Last posts on parquet2024-03-28T23:25:09+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/parquet/atom.xmlFrédéric Tisonhttp://leslettresblanches.hautetfort.com/about.htmlLe parquettag:leslettresblanches.hautetfort.com,2022-01-19:63611512022-01-19T13:11:00+01:002022-01-19T13:11:00+01:00 Parquet (XVIIIe s.), dans une salle...
<p> </p><p> </p><p> </p><p style="text-align: center;"><a href="http://leslettresblanches.hautetfort.com/media/01/01/1396226883.JPG" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-6326962" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://leslettresblanches.hautetfort.com/media/01/01/2428940439.JPG" alt="SAM_1132.JPG" /></a></p><p> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 10pt; font-family: 'book antiqua', palatino, serif;"><em>Parquet (XVIIIe s.), dans une salle de l'Hôtel de la Marine, à Paris VIII, </em></span><br /><span style="font-size: 10pt; font-family: 'book antiqua', palatino, serif;"><em>photographie : janvier 2022.</em></span></p><p> </p><p> </p><p> </p>
Le déclinologuehttp://dernieregerbe.hautetfort.com/about.htmlFILLON, LA POULE MOUILLÉEtag:dernieregerbe.hautetfort.com,2014-11-13:54949152014-11-13T22:30:00+01:002014-11-13T22:30:00+01:00 Je comprends mal cette affaire...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: georgia, palatino; font-size: small;"><img id="media-4769761" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://dernieregerbe.hautetfort.com/media/01/00/570808206.jpg" alt="fillon" /> Je comprends mal </span><a style="font-family: georgia, palatino; font-size: small;" href="http://www.francetvinfo.fr/politique/affaire/affaire-jouyet-fillon/l-article-a-lire-pour-comprendre-l-affaire-jouyet-fillon_742493.html">cette affaire Fillon-Jouyet</a><span style="font-family: georgia, palatino; font-size: small;"> qui depuis quelques jours agite les médias et le « microcosme » politique. Français Fillon aurait déjeuné avec Jean-Pierre Jouyet, secrétaire général de l’Élysée, le 24 juin dernier. Fort bien. Lors de ce déjeuner, Fillon aurait exhorté Jouyet à accélérer les procédures judiciaires en cours contre Nicolas Sarkozy, de façon à l’abattre en plein vol. Très bien ! Où est le problème ?</span><br /><span style="font-family: georgia, palatino; font-size: small;"> Confusion des pouvoirs ? Restons sérieux. En aucun cas il ne s’agit que Sarkozy soit jugé et condamné à l’Élysée. Mais que je sache, les magistrats du parquet ont notamment pour fonction d’ouvrir et diriger des enquêtes judiciaires, ainsi que de mettre en œuvre la politique pénale du gouvernement. Les procureurs ne sont donc pas des juges indépendants, ce sont des agents du pouvoir exécutif. Ils sont aux ordres du Garde des Sceaux, et indirectement du Président de la République. Il est parfaitement normal et légitime que l’Élysée presse le parquet de tout mettre en œuvre pour faire juger un individu dangereux pour la Nation.</span><br /><span style="font-family: georgia, palatino; font-size: small;"> Trahison à l’U.M.P. ? Arrêtons de jouer les enfants de chœur. Tout-le-monde sait bien que la vie politique n’est faite que de trahisons, de manœuvres, de crocs-en-jambe et de savonnages de planche. À supposer que Fillon ait réellement tenu à J.-P. Jouyet les propos que celui-ci a rapportés à deux journalistes (ce que ce dernier a publiquement nié, puis reconnu), il n’aurait rien à se reprocher. En quoi est-il répréhensible de vouloir que la machine judiciaire soit rapide, exigeante, efficace ? Si Sarkozy a violé la loi, alors il est normal et louable de souhaiter qu'il en soit puni ; s'il ne l'a pas fait, alors la justice le blanchira. Tout-le-monde a donc intérêt à ce que les procédures en cours aillent jusqu'au bout : même Sarkozy, car il vaut mieux s'en sortir par un acquittement éclatant que par un non-lieu en catimini. Fillon n’a pas agi contre la France, ni contre la morale, – ni même contre l’U.M.P., car il y a d’excellentes raisons de penser que Sarkozy ferait un très mauvais candidat pour son parti en 2017 : avec le triple handicap de son mauvais bilan, de sa personnalité insupportable à une large part de la population et de ses affaires judiciaires, plus son désir de revanche personnelle qui n’est pas un bon mobile en politique, il a de bonnes chances de mener son camp à la défaite. C’est donc rendre service à l’U.M.P. que d’écarter </span><a style="font-family: georgia, palatino; font-size: small;" href="http://dernieregerbe.hautetfort.com/archive/2012/04/24/lettre-ouverte-a-nicolas-sarkozy.html">cet énergumène plus états-unien que français</a><span style="font-family: georgia, palatino; font-size: small;">, même si les militants aveuglés par leur dévotion ne veulent pas l’admettre (quoi de plus bête qu’un militant ?) et semblent disposés à miser sur ce mauvais cheval.