Last posts on perversion2024-03-29T12:11:45+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/perversion/atom.xmlZedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.htmlRéflexions sur l'ingénierie sociale...tag:metapoinfos.hautetfort.com,2016-02-25:57641212016-02-25T16:00:00+01:002016-02-25T16:00:00+01:00 Les éditions Kontre Kulture viennent de publier un recueil d'articles de...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Les éditions Kontre Kulture viennent de publier un recueil d'articles de <strong>Lucien Cerise</strong> intitulé <em><strong>Neuro-pirates - Réflexions sur l'ingénierie sociale</strong></em>. Penseur indépendant et non-conformiste, Lucien Cerise est l'auteur de <strong><em><a href="http://metapoinfos.hautetfort.com/archive/2010/05/02/50f6912233585521462d8b299b211d55.html">Gouverner par le chaos</a></em></strong> (Max Milo, 2010) et d'<em><strong><a href="http://metapoinfos.hautetfort.com/archive/2013/06/23/oliganarchie.html">Oliganarchy</a></strong></em> (Le Retour aux Sources, 2013).</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-5301898" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/02/00/3561897602.png" alt="Neuro-pirates.png" /></p><blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">" La première question qui traverse ce recueil de textes est : « Comment pirater un cerveau ? » La seconde, essentielle, suit alors immédiatement : « Comment s’en protéger ? » Car le piratage des cerveaux par l’ingénierie sociale et d’autres procédés est déjà une réalité, et les cerveaux piratés sont les nôtres. Ce « neuro-piratage » peut consister à agir sur le <em>hardware</em>, c’est-à-dire sur le substrat biologique et génétique du cerveau, mais il peut également consister à agir sur le <em>software</em>, c’est-à-dire sur le code de communication que l’on apprend de la société. Ce code d’origine épigénétique – ce langage, ou logiciel – nous vient du bain socioculturel dans lequel nous sommes plongés depuis l’enfance, imprimant au cerveau son architecture neuronale. L’étude des groupes sociaux, de leur mode de construction, des liens qui les structurent, a permis à ceux qui veulent maîtriser les foules d’agir sur ses membres, de modifier leurs comportements, voire de les détruire en tant qu’individus et groupes, les uns dépendant des autres. Car l’individu déconnecté de tout groupe, de toute hiérarchie, de toute représentation, de tout « stéréotype », ne peut survivre qu’en développant des symptômes psychotiques. En attaquant les liens naturels, liens œdipiens de la différenciation masculin/féminin, mais aussi de la hiérarchie parents/enfants, en abolissant la notion de limites, dont le dépassement en psychologie s’appelle perversion, c’est toute la société qui est attaquée. Déstructurée, rendue malléable – on parle de société « liquide » –, elle sera alors le jouet d’une petite oligarchie qui n’aura plus rien à craindre des peuples dont elle s’est approprié les âmes. "</span></p></blockquote>
Pascal Adamhttp://theatrummundi.hautetfort.com/about.htmlNiveautag:theatrummundi.hautetfort.com,2014-05-10:53665262014-05-10T19:32:00+02:002014-05-10T19:32:00+02:00 la sincérité est nouvelle vertu qui sait évacuer la...
<p style="text-align: center;"><img id="media-4552517" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://theatrummundi.hautetfort.com/media/01/00/2025545747.jpg" alt="littérature,poésie,critique,néant,sincérité,parole,serment,vertu,perversion,haïku à deux balles" /></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 115%;"> </p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 115%;"><span style="color: #ff99cc; line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 14pt; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-fareast-language: FR;">la sincérité est nouvelle vertu</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 115%;"><span style="color: #ff99cc; line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 14pt; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-fareast-language: FR;">qui sait évacuer la parole donnée</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 115%;"><span style="color: #ff99cc; line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 14pt; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-fareast-language: FR;">j’étais sincère hier en jurant blanc</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 115%;"><span style="color: #ff99cc; line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 14pt; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-fareast-language: FR;">et ne le suis pas moins en disant noir de suite</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 115%;"><span style="color: #ff99cc; line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 14pt; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-fareast-language: FR;">youkaïdi youkaïda youkaïdi-aïdi-aïda</span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 115%;"><span style="line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 14pt; mso-fareast-font-family: 'Times New Roman'; mso-fareast-language: FR;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; line-height: 115%;"><span style="line-height: 115%; font-family: 'Times New Roman','serif'; font-size: 14pt;"> </span></p>
Marie-Paule DARCHICOURThttp://blogdemariepauledarchicourt.hautetfort.com/about.htmlLundi 31 mars: n'envoyez pas vos enfants à l'ecole publique !tag:blogdemariepauledarchicourt.hautetfort.com,2014-03-27:53334762014-03-27T16:51:31+01:002014-03-27T16:51:31+01:00 Les familles françaises sont invitées à ne pas envoyer leurs enfants à...
