Last posts on parents2024-03-29T13:00:07+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/parents/atom.xmlstarnohttp://starnoweekend.hautetfort.com/about.htmlSam Le Pompier à la recherche du trésor perdu du pirate, c'est au Théâtre du Gymnase !tag:starnoweekend.hautetfort.com,2021-11-04:63476842021-11-04T18:28:52+01:002021-11-04T18:28:52+01:00 Sam Le Pompier sera à Paris du 11 décembre 2021 au 02 janvier 2022 au...
<p style="text-align: center;"><img id="media-6308399" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://starnoweekend.hautetfort.com/media/00/00/2170539015.jpg" alt="Sam Le Pirate, Theatre du Gymnase" /></p><h2>Sam Le Pompier sera à Paris du 11 décembre 2021 au 02 janvier 2022 au Théâtre du Gymnase pour présenter le spectacle pour enfants Le trésor perdu du pirate.</h2><h3>Le trésor perdu du pirate, le spectacle de Sam Le Pompier arrive à Paris.</h3><p>Pour les fêtes de fin d’année, le théâtre du Gymnase invite les familles à venir apprécier un show pour enfants. Sam le pompier fait ses débuts sur scène dans Le Trésor du Pirate. Bonne nouvelle pour les petits fans du pompier le plus célèbre du monde, le fameux Sam ! Sam le Pompier est le héros d'un spectacle, "Le Trésor Perdu du Pirate". Chaque fois que l'alarme retentit, on peut compter sur le brave Sam et ses camarades pour sauter dans un camion de pompiers, sauter sur un hélicoptère, et plus encore, pour aider ceux qui en ont besoin. Pour cette nouvelle aventure, <a href="http://lateteaucarre.blogg.org/beyries-livre-son-temoignage-sur-la-mort-avec-valhalla-dancer-a210877244">Sam Le Pompier </a>part à la recherche du trésor du pirate Pete Pontypandy. Une aventure trépidante de 50 minutes à ne pas rater en famille.</p><h3>Voici la bande-annonce de Sam Le Pompier :</h3><p><iframe width="560" height="315" title="YouTube video player" src="https://www.youtube.com/embed/bmtEGic7qhY" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p><p>Le nouveau spectacle de Sam Le Pompier s'intitule Le Trésor du Pirate, et il sera joué à Paris au théâtre du Gymnase pour Noël, du 11 décembre 2021 au 2 janvier 2022. Sam le Pompier s'est enfin décidé à quitter sa caserne - et son camion pompe - pour rencontrer les touts-petits qu'il fait rêver depuis tant d'années. Car, mine de rien, la série animée britannique existe depuis 1987. Toutefois, en France, elle n'a été diffusée <a href="http://starnoweekend.hautetfort.com/archive/2021/11/02/john-milk-toujours-plus-soul-avec-don-t-blame-the-hammer-6347370.html">qu'à partir de 2009</a>.</p><h3><a href="https://www.hautetfort.com/admin/posts/heatredugymnase.paris/sam-le-pompier-le-spectacle/">Infos et Réservations</a></h3><h3><em>Théâtre du Gymnase Marie Bell </em></h3><h3><em>38 boulevard Bonne Nouvelle </em></h3><h3><em>75010 Paris</em></h3><p style="text-align: center;"><img id="media-6308400" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://starnoweekend.hautetfort.com/media/01/02/2434371111.jpg" alt="Sam Le Pirate, Le trésor perdu du pirate" /></p>
joliefillehttp://netravaillezjamais.hautetfort.com/about.htmlA réserver, Nomi-Nomi au Théâtre Lepic avec Dans Ma Villetag:netravaillezjamais.hautetfort.com,2021-10-20:63450042021-10-20T18:02:00+02:002021-10-20T18:02:00+02:00 Nomi-Nomi est notre coup de cœur avec son spectacle pour enfants appelé...
<p style="text-align: center;"><img id="media-6304844" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://netravaillezjamais.hautetfort.com/media/01/02/1028094632.jpg" alt="nomi-nomi, dans ma ville, théâtre lepic" /></p><h2>Nomi-Nomi est notre coup de cœur avec son spectacle pour enfants appelé Dans Ma Ville, un concert spectacle bourré d’énergie et de bonnes ondes qui séduit les jeunes enfants dès 4 ans, et plus vieux bien sûr.</h2><h3>A retrouver à Paris au Théâtre Lepic, 1 avenue Junot dans le 18ème, le spectacle Dans Ma Ville de la chanteuse et comédienne Nomi-Nomi.</h3><p> </p><p> </p><p>Après son livre-disque « Chante avec Nomi-Nomi » chez <a href="http://netravaillezjamais.hautetfort.com/archive/2021/10/04/emily-pello-notre-coup-de-coeur-pop-avec-you-will-find-me-6341548.html">Nathan </a>Jeunesse et son premier spectacle (plus de 200 dates en France et en Belgique), LA révélation de la chanson pour enfants revient sur son 2ème opus « Dans ma ville » avec un chapeau tout bleu et une énergie toujours aussi rock! Blanche-Neige moderne et déjantée, Nomi-Nomi accompagnée de son complice Toni-Toni, nous embarque pour une visite musicale et théâtrale à travers sa ville. Elle vous mènera de son restaurant préféré, aux égouts de Paris, en passant par son petit endroit secret... Avec des chansons rock&roll et de la danse du ventre !</p><h3>Voici la bande-annonce du spectacle de Nomi-Nomi</h3><p><iframe width="560" height="315" title="YouTube video player" src="https://www.youtube.com/embed/P_n6McM83hY" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p><p>Avec sa jolie voix espiègle, son chapeau trop rigolo et ses drôles de vêtements de toutes les couleurs, Nomi-Nomi est la nouvelle chanteuse préférée des enfants. Elle dépoussière la chanson française avec son énergie de vraie petite rockeuse !</p><p>Dans son spectacle destiné aux enfants à partir de 2 ans, Nomi-Nomi, accompagnée de son complice Toni-Toni, propose des chansons poétiques et tendres extraites de son dernier album en date, Dans Ma Ville : « Mon restaurant », « Paris je t'aime », « Reine des forêts » ou encore « La sorcière du cinquième » vont résonner fort et faire trembler le Théâtre Lepic !</p><p><strong><em><span style="text-decoration: underline;">Représentation :</span><br />Les mercredis des vacances scolaires à 14h30<br />Le samedi à 16h et le dimanche à 14h.<br />Relâche les 4 et 5 décembre</em></strong><br /><a href="https://www.vostickets.net/billet?ID=THEATRE_LEPIC&SPC=10758">Infos, dates et réservations Théâtre Lepic, 1 avenue Junot, 75018 Paris</a></p><p style="text-align: center;"><img id="media-6304845" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://netravaillezjamais.hautetfort.com/media/02/00/3873475211.jpg" alt="dans ma ville, enfants, spectacle, nomi-nomi" /></p>
Prietohttp://www.chemindamourverslepere.com/about.htmlPrière pour la familletag:www.chemindamourverslepere.com,2021-06-20:63225502021-06-20T05:05:00+02:002021-06-20T05:05:00+02:00 « Seigneur, Dieu de bonté et de miséricorde, qui, dans le monde du mal et...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia, palatino, serif; color: #000000;">« Seigneur, Dieu de bonté et de miséricorde, qui, dans le monde du mal et du péché, avez offert la Sainte-Famille de Nazareth à la société des âmes rachetées, comme un très pur exemple de piété, de justice et d’amour, voyez combien la famille est aujourd’hui attaquée de toutes parts, et combien tout conspire à la profaner, en lui arrachant la foi, la religion et les bonnes mœurs.</span><br /><br /><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia, palatino, serif; color: #000000;">Secourez, Seigneur, l’œuvre de vos mains. Protégez dans nos foyers les vertus domestiques, elles sont l’unique garantie de concorde et de paix.</span><br /><br /><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia, palatino, serif; color: #000000;">Venez et suscitez les défenseurs de la famille. Suscitez les apôtres des temps nouveaux qui, en votre nom, grâce au message de Jésus-Christ et à la sainteté de leur vie, rappellent les époux à la fidélité, les parents à l’exercice de l’autorité, les enfants à l’obéissance, les jeunes filles à la modestie, les esprits et les cœurs de tous à l’estime et à l’amour de la maison bénie par vous.</span><br /><br /><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia, palatino, serif; color: #000000;">Que la famille chrétienne, restaurée en Jésus-Christ, suivant les exemples du divin Modèle de Nazareth, retrouve son visage ; que tout nid familial redevienne un sanctuaire ; que dans tout foyer se rallume la flamme de la foi qui aide à supporter les adversités avec patience et la prospérité avec modération, en même temps qu’elle dispose toutes choses dans l’ordre et dans la paix.</span><br /><br /><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia, palatino, serif; color: #000000;">Sous votre regard paternel, ô Seigneur, sous la garde de votre Providence et sous l’heureux patronage de Jésus, de Marie et de Joseph, la famille sera un asile de vertus, une école de sagesse. Elle sera un repos dans les rudes fatigues de la vie, un témoignage des promesses du Christ. A la face du monde, elle vous rendra gloire, à vous, Père, et à votre Fils Jésus, jusqu’au jour où, avec tous ses membres, elle chantera vos louanges dans les siècles des siècles. Ainsi soit-il. »</span><br /><br /><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia, palatino, serif; color: #000000;">Prière composée par <strong>Pie XII</strong>, et donnée le 31 octobre 1954 en la fête du Christ-Roi.</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia, palatino, serif; color: #000000;"><img id="media-6269377" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.chemindamourverslepere.com/media/02/02/2126080792.jpg" alt="Pie XII,prière,famille,Dieu,bonté,miséricorde,parents,enfants,vertus,sagesse,fidélité,sainteté,Jésus,Marie,autorité,obéissance" /></span></p>
comptineshttp://librairiecomptines.hautetfort.com/about.htmlCOMMENT DEVENIR UNE VRAIE SORCIÈRE ?tag:librairiecomptines.hautetfort.com,2018-10-01:60936002018-10-01T09:35:00+02:002018-10-01T09:35:00+02:00 roman jeune lecteur de Anne-Marie DESPLAT-DUC Éd. Scrineo,...
<p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;"><a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/00/2463634455.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-5893935" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/00/3929315984.jpg" alt="Comment devenir une vraie sorcière?.jpg" /></a>roman jeune lecteur</span><br />de <span style="font-size: 12pt; color: #99cc00;"><strong>Anne-Marie DESPLAT-DUC</strong></span><br /></span><span style="font-size: 10pt;"><strong><span style="font-family: georgia, palatino, serif;">Éd. Scrineo, coll. Les coups de cœur de Cassandra O’Donnell, octobre 2018, 96 pages - 6,90€ </span></strong></span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">La question pourrait n’être que purement technique si Sibelle, n’était le fruit des amours d’une sorcière et d’un humain (ou peut-être même d’un descendant de l’ange Gabriel). Au grand désespoir de sa mère, Sibelle n’a hérité d’aucun des caractères physiques propres aux sorcières : pas de nez crochu, de verrue, de furoncle… Elle a une peau parfaite, de beaux cheveux blonds et de jolis yeux bleus. Pire : elle n’a aucun don pour la sorcellerie. Ecartelée entre ses deux parents, Sibelle est envoyée pour trois mois en Angleterre, dans la célèbre école Harry où elle doit apprendre à devenir, enfin, une vraie sorcière.</span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Mais sorcière elle n’est pas ! Alors elle va devoir user de quelques astuces et d’un peu de magie…</span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Ce petit roman est hilarant et plein de références amusantes à l’univers d’un célèbre sorcier. Au-delà de l’humour, il y est question de grandir en étant soi-même et de trouver sa place dans la famille. Une famille qui ne ressemble à aucune autre, non pas parce qu’elle est mixte sorcière-humain mais parce que dans le couple, madame est affreuse (description et illustration à l’appui) et que si des tensions existent entre Fleurkipic et Gabriel au sujet de l’éducation de leur fille, nez crochu et verrues ne sont pas des freins à l’amour qui les unis.<br />Voilà qui est assez rare pour mériter d'être signaler !</span></p><p><span style="font-size: 10pt;"><em><span style="font-family: georgia, palatino, serif;">Ariane Tapinos (octobre 2018)</span></em></span></p>
SUR du VENT par Henri CHEVIGNARDhttp://surduvent.hautetfort.com/about.htmlJean-Pierre LEMAIRE : DÉJÀ l'ÉTÉtag:surduvent.hautetfort.com,2018-06-26:60608352018-06-26T21:30:00+02:002018-06-26T21:30:00+02:00 Accroupie sur le seuil et nous tournant le dos tu lèves le...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5831587" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://surduvent.hautetfort.com/media/01/02/3307174260.jpg" alt="ombre,pénombre" /></p><p> </p><p style="font-size: 11pt; font-family: 'Trebuchet MS'; color: #000000; padding-left: 60px; text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;">Accroupie sur le seuil et nous tournant le dos</span></p><p style="font-size: 11pt; font-family: 'Trebuchet MS'; color: #000000; padding-left: 60px; text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;">tu lèves le nez vers les acacias</span></p><p style="font-size: 11pt; font-family: 'Trebuchet MS'; color: #000000; padding-left: 60px; text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;">pour parler aux oiseaux ; nous, de la pénombre</span></p><p style="font-size: 11pt; font-family: 'Trebuchet MS'; color: #000000; padding-left: 60px; text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;">nous tâchons de suivre la conversation</span></p><p style="font-size: 11pt; font-family: 'Trebuchet MS'; color: #000000; padding-left: 60px; text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;">vive, sensée, intraduisible</span></p><p style="font-size: 11pt; font-family: 'Trebuchet MS'; color: #000000; padding-left: 60px; text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;">où tu leur racontes en langue indigène</span></p><p style="font-size: 11pt; font-family: 'Trebuchet MS'; color: #000000; padding-left: 60px; text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;">tout ce que les parents ne peuvent entendre</span></p><p style="font-size: 11pt; font-family: 'Trebuchet MS'; color: #000000; padding-left: 60px; text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;">depuis qu'ils sont sortis du ciel en grandissant</span></p><p style="font-size: 11pt; font-family: 'Trebuchet MS'; color: #000000; padding-left: 60px; text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt;"> </span></p><p style="padding-left: 60px; text-align: right;"><span style="color: #000000; font-size: 12pt; font-family: 'Trebuchet MS';"><span style="color: #333333;"><strong>Jean-Pierre LEMAIRE</strong></span>, Le pays derrière les larmes, Poésie-Gallimard, 2016.</span></p><p> </p><p> </p>
.http://pdf31.hautetfort.com/about.html”Les enfants qui s'en sortiront le mieux dans la vie sont ceux qui ont le moins accès aux écrans”tag:pdf31.hautetfort.com,2018-01-14:60169532018-01-14T09:15:00+01:002018-01-14T09:15:00+01:00 Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2018 Source...
<div class="row relative"><div class="hidden-xs hidden-sm col-md-1000-1 padding-topx2 padding-rightx2 padding-leftx2 col-xs-2"><div class="sharing-tool-wrapper clearfix hidden-xs"><p style="text-align: justify;">Publié par Guy Jovelin le 14 janvier 2018</p><p style="text-align: center;"><img id="media-5752906" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://pdf31.hautetfort.com/media/01/02/3959158024.2.png" alt="écrans,enfants,parents,surexposition" /></p></div><div class="modulx5-5" style="text-align: justify;"> </div></div><div class="col-md-1000-7 bg-color-1 art-spacing col-xs-7"><div class="main-video aside" style="text-align: right;"> Source : <a href="http://rmc.bfmtv.com/emission/les-enfants-qui-s-en-sortiront-le-mieux-dans-la-vie-sont-ceux-qui-ont-le-moins-acces-aux-ecrans-1346189.html">http://rmc.bfmtv</a></div><h2 class="title-large padding-bottomx2 blocx3" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Pour le Docteur Anne-Lise Ducanda, membre du "collectif surexposition écrans", et invitée ce mercredi de <em>Bourdin Direct</em>, protéger les jeunes enfants des écrans de smartphones ou de tablettes est un "impératif de santé publique".</span></h2><div class="padding-bottomx2 article-body-main blocx2 border-b-s " style="text-align: justify;"><div class="links-color bloc"><p><span style="font-size: 10pt;">C'est <a href="http://bfmbusiness.bfmtv.com/hightech/des-actionnaires-d-apple-s-inquietent-de-l-impact-de-l-iphone-sur-la-sante-mentale-des-jeunes-1344172.html">une alerte pour le moins inquiétante</a> qu'a lancée ce mercredi dans <a href="http://rmc.bfmtv.com/emission/bourdin-direct/"><em>Bourdin Direct</em></a> le Docteur Anne-Lise Ducanda, médecin de PMI (Protection maternelle et infantile) dans l’Essonne, et membre du "collectif surexposition écrans". "<a href="http://bfmbusiness.bfmtv.com/mediaplayer/video/good-com-bad-com-apple-est-mis-en-garde-sur-l-addiction-des-jeunes-aux-smartphones-0801-1021187.html">Il faut protéger vos enfants</a> et les éloigner des écrans!". Un "impératif de santé publique", selon elle.</span></p><p><span style="font-size: 10pt;">"J'ai régulièrement des parents qui me disent qu'ils voient <a href="http://rmc.bfmtv.com/emission/je-vois-des-parents-qui-laissent-facilement-leur-enfant-de-moins-de-trois-ans-pianoter-sur-un-smartphone-1254636.html">leur enfant de 3 ans se lever toutes les nuits</a>, à peu près à la même heure – 3h du matin –, entrer dans leur chambre, prendre le smartphone sur la table de nuit, et aller sous le lit pour se cacher et regarder YouTube", a-t-elle raconté. "L'enfant crée une forme d'attachement à ces écrans et ne s'intéresse plus à autre chose. Or le tout petit a besoin d'être en interaction avec son environnement."</span></p><h3><span style="font-size: 10pt;">"Des enfants qui se tapent la tête contre les murs"</span></h3><p><span style="font-size: 10pt;">Anne-Lise Ducanda a expliqué que l'addiction aux écrans pouvait subvenir rapidement, et dès le plus jeune âge. "Ça va très vite. Au début on donne un petit dessin animé, un petit jeu éducatif sur la tablette - une demi-heure par jour -, et l'enfant adore ça, il est fortement capté et ça passe très vite à 1h, 2h, 4h… Et là, on a une vraie drogue. Quand les parents s'en rendent compte et veulent arrêter ça, <a href="http://rmc.bfmtv.com/mediaplayer/video/chez-les-jeunes-enfants-la-surexposition-aux-ecrans-peut-provoquer-de-serieux-troubles-comportementaux-945873.html">l'enfant manifeste alors un vrai syndrome de sevrage</a>: il pleure, il crie, se tape la tête contre les murs… Beaucoup de parents ne trouvent alors pas d'autres moyens que de le remettre devant l'écran pour arrêter cet état insupportable".</span></p><h3><span style="font-size: 10pt;">"Ce n'est pas la faute des parents"</span></h3><p><span style="font-size: 10pt;">Pour le Dr Ducanda, <a href="http://rmc.bfmtv.com/emission/c-est-difficile-aujourd-hui-d-etre-parents-il-faudrait-leur-decerner-une-medaille-1183979.html">"ce n'est pas la faute des parents"</a>. "Les écrans, notamment interactifs, ont été très valorisés et l'académie des sciences a même donné un avis très positif en 2013 (concernant leur usage). Les écrans <a href="http://rmc.bfmtv.com/mediaplayer/video/trop-laxistes-les-grands-parents-on-fait-ce-qu-on-pense-etre-bien-1003689.html">font partie de l'environnement de l'enfant.</a> Et ce sont les jouets valorisés dans les catalogues de jouets". "C'est sûr que ça permet d'acheter la tranquillité", a-t-elle concédé.</span></p><p><span style="font-size: 10pt;">Avec son "collectif surexposition écrans", Anne-Lise Ducanda demande que le ministre de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer, interdise l'usage des écrans à la maternelle. "Les enfants qui s'en sortiront le mieux dans la vie ceux qui ont eu le moins accès aux écrans", a-t-elle prévenu.</span></p></div></div><div class="authors-footer bloc clearfix text-right" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;"><strong>P. Gril avec JJ. Bourdin</strong></span></div></div></div><div style="display: block; position: relative;"><div style="padding-top: 56.25%;"><iframe width="300" height="150" style="width: 100%; height: 100%; position: absolute; top: 0px; bottom: 0px; right: 0px; left: 0px; border: none;" src="//www.bfmtv.com/static/nxt-video/player.html?video=5706646676001&brand=RMC&url=http://rmc.bfmtv.com/emission/les-enfants-qui-s-en-sortiront-le-mieux-dans-la-vie-sont-ceux-qui-ont-le-moins-acces-aux-ecrans-1346189.html" allowfullscreen="allowfullscreen" webkitallowfullscreen="webkitallowfullscreen" mozallowfullscreen="mozallowfullscreen" data-mce-fragment="1"></iframe></div></div>
comptineshttp://librairiecomptines.hautetfort.com/about.htmlLE JOUR OÙ PAPA S’EST REMARIÉtag:librairiecomptines.hautetfort.com,2017-10-01:59851302017-10-01T16:20:00+02:002017-10-01T16:20:00+02:00 Première lecture de Thierry LENAIN & Thanh PORTAL...
<p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"><a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/02/00/3538164106.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-5697520" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/02/00/2881787358.jpg" alt="Le jour où papa.jpg" /></a><span style="text-decoration: underline;">Première lecture</span></span><br /><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> de <span style="font-size: 12pt; color: #000080;"><strong>Thierry LENAIN</strong> &<strong> Thanh PORTAL </strong>(illustrations)</span><strong><br /></strong></span><span style="font-size: 10pt;"><strong><span style="font-family: georgia, palatino, serif;">Éd. Nathan, coll. premiers romans, série Le jour où, août 2017, 29 pages - 5,90€</span></strong></span></p><ul><li><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Voilà quelques mois déjà que nous avons fait la connaissance de la classe de Madame Okili, avec la sortie, en mars dernier, des deux premiers volumes de la nouvelle série de premières lectures de Thierry Lenain, <strong><em><span style="color: #000080;">Le jour où la France est devenue la France</span></em></strong> et <span style="color: #000080;"><strong><em>Le jour où on a mangé tous ensemble</em></strong></span>. C’est une classe d’école primaire comme il en existe des milliers en France, composée d’enfants de toutes origines, curieux et espiègles et qui apportent dans leurs cartables leurs soucis et leurs rêves aussi. Dans chaque volume, la discussion fuse et la maitresse, la formidable maitresse, trouve les mots pour donner sens aux questions des enfants. </span><br /><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> Dans ce 4e épisode, Guillaume rêvasse en classe. C’est qu’il a l’esprit occupé par le prochain remariage de son père. Surtout que, comme l’explique Marilou : « <em>ce n’est pas avec une femme que le papa de Guillaume va se remarier (…) c’est avec un mari (…) parce que maintenant, le papa de Guillaume, il est homo</em> ». </span></li></ul><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">S’ensuit une discussion pleine de candeur et de bon sens à la fois, sur le couple, l’amour et la parentalité. Ces enfants, comme tous les enfants, sont, comme le fait remarquer la maitresse, plein de ressources et d’idées pour les adultes qu’ils deviendront plus tard. Des futurs citoyens qui se posent des questions et cherchent des solutions dans un esprit de tolérance et d’acceptation des différences et des choix de vie de tous.</span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Thierry Lenain retrouve ici le ton qui a fait le succès des aventures de Zazie et de son copain Max. Celui qui lui permet, sans aucune mièvrerie, de mêler grandes questions (de celles qui agitent beaucoup l’esprit vif des enfants) et tracas du quotidien. C’est intelligent et plein d’humour. Bien écrit aussi, avec tout le respect du aux lecteurs débutants. Enfin les images de Thanh Portal donnent à voir cette France métissée et ouverte, bref, celle qu’on aime !</span></p><p><span style="font-size: 10pt;"><em><span style="font-family: georgia, palatino, serif;">Ariane Tapinos (octobre 2017)</span></em></span></p><p> Retrouvez <a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/apps/search?s=Lenain">ICI</a> nos critiques des livres de Thierry Lenain.</p><p>Les autres titres de la série :<br /><a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/02/3156503742.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-5697523" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/02/2537836251.jpg" alt="homoparentalité,homosexualité,parents,école" /></a><a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/02/1206050186.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-5697524" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/02/175071340.jpg" alt="homoparentalité,homosexualité,parents,école" /></a><a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/01/1054783713.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-5697525" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/01/3204735618.jpg" alt="homoparentalité,homosexualité,parents,école" /></a></p>
comptineshttp://librairiecomptines.hautetfort.com/about.htmlDANS LA FORÊT DE HOKKAIDOtag:librairiecomptines.hautetfort.com,2017-10-01:59848732017-10-01T14:16:00+02:002017-10-01T14:16:00+02:00 roman de Éric PESSAN Éd. L’école des loisirs, coll. Médium...
