Last posts on pasqua2024-03-28T15:35:07+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/pasqua/atom.xmllanverthttp://lanvert.hautetfort.com/about.htmlJe suis Charlie (version RPR)tag:lanvert.hautetfort.com,2015-07-01:56495262015-07-01T21:57:00+02:002015-07-01T21:57:00+02:00 Dessin de Aurel dans Politis
<p style="text-align: center;"><img style="margin: 0.7em 0;" src="http://www.politis.fr/local/cache-vignettes/L650xH900/arton31742-7e155.jpg" alt="arton31742-7e155.jpg" width="520" height="718" /></p><p style="text-align: center;">Dessin de Aurel dans <strong><a href="http://www.politis.fr/">Politis</a></strong></p>
Creseveurhttp://creseveur.hautetfort.com/about.htmlPasqua échappe une fois pour toute à la justice des hommestag:creseveur.hautetfort.com,2015-06-30:56484422015-06-30T09:21:11+02:002015-06-30T09:21:11+02:00
<p style="text-align: center;"><img id="media-5088303" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://creseveur.hautetfort.com/media/02/02/2734561848.jpg" alt="Pasqua dernier recours 2.jpg" /></p>
Creseveurhttp://creseveur.hautetfort.com/about.htmlArchives: l'UMP et la justice, des liens jamais distendustag:creseveur.hautetfort.com,2014-06-22:53960142014-06-22T10:02:22+02:002014-06-22T10:02:22+02:00 LBA cassroles UMp par christian-creseveur
<p><iframe width="480" height="270" frameborder="0" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x2002oq" allowfullscreen=""></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/x2002oq_lba-cassroles-ump_fun" target="_blank">LBA cassroles UMp</a> <em>par <a href="http://www.dailymotion.com/christian-creseveur" target="_blank">christian-creseveur</a></em></p>
Creseveurhttp://creseveur.hautetfort.com/about.htmlFlorence Lamblin, élue verte du XIIIeme arrondissement de Paris, prise pour fraude fiscaletag:creseveur.hautetfort.com,2012-10-16:48668892012-10-16T09:46:57+02:002012-10-16T09:46:57+02:00
<p style="text-align: center;"><img id="media-3793534" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://creseveur.hautetfort.com/media/01/00/1906250643.jpg" alt="Lamblin fraudeuse amatrice.jpg" /></p>
Creseveurhttp://creseveur.hautetfort.com/about.htmlL'étonnant suicide de Robert Boulin (3)tag:creseveur.hautetfort.com,2012-07-28:47928962012-07-28T22:20:50+02:002012-07-28T22:20:50+02:00
<p style="text-align: center;"><img id="media-3686000" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://creseveur.hautetfort.com/media/00/02/1368904766.jpg" alt="Le suicide 003.jpg" /></p>
Jean-Pierre WILLEMShttp://willemsconsultants.hautetfort.com/about.htmlDu passé dépassétag:willemsconsultants.hautetfort.com,2012-02-16:46009532012-02-16T00:05:00+01:002012-02-16T00:05:00+01:00 Je n'aime pas particulièrement les peintures de Philippe Pasqua. Chairs à...