<p><img id="media-4499283" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://blogdemariepauledarchicourt.hautetfort.com/media/00/01/1945448101.jpg" alt="france,éducation nationale,famille,enfants,perversion,homofolie" width="164" height="194" />Les familles françaises sont invitées à ne pas envoyer leurs enfants à l'école publique le lundi 31 mars pour manifester leur opposition à l'enseignement programmé de l'imbécile et ignoble "théorie du genre" par l'Educ'Nat' sur instructions du stalinoïde Peillon-Blum, de sa complice la bobo maghrébine Belkacem et de leur clique d'idéologues fumeux, de dégénérés, de pervers et d'homofoldingues.</p><p>Il s'agit de marquer fortement l'opposition déterminée des parents français à laisser s'abattre une massive propagande sur les jeunes enfants et les adolescents au nom d'une pseudo lutte contre les discriminations qui en réalité cache une volonté de saper les fondements même de notre Civilisation en niant la réalité des lois naturelles, en discréditant la famille naturelle et en pervertissant les enfants. La "théorie du genre" est une théorie politique qui ne repose sur aucune base scientifique mais ressort uniquement de ruminations idéologiques et la simple observation de la nature suffit à la discréditer. Cette ignominie pourrait pourtant bien être enseignée comme vérité aux jeunes cerveaux et les déboussoler complètement. Il faut s'y opposer avec la plus extrême rigueur: en commençant par les moyens légaux !</p><p><em><strong>Lundi 31 mars 2014: un jour de boycott de l'Ecole Publique, pour protéger les enfants !</strong></em> </p><p>( <a href="http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2014/03/25/civitas-le-31-mars-retirez-les-enfants-des-ecoles-publiques-5331506.html" target="_self">cliquez ici </a>)</p>
MILIQUEhttp://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/about.htmlHOMOPARENTALITÉ ET PERVERSION DES INSTITUTIONS FRANÇAISEStag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2014-01-12:52693572014-01-12T18:16:00+01:002014-01-12T18:16:00+01:00 HOMOPARENTALITÉ ET PERVERSION DES INSTITUTIONS...
<p style="text-align: center;"><iframe width="420" height="315" src="http://www.youtube.com/embed/TfmEnHfHuZQ" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p style="text-align: center;"> </p><h1 id="watch-headline-title" class="yt" style="text-align: center;"><span id="eow-title" class="watch-title long-title yt-uix-expander-head" style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large; color: #0000ff;" title="Homoparentalité et Perversion des Institutions Françaises" dir="ltr">HOMOPARENTALITÉ</span></h1><h1 class="yt" style="text-align: center;"><span id="eow-title" class="watch-title long-title yt-uix-expander-head" style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large; color: #0000ff;" title="Homoparentalité et Perversion des Institutions Françaises" dir="ltr"> ET PERVERSION </span></h1><h1 class="yt" style="text-align: center;"><span id="eow-title" class="watch-title long-title yt-uix-expander-head" style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large; color: #993300;" title="Homoparentalité et Perversion des Institutions Françaises" dir="ltr">DES INSTITUTIONS </span></h1><h1 class="yt" style="text-align: center;"><span id="eow-title" class="watch-title long-title yt-uix-expander-head" style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large; color: #993300;" title="Homoparentalité et Perversion des Institutions Françaises" dir="ltr">FRANÇAISES </span></h1>
Jean-Pierre WILLEMShttp://willemsconsultants.hautetfort.com/about.htmlAh, la perfection !tag:willemsconsultants.hautetfort.com,2013-09-19:51762352013-09-19T22:48:00+02:002013-09-19T22:48:00+02:00 Un peu longue la réunion sur le projet. Chaque étape est reprise, détaillée,...