<p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;"><a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/00/00/3326780929.jpg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-5696874" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/00/00/606559489.jpg" alt="Dans la forêt.jpg" /></a>roman</span><br /></span><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">de <span style="font-size: 12pt; color: #008000;"><strong>Éric PESSAN</strong></span></span><br /><span style="font-size: 10pt;"><strong><span style="font-family: georgia, palatino, serif;"> Éd. L’école des loisirs, coll. Médium +, août 2017, 132 pages - 13€</span></strong></span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">En France, Julie rêve. Au Japon, un petit garçon abandonné par ses parents dans la forêt de Hokkaido, est au bord de la panique.</span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Julie rêve de cet enfant. Très vite, elle se rend compte que c’est plus qu’un rêve, qu’elle a la capacité, quand elle s’endort, de rejoindre cet enfant perdu et effrayé. Elle vit alors les mêmes angoisses, les mêmes souffrances que ce petit garçon qui lui reste inconnu. Peu à peu, comme lui, elle dépérit. Elle apprend aussi qu’au Japon, des recherches ont été lancées pour retrouver un enfant que ses parents, excédés par ses caprices ont laissé quelques instants sur le bord d’une route en pleine forêt, sur l’île d’Hokkaido. Quand ils sont revenus sur leurs pas, leur fils avait disparu… englouti par la forêt. Depuis, ils passent à la télévision pour s’excuser (pratique très nippone) et appeler à l’aide pour retrouver leur fils. Julie sait désormais que l’enfant qu’elle rejoint dans ses rêves est réel et que sa vie dépend de l’aide qu’elle pourra lui fournir. Sa survie à lui mais peut-être à elle aussi puisque que sa santé, comme celle du garçon, se dégrade brutalement. </span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Hospitalisée dans un état aussi préoccupant qu’inexpliqué, c’est l’intervention d’un jeune réfugié érythréen, recueilli par son père, militant de toutes les causes justes, qui va les sauver elle et l’enfant.</span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">A partir d’un fait divers, Eric Pessan construit un roman poétique et mystérieux. Profond aussi, comme la forêt dans laquelle s’est perdu le petit garçon, tel un petit poucet sans ses miettes de pain.</span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Un roman qui interroge sur ce monde qui jette les enfants sur les routes parce que les adultes se font la guerre ou parce qu’ils ne savent plus comment faire avec les enfants. </span><br /> <br /><span style="font-size: 10pt;"><em><span style="font-family: georgia, palatino, serif;">Ariane Tapinos (septembre 2017)</span></em></span></p><p><span style="font-size: 10pt;"><span style="font-family: georgia, palatino, serif;">A lire sur notre blog, la critique d'un autre livre d'Eric Pessan : <a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/archive/2016/01/04/aussi-loin-que-possible-5740093.html">Aussi loin que possible</a></span><span style="font-family: georgia, palatino, serif;"> </span><span style="font-family: georgia, palatino, serif;">(L'école des loisirs, 2015</span><em><span style="font-family: georgia, palatino, serif;">).</span></em></span></p>
IndianSamouraihttp://www.indiansamourai.com/about.htmlAu nom du père, de la belle-mère et de l'enfant roi: L'Education à l'indienne (vue par une étrangère)tag:www.indiansamourai.com,2017-04-24:59356782017-04-24T08:00:00+02:002017-04-24T08:00:00+02:00 On m’a demandé (c’est le début de la gloire !) de parler de...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #1f4e79;">On m’a demandé (c’est le début de la gloire !) de parler de l’ ‘éducation à l’indienne’. Vaste sujet ! Je me suis penchée sur la question pendant plusieurs semaines, en me cantonnant à la société que je connais et en espérant ne pas écrire trop de bêtises – difficile vu qu’en Inde on peut tout dire, le contraire est presque toujours vrai également…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #1f4e79;"><a href="http://www.indiansamourai.com/media/00/00/2722142453.jpg" target="_blank"><img id="media-5610460" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://www.indiansamourai.com/media/00/00/1128489175.jpg" alt="inde,éducation,parenting,respect,règles,amour,efants,parents" /></a>Je me suis déjà pas mal épanchée sur l’expérience que peut être d’avoir un bébé en Inde (1). Pour faire bref, si on reprend au début, il faut savoir que la belle-mère, souvent présente à l’accouchement, est la première à tenir le nouveau-né (avant la mère oui oui). La belle-sœur doit ensuite opérer un rituel – nettoyer les tétons de la mère pour les purifier et donner au nouveau-né un mélange à base de miel <em>(jatakarma</em>) pour qu’il soit tout doux comme un bonbon – avant que cette dernière puisse allaiter. Le ton est donc donné dès le début : <strong>le ‘parenting’ à l’indienne c’est un plutôt du ‘familying’ ou l’affaire de tout le monde, voire surtout de la belle-mère</strong> ( ;) ), ce qui peut heurter une sensibilité occidentale de mère responsable qui a ses propres vues sur ce qu’elle veut ou ne veut pas pour son enfant. Surtout si elle a épousé un Indien et doit se plier aux rites comme la cérémonie du nom ou la boule à zéro (2).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 10pt;"><strong><span style="color: #1f4e79;">Le fils indien est élevé, dans la tradition, pour ne jamais quitter le berceau familial</span></strong><span style="color: #1f4e79;">, ses parents ; en ce sens il est et restera un ‘enfant roi’ toute sa vie, assisté jusqu’au bout des ongles en tout ce qui consiste la tenue du ménage – ça en fait même des mecs qui ne savent pas à quoi ressemblent une papaye autrement qu’en morceaux dans leur assiette, c’est dire. C’est à la mère, dont il ne quittera jamais les jupons sauf pour quelques incartades vers ceux de sa femme, puis à cette dernière qu’incombent ces tâches. <strong>La fille indienne est élevée pour être une bonne (obéissante) belle-fille (bonniche) et surtout une mère de famille</strong> (elle n’aura réalisé sa raison d’être et acquis son droit à être sur cette Terre que quand elle aura enfanté et c’est apparemment pour ça qu’on trouve en Inde les plus vieilles femmes primipares (3) ) ; elle ne quittera probablement son foyer que pour celui de son mari et il y a de bonnes chances qu’on ne l’autorise pas à travailler, même si elle a fait des études supérieures (ça change, mais à l’allure escargot). On lui apprend le respect, l’obéissance, le renoncement à soi et à surtout ravaler ses sentiments. Si par malheur une tragédie comme une fausse-couche arrive, « rien de sert de pleurer il faut oublier et aller de l’avant ». Faire le deuil, vivre ses émotions, et puis quoi encore ? C’est exprimé un peu abruptement mais c’est encore bien comme ça.</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #1f4e79;">Mais revenons à cette notion d’enfant roi. Les parents français aiment leurs enfants, mais essayent de limiter le bouleversement que leur arrivée implique, autrement dit de ne pas sacrifier (toute) leur vie à l’autel de celle de leur marmaille. Par exemple l’’intimité’ du couple garde son importance et guide l’organisation du couchage. Quels Occidentaux (à part les Bobos qui remettent à la mode le ‘co-dodo’) ne s’horrifieraient pas à l’idée que les enfants dorment avec les parents ?! Jusqu’à 4 ans au moins ! Je me souviens avoir été choquée de ne pas trouver de chambre d’enfant (ni pour dormir ni pour jouer) chez un collègue indien qui avait pourtant deux pièces à coucher dans son appartement. En Inde, non seulement les enfants dorment dans le même lit que leurs géniteurs, mais également aux mêmes heures. Evoque des « horaires fixes de coucher et de repas » et on te regarde comme un monstre. Ici l’enfant vit au rythme de la maisonnée dès ses premières heures et immédiatement le monde se met à tourner autour de lui. C’est qu’<strong>intrinsèquement, le couple a peu d’importance en Inde, perdu dans le concept plus global de la famille</strong> (des beaux-parents, des enfants, des cousins, tout ça doit vivre en harmonie, et le couple (en général un couple de raison et non d’amour) doit faire les efforts qu’il faut pour ça). Dans beaucoup de sociétés occidentales, le couple est fondateur, et on conçoit même que le bonheur des enfants passe d’abord par celui du couple parental – <strong>dans notre Occident individualiste le bonheur passe par la réalisation de soi, en Inde par celui de l’accomplissement de son devoir</strong>, et TOUTE la différence est là. Pas de honte donc à partir en vacances sans son tout-petit, ce qui ne traverserait pas l’esprit d’un Indien (en plus du fait que la notion de ‘vacances’ est somme toute assez nouvelle et se limite en règle générale à rendre visite à de la famille et non pas d’aller se dorer la pilule sur la plage ou randonner dans les montagnes (sauf s’il y a un temple à voir)). On emmène également de tout jeunes enfants au cinéma voir des films d’adulte et des spectacles mettant en scène une mythologie pleine de monstres, ou on les traîne même dans les bars. Et pour finir, on ne le laisse pas pleurer les petits, c’est péché. Apparemment il serait pourtant bénéfique de les laisser exprimer leurs sentiments, que ce soit de la colère ou de la tristesse, mais ça choque trop les sensibilités.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #1f4e79;"><a href="http://www.indiansamourai.com/media/01/02/341265695.jpg" target="_blank"><img id="media-5610461" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://www.indiansamourai.com/media/01/02/2154735773.jpg" alt="inde,éducation,parenting,respect,règles,amour,efants,parents" /></a><span style="color: #1f4e79;">Le parent indien couve son petit ; ce qui ne veut pourtant pas dire qu’il l’arme pour survivre dans ce monde de brutes, à devenir indépendant, un individu à part entière ; <strong>l’individualité n’occupe en effet qu’une place bien modeste dans la structure familiale indienne</strong>. Le nouveau-né est une ‘chose’ qui passe de bras en bras, qui ‘appartient’ un peu à tout le monde, un prolongement de ses parents auquel on ne prête pas vraiment de personnalité propre, encore moins une que l’on respecte. (Je passe pour une illuminée quand j’offre à mon fils de deux ans de choisir ses vêtements lui-même.) La couvaison est plutôt du genre physique, avec des mères terriblement à l’écoute de leur petit : petits qu’elles allaitent très tard, qu’elles massent quotidiennement, qu’elles portent tout le temps. <strong>En Inde nous sommes dans une vraie culture du toucher, versus un environnement Occidental plus porté sur le parler avec des enfants qu’on laisse très longtemps allongé seul avec leurs mobiles, des enfants auxquels des mères cherchent à enseigner très très tôt à ne pas être trop ‘attachés’ car la séparation va venir vite.</strong> Bref, la mère indienne arrive même dès les premiers mois à détecter quand il va poser une pêche et arrive ainsi à le rendre ‘propre’ presque avant que ses sphincters ne soient suffisamment développés. Une méthode consiste à se balader derrière le gosse avec du papier journal, et le lui glisser sous les fesses dès qu’on repère les signes d’une défécation imminente. Si ça rate, y a plus qu’à ramasser le tout avec la feuille. Une technique complémentaire offre de laisser le bébé sans couche jouer au bac à sable et laisser sécher la pisse quand ça coule dans le pantalon – je trouve ça risqué l’hiver mais bon – apparemment les enfants apprennent vite dans ces cas-là et puis l’économie de couches soulage tout le monde : le porte-monnaie et la planète.</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #1f4e79;">Quand les mères françaises vont au parc, on les trouve en général assise sur un banc à papoter pendant que la marmaille s’ébat à sa guise ; et ça me fascine. Les mères indiennes, si elles allaient au parc au lieu d’y envoyer la nounou, passeraient leur temps à courir derrière leur gosse. Un peu comme moi donc. Enfin, le comble c’est quand même ce directeur d’une chaîne de magasins pour enfants qui me vantait les mérites d’une innovation qui devrait faire un tabac en Inde : un casque pour protéger l’arrière du crâne quand les bambins tombent, parce que <strong>« tu n’imagines pas le nombre de mères qui passent leur journée à courir derrière leur progéniture avec un oreiller pour éviter qu’elle ne se blesse en apprenant à marcher »</strong> !! Si c’est pas de la couvaison dans les règles de l’art ça… (ceci-dit je n’ai personnellement jamais été témoin de ce genre de comportement).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #1f4e79;">Et la bouffe ! Le nerf de la guerre, me direz-vous. Nourrir un enfant en France semble assez simple : on le met à table, il mange tant mieux, il mange pas tant pis, il aura son plat réchauffé au dîner. Nourrir un enfant en Inde, c’est juste l’inverse : <strong>parents et grand-parents passent leur journée à enfourner qui un bout de <em>chapati</em> qui un morceau de sucre dans le goulot du petit</strong>, en général occupé à autre chose. Rien d’étonnant à ce que les adultes indiens soient les champions du grignotage (et c’est souvent pas des fruits qu’ils boulottent mais plutôt des trucs fris bien gras) ! Et puis à chaque visite, les premiers commentaires portent sur le poids de l’enfant – à savoir qu’en général plus il est gros mieux c’est, où « dodu » signifie « en bonne santé ».</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="color: #1f4e79;">C’est donc un peu tout ça, l’enfant roi : celui qu’on ne laisse pas pleurer, à qui on donne la becquée à longueur de temps. Sauf que <strong>l’enfant roi il se prend bien vite la réalité en pleine face </strong>et c’est d’autant plu</span></span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="color: #1f4e79;"><a href="http://www.indiansamourai.com/media/02/02/3948580802.jpg" target="_blank"><img id="media-5610463" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://www.indiansamourai.com/media/02/02/1203790401.jpg" alt="inde,éducation,parenting,respect,règles,amour,efants,parents" /></a></span></span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="color: #1f4e79;">s dur quand il a été habitué à tout autre chose pendant ses tendres années : quand toutes ses mignonneries ne sont plus de son âge, il a intérêt à grandir fissa. Par exemple, quand je racontais que mon fils venait d’appeler son père par son prénom pour la première fois et que je trouvais ça trop chou, on m’a expliqué qu’à deux ans ça fait rire tout le monde et qu’à cinq il se prendrait une baffe. <strong>Ils ont la main assez lourde les Indiens, les claques pleuvent et même </strong></span></span><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="color: #1f4e79;"><strong>les instituteurs n’y vont pas avec le dos de la cuillère</strong> – bref, la France il y a quelques décennies. Faut dire aussi qu’<strong>en Inde, le ‘respect’ des plus âgé est sacré</strong>. L’enfant est roi mais pas dieu non plus ! Il est donc de très mauvais goût de remettre en question ses parents, pire de leur désobéir (surtout sur des sujets à peine primordiaux comme les études, la carrière et le mariage, là point de discussion) – c’est presque inconcevable pour un Occidental habitué à contester tout et tout le temps et avec tout le monde. <strong>Le dialogue est donc parfois dif</strong></span><span style="color: #1f4e79;"><strong>ficile, en plus du fait que certains sujets sont complètement tabous, comme la sexualité (et ses abus), l’alcool, les drogues etc.</strong> Bref on passe sous silence pas mal de discussions fondamentales et sensibles, parce qu’ « ici on ne parle pas de ces choses-là ». Il est d’ailleurs assez intéressant de constater que vivre ensemble à beaucoup ne signifie pas vraiment communiquer mieux, au contraire. Les Indiens, qui sont pourtant de grands émotifs, expriment peu leurs sentiments, il faut savoir lire entre les lignes. C’est ainsi que les langues indiennes n’ont pas vraiment de mot pour exprimer l’amour, l’amour de parent, ou d’enfant, ni même de partenaire. Selon une personne proche, l’amour s’exprime en Inde non par les mots mais par les gestes, « comme préparer un plat préféré ». Et on revient encore à la bouffe c’est dingue !! (J’aurais bien rétorqué qu’en Europe il faut les mots ET les gestes – c’est tout un job d’’entretenir’ l’amour – mais à quoi bon.) Bref on ne se dit pas je t’aime, on vit rarement une histoire d’amour délirante, et c’est sans doute pour ça que Bollywood fait souvent dans la guimauve : ça envoie du rêve (ou plutôt du fantsme) !</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: 10pt;"><span style="color: #1f4e79;">Et pour conclure sur l’enfa</span><span style="color: #1f4e79;"><a href="http://www.indiansamourai.com/media/01/01/1981890934.jpg" target="_blank"><img id="media-5610462" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://www.indiansamourai.com/media/01/01/3206971203.jpg" alt="inde,éducation,parenting,respect,règles,amour,efants,parents" /></a></span><span style="color: #1f4e79;">nt roi, le moment où il commence à réaliser que la vie c’est pas que du gâteau c’est quand la scolarisation démarre. Ça </span><span style="color: #1f4e79;">peut donc commencer tôt. En Europe on a dû développer des crèches pour que les mères puissent travailler et on a fini par se </span><span style="color: #1f4e79;">mettre du baume au cœur en se convainquant que c’est un choix (alors qu’en fait non, c’est une nécessité), et que c’est</span><span style="color: #1f4e79;"> mieux pour les enfants de ne pas être à la maison dès leur plus jeune âge – ce que je crois n’être pas tout à fait vrai. Alors en Inde, malgré bon nombre de femmes au foyer, entourées par toute la belle-famille et soutenues par la nounou, de plus en plus d’entre elles se dépêchent de mettre leur rejeton à l’école, « pour qu’il se développe plus vite ». Une explication qui me fait bondir à chaque fois, une réponse systématique quand je demande pourquoi à une mère qui insiste pour que je mette mon fils depuis ses douze mois à l’école. Mais pourquoi faut-il toujours aller plus vite que la musique ?? Surtout <strong>qu’une fois qu’ils sont dans le système, les enfants subissent une pression incroyable car la compétition est rude et les places sont chères</strong> : beaucoup de jeunes et une classe pauvre prête à se battre pour s’en sortir (et c’est juste 70% de la population), pas assez de bonnes institutions et des quotas pour les basses castes, pas d’assurance chômage ni de retraite etc. Bref si t’as pas la gnack ou tes parents de la thune, t’es mort. L’enseignement est donc tout un business, un véritable ‘investissement’ dont on attend un retour et qui ne s’arrête pas à l’école laquelle peut coûter des fortunes : les gosses pas</span><span style="color: #1f4e79;">sent presque autant de temps (et les parents dépensent presque autant d’argent) pour les cours de soutien ! Et la nouvelle tendance c’est les activités extra-scolaires : les jeunes doivent cartonner en cours, au tennis et à la guitare. Pas beaucoup de répit…</span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt; font-family: arial,helvetica,sans-serif; color: #1f4e79;">Bref chaque parent fait de son mieux pas vrai ?! Mais <strong>en Inde où la société évolue vite et intègre beaucoup de concepts occidentaux en conflit avec un système de valeurs et de traditions à la peau dure, il y a de quoi s’y perdre quand on a un enfant à élever !</strong></span><br style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif; color: #1f4e79;" /><span style="font-size: 9.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif; color: #1f4e79;"> </span></p><p><span style="font-size: 8.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif; color: #1f4e79;">(1) <a href="http://www.indiansamourai.com/list/mes-docs/bebe-samourai-made-in-india.html"><span style="color: #1f4e79;">http://www.indiansamourai.com/list/mes-docs/bebe-samourai-made-in-india.html</span></a> et <a href="http://www.indiansamourai.com/list/mes-docs/bebes-made-in-india.html"><span style="color: #1f4e79;">http://www.indiansamourai.com/list/mes-docs/bebes-made-in-india.html</span></a> </span></p><p><span style="font-size: 8.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif; color: #1f4e79;">(2) <a href="http://www.bbc.co.uk/religion/religions/hinduism/ritesrituals/baby.shtml"><span style="color: #1f4e79;">http://www.bbc.co.uk/religion/religions/hinduism/ritesrituals/baby.shtml</span></a></span></p><p><span style="font-size: 8.0pt; font-family: 'Arial',sans-serif; color: #1f4e79;">(3) <a href="http://www.dailymail.co.uk/health/article-3582592/Indian-woman-70-gives-birth-baby.html"><span style="color: #1f4e79;">http://www.dailymail.co.uk/health/article-3582592/Indian-woman-70-gives-birth-baby.html</span></a> </span></p>
comptineshttp://librairiecomptines.hautetfort.com/about.htmlMAIS QUE FONT LES PARENTS LA NUI ?tag:librairiecomptines.hautetfort.com,2017-03-27:59261282017-03-27T14:15:33+02:002017-03-27T14:15:33+02:00 album de Thierry LENAIN & BARROUX (illustrations) Éd....
<p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;"><a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/01/4183063223.jpg" target="_blank"><img id="media-5594732" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/01/2111267648.jpg" alt="sommeil,nuit, parents, amour" /></a>album</span><br /></span><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">de <span style="font-size: 12pt; color: #c44d12;"><strong>Thierry LENAIN </strong>&<strong> BARROUX </strong>(illustrations)</span><br /></span><strong><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Éd. Little Urban, mars 2017 - 13,50€</span></strong><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> </span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Voilà bien une question qui occupe l’esprit des enfants ! Que font donc les parents quand on ne les a pas sous les yeux et plus particulièrement quand le soir tombe et que les enfants sont priés d’aller dormir ?</span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Une question qui agite la petite Sofia qui n’entend pas se coucher - elle se tient bien droite, debout sur son lit, les bras croisés - avant que ses parents ne lui ait répondu. Appliquant une stratégie bien connue des psychanalystes et éprouvée par les parents quand il s’agit de gagner du temps, les parents de Sofia lui renvoient sa question « <em>Que crois-tu que nous faisons, Sofia ? </em>». Et voilà la petite fille explorant plusieurs pistes loufoques ou inquiétantes : les parents s’empiffrent de bonbons, font la fête avec leurs copains, se transforment en dragons, s’occupent de tous leurs autres enfants cachés… </span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Jusqu’à ce qu’elle formule une hypothèse bien plus réaliste : « <em>vous vous faites plein de bisous </em>» et s’inquiète de savoir si il leur restera assez d’amour pour elle.</span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Malins, les parents se contentent de répondre qu’il restera toujours des bisous pour Sofia et évitent soigneusement de commenter les bisous qu’ils se font la nuit.</span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Voilà un album qui l’air de rien, et avec plein de fantaisie, répond sérieusement à une question qui l’est tout autant. Et où texte et images se marient avec succès. </span><br /><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> Même si … Sofia finit sa nuit dans le lit de ses parents ce qui la prémunit de tous les bisous qu’ils auraient pu s’y faire (et des conséquences catastrophiques qui pourraient en découler) ! <br /></span><br /><em><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"> Ariane Tapinos (mars 2017)</span></em></p>
comptineshttp://librairiecomptines.hautetfort.com/about.htmlLA FAMILLE DANS TOUS SES ÉTATStag:librairiecomptines.hautetfort.com,2017-03-02:59167632017-03-02T13:25:00+01:002017-03-02T13:25:00+01:00 Documentaire de Alexandra MAXEIMER & Anke KUHL (illustrations)...
<p><a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/00/1267473024.jpg" target="_blank"><img id="media-5575979" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/00/249111317.jpg" alt="La famille.jpg" /></a><span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Documentaire<br />de <span style="font-size: 12pt; color: #ff0000;"><strong>Alexandra MAXEIMER </strong>&<strong> Anke KUHL </strong>(illustrations)</span></span><br /><strong><span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Traduit de l’allemand par Hélène Boisson</span></strong><br /><strong><span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Éd. La Joie de lire, janvier 2017 - 12€</span></strong></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Le sujet a été au cœur de l’actualité à l’occasion des débats houleux sur le mariage pour tous et il passionne les enfants toujours avides de comprendre à la fois d’où ils viennent et le monde qui les entoure. Les parents, les grands-parents, les fratries sont le sujet de bien des livres pour les enfants. Tous ne sont pas d’un grand intérêt, certains sont plein de bonnes intentions et d’ouverture d’esprit mais aucun n’est aussi complet et malin que celui-ci. Familles nombreuses, hétérosexuelles, lesbiennes ou homosexuelles, familles aimantes ou maltraitantes, familles de sang ou de cœur… cet album, qui flirt avec la bande dessinée est à la fois formidablement instructif et drôle. Avec ses flèches et ses fils qui relient les un-e-s aux autres, il montre aux enfants toutes les formes d’engagements et d’associations familiales possibles, parce que « <em>quel que soit notre âge, nous sommes toujours les enfants de quelqu’un</em> ».</span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Ses auteurs ont trouvé le ton juste pour parler de choses sérieuses en mêlant explications (parfois pointues) et humour (dans les images comme dans le texte). Ils nous disent que toutes les familles sont différentes et pas seulement comme on l’entend le plus couramment en fonction des adultes qui les composent mais aussi parce que certaines sont bruyantes tandis que d’autres sont silencieuses, que certaines sont raplapla alors que d’autres sont tout le temps en mouvement… Que chaque famille est unique, avec son langage, son odeur, ses habitudes… Bref, elles sont diverses et c’est ça qui est beau !</span></p><p><em><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Ariane Tapinos (mars 2017)</span></em><br /> <br /><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"><a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/00/00/2900391124.jpg" target="_blank"><img id="media-5575983" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/00/00/2202379731.jpg" alt="Sociologue & ourson.jpg" /></a><br />PS : Si vous aimez cet album, précipitez vous sur ce film : <em><strong>La sociologue et l’ourson</strong></em>, de Etienne Chaillou et Mathias Théry.</span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Un documentaire qui n’a pas été fait pour les enfants mais qui peut parfaitement être regardé avec eux et qui met en scène la sociologue de la famille Irène Théry et son fils Mathias - figurés, comme tous les personnages du film par des peluches - dans des discussions passionnantes sur l’évolution de la famille et les débats sur le mariage pour tous.</span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Une relation entre une mère et son fils au cœur d’une histoire de la famille qui est un bijou d’intelligence et d'humour (l'un va souvent avec l'autre).</span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Voir la bande annonce : <a href="https://vimeo.com/131480576">ICI</a></span></p>
comptineshttp://librairiecomptines.hautetfort.com/about.htmlLES PALSOUS. Un conte de Noëltag:librairiecomptines.hautetfort.com,2016-11-29:58799642016-11-29T07:00:00+01:002016-11-29T07:00:00+01:00 album de André BOUCHARD Éd. Seuil jeunesse, octobre 2016 –...
