met en lumière une ville-port chère à bien des marins. </span></span></span></p><blockquote><p style="line-height: 150%;" align="justify"><strong><span style="font-family: verdana,geneva,sans-serif; font-size: 10pt;"><span lang="fr-FR"><span style="color: #000080;">Grâce à des clichés anciens et d'autres plus contemporains, des facettes méconnues de Toulon se dévoilent.</span> </span></span></strong></p></blockquote><p style="margin-bottom: 0cm; line-height: 100%;"><span style="font-family: verdana,geneva,sans-serif; font-size: 10pt;"><span lang="fr-FR"><span style="font-weight: normal;">Une certitude : vous ne verrez plus la rade et le port militaire de Toulon comme avant ! (SD)</span></span></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5502156" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://stephanedugast.hautetfort.com/media/02/00/3368827448.jpg" alt="exposition,musée de la marine,photographier,le port,toulon,1845,2016" width="651" height="825" /></p><p><span style="font-family: verdana,geneva,sans-serif; font-size: 8pt;">EN SAVOIR +</span></p><ul><li><span style="font-family: verdana,geneva,sans-serif; font-size: 10pt;">Rendez-vous sur <a href="http://toulontourisme.com/evenement/photographier-le-port-toulon-1845-2016/" target="_blank">le site web de l'exposition </a><span lang="fr-FR"><span style="font-weight: normal;"><a href="http://toulontourisme.com/evenement/photographier-le-port-toulon-1845-2016/" target="_blank">«Photographier le port Toulon, 1845-2016»</a>. Musée de la Marine de Toulon, place Monsenergue. C'est jusqu'au 29 mai 2017.<br /> </span></span></span></li></ul><ul><li><span style="font-family: Verdana,sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="font-family: verdana,geneva,sans-serif;">Le vernissage de l'exposition, <a href="https://storify.com/museemarine/photographier-le-port-toulon-comme-si-vous-y-etiez" target="_blank">comme si vous y étiez </a>!</span> </span></li></ul>
MCSJuan
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”Retourner le champ invisible...”
tag:tramesnomades.hautetfort.com,2015-07-29:5664290
2015-07-29T23:51:00+02:00
2015-07-29T23:51:00+02:00
Continuer inlassablement de retourner le champ invisible Franck...
<p><span style="font-size: 14pt;">Continuer inlassablement de retourner le champ invisible </span></p><p><span style="font-size: 8pt;">Franck André Jamme, cité par <em>Les Souffleurs</em> (commandos poétiques), sur leur site, et poète souvent relu par moi… </span></p><p><span style="font-size: 10pt;">"Retourner le champ invisible ", en photographiant. Avec des éclats du monde, volés dans un instant à peine happé : regarder, cadrer, prendre. Et si le bord invisible du sens des choses mortes et vivantes n’y est pas, ou si le cadrage n’est pas celui du regard instinctif, ne pas corriger, jeter... On ne traverse pas les transparences du réel avec de la technique retravaillée. Mais plutôt avec l’incessante maturation du regard. C’est plus de temps, de patience. Quelque chose jaillit du hasard, qui se préparait dans un long et lent silence.</span></p><p><span style="font-family: Calibri;"> <img id="media-5112926" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/00/02/116606646.png" alt="dedans dehors.png" /><img id="media-5112928" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/02/02/1139528470.png" alt="fenêtre voile.png" /><img id="media-5112930" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/01/00/231449187.png" alt="fleurs mauves et voile.png" /><span style="font-size: large; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Susciter du visible fomente de l’invisible. La forme instaure ce qu’elle efface </span></span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: small;">Joseph Beaude, <em>Habiter</em>, livret premier, rééd. pré#carré, 2015</span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: large;">écrire encore / un poème une phrase un chant / peu importe le nom / écrire encore </span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: small;">Michaël Glück, <em>encore</em>, opus IV, éd. pré#carré, 2014 </span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: small;"><span style="font-size: medium;">..............</span></span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Pourquoi le regard a-t-il tant d’importance, et tant en ce moment ? Un équilibre à trouver contre les cris des terreurs, et cette nécessaire présence au bruit du monde ? Art et douceur contre revue de presse et douleur ? Tentative pour saisir et comprendre l’arrière-plan de la violence du réel ? Et puiser de la beauté dans cet arrière-plan…</span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Mais aussi recherche du lieu, invention du lieu, pour savoir quelle ville on habite, où est la trace de la terre dans le béton, la couleur dans la rue, la lumière dans l’ombre. Recherche des voiles qui délivrent le caché. Et soi, autre lieu.