</span><br /><span style="font-family: georgia, palatino; font-size: small;"> Le véritable problème dans cette affaire, c’est la lâcheté de François Fillon, tétanisé qu’on puisse l’accuser de trahison. Il a fait une première erreur en tentant une manœuvre en coulisses (à supposer qu’il ait vraiment dit à Jouyet ce que celui-ci a rapporté), alors qu’il aurait dû proclamer haut et fort qu’il souhaitait que la justice condamnât Sarkozy pour ses graves entorses à la légalité. Il fait maintenant une deuxième erreur en n’assumant pas ses propos, ou en ne profitant pas de l’occasion pour reprendre à son compte ce qu’on lui prête (ce qui revient au même). De quoi a-t-il peur ? D’être considéré comme un traître ? Mais c’est trop tard : quoi qu’il ait réellement dit, tout-le-monde à l’U.M.P. et au-delà est convaincu qu’il a bien exhorté Jouyet (donc Hollande) à « taper vite ». Et c’est bien normal, et c’est même plutôt flatteur : c’est la preuve qu’on voyait (bien à tort) en Fillon en homme déterminé dans son ambition, habile dans ses manœuvres, résolu dans son opposition à Sarkozy. Des qualités à porter à son crédit et dont il aurait pu s'enorgueillir, mais qu’il vient de repousser avec une rare sottise. Entre l'homme énergique décidé à pendre ses adversaires à un « croc-de-boucher » et la poule mouillée qui ne veut surtout pas qu'on puisse croire qu'il a </span><span style="font-family: georgia, palatino; font-size: small;">prononcé</span><span style="font-family: georgia, palatino; font-size: small;"> </span><span style="font-family: georgia, palatino; font-size: small;">ne serait-ce qu'une phrase pour stimuler l'action judiciaire, comment ne pas préférer le premier ? Quitte à passer de toute façon pour un traître, il y avait un bénéfice à en tirer. Mortellement blessé par son duel perdu avec Copé il y a deux ans, marginalisé par le retour de Sarkozy et l’ascension sondagière de Juppé, Fillon n’a plus beaucoup de cartes dans son jeu, et celle de poser à l’Anti-Sarkozy était l’une des dernières. Il n’en a pas voulu (à l’instar de Bayrou qui avait un espace pour poser à l’Anti-Chirac après la dissolution de 1997, ce qui aurait pu lui donner un destin présidentiel), et maintenant il perd sur tous les tableaux : ses farouches dénégations ne l’empêchent pas de passer pour un traître, mais sa prudente neutralité le maintient dans le rôle médiocre qui a été le sien entre 2007 et 2012 : un supplétif inutile de Sarkozy.</span></p><p style="text-align: justify;"> <span style="font-family: georgia, palatino; font-size: small;">Une lâcheté partagée en face, puisqu’il paraît que selon les confidences de Jouyet, Hollande à qui le message de Fillon avait été transmis, n’en aurait tenu aucun compte : « Non, non, on ne s’en occupe pas ». Mais quelle bande de mous-du-gland ! Une preuve de plus que nos politiciens manquent de caractère. Ils ont tellement peur de leur ombre qu’ils n’osent même pas se c</span><span style="text-indent: 35.4pt; font-family: georgia, palatino; font-size: small;">oncurrencer réellement les uns les autres, et encore moins assumer publiquement cette concurrence. </span></p><p style="text-align: justify;"> </p>
SUR du VENT par Henri CHEVIGNARDhttp://surduvent.hautetfort.com/about.htmlUne ARAIGNÉE au PARQUETtag:surduvent.hautetfort.com,2010-10-26:29564382010-10-26T21:30:00+02:002010-10-26T21:30:00+02:00 Fourbu de grippe le regard choit plus bas que le lit cependant...
<p style="text-align: center;"><span style="font-family: trebuchet ms,geneva;"><a href="http://surduvent.hautetfort.com/media/02/02/4136894642.JPG" target="_blank"><img id="media-2710923" style="margin: 0.7em 0;" src="http://surduvent.hautetfort.com/media/02/02/2238715746.JPG" alt="DSC05861.JPG" /></a></span></p><blockquote><p style="text-align: justify;"><br /><span style="font-family: trebuchet ms,geneva; font-size: small;">Fourbu de grippe</span><br /><span style="font-family: trebuchet ms,geneva; font-size: small;">le regard choit plus bas que le lit</span><br /><span style="font-family: trebuchet ms,geneva; font-size: small;">cependant qu'une araignée</span><br /><span style="font-family: trebuchet ms,geneva; font-size: small;">sans vertèbres ni souci</span><br /><span style="font-family: trebuchet ms,geneva; font-size: small;">glisse sur le parquet</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p></blockquote><p> </p>
Albert Dreslonhttp://vanvesauquotidien.hautetfort.com/about.htmlUNE SEMAINE CULTURELLE ET COMMERCIALE A VANVEStag:vanvesauquotidien.hautetfort.com,2010-10-04:29276242010-10-04T06:00:00+02:002010-10-04T06:00:00+02:00 Mardi 5 Octobre A 20H A L’école Marceau :...