<p style="text-align: justify;">Un peu longue la réunion sur le projet. Chaque étape est reprise, détaillée, disséquée, analysée. Tous les imprévus prévisibles sont envisagés méthodiquement, le diable et 1000 de ses avocats semblent planer au-dessus de la table pour souffler à la responsable du projet toutes les objections, les impossibilités, les obstacles, les empêchements, les accidents qui ne manqueront pas de faire irrémédiablement capoter ce que nous sommes en train de laborieusement tenter de construire. Les tunnels de négativité de cette espèce me plongent toujours dans une sourde torpeur dont je préfère ne pas imaginer la mine imbécile qu'elle dessine sur mon visage. Tout juste si je tends l'oreille parce que soudain l'une des participantes interpelle la chef de projet :</p><p style="text-align: justify;">"- De toute façon, toi tu vises toujours la perfection...</p><p style="text-align: justify;">- Non, ce n'est pas vrai, je ne cherche pas toujours à atteindre la perversion..."</p><p style="text-align: center;"><img id="media-4256220" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://willemsconsultants.hautetfort.com/media/02/00/2762868610.jpg" alt="perfection,perversion,lapsus,psychologie,consultant,travail" width="357" height="573" /></p><p style="text-align: center;">Pierre Molinier - Hanel - 1956</p><p style="text-align: justify;">Le lapsus éclaire ma journée. Après cela, on peut bien rester trois heures encore sur l'étape 2, cela n'a plus d'importance. La perfection est-elle une perversion ? comme tous les excès sans doute. Comme le sportif de haut niveau qui, au pic de sa forme, présente un bilan de santé qui ferait bondir plus d'un médecin. Mais il ne faut surtout pas oublier, surtout pas, que la perversion est aussi un plaisir. Belle réunion, et belle journée, un esprit impartial la trouverait parfaite.</p>
MILIQUEhttp://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/about.htmlLA PERVERSION DU NÉANTtag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2012-12-29:49082142012-12-29T09:04:00+01:002012-12-29T09:04:00+01:00 LA PERVERSION DU NÉANT C'est une tragédie...
<p style="text-align: center;"><img id="media-3852894" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com/media/00/01/2782353572.jpeg" alt="LUMIERE BLANCHE.jpeg" /></p><p style="text-align: center;"> </p><div><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: large; font-family: arial black,avant garde;"><strong>LA PERVERSION DU NÉANT </strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: large;"><strong>C'est une tragédie personnelle lourde de désespoir,</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: large;"><strong>Un cauchemar interminable qui laisse perplexe</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: large;"><strong>La passion dévastatrice à l'audace arrogante.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: large;"><strong>Comment expliquer la lâcheté, la couardise fondamentale ?</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: large;"><strong>Comment opposer l'indifférence affichée à la détresse d'autrui ?</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: large;"><strong>Dans la lumière sèche et presque blanche</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: large;"><strong>De notre infime aux fièvres marécageuses,</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: large;"><strong>L'oreille vibrante de la vie qui s'efface</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: large;"><strong>Arrache au linceul brûlant de l'oubli</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: large;"><strong>Les voix évanouies car trop souvent niées.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: large;"><strong>Vocalises hallucinées de douleur et de violence</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: large;"><strong>Qui jamais, même à l'extrême, ne s'apaiseront.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: large;"><strong>Pour qu'enfin s'illuminent les ténèbres de ce monde,</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: large;"><strong>Il faut rappeler aux mots l'autre charge de leur fonction</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: large;"><strong>Qu'est de faire se consumer la perversité du néant</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: large;"><strong>Afin que la beauté fragile du réel instantané</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: large;"><strong>Se pare de fier instinct et d'attrayante séduction.</strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: center;"><span style="font-size: large;"><strong>P. MILIQUE </strong></span></p></div>
Pascal Adamhttp://theatrummundi.hautetfort.com/about.htmlD'amour et de néanttag:theatrummundi.hautetfort.com,2011-12-29:42249192011-12-29T00:30:00+01:002011-12-29T00:30:00+01:00 [Ce billet, que j’espère dérisoirement rendre plus lisible par cette...