</span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">"Retourner le champ invisible", en écrivant. Contre l’instant saisi, brutale émergence d’une mémoire des yeux, permanente lenteur de la gestation de soi. Ecrire ? Mettre ses yeux en mots, mais les yeux derrière les yeux. Barrer, effacer, couper, déchirer : revenir et revenir. Choisir le peu, l’essentiel. Malaxer corps et âme, tracer, comme sur du sable. </span></p><p><span style="font-family: Calibri; font-size: 10pt;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif;">C’est ce que dit <span style="text-decoration: underline;">Kenneth White</span> de cette ascèse de sens : "Travaillant et retravaillant / les mêmes textes / jour après jour / perdant tout sens / de <em>production</em> et de <em>publication</em> / toute idée d’une <em>réputation</em> à forger / engagé plutôt dans quelque chose / --- loin de toute littérature --- / que l’on pourrait pertinemment nommer / un yoga poétique" (<em>La Résidence de la solitude et de la lumière</em>, William Blake and Co, 1978) </span> </span></p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Visible, invisible, dedans dehors. Mirages, ou vraie présence ? Le lieu projeté ailleurs avec ses lumières, ou l’ailleurs entré dans le lieu avec les signes du lointain, transparences de l’autre ? Tout est voile, et donc tout révèle l’œil central. Que ce soit la nuit, les reflets, ou des rideaux mouvants, légers, un voile fin, fait de rien, de rayon rose mauve, une toile tapissant d’ombres et d’arbres une trouée de ciel, des perles pour une échappée de rue sombre, ou un rideau métallique captant des spirales… tout est voile. </span></p><p><span style="font-family: Calibri;"><span style="font-size: medium;">Texte et photographies © MC San Juan </span><img id="media-5112935" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/01/01/4273100858.png" alt="trouée de ciel et reflets toile.png" /><img id="media-5112937" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/01/02/3552284835.png" alt="Voile perles et noir.png" /><img id="media-5112938" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/00/01/1576889403.png" alt="voile métal.png" /></span></p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p><span style="font-family: Calibri;"> </span></p>
MCSJuan
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Autoportraits d’ombres…
tag:tramesnomades.hautetfort.com,2015-07-25:5662131
2015-07-25T04:14:00+02:00
2015-07-25T04:14:00+02:00
Fascination pour l’ombre. Soi entre réel et perte, sur la...
<p><img id="media-5108962" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/02/01/1284776132.png" alt="Lignes.png" /><img id="media-5108964" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/02/00/1730058571.png" alt="arbre cercles.png" /></p><p><span style="font-size: medium;"><em><span style="font-family: Calibri;"><img id="media-5108965" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/01/01/2748928026.png" alt="escalier.png" /><img id="media-5108966" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/02/02/573191816.png" alt="conversation.png" /><img id="media-5108967" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/00/02/3094672744.png" alt="bain d'arbre.png" /></span></em><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Fascination pour l’ombre. Soi entre réel et perte, sur la surface des choses. A peine là, éphémère, visible et invisible. Trace sans langage, mais que les mots peuvent saisir, trace qui donne envie de mots tout autant que de silence. Présence qui s’efface sans effacer le sol. Autoportraits d’ombre, dialogue intérieur, voyage dans la conscience, autrement. L’ombre c’est dehors, c’est dans la lumière, la marche des rues. L’œil intense. C’est soi, mais n’importe qui. Ou peut-être pas… </span></span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Là, cinq photographies, au hasard parmi d’autres… Autoportrait aux lignes, la géométrie est une écriture du réel. Photographie à l’arbre diagonal dans sa grille aux deux cercles, instant photographique, c’est ce geste qui compte, comme si j’avais besoin de fixer cet acte du fugitif, apparemment si bref, et pourtant si longuement présent dans la maturation du regard, le fixer pour en savoir quelque chose. Capture d’autoportrait à l’escalier, ce fut d’un clic plus que rapide, en courant presque, pour ne pas perdre les angles de lumière. Conversation, quand même, hasard d’un moment, croiser les amitiés voisines mais vite retrouver le temps des yeux, un temps qui se veut solitaire. Bain d’arbre, tenir l’appareil d’une main, l’autre levée vers les branches, pour rendre hommage aux feuillages, respiration de paume. </span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: verdana, geneva, sans-serif;">Texte et photographies © MC San Juan</span></p>
MCSJuan
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Autoportrait en collage capté...