<p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;"><a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/02/00/4060562091.jpg" target="_blank"><img id="media-5512542" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/02/00/3850309550.jpg" alt="noël,pauvreté,injustice,parents,humour" /></a>album</span><br />de <span style="font-size: 12pt; color: #a31010;"><strong>André BOUCHARD</strong></span></span><br /><strong><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Éd. Seuil jeunesse, octobre 2016 – 13,50 €</span></strong></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">« <em>Dans la famille Palsou, il y a Maman, Papa, les jumeaux Carole et Albert, Henri et moi, Charles. Ça fait six. Avec six bouches à nourrir, faut faire les courses souvent !</em> »</span><br /><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Mais faire les courses, pour le famille Palsou, c'est un problème, parce que comme leur patronyme l'indique, dans la famille Palsou, des sous il n'y en a pas tant que ça Il n'y en a même vraiment pas assez pour remplir à satiété les six estomacs de la famille. Alors même si les enfants adorent le quartier qui est plein de cachettes et de copains de tous les horizons, même s'ils se marrent bien à l'école de Mr Nicolas qui leur apprend la soudure et la couture (entre autres), il y a quand même un gros problème : les adultes qui ne savent plus rire, qui font une tête d'enterrement et qui c'est sûr, vont leur gâcher Noël. Une seule solution : école du rire obligatoire pour tous les parents. Mais comme les enfants vont vite le découvrir« <em>enseigner la rigolade aux vieux »</em> s'avère plus difficile que prévu et il faudra toute l'aide du mystérieux Mr Nicolas et d'une cocotte magique pour redonner le sourire aux adultes et organiser un très joyeux Noël.</span></p><p><span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;">André Bouchard signe ici une histoire de Noël à l'humour grinçant mais finalement pas aussi déprimante que la triste situation des pauvres Palsou ne le laissait envisager. Bien sûr, le bidonville de la famille Palsou et de leurs voisins et amis n'est pas franchement propice à l'atmosphère festive, mais la magie de Noël est bien là, même cachée par la misère ambiante. Des personnages hauts en couleurs viennent enluminer ce décor sinistre, et l'on rigole finalement beaucoup dans ce conte à l'ironie mordante qui n'hésite pas à rappeler « <em>qu'on peut rire de n'importe quoi avec n'importe qui à condition d'avoir le ventre plein ! » </em>Et si les adultes (ces cancres!) préfèrent pleurer (même de joie) au lieu de se tordre de rire, et bien tant pis pour eux !</span></p><p><em><span style="font-size: 10pt; font-family: georgia, palatino, serif;">Nathalie Ventax (novembre 2016)</span></em></p><p> </p><p> </p>
comptineshttp://librairiecomptines.hautetfort.com/about.htmlBON VOYAGE MAMAN !tag:librairiecomptines.hautetfort.com,2016-08-28:58337112016-08-28T13:34:00+02:002016-08-28T13:34:00+02:00 album de Mariana RUIZ JOHNSON Traduit de l’espagnol (Argentine)...
<p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;"><a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/02/00/3617039857.jpg" target="_blank"><img id="media-5427958" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/02/00/1885266784.jpg" alt="Bon voyage maman.jpg" /></a>album</span><br />de <span style="font-size: 12pt; color: #ff0000;"><strong>Mariana RUIZ JOHNSON</strong></span><br /></span><strong><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Traduit de l’espagnol (Argentine)<br /></span></strong><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"><strong>Éd. Alice, mai 2016</strong><br /><br /></span><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Maman part en voyage. Enzo et son papa la conduisent à l’aéroport et s’organisent pour combler son absence. Maman manque à Enzo. Avec papa c’est différent - il n’a pas la même voix pour lire des histoires- mais c’est bien aussi.</span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Pendant ce temps, maman vaque à ses occupations : travail, visites, courses… Et grâce à internet, la famille peut se réunir même si « la maman dans l’écran » n’a pas l’odeur de la celle d’Enzo.<br /><br />Ce petit album carré est formidable ! Enfin une maman qui part en voyage en laissant compagnon et enfant tout à fait capables de se débrouiller - pas d’inondations dans la salle de bain ni de coucher tardif. En plus, elle ne se morfond pas mais semble profiter à fond de son voyage. <br /></span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Il faut voir cette jolie double page qui résume toutes ses activités. Il y est question de travail - et ça c’est déjà suffisamment rare pour mériter d’être signalé - mais aussi de prendre son temps et de se faire plaisir : incroyable ! Il est vrai qu’elle semble aussi avoir du mal à dormir mais ce n’est pas parce que sa petite famille lui manque sans doute, comme elle manque à Enzo et son papa, qu’elle ne va pas profiter de ce petit voyage. Surtout que ce qui est merveilleux dans les séparations… ce sont les retrouvailles !</span></p><p><em><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Ariane Tapinos (août 2016)</span></em></p>
comptineshttp://librairiecomptines.hautetfort.com/about.htmlJ’ATTENDS MAMANtag:librairiecomptines.hautetfort.com,2016-07-22:58289232016-07-22T08:42:00+02:002016-07-22T08:42:00+02:00 album de Izumi MOTOSHITA & Chiaki OKADA (illustrations)...
<p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;"><span style="text-decoration: underline;"><a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/02/1067464304.gif" target="_blank"><img id="media-5419760" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/02/1634939832.gif" alt="mère,parents,école,séparation,travail" /></a>album<br /></span>de <span style="font-size: 12pt; color: #99cc00;"><strong>Izumi MOTOSHITA</strong> &<strong> Chiaki OKADA </strong>(illustrations)</span></span><br /><strong><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Traduit du japonais par Sylvain Chollet</span></strong><br /><strong><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Éd. nobi nobi, coll. 1, 2, 3 Soleil, mars 2016 - 13€</span></strong></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">C’est la fin de la journée à la maternelle et personne n’est encore venu chercher la petite Kana. La petite fille patiente en imaginant, dans un savoureux dialogue avec un ours en peluche, ce qui a pu retarder sa maman. Peut-être son train est-il tombé en panne ? Dans ce cas, pas d’inquiétude, « parce qu’un éléphant, un hippopotame et d’autres animaux très costauds l’ont poussé de toutes leurs forces jusqu’à la gare ! ». Et si elle s’est arrêtée pour acheter des pâtisseries et des ballons et qu’elle s’est envolée, là encore, pas de quoi paniquer, c’est certain, les « oiseaux vont la guider ». La preuve, là voilà qui arrive ! Kana se blottie dans ses bras avant de quitter sa maîtresse et son ours, pour rentrer à la maison et peut-être s’arrêter en chemin pour acheter un gâteau et un ballon.</span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Un album très tendre sur un sujet bien moins léger qu’il n’y paraît. Quel enfant n’a pas connu ces moments d’angoisse en attendant ses parents ou tout simplement en s’éloignant d’eux quelques instants ? </span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Quel enfant ne s’est pas demandé alors si ses parents avaient peut-être disparu pour toujours ? Kana fait face à cette peur de l’abandon en s’imaginant des situations, des événements qui expliquent le retard de sa maman. Et si ces événements sont plus qu’improbables, aucune importante ! Ce qui compte c’est que cette petite fille sait trouver les ressources pour lutter contre l’angoisse.</span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Et du point de vue de la maman, cet album dit également que les mères ont une vie pendant que les enfants sont à l’école, une vie - un travail ici sans doute - qui peut parfois les mettre en retard sans que cela porte à conséquence. Bien au contraire, c’est dans ses interstices que les enfants grandissent.</span></p><p><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Un album finalement rassurant pour les enfants et les parents !</span></p><p><em><span style="font-family: georgia, palatino, serif; font-size: 10pt;">Ariane Tapinos (juillet 2016)</span></em></p>
Prietohttp://www.chemindamourverslepere.com/about.htmlMéditation - Les Psaumes, école de prièretag:www.chemindamourverslepere.com,2016-05-30:58082692016-05-30T05:05:00+02:002016-05-30T05:05:00+02:00 « En priant les Psaumes on apprend à prier. Ils sont une école de la...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;">« En priant les Psaumes on apprend à prier. Ils sont une école de la prière.</span><br /><br /><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;"> Il advient quelque chose d'analogue lorsque l'enfant commence à parler, c'est-à-dire qu'il apprend à exprimer ses sensations, ses émotions, ses besoins avec des mots qui ne lui appartiennent pas de façon innée, mais qu'il apprend de ses parents et de ceux qui vivent autour de lui. Ce que l'enfant veut exprimer est son propre vécu, mais le moyen d'expression appartient à d'autres ; et lui peu à peu s'en approprie ; les mots reçus des parents deviennent ses mots et à travers ces mots il apprend aussi une manière de penser et de sentir, il accède à tout un monde de concepts, et il grandit à l'intérieur de celui-ci, il entre en relation avec la réalité, avec les hommes et avec Dieu. La langue de ses parents est enfin devenue sa langue, il parle avec les mots reçus des autres qui sont désormais devenus ses mots. Ainsi en est-il avec la prière des Psaumes. Ils nous sont donnés pour que nous apprenions à nous adresser à Dieu, à communiquer avec Lui, à lui parler de nous avec ses mots, à trouver un langage pour la rencontre avec Dieu. Et à travers ces mots, il sera possible aussi de connaître et d'accueillir les critères de son action, de s'approcher du mystère de ses pensées et de ses voies (cf. Is 55, 8-9), afin de grandir toujours davantage dans la foi et dans l'amour. Comme nos mots ne sont pas seulement des mots, mais qu'ils nous enseignent un monde réel et conceptuel, de même ces prières aussi nous enseignent le cœur de Dieu, si bien que non seulement nous pouvons parler de Dieu, mais nous pouvons apprendre qui est Dieu et, en apprenant comment parler avec Lui, nous apprenons à être homme, à être nous-mêmes. »</span><br /><br /><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;"> <strong>Benoît XVI</strong>, Conclusion de la catéchèse de l'<em>Audience général</em>e du 22 juin 2011, <em>in</em> "<span style="color: #008080;"><a style="color: #008080;" title="Benoît XVI, L'Âme de la prière, Artège, 2016" href="https://www.editionsartege.fr/livre/fiche/l-Ame-de-la-priere-9782360406647" target="_blank">L'Âme de la prière</a></span>", Artège, Perpignan, 2016.</span><br /><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;"> Texte intégral sur le <span style="color: #008080;"><a style="color: #008080;" title="Benoît XVI, Audience générale du 22 juin 2011" href="https://w2.vatican.va/content/benedict-xvi/fr/audiences/2011/documents/hf_ben-xvi_aud_20110622.html" target="_blank">site internet du Vatican</a></span>.</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;"><img id="media-5383433" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://www.chemindamourverslepere.com/media/02/02/383197152.jpg" alt="Benoît XVI,Psaumes,prier,prière,enfant,parents,mots,langue,langage,apprentissage,Dieu" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;">Gerrit van Honthorst (1590-1656), Le Roi David jouant de la Harpe</span><br /><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;">Centraal Museum, Utrecht (Pays-Bas)</span><br /><span style="font-size: 12pt; font-family: georgia,palatino,serif; color: #000000;">(<span style="color: #008080;"><a style="color: #008080;" href="http://www.jesuswalk.com/psalms/images/gerrit-van-honthorst-king-david-playing-the-harp-1611-1156x1407x300.jpg" target="_blank">Crédit photo</a></span>)</span></p>
Lizouzouhttp://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/about.html”Guide de survie pour accros aux écrans... ou encore comment garder ton ordi et tes parents” de Serge Tisseron et Jacquetag:lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com,2016-04-09:57631922016-04-09T10:34:52+02:002016-04-09T10:34:52+02:00 Voici un documentaire à mettre dans les mains de tous les enfants !...
<p style="text-align: center;"><img id="media-5300031" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/media/00/02/113031528.JPG" alt="guide,survie,accros,écrans,comment,garder,ordi,parents,serge,tisseron,jacques,azam,nathan" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Voici un documentaire à mettre dans les mains de tous les enfants ! </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Et oui, à notre époque, les enfants sont de plus en plus tôt happés par les nouvelles technologies comme les ordinateurs, tablettes, consoles ou encore téléphones portables. Ce livre posera certaines limites aux enfants mais aussi aux parents.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Ce livre se découpe en plusieurs situations en rapport avec les écrans. Chaque chapitre commence par un petit quizz de trois questions. Ainsi l'enfant sait où il en est de son addiction. Puis vient ensuite quelques explications sur le sujet. Et enfin, l'auteur donne quelques conseils pratiques et simples à appliquer. A plusieurs endroits du livre, nous retrouvons quelques anecdotes à connaître grâce au "à ne pas louper" et l'auteur se penche sur des termes techniques et les explique avec "le dico de survie". Plusieurs thèmes sont abordés comme les jeux violents, les conséquences des écrans sur le sommeil, Facebook, le droit à l'image ou encore les pièges d'internet.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Il y a également quelques illustrations qui parsèment le récit et qui collent parfaitement aux situations décrites. Je ne suis pas tellement fan de ce genre d'illustrations mais cela reste une question de goût, donc purement subjectif.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Bref, un livre à consulter en famille !</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: 12pt;">Je remercie <a href="http://www.nathan.fr/" target="_blank">les éditions Nathan</a> !</span></p>
comptineshttp://librairiecomptines.hautetfort.com/about.htmlJE VEUX ENLEVER LA NUITtag:librairiecomptines.hautetfort.com,2015-12-30:57117782015-12-30T08:00:00+01:002015-12-30T08:00:00+01:00 album de Hélène GAUDY & Simone REA (illustrations) Éd....
<p><span style="text-decoration: underline;"><a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/02/00/815728202.jpg" target="_blank"><img id="media-5226411" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/02/00/173608985.jpg" alt="sommeil,nuit,famille,lapin,parents" /></a>album</span><br />de <span style="font-size: 12pt; color: #99ccff;"><strong>Hélène GAUDY</strong> &<strong> Simone REA </strong>(illustrations)</span><br /><strong>Éd. Cambourakis, août 2015 -14 €</strong></p><p>Oskar le lapin n'aime pas la nuit. La nuit est noire, la nuit n'a pas de couleurs, pendant la nuit il est obligé de porter un pyjama, de ne pas jouer, de ne pas bouger... « La nuit, ça l'ennuie », et Oskar aimerait bien pouvoir l'enlever pour profiter encore et encore de la journée.<br />Alors maman lapin va devoir expliquer que la nuit a ses propres couleurs, qu'on peut s'y inventer des histoires et écouter ses bruits...<br />Dans un texte plein de poésie et de douceur, Hélène Gaudry raconte la peur du noir, le refus de dormir, la frustration de devoir rejoindre son lit tous les soirs alors qu'il y a encore tant de choses à faire et à découvrir.</p><p>Les illustrations, pleines de délicatesse de Simone Rea, déroulent autour d'Oskar et de sa maman les petits rituels d'une vie de famille bien rodée et créent une histoire dans l'histoire : pendant que maman tâche de raisonner son tout-petit, papa fait la vaisselle (et finit par préparer le biberon des soirées difficiles ), le chat fait les cent pas ... Autant de petits détails qui esquissent tendrement ce moment d'intimité familiale.<br /><br />Un très bel album, subtil et poétique à lire presque sur la pointe des pieds pour accompagner petits et grands quand il est l'heure de rêver.</p><p><em>Nathalie Ventax (janvier 2016)</em></p><p> </p><p> </p><p> </p>
Espérance Nouvellehttp://esperancenouvelle.hautetfort.com/about.htmlLes enfants voient, les enfants font: ”Papa, je t'observe attentivement...”tag:esperancenouvelle.hautetfort.com,2015-10-15:57002902015-10-15T12:00:00+02:002015-10-15T12:00:00+02:00 Les enfants observent, les enfants voient, les enfants font......
<p> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: small;">Les enfants observent, les enfants voient, les enfants font...</span></p><p><iframe width="560" height="315" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="https://www.youtube.com/embed/i4u0-gi7dsg?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p> </p><p><iframe width="560" height="420" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="https://www.youtube.com/embed/G21zYIdoKgM?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p><p> </p>
Kyralhttp://blogdeblagues.hautetfort.com/about.htmlC'est malintag:blogdeblagues.hautetfort.com,2015-08-24:30234662015-08-24T09:00:00+02:002015-08-24T09:00:00+02:00 Un petit garçon demande à son père : - Papa, quand je suis venu au monde,...
<p><span style="font-size: small; color: #000000;">Un petit garçon demande à son père :</span><br /><span style="font-size: small; color: #000000;">- Papa, quand je suis venu au monde, lequel des deux m'a donné son intelligence ? Toi ou maman ?</span><br /><span style="font-size: small; color: #000000;">- C'est sûrement ta mère. Moi, j'ai toujours la mienne.</span></p>
Espérance Nouvellehttp://esperancenouvelle.hautetfort.com/about.htmlConseils pour aller à la Messe avec ses enfants et les y préparertag:esperancenouvelle.hautetfort.com,2015-08-01:56494072015-08-01T07:00:00+02:002015-08-01T07:00:00+02:00
<p><iframe width="600" height="340" style="display: block; margin-left: auto; margin-right: auto;" src="https://www.youtube.com/embed/7fYtjEDxy6Y?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></p>
Prietohttp://www.chemindamourverslepere.com/about.htmlAudience générale de ce mercredi 24 juin 2015tag:www.chemindamourverslepere.com,2015-06-24:56453552015-06-24T14:45:00+02:002015-06-24T14:45:00+02:00 Ce matin, à l'Audience générale tenue Place St Pierre, le Saint-Père...
<p style="text-align: center;"><span style="font-size: small;"><iframe width="420" height="236" src="https://www.youtube.com/embed/-FQMA2wOVsM" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Ce matin, à l'Audience générale tenue Place St Pierre, le Saint-Père a consacré sa catéchèse aux blessures de la famille :</span><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Toute famille, a-t-il dit, connaît des moments où le comportement d'un membre en blesse l'harmonie. Actes, paroles et même omissions deviennent des blessures qui, en s'aggravant, peuvent conduire à la crise du couple et de la famille. Cela porte souvent "à rechercher ailleurs des soutiens qui ne font pas de bien à la famille...et causent souvent sa désagrégation au dam des enfants". A ces blessures psychologiques s'ajoutent des blessures affectives, qui peuvent provoquer des troubles comportementaux. "Savons-nous encore ce qu'est une blessure de l'âme ? Un enfant peut se retrouver écrasé lorsqu'il est maltraité au sein de la famille...au point de provoquer la rupture de la fidélité conjugale... Lorsque les adultes perdent la tête...lorsque les parents se font du mal, l'enfant souffre beaucoup et ressent du désespoir. Ces blessures laissent leur marque. Or tout se tient dans la famille. Un point blessé et l'infection s'étend... Les époux sont une seule chair et leurs enfants la chair de cette chair. Pensons à la dureté de Jésus envers qui offense les plus petits ! Elle vaut pour qui a la grande responsabilité de maintenir le lien conjugal qui est à la base de toute famille. Les blessures que les époux s'infligent, ils les infligent à leurs enfants. Certes, il y a des cas où la séparation est inévitable, où elle est même moralement nécessaire, lorsqu'il faut protéger de la violence le conjoint le plus faible ou les enfants menacés de violence, de domination ou d'indifférence... Soutenus par la foi et par l'amour pour les enfants, tant de parents témoignent de la fidélité et d'un lien dans lequel ils croient, même s'ils savent ne pouvoir le raviver. Mais toutes les personnes séparées ne ressentent pas ce devoir. Toutes ne reconnaissent pas non plus dans la séparation un appel du Seigneur. Face à tant de familles en situation irrégulière il faut sérieusement s'interroger. Comment les aider, les accompagner de manière à ce que les enfants ne soient pas victimes de leurs parents ? Demandons au Seigneur d'avoir la force d'envisager la réalité avec le regard de Dieu. Il faut une grande charité et un coeur miséricordieux pour approcher ces personnes".</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Source : <span style="color: #008080;"><a title="Vatican Information Service" href="http://visnews-fr.blogspot.fr/2015/06/les-blessures-de-la-famille.html" target="_blank"><span style="color: #008080;">Vatican Information Service</span></a></span> (Publié VIS Archive 01 - 24.6.15).</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;"><strong>Résumé :</strong></span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">« Frères et sœurs, il arrive souvent que des paroles ou des actes blessent l’amour conjugal au lieu de le fortifier. Et lorsque ces blessures, encore guérissables, sont négligées, elles se transforment parfois en hostilité, en mépris, en déchirures profondes. L’homme ou la femme cherche alors ailleurs un soutien et une consolation, au détriment du bien de la famille. Ce sont les enfants qui souffrent profondément de ces séparations. Comprenons-nous à quel point l’âme d’un enfant se trouve blessée lorsque dans la famille, on se fait du mal, au point de rompre le lien conjugal ? L’homme et la femme sont devenus une seule chair dans le mariage, et leur recherche obsessive de liberté et de gratification personnelle atteint profondément le cœur et la vie de leurs enfants, qui sont la chair de leur chair. D’ailleurs, Jésus fait un grave devoir aux parents de conserver le lien conjugal, et la grâce ne manque pas à ceux qui veulent y demeure fidèles. Tous, cependant n’y parviennent pas, ce qui nous pousse à nous demander : comment les aider, comment les accompagner ? »</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">« Je salue cordialement les pèlerins de langue française, en particulier les membres du mouvement Foi et Lumière.</span><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Chers amis porteurs d’un handicap, vous êtes précieux pour l’Église. Par votre proximité avec Jésus et Marie, vous êtes des témoins privilégiés de l’amour de Dieu pour chacun de nous.</span><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Que Dieu vous bénisse. »</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Source : <span style="color: #008080;"><a title="Site internet du Vatican" href="http://w2.vatican.va/content/francesco/fr/audiences/2015/documents/papa-francesco_20150624_udienza-generale.html" target="_blank"><span style="color: #008080;">site internet du Vatican</span></a></span>.</span><br /><br /><strong><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Texte intégral traduit en français sur <span style="color: #008080;"><a title="Zenit.org - Audience générale du mercredi 24 juin 2015" href="http://www.zenit.org/fr/articles/preserver-les-enfants-des-blessures-de-l-ame-et-des-larmes-cachees" target="_blank"><span style="color: #008080;">Zenit.org</span></a></span>.</span></strong><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Texte intégral original en italien sur le <span style="color: #008080;"><a title="Site internet du Vatican" href="http://w2.vatican.va/content/francesco/it/audiences/2015/documents/papa-francesco_20150624_udienza-generale.html" target="_blank"><span style="color: #008080;">site internet du Vatican</span></a></span>.</span></p>
Doumehttp://deja2007.hautetfort.com/about.htmlFierté de Papidotag:deja2007.hautetfort.com,2015-06-13:56391302015-06-13T10:12:11+02:002015-06-13T10:12:11+02:00 Samedi dernier, l'audition de l'école de musique de notre bourgade nous a...
<p>Samedi dernier, l'audition de l'école de musique de notre bourgade nous a encore une fois enchantés... Non seulement parce-que deux de nos petites-filles y ont participé, mais de par la variété des différents auditionnés, d'abord en danse classique et moderne et ensuite en musique, des percussions en passant par les guitares, flûtes, accordéons, saxos, piano, synthé etc... mais surtout par la qualité de l'ensemble !</p><p>Depuis plus de 35 années j'ai un privilège incroyable de pouvoir, en tant que parent, grand - parent et ce avec ma Dodo bien entendu, pouvoir profiter tout au long de ces années des capacités de nos enfants et petits-enfants d'apprendre ce qui me réjouit le plus : la musique !</p><p>Alors oui, je le dis sans modestie, je suis fier de notre progéniture et je veux le crier haut et fort (lol).</p><p>Nous espérons que "le" suivant de nos petits... entrera lui aussi dans la lignée musicale... et en attendant écoutez les deux les plus jeunes 8 et 10 ans bientôt, interpréter leurs "variations" au violon, accompagnées par leur maman !</p><p><br /><img id="media-5072153" src="http://static.hautetfort.com/backend/graphics/insert-multimedia.jpg" alt=" http://deja2007.hautetfort.com/media/01/02/3015377908.mp3" /></p>
Prietohttp://www.chemindamourverslepere.com/about.htmlAudience générale de ce mercredi 20 mai 2015tag:www.chemindamourverslepere.com,2015-05-20:56253232015-05-20T12:39:00+02:002015-05-20T12:39:00+02:00 L'éducation, vocation naturelle de la famille Ce matin, au cours...