<p style="text-align: justify;">Je n'aime pas particulièrement les peintures de Philippe Pasqua. Chairs à vifs, corps maladifs, personnages passifs. Ces portraits sont à la peinture ce que les livres de Houellbecq sont à la littérature des années 90 : une fin de siècle triste et dépressive qui n'en finit pas de sangloter sur le souvenir du paradis perdu que constituèrent les trente glorieuses. Une peinture qui appartient au passé et qui n'a plus grand chose à nous dire aujourd'hui. Du vu et revu, réchauffé, dépassé pour celui qui est un des artistes les plus en vue d'aujourd'hui.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-3441507" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://willemsconsultants.hautetfort.com/media/00/00/3227876561.jpg" alt="lzaupkmazf.jpg" /></p><p style="text-align: center;">Philippe Pasqua - Constance</p><p style="text-align: justify;">En 1993, Charles Pasqua lançait le débat sur le droit à la formation différée. A savoir la reconnaissance pour toute personne sortie du système scolaire sans être titulaire d'un diplôme de niveau III (BTS, DUT), d'un droit de créance sur la collectivité pour reprendre ses études. Les partenaires sociaux ont repris ce droit dans leur accord du 5 décembre 2003 et ont demandé aux pouvoirs publics de le mettre en oeuvre. Les Conseils régionaux y étaient favorables. Et puis rien.</p><p style="text-align: justify;">Encore plus tôt, en 1989, Michel Rocard mettait en oeuvre le crédit formation pour que tout jeune sans qualification bénéficie d'une formation et d'un diplôme. L'objectif était de réduire le chômage des jeunes. En 1991, le gouvernement fit le constat qu'il valait mieux mettre les jeunes en situation d'emploi et les accompagner par la formation si nécessaire que de former tous azimuts en étant déconnecté de l'emploi. Les partenaires sociaux ont fait leur ce principe par l'ANI du 7 janvier 2009, la loi l'a repris en créant la Préparation opérationnelle à l'emploi (POE).</p><p style="text-align: justify;">On sait de longue date que la formation ne créé pas l'emploi, ce qui a manifestement échappé à quelques uns, et qu'elle est plus efficace lorsqu'elle s'effectue en situation d'emploi plutôt que de chômage. Et l'on en a conclu que c'était l'articulation entre l'activité et la formation qui était pertinente plutôt que leur juxtaposition. Bref tous ces débats ont déjà eut lieu et ont été tranchés.</p><p style="text-align: justify;">Remettre au goût du jour la formation des demandeurs d'emploi comme préalable à l'emploi sans se préoccuper du droit à la formation différée, c'est faire comme Philippe Pasqua, agir en faisant comme si tout cela n'avait pas déjà été posé et réglé il y a 25 ans. Quelqu'un peut-il les réveiller ?</p>
fakakirhttp://snpsp1.hautetfort.com/about.htmlon y croit pas ..depuis 50 ans que ça dure,on change pas une équipe qui perd!!!tag:snpsp1.hautetfort.com,2011-12-21:40718932011-12-21T01:12:47+01:002011-12-21T01:12:47+01:00 Pas de seconde lecture et élections transparentes Bouteflika tient à...
<h1><span style="background-color: #ff0000;">Pas de seconde lecture et élections transparentes</span></h1><h2><span style="background-color: #ff0000;"> Bouteflika tient à ses réformes</span></h2><p><span class="auteur">Par : Azzeddine Bensouiah </span> <img class="article_img" src="http://www.liberte-algerie.com/images/resized/images/images_editions/5874/2_200_150.jpg" alt="" width="144" height="86" /></p><p>Le président de la République a tranché en Conseil des ministres : pas de seconde lecture des réformes tant décriées par l’opposition. Pour lui, le Parlement a décidé, en toute démocratie, des aménagements et autres renoncements.<br /><br />En annonçant la fin de mission du Parlement, juste à la fin de la session en cours, le président Bouteflika aura attendu l’ultime quart d’heure pour le faire. Que signifie, en fait, cette dissolution qui intervient quelques semaines seulement avant la fin de mandat de l’APN ? Il est clair que le vent de révoltes, qui souffle sur le monde arabe, y est pour quelque chose. Le président Bouteflika tient à montrer à l’opinion internationale qu’il tient à ses promesses d’engager des réformes politiques. Sans attendre que le corps électoral soit convoqué, le gouvernement avait déjà entamé les préparatifs matériels pour ce scrutin. Le début de l’année prochaine sera marqué par le lancement d’une campagne de sensibilisation à travers