<p style="text-align: center;"><a href="http://theatrummundi.hautetfort.com/media/01/00/2124815044.jpg" target="_blank"><img id="media-3360159" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://theatrummundi.hautetfort.com/media/01/00/3497115063.jpg" alt="Verdun" /></a></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times; font-size: small;"><span style="font-size: medium;"><em>[Ce billet, que j’espère dérisoirement rendre plus lisible par cette précision, fait suite à « <a href="http://theatrummundi.hautetfort.com/archive/2011/12/16/pochade.html" target="_blank">Pochade</a> » et a trait à la même petite pièce intitulée </em>Le Souverain, le Diable et moi. </span><em><span style="font-size: medium;">]</span></em></span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times; font-size: small;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 2cm; text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;">« Les deux raisons contraire<span style="font-size: large;">s. Il faut commencer par là ; sans cela on n’entend rien, et tout est héréti</span>que. Et même à la fin de chaque vérité il faut ajouter qu’on se souvient de la vérité opposée. »</span></p><p class="MsoNormal" style="margin-left: 2cm; text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;">Pascal, <em>Pensées</em>, fragment 493 édition Le Guern </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;">J’allais oublier de parler de l’amour. Non sans raison, peut-être. D’ailleurs, si l’on pouvait dire les choses positivement, en une phrase ou deux, ou même en un copieux essai, personne n’aurait jamais écrit de théâtre.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;">Peut-être y a-t-il très peu d’amour. Peut-être la première scène l’assèche-t-elle irrémédiablement, en épuise-t-elle d’emblée le stock pour laisser place ensuite à sa contre façon parfaite, la perversion. Ou, pour être plus juste, peut-être y en a-t-il juste le peu qu’il faut pour que, grossi à la parole qui fait loupe, il y ait l’air d’y en avoir beaucoup. La perversion alors est installée, lentement elle diffuse et corrompt – au sens courant comme au sens aristotélicien où la corruption est complémentairement opposée à la génération. </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;">Il se peut bien, après tout, que Molière en voulant de son <em>Tartuffe </em>démasquer les faux dévots ait démasqué aussi, j’allais dire surtout, les vrais, et ce qu’il y a de faux en eux – épargnant au fond, peut-être, les seuls saints (et encore…). Mais ici, il n’est guère question de sainteté et la question de l’amour ne fait que seconder celle du pouvoir – dont peut-être elle est seulement un cas particulier, à peine particulier –, et variera de façons différentes selon que l’on considérera qu’à l’initiale l’on aime pour ou malgré le pouvoir, lorsque ce pouvoir tant et si mal appréhendé toujours s’avèrera enfin pure illusion, fiction entretenue de justesse, sur le fil… </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;">Dans cette hypothèse-ci, celle du peu d’amour, comme on dit peu de foi, si l’esprit critique cède aux apparences de l’amour, alors, comme semble s’en plaindre un des protagonistes, « ça n’avance pas tellement », et la mort de l’autre a tout l’air d’être naturelle ; s’il n’y cède pas, on peut distinguer sous ce qui tient lieu d’amour, l’instillation lente du meurtre qui ne contrevient pas à la loi.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;">On peut sans doute à bon droit penser des choses de ce genre. Les discours positifs sur l’amour, comme ceux sur Dieu, sont parfaitement indifférents ; pourvu qu'on soit un peu cohérent, ou simplement qu'on en ait l'air, on peut dire une chose et la soutenir, mais la proposition opposée vient aussitôt à manquer. </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;">Il est donc loisible de soutenir à l’inverse que l’amour consiste à vieillir ensemble, à surmonter ensemble les difficultés de la vie et partant, que plus ces difficultés auront semblé insurmontables plus grand sera l’amour, et qu’il faut bien à la fin qu’un des deux parte le premier, usé, à bout de force, en quelque sorte victorieux vaincu. Les contrariétés petites et grandes de la vie, les trahisons, les mensonges et les lâchetés seraient alors ces couleuvres que l’amour seul permet d’avaler, de digérer, et qui le nourrissent en retour, et même le grandissent. L’on finirait à voir de la grandeur d’âme jusque dans l’humiliation et la sanie ; et pourquoi pas ?</span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;">Ces deux hypothèses au fond, celle du très peu d’amour et de la perversion, celle du très grand amour incluant et rédimant le tas d’ordures, me vont aussi bien l’une que l’autre ; au vrai, elles m’indiffèrent exactement et l’on pourrait échafauder de la sorte une cinquantaine d’autres façons de lire l’amour dans cette pièce que je n’aurais rien à y redire tant tout cela n’est en rien mon affaire et les amours, ou ce que vous voulez, des deux personnages principaux ne me semblent pas devoir faire l’objet d’une hypothèse unique ni même d’une manière de synthèse pseudo-dialectique des deux lâchées plus haut.