<p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; tab-stops: 306.0pt;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: small;"> </span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Mardi 5 Octobre </strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">A 20H A L’école Marceau : </strong>Conférence débat sur l’exposition universelle de Shanghaï (avec du 1er au 22 octobre, une exposition-photo à l’Espace Gazier) La journaliste Catherine Verger a passé 2 mois à arpenter l’exposition, et aporte aisi son témoignage accompagnées de photos personnelles. L’exposition universelle 2010, c’est 185 pays participants et 70 millions de visiteurs, avec un pavillon<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Paris Ile de France qui a reçu 1,5 million de visiteurs qui confirme l’attirance des chinois pour notre capitale. Ils pouvaient d’ailleurs la visiter virtuellement<span style="mso-spacerun: yes;"> </span><span style="mso-spacerun: yes;"> </span><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><br />Mercredi 6 octobre <br />A 20h30 au Théâtre : </strong>Premier spectacle de la saison culturelle au Théatre de Vanves<strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"> </strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Samedi 9 octobre <br />Journée du commerce de proximité</strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><span style="mso-bidi-font-weight: bold;">Elle est organisée en partenariat avec la commune,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>couplé avec une semaine commerciale, des cadeaux, un jeu de la photo mystére qui incitera les clients à aller chercher<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>la solution<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>chez les commerçants pour reconstituer le puzzle. « <em style="mso-bidi-font-style: normal;">L’objectif est d’essayer de rassembler, alors que Vanves est dispersé, constitué<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de 3 quartiers, avec 3 petits points de commerce de proximité, le centre ancien, la gare et le plateau</em> » indique t-elle en affirmant que «<em style="mso-bidi-font-style: normal;"> même si nous avons<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>moins de commerces que chez nos voisines d’Issy les Moulineaux et de Boulogne ou de Clamart,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>nous croyons au commerce de proximité car il y a des personnes qui en ont besoin, pour qui c’est la seule sortie de la journée, et de rencontres, que ce soit nos boutiques ou le marché qui joue un rôle important. Il est vrai que l’on peut regretter que des commerces ferment, remplacé par des banques, car les propriétaires pratiquent des loyers très élevés. Et lorsque certains commerçants arrivent à la fin du bail, ils ne peuvent pas continuer.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Mais on essaie de faire avec ce que l’on a. Et on fait ce que l’on peut </em>» expliquait Francine Aurand sur ce blog voilà quelques semaines.</span><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"> </strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">Portes Ouvertes du site archéologique du 20 rue de la République</strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">A 20H45 à la salle des Cinéastes : </strong>Séance publique du CIV avec la projection de films de quelques uns de ses membres : « Paris de passages en passages » de Josiane et Jean Pierre Cojard, « Aubeterre sur Dronne » de Jean Michel Meunier, « Une retraite piquante » de Suzanne Sounie, « Des hommes..et des arbres » de Gérard Bost et « Rwandais, je vous aime » de Josette Bardy<strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"> </strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; tab-stops: 306.0pt;"><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"><span style="font-size: small;"> </span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; tab-stops: 306.0pt;"><span style="font-size: x-large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><strong style="mso-bidi-font-weight: normal;"> </strong></span></p><p><span style="font-size: large; font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><span style="font-size: small;"><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; tab-stops: 306.0pt;"><span style="font-size: large;"><span style="font-size: small;"><strong><span style="font-family: Times New Roman;"><span style="font-size: x-large;">DANS LE CREUX DE L’OREILLE </span></span></strong></span></span></p><p><p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; tab-stops: 306.0pt;"><span style="font-size: large;"><span style="font-size: small; font-family: Times New Roman;"><strong> </strong></span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; tab-stops: 306.0pt;"><span style="font-size: large;"><strong><span style="font-family: Times New Roman;">CHAMPION : La Section Boules Lyonnaises a remporté le Championnat des A.S. (Associations sportives) des Hauts de Seine. C’est la première fois de la soixantaine d’années d’existence de ce club qu’elle remporte ce championnat auquel participe l’ensemble des clubs altoséquanais. Une prouesse que les boulistes ont dédiée à leur ancien président, Alain Jaunas, qui est un peu à l’origine de cette victoire. D’autant plus qu’hier en fin d’après midi, ils ont eu affaire à l’une des deux équipes de Sceaux dont certains joueurs évoluent en national</span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; tab-stops: 306.0pt;"><span style="font-size: large;"><span style="font-size: small; font-family: Times New Roman;"><strong> </strong></span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; tab-stops: 306.0pt;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: Times New Roman;"><strong>DEBRE : </strong>Il n’a été question que d’Isabelle Debré dans la presse du week-end. Avec 3 questions sur la réforme des retraites dans le Figaro où elle a été interviewée par Sophie Huet. Dans le JDD où un écho laissait entendre qu’elle pourrait entrer au gouvernement à l’occasion du prochain remaniement : « Nicolas Sarkozy qui compte déjà parmi ses ministres un neveu de François Mitterrand, ferait d’une pierre deux coups avec la belle flle de Michel Debré, élue très aprécié au Sénat ». En privé, Bernard Gauducheau s’en est félicité : « Si c’est