les médias publics. Le corps électoral sera convoqué au lendemain de la fin de l’actuelle session parlementaire. Les élections législatives se tiendront, donc, à la fin mars, début avril. Les partis de l’Alliance présidentielle, chacun de son côté, sont déjà entrés en campagne, alors que les nouveaux partis attendent toujours leur agrément. Bonne nouvelle pour eux, puisque le président Bouteflika a confirmé que ces partis prendraient part au scrutin législatif. Le président Bouteflika a exprimé sa satisfaction pour le respect observé jusqu’ici du calendrier arrêté pour la mise en œuvre des réformes qu’il a annoncées le 15 avril dernier. “Le gouvernement a été au rendez-vous en déposant sur le bureau du Parlement l’ensemble des projets de loi relatifs à ces réformes. Le Parlement finalise, quant à lui, en ce moment, souverainement et démocratiquement, sa prise de décision sur ces projets de loi, dont ceux revêtant un caractère organique qui feront l’objet d’avis du Conseil constitutionnel”, a indiqué le président de la République. Donc, pas de seconde lecture des réformes sauf si le Conseil constitutionnel en décide autrement. Le président de la République tient à sa promesse de révision de la Constitution “comme je l’ai déjà annoncé en avril dernier, je soumettrai au Parlement le projet de révision de la Constitution dans le respect des dispositions énoncées par cette loi fondamentale”. Cette révision interviendra avec l’élection d’une nouvelle assemblée. Une sorte de constituante qui ne dit pas son nom. Le chef de l’État se veut rassurant quant à la bonne tenue des législatives du printemps prochain. “Je me réjouis de la prochaine tenue des élections législatives dans une pluralité sans précédent, avec la participation d’une classe politique qui sera renforcée par de nouveaux partis et les facilitations que la loi a mis en place en faveur des candidats indépendants.”<br />Le président de la République a également réitéré sa détermination à veiller à la réunion de toutes les garanties de transparence des prochaines élections législatives, annonçant que l’Algérie fera appel, à cette occasion, aux observateurs internationaux. Ces garanties et des gages de bonne foi vont-ils suffire pour convaincre les opinions nationale et internationale ? Déjà certaines voix, de l’intérieur commencent à douter de la volonté d’ouverture affichée par le pouvoir. Le printemps, comme par hasard, sera déterminant pour l’avenir de l’Algérie. On verra bien si le changement en douceur prôné par le pouvoir donnera ses fruits, ou si, au contraire, montrera toutes ses limites.<br />Azzeddine Bensouiah</p>
fakakirhttp://snpsp1.hautetfort.com/about.htmlla france va remettre le diplome no-colonisation à boutef valet assidu de ses maitres.tag:snpsp1.hautetfort.com,2011-12-19:40362792011-12-19T00:16:00+01:002011-12-19T00:16:00+01:00 LE COLLOQUE L’ALGÉRIE ET LA FRANCE AU XXIe SIÈCLE Les velléités de bien...
<p><span style="color: #ff0000;"><span class="text"><strong>LE COLLOQUE L’ALGÉRIE ET LA FRANCE AU XXIe SIÈCLE<br /> Les velléités de bien faire se transformeront-elles en réelle volonté d’action ?</strong></span></span></p><p align="justify"><span class="text"><em>De notre bureau de Paris, Khadidja Baba-Ahmed<br /> </em>Richesse incontestable des échanges au cours du colloque organisé samedi dernier à l’Assemblée nationale par J.-P. Chevènement, président de l’Association France-Algérie. Si nous n’avons pu prendre part aux rencontres de la matinée, qui, de l’avis de beaucoup étaient assez riches, celles de l’après-midi ne l’étaient pas moins, même si l’une des interventions, celle consacrée à la dimension humaine et sociale de la relation franco-algérienne et notamment à «l’identité des deux sociétés et leur projection dans l’avenir», traitée par Malek Chebel, a été bien en deçà des attentes. <br />Aménagement du territoire, coopération décentralisée et dimension humaine et sociale de la relation franco- algérienne ont occupé la première partie de la séance. La deuxième dédiée à «l’Algérie et la France au miroir des médias» a permis à notre confrère, directeur d’El Watan, Omar Belhouchet, à Jean Daniel, directeur membre fondateur du Nouvel-Observateur, au philosophe et écrivain Régis Debray et à Jean-Pierre El Kabach de donner, chacun pour ce qui le concerne, sa lecture de cette image projetée par les médias respectifs des deux pays.