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Notes sur le tag : paul thomas anderson

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Dernières notes

Amour, musiques, matelas et autres contrariétés

Il s’appelle Gary, il a 15 ans. Elle s’appelle Alana, elle en a 10 de plus. Tout ou presque les sépare. Pourtant, c’est avec un certain culot que l’adolescent, enfant prodige de la télé et passé maître dans l’art de la tchatche, drague la jeune assistante photographe qui l’envoie balader… avant d’accepter un rendez-vous qu’elle semble regretter aussitôt. Paul Thomas Anderson a réalisé...

Publié le 20/07/2022 dans Bla Bla Blog par Bruno Chiron | Lire la suite...

Bonne fête des pères

" Magnolia "  

Publié le 17/06/2018 dans Branloire... par Houdaer | Lire la suite...

Critique de THERE WILL BE BLOOD de Paul Thomas Anderson (ce soir, à 20H45, sur Cine + premier)

  L’or noir. L’oxymore qui définit ainsi l’objet de la quête effrénée, insatiable, vorace de Daniel Plainview est à l’image de ce film. Entre ombre et lumière. Entre les profondeurs abyssales et obscures de la terre et les vastes paysages de l’Ouest américain. Entre les Lumières de la foi et l’obscurantisme de la religion. Entre les deux faces si contrastées d’un même visage....

Publié le 05/11/2015 dans IN THE MOOD... par Sandra Mézière | Lire la suite...

The Master

Six films et déjà éclectique. Après des débuts et un polar ( Hard Eight , 1996), P. T Anderson réalise Boogie Nights (1997), à la fois biopic (inspiré de la vie du célèbre acteur porno John Holmes) et plongée dans l'univers porno des années 70-80 (trois nominations aux Oscars). En 1999, Magnolia , enchevêtrement d'histoires aux ramifications improbables, lui vaut l'Ours d'or au Festival de...

Publié le 15/01/2013 dans eklektik par centrifuge | Lire la suite...

Scènes cultes : Magnolia, de Paul Thomas Anderson

Merci à Balbc qui grâce à cette note m'a rappelé aux bons souvenirs de cet exceptionnel film qu'est Magnolia, oeuvre à l'ambiance si particulière, triste et rêveuse. Dans cette scène, les personnages (qui sont connectés entre eux sans forcément le savoir), chantent la même chanson aux quatre coins de la ville. C'est beau le cinéma quand même, non? Comment, vous n'avez jamais vu Magnolia?...

Publié le 09/10/2008 dans Oh my... par Osmany | Lire la suite...

Alors....

Alors donc vous savez qui m'a répondue, big surprise, vraiment! Mais j'ai pas lu son mail, je me doute de la teneur, si ça se trouve c'Est pour me dire un bye final, pas envie de savoir pour le moment je lui prépare un mail fleuve dont j'ai le secret (un peu dans le genre de mes notes, vous voyez le genre quoi!) le tout en me faisant une beauté, gommage, masques divers et variés, je suis...

Publié le 27/05/2008 dans À la manière... par presso | Lire la suite...

“There will be blood” de Paul Thomas Anderson : la folie fiévreuse de l’or noir

  L’or noir. L’oxymore qui définit ainsi l’objet de la quête effrénée, insatiable, vorace de  Daniel Plainview est à l’image de ce film. Entre ombre et lumière. Entre les profondeurs abyssales et obscures de la terre et les vastes paysages de l’Ouest américain. Entre les Lumières de la foi et l’obscurantisme de la religion. Entre les deux faces si contrastées d’un même...

Publié le 27/03/2008 dans IN THE MOOD... par Sandra Mézière | Lire la suite...

Nada

Aujourd'hui, rien . Comme ce bon Louis le seizième . Pas inspiré, pas d'idée fulgurante.   Les semaines qui viennent s'annoncent passionnantes. Mais en attendant... rien . Quelques belles notes en préparation, à propos de la presse, des médias, de la musique en ligne... Mais en attendant... aujourd'hui... rien. Post-trauma disorder ? Retour de neige comme il y a des retours...

Publié le 13/03/2008 dans LE VOLUME... par dubuc | Lire la suite...

There will be blood

Etats-Unis. Début du XXème siècle. Nous sommes quelque part en Californie. L'industrialisation se met en place (les premiers trains, les premières voitures apparaissent). Pionnier du pétrole sans scrupules, Daniel Plainview (Daniel Day-Lewis impressionnant comme d'habitude) traque sans relâche la moindre trace d'or noir dans le coin. Il veut s'enrichir et ne veut pas que les...

Publié le 10/03/2008 dans eklektik par centrifuge | Lire la suite...

JR, c'était de la gnognotte!

Quand je pense que JR faisait trembler dans les chaumières et à Dallas par sa grande cruauté, son égoïsme, sa cupidité, sa façon de traiter sa famille et consorts, et bien qu'il aille se rhabiller et voir Daniel Day Lewis (mazette ça m'a rappelé ses jeunes années en dernier des Mohicans, miam mian, et dans "In the name of the father", trop beau ce film!) en Daniel Plainview dans "There...

Publié le 18/02/2008 dans À la manière... par presso | Lire la suite...

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