le cas, ce serait bien pour la ville ! ». <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Enfin, l’Express de cette semaine avait fait paraître dans ses pages « confidentiel » un écho titré « cellule ». Il faisait état de la création, à l’initiative d’Olivier Biancarelli, conseiller politique du président, d’un groupe d’une douzaine de sénateurs UMP proches du chef de l’Etat. Et de citer le nom d’Isabele Debré aux côtés de Jean-Patrick Courtois, François-Noël Buffet. </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; tab-stops: 306.0pt;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; tab-stops: 306.0pt;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: Times New Roman;"><strong>JEUDY : </strong>Bruno Jeudy qui est un vanvéen, est passé du Figaro au JDD (Journal du Dimanche). Il signait dans l’édition de Samedi son premier papier expliquant « pourquoi Nicolas Sarkozy va au Vatican » vendredi prochain, sans Carla, ni Bigard, alors que sa côte de popularité a chûté dans l’électorat catholique après les affaires Mitterrand (Frédéric), Sarkosty (Jean) à l’automne dernier et bien sûr la polémique sur l’expulsion des roms. Ainsi qu’un encadré sur « Copé s’impatiente », après le déjeuner du président du groupe UMP à l’assemblée Nationale avec le Président Sarkozy à l’Elysée, alors que la rumeur le donne entrant à Matignon et que celui-ci vise plutôt le poste de secrétaire général de l’UMP<strong>. </strong>Dans l’édition de Dimanche, il signait un autre papier sur « Fillon en père la rigueur » expliquant que le premier ministre poursuit sa tournée des adieux en étant l’invité de Capital sur M6, et unnouvel encadre sur « Le feuilleton du remaniement ». </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; tab-stops: 306.0pt;"><span style="font-size: large;"><strong><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; tab-stops: 306.0pt;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: Times New Roman;"><strong>ESTELLANO : </strong>Fabian Estellano, conseiller municipal et secrétaire de la section PS de Vanves était à la manifestationn contre la réforme des retraites samedi après midi entre République et Nation.<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>« J’ai constaté une mobilisation plus forte, avec une population nouvelle, jeune (25/45 ans), pas estudiantine, mais plutôt familiale, moins politisée<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>et consciente des enjeux de la réfirme, avec beaucoup de parents d’éléves » témoignait il en fin d’après midi. </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; tab-stops: 306.0pt;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; tab-stops: 306.0pt;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: Times New Roman;"><strong>LOUVETEAUX : </strong>Une meute de louveteaux a été créé à Vanves à l’occcasion de cette Rentrée. Elle est destinée aux garçons de 8 à 12 ans qui désirent apprendre par le jeu la vie en communauté, faire de leur mieux, etcécouvrir la vie dans la nature. </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; tab-stops: 306.0pt;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; tab-stops: 306.0pt;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: Times New Roman;"><strong>PREEMPTION : </strong>La Ville<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>a exercé son droit de préemption urbain à l’occasion d’un local de 47,65 m2 situé au 55-71 rue Jean Jaurés, à côté de la Police Municipale. L’objectif serait de créer un local association comme ce fut le cas rue de châtilln avec la salle Latapie. Curieusement, Bernard Gauducheau n’a pas voulu répondre à une question de Pierre Toulouse (verts) au dernier conseil municipal qui voulait savoir quelles en étaient les raisons. <span style="mso-spacerun: yes;"> </span></span></span></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; tab-stops: 306.0pt;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: Times New Roman;"> </span></span></p></p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; tab-stops: 306.0pt;"><span><span style="font-family: Times New Roman;"><span style="font-size: large;"><strong>PARQUET : </strong>Le nouveau parquet du gymnase André Roche fait beaucoup parler de lui ces derniers temps. Surtout qu’il va changer quelques (mauvaises) habitudes, qui ne font pas que des heureux. Certains adhérents du tennis avaient pris l’habitude de jouer (au tennis) dans le gymnase et n’en démordent toujours pas. Si c’était compréhensible à l’époque où il n’y avait pas de courts couverts, surtout en hiver, et pour les jeunes de l’école du tennis, cela l’était moins depuis que les courts couverts avaient été inauguré. Mais voilà, cela continuait malgré tout et ces gens là occupaient un gymnase qui aurait pu être utilisé par d’autres disciplines sportives surtout lorsqu’on sait que les équipements sportifs sont à saturation. <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Il suffit de se rappeler ce qui s’était passé durant la campagne de vaccinations contre la grippe A H1N1.<strong> </strong>Mais voilà, le nouveau parquet va remettre de l’ordre dans tout cela, car il n’a pas été prévu pour faire du tennis.<strong> </strong>Et le hand pourra en profiter certains samedi soir pour son éqipe première qui jouera alors devant son puiblic installé dans la tribune, ce qui n’est pas le cas au gymnase Maurice Magne.</span><strong> </strong></span></span></p><p><p class="MsoNormal" style="margin: 0cm 0cm 0pt; text-align: justify; tab-stops: 306.0pt;"> </p></p></p></span></span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif;"><span style="font-size: large;"><strong> </strong></span></span></p>
Creseveurhttp://creseveur.hautetfort.com/about.htmlSarkozy plus aveugle que la justicetag:creseveur.hautetfort.com,2010-01-30:25851682010-01-30T11:07:54+01:002010-01-30T11:07:54+01:00
<div style="text-align: center"><img src="http://creseveur.hautetfort.com/media/01/00/153492138.jpg" alt="Sarkozy aveugle.jpg" id="media-2248404" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></div>
Parti National Françaishttp://partinationalfrancais.hautetfort.com/about.htmlEnquête: les indulgences du parquettag:partinationalfrancais.hautetfort.com,2009-10-28:24425462009-10-28T21:37:00+01:002009-10-28T21:37:00+01:00 Q ue seraient ces affaires devenues, si le parquet avait été seul à...