</span></p><p>L’intervention du ministre Cherif Rahmani a été en totalité consacrée au schéma national d’aménagement du territoire qui, a-t-il dit, a été bâti sur deux horizons 2010- 2030, l’horizon d’une génération et le deuxième horizon est «géographique », celui dans lequel se meut l’Algérie, le Maghreb ; celui de la Méditerranée et dans lequel l’Europe et notamment l’Algérie et la France «occupent une place stratégique, charnière». Comme pour justifier ce deuxième espace, le ministre poursuit : «Il faut absolument que nous nous insérions dans cet échange international et que nous nous préparions». Plus explicite encore, il livre du sens à ce schéma dont le socle reposerait sur la durabilité (parce que nous avons trop soutiré de nos ressources) ; sur l’équilibre (éviter le trop-plein et le trop-vide) et l’équité (en évitant les fractures sociales et les fractures territoriales). Le schéma directeur a nécessité des pré-requis que constituent les autoroutes, les TIC, le chemin de fer et les espaces vie pour donner plus «d’avantages comparatifs à l’Algérie dans le futur». Enfin la surprise viendra de ce qu’il a annoncé deux projets soumis à l’Union pour la Méditerranée. L’Algérie a suggéré que l’agence pour les villes durables, essentielle pour l’Algérie, y soit domiciliée. «Cela permettra d’expertiser sur la durabilité, sur l’économie verte, sur la ville de demain et de pouvoir fertiliser sur d’autres villes en Algérie, au Maghreb et également ailleurs.» La deuxième proposition concerne «la création d’un centre pour la connaissance et les technologies nouvelles pour l’Algérie». Ce centre, pour Cherif Rahmani, se fondera sur les sciences de l’ingénieur, sur la physique, la pharmacie, la biotechnologie et permettra à l’Algérie d’avoir un centre pédagogique et scientifique, d’avoir un centre pour les start-up pour booster les jeunes et d’avoir un business-centre. Et en ces temps de cadeaux de noël en France, le ministre annonce : «L’Algérie est prête à financer ce centre comme elle est prête à ce qu’une entreprise française construise ce centre en contrepartie nous voulons qu’il y ait une expertise de la France avec ses capacités.» Quant à la gestion de ce centre, elle devra se faire en binôme, «d’une façon intelligente, partenariale, concertée». Et de suggérer que cette gestion soit assurée conjointement par le Medef, le Forum Algérie et des universités algériennes et françaises. Et pour prévenir très certainement tout débat sur le sujet, le ministre conclut en précisant qu’«il ne faut pas faire l’impasse sur la gouvernance » qui est, selon lui, «un nouveau concept de l’autorité ; assurer une sorte de nouvelle représentation des populations, de nouvelles règles du jeu et faire adhérer citoyens, partenaires et société civile à ces règles, créer un nouveau lien territorial avec les citoyens… pour mieux nous rapprocher avec le monde de la démocratie». Très loin de croire à ces intentions ô combien généreuses et porteuses de nouveautés, très loin du schéma national et de ses grands projets, un assistant dans la salle interpella le ministre sur «la saleté dans nos villes, l’absence de traitement des déchets et l’état de délabrement visible à tout visiteur. En guise de réponse , le ministre a dû se suffire de dire que ces problèmes se résoudront au fur et à mesure et qu’il comprenait que les citoyens soient impatients. Lorsque Omar Belhouchet a dû se plier à l’exercice consistant à dessiner l’image que véhicule la presse algérienne de la France, il organisa ses propos en les situant dans l’évidence qu’en vérité «les journaux sont la voix d’une nation». La première face de cette image, celle critique vis-à-vis de la France, se base sur trois points essentiels : la question de la mémoire, celle du sort réservé aux immigrés algériens vivant en France et la question du Sahara occidental. Qu’elle soit arabophone ou francophone, il y a unanimité pour dire que la question de la mémoire est entière et que la France officielle doit faire l’effort de reconnaître, de s’excuser, selon les voies, de reconnaître les crimes commis durant la colonisation. Quant au traitement fait à l’immigration, là aussi, la critique est quasi générale à l’égard de la France et notamment à l’égard des politiques de la droite «sachant pertinemment que très souvent, ces politiques se font à la veille d’élections présidentielles ou législatives ce qui engendre une surenchère de la droite à propos de la présence des Algériens