<p style="text-align: center;"><span style="font-size: small;"><iframe width="430" height="242" src="https://www.youtube.com/embed/gIZT5CrijFo" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;"><strong>L'éducation, vocation naturelle de la famille</strong><br /><br />Ce matin, au cours de l'audience générale tenue Place St Pierre en présence de 25.000 personnes, le Saint-Père a poursuivi sa catéchèse sur la famille, abordant sa vocation éducatrice. Faisant référence à l'Epître aux Colossiens qui dit qu'obéir aux parents est agréable à Dieu, il a affirmé qu'en aucun cas ceux-ci peuvent user de leur position pour écraser leurs enfants. Parlant ensuite des difficultés de certaines familles, où les parents rentrent tard et n'ont plus de temps à consacrer à leurs enfants, il a aussi évoqué les parents séparés qui risquent de reporter sur les enfants leur propre désaccord. On a accusé la famille, a-t-il encore dit, d'être néfaste aux enfants, d'être autoritaire et conformiste, de générer des conflits à cause de sa répression affective.<br />"La facture qui s'est produite entre la famille et la société a miné la confiance réciproque et plongé dans la crise leur alliance éducative. Ainsi à l'école les rapports entre parents et enseignants se sont dégradés. De soi-disant experts se sont multipliés pour se substituer au rôle des parents jusque dans le détail de l'éducation... Privés de leur mission nombre d'entre eux finissent par perdre confiance en soi, lâcher prise, être trop possessifs ou renoncer à corriger leurs enfants. Ils tendent alors à s'en remettre à ces experts en s'excluant eux-mêmes de la vie de leur progéniture... Comment en sommes nous arrivés là ? Certes, les modèles d'éducation du passé avaient leur limites, mais il y a des erreurs que seuls les parents sont autorisés à commettre... Beaucoup de parents sont submergés par leur travail et en difficulté face aux nouvelles exigences de leurs enfants, face à la complexité de l'existence... Ils ont peur de se tromper...et dialoguer ne suffit pas". Il vaut bien mieux "chercher à comprendre où l'enfant en est de son parcours, qu'en est-il de leur esprit ? Qu'en savons-nous, voulons-nous même le savoir ?".<br />Les parents ne doivent pas exaspérer leurs enfants, et provoquer leur découragement. "A la base de tout il y a l'amour offert par Dieu, l'amour qui ne manque pas de respect, ne cherche pas son propre intérêt et ne retient pas l'offense, excuse tout, croit tout, supporte tout. Même dans les familles les meilleures il faut se supporter, en ayant de la patience... Ici encore c'est la grâce de l'amour du Christ qui porte à l'accomplissement de la nature humaine. Tant de parents chrétiens sont des exemples de sagesse, qui montrent que la bonne éducation familiale est le fondement de l'humanisme. Son effet sur la société peut créer de véritables miracles.<br />Espérons que le Seigneur donne la foi aux familles chrétiennes, avec la liberté et le courage nécessaire à leur mission... Il est temps que les parents reviennent d'exil pour assumer pleinement leur rôle éducatif".<br /><br />Après la catéchèse de l'audience générale, le Saint-Père a d'abord rappelé que le 24 mai les catholiques chinois vénèrent au sanctuaire de Sheshan (Shanghai) Marie Secours des chrétiens. Sa statue présente Jésus au monde, les bras étendus en signe d'amour et de miséricorde : "Demandons à la Vierge d'aider nos frères catholiques à demeurer des témoins de cet amour miséricordieux au sein de la société chinoise et à rester spirituellement unis au rocher de Pierre, sur lequel est bâtie l'Eglise".<br />Puis le Pape François a rappelé que les évêques italiens ont décidé de consacrer la vigile de la Pentecôte à prier pour tous nos frères chassés ou tués à cause de leur foi. "Ce sont des martyrs ! Puisse ce temps de prière mieux faire comprendre que la liberté religieuse est un droit fondamental, et sensibiliser l'opinion publique à la persécution des chrétiens, afin d'y mettre fin".<br /><br />Source : <span style="color: #008080;"><a title="Vatican Information Service" href="http://visnews-fr.blogspot.fr/2015/05/leducation-vocation-naturelle-de-la.html" target="_blank"><span style="color: #008080;">Vatican Information Service</span></a></span> (Publié VIS Archive 01 - 20.5.15).<br /><br /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;"><strong>Résumé :</strong></span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">« Frères et sœurs, les familles ont vocation naturelle à éduquer leurs enfants. Mais souvent elles sont accusées par des intellectuels « critiques » d’autoritarisme, de favoritisme, de répression affective… L’alliance éducative entre société et famille est entrée en crise, car la méfiance s’est introduite entre elles. Beaucoup de soi-disant « experts » prétendent prendre la place des parents, y compris dans les aspects les plus intimes de l’éducation. Ces derniers se sentent alors souvent exclus de la vie et de la croissance de leurs enfants. Il ne doit pas en être ainsi, car les parents jouent un rôle indispensable. Ils sont les plus à même d’entrer dans un dialogue profond et authentique avec eux, cherchant où ils en sont vraiment dans leur cheminement, quelles sont leurs attentes. La communauté chrétienne offre un soutien incomparable aux parents dans leur tâche éducative. La grâce de l’amour du Christ porte à son accomplissement ce qui est inscrit dans la nature, et sait remplir les parents de sagesse humaine. »</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">« Je salue cordialement les pèlerins de langue française, en particulier les groupes venus de Côte d’Ivoire et de France. Que le Saint-Esprit demeure sur vous et dans vos familles, et qu’il donne en particulier aux parents la foi, le courage et la liberté pour assumer leur mission éducative auprès de leurs enfants.</span><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Que Dieu vous bénisse ! »</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Source : <span style="color: #008080;"><a title="Site internet du Vatican" href="http://w2.vatican.va/content/francesco/fr/audiences/2015/documents/papa-francesco_20150520_udienza-generale.html" target="_blank"><span style="color: #008080;">site internet du Vatican</span></a></span>.</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;"><em>Texte intégral traduit en français à venir sur Zenit.org</em></span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Texte intégral original en italien sur le <span style="color: #008080;"><a title="Site internet du Vatican" href="http://w2.vatican.va/content/francesco/it/audiences/2015/documents/papa-francesco_20150520_udienza-generale.html" target="_blank"><span style="color: #008080;">site internet du Vatican</span></a></span>.</span></p>
Espérance Nouvellehttp://esperancenouvelle.hautetfort.com/about.htmlLa finalité de l'éducation: le vrai, le bien, le juste, le beau, et Dieu par-desssus touttag:esperancenouvelle.hautetfort.com,2015-04-22:56070002015-04-22T08:00:00+02:002015-04-22T08:00:00+02:00
<p style="text-align: center;"><img id="media-5012643" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://esperancenouvelle.hautetfort.com/media/02/02/380476074.JPG" alt="école,école catholique,école privée,éducation,enfant,enfants,parents,enseignants" /></p><p style="text-align: center;"><a href="http://esperancenouvelle.hautetfort.com/media/02/02/1507625019.jpg"><img id="media-5012269" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://esperancenouvelle.hautetfort.com/media/02/02/1507625019.jpg" alt="école, école catholique, école privée" width="620" height="875" /></a></p><p style="text-align: center;"><a href="http://esperancenouvelle.hautetfort.com/media/01/00/511505131.jpg"><img id="media-5012270" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://esperancenouvelle.hautetfort.com/media/01/00/511505131.jpg" alt="école, école catholique, école privée" width="620" height="872" /></a></p>
Prietohttp://www.chemindamourverslepere.com/about.htmlAudience générale de ce mercredi 8 avril 2015tag:www.chemindamourverslepere.com,2015-04-08:55997642015-04-08T20:03:00+02:002015-04-08T20:03:00+02:00 Ce matin, au cours de l'audience générale, le Saint-Père a poursuivi...
<p style="text-align: center;"><span style="font-size: small;"><iframe width="480" height="270" src="http://www.youtube.com/embed/MnXZllZeY2o?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Ce matin, au cours de l'audience générale, le Saint-Père a poursuivi sa catéchèse consacrée à la famille, complétant sa réflexion sur les enfants, "le fruit le plus beau de la bénédiction que le Créateur a donné à l'homme et la femme". Evoquant les "situations de passion malheureusement vécues par nombre d'entre eux, il a rappelé que beaucoup d'enfants "sont dès le début refusés, abandonnés, dépouillés de leur enfance et de leur avenir. Certains osent dire, presque pour se justifier, que c'était une erreur de les faire venir au monde. Cela est honteux ! Ne chargeons pas les enfants de nos fautes, s'il vous plaît ! Les enfants ne sont jamais une erreur !... Ceux à qui incombe la tâche de gouverner, d'éduquer, tous les adultes, je dirais, sont responsables des enfants et de faire chacun ce qu'il peut pour changer cette situation. Je pense à la passion des enfants. Tout enfant marginalisé, abandonné, qui vit dans la rue de mendicité et de n'importe quel moyen, sans aller à l'école, sans soin, est un cri qui monte vers Dieu et qui accuse le système que nous avons construit... Mais aucun de ces enfants n'est oublié par le Père qui est aux cieux ! Aucune de leurs larmes n'est perdue ! De même que notre responsabilité, la responsabilité sociale des personnes et des états". Puis le Pape a rappelé que Jésus avait demandé à ses disciples de laisser les enfants s'approcher de lui, et a souligné que "grâce à Dieu, les enfants ayant de graves difficultés trouvent très souvent des parents extraordinaires, prêts à tout sacrifice et à toute générosité. Mais ces parents ne devraient pas être laissés seuls ! Nous devrions accompagner leur fatigue, mais aussi leur offrir des moments de joie partagée et de joie insouciante, pour qu'ils ne soient pas seulement pris dans la routine thérapeutique". Le Saint-Père a aussi évoqué les enfants qui souffrent des effets de vie exténuante à cause du travail précaire et mal payé, d'horaires insoutenables, d'union immatures et de séparations irresponsables. "Souvent, ils subissent des violences qu'ils ne sont pas capables de surmonter et sous les yeux des adultes se voient obligés de s'habituer à la dégradation... On ne plaisante pas avec les enfants !", a ajouté le Pape après avoir rappelé qu'"aujourd'hui comme par le passé, l'Eglise met sa maternité au service des enfants et de leurs familles"... "Il serait bon d'avoir une société qui décide une fois pour toute que lorsqu'il s'agit d'enfants qui viennent au monde, aucun sacrifice des adultes n’est trop grand pour qu’aucun d’eux ne puisse penser être une erreur, ne rien valoir et qu'il soit abandonné aux blessures de la vie... Le Seigneur juge notre vie en écoutant ce que lui rapportent les anges des enfants, ces anges qui voient toujours le visage du Père qui est dans les cieux. Demandons-nous toujours ce que diront de nous à Dieu ces anges des enfants ?".</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Source : <span style="color: #008080;"><a title="Vatican Information Service" href="http://visnews-fr.blogspot.fr/2015/04/on-ne-plaisante-pas-quand-il-sagit.html" target="_blank"><span style="color: #008080;">Vatican Information Service</span></a></span> (Publié VIS Archive 01 - 8.4.15).</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;"><strong>Résumé en français :</strong></span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">« Chers frères et sœurs, nous avons déjà parlé du grand don que sont les enfants. Aujourd’hui, nous devons aussi parler de la « passion » que beaucoup d’entre eux vivent, parce que refusés, abandonnés, privés de leur enfance ou de leur avenir. Tous ces enfants sont un cri qui monte vers Dieu et accuse le système que nous avons construit. Ils sont la proie de délinquants qui les exploitent ou les entrainent à la violence. Dans les pays riches, beaucoup d’enfants vivent des drames à cause de la crise de la famille, du vide éducatif et des conditions de vie parfois inhumaines. Mais aucun d’eux n’est abandonné du Père des Cieux. Aucune de leurs larmes n’est perdue. Grâce à Dieu, ceux qui ont de graves difficultés trouvent souvent des parents extraordinaires, prêts à tous les sacrifices. Nous ne devons pas les laisser seuls, mais les accompagner. Aux familles et aux enfants, l’Église porte la bénédiction de Dieu, sa tendresse maternelle. Quand il s’agit des enfants qui viennent au monde, aucun sacrifice des adultes n’est trop grand pour qu’aucun d’eux ne puisse penser être une erreur, ne rien valoir. Si la société faisait sienne ce principe, beaucoup lui serait pardonné ! »</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">« J’adresse mon cordial salut aux pèlerins francophones, en particulier aux servants de messe de Suisse et aux groupes venus de France et de Belgique, ainsi qu’aux Congolais de Londres. En ce temps de Pâques, je vous encourage à être de véritables témoins du Christ Ressuscité, dans vos familles et dans vos milieux de vie. Que Dieu vous bénisse ! »</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Source : <span style="color: #008080;"><a title="Site internet du Vatican" href="http://w2.vatican.va/content/francesco/fr/audiences/2015/documents/papa-francesco_20150408_udienza-generale.html" target="_blank"><span style="color: #008080;">site internet du Vatican</span></a></span>.</span><br /><br /><strong><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Texte intégral traduit en français sur <span style="color: #008080;"><a title="Zenit.org" href="http://www.zenit.org/fr/articles/les-enfants-ne-sont-jamais-une-erreur" target="_blank"><span style="color: #008080;">Zenit.org</span></a></span>.</span></strong><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Texte original italien sur le <span style="color: #008080;"><a title="Site internet du Vatican" href="http://w2.vatican.va/content/francesco/it/audiences/2015/documents/papa-francesco_20150408_udienza-generale.html" target="_blank"><span style="color: #008080;">site internet du Vatican</span></a></span>.</span></p>
Edhttp://whatamistilldoinghere.hautetfort.com/about.htmlQui veut devenir prof? L'Education Nationale recrute 25000 enseignantstag:whatamistilldoinghere.hautetfort.com,2015-03-12:55816422015-03-12T19:39:00+01:002015-03-12T19:39:00+01:00 Ma citation, là-haut, c'est le titre d'une émission de France...
<p style="text-align: center;"><a href="http://whatamistilldoinghere.hautetfort.com/media/00/02/356038651.jpg" target="_blank"><img id="media-4967288" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://whatamistilldoinghere.hautetfort.com/media/00/02/1035998448.jpg" alt="violence collège.jpg" /></a></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Ma citation, là-haut, c'est le titre d'une émission de France Culture de fin janvier, on peut encore l'entendre dans le poste.</span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">En 2003 le forum "Auféminin.com" quelqu'un posait pourtant la question : </span></p><h1 style="font-family: 'open sans', arial, sans-serif; word-spacing: -1px; color: #7e0846; font-size: 21px; margin: 0px; padding: 0px; height: auto; background: none;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; color: #000000;">Pourquoi est ce que presque ts les jeunes veulent etre profs?</span></h1><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Elle ajoutait : <span style="color: #5a5b5e;">ca me depasse, packe mes deux parents st profs, ms, niveau financier c loin de l'eldoraldo.......!!!!</span></span></p><p><span style="color: #5a5b5e; font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">je ne comprends pas.....</span></p><p><span style="color: #5a5b5e; font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">On voit que si la question a changé, l'orthographe était déjà inquiétante.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Nord: A 7 ans, il vient à l'école avec un pistolet. J'ai entendu que c'est son père qui va faire de la prison pour avoir mis la vie d'autrui en danger. Quand même.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Celui-là est en avance. Un autre était plutôt en retard. A 16 ans, élève en troisième, il réussit à modifier ses notes et à demander des codes d'accès en se faisant passer pour son principal. Il s'est fait prendre. Le meilleur de ce scoop, c'est que sa mère "<span style="line-height: 25px; text-align: justify;">aurait évoqué un éventuel piratage de son propre ordinateur…</span><span style="line-height: 25px; text-align: justify;"> " !!!</span></span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; line-height: 25px; text-align: justify;">Elle voudrait nous faire croire qu'un malhonnête auraient pris tous ces risques et dépensé toute cette énergie pour changer les notes de SON fils. Elle est encore plus bête que lui.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; line-height: 25px; text-align: justify;">Dans un autre collège, un élève a été molesté par d'autres et filmé, et ensuite tout cela a été mis sur internet. En tout : 11 coupables ! Ceux-là sont en 5ème...</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium; line-height: 25px; text-align: justify;">Et vous vous demandez pourquoi on n'a plus de candidats aux concours ? J'ai la solution : supprimons les parents. </span></p>
comptineshttp://librairiecomptines.hautetfort.com/about.htmlL'HEURE DES MAMANStag:librairiecomptines.hautetfort.com,2015-03-05:55750122015-03-05T09:26:00+01:002015-03-05T09:26:00+01:00 album de Yaël HASSAN & Sophie RASTÉGAR (illustrations) Éd....
<p><span style="text-decoration: underline;"><a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/02/00/1101153938.jpg" target="_blank"><img id="media-4933959" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/02/00/3887579881.jpg" alt="L'heure des mamans.jpg" /></a>album</span><br />de<span style="font-size: medium; color: #ff6600;"><strong> Yaël HASSAN </strong>&<strong> Sophie RASTÉGAR </strong>(illustrations)</span><br /><strong>Éd. Utopique, août 2014 – 15,50€</strong></p><p>Chaque jour, quand l’heure de la sortie des classes approche, la maîtresse met les enfants en rang et leur annonce qu’arrive « <em>l’heure des mamans !</em> ». Quelle drôle d’idée ! Surtout que notre petit héros, ce n’est jamais sa maman qui vient le chercher. Le lundi c’est sa baby-sitter, Marie-Pierre, le mardi c’est papi Albert, le mercredi c’est tonton Fabian qui le récupère au centre de loisirs. Le jeudi, c’est Mamie Lune, enfin si elle n’a pas oublié, et le vendredi c’est… papa !</p><p>Et si maman ne l’attend pas à la sortie de l’école, c’est … qu’elle travaille ! Alors, l’heure des mamans c’est le samedi et le dimanche « <em>quand on se retrouve le matin pour se faire de gros câlins ! </em>»</p><p>Un album tout simple – au texte malicieux et parfaitement adapté aux plus petits – qui rappelle une évidence si souvent absente des livres pour enfants : les mamans travaillent elles aussi ! Et les maitresses (elles mêmes sont au travail et sont parfois mamans), tout autant que les maitres, qui annoncent encore « <em>l’heure des mamans</em> », feraient bien de se mettre à jour !</p><p>A bas l’heure des mamans, vive <a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/archive/2015/03/07/l-heure-des-parents-5574411.html"><em><strong>L’heure des parents</strong></em></a>, de tous les parents, comme dans le génial album de Christian Bruel et Nicole Claveloux, réédité aux éditions Thierry Magnier en 2013 !</p><p><em>Ariane Tapinos (mars 2015)</em></p>
comptineshttp://librairiecomptines.hautetfort.com/about.htmlL'HEURE DES PARENTStag:librairiecomptines.hautetfort.com,2015-02-21:55744112015-02-21T08:55:00+01:002015-02-21T08:55:00+01:00 album de Christian BRUEL & Nicole CLAVELOUX Éd. Thierry...
<p><span style="text-decoration: underline;"><a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/00/2634431776.jpg" target="_blank"><img id="media-4932963" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/00/2541136486.jpg" alt="L'heure des parents.jpg" /></a>album</span><br />de <span style="font-size: medium; color: #00ccff;"><strong>Christian BRUEL</strong> &<strong> Nicole CLAVELOUX</strong></span><br /><strong>Éd. Thierry Magnier, mai 2013 – 11€</strong><br /><strong><span style="text-decoration: underline;">Première édition : éditions être, 1999</span></strong></p><p>Voici ce que nous écrivions sur cet album, alors indisponible, en novembre 2011, à l’occasion des 30 ans de l’Association des Librairies Spécialisées Jeunesse (ALSJ) / Librairies Sorcières :</p><p>Parce qu’il n’était pas envisageable d’évoquer trente ans de littérature jeunesse sans rendre hommage au travail de Christian Bruel, parce qu’il aurait fallu remonter 5 petites années en arrière dans notre sélection trentenaire pour choisir l’incontournable <em><strong>Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon</strong></em> (édition du Sourire qui mord 1976 ; nouvelle édition 2009 aux éditions être), nous avons retenu <em><strong>L’heure des parents</strong></em>. Surtout parce que ce petit livre paru en 1999 et épuisé avant même la fin de l’aventure des éditions être nous manque tous les jours. <br /><br /> Alors que Camille s’assoupie en attendant ses parents à la sortie de l’école, elle s’imagine et le lecteur avec elle, des parents comme on en trouve dans la vraie vie mais bien peu dans les albums jeunesse où il est encore si souvent question de « l’heure des mamans »… </p><p>Ici, toutes les configurations familiales sont possibles : mère seule, couple d’hommes, couple mixte et même collectif de raton laveurs ! On pourrait trouver cette énumération de la diversité politiquement correcte mais ce serait ignorer l’humour qui se cache dans chacun de ces portraits de famille et les multiples lectures <a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/00/812069804.jpg" target="_blank"><img id="media-4932964" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/00/3064435532.jpg" alt="Citrouille 60.jpg" /></a>auxquelles les images se prêtent en renvoyant l’une à l’autre au travers de détails du décor ou des personnages. Finalement, Camille retrouve ses parents qui ne sont autres que « Papa et Maman » et nous, libraires, sommes orphelins de ce petit bijou…</p><p><em>Ariane Tapinos (Texte paru dans le numéro 60 - novembre 2011- de la revue <strong>Citrouille</strong>) </em></p><p>Pour retrouver ce numéro en ligne, c'est <span style="color: #ff0000;"><a href="http://fr.calameo.com/books/00042193921b12a00bad9"><span style="color: #ff0000;">ICI</span></a></span>.</p>
Prietohttp://www.chemindamourverslepere.com/about.htmlAudience générale de ce mercredi 11 février 2015tag:www.chemindamourverslepere.com,2015-02-11:55567082015-02-11T13:06:00+01:002015-02-11T13:06:00+01:00 Après avoir développé une réflexion autour des figures maternelle...