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;">Et même, j’ai l’impression que l’entrée fantomatique du troisième personnage, non moins que bientôt sa sortie, et entre les deux sa présence très vaguement consistante, jeune homme du peuple qui ne sait pas trop ce qu’il fait là, jeune homme mort et que l’on va tuer encore, en quelque sorte pour le plaisir et parce que ça n’a au fond pas de conséquence, jeune homme si ça se trouve que l’on ressusciterait encore pour l’envoyer une fois de plus se faire équarrir tout vivant, manière d’allégorie misérable d’un peuple misérable et vaincu, résigné à n’exister jamais que pour aussitôt se faire étriper, eh bien, ce troisième personnage presque sorti aussitôt qu’entré, et pas moins crevé à l’entrée qu’à la sortie – quelque sens par ailleurs que ça ait –, en ce qu’il tient à la fois à la gloire et au ridicule de la gloire, a une manière ridiculement glorieuse d’être christique, mais christique alors comme le premier imbécile éventré venu, eh bien dis-je, en fait d’amour, ce personnage-là, j’ai l’impression qu’il devrait rendre caducs tous ces distinguos positifs sur l’amour et toutes ces sortes de saloperies vénales, surtout s’ils concernent ces contemporains-là que nous sont un souverain au bas mot impotent et un poète quasi analphabète. Voilà. Vae victis, amen.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14pt; line-height: 115%; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt;"><span style="font-size: 14.0pt; line-height: 115%;"> </span></p><p class="MsoNormal"><span style="font-size: 14.0pt; line-height: 115%;"> </span></p>
Pascal Adamhttp://theatrummundi.hautetfort.com/about.htmlRetourstag:theatrummundi.hautetfort.com,2011-12-02:38918862011-12-02T22:50:00+01:002011-12-02T22:50:00+01:00 Au téléphone, un ami...
<p class="MsoNormal" style="text-align: left; text-indent: 7.1pt;" align="left"><span style="line-height: 115%; font-size: medium; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: left; text-indent: 7.1pt;" align="left"><span style="line-height: 115%; font-size: medium; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;" align="left"><span style="line-height: 115%; font-size: medium; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;" align="left"><span style="line-height: 115%; font-size: medium; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;" align="left"><span style="line-height: 115%; font-size: medium; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;" align="left"><span style="font-size: medium; font-family: 'times new roman', times;"><em><span style="line-height: 115%;">Au téléphone, un ami fait retour de sa lecture récente de mon dernier texte dramatique.</span></em></span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;" align="left"><span style="line-height: 115%; font-size: medium; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;" align="left"><span style="line-height: 115%; font-size: medium; font-family: 'times new roman', times;"><br /></span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;" align="left"><span style="line-height: 115%; font-size: medium; font-family: 'times new roman', times;">LUI. – Ça m’a étonné de toi qu’il y ait autant d’amour dans cette pièce.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;" align="left"><span style="line-height: 115%; font-size: medium; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;" align="left"><span style="line-height: 115%; font-size: medium; font-family: 'times new roman', times;">MOI. – Oh, je voulais juste mettre en scène la perversion, sa douceur.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;" align="left"><span style="line-height: 115%; font-size: medium; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;" align="left"><span style="line-height: 115%; font-size: medium; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;" align="left"><span style="line-height: 115%; font-size: medium; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-indent: 7.1pt; text-align: justify;" align="left"><span style="line-height: 115%; font-size: medium; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: left; text-indent: 7.1pt;" align="left"><span style="line-height: 115%; font-size: medium; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: left; text-indent: 7.1pt;" align="left"><span style="line-height: 115%; font-size: medium; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: left; text-indent: 7.1pt;" align="left"><span style="line-height: 115%; font-size: medium; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: left; text-indent: 7.1pt;" align="left"><span style="line-height: 115%; font-size: medium; font-family: 'times new roman', times;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: left; text-indent: 7.1pt;" align="left"><span style="font-size: medium; font-family: 'times new roman', times;"><em><span style="line-height: 115%;"> </span></em></span></p>
Céchttp://sauvetoicecile.hautetfort.com/about.htmlLe samedi 30/07/11 #2tag:sauvetoicecile.hautetfort.com,2011-08-01:37293822011-08-01T03:17:00+02:002011-08-01T03:17:00+02:00 La journée du samedi a été interminable. PN avait décidé de s'attaquer non...