qui vivent ici, négligeant, ce faisant, leurs apports au pays d’accueil». Quant au Sahara occidental, autre aspect qui donne une sévérité du regard algérien et de la presse vis-à-vis de la France, Belhouchet explique que les Algériens et la presse algérienne ne demandent pas aux officiels français de changer de cap, «de changer de politique, de ne plus être l’ami du Maroc, puisqu’il y a une amitié particulière entre le pouvoir français et la monarchie marocaine, mais ils demandent tout simplement à ce que la France joue un rôle beaucoup plus équilibré, qu’elle aide ces deux pays à dépasser cette situation». Et de conclure sur cet aspect : «En prenant le parti un peu trop fortement du Maroc, il est clair que la France perd ce privilège qu’elle aurait pu avoir dans la région et qu’elle aurait pu justement utiliser pour faire avancer un peu le Maghreb». Belhouchet a consacré le second volet de son intervention à l’image positive véhiculée par la presse algérienne et qui se manifesterait d’abord par la place importante que consacre régulièrement la presse à l’ambassadeur français qui intervient dans des titres en langue française ou arabe, alors «que ça arrive rarement dans la presse française à l’ambassadeur algérien en France». Autre aspect positif, selon notre confrère, est la projection de la presse algérienne dans le futur des relations bilatérales et l’insistance avec laquelle elle demande que la France intervienne plus fortement dans les investissements, «sachant que la France possède une technologie importante et qu’il y a la langue qui peut lier les opérateurs » et qui peut faire l’économie d’interprètes et de traducteurs. Quant aux rapports qui lient les journalistes algériens et français, Belhouchet distinguera deux périodes : d’abord celle de 1992- 1993 où, avec beaucoup de nuances toutefois, les rapports ont été assez heurtés, où une certaine presse ou organisation comme Reporters sans frontières voyait derrière chaque journal, un général, mais en même temps où des titres tels que le Nouvel Obs, Témoignage Chrétien et Télérama par exemple et d’autres comme des personnalités médiatiques ont accueilli, aidé ou manifesté de la solidarité face aux 500 journalistes qui se sont exilés. «Il y avait de la compréhension mais aussi parfois de l’incompréhension mais aujourd’hui ces choses se sont estompées.» «Nous sommes aujourd’hui, a déclaré Belhouchet, dans une nouvelle phase “grâce d’ailleurs à l’ambassade de France en Algérie”» caractérisée par des contrats de formation des journalistes et d’aide au management pour notre presse jeune. Pour illustrer cet aspect, le directeur d’ El Watan évoquera le contrat qui lie son journal à l’Ecole de journalisme de Lille et qui va selon ses dernières informations -confirmées par l’ambassadeur de France sur place - intéresser aussi Ech Chourrouk. Est-ce que ces volontés de parfaire les relations, d’assainir les passifs, de sortir du paternalisme trop souvent présent dans les rapports de la France avec ses partenaires du Sud passeront, comme suggéré lors de ce colloque, pour une fois de velléités en volonté sincère et en actions concrètes au bénéfice des deux pays ? L’avenir très proche nous le dira. <br /> K. B.-A.</p>
fakakirhttp://snpsp1.hautetfort.com/about.htmlla manipulation françalgerietag:snpsp1.hautetfort.com,2011-11-21:38778182011-11-21T21:27:05+01:002011-11-21T21:27:05+01:00 Tibhirine: la manipulation par mohand
<p><iframe width="480" height="389" frameborder="0" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x9xnvl"></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/x9xnvl_tibhirine-la-manipulation_news" target="_blank">Tibhirine: la manipulation</a> <em>par <a href="http://www.dailymotion.com/mohand" target="_blank">mohand</a></em></p>
lanverthttp://lanvert.hautetfort.com/about.htmlBalancetag:lanvert.hautetfort.com,2009-11-18:24730752009-11-18T09:27:13+01:002009-11-18T09:27:13+01:00 Dessin du Canard Enchaîné
<div style="text-align: center"><img src="http://www.lecanardenchaine.fr/u4647/u4647_17.jpg" alt="u4647_17.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></div> <div style="text-align: center">Dessin du Canard Enchaîné<br /></div>
Feuillyhttp://feuilly.hautetfort.com/about.htmlDes anciens ministrestag:feuilly.hautetfort.com,2008-03-14:15148382008-03-14T16:35:00+01:002008-03-14T16:35:00+01:00Les hommes qui nous gouvernent ont souvent des politiques étonnantes, qui...