<p style="text-align: center;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;"><em><iframe width="480" height="270" src="http://www.youtube.com/embed/6JUFvcaGQPM?feature=oembed" frameborder="0" allowfullscreen=""></iframe></em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Après avoir développé une réflexion autour des figures maternelle et paternelle lors de ses précédentes catéchèses, le Pape François a choisi cette semaine de parler des enfants, prenant appui sur la belle image donnée au chapitre 60 du livre d’Isaïe : « tes fils se rassemblent, ils viennent vers toi ; tes fils reviennent de loin, et tes filles sont portées sur la hanche. Alors tu verras, tu seras radieuse, ton cœur frémira et se dilatera » (Is. 60, 4-5a). Une image qui illustre « le lien étroit entre l’espérance d’un peuple et l’harmonie entre les générations ».</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;"><strong>L'enfant est un don</strong></span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">« Les enfants sont la joie de la famille comme de la société », affirme le Pape, « ils ne sont pas un problème de biologie reproductive, un des innombrables moyens de se réaliser, ou encore moins une propriété des parents. Non ! les enfants sont un don », a insisté François. Et pour les parents, chaque enfant est unique, différent. Et le Pape de raconter aux fidèles une anecdote personnelle : « Ma mère avait cinq enfants, et lorsqu’on lui demandait lequel était son préféré, elle répondait : ‘j’ai cinq fils, comme les cinq doigts de la main. Si on frappe celui-ci, cela me fait mal, si on frappe celui-là, cela me fait mal. Ils sont tous mes enfants, mais ils sont chacun différents, comme les doigts d’une main ».</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">L’enfant est aimé non pour sa beauté ou pour ses qualités. Il est aimé pour lui-même, pour ce qu’il est, avant même de venir au monde, Ainsi, observe le Pape, « l’expérience d’être fils, d’avoir été aimé en premier avant même de venir au monde, sans aucun mérite, permet de découvrir la dimension gratuite de l’amour de Dieu, qui est le fondement de la dignité personnelle ».</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;"><strong>Une société qui ne s'entoure pas d'enfants est déprimée</strong></span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">« Aujourd’hui, il est plus difficile pour les enfants d’envisager l’avenir, reconnait le Souverain Pontife. Il est juste qu’ils désirent, sans arrogance ni présomption, un monde meilleur ; mais ils doivent, selon le quatrième commandement, honorer leur père et leur mère, afin de garantir l’avenir de la société, car il y a un lien entre l’espérance d’un peuple et l’harmonie entre les générations ».</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">« Une société d’enfants qui n’honorent pas ses parents est société sans honneur !» a lancé le Pape. Pareillement, « une société qui n’aime pas s’entourer d’enfants, qui les considère comme un souci et un risque, et les familles nombreuses comme un poids est une société déprimée ». Et François de se référer à des exemples : « Pensons à toutes les sociétés que nous connaissons en Europe : ce sont des sociétés déprimées, parce qu’elles ne veulent pas d’enfants, elles n’en ont pas, et le taux de natalité est à 1% », fait remarquer le Pape, qui rappelle d’ailleurs que « la vie qui se multiplie, ne s’appauvrit pas mais s’enrichit ».</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">En conclusion, le Pape François a proposé aux fidèles présents de penser une minute à leurs enfants, et à leurs parents, et de rendre grâce à Dieu pour le don de la vie, avant d’ajouter : « comme il est beau de voir, quand je passe parmi vous, les mamans et les papas lever leurs enfants pour qu’ils soient bénis, c’est un geste quasi divin, merci de le faire ».</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Le Pape François a enfin invité les fidèles à prier pour le Consistoire qui s’ouvre ce jeudi, afin que le Saint-Esprit assiste les travaux du Collège cardinalice qui devra plancher sur le projet de Réforme de la Curie et éclaire les vingt nouveaux cardinaux qui seront créés samedi ainsi que leur service à l’Église.</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Source : <span style="color: #008080;"><a title="Radio Vatican" href="http://fr.radiovaticana.va/news/2015/02/11/audience__une_soci%C3%A9t%C3%A9_sans_enfants_est_une_soci%C3%A9t%C3%A9_d%C3%A9prim%C3%A9e_!/1122765" target="_blank"><span style="color: #008080;">Radio Vatican</span></a></span>.</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;"><strong>Appel du Pape pour les migrants morts en mer</strong></span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">A l'issue de l’audience générale, le Pape a lancé un appel à la solidarité après une nouvelle tragédie survenue en mer Méditerranée, tragédie dans laquelle 29 migrants sont morts d'hypothermie.</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">« Je suis avec préoccupation les nouvelles arrivées depuis Lampedusa, où l’on compte d'autres morts parmi les migrants, à cause du froid, lors de leur traversée de la Méditerranée. Je désire assurer de ma prière pour les victimes, et encourager de nouveau à la solidarité, afin que personne ne manque du secours nécessaire », a donc déclaré le Pape François.</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Les tragédies se succèdent puisque deux bateaux, chargés de migrants ont fait naufrage au large de la Libye, ce lundi. Plus de 200 personnes ont été englouties par les flots. 9 migrants ont pu être secourus par les garde-côtes italiens, et ont été débarqués sains et saufs sur l'île de Lampedusa.</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Source : <span style="color: #008080;"><a title="Radio Vatican" href="http://fr.radiovaticana.va/news/2015/02/11/appel_du_pape_pour_les_migrants_morts_en_mer/1122783" target="_blank"><span style="color: #008080;">Radio Vatican</span></a></span>.</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;"><strong>Résumé en français</strong></span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">« Frères et sœurs, les enfants sont un don de Dieu. Ils sont la joie de la famille comme de la société. L’expérience d’être fils, d’avoir été aimé en premier avant même de venir au monde, sans aucun mérite, permet de découvrir la dimension gratuite de l’amour de Dieu, qui est le fondement de la dignité personnelle. Aujourd’hui, il est plus difficile pour les enfants d’envisager l’avenir. Il est juste qu’ils désirent, sans arrogance ni présomption, un monde meilleur ; mais ils doivent, selon le quatrième commandement, honorer leur père et leur mère, afin de garantir l’avenir de la société, car il y a un lien entre l’espérance d’un peuple et l’harmonie entre les générations. Une société qui n’aime pas s’entourer d’enfants, qui les considère comme un souci et un risque, et les familles nombreuses comme un poids, est une société déprimée. »</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">« Je salue cordialement les pèlerins de langue française, en particulier les prêtres de la société Jean-Marie Vianney, avec Monseigneur Guy-Marie Bagnard, et le Séminaire de Nantes. Je salue également tous les jeunes de France venus nombreux, en particulier du Diocèse de Sens accompagnés de Monseigneur Patenôtre.</span><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">En communion avec tous les pèlerins de Lourdes, je prie la Vierge Marie pour toutes vos familles ; qu’elles sachent toujours accueillir la vie avec générosité et faire la joyeuse expérience de la fraternité.</span><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Que Dieu vous bénisse. »</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Source : <span style="color: #008080;"><a title="Site internet du Vatican" href="http://w2.vatican.va/content/francesco/fr/audiences/2015/documents/papa-francesco_20150211_udienza-generale.html" target="_blank"><span style="color: #008080;">site internet du Vatican</span></a></span>.</span><br /><br /><em><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Texte intégral traduit en français à venir sur Zenit.org.</span></em><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Texte intégral original en italien sur le <span style="color: #008080;"><a title="Site internet du Vatican" href="http://w2.vatican.va/content/francesco/it/audiences/2015/documents/papa-francesco_20150211_udienza-generale.html" target="_blank"><span style="color: #008080;">site internet du Vatican</span></a></span>.</span></p>
S. Lle noelhttp://defensederire.hautetfort.com/about.htmlChroniques d’un jeune parent, au commencement était le verbe, 2ème partietag:defensederire.hautetfort.com,2015-01-16:49900582015-01-16T12:45:00+01:002015-01-16T12:45:00+01:00 Si deuxième partie il y a, c’est qu’il y en avait une première, à laquelle...
<p class="docData;DOCY;v5;3558;BAiAAgAABoQCAAADHAwAAAUqDAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAACUCQAAAOMFAAABGwAAAAEGAAAAAAUBAwkGAAAAABoGAAAAABsGAAAAAAK+BQAABQ8CAAABAAAAAAgFAgAAAAACAABTAGkAIABkAGUAdQB4AGkA6ABtAGUAIABwAGEAcgB0AGkAZQAgAGkAbAAgAHkAIABhACwAIABjABkgZQBzAHQAIABxAHUAGSBpAGwAIAB5ACAAZQBuACAAYQB2AGEAaQB0ACAAdQBuAGUAIABwAHIAZQBtAGkA6AByAGUALAAgAOAAIABsAGEAcQB1AGUAbABsAGUAIABqAGUAIAB0AGUAIAByAGUAbgB2AG8AaQBlACAAbABlAGMAdABlAHUAcgCgADoAIAB0AHUAIABuABkgYQBzACAAcQB1ABkg4AAgAGMAbABpAHEAdQBlAHIAIABsAOAALgAgAFAAbwB1AHIAIAByAOkAcwB1AG0AZQByACwAIABzAGkAIAB0AHUAIABhAHMAIABsAGEAIABmAGwAZQBtAG0AZQAgAGQAZQAgAGMAbABpAHEAdQBlAHIAIABsAOAALAAgAGwAZQAgAGIAaQBsAGwAZQB0ACAAcwBlACAAcgBhAHAAcABlAGwAYQBpAHQAIABlAHQAIABzABkgZQB4AHQAYQBzAGkAYQBpAHQAIABkAGUAcwAgAHAAcgBlAG0AaQBlAHIAcwAgAHAAYQBzACAAbABhAG4AZwBhAGcAaQBlAHIAcwAgAGQAdQAgAHAAZQB0AGkAdAAgAGQAGSBoAG8AbQBtAGUALAAgAAWlAQAAAQAAAAAImwEAAACWAQAAYwBvAG0AbQBlAG4AdAAgAGwAZQAgAHAAcgBlAG0AaQBlAHIAIABtAG8AdAAgAGEAcABwAGEAcgBhAGkAcwBzAGEAaQB0ACwAIABwAHUAaQBzACAAbABhACAAcwB1AGkAdABlACAAZABlACAAbQBvAHQAcwAsACAAaQBuAGkAbgB0AGUAbABsAGkAZwBpAGIAbABlAHMAIABwAG8AdQByACAAbABlACAAYwBvAG0AbQB1AG4AIABkAGUAcwAgAG0AbwByAHQAZQBsAHMAIABzAGEAdQBmACAAcABvAHUAcgAgAGwAZQBzACAAcAByAG8AcAByAGUAcwAgAHAAYQByAGUAbgB0AHMAIABkAGUAIABsABkgZQBuAGYAYQBuAHQALAAgAGkAbAAgAGEAYgBvAHIAZABhAGkAdAAgAGwAGSBhAHQAdAByAGEAYwB0AGkAbwBuACAAdQBuAGkAdgBlAHIAcwBlAGwAbABlACAAZABlAHMAIABlAG4AZgBhAG4AdABzACAAcABvAHUAcgAgAGwAZQAgAAUhAAAAAQAAAAAIFwAAAAASAAAAdAByAHkAcAB0AGkAcQB1AGUABXUAAAABAAAAAAhrAAAAAGYAAAAgAHMAYQBjAHIA6QAgAHAAaQBwAGkALQBjAGEAYwBhAC0AcAByAG8AdQB0ACwAIABlAG4AIAB0AGUAcgBtAGkAbgBhAG4AdAAgAHMAdQByACAAbABhACAAcQB1AGUAcwB0AGkAbwAFPQEAAAEAAAAACDMBAAAALgEAAG4AIABkAGUAIABsAGEAIABwAG8AbABpAHQAZQBzAHMAZQAsACAAcQB1AGkAIABlAHMAdAAgAHUAbgAgAGEAcABwAHIAZQBuAHQAaQBzAHMAYQBnAGUAIABkAGUAIAB0AG8AdQB0AGUAIAB1AG4AZQAgAHYAaQBlAC4AIABNAGEAaQBzACAAYQB2AGEAbgB0ACAAZABlACAAcABhAHMAcwBlAHIAIADgACAAbABhACAAcwB1AGkAdABlACwAIABqAGUAIAB0AGUAIABkAG8AbgBuAGUAIAB1AG4AZQAgAGQAZQByAG4AaQDoAHIAZQAgAGMAaABhAG4AYwBlACAAbABlAGMAdABlAHUAcgAsACAAZQBuACAAYwBsAGkAcQB1AGEAbgB0ACAAbADgAC4ABQoAAAABAAAAAAgAAAAABQoAAAABAAAAAAgAAAAAAKcDAAABGwAAAAEGAAAAAAUBAwkGAAAAABoGAAAAABsGAAAAAAKCAwAABT0AAAABAAAAAAgzAAAAAC4AAABMAGUAIABwAGUAdABpAHQAIABkABkgaABvAG0AbQBlACwAIABkAG8AbgBjACwABSEAAAABAAAAAAgXAAAAABIAAAAgAHAAbwB1AHIAcwB1AGkAdAAFtwAAAAEAAAAACK0AAAAAqAAAACAAcwBhACAAYwBvAHUAcgBzAGUAIABjAG8AbgB0AHIAZQAgAGwAZQAgAHQAZQBtAHAAcwAgAHEAdQBpACAAcABhAHMAcwBlACwAIABpAGwAIABnAHIAYQBuAGQAaQB0ACwAIABlAHQAIABhAHAAcgDoAHMAIABhAHYAbwBpAHIAIABhAGMAcQB1AGkAcwAgAGQAdQAgAHYAbwBjAGEAYgB1AGwAYQBpAAUPAgAAAQAAAAAIBQIAAAAAAgAAcgBlACwAIABwAHUAaQBzACAAdQBuAGUAIABzAHkAbgB0AGEAeABlACAAYQBwAHAAcgBvAHgAaQBtAGEAdABpAHYAZQAsACAAcQB1AGkAIABsAGUAIAByAGUAcwB0AGUAcgBhACAA4AAgAGoAYQBtAGEAaQBzACAAcABvAHUAcgAgAGMAZQByAHQAYQBpAG4AcwAsACAAaQBsACAAZQBuAHQAcgBlACAAZABhAG4AcwAgAGwAGSDoAHIAZQAgAGQAZQAgAGwAYQAgAGQAaQBzAGMAdQBzAHMAaQBvAG4AIABwAGwAdQBzACAAbwB1ACAAbQBvAGkAbgBzACAAYQByAGcAdQBtAGUAbgB0AOkAZQAsACAAZABlACAAbABhACAAcgBoAOkAdABvAHIAaQBxAHUAZQAgAHEAdQBpACAAdAB1AGUAIABvAHUAIADgACAAZABlAHUAeAAgAGIAYQBsAGwAZQBzACwAIABiAHIAZQBmACwAIABsABkgYQBwAHAAcgBlAG4AdABpAHMAcwBhAGcAZQAgAGMAbwBuAHQAaQBuAHUAZQAgAGQAZQAgAHAAbAB1AHMAIABiAGUAbABsAGUALAAgAHAAbwB1AHIAIABsAGUAIABtAGUAaQBsAGwAZQB1AHIAIABlAHQAIABwAGEAcgBmAG8AaQBzACAAcAAFJwAAAAEAAAAACB0AAAAAGAAAAG8AdQByACAAbABlACAAcABpAHIAZQAmIAUKAAAAAQAAAAAIAAAAAAUKAAAAAQAAAAAIAAAAAAoAAAAAAAAAABEAAAAAuAEAAADcAAAAAAEAAQYSAAAAAgUAAAAAAwUAAAAABAUAAAAABQEBBgEABwEACAEACQYbAAAACgU3wQEACwEBHAEADAUAAAAAHQEADQUJYgUADgYIAAAAAAEBAQP///8ZAQEbBn0AAAAAFAAAAAADAAAAAQUAAAAAAgXmRAAAAwEAARQAAAAAAwAAAAEFAAAAAAIF5kQAAAMBAAIUAAAAAAMAAAABBQAAAAACBeZEAAADAQADFAAAAAADAAAAAQUAAAAAAgXmRAAAAwEACxQAAAAAAwAAAAEFAAAAAAIF5kQAAAMBAAHNAAAAAAEAAQEAAgEAAwEABAYOAAAAQwBhAGwAaQBiAHIAaQAFBg4AAABDAGEAbABpAGIAcgBpAAcGDgAAAEMAYQBsAGkAYgByAGkABgYOAAAAQwBhAGwAaQBiAHIAaQATAQEIBBYAAAAKAQAMAQAOBQAAAAAPAQAQAQARAQASBQAAAAAUAQAVAQAWBBYAAAAXAQAYAQAZBgoAAABmAHIALQBGAFIAGgYKAAAAYQByAC0AUwBBABsGCgAAAGUAbgAtAFUAUwAcBgIAAAAAAB4BAAIAAAAA"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"><img id="media-4850707" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://defensederire.hautetfort.com/media/02/00/3664762434.jpg" alt="enfant, parents, chronique, langage, humour, pipi caca prout, raisonnement, adolescence" />Si deuxième partie il y a, c’est qu’il y en avait une première, à laquelle je te renvoie lecteur : tu n’as qu’à cliquer <a href="http://defensederire.hautetfort.com/archive/2013/05/11/chroniques-d-un-jeune-parent-au-debut-fut-le-verbe-1ere-part.html">là</a>. Pour résumer, si tu as la flemme de cliquer <a href="http://defensederire.hautetfort.com/archive/2013/05/11/chroniques-d-un-jeune-parent-au-debut-fut-le-verbe-1ere-part.html">là</a>, le billet se rappelait et s’extasiait des premiers pas langagiers du petit d’homme, comment le premier mot apparaissait, puis la suite de mots, inintelligibles pour le commun des mortels sauf pour les propres parents de l’enfant, il abordait l’attraction universelle des enfants pour le tryptique sacré pipi-caca-prout, en terminant sur la question de la politesse, qui est un apprentissage de toute une vie. Mais avant de passer à la suite, je te donne une dernière chance lecteur, en cliquant <a href="http://defensederire.hautetfort.com/archive/2013/05/11/chroniques-d-un-jeune-parent-au-debut-fut-le-verbe-1ere-part.html">là.</a></span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Le petit d’homme, donc, poursuit sa course contre le temps qui passe, il grandit, et après avoir acquis du vocabulaire, puis une syntaxe approximative, qui le restera à jamais pour certains, il entre dans l’ère de la discussion plus ou moins argumentée, de la rhétorique qui tue ou à deux balles, bref, l’apprentissage continue de plus belle, pour le meilleur et parfois pour le pire…</span></p><p class="docData;DOCY;v5;13481;BAiAAgAABoQCAAAD3zIAAAXtMgAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAABXMAAAAOUGAAABGwAAAAEGAAAAAAUBAwkGAAAAABoGAAAAABsGAAAAAALABgAABTkBAAABAAAAAAgvAQAAACoBAABDACcAZQBzAHQAIAB1AG4AZQAgAGwAdQB0AHQAZQAgAHMAYQBuAHMAIABwAGkAdABpAOkAIABlAG4AdAByAGUAIABsAGUAcwAgAGUAbgBmAGEAbgB0AHMAIABlAHQAIABsAGUAcwAgAGEAZAB1AGwAdABlAHMALAAgAGEAcgBnAHUAbQBlAG4AdABzACAAYwBvAG4AdAByAGUAIABhAHIAZwB1AG0AZQBuAHQAcwAsACAAcABvAHUAcgAgAHAAcgBlAG4AZAByAGUAIABsAGUAIABkAGUAcwBzAHUAcwAgAHMAdQByACAAbAAnAGEAdQB0AHIAZQAuACAAxwBhACAAYwBvAG0AbQBlAG4AYwBlACAAcABhAHIAIAB1AG4AIABuAG8AbgAuACAABR0AAAABAAAAAAgTAAAAAA4AAABQAHIAZQBtAGkAZQByAAW3AAAAAQAAAAAIrQAAAACoAAAAIABtAG8AdAAgAHUAdABpAGwAZQAsACAAcQB1AGkAIABjAG8AbgB0AGkAZQBuAHQAIAB1AG4AZQAgAHAAcgBvAG0AZQBzAHMAZQAgAGQAZQAgAHAAbwB1AHYAbwBpAHIAIABtAGEAaQBzACAAbABpAG0AaQB0AGUAIABuAOkAYwBlAHMAcwBhAGkAcgBlAG0AZQBuAHQAIABsACcA6QBjAGgAYQBuAGcABdMAAAABAAAAAAjJAAAAAMQAAABlAC4AIABMACcAZQBuAGYAYQBuAHQAIABsAGUAIABtAGUAdAAgAOAAIAB0AG8AdQB0AGUAcwAgAGwAZQBzACAAcwBhAHUAYwBlAHMALAAgAHMAYQBuAHMAIABuAHUAYQBuAGMAZQBzACwAIABuAGkAIABtAOoAbQBlACAAcgDpAGYAbABlAHgAaQBvAG4ALgAgAEMAJwBlAHMAdAAgAHUAbgAgAGoAZQB1ACAAZAAnAGEAaQBsAGwAZQB1AHIAcwAuACAABRMAAAABAAAAAAgJAAAAAAQAAABUAHUABR8AAAABAAAAAAgVAAAAABAAAAAgAGYAYQBpAHMAIADnAGEABRMAAAABAAAAAAgJAAAAAAQAAACgACEABREAAAABAAAAAAgHAAAAAAIAAAAgAAUVAAAAAQAAAAAICwAAAAAGAAAATgBvAG4ABRMAAAABAAAAAAgJAAAAAAQAAAAuACAABRkAAAABAAAAAAgPAAAAAAoAAABBAGwAbwByAHMABRkAAAABAAAAAAgPAAAAAAoAAAAgAOcAYQA/ACAABRUAAAABAAAAAAgLAAAAAAYAAABOAG8AbgAFFwAAAAEAAAAACA0AAAAACAAAACAAZQB0ACAABR8AAAABAAAAAAgVAAAAABAAAABvAHUAIABiAGkAZQBuACAABRcAAAABAAAAAAgNAAAAAAgAAABjAGUAYwBpAAUTAAAAAQAAAAAICQAAAAAEAAAAoAAhAAURAAAAAQAAAAAIBwAAAAACAAAAIAAFFQAAAAEAAAAACAsAAAAABgAAAE4AbwBuAAUTAAAAAQAAAAAICQAAAAAEAAAALgAgAAUTAAAAAQAAAAAICQAAAAAEAAAASgBlAAVTAAAAAQAAAAAISQAAAABEAAAAIAB0AGUAIABkAG8AbgBuAGUAIAB1AG4AZQAgAG0AbwB1AHMAcwBlACAAYQB1ACAAYwBoAG8AYwBvAGwAYQB0AD8AIAAFFQAAAAEAAAAACAsAAAAABgAAAE4AbwBuAAUjAAAAAQAAAAAIGQAAAAAUAAAAIABlAHUAaAAgAG8AdQBpAC4AIAAFFwAAAAEAAAAACA0AAAAACAAAAFQAcgBvAHAABW8AAAABAAAAAAhlAAAAAGAAAAAgAHQAYQByAGQALAAgAGoAZQAgAHQAJwBhAGkAIABlAHUALgAgAEwAYQAgAHYAZQBuAGcAZQBhAG4AYwBlACAAZABlAHMAIABwAGEAcgBlAG4AdABzACAAZQBzAHQAIAAFWQAAAAEAAAAACE8AAAAASgAAAHYAaQBsACwAIABlAGwAbABlACAAZQBzAHQAIABjAGUAbABsAGUAIABkAHUAIABmAGEAaQBiAGwAZQAgAGUAdAAgAGIAaQBlAG4ABSMAAAABAAAAAAgZAAAAABQAAAAgAGMAcgB1AGUAbABsAGUAIABxAAUzAAAAAQAAAAAIKQAAAAAkAAAAdQAnAG8AbgAgAG4AZQAgAGwAZQAgAHAAZQBuAHMAZQAuACAABQoAAAABAAAAAAgAAAAABQoAAAABAAAAAAgAAAAAAH8FAAABGwAAAAEGAAAAAAUBAwkGAAAAABoGAAAAABsGAAAAAAJaBQAABbkAAAABAAAAAAivAAAAAKoAAABQAGEAcgBhAGwAbADoAGwAZQBtAGUAbgB0ACAAYQB1ACAAbgBvAG4ALAAgAHUAbgBlACAAYQB1AHQAcgBlACAAZgBvAHIAbQBlACAAZABlACAAcgBoAOkAdABvAHIAaQBxAHUAZQAgAHMAZQByAGEAIABsACcAdQBzAGEAZwBlACAAZAB1ACAAcABpAHAAaQAtAGMAYQBjAGEALQBwAHIAbwB1AHQALgAgAAUTAAAAAQAAAAAICQAAAAAEAAAAxwBhAAU9AQAAAQAAAAAIMwEAAAAuAQAAIABmAGEAaQB0ACAAbQBhAHIAcgBlAHIAIABsAGEAIABwAHIAZQBtAGkA6AByAGUAIABmAG8AaQBzACAAbQBhAGkAcwAgAGwAYQAgAGcAZQBuAHQAZQAgAHAAYQByAGUAbgB0AGEAbABlACAAcwBlACAAbABhAHMAcwBlACAAdgBpAHQAZQAgAGQAZQAgAGMAZQB0AHQAZQAgAGYAYQB1AHMAcwBlACAAaQBuAG4AbwBjAGUAbgBjAGUAIABkAHUAIABwAGUAdABpAHQAIABkACcAaABvAG0AbQBlAC4AIABMAGUAIAB0AG8AbgAgAG0AbwBuAHQAZQAsACAAbABlACAAdgBpAHMAYQBnAGUAIABkAGUAIABsACcAYQBkAHUAbAB0AGUAIABjAG8AbQAF9QEAAAEAAAAACOsBAAAA5gEAAG0AZQBuAGMAZQAgAOAAIAB0AG8AdQByAG4AZQByACAA6QBjAGEAcgBsAGEAdABlACwAIABsACcAZQBuAGYAYQBuAHQAIABjAG8AbQBwAHIAZQBuAGQAIABsAGEAIABzAGkAdAB1AGEAdABpAG8AbgAsACAAcgBlAG4AYwBoAOkAcgBpAHQALAAgAGwAJwBhAGQAdQBsAHQAZQAgAHAAZQByAGQAIABzAGUAcwAgAG0AbwB5AGUAbgBzACAAZABlAHYAYQBuAHQAIAB1AG4AIABtAG8AZADoAGwAZQAgAHIA6QBkAHUAaQB0ACAAZAAnAGgAdQBtAGEAbgBpAHQA6QAgAGQAZQAgAG0AbwBpAG4AcwAgAGQAJwB1AG4AIABtAOgAdAByAGUALgAgAFUAbgBlACAAcwBlAHUAbABlACAAcwBvAGwAdQB0AGkAbwBuACwAIAB0AG8AdQByAG4AZQByACAAbABlAHMAIAB0AGEAbABvAG4AcwAsACAAZQBuACAAbQBhAHUAZwByAOkAYQBuAHQAIAB1AG4AIABkAOkAcABpAHQA6QAsACAAYgBvAG4AIABiAGUAbgAsACAAdgBpAGUAbgBzACAAcABhAHMAIAB0AGUAIABwAGwAYQBpAG4AZAByAAUVAAAAAQAAAAAICwAAAAAGAAAAZQAsACAABRkAAAABAAAAAAgPAAAAAAoAAABqAHMAdQBpAHMABe0AAAABAAAAAAjjAAAAAN4AAAAgAHAAbAB1AHMAIABsAOAALgAgAEEAcABwAGUAbABvAG4AcwAgAHUAbgAgAGMAaABhAHQAIAB1AG4AIABjAGgAYQB0ACwAIABjAGUAbABhACAAcwAnAGEAcABwAGUAbABsAGUAIAB1AG4AZQAgAGMAYQBwAGkAdAB1AGwAYQB0AGkAbwBuACAAZQBuACAAcgBhAHMAZQA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style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"><img id="media-4850708" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://defensederire.hautetfort.com/media/02/02/3666230806.jpg" alt="enfant, parents, chronique, langage, humour, pipi caca prout, raisonnement, adolescence" />C'est une lutte sans pitié entre les enfants et les adultes, arguments contre arguments, pour prendre le dessus sur l'autre. Ça commence par un non. Premier mot utile, qui contient une promesse de pouvoir mais limite nécessairement l'échange. L'enfant le met à toutes les sauces, sans nuances, ni même réflexion. C'est un jeu d'ailleurs. Tu fais ça ! Non. Alors ça? Non et ou bien ceci ! Non. Je te donne une mousse au chocolat? Non euh oui. Trop tard, je t'ai eu. La vengeance des parents est vile, elle est celle du faible et devrait les rendre honteux, si elle n'était pas jouissive</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Parallèlement au non, une autre forme de rhétorique sera l'usage du pipi-caca-prout. Ça fait marrer la première fois mais la gente parentale se lasse vite de cette fausse innocence du petit d'homme. Le ton monte, le visage de l'adulte commence à tourner écarlate, l'enfant comprend la situation, renchérit, l'adulte perd ses moyens devant un modèle réduit d'humanité de moins d'un mètre. Une seule solution, tourner les talons, en maugréant un dépité, bon ben, viens pas te plaindre, jsuis plus là. Appelons un chat un chat, cela s'appelle une capitulation en rase campagne et l'ego en prend un coup.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Il ne faut pas croire que l'adulte soit démuni. Il a la connaissance des choses et l'autorité pour lui, il peut dégainer : arbitraire
S. Lle noelhttp://defensederire.hautetfort.com/about.htmlChroniques d'un jeune parent : Noël, chez mes parents ou...chez mes parents?tag:defensederire.hautetfort.com,2014-12-21:55177102014-12-21T15:07:00+01:002014-12-21T15:07:00+01:00 Noël est la fête familiale par excellence. Et dans un couple, qui...