tag:tramesnomades.hautetfort.com,2015-05-28:5629881
2015-05-28T03:38:00+02:00
2015-05-28T03:38:00+02:00
à la rencontre du noyau où survit le moi / pour de nouveau cingler au...
<p><span style="font-size: 12pt;">à la rencontre du noyau où survit le moi / pour de nouveau cingler au large </span></p><p><span style="font-size: 12pt;">jubilation que la saisie emporte vers la vision / de ce que l’œil ne voit ni même ne devine</span></p><p>Abdelwahab Meddeb, Portrait du poète en soufi</p><p><span style="font-size: 12pt;">Mathématique obscure de l’ivresse, mise en abîme de soi-même et qui brise l’eau pure des miroirs.</span></p><p>Jean-Marie Blas de Roblès, Hautes lassitudes</p><p><img id="media-5055272" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://tramesnomades.hautetfort.com/media/00/00/2151035774.jpg" alt="AUTOPORTRAIT mai 2015.jpg" /></p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p> </p><p><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 10pt;">Il faisait froid, hors saison. Pull clair enroulé sur les épaules, je cherchais les reflets des lumières sur les vitres, le regard sur la rue, dehors, et sur les objets, dedans. Mais j’ai capté le collage des chimères vraies d’un instant. Même boire du café rend ivre, et voyant pour soi pour l’autre. Car il faut l’être, ivre, pour regarder dedans dehors et mêler tout dans sa joie d’œil... Baudelaire a raison, et Rimbaud.</span></p><p>Texte et photographie © MC San Juan </p>
MILIQUE
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L'USAGE DU REGARD FRÉDÉRIC LECLOUX AU NÉPAL « D'ABORD VIVRE, ET PUIS PHOTOGRAPHIER »
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2013-10-24:5203237
2013-10-24T01:07:00+02:00
2013-10-24T01:07:00+02:00
L'USAGE DU REGARD FRÉDÉRIC LECLOUX AU...
<p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong><iframe width="280px" height="270px" src="http://download.arteradio.com/static/player/export.html?ids=616286" frameborder="no" marginheight="no" marginwidth="no"></iframe></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><h1 style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large; color: #000000;"><strong> <a class="read" title="Cacher le contenu de la fiche son nommée L'usage du regard" href="http://www.arteradio.com/son/616286/"><span style="color: #000000;">L'USAGE DU REGARD</span></a></strong></span><br /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large; color: #0000ff;"><strong> FRÉDÉRIC LECLOUX AU NÉPAL</strong></span><br /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #993300;"><strong> « D'ABORD VIVRE, ET PUIS PHOTOGRAPHIER »</strong></span></h1><h1 style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>(2'56")<br /></strong></span></h1><div class="authors" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large;"><strong> <a class="author" title="Afficher la liste des sons de l'auteur Aude Laporte" href="http://www.arteradio.com/auteur/609722/aude_laporte/">Aude LAPORTE</a></strong></span></div><div class="authors" style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #008000;"><strong><br /></strong></span></div><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large; color: #008000;"><strong>Frédéric Lecloux est photographe indépendant et grand voyageur, notamment au Népal. Sa devise : "Appliquer ce que Nicolas Bouvier m'a appris sur la lenteur et le temps que doit prendre l'occupation d'être heureux". Il a trouvé là-bas un équilibre entre violence et beauté comme en témoignent ses livres "L'usure du monde : Hommage à Nicolas Bouvier" et "Brumes à venir" (le Bec en l'air). Rien à voir : douze photographes racontent la photo qu'ils n'ont pas prise. </strong></span><br /> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Enregistrements : avril 13</strong></span><br /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Mise en ondes & mix : Samuel Hirsch</strong></span><br /><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Réalisation : Aude Laporte</strong></span></p>