<p>La journée du samedi a été interminable. PN avait décidé de s'attaquer non seulement à moi mais aussi aux enfants. Le matin, les enfants et moi nous sommes réveillés relativement tard. PN a vite attaqué dès la matinée, j'ai décrit ses questions et réactions tordues dans la note précédente.</p><ul><li>Juste après le petit-déjeûner, l'Aînée demande fébrilement la permission de faire de l'ordinateur sur mon portable, je lui réponds négativement car je sais qu'elle va passer des heures sur Faicebouc. Cinq minutes après, PN l'appelle pour qu'elle vienne faire de l'ordinateur dans le bureau sur l'appareil familial, il lui demande de se dépêcher car il lui cède sa place exprès. <span style="color: #800000;"><strong>PN contredit mon ordre afin d'attirer la sympathie de sa fille.</strong></span> C'est la première fois qu'il l'autorise - voire la pousse - à passer son temps sur Faicebouc. Je le lui fais remarquer. Il minimise en disant que son autorisation ne vaut qu'après qu'elle ait vidé sa valise. Puis à mon adresse il dit qu'il a assez consulté Internet, entre deux sites porno. No comment !</li></ul><p>Avant que je parte chez l'orthodontiste, le père de PN a téléphoné. Il a parlé à Jumeau puis a demandé à me parler. Nous avons échangé des banalités. Il m'a demandé de venir le voir en Province avec PN et les enfants. Je lui ai dit que c'était impossible, que je ne pouvais pas passer des vacances avec PN. Cela fait 18 mois que PN et moi sommes fâchés avec son père. Sous l'emprise de l'alcool, son père m'avait aggressée verbalement. PN qui ne supporte pas son père, l'a alors violenté physiquement. Le pauvre homme avait 64 ans. Je n'ai pas du tout validé le comportement de PN mais j'ai tout de même coupé les ponts et PN aussi.</p><p>A 12h30, j'ai conduit l'Aînée chez l'orthodontiste. Je suis revenue à 13h15, puis nous avons déjeûné autour d'une pierrade de boeuf, le truc convivial mais où PN mangeait avec nous. C'est le premier repas avec tous les enfants réunis.</p><p style="text-align: left;"><img id="media-3150992" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt;" title="" src="http://sauvetoicecile.hautetfort.com/media/02/00/3098430016.2.jpg" alt="harcèlement moral; pervers narcissique,manipulateur,violences conjugales,alcoolisme,alcoolique,perversion" width="60" height="118" />Quand je reviens, <strong>PN a entamé la première bouteille de vin rouge en apéritif,</strong> j'en prends un unique verre. Au cours du repas, il ouvre <strong>une deuxième bouteillle de rosé</strong> qu'il boit tout seul. Puis à la fin du (même !) repas, <strong>il tire du vin rouge du cubi de 3 litres</strong>. Durant le repas il est dans un état logorrhéique et presse les enfants de questions sur leurs colonies respectives. L'Aînée est enthousiaste à répondre et à raconter son séjour, qu'elle a adoré. Jumelle parle un peu. PN est particulièrement pressant avec Jumeau. Il le vanne sans arrêt. Jumeau dit plusieurs fois à son père d'arrêter de l'embêter. A table, il dit que la viande est dure comme du béton. L'Aînée, lui rétorque qu'il n'a qu'à pas manger. Je dis à l'Aînée qu'il dira toujours que c'est mauvais, mais qu'il mangera quand même et même qu'il se resservira.</p><ul><li>Il dit aux Jumeaux qu'il a regardé tous les jours sur Internet la webcam de leur lieu de colonie, qu'il va essayer de trouver une location là-bas pour les emmener en vacances. <strong>Il les appelle 15 fois</strong> (ce n'est pas un chiffre hyperbolique ici !!!) pour qu'ils viennent regarder la webcam à l'ordinateur. Les Jumeaux râlent car ils sont agacés. Pendant le repas, il leur pose toujours les mêmes questions auxquelles ils ont déjà répondu. Il leur dit plusieurs fois qu'il a tondu et désherbé la pelouse en leur absence. Et puis encore ceci et cela ! <strong>Les enfants lui répondent :"Tu nous l'as déjà dit pleins de fois. C'est bon maintenant."