Les hommes qui nous gouvernent ont souvent des politiques étonnantes, qui nous irritent. Mais bon, ils ont été élus démocratiquement, il n’y a rien à dire. En attendant, ils tiennent le haut du pavé et nous assènent leur vérité avec autant d’aplomb que de mauvaise foi. On a beau être contre leurs principes, rien n’y fait. Ils dirigent et nous n’avons qu’à nous plier à leurs idées, présentées comme les seules valables. Souvent, le public suit béatement, ce qui fait qu’on se retrouve bien seul à prêcher dans le désert. Puis les années passent et la roue tourne. Parfois, ces hommes politiques se font rattraper par leur passé et ils se retrouvent devant un tribunal. Ainsi en va-t-il aujourd’hui de l'ancien ministre de l'intérieur, Charles Pasqua, qui a été condamné, mercredi 12 mars, à dix-huit mois d'emprisonnement avec sursis par le tribunal correctionnel de Paris, dans l'affaire du financement illégal de sa campagne des élections européennes de 1999. Il a été reconnu coupable de faux, financement illégal de campagne électorale et abus de confiance, rien moins que cela. Il aurait bénéficié, pour sa campagne, de l’équivalent d’un million d’euros issus de la vente du casino d'Annemasse (Haute-Savoie) dont il avait autorisé, en tant que ministre, l'exploitation en 1994.Un malheur n’arrivant jamais seul, Monsieur Pasqua, a fait l'objet dans le même dossier d'une procédure pour corruption passive.On se souviendra par ailleurs que son fils, Pierre Pasqua, avait été condamné en décembre 2007 à 18 mois de prison ferme dans le cadre de l’affaire Falcone/Sofremi. Cette société, mi-privée mi publique aurait vendu illégalement des armes à l’Angola et les bénéfices se seraient retrouvés quelque part chez les Pasqua. L’argent aurait été blanchi via des sociétés écrans. Pierre Pasqua aurait ainsi reçu 1,5 millions d’euros. Il avait d’ailleurs déjà été condamné le 8 novembre (le fils donc) à deux ans d'emprisonnement, dont 1 an ferme, et 300.000 euros d'amende dans une affaire de pots-de-vin (société Alstom).Son avocat, Edgard Vincensini avait alors annoncé qu’il ferait appel. Pas de chance pour ce brillant juriste. Il vient lui-même d’être condamné à une peine de six mois avec sursis pour "faux". Quant au père Pasqua, il n’en a pas encore fini. En septembre 2008,il comparaîtra pour "recel d'abus de biens sociaux et trafic d'influence" aux côtés de l'ancien préfet Jean-Charles Marchiani, de l'homme d'affaires Pierre Falcone et du fils de l'ancien président de la République Jean-Christophe Mitterrand, dans l'affaire des ventes d'armes à l'Angola. D’après « Le Monde » il est aussi poursuivi « pour trafic d'influence et corruption" dans le dossier "Pétrole contre nourriture", pour "recel d'abus de biens sociaux" à propos de largesses que lui aurait consenties l'homme d'affaires libanais Iskandar Safa, et il a été mis en examen en qualité d'ancien président du conseil général des Hauts-de-Seine dans l'affaire de détournements de fonds publics reprochés au maire d'Issy-les-Moulineaux, André Santini, à propos de la fondation d'art contemporain Jean Hamon. » On croit rêver. Bref, ce ne sont que magouilles, pots de vin et pratiques illégales. On se souvient pourtant de l’arrogance de Pasqua lorsqu’il était ministre et de ses propos qui frôlaient à chaque fois le racisme le plus primaire.Quelle morale retenir de cette histoire ? Aucune, évidemment. Certes, ces hommes qui semblaient détenir la vérité à un certain moment sont maintenant justement punis, mais le public les a oubliés et c’est dans l’indifférence générale que les condamnations tombent aujourd’hui. Il en ira sans doute de même demain quand le nom de Chirac ressortira. En attendant, derrière les actions entreprises par ces personnages se cachent souvent des drames. Ainsi en va-t-il de l’Irak. Bush reconnaît maintenant à demi-mots qu’il n’y avait aucun lien entre Sadam Hussein et Al Quaïda. En Angleterre, on commence à pointer du doigt les programmes de l’enseignement qui ont présenté la guerre en Irak comme une nécessité. La roue tourne, je le disais au début de cet article, mais en attendant les conséquences sont là. L’Irak est un pays exsangue, déchiré et en pleine guerre civile. Que penser de tous ces dirigeants qui ont menti et qui se sont enrichis ? Certes, certains sont condamnés, mais d’autres les ont remplacés, qui ne sont ni meilleurs ni pires. Encore que…. On peut supposer que Sarkozy n’aurait pas hésité un instant à nous entraîner dans une guerre irakienne s’il avait été aux commandes à ce moment-là. Alors ? On parle souvent de devoir de mémoire à propos de certains événements du passé et on fait bien. Mais le bon peuple ne pourrait-il pas se souvenir de tout ceci également avant de mettre quelqu’un au pouvoir ? Pourquoi tout doit-il être un éternel recommencement ?Tiens, au fait, n’y a-t-il pas des élections dimanche en France ?