<p class="firstLine"><span class="dropcap">Q</span>ue seraient ces affaires devenues, si le parquet avait été seul à enquêter sans juge d'instruction ? Elles ont des noms célèbres : Borrel, Tiberi, <em>Erika</em>. Elles concernent parfois des hommes politiques, des entreprises importantes, des chefs d'Etat étrangers qui entretiennent des rapports étroits avec le gouvernement français. Elles concernent aussi des gens plus modestes, qui croisent des enjeux qui les dépassent. Depuis l'annonce par le président <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/6ba2/nicolas-sarkozy.html" class="listLink">Nicolas Sarkozy</a>, en janvier, de la suppression du juge d'instruction, le débat s'est focalisé sur le statut du parquet, dépendant du pouvoir exécutif, qui va prendre en charge l'ensemble des enquêtes judiciaires.</p> <div class="fenetreBoxesContainer"> <div class="banner300" id="pubOAS_middle"> <center><script type="text/javascript"> //<![CDATA[ if (provenance_elt !=-1) {OAS_AD('x40')} else {OAS_AD('Middle')} //]]> </script> <!-- LEMONDE-SOCIETE/articles | OasDefault/zz_lm_boursorama_rentree_rg09_m - lm_boursorama_rentree_rg09_t1.html : Middle --></center> </div> <div id="pave_meme_sujet_hidden" style="display: block;"> <div id="pave_meme_sujet_hidden_1258078" style="display: block;"><!--/tpl:contenu/element/ensemble/tpl-esi_sur_le_meme_sujet.html.php--><!--/lyt:lyt-vide--><!--/inc:/element/ensemble/afficher_esi/1258078___.html--></div> <!-- Fin Appel du composant: /element/ensemble/afficher_esi/1258078___.html --><!-- Appel du composant: /element/ensemble/afficher_esi/628859___.html sur ensemble_id:'628859' --><!-- Fin Appel du composant: /element/ensemble/afficher_esi/628859___.html --></div> <script type="text/javascript"> //<![CDATA[ init_boite_meme_sujet = function() { if ( "undefined" != typeof MIA && "undefined" != typeof MIA.Ensemble && ("undefined" == typeof MIA.Ensemble.initEventLoaded || !MIA.Ensemble.initEventLoaded) ) { var ensemble_id_defaut = 1258078; var hash_url = window.location.hash; var re = /^#(.*)ens_id=(d+)[^d]*.*$/; var ensemble_id_url = hash_url.replace(re, "$2"); if ( ensemble_id_url && ensemble_id_url != hash_url ) MIA.Ensemble.ensembleId = ensemble_id_url else if ( ensemble_id_defaut ) MIA.Ensemble.ensembleId = ensemble_id_defaut if ( "" != "" ) { MIA.Ensemble.titreBoite = ""; } MIA.Ensemble.initEventLoaded = true; MIA.Ensemble.formaliseBoiteMemeSujet(); } } if ( (pave=document.getElementById('pave_meme_sujet_hidden')) ) pave.style.display = 'none'; if(window.addEventListener ) window.addEventListener('load', init_boite_meme_sujet, false); else window.attachEvent('onload', init_boite_meme_sujet); //]]> </script></div> <p>Alors que le Syndicat de la magistrature publie, jeudi 29 octobre, une "Lettre ouverte à ceux qui feignent de croire en l'indépendance du parquet", retour sur quelques affaires qui doivent beaucoup à la persévérance des juges d'instruction.</p> <p><strong>Meaux, avril 2004. "Disparus du Beach"</strong></p> <p>Un juge d'instruction fait interpeller le chef de la police congolaise, Jean-François N'Dengue, dans le cadre d'une enquête pour crimes contre l'humanité, après la disparition de 353 réfugiés congolais, en 1999 au Beach, le port fluvial de Brazzaville. Il est aussitôt placé en détention. Le parquet fait appel. La chambre de l'instruction se réunit en pleine nuit pour faire libérer le dignitaire congolais.</p> <p>Le juge d'instruction de cette affaire, <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/d804/jean-gervillie.html" class="listLink">Jean Gervillié</a>, s'était plaint devant le Conseil supérieur de la magistrature des pressions du parquet, pour avoir <em>"fait l'objet d'interventions de nature à compromettre gravement le déroulement serein et indépendant de l'information en cours"</em>. <em>"Le parquet a demandé la nullité de toute la procédure au motif que son réquisitoire introductif n'était pas valide. Cela n'a pas marché. La procédure est toujours en cours, mais il est facile pour le parquet de se cacher derrières des possibilités techniques et juridiques que le public ne perçoit pas"</em>, explique l'avocat <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/0b35/patrick-baudouin.html" class="listLink">Patrick Baudouin</a>, président d'honneur de la Fédération internationale des droits de l'homme, partie civile dans cette affaire.</p> <p><strong>Paris. 2005. Affaire "Erika"</strong></p> <p>Le 12 décembre 1999, le pétrolier maltais fait naufrage au large des côtes bretonnes et provoque une marée noire. En mars 2004, la juge d'instruction <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/0cbb/dominique-de-talance.html" class="listLink">Dominique de Talancé</a> boucle ses investigations, après avoir mis en examen dix-huit personnes physiques et morales, dont Total. Mais le parquet demande alors la réouverture de l'instruction, arguant de contradiction dans les expertises.</p> <p><em>"Il faut tout recommencer de fond en comble"</em>, explique l'avocat général, se défendant de toute collusion avec la compagnie pétrolière. La cour d'appel rejettera cette demande. Le procès aura bien lieu en 2007, aboutissant à la condamnation de Total en première instance. " <em>Si le parquet avait conduit l'enquête à l'époque, au lieu de la juge d'instruction, jamais Total ne se serait retrouvé devant le tribunal"</em>, estime <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/b722/corinne-lepage.html" class="listLink">Corinne Lepage</a>, avocate de plusieurs parties civiles.</p> <p><strong>Paris, tribunal aux armées, 2006. Génocide rwandais</strong></p> <p>La juge d'instruction du tribunal aux armées de Paris (TAP) déclare recevables quatre plaintes accusant l'armée française au Rwanda. La juge d'instruction, <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/4f56/brigitte-raynaud.html" class="listLink">Brigitte Raynaud</a>, a interrogé, à Kigali, six plaignants en novembre 2005. En avril, le procureur du TAP a demandé l'annulation de ces auditions, alors que c'est lui-même qui avait demandé à la juge de procéder à ces interrogatoires. La chambre d'instruction du tribunal aux armées a finalement validé l'enquête de la juge. <em>"J'ai attendu plusieurs mois pour que le parquet ouvre une information. Ensuite, il a demandé des annulations de la procédure. J'ai subi des pressions avant d'aller au Rwanda. Qu'aurait fait un procureur soumis hiérarchiquement au pouvoir politique ?"</em>, interroge Brigitte Raynaud. Elle s'est opposée au procureur dans une autre affaire, celle du bombardement de Bouaké en <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/821f/cote-d-ivoire.html" class="listLink">Côte d'Ivoire</a>, qui a coûté la vie à neuf soldats français. Le procureur s'est opposé à l'autopsie des corps des victimes. <em>"Quand on a enterré les cadavres, on a voulu enterrer l'enquête."