<p> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;"><img id="media-4821116" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://defensederire.hautetfort.com/media/00/01/4218479528.png" alt="noel, reveillon, famille, parents, dilemme" />Noël est la fête familiale par excellence. Et dans un couple, qui dit famille dit deux familles. A minima. Et donc compromis. Noël, de ce fait, peut rapidement devenir un vrai casse-tête et constituer ce que l’on appelle dans le jargon un sacré bordel, qui peut vite se transformer en guerre froide, pour laquelle un Obama ou un pape François ne seront pas d’un grand secours : il y a des causes vraiment désespérées.</span></span></p><p> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify;"><span style="font-size: medium;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Passons sur deux cas simples : la bonne intelligence et l’absence de famille. Dans le premier, un roulement, une année sur deux, accepté par toutes les parties en présence. Le conte de fées. Ou pas. Dans le deuxième, il n’y a personne à mettre d’accord. C’est triste. Ou pas. Ça dépend de la famille qu’on a ou pas. </span></span></p><p> </p><p> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;"><img id="media-4821117" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://defensederire.hautetfort.com/media/02/02/4706359.jpg" alt="noel, reveillon, famille, parents, dilemme" />Quand vient le premier noël dans une vie de couple et plus surement le premier noël avec des enfants, les emmerdes ne sont jamais loin. Chacun trouve naturel de fêter noël… avec sa famille. C’est alors une course de vitesse qui s’engage : la politique du fait accompli étant la meilleure, celui qui aura déposé la destination en premier sortira grand vainqueur du match. Pour y parvenir, le plus sûr moyen est de mettre sa famille dans le coup. Les beaux-parents qui appellent inopinément le gendre ou la bru pour tendre un piège machiavélique avec une seule phrase: ça nous fait vraiment plaisir de vous avoir pour ce noël, ça compte pour nous. Coincée, impossible de dire qu’aucune décision n’est prise, et passer pour la méchante personne, la victime est faite comme un rat. </span></span></p><p> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Il y a des choses plus directes et plus blessantes : je n’ai jamais raté un noël avec les miens, c’est une fête très importante chez nous alors que chez vous… enfin, tu vois ce que je veux dire. Même si vous le pensez très fort toute l’année, entendre ça constituera un coup de poignard à l’égo. Tu quoque me amor…</span></span></p><p> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Pour tenter de mettre tout le monde d’accord, il existe le système de la rotation : un réveillon sur deux chez l’une, le repas du 25 midi sur deux chez l’autre. Jouable si vous êtes du même coin, un parcours du combattant et des kilomètres à avaler dans les autres cas. Noël se transforme alors en une obligation qui chaque année rend la fête moins festive et la famille moins agréable. </span></span></p><p> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Celle-ci évoluant, Noël doit s’adapter. Et les uns et les autres doivent suivre. Et en la matière, les familles recomposées compliquent la donne. Le roulement devient impossible quand il faut se diviser en trois, en quatre ou bien plus encore. Ménager les susceptibilités à noël, c’est comme le père noël : il est un moment où plus personne n’y croit mais il faut continuer à jouer le jeu pour les plus petits.</span></span></p><p> </p><p style="margin: 0cm 0cm 10pt; text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;"><span style="font-family: Calibri; font-size: medium;">Si vous n’arrivez pas à vous mettre d’accord, il reste une solution : envoyez tout le monde bouler et allez donner un coup de main à une asso qui organise des repas de noël pour les personnes seules, les gens à la rue, les cassés de la vie. Mieux, proposez à toute la famille de faire de même. Vous serez alors les plus près de l’esprit de cette fête, ensemble, sans avoir à vous retrouver devant ce terrible dilemme : la TV pour le réveillon, on choisit la une ou la deux ?</span></span></p><p> </p>
S. Lle noelhttp://defensederire.hautetfort.com/about.htmlChroniques d'un jeune parent : retour vers le futur (simple ou conditionnel?)tag:defensederire.hautetfort.com,2014-10-22:54741892014-10-22T21:37:44+02:002014-10-22T21:37:44+02:00 Une fois les études achevées nous pensions en avoir fini une...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;"><img id="media-4733168" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://defensederire.hautetfort.com/media/00/01/551794299.jpg" alt="devoirs, cp, parents, enfants, élèves, corvée, management, 1515, ratus, quimper, bretagne" />Une fois les études achevées nous pensions en avoir fini une bonne fois pour toutes avec les devoirs la journée de travail achevée… Que nenni ! Après avoir rencontré l’âme sœur ou sur un accident, peu importe l’origine de la chose pour la démonstration et plus globalement pour le reste, vous voilà parent. Et un jour ou l’autre, les enfants entrent en primaire, au CP plus exactement. Fierté en ce grand jour, la petite larme d’émotions devant cet enfant qui s’autonomise, le cartable presque aussi grand que lui…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;">Mais dès les premieres heures après cet évènement, la triste réalité vous revient dans la figure, le petit d’homme n’en a pas fini avec l’apprentissage et vous allez être bien obligé de vous y coller vous aussi…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;">B et A, BA, B et I, BI, l’alphabet, les syllabes, dans les cris et les larmes, la dictée SMS, qui prend dix minutes à calmer l’enfant et trente secondes à faire…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;">Le passage de la maternelle au primaire est une épreuve, autant pour les enfants que pour les parents…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;">Les enfants découvrent à cette occasion une règle terrible : sauf à être un héritier ou un petit génie qui comprend tout du premier coup, dans la vie on n’a rien sans rien : des années après, les adultes que nous sommes restent traumatisés par cette terrible découverte… La vie n’est qu’une suite d’efforts qui se terminent six pieds sous terre : pris comme cela c’est moche, heureusement entre les deux nous pouvons obtenir quelques satisfactions mais là n’est pas le propos du jour…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;">Le parent pensait avoir atteint le summum de la patience au cours des cinq premières années de vie de sa progéniture. L’apprentissage scolaire va lui rappeler que le temps c’est long, surtout pendant les devoirs. Il faudra être pédagogue et rusé, sévère sans être autoritaire, cool sans être laxiste… le management le plus difficile qui soit…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;">Pour le parent, l’épreuve des devoirs révèle la nature profonde qui sommeille en lui… rarement on en sort indemne…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;">Petit à petit de son côté, l’enfant apprend à lire, à compter. Petit à petit, il se prépare à évoluer dans cette société : oui mon enfant, demain, grâce à cette apprentissage tu pourras toi aussi voter par SMS pour permettre à Kylie, Jay, ou tout autre pseudo d’artiste moderne de rester en deuxième semaine de ton émission de téléréalité préférée : les égyptiens en inventant l’écriture n’imaginaient pas le beau processus du progrès qu’ils enclenchaient…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;">Vous en prenez pour quelques années avec les devoirs et les fameuses règles de grammaire et les théorèmes mathématiques, dont vous aviez réussi à débarrasser votre esprit, vont faire, tels des fantômes, une réapparition en fanfare dans votre quotidien…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;">La règle de l’accord du participe passé, le subjonctif, la racine carrée, 1515… ça y est, tout est là, ça revient jusqu’à atteindre le plafond de verre de sa propre incompétence, sinus, cosinus, fonction logarithme népérien… </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: medium;">Viendra le moment où il conviendra de se retirer à petit pas avec stratégie : ne pas montrer son incompétence pour ne pas briser le mythe du parent infaillible. La gestion des devoirs, c'est un métier qu’on vous dit !!!</span></p>
comptineshttp://librairiecomptines.hautetfort.com/about.htmlDES ADOS PARFAITStag:librairiecomptines.hautetfort.com,2014-09-21:54405762014-09-21T08:28:47+02:002014-09-21T08:28:47+02:00 roman de Yves GREVET Éd. Syros, coll. « Soon, Mini...
<p><strong><img id="media-4678492" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/00/00/4146120910.jpg" alt="adoperfect.jpg" /></strong><span style="text-decoration: underline;">roman</span> <br />de <span style="font-size: medium; color: #800080;"><strong>Yves GREVET</strong></span><br /><strong>Éd. Syros, coll. « Soon, Mini Syros + »septembre 2014, 115 pages - 5€</strong><br /><br />Alors que les pensées d'Anatole sont fixées sur la jolie Célia plus que sur ce qui se passe dans sa salle de cours, de mystérieuses enveloppes, à l'en-tête du collège, sont distribuées aux élèves de la classe. Alors que la plupart des adolescents constatent que leurs enveloppes sont vides, Anatole et Célia ont la surprise d'y découvrir un message vaguement menaçant destiné à leurs parents. Ce n'est pas la première fois que des avertissements anonymes apparaissent au collège, et devant la réaction de panique que provoquent ces mystérieuses déclarations chez les adultes, Célia et Anatole décident de mener une enquête discrète.</p><p>Un récit court, efficace et plein de suspense dans lequel on s'attache facilement aux ados pourtant « trop » parfaits que sont Anatole et Célia.</p><p><em>Nathalie Ventax (septembre 2014)</em></p><p>A lire, dans la même collection : <a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/archive/2014/09/04/ascenceur-pour-le-futur-5440571.html"><em><strong>Ascenseur pour le futur</strong></em></a>, de Nadia Coste.</p>
galaventhttp://regardssurunevissansfin.hautetfort.com/about.htmlVoyage difficiletag:regardssurunevissansfin.hautetfort.com,2014-08-11:54229842014-08-11T07:46:00+02:002014-08-11T07:46:00+02:00 Un train est un lieu où la vie privée des gens s’étale au grand jour. Cette...
<p style="margin: 0cm 0cm 3pt; text-align: justify; line-height: 115%;"><span style="font-family: 'Century Schoolbook','serif'; font-size: medium; mso-ansi-language: FR;">Un train est un lieu où la vie privée des gens s’étale au grand jour. Cette vie est le plus souvent normale et on ne la remarque pas. On relève de ci de là quelques petites anomalies, telles ce Monsieur qui discrètement se cure le nez ou cette dame dont la chair déborde du fauteuil, obligeant chaque passager empruntant le couloir à se contorsionner avec douceur. On observe parfois un couple qui, contre toute attente, est assis dans une intimité qui aurait dérangé la plupart des gens il y a encore quelques années. Mais comme dans les trains tout le monde fait comme chez soi, cela importe peu. </span></p><p style="margin: 0cm 0cm 3pt; text-align: justify; line-height: 115%;"><span style="font-family: 'Century Schoolbook','serif'; font-size: medium; mso-ansi-language: FR;">Les petits enfants prennent possession d’un train et ont beaucoup de mal à prendre conscience qu’ils ne sont pas seuls sur ce terrain de jeu. Les parents (de ces enfants) ont également beaucoup de mal à comprendre qu’ils sont responsables de la conduite de leur enfant et que leur liberté de faire ce que l’on veut est limitée par la liberté des autres. Les enfants ont une autre caractéristique. Ils ne savent pas parler, ils crient. Pas tous, mais un certain nombre, ceux à qui l’on n’a jamais dit de parler doucement. Il appartient aux parents de leur apprendre que leurs propos n’intéressent pas forcément l’ensemble de la population d’une voiture de chemin de fer. Enfin, il est évident que les enfants tâtent le terrain pour savoir jusqu’où ils peuvent aller. Un voyage se déroule donc sur plusieurs épisodes. </span></p><p style="margin: 0cm 0cm 3pt; text-align: justify; line-height: 115%;"><span style="font-family: 'Century Schoolbook','serif'; font-size: medium; mso-ansi-language: FR;">Une entrée dans la voiture peut être bruyante, mais avouons qu’elle est généralement calme. L’enfant (petit) est intimidé et tient sagement la main d’un de ses parents. Ceux-ci l’installent et s’assoient autour de lui. Il est le roi, mais on ne le montre pas. Il prend son pouce, loge sa tête entre les seins de la mère et accepte de faire semblant de dormir pendant un certain laps de temps, généralement court. Les parents devisent à voix basse d’affaires importantes (Où as-tu mis son doudou ? Il va s’endormir ! Etc…). Tout semble pour le mieux dans le meilleur des mondes. Sauf que l’enfant n’a pas vraiment envie de dormir. Les yeux ouverts, il observe son environnement et son entourage. Il commence à faire quelques remarques : « Dis Papa, tu as vu, le monsieur, il a un gros ventre ! » ou encore : « Pourquoi la dame elle a un chapeau. Il pleut pas dans le wagon ! » Ces questions ne dérange pas le père qui lui raconte quelque chose dans l’oreille du style : « C’est parce qu’il mange trop ou c’est parce qu’elle n’a plus de cheveux au-dessous. » Aussitôt l’enfant reprend : Ah bon, qu’est-ce qu’il mange ? » Nouveau conciliabule, mais cette fois-ci le père a l’air gêné. Ce qui n’empêche pas l’enfant de reprendre : « Parle plus fort, j’entends rien ! ». La mère dit alors au père : « Emmène-le aux toilettes. » Le père, trop heureux de ce divertissement, se lève. Les femmes ont souvent l’art de modifier l’attention par une remarque ou une demande plus générale empêchant la conversation de s’appesantir sur des paroles un peu lourdes. Ce n’est pas forcément une remarque d’intérêt culturel du style : « Il y a une nouvelle exposition à la galerie Tartepeintre. Tu sais, l’artiste qui assemble des épingles et fait des sculptures piquantes ! » Non, généralement, lorsque la famille déjeune, c’est plutôt : « Qui reprend de ces délicieuses nouilles au beurre ? » Mais cette petite demande a l’avantage de détourner la conversation sur du plus concret ou du moins gênant. </span></p><p style="margin: 0cm 0cm 3pt; text-align: justify; line-height: 115%;"><span style="font-family: 'Century Schoolbook','serif'; font-size: medium; mso-ansi-language: FR;">Cette promenade au bout de la voiture est cependant un calvaire pour le père et une détente pour l’enfant. On passe au deuxième épisode. Il fait connaissance avec l’assemblée, regardant un peu partout, échappant à la main paternelle, courant dans l’allée centrale et bousculant ceux qui ont le malheur d’avoir qui un coude débordant du fauteuil (après son passage le monsieur se masse le coude longuement), qui un pied malencontreusement pas dans l’axe du corps (là c’est l’enfant qui manque de s’étaler, ce qui contraint la personne à lui faire un sourire et à s’excuser auprès du père), qui encore le fil de la souris de son ordinateur qui pendouille à l’extérieur et dans lequel l’enfant se prend les pieds (l’ordinateur est rattrapé de justesse par son propriétaire). Tout ceci se passe sur un ton badin dans la plus parfaite correction, même si les parents n’ont qu’un sourire à l’égard des personnes dérangées sans aucun mot d’excuse. C’est normal, semblent-t-ils dire. Quelle idée de s’étaler sur l’allée centrale !</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 3pt; text-align: justify; line-height: 115%;"><span style="font-family: 'Century Schoolbook','serif'; font-size: medium; mso-ansi-language: FR;">Troisième épisode : retour à la place attitrée. On aurait bien voulu qu’elle soit attitrée ailleurs, mais là, il n'y a pas le choix ! La mère tente de distraire l’enfant une fois installé : « Tiens, voilà tes petites voitures ! » L’enfant considère les trois jouets, s’essaye à en faire rouler une. Elle tombe bien sûr de la table qui n’est pas faite pour cela. Le père la ramasse et lui donne. Aussitôt il recommence, elle tombe à nouveau, le père la ramasse. Troisiè… Non le père la rattrape au vol et lui dit d’arrêter. Alors l’enfant jour au stockcar. Les accidents arrivent vite au royaume des enfants. C’est beaucoup plus drôle qu’une vie sans histoire. Entre temps, les décibels commencent à monter malgré les airs attendris des spectateurs qui ne se doutent pas que cela ne fait que commencer. L’enfant, enhardi par ces signes encourageants, commencent à parler. Une vraie trompette ! Et, de plus, un moulin à paroles. Toute la voiture sait de quoi il parle et avec qui. Les parents ne semblent pas émus par ces échanges doucereux pour eux. C’est le mode de communication normal. Eux-mêmes cependant parlent de manière atone ce qui contraint l’enfant à sans cesse dire : « Quoi ? Quoi ? » Personne ne comprend personne, mais cela augmente la tension.</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 3pt; text-align: justify; line-height: 115%;"><span style="font-family: 'Century Schoolbook','serif'; font-size: medium; mso-ansi-language: FR;">Vous abandonnez votre livre, abaissez légèrement votre siège et tentez de vous réfugier dans le sommeil ou, au moins, une légère somnolence qui vous fera oublier ces petits inconvénients des voyages. Le ronronnement du train, trente secondes de silence, vous font revenir à de meilleurs sentiments. Vous pensez à des choses agréables. Vous partez à la mer et pensez au bain que vous prendrez en arrivant ; vous vous rendez à la campagne et faites une promenade dans les bois à la recherche de champignons. Bref, votre vie reprend le dessus sans rien pour la faire trébucher. Erreur !</span></p><p style="margin: 0cm 0cm 3pt; text-align: justify; line-height: 115%;"><span style="font-family: 'Century Schoolbook','serif'; font-size: medium; mso-ansi-language: FR;">Quatrième épisode : un cri suraigu retentit dans la voiture : « Dis Maman, regarde, des vaches. », dit l’enfant en montrant le paysage. On lui pardonne cet étonnement (un enfant des villes n’en voit probablement pas suffisamment souvent). Mais on lui pardonne moins ce cri. On est cependant bien contraint de passer. On se réinstalle, on ferme à nouveau les yeux, on se réfugie dans ses pensées. Nouveau cri, on ne sait même plus pour quelle raison. Il s’accompagne d’une dégringolade des voitures que l’enfant fait tomber sans motif. Ramassage, sourire, apaisement. Mais rien vers l’enfant qui continue de plus belle. Excité, il ne parle plus, il hurle et secoue ses voitures les unes contre les autres. </span></p><p style="margin: 0cm 0cm 3pt; text-align: justify; line-height: 115%;"><span style="font-family: 'Century Schoolbook','serif'; font-size: medium; mso-ansi-language: FR;">Alors, excédé, vous vous levez, rassemblez vos affaires, prenez votre valise et changez de voiture. Que ne l’ai-je fait plus tôt, vous dites-vous une fois installé. Comme tous les voyageurs, vous sortez vos oreillettes, réglez votre appareil et vous vous plongez dans les délices d’une symphonie de Mozart. Vous vous endormez. Vous êtes malheureusement très vite réveillé par un arrêt à une nouvelle gare. Zut ! Une famille s’installe de l’autre côté de l’allée. Cette fois-ci, vous n’attendez pas, vous changez de place.</span></p>
Lindanitahttp://lavidadelindanita.hautetfort.com/about.htmlDéjà un an et demitag:lavidadelindanita.hautetfort.com,2014-06-25:53976852014-06-25T08:21:00+02:002014-06-25T08:21:00+02:00 Eh oui, aujourd'hui, cela fera déjà un et demi qu'Alexander est né, un...
<p style="text-align: center;"><img id="media-4606000" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lavidadelindanita.hautetfort.com/media/01/02/961744639.JPG" alt="IMGP8992.JPG" /></p><p style="text-align: justify;">Eh oui, aujourd'hui, cela fera déjà un et demi qu'Alexander est né, un peu plus qu'il est entré dans nos vies <em>(bah quoi, quand j'étais enceinte et que je le sentais danser sous mon nombril, il faisait déjà partie intégrante de nos vies!)</em>.</p><p style="text-align: justify;">Cela fait bizarre en y pensant et surtout en le regardant car il a tellement changé! Lui qui est né avec tout un tas de cheveux presque noirs, il est devenu plus blond que moi. Et ses yeux ont eux aussi changé de couleur. Ils sont un peu comme les miens maintenant, marron au milieu et vert tout autour. Si on reprend les premières photos que l'on a pu faire de lui les premiers mois, j'ai quelquefois du mal à la reconnaître!</p><p style="text-align: justify;">J'imagine qu'il fera des ravages dans quelques années auprès des filles car c'est un vrai charmeur. Quand nous allons faire les courses, il fait du charme à la caissière et même à la bouchère qui nous propose souvent un petit bout de jambon qu'il dévorera à coup sûr. Il est vraiment très sociable, souriant sans arrêt et aussi très tactile. Il aime beaucoup prendre les mains des gens et les étudier. Ce qu'il fait aussi beaucoup en ce moment, c'est regarder ce que les adultes peuvent faire et essayer de faire de même <em>(comme vous pouvez le voir sur <a href="http://instagram.com/p/pRSoVqCZKU/" target="_blank">cette vidéo instagram</a> que j'ai pu faire chez des amis d'ailleurs!)</em>.</p><p style="text-align: justify;">Il a tardé à vouloir marcher tout seul mais depuis qu'il s'est lancé fin mai à traverser le salon tout seul, on ne l'arrête plus. C'est bien, nous sommes contents de le voir enfin explorer la vie à 100%, mais notre maison est devenue un bazar continuel! J'ai beau ranger plusieurs fois par jour, il m'arrive encore de devoir aller chercher mon déodorant dans la cuisine le matin ou bien encore ma brosse à cheveux dans la poubelle à papier <em>(c'est une habitude à prendre me direz-vous!)</em>.</p><p style="text-align: justify;">Pour ce qui est du langage, il dit très souvent <em>"papa"</em>, un peu moins <em>"mama" (on parle le plus souvent espagnol à la maison, d'où mama et non maman)</em>,<em> "tati" (on ne sait pas vraiment ce qu'il veut nous dire avec ça!)</em> ou bien encore <em>"ahí stá" (en fait, c'est l'expression "ahí está" qu'il entend souvent à la maison quand on va le chercher après sa sieste, qu'on joue à cache-cache avec lui et qu'on le trouve ou bien encore quand on lui apporte ce qu'il va manger. Cela veut dire que quelque chose est ici)</em>. Il comprend des mots en français, en allemand et en espagnol. Nous nous en sommes rendus compte car il réagit bien en fonction de ce que l'on peut lui dire, qu'importe la langue. Qu'est-ce que cela va donner quand il va commencer à nous faire des phrases!</p><p style="text-align: center;"><img id="media-4606012" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lavidadelindanita.hautetfort.com/media/01/02/2049269818.JPG" alt="IMGP8965.JPG" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4606019" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lavidadelindanita.hautetfort.com/media/00/02/4061125978.JPG" alt="IMGP8982.JPG" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4606023" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lavidadelindanita.hautetfort.com/media/02/01/2192942219.JPG" alt="IMGP8968.JPG" /></p><p style="text-align: justify;">Moi qui aimais <em>(je suis obligée de mettre ce verbe au passé, vous allez comprendre)</em> beaucoup, énormément dormir, je n'ai pas fait une petite marmotte malheureusement! Alexander ne dort pas beaucoup et fait seulement une sieste par jour qui peut durer dix minutes comme quatre heures. Le soir, il s'endort généralement entre neuf et dix heures et se réveille entre six et huit heures. Sachant qu'avec son père nous regardons des séries le soir avant de dormir, nous sommes souvent fatigués le lendemain. M'enfin, on est jeunes, on pourra récupérer plus tard! Dans la journée comme il ne dort pas, j'ai peu de temps pour moi et il faut que je sache le gérer<em> (j'ai même commencé à tenir un planning de ménage parce qu'avec ma grossesse, ça tire de plus en plus donc je dois être vraiment efficace!)</em>. C'est pour ça aussi que je poste de moins en moins sur le blog, même si les idées ne manquent pas <em>(j'ai un carnet qui commence à se remplir de plus en plus quand j'aurais un jour le temps... C'est à dire jamais!)</em>.</p><p style="text-align: justify;">Pour ce qui est de manger, de ce côté là aucun problème! Jusqu'à présent, il ne nous a fait aucune allergie alimentaire, mange de tout et surtout, veut goûter à tout! Je l'ai rarement vu refuser quelque chose sauf s'il l'a goûté avant et que ça ne lui plaît pas. Il adore chiper des petites bouchées de ce que l'on mange dans nos assiettes et s'il pouvait, en mangerait bien plus. Du coup, on a pris l'habitude de laisser des petits bouts de nos plats qu'il pourra manger sur le bord de nos assiettes pour qu'il ne s'étouffe pas avec<em> (bah oui, avec seulement huit dents, il ne peut pas encore mastiquer un bon steak!)</em>.</p><p style="text-align: justify;">Qui dit un an et demi, dit petites et grandes bêtises... Et conneries même! Mais pour vous en parler, j'ai prévu un article spécial bêtises parce qu'il y en a de belles... Dont une qui m'a donné la peur de ma vie!</p><p style="text-align: justify;">Finalement, l'étape qui l'a fait passer pour moi, pour nous, du bébé tout mignon et tout joufflu au petit garçon<em> (tout mignon et tout joufflu aussi!)</em>, c'est sa première coupe de cheveux. Nous ne savions pas où aller pour les lui faire couper, donc nous l'avons installé dans sa chaise haute, avec un cookie et devant des dessins animés. C'est sûr que ce n'est pas la coupe parfaite mais nous n'en pouvions plus de le voir avec ses cheveux dans les yeux et ça va, cette nouvelle coiffure se laisse bien coiffer. Voici ce que ça pouvait donner après le premier bain!</p><p style="text-align: center;"><img id="media-4606115" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lavidadelindanita.hautetfort.com/media/01/01/1860142204.JPG" alt="IMGP9045.JPG" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4606116" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lavidadelindanita.hautetfort.com/media/02/00/696254124.JPG" alt="IMGP9046.JPG" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4606118" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lavidadelindanita.hautetfort.com/media/02/01/1561564008.JPG" alt="IMGP9058.JPG" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4606119" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lavidadelindanita.hautetfort.com/media/02/01/3958876679.JPG" alt="IMGP9060.JPG" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4606121" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lavidadelindanita.hautetfort.com/media/02/01/2436364647.JPG" alt="IMGP9062.JPG" /></p><p style="text-align: center;"><img id="media-4606124" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lavidadelindanita.hautetfort.com/media/00/01/2891436247.JPG" alt="IMGP9063.JPG" /></p><p style="text-align: justify;">Joyeux un an et demi mon bébé qui n'est déjà plus un bébé! ♥</p>
Prietohttp://www.chemindamourverslepere.com/about.htmlMois du Sacré-Coeur - Vingt-quatrième Jourtag:www.chemindamourverslepere.com,2014-06-24:53973372014-06-24T05:49:00+02:002014-06-24T05:49:00+02:00 Vingt-quatrième Jour Prions pour tous nos parents et tous nos...