</strong> Il me dit qu'il a mis 4000€ dans la toiture et que je me doute bien que ce n'est pas pour notre confort mais pour mieux vendre la maison."<span style="color: #800000;"><strong>(Utilisation de la répétition des mots ou des actes pour agacer)</strong></span></li></ul><p>Au cours du repas le père de PN rappelle, il veut parler à son fils. J'entends qu'il souhaite voir ses petits-enfants. PN lui ordonne d'arrêter de lui téléphoner pour lui demander ses congés tous les deux jours parce que sinon il va <strong>"acheter un appareil-enregistreur et mettre ses congés sur un message"</strong>. Il lui dit :<strong> "T'as qu'à voir ça avec Lola, puisque vous êtes copains comme cochons !"</strong> Son père lui raccroche au nez.</p><ul><li>Après le repas, je vais faire une sieste, Jumelle me rejoint. PN tourne autour de ma chambre, il passe plusieurs fois par le garage. <strong>Il est en état d'excitation.</strong> Je l'entends qui arrose les fleurs. Puis PN appelle sans arrêt Jumelle pour lui montrer encore quelquechose. Je me demande quoi et j'ai même le sentiment qu'il va lui dire des absurdités ou des méchancetés sur moi. Jumelle se décide à y aller et <strong>revient en larmes</strong>. A mon questionnement, <strong>elle répond : "Il me suit tout le temps !!!"</strong>.</li></ul><p style="text-align: center;"><img id="media-3149053" style="margin: 0.7em 0pt;" title="" src="http://sauvetoicecile.hautetfort.com/media/01/00/740203642.jpg" alt="harcèlement moral; pervers narcissique,manipulateur,violences conjugales,alcoolisme,alcoolique,perversion" /></p><p style="padding-left: 60px;">Cette pratique est d'une telle perversion ! On sait que les Pervers Narcissique ne frappent pas physiquement mais psychologiquement, mais <strong>LE MAL EST BEL ET BIEN LA</strong>. C'est comme le jeu du perroquet ou de l'imitateur où l'on imite sans arrêt une personne. Au bout de quelques minutes, cela peut terriblement agacer et faire perdre le calme ! Cela peut rendre fou quelqu'un que l'on a déjà bien énervé auparavant et qui est dans un état de tension. <strong>PN le sait bien, il m'a déjà dit : "Le harcèlement, c'est répéter tout le temps la même chose."</strong> Ensuite, quand la victime s'en prend au PN, parce qu'elle est hors d'elle, allez expliquer que c'est parce que PN vous a suivi dans toutes les pièces.<span style="color: #800000;"><strong>(Utilisation de la répétition des mots ou des actes pour agacer)</strong></span></p><p>Je m'endors, Jumelle regarde un film sur l'ordinateur à côté de moi. A mon réveil vers 16h, je vais faire un peu de couture dans la salon. Il m'attaque sans relâche. Combien de verres supplémentaire PN a-t-il pris ? Il empeste l'alcool, il se trouve à 2 mètres de moi mais je sens sa forte haleine. Je le lui dis.</p><ul><li>PN annonce qu'il va faire des courses à GO Sport. Il dit qu'il va acheter une paire de basket à Jumeau plus ceci cela. Au sein de sa phrase il intercale le code de ma carte bancaire. Il fait ça toute l'après-midi, au moins 5 ou 6 fois. Cela fait :<strong> "Je vais aller à GO Sport 1234 acheter des baskets. Ah la la ! Qu'est-ce qu'il en use des chaussures 1234. Par contre, tes lunettes de piscine, tu te les prendras toute seule avec ta carte, 1234. Parce que ça suffit maintenant les conneries, 1234."