</em></p> <p><strong>Créteil, 2006. Affaire Dahan</strong></p> <p>Des agresseurs s'introduisent chez un commerçant. Il parvient à leur prendre une arme et tire sur l'un d'eux dans le dos. Celui-ci meurt en tombant de la fenêtre. Le commerçant est mis en examen et placé en détention provisoire, comme l'a requis le parquet.</p> <p>En octobre 2006, la campagne pour l'élection présidentielle est déjà commencée. Le ministre de l'intérieur, Nicolas Sarkozy, écrit à son homologue de la justice : <em>"Nos concitoyens ont du mal à admettre qu'un honnête homme, agressé chez lui, menacé de mort avec une arme et craignant pour la vie de son épouse soit en retour mis en examen pour homicide volontaire et placé en détention provisoire."</em> Le garde des sceaux, <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/f1c5/pascal-clement.html" class="listLink">Pascal Clément</a>, résiste : le drame <em>"ne semble pas s'inscrire dans le cadre de la légitime défense"</em>. Plus de deux ans après, c'est le procureur de Créteil lui-même, alors que l'affaire avait relevé jusque-là du niveau des substituts, qui signe un réquisitoire de non-lieu pour légitime défense. Le juge d'instruction n'a pas suivi les réquisitions du parquet : il vient de renvoyer le commerçant aux assises pour meurtre.</p> <p><strong>Paris, 2008. Affaire Tiberi</strong></p> <p>L'enquête sur les faux électeurs du 5<sup>e</sup> arrondissement de Paris débute en 1997, à la suite de plusieurs plaintes mettant en cause <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/f80c/jean-tiberi.html" class="listLink">Jean Tiberi</a>, maire de l'arrondissement, et son épouse, Xavière. Les juges <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/e09f/baudouin-thouvenot.html" class="listLink">Baudouin Thouvenot</a> et <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/a4ce/jean-louis-peries.html" class="listLink">Jean-Louis Périès</a> bouclent leur instruction en avril 2005. Mais les réquisitions du procureur de la République, <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/54dd/jean-claude-marin.html" class="listLink">Jean-Claude Marin</a>, tardent à venir.</p> <p>Las d'attendre, les deux juges renvoient en février 2008 Jean et <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/f65f/xaviere-tiberi.html" class="listLink">Xavière Tiberi</a> devant le tribunal correctionnel. Colère de Jean-Claude Marin qui aurait souhaité laisser passer les élections municipales. Le procureur dénonce dans <em>Le Monde</em> <em>"une immixtion des juges dans la campagne électorale"</em> et invoque <em>"un problème de disponibilité du parquet"</em> pour expliquer le retard des réquisitions. L'affaire est jugée en 2009. Les époux Tiberi sont condamnés en première instance.</p> <p><strong>Ajaccio, 2009. Affaire Trabelsi</strong></p> <p>Après le vol à Bonifacio d'un yacht d'une valeur de 1 million d'euros, en mai 2006, les enquêteurs en identifient les auteurs, mais aussi ses commanditaires, Moez et <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/d804/imed-trabelsi.html" class="listLink">Imed Trabelsi</a>, les neveux du président tunisien <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/9885/zine-el-abidine.html" class="listLink">Zine El-Abidine</a> <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/26ed/ben-ali.html" class="listLink">Ben Ali</a>. Le juge d'instruction <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/3307/jean-bastien-risson.html" class="listLink">Jean-Bastien Risson</a> les met en examen, demande leur interpellation et exige leur renvoi devant les tribunaux français. Mais le parquet va obtenir que le cas des deux commanditaires soit disjoint et qu'ils soient jugés en Tunisie. <em>"Le 28 juin 1972, la France et la Tunisie ont signé une convention. Les Tunisiens résidant en Tunisie sont jugés en Tunisie. Il appartient à la justice tunisienne, qui n'extrade pas ses ressortissants, d'examiner cette affaire"</em>, justifie le procureur <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/3a9f/thomas-pison.html" class="listLink">Thomas Pison</a>. Fin septembre, les huit auteurs des vols sont condamnés par un tribunal corse. En Tunisie, une information judiciaire vient à peine d'être ouverte contre Moez et Imed Trabelsi. <em>"La justice française a baissé les bras face aux autorités tunisiennes"</em>, estime M<sup>e</sup> <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/2cfd/antoine-sollacaro.html" class="listLink">Antoine Sollacaro</a>, avocat de l'un des condamnés.</p> <p><strong>Nanterre, 2009. Affaire Bettencourt</strong></p> <p>Une enquête préliminaire est ouverte en 2007 par le parquet de Nanterre sur un éventuel abus de faiblesse dont aurait été victime <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/bd86/liliane-bettencourt.html" class="listLink">Liliane Bettencourt</a>, héritière de L'Oréal, de la part du photographe <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/e7b9/francois-marie-banier.html" class="listLink">François-Marie Banier</a>. Puis plus rien. Face à cette inerti, M<sup>e</sup> <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/3e74/olivier-metzner.html" class="listLink">Olivier Metzner</a>, l'avocat de <a href="http://www.lemonde.fr/sujet/b7af/francoise-meyers-bettencourt.html" class="listLink">Françoise Meyers-Bettencourt</a>, la fille de Liliane, dépose une citation directe. Le parquet fait de la résistance et tente de bloquer cette procédure, estimant que la fille n'est pas recevable comme partie civile. Le tribunal puis la cour d'appel rejettent les requêtes du parquet. Le 24 septembre, ce dernier classe sans suite l'enquête préliminaire qu'elle avait ouverte. L'affaire poursuit son cours, grâce à la citation directe utilisée par M<sup>e</sup> Metzner. Une procédure juridique, une manière de contourner un parquet de mauvaise volonté, qui est appelé à se développer dans l'avenir si le juge d'instruction venait à être supprimé.</p> <div class="lien"> <div class="author"><b>Benoît Hopquin et Alain Salles</b></div> <div class="author"><br /></div> <div class="author"><b>Source: <a target="_blank" title="Le Monde" href="http://www.lemonde.fr/societe/article/2009/10/29/juge-d-instruction-les-indulgences-du-parquet_1260253_3224.html#ens_id=1258078&xtor=AL-32280151">Le Monde</a><br /></b></div> </div>
L'Hérétiquehttp://heresie.hautetfort.com/about.htmlVers une harmonisation du droit pénal en Europe ?tag:heresie.hautetfort.com,2009-05-09:21845102009-05-09T11:51:00+02:002009-05-09T11:51:00+02:00 Le Parlement européen a réclamé qu'il soit accordé une plus grande...