<div style="text-align: center;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;"><strong>Vingt-quatrième Jour</strong></span></div><div style="text-align: justify;"> </div><div style="text-align: justify;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;">Prions pour tous nos parents et tous nos amis, afin que Dieu les récompense de leur dévouement pour nous.</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;"> <strong>La 5ème épine du Cœur de Jésus, ce sont les corrupteurs de l’enfance.</strong></span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;"> C’est là une autre espèce de sacrilège non moins douloureux au Cœur de Jésus, plus douloureux peut-être que la profanation de son corps… Chères âmes d’enfants que Jésus aime tant, âmes innocentes et pures, est-il possible qu’il y ait des êtres assez pervers pour vous apprendre le mal, pour vous faire commettre le mal ! – Ah ! quel trésor de colère s’amasse contre eux dans le Ciel ! Sans doute tout péché peut obtenir son pardon, mais pour obtenir le pardon d’avoir appris le mal à une âme innocente, surtout si cette pauvre enfant est morte, morte avec son péché, que de pénitences, que d’expiations, que de tourments seront nécessaires !...</span><br /><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;"> <em>Aujourd’hui je prierai bien pour les âmes innocentes.</em></span></div><div style="text-align: center;"><p style="text-align: center;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;"><img id="media-4605449" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.chemindamourverslepere.com/media/02/00/353345733.3.jpg" alt="mois,sacré-coeur,jésus,prière,parents,amis,dévouement,profanation,corruption,enfance,pédophilie,pédophiles,innocence,pureté,âmes,corps,Christ,sacrilège,douleur,épine,pardon,pénitence,expiation,tourments,rachat" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;"><img src="http://www.spiritualite-chretienne.com/au_fil_des_jours/fleche.gif" alt="" width="16" height="10" align="middle" border="0" hspace="10" /><span style="color: #008080;"><a title="Histoire de la dévotion au Sacré-Coeur de Jésus, 2000 ans de miséricorde" href="http://www.librairietequi.com/A-45333-le-sacre-coeur-de-jesus-deux-mille-ans-de-misericorde-t1.aspx" target="_blank"><span style="color: #008080;">La dévotion au Sacré-Coeur de Jésus</span></a></span></span><br /><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #000000;"> <img src="http://www.spiritualite-chretienne.com/au_fil_des_jours/fleche.gif" alt="" width="16" height="10" align="middle" border="0" hspace="10" /><span style="color: #008080;"><a title="Exposition sur l'histoire de la dévotion au Sacré-Coeur" href="http://www.spiritualite-chretienne.com/exposition/Sacre-Coeur.html" target="_blank"><span style="color: #008080;">Exposition sur l'histoire de cette dévotion</span></a></span></span></p></div>
Espérance Nouvellehttp://esperancenouvelle.hautetfort.com/about.htmlPour être mieux entendu, il faut savoir écoutertag:esperancenouvelle.hautetfort.com,2014-06-19:53939982014-06-19T17:37:00+02:002014-06-19T17:37:00+02:00 Courrier International N°717 du 29 juillet au 18 août 2004 | page 30...
<p><span style="font-size: small;">Courrier International N°717 du 29 juillet au 18 août 2004 | page 30</span></p><p><strong><span style="font-size: small;">Psychologie</span></strong></p><p><span style="font-size: small;">Réagissant à une campagne de prévention contre l'usage des drogues sur le thème "Parlez des drogues aux jeunes, ils vous écouteront", John Caughlin, professeur de communication à l'université d'Urbana, dans l'Illinois, met un bémol. Il faut que les parents écoutent avant de parler. "<em>Si vous n'avez pas l'habitude d'écouter votre enfant, il est irréaliste de croire qu'il vous suffit de vous asseoir avec lui, d'avoir une simple conversation avec lui</em>" pour qu'il fasse ce que vous lui dites, explique-t-il sur ABC News.</span></p><p><span style="font-size: small;">Le chercheur américain a travaillé sur ce qu'il appelle le comportement de demande-retrait: lorsque dans une relation, une personne questionne, critique ou fait des reproches à une autre, celle-ci tente d'éviter le sujet. Dans les couples mariés, Caughlin a montré que, dans ces situations, chacun considère l'autre comme responsable de la situation, et que de tels malentendus peuvent rapidement s'amplifier et avoir des conséquences désastreuses: c'est un bon indice d'un proche divorce. En appliquant la même méthode aux relations parents-enfants, il met en évidence un mécanisme similaire. Pour Caughlin, "<em>il faudrait que les parents reconnaissent qu'il est essentiel d'établir un dialogue constructif sur ce que leur enfant considère comme important (même si, en réalité, ils ne tiennent pas à en discuter). Cela ne signifie pas qu'ils doivent approuver tous les changements que désire l'adolescent. Mais, si on ne lui oppose que l'indifférence ou le repli, on risque au bout du compte de ne rien pouvoir exiger de lui en retour.</em>" Caughlin explique qu'un adolescent dont les plaintes ne sont pas prises en compte perd l'estime de soi ; de nombreux travaux de psychologie ont montré combien ce facteur était à l'origine de comportements addictifs. Le chercheur a même réussi à mettre en évidence un lien entre la manière dont les parents savent écouter les plaintes de leurs enfants et la tendance de ces derniers à prendre des drogues.</span></p>
.http://pdf31.hautetfort.com/about.htmlLe ministre de la famille (sic) insiste « Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents »tag:pdf31.hautetfort.com,2014-04-16:53482942014-04-16T09:52:00+02:002014-04-16T09:52:00+02:00 Publié par Guy Jovelin La nouvelle secrétaire d’Etat chargée...
<div class="news-body"><span style="font-size: small;">Publié par Guy Jovelin</span></div><div class="news-body"><div class="news summary" style="text-align: justify;"><div class="news-photo thumbnail"><span style="font-size: small;"> <a title="Le ministre de la famille (sic) insiste « Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents »" href="http://www.parti-de-la-france.fr/actualite/4301/ministre-famille-sic-insiste-enfants-n-appartiennent-pas-leurs-parents"><img src="http://www.parti-de-la-france.fr/files/image/actualite/thumb.small.939735eGRpOHAyMTIodiscoursdelaurencerossignollaconventionnationale.jpg" alt="Le ministre de la famille (sic) insiste « Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents »" /></a> </span></div><div class="news-metadata"><span style="font-size: small;">La nouvelle secrétaire d’Etat chargée de « la Famille, des Personnes âges et de l’Autonomie », Laurence Rossignol, ancienne porte-parole du Parti socialiste, est revenue, dans une interview au JDD, ce dimanche 13 avril, sur une phrase très grave prononcée sur le plateau de France 3 : « Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents ». <a class="readmore" href="http://www.parti-de-la-france.fr/actualite/4301/ministre-famille-sic-insiste-enfants-n-appartiennent-pas-leurs-parents">Lire la suite</a></span></div></div></div>
Chun-Liang YEHhttp://blog-de-hongfei-cultures.hautetfort.com/about.htmlQuand Papa n’est pas attentif…tag:blog-de-hongfei-cultures.hautetfort.com,2014-03-14:53221582014-03-14T11:23:00+01:002014-03-14T11:23:00+01:00 Un bel instant poétique et drôle à la fois, illustré par Sophie ROZE. EN...
<p class="MsoNormal"><em><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">Un bel instant poétique et drôle à la fois, illustré par Sophie ROZE. </span><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">EN LIBRAIRIE depuis le 20 février,</span></em><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;"> Papa, regarde ! <em>aux éditions <span style="color: #ff6600;"><span style="color: #ff6600;"><a href="http://www.hongfei-cultures.com/" target="_blank">HongFei Cultures</a>.</span></span></em></span></p><p class="MsoNormal"><strong><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;"><a href="http://blog-de-hongfei-cultures.hautetfort.com/media/00/00/1551568252.jpg" target="_blank"><img id="media-4479826" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://blog-de-hongfei-cultures.hautetfort.com/media/00/00/2042251318.jpg" alt="Hui-Ying CHIU, Sophie Roze, papa regarde, HongFei, " /></a>Dans </span><em><span style="color: #ff6600;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small; color: #ff6600;"><a href="http://loicjacob37.wix.com/printemps2014#!papa-regarde/c22k1" target="_blank">Papa, regarde !</a> </span></span></em><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">Hui-Ying CHIU met en mots un joli moment du quotidien entre un papa et son petit. Leur lien, inaltérable, connaît un couac. Rien de grave… juste un léger décalage entre le regard d’un enfant et la logique de l’adulte. </span></strong></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: small;">Dans la maison, Papa ours lit son journal. Par la fenêtre, Petit ours regarde les fleurs violettes sur un mur. L'un réfléchit, l'autre voit... Petit ours voudrait que Papa regarde aussi mais celui-ci est tout à sa lecture. Et quand le fiston est fasciné par les fleurs qui s’envolent, Papa se contente de grommeler que les fleurs ne volent pas, elles tombent. Pourtant, Petit ours les voit bien… les voilà même qui rentrent dans la maison ! Papa ours lève enfin la tête, une libellule violette est au bout de son nez. Regardant par la fenêtre, il se demande depuis quand une nuée de libellules s’est posée sur le mur. Le premier lien de socialisation est souvent celui qu’un enfant construit avec ses parents. Ce lien-là n’a rien de comparable en qualité à beaucoup des autres qui se créeront ensuite. Initial, il est déterminant. Mais il n’est pas sans connaître quelques maladresses. C’est que parfois les parents, sans désamour mais machinalement, et parce qu’ils ont perdu la fraîcheur de leur enfance, se montrent insensibles aux mystères du monde qui restent à découvrir par les petits. Où l’on risque de perdre l’occasion d’un émerveillement commun !</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 11.0pt; line-height: 115%; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-fareast-font-family: Calibri; mso-fareast-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; mso-bidi-font-family: 'Times New Roman'; mso-bidi-theme-font: minor-bidi; mso-ansi-language: FR; mso-fareast-language: EN-US; mso-bidi-language: AR-SA;"><a href="http://blog-de-hongfei-cultures.hautetfort.com/media/00/01/68662461.jpg" target="_blank"><img id="media-4479834" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://blog-de-hongfei-cultures.hautetfort.com/media/00/01/58334038.jpg" alt="Hui-Ying CHIU, Sophie Roze, papa regarde, HongFei, " /></a>C’est ce lien entre le papa et son petit, un lien perfectible… mais indépassable, que l’auteure évoque à merveille dans cet épisode léger de la vie. Sophie ROZE sert admirablement le texte grâce à une illustration charmante réalisée au papier découpé photographié sur table lumineuse. Elle suggère, par d’infimes et subtils détails, le caractère indéfectible du lien entre les deux héros, en même temps qu’elle met en valeur l’entremêlement du réel et de l’imaginaire chez l’enfant. Sa dernière image, attendrissante, en dit long sur la confiance placée dans les grands qui sauront s’abandonner, pour un instant, à un regard poétique sur le monde.</span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://blog-de-hongfei-cultures.hautetfort.com/media/01/02/3315166077.jpg" target="_blank"><img id="media-4479841" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://blog-de-hongfei-cultures.hautetfort.com/media/01/02/1041904358.jpg" alt="Hui-Ying CHIU, Sophie Roze, papa regarde, HongFei, " /></a> <a href="http://blog-de-hongfei-cultures.hautetfort.com/media/02/00/757899582.jpg" target="_blank"><img id="media-4479848" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://blog-de-hongfei-cultures.hautetfort.com/media/02/00/2975516486.jpg" alt="Hui-Ying CHIU, Sophie Roze, papa regarde, HongFei, " /></a></p><p class="MsoNormal" style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small; color: #333333;">cliquez sur les images pour agrandir</span></p><p class="MsoNormal">* * * * *</p><p class="MsoNormal"><em>Papa, regarde ! </em>est le premier texte de <span style="color: #ff6600;"><a href="http://www.hongfei-cultures.com/artiste_hy_chiu.php" target="_blank"><span style="color: #ff6600;">Hui-Ying CHIU</span></a></span> traduit en français. </p><p class="MsoNormal">Sophie Roze a précédemment illustré deux autres livres aux éditions HongFei Cultures : <em><span style="color: #ff6600;"><a href="http://www.hongfei-cultures.com/catalogue_titre_maisoulapin.php" target="_blank"><span style="color: #ff6600;">Mais où est donc le lapin ?</span></a></span> </em>(2010) et <em><span style="color: #ff6600;"><a href="http://www.hongfei-cultures.com/catalogue_titre_lautrebout.php" target="_blank"><span style="color: #ff6600;">L'Autre bout du Monde</span></a></span></em> (2011). A son travail de papier découpé et collé, elle ajoute ici une mise en lumière de ces images. </p><p style="text-align: center;"><a href="http://blog-de-hongfei-cultures.hautetfort.com/media/01/01/3799219742.jpg" target="_blank"><img id="media-4479892" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://blog-de-hongfei-cultures.hautetfort.com/media/01/01/1070121436.jpg" alt="Chun-Liang Yeh, Sophie Roze, mais où est donc le lapin, hongfei, chengyu, chine" /></a> <a href="http://blog-de-hongfei-cultures.hautetfort.com/media/02/02/569267284.jpg" target="_blank"><img id="media-4479893" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://blog-de-hongfei-cultures.hautetfort.com/media/02/02/3731799849.jpg" alt="Chun-Liang Yeh, Sophie Roze, l'autre bout du monde, hongfei, taiwan, grand-mère, île, chine" /></a></p><p class="MsoNormal">Le <span style="color: #ff6600;"><a href="http://sophialouest.blogspot.fr/" target="_blank"><span style="color: #ff6600;">BLOG</span></a></span> de Sophie Roze.</p><pre> </pre>
watergreyhttp://lesilenceducrepuscule.hautetfort.com/about.html...tag:lesilenceducrepuscule.hautetfort.com,2014-03-12:53202032014-03-12T01:23:00+01:002014-03-12T01:23:00+01:00 Les cours ont repris.Je suis de retour à Ivry chez mes grands-parents.Je...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;">Les cours ont repris.Je suis de retour à Ivry chez mes grands-parents.Je mets toujours quelques jours pour me réadapter à ma vie quotidienne.Sans la drogue.Sans la pénombre.Sans Maman.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;">C'est ma descente à moi.Je me shoote aux quelques miettes d'amour distribuées par ma mère.Puis s'en suivent de longues nuits à pleurer son absence.Elle me manque...</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;">Mes grands-parents sont un peu décontenancés quand je rentre de vacances.Ils ne comprennent pas toujours ce que je ressens.Parce que je ne peux pas leur exprimer...Je suis sensée être à Sens,pas à Paris...Si ils savaient la vérité , cela provoquerait de sérieux conflits entre mes deux grands-mères qui ne s'apprécient déjà guère ; quelques années après que la justice est décidée de faire de mes grands-parents paternels mes tuteurs légaux , ma grand-mère maternelle , qui ne lâche jamais rien , a tenté de faire récupérer ma garde à ma mère.Elles les a donc traînés devant les tribunaux à plusieurs reprises.Mais en vain...Qui confierait un enfant à une toxico? Pas un juge en tout cas...</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;">En conséquence , et certainement pour d'autres raisons aussi , il n'y a aucune relation entre les familles respectives de mes parents.Cela se limite à bonjour,au revoir.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;">Je ne veux donc pas aggraver les choses , et je ne veux pas non plus perdre ces vacances et ces quelques week-ends avec ma mère.Elle me fait du mal , mais elle s'en fait encore plus à elle même...Elle détruit sa vie chaque jour qui passe.Alors je choisis d'être là plutôt que de l'abandonner.Même si je préférerai que se soit ailleurs que chez elle.Parce que vivre avec elle c'est s’immerger dans un autre univers.Un univers qui a ses repères et ses propres codes.Un monde invisible pour celui qui ne veut pas voir.Mais un monde bien présent peuplé d'hommes et de femmes perdus..Je vois l'angoisse.La détresse.La souffrance.Et la mort.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;">Pas d'avenir,pas d'espoir...Juste l'évasion permanente et de plus en plus lointaine de sa propre vie en attendant que se soit elle qui nous fasse basculer de l'autre côté.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;">Le tableau est sombre , mais réaliste.Je côtoie bien plus de malades du côté des drogués que des vivants.A commencer par Maman qui m'a appris récemment qu'elle est atteinte d'une hépatite C...</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="text-align: justify; font-family: 'andale mono', times; font-size: large;">Mais malgré tout , j’ai une enfance heureuse .Très heureuse. Je suis deux personnes. Et quand je suis simplement la petite fille de mes grands-parents,j'ai presque la vie idéale. Ils ont déjà quatre grands enfants (en comptant mon père).Et pourtant le jour où ce dernier m’a laissé comme un sac chez eux , ils m’ont tout de suite traité comme leur propre fille. Là où il faut neuf mois pour se préparer à l’arrivée d’un enfant , eux n'ont eu que l'instant présent.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;" lang="EN-US">Ils font tout pour moi. Ils m’aiment , ils s’investissent dans mon avenir , "se serrent" la ceinture pour me payer une école privée.</span><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;">Je les admire...</span><span lang="EN-US"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;">Mon grand-père est boulanger , et travaille la nuit. Ma grand-mère est chef de caisse dans la même entreprise et rentre tard le soir. Et malgré tout , ils y arrivent. L’appartement est toujours impeccable , le repas toujours prêt et le frigo toujours plein. Et moi je trouve cela remarquable. Ma grand -mère est très vite devenue ma mère. Un pilier et un modèle.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;" lang="EN-US">Et pourtant entre elle et moi , il n’y a pas de dialogue. Nous n’arrivons pas à communiquer , et les gestes de tendresse se font de plus en plus rares. Elle dégage une espèce de froideur et affiche une force de caractère à tout épreuve. Elle ne prononce jamais un mot plus haut que l’autre , et ne laisse pas transparaître ses émotions. J'aimerais lui ressembler.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;" lang="EN-US">Cependant que je le veuille ou non , je suis aussi une fille de toxico.Et une fille qui ne vit pas avec ses parents. Et bien que certaines personnes n’en tiennent absolument pas compte , d’autres en revanche me jugent pour ça.Dans mon école , à Charenton Le Pont , ce genre de "cas" n'est pas monnaie courante.Ma grand-mère raconte ma vie aux enseignants chaque début d'année scolaire pour qu'il n'y est pas de malentendus et que les choses soient claires...Je rature "père" et "mère" sur chaque nouvelle fiche de renseignements que je dois remplir , pour les remplacer par "grand-père" et "grand-mère".Mais ce n'est qu'un détail.Le plus compliqué à gérer se sont les cartes que l'ont fabrique à l'occasion de "la fête des mères".Au début je ne savais pas comment faire...Je me suis penchée sur la question et au final , je fais une carte pour ma grand-mère où j'inscris "Bonne fête Mamie" bien que les autres y notent Maman.Et pour la fête des grands-mères , "Bonne fête Mamie" également.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;" lang="EN-US">Mais rien ne me distingue véritablement des autres élèves en apparence et j'assume très bien ce que je suis.C'est seulement quand les autres cherchent à savoir pourquoi je ne vis pas avec mes parents que les regards peuvent devenir interrogateurs et parfois méprisants.Pour les enfants de mon âge , c'est une chose terrible que d'avoir des parents qui se droguent.On leur apprend , à juste titre ,qu'il faut éviter tout contact avec ce monde.Alors ils m'englobent dedans.Et gardent leur distance...</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;" lang="EN-US">Peu m'importe.L'amitié de mes vrais amis me suffit amplement.Et c'est ce genre d'attitude qui me permet de comprendre au fil du temps , le sens , l'importance et la nécessité des mots ouverture et tolérance.On ne peut pas rejeté la différence sur la base d'idées reçues.Auquel cas , sont sans valeurs,le jugement et celui qui le porte. </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;" lang="EN-US"> </span></p>
watergreyhttp://lesilenceducrepuscule.hautetfort.com/about.htmlParis , 1989. Du haut de mes trois ans.tag:lesilenceducrepuscule.hautetfort.com,2014-03-06:53159292014-03-06T22:32:00+01:002014-03-06T22:32:00+01:00 Il doit être vingt-deux heures environ. Je suis dans le métro...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;" lang="EN-US">Il doit être vingt-deux heures environ. Je suis dans le métro avec Papa. Je ne le sais pas encore, mais c’est aujourd’hui que ma vie va être bouleversée à jamais.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;" lang="EN-US">Quelques larmes coulent sur mes joues. Nous venons de quitter maman et je ne sais pas où nous allons. Elle n’était vraiment pas bien aujourd’hui. Elle et Papa se sont disputés. Elle pleurait quand nous sommes partis. Je l'ai vu tomber à genoux en suppliant Papa de ne pas m’emmener...c’est pour cela que je me suis mise à pleurer aussi….</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;" lang="EN-US">Mais la seule question que je me pose désormais, c’est où Papa m’emmène t-il ?</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;" lang="EN-US">Nous sommes maintenant assis dans la rame au milieu des Parisiens. La chaleur est étouffante. Les odeurs de parfums et de transpirations se mêlent au vent léger et tiède des tunnels. J'entends des rires, des chuchotements, des disputes... Certains lisent ou dévisagent leurs voisins tandis que d'autres se laissent aller à fermer les yeux, bercés par les ronronnements souterrains.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;" lang="EN-US">Papa est silencieux. Il me serre contre lui, calmement mais aussi froidement, le regard ailleurs et perdu. Évitant soigneusement de croiser le mien. Je sens qu'il ne veut pas que je devine ce qui se cache derrière son apparent détachement... </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;" lang="EN-US">J’ai du m’endormir car nous sommes maintenant dans un bâtiment très sombre. Mon père grimpe les marches une à une, lentement, comme si l'enfer l'attendait là haut. Je suis toujours dans ses bras... Nous arrivons devant une porte que je distingue à peine dans la pénombre... Il se décide à frapper après une longue hésitation.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;" lang="EN-US">Nous patientons quelques instants, et soudain, je reconnais ma grand-mère, face à nous.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;" lang="EN-US">Exténuée, je comprends mal ce qu’ils se disent. Mais Mamie ne paraît même pas surprise de nous voir débarquer à cette heure tardive..Je cherche instinctivement le regard de mon père qui s’évertue à m'ignorer depuis que nous avons quitté Maman. Mais il lâche enfin prise et je lis alors une infinie tendresse dans ses yeux.Il me dépose délicatement dans les bras tendus de ma grand-mère, sans un mot, et c’est le cœur serré que je sens un de ses longs baisers se poser sur mon front.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;" lang="EN-US">Je pleure, je ne comprends pas ce qui se passe...</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;" lang="EN-US">Il tourne les talons.</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'andale mono', times; font-size: large;" lang="EN-US">Et disparaît.</span></p>
Albert Dreslonhttp://vanvesauquotidien.hautetfort.com/about.htmlSES DERNIERS ET PROCHAINS JOURS A VANVES : IL A UNE VIE…AVEC LA CAMPAGNE ELECTORALE !tag:vanvesauquotidien.hautetfort.com,2014-01-26:52811382014-01-26T05:00:00+01:002014-01-26T05:00:00+01:00 PARENTS INCONSCIENTS : Scéne incroyable Mercredi dernier, rue...