</strong> Je lui réponds que ce n'est pas la peine de faire son petit jeu, car je peux m'y mettre aussi. <span style="color: #800000;"><strong>(Utilisation de la répétition des mots ou des actes pour agacer)</strong></span></li></ul><p>PN me dit que ce n'est pas la peine de demander une 2ème carte bancaire sur le compte-joint car il y a eu plusieurs centaines d'euros de sortis en chèques ce mois-ci. Il m'ordonne de façon de plus en plus pressante et autoritaire de lui justifier les dépenses. PN utilise son ton professoral favori.</p><ul><li>PN : <strong>"Dis-moi ce que tu as acheté ! J'attends ! J'attends ! J'attends tes explications ! Je ne partirai pas d'ici avant que tu ne m'aies dit ce que tu en as fait. J'attends ! Dépêche-toi ! J'attends ! Donne-moi tes explications ! Tu vas m'écrire une liste de tes dépenses ! J'attends ! J'attends ! etc."</strong> Je lui réponds fermement puis en criant que ce sont des utilisations familiales et que je n'ai pas à justifier quoi que ce soit.</li></ul><p style="text-align: center;"><img id="media-3149030" style="margin: 0.7em 0pt;" title="" src="http://sauvetoicecile.hautetfort.com/media/01/00/1529912855.jpg" alt="harcèlement moral; pervers narcissique,manipulateur,violences conjugales,alcoolisme,alcoolique,perversion" /></p><p>PN s'énerve. Ses cris ébranlent la maison. Je ne cesse pas ma couture. Mes mains commencent à trembler. Je m'accroche à mon tissu et à ma machine à coudre pour ne pas le montrer. J'ai du mal à respirer. Je tente comme je peux de me maîtriser. Mais dans mon coeur et dans ma tête, je suis forte et déterminée à ne pas me laisser faire.</p><ul><li>PN continue de hurler. <span style="color: #ff0000;"><strong>Il attrape la longue table rectangulaire par le bout opposé auquel je suis assise et la soulève, afin de faire glisser ma machine à coudre</strong>. <strong>Il hurle : "C'est TA table, ça, hein ? C'est TOI qui l'as achetée ? Regarde ce que je vais en faire !"</strong></span> Je ne me laisse pas démonter, je rattrape ma machine et lui crie d'arrêter son cirque. je lui demande ce qu'il veut prouver ? Sa force ? Sa brutalité ? Qu'il veut faire le gorille de Tarzan ? Je lui dis d'aller soulever les tables à son boulot, afin que ses collègues voient son comportement. (Je l'attaque sur ce point car il ne supporte pas que je lui parle de ses collègues : ne pas toucher ! Ce sont ses miroirs, comme l'a bien décrit ViveMaVie.)</li></ul><p>Je lui dis qu'il est taré et qu'il doit se faire soigner. Que quand on s'est connus, sa mère avait tenté de me faire comprendre qu'il était violent. En effet, sa mère paraissait contente qu'il se soit trouvé une petite amie. Elle s'entendait parfaitement avec moi, PN d'ailleurs s'étonnait de cette relation belle-mère/belle-fille et s'en félicitait. Mais je pense que cela l'a ensuite travaillé et qu'il en a fait une certaine confusion, entre elle et moi. Je l'ai déjà décrit dans une note précédente, il ressent un vif sentiment d'amour/haine envers sa mère et depuis la mort ce celle-ci il m'a détestée progressivement. Puis un an après sa mort, en rangeant des papiers, je trouve dans le classeur qu'elle avait réalisé pour PN afin d'y classer ses papiers divers, une photocopie d'un article parlant de la violence et les conseils pour la vaincre !!! Je suis tombée à la renverse ! Elle savait ! Forcément !</p><p>Puis, j'ai appuyé fortement là où PN pouvait avoir mal. C'est une chose que je n'ai pas fait depuis bien 5 ans.</p><p>-------------------------------------------------</p><p>A SUIVRE :</p><p>23h15</p>