<p>Le Parlement européen a réclamé qu'il soit accordé une plus grande importance à la future coopération judiciaire pénale en ce qui concerne les mesures pratiques afin de garantir le respect des suspects et les droits des victimes, et la formation des juges, des procureurs et des avocats de la défense, ainsi qu'une liaison transfrontalière efficace pour la poursuite et la condamnation pénale de dangereux criminels.<br /> <br /> Le rapport adopté par les eurodéputés réclame aussi un meilleur contrôle de la mise en application des lois européennes par les pays de l'UE comprenant également des dispositions des droits de l'homme et les révisions de la qualité des systèmes juridiques nationaux. <br /> <br /> <b>Sarah Ludford (LibDem, Royaume-Uni, ADLE)</b> a commenté : <i>Des instruments comme le mandat d'arrêt européen sont basés sur la reconnaissance mutuelle. Les Etats membres sont sans cesse obligés de prouver qu'ils méritent cette reconnaissance en observant les normes de la convention européenne des droits de l'homme et en n'abusant pas des mandats d'arrêt européens pour des délits insignifiants ou de façon à affecter les libertés civiles</i>.<br /> <br /> <i>Les citoyens européens espèrent à juste titre que la coopération transfrontalière arrête les grands criminels qui échappent à la justice, et cette coopération doit s'améliorer. Mais ceux qui voyagent et travaillent ou démarrent une affaire dans un autre pays européen ont également besoin de se sentir en sécurité s'ils ont maille à partir avec la justice - comme les transporteurs qui trouvent quelqu'un a caché de la drogue dans l'arrière de leur camion - ils seront traités de façon équitable plutôt que de découvrir qu'ils sont supposés s'expliquer en italien, en espagnol ou en grec sans avocat pour les défendre</i>.<br /> <br /> <i>Il est grand temps que les Etats membres agissent ensemble et s'assurent que les personnes arrêtées et sous le coup d'un mandat pénal dans d'autres Etats membres soient informées de leurs droits, obtiennent une aide légale adéquate, aient accès à un interprète afin de garantir que toute erreur judiciaire soit évitée</i>.</p> <p>Heureux de voir l'ADLE, groupe auquel appartient le <b>MoDem</b>, sur <a href="http://europe.lesdemocrates.fr/thematiques/liberte-justice-securite/">la même longueur d'ondes</a> que les <b>commissions thématiques</b> du MoDem sur l'Europe dans le domaine judiciaire. J'avais en particulier aimé cette dernière proposition qui figurait dans <a href="http://europe.lesdemocrates.fr/thematiques/wp-content/uploads/2009/04/synthese-des-travaux-du-groupe-projet-_liberte-justice-et-securite_.pdf">son document final</a>, <b>la création d'un parquet européen</b>.</p> <p><i>Bien sûr, il est incontestable que la diversité des cultures de chaque état-membre est une réalité évidente, et c’est également une force. Pour autant, nous nous devons d’associer nos forces pour combattre ce qui nous fixerons ensemble comme des objectifs communs aux définitions tout aussi communes. Cette même perception des infractions à combattre permettra une meilleure compréhension entre les autorités d’enquête et de poursuite. Plus ambitieux encore<b>, nous proposons que, suite à l’harmonisation de certaines infractions, soit créé un organe de poursuite européen, en d’autres termes, « un Parquet européen »</b>. <span style="color: #800000;"><b>Ces Procureurs européens seraient compétents dès lors que l’intérêt général d’au moins deux états-membres serait atteint. Il prendra ses réquisitions aux côtés du Procureur de l’état-membre dans lequel est jugé le mis en cause. Par ailleurs, il pourra s’assurer de la bonne coordination des phases judiciaires entre tous les états-membres si le même mis en cause était suspecté d’avoir commis des infractions sur plusieurs états-membres</b></span>. Il est même envisageable que, dès que nous aurons atteint un degré élevé de confiance mutuelle entre états-membres, nous admettions que les juridictions d’un seul état-membre aient compétence pour juger de l’ensemble des infractions supposées commises par un même mis en cause. Par exemple, un individu vole une voiture en Belgique afin de commettre un braquage en France et à l’occasion de sa fuite en Espagne tue un policier. Dans telle hypothèse, nous pourrions réfléchir à ce que la compétence serait donnée à un seul état-membre pour juge de l’ensemble du parcours criminel dudit individu. Dans telle hypothèse, la création d’un parquet européen prendrait d’autant plus son sens</i>.</p>
Parti National Françaishttp://partinationalfrancais.hautetfort.com/about.htmlL'affaire du Sentier IItag:partinationalfrancais.hautetfort.com,2008-02-04:14466932008-02-04T14:05:00+01:002008-02-04T14:05:00+01:00PARIS (Reuters) 4 fév 2008 - Déjà ébranlés par la perte de 6,9 milliards...
PARIS (Reuters) 4 fév 2008 - Déjà ébranlés par la perte de 6,9 milliards d'euros imputée à un trader et à la crise des "subprimes", la Société générale et son P-DG, Daniel Bouton, sont jugés en correctionnelle à Paris à partir de lundi pour "blanchiment aggravé" de capitaux.<br /> <br /> Daniel Bouton s'expliquera sur le rôle de sa banque dans <u>un circuit de chèques entre France et Israël</u>. Ce circuit aurait servi à blanchir le produit de <u>fraudes fiscales</u>, de <u>vols</u> ou des <u>fonds détournés</u> d'entreprises.<br /> <br /> Dans ce dossier ouvert en juillet 1998 et baptisé "Sentier II", seront jugées trois autres personnes morales (la Société Marseillaise de Crédit - filiale de la HSBC - la Banque Nationale du Pakistan, la Barclays), ainsi que 137 personnes physiques.<br /> <br /> Il n'est pas imputé aux banques un rôle actif ou un enrichissement. L'instruction leur reproche d'avoir connu le mécanisme de blanchiment lié aux chèques, mais de n'avoir pris aucune mesure pour y mettre fin ou pour le dénoncer.<br /> <br /> La Société générale aurait ainsi attendu quatre ans, de 1998 à 2002. Ce procès sera l'occasion d'un débat sur l'étendue du rôle moral que la règlementation donne aux banques concernant l'argent du crime.<br /> <br /> <img name="media-821666" src="http://partinationalfrancais.hautetfort.com/media/02/01/343167dc20e48417720ac7ede363c13c.jpg" alt="502f6b29971e325b31ebc9623aa68575.jpg" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; border-width: 0px" title="justice" id="media-821666" />"Le strict respect de son obligation de vigilance (par la Société générale) lui aurait permis d'agir en véritable 'sentinelle' du système français", estime la juge d'instruction Xavière Simeoni dans son ordonnance de renvoi.<br /> <br /> Vivement contestée par toutes les instances de la place bancaire de Paris, par le Medef et le ministère de l'Economie, <u>cette enquête a abouti au tribunal malgré l'opposition du parquet</u>, qui demandait un <u>non-lieu pour les banques</u>.<br /> <br /> Daniel Bouton et la Société générale nient tout délit. Ils expliquent qu'ils n'avaient pas connaissance du circuit frauduleux et que le contrôle des chèques est impossible. Il est absurde de demander à une "gare de triage de vérifier le contenu des wagons", a estimé Daniel Bouton pendant l'enquête.<br /> <br /> SALLE SPÉCIALE<br /> <br /> Organisé dans une salle spécialement construite, le procès se tiendra jusqu'au 31 juillet. Le jugement devrait être rendu à la fin de l'année ou début 2008. Daniel Bouton et les personnes physiques encourent jusqu'à dix ans de prison ferme.<br /> <br /> Les banques risquent de lourdes sanctions financières et des mesures telles que des interdictions partielles d'activité, un placement sous surveillance judiciaire, des fermetures d'établissements, ou encore une exclusion des marchés publics.<br /> <br /> Trois membres de l'état-major de Daniel Bouton, Emmanuel de Bouard, Jean-Paul Leblanc et Philippe Vigue, seront aussi sur le banc des prévenus, mais pas le n°2 de la banque, Philippe Citerne, présenté comme postulant à la succession du P-DG. Mis en examen, il a bénéficié d'un non-lieu.<br /> <br /> L'enquête de police est partie d'une autre affaire d'escroquerie, opération alors baptisée "planter les banques" par une des protagonistes et qui s'est déroulée dans le quartier parisien du Sentier, haut lieu de la confection.<br /> <br /> Dans ce premier dossier, une <u>centaine de personnes</u> ont été condamnées en 2002-2003 pour avoir <u>spolié des banques et des assurances</u> par des échanges de traites fictives et de fausses déclarations de sinistres.<br /> <br /> La police a découvert à ce moment que de nombreux <u>entrepreneurs du Sentier</u>, des sociétés leur étant liées et des <u>associations confessionnelles juives</u> encaissaient de nombreux chèques français en Israël, avant d'en récupérer le produit en France après échange entre banques israéliennes et françaises - dont la SocGen - dans une opération dite de compensation.<br /> <br /> Le montant total des sommes frauduleuses présumées blanchies ainsi s'élève à des <u>dizaines de millions d'euros</u>, dont sept pour la Société générale, selon les conclusions de l'instruction.<br /> <br /> Les enquêteurs <u>ont interpellé plusieurs rabbins</u>, qui seront sur les bancs des prévenus, et ont envoyé en prison dans une procédure incidente <u>pour corruption un magistrat du parquet</u> de Bobigny, Jean-Louis Voirain.