<p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt; text-align: justify; vertical-align: baseline; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: large;"><span class="apple-converted-space"><strong><span style="border: 1pt none windowtext; padding: 0cm;">PARENTS INCONSCIENTS : </span></strong></span><span class="apple-converted-space"><span style="border: 1pt none windowtext; padding: 0cm;">Scéne incroyable Mercredi dernier, rue Jean Baptiste Potin, devant l’entrée piétonne du PMS André Roche. Une voiture conduite par une mére de famille s’est carrément arrêté en, plein milieu du carrefour pendant cinq bonnes minutes pour charger ses enfants qui sortaient d’un cours de l’école du tennis. Elle ne s’est pas rendue compte du danger qu’elle faisait courir à ses enfants, sur une voie publique, à un carrefour, où généralement automobilistes et motards arrivent à vive allure, et respectent plus ou moins le stop pour eux qui débouchent sur cette rue JB Potin. Le président de la section Tennis qui passait par là, à ce moment là, n’en revenait pas ! Et après ses parents viennent emm… les élus parce qu’ils n’ont pas prévu ceci ou cela dans les écoles, au centre de loisirs etc…. pour assurer leur sécurité alors qu’avec leur 4x4, ils sont plus dangereux que personne...pour leurs enfants.</span></span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt; text-align: justify; vertical-align: baseline; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;"><span class="apple-converted-space" style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: large;"><span style="border: 1pt none windowtext; padding: 0cm;"> </span></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt; text-align: justify; vertical-align: baseline; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: large;"><span class="apple-converted-space"><strong><span style="border: 1pt none windowtext; padding: 0cm;">BALLADES ELECTORALES : </span></strong></span><span class="apple-converted-space"><span style="border: 1pt none windowtext; padding: 0cm;">Les candidats et leurs colistiers déambulaient hier matin (et peut être l’après-midi) à Vanves. Bernard Gauducheau (UDI) avaient envoyé ses troupes rendre visite chez les commerçants. Antonio Dos santos (PS) avait choisi le marché et ses alentours, avec sa garde rapprochée. Petite anecdote croustillante arrivée à l’un des fils d’Antonio Dos Santos qui distribuait des petites cartes avec le portrait de son pére, hier matin, devant Intermarché : « <em>L’un de ses clients refuse de prendre la carte où apparaît la photo de mon père en me disant « A Non ! Il en a bien profité du Rosier Rouge,! Pendant 11 ans, il a été logé, blanchi et nourri…à l’oeil</em> ». Et le fils de répondre : « <em>Tous les soirs, il rentrait dans notre appartement où il dînait avec nous, et pas du tout au self du Rosier Rouge comme vous pouvez le croire, où on ne mettait jamais les pieds, sauf pour la galette des Rois</em>» devant le regard interloqué de son interlocuteur qui n’en revenait pas lorsque celui accola à côté de son visage la carte postale avec le portrait d’Antonio Dos Santos : « <em>C’est mon pére !</em> ». Voilà comment s’entretiennent rumeurs et désinformations qui n’élèvent pas le débat électoral.Et c'est bien mal connaitre le Secours Catholique et ses permanents comme ses bénévoles. <br /></span></span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: large;"><span class="apple-converted-space"><strong><span style="border: 1pt none windowtext; padding: 0cm;">VIVIANI : </span></strong></span><span class="apple-converted-space"><span style="border: 1pt none windowtext; padding: 0cm;">Jean Marc Valentin, président de l’Association des généalogistes de Vanves, présentait vendredi soir à l’espace Sébastien Giner son dernier livre consacré à « René Viviani (1863-1925) un orateur du silence à l’oubli » (edt Pulim), à quelques invités et amis. A l’occasion de la célébration du centenaire de 1914-18, il devrait le faire lors d’une conférence publique car cet homme politique était le président du Conseil de la France lorsque la guerre a été déclaré, et qu’il a signé l’acte de mobilisation du 1<sup>er</sup> Août 1914 qui a été affiché dans toutes les communes de France dont Vanves. « <em>Un homme politique de la IIIéme République oublié des historiens, qui a été pendant 30 ans député notamment de Paris, premier ministre du travail et premier président du Conseil à ne pas être attaché à un ministère comme c’était le cas auparavant</em> » a-t-il expliqué en retraçant toute sa carrière politique. Il ne pas raconté ce soir là, mais le Conseil Municipal de Vanves présidé par le maire </span></span><strong><span style="font-weight: normal;">Aristide Duru, </span></strong>avait adressé à André Viviani président du Conseil, une lettre de condoléance à l’occasion du décés de son beau-fils à la guerre.</span><span class="apple-converted-space" style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: large;"><strong><span style="border: 1pt none windowtext; padding: 0cm;"> </span></strong></span></p><p style="margin: 0cm 0cm 0.0001pt; text-align: justify; vertical-align: baseline; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: large;"><span class="apple-converted-space"><strong><span style="border: 1pt none windowtext; padding: 0cm;">CELIBATAIRE : </span></strong></span><span class="apple-converted-space"><span style="border: 1pt none windowtext; padding: 0cm;">Pour la Saint Valentin le restaurant Les Platanes a décidé de détoner. Pas question d’inviter les couples ou les pacsés, mais plutôt les célibataires le 14 Février prochain à partir de 20H avec un menu spécial à base de « moules de la Saint Valentin », une nouvelle recette après la « moule vanvéenne », et une animation musicale. Eric Pottier, son patron ne sait pas encore s’il demandera à tout le monde de venir déguisé. Mais il a prévu une décoration spéciale de son restaurant. Et pas de faux célibataire ! </span></span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: large;"><strong>PACS :</strong></span><span style="font-size: 9pt;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: large;"> Les premiers chiffres publiés par l’INSEE montrent que 7000 mariages entre personnes de même sexe, ont été célébrés en France en 2013, dont 10 en mairie de Vanves. Des mariages qui ont eu lieu dans un calme paradoxal, sans aucune manifestation hostile comme l’ont remarqué la plupart des maires. Ils n’ont pas d’ailleurs cherchés à faire de la publicité ou communiquer surtout sur leurs premiers mariages « gays », comme à Vanves, pour respecter la vie privée des intéressés. Par contre, dans la presse locale et régionale, et malheureusement, pas en Ile de France puisqu’il n’y en a pas, les carnets du jour au lendemain d’un week-end, faisaient souvent paraître aussi les photos des couples de même sexe mariés devant le maire. </span></span></p>
La Vaillantehttp://lavaillante.hautetfort.com/about.htmlL'éducation, un art, au sens « d'artisanat » : les parents : premiers et principaux éducateurs en humanitétag:lavaillante.hautetfort.com,2013-10-19:52003192013-10-19T18:10:00+02:002013-10-19T18:10:00+02:00 Grenelle de la Famille Il y a quelques...
<p style="text-align: center;"><img id="media-4293753" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lavaillante.hautetfort.com/media/02/01/2097685350.jpg" alt="BandeFamilleParentsEnfants.jpg" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-4363838" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lavaillante.hautetfort.com/media/02/00/301476665.jpg" alt="éducation,vulnérabilité,famille,enfance,parents,transmission,médecine scolaire,lmpt" /></p><p style="text-align: center;"><a href="http://www.lamanifpourtous.fr/grenelledelafamille/"><strong style="line-height: 115%;"><span style="font-family: verdana, geneva; font-size: x-small;">Grenelle de la Famille</span></strong></a></p><p class="MsoNormal" style="line-height: 115%; text-align: right;"><a href="http://www.lamanifpourtous.fr/grenelledelafamille/"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; font-size: small;"><br /></span></span></a></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">Il y a quelques jours, j'avais au téléphone un médecin responsable de la médecine scolaire d'un département. Il me faisait part de son désarroi devant le nombre croissant de signalements de jeunes enfants qui n'arrivent pas à s'adapter à l'école, et ce dès la maternelle.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">Depuis plusieurs années, les enseignants se plaignent de devoir faire de plus en plus d'éducatif en classe, parce que les bases élémentaires de l'éducation ne sont plus données aux enfants.</span><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333;"><br /> <span style="background: white;">Ils ont déjà tant à faire avec les réformes successives de l'école...</span><br /> <span style="background: white;">Au cours de ma carrière professionnelle, j'ai vu évoluer les psychologues qui accompagnent les enfants. Aujourd'hui, je n'en connais pas un qui ne reconnaisse la souffrance psychologique d'enfants qui sont en manque de repères familiaux.</span><br /> <span style="background: white;">Les structures sociales d'accueil des jeunes sont saturées, débordées.</span><br /> <span style="background: white;">Depuis une vingtaine d'années, le gouvernement considère l'augmentation du suicide des jeunes comme un fléau national. On en parle très peu dans les medias, parce qu'on ne veut pas montrer notre impuissance face à ce phénomène. Il y a quelques années, j'apprenais qu'un enfant de 12 ans s'était donné la mort par pendaison. C'est inouï !</span></span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">On peut à l'infini développer le soutien aux enfants, refaire les programmes scolaires, déployer des équipes de psychologues, d'orthophonistes, de pédopsychiatres, d'ergothérapeutes, de maîtres spécialisés, noyer les enseignants sous des enquêtes, des réformes, des plans de remédiation...</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">On ne fait que s'attaquer aux effets avec toujours plus de moyens, tout en délaissant les causes évidentes du problème. C'est exaspérant !</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">Oui, l'enfance est en souffrance.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">Maslow, un sociologue réputé, a expliqué que les besoins premiers d'une personne sont les besoins physiologiques : se nourrir, avoir un toit, dormir, respirer...</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">Il explique ensuite que le besoin qui suit immédiatement est le besoin de sécurité : sécurité physique, naturellement, mais également besoin de sécurité affective, psychologique.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">Dans notre société, c'est bien là que le bât blesse. Beaucoup d'enfants n'ont pas la sécurité affective nécessaire à une éducation épanouissante.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">En vingt ans, le taux de divorces en France a doublé, passant d'un peu plus de 20% en 1980 à plus de 40% en 2003, selon une étude de l'INED parue en avril 2006.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">Certains veulent nous faire croire que cette évolution serait positive, car elle démontrerait une plus grande liberté individuelle. On nous présente cela comme un « progrès sociétal ». À Paris, on peut même voir des affiches vantant « le premier site de rencontres extraconjugales pensé par les femmes ». Dans de nombreuses émissions, on nous a vanté les bienfaits de la famille recomposée, tellement 'nouvelle', tellement 'formidable', tellement 'moderne'.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">Pourtant : qui se pose sérieusement la question des conséquences sur les enfants ?</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">Quel psychologue aujourd'hui niera que l'enfant souffre de la séparation de ses parents ? Je ne parle pas d'une souffrance passagère. Je parle d'un traumatisme profond, marquant, stigmatisant.</span><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333;"><br /> <span style="background: white;">Je me souviens de cette petite fille, en classe de maternelle, qui était pleine de vie et que je vis s'éteindre jour après jour, jusqu'à ce qu'elle me raconte que ses parents se séparaient. Sa maman se voulait rassurante : « vous savez, elle va bien, on lui a bien expliqué tout ce qui se passait. »</span></span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium; line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">Mais madame, s'il suffisait de tout expliquer aux enfants pour qu'ils acceptent, nous n'aurions plus aucun problème dans nos écoles, ni ailleurs !</span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium; line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333;"> <span style="background: white;">L'enfant a mal à sa famille.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">Ce que les adultes ont gagné en liberté, n'est-ce pas ce que les enfants ont perdu en sérénité, en sécurité ? Les enfants sont-ils donc devenus la variable d'ajustement des désirs des adultes ?</span><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333;"><br /> <span style="background: white;">Est-ce pour rien que la Convention internationale des droits de l'enfant, ratifiée par la France, rappelle en son article 7.1: « L'enfant a [...] dans la mesure du possible, le droit de connaître ses parents et d'être élevé par eux ».</span><br /> <span style="background: white;">Comment ne pas faire le lien entre cet éclatement du couple et donc de la famille, et la détresse croissante des enfants ?</span><br /> <span style="background: white;">C'est ce qu'exprimait il y a quelques années, une équipe de chercheurs sur la question de la petite enfance, qui, au cours d'une conférence, nous faisaient part, presqu'en s'excusant, de leurs conclusions: « pour l'enfant, ce qui est idéal, c'est d'être élevé par un homme et une femme, si possible qui soient son père et sa mère. » Encore mieux : géniteur et génitrice. Plus encore : qui s'aiment. Nec plus ultra : qui s'aiment dans la durée.</span><br /> <span style="background: white;">Notre société n'est pas, n'est plus cohérente : elle ne met plus en avant l'éducation de l'enfant, mais le bonheur des adultes. Or, une société qui ne protège pas l'enfant, qui ne l'éduque pas dans un cadre sécurisant, cohérent, est une société finie.</span><br /> <span style="background: white;">Car les enfants d'aujourd'hui sont les adultes de demain, et ce qui n'est pas donné aujourd'hui, qui le donnera demain ?</span></span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">Notre société est en mal de cohérence.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">Il n'y a pas d'éducation possible sans recherche de cohérence dans l'environnement de l'enfant : parents, école, société sont trois dimensions de l'éducation - avec des responsabilités diverses.</span><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333;"><br /> <span style="background: white;">Comment aujourd'hui éduquer un enfant quand le message de la famille est brouillé par l'environnement de la société ?</span><br /> <span style="background: white;">Comment éduquer à la pudeur quand s'affiche la nudité dans la rue ? Comment éduquer à la sexualité et à l'amour, quand on sait que de plus en plus de jeunes, les enfants - je dis bien les enfants - ont un accès quasi libre à la pornographie (à douze ans, plus de la moitié des enfants ont vu un film pornographique).</span><br /> <span style="background: white;">Certains voudraient « libérer l'enfant du 'carcan familial' » ; je cite M. Peillon : « Pour donner la liberté du choix, il faut être capable d'arracher l'élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel, pour après faire un choix. »</span><br /> <span style="background: white;">Non, monsieur Peillon, la liberté ne vient pas d'un arrachement, mais au contraire, d'un enracinement patient, progressif, profond dans l'humanité. Et ce sont les parents qui sont les premiers et principaux éducateurs en humanité. Rien, ni personne, ne saurait les remplacer, car ce sont les parents qui sont au quotidien aux côtés de leurs enfants !</span></span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">L'éducation est un art, au sens « d'artisanat »...</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">L'art de voir en l'enfant qui est devant vous, l'adulte de demain et de donner ainsi sens et cohérence à sa vie.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">L'art de s'inscrire dans la durée : on n'éduque pas avec un plan à deux ou trois ans.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">L'art de transmettre : encore faut-il avoir quelque chose à transmettre.</span><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333;"><br /> <span style="background: white;">L'art de poser les limites, de les faire respecter, tout en les repoussant un peu plus chaque fois que l'enfant gagne en liberté et en responsabilité.</span></span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">L'art de permettre à l'enfant de faire germer, puis croître les talents qui sont en lui.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">L'art de l'ouvrir sur la complexité du monde et de le rendre acteur de ce monde.</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">L'art de le rendre autonome, libre, responsable, adulte.</span><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333;"><br /> <span style="background: white;">L'art de faire aimer l'effort et de lui donner du sens.</span><br /> <span style="background: white;">Il ne suffit pas de « donner des ailes », il faut aussi apprendre à voler.</span><br /> <span style="background: white;">Rendons l'enfance aux enfants !</span></span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">La souffrance de l'enfant est souvent silencieuse, car l'enfant a une capacité phénoménale à « encaisser ».</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">C'est notre responsabilité d'adultes, de parents, d'éducateurs, de prendre résolument en mains cette grave question de l'éducation.</span><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333;"><br /> <span style="background: white;">Ensemble, redonnons une enfance aux enfants.</span></span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: medium; line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;"> </span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: small;"><strong><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">Jérôme Brunet</span></strong></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="font-size: small;"><span style="line-height: 115%; font-family: Verdana; color: #333333; background-color: white; background-position: initial initial; background-repeat: initial initial;">Président de l'<em>Appel des professionnels de l'enfance</em><br /></span></span><span style="color: #333333; font-family: Verdana; line-height: 115%; font-size: small;">Porte-Parole de <em>la Manif pour tous</em></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-justify: inter-ideograph; line-height: 115%;"><span style="color: #333333; font-family: Verdana; line-height: 115%; font-size: small;"><span style="text-align: left;">Bordeaux , le 16 octobre 2013</span></span></p><p class="MsoNormal" style="text-align: justify; text-
Prietohttp://www.chemindamourverslepere.com/about.htmlLundi 23 septembre 2013tag:www.chemindamourverslepere.com,2013-09-23:51786312013-09-23T07:24:00+02:002013-09-23T07:24:00+02:00 Calendrier liturgique
<p style="text-align: center;"><span style="font-size: small; font-family: georgia,palatino; color: #008080;"><span style="color: #990000;"><strong><a title="Calendrier liturgique mensuel" href="http://www.spiritualite-chretienne.com/au_fil_des_jours/calendrier_liturgique_2013_09.html" target="_blank"><span style="color: #008080;">Calendrier liturgique</span></a></strong></span></span></p>
comptineshttp://librairiecomptines.hautetfort.com/about.htmlDIS TU DORS ?tag:librairiecomptines.hautetfort.com,2013-09-09:50998982013-09-09T04:05:00+02:002013-09-09T04:05:00+02:00 Album de Sophie BLACKALL Éd. Didier jeunesse, 2013 11,90...
<p style="margin-bottom: 0cm;"><strong><a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/01/1070523603.gif" target="_blank"><img id="media-4234574" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/01/3135700639.gif" alt="sommeil,parents,nuit" width="180" height="197" /></a></strong><span style="text-decoration: underline;">Album<strong> <br /></strong></span><span style="font-size: medium;"><strong><span style="font-size: small;">de</span> Sophie BLACKALL</strong></span><strong><br />Éd. Didier jeunesse, 2013<br /></strong><strong>11,90 €</strong><span style="text-decoration: underline;"><strong><br /><br /></strong></span>«<em> Dis maman tu dors ?</em> » Maman a beau tenter de ne pas répondre à la question, elle ne s'en tirera pas comme ça !<br />Un album en forme de dialogue entre une maman et son enfant – bien réveillé – qui l’assomme de questions : «<em> Pourquoi tu as sommeil ? Pourquoi c'est la nuit…</em> » une litanie de « pourquoi » qui devient de plus en plus poétique, plus la maman s'éveille, plus les questions se font compliquées et longues les réponses de maman. L'enfant ne s'endormira (brièvement !) qu'au petit matin jusqu'à ce que… «<em> Dis papa tu dors ?</em> »<em><br /></em></p><p style="margin-bottom: 0cm;">Une longue insomnie traitée avec tendresse et humour qui rappellera des souvenirs à tous les heureux parents !</p><p style="margin-bottom: 0cm;"><em>Nathalie Ventax (été 2013)</em></p>
comptineshttp://librairiecomptines.hautetfort.com/about.htmlBON VOYAGE LOUISE ! & BONNE NUIT LOUISE !tag:librairiecomptines.hautetfort.com,2013-06-19:49662472013-06-19T04:00:00+02:002013-06-19T04:00:00+02:00 A lbums de Markus MAJALUOMA Traduit du finnois par Lucie...
<p><span style="text-decoration: underline;"><span lang="FR"><a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/01/1526584289.gif" target="_blank"><img id="media-4127770" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/01/3423268050.gif" alt="parents,relation père-fille,voyage,sommeil" width="140" height="193" /></a>A</span><span lang="FR">lbums</span></span><strong><span lang="FR"> <br /></span></strong><span style="font-size: medium;" lang="FR">de</span><strong><span lang="FR"><span style="font-size: medium;"> Markus MAJALUOMA</span><br />Traduit du finnois par Lucie Labreuille<br />éd. La Joie de lire<br />Mars 2013 – 6 €</span></strong><span lang="FR"> chaque album</span><strong><span lang="FR"><br /></span></strong></p><p><span lang="FR">Après <em>Louise & Victor</em> et <em>Louise & la grenouille en robe des champs</em>, Louise et son père sont de retour pour deux savoureux albums. Dans l’un, le père et la fille entreprennent un grand voyage dans lequel l’aventure commence en faisant sa valise et se poursuit sur les escalators de l’aéroport, avant de se vivre aux couleurs de l’Asie. Il faut dire que « <em>Partir en vacances avec Louise n’est pas de tout repos !</em> » </span></p><p><span lang="FR"><a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/00/2801200107.gif" target="_blank"><img id="media-4127773" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/01/00/1188254467.gif" alt="parents,relation père-fille,voyage,sommeil" width="140" height="196" /></a>Dans l’autre, Victor tente de coucher Louise. Là encore… ce n’est pas simple. Rien de tel que la traditionnelle (et excellente) recette de l’histoire du soir. Mais avec Louise, tout est une aventure ! Son père choisirait bien un album plein de véhicules formidables mais Louise veut l’histoire de « <em>L’ou’s et l’abeille</em> » ce qui n’est pas sans danger surtout si Louise fait vivre à son père les mésaventure de l’Ours…</span></p><p><span lang="FR">Ces deux derniers titres installent ce drôle de couple pas si fréquent dans la littérature jeunesse (à l’exception notable d’Ernest et Célestine) : un papa qui élève manifestement seul son adorable et délurée petite fille. Sans doute fallait-il un détour par la Finlande d’où nous viennent ces petits livres étonnants et amusants, pour que cette configuration familiale (avec un papa coiffé de dreadlocks qui plus est !) fasse son entrée dans nos librairies. </span></p><p class="MsoNormal"><em><span lang="FR">Ariane Tapinos (février 2013)</span></em></p>
comptineshttp://librairiecomptines.hautetfort.com/about.htmlUN AIR DE FAMILLEStag:librairiecomptines.hautetfort.com,2013-05-30:50119852013-05-30T04:33:00+02:002013-05-30T04:33:00+02:00 Album de Béatrice BOUTIGNON Éd. Le Baron perché, janvier 2013...
<p class="MsoNormal"><span lang="FR"><span style="text-decoration: underline;"><a href="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/02/01/385912412.gif" target="_blank"><img id="media-4117905" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://librairiecomptines.hautetfort.com/media/02/01/4013867138.gif" alt="Un air de familles.gif" width="181" height="134" /></a>Album</span> <br /></span><span lang="FR">de</span><strong><span lang="FR"><span style="font-size: medium;"> Béatrice BOUTIGNON</span><br />Éd. Le Baron perché, janvier 2013<br />16 €</span></strong></p><p class="MsoNormal"><strong><span lang="FR"><span style="color: #333399;">Le grand livre des petites différences</span></span></strong></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR">Qu’est-ce que c’est une famille ? Une mère ourse qui élève seule ses cinq petits depuis que « <em>papa est parti </em>», un éléphanteau baigné par ses deux parents, des parents manchots avec leur deux fils dont l’un est un pingouin adopté, deux mamans renardes qui lisent des histoires à leur petit, une tribu de mangoustes qui patauge dans l’océan, « <em>papa et Léon, son nouvel amoureux</em> »qui font du vélo avec leurs petites grenouilles…</span></p><p class="MsoNormal"><span lang="FR">C’est moins subtil que le très regretté <strong><em>L’Heure des parents</em></strong> de Christian Bruel et Nicole Claveloux (éditions Être, 1999), mais cette énumération de toutes les configurations familiales vient à point nommé en cette période de débats sur le « mariage pour tous ». Ce sont les enfants, écureuils, lapins, poules, lionceaux, lamas… qui, chacun à leur tour, présentent leur famille. À travers des scènes du quotidien – le bain, le coucher, les jeux – joliment illustrées, cet album se prête à toutes les discussions et il y a fort à parier que les enfants ne seront pas les plus surpris !</span></p><p class="MsoNormal"><em><span lang="FR">Ariane Tapinos (février 2013)</span></em></p>
S. Lle noelhttp://defensederire.hautetfort.com/about.htmlChroniques d'un jeune parent : au commencement était le verbe...1ère partietag:defensederire.hautetfort.com,2013-05-11:50678272013-05-11T16:46:00+02:002013-05-11T16:46:00+02:00 Papa, Maman, quel sera le premier mot de l’enfant ? Plus...
<p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"><br /><a href="http://defensederire.hautetfort.com/media/01/02/1013355314.jpg" target="_blank"><img id="media-4096899" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://defensederire.hautetfort.com/media/01/02/1423079649.jpg" alt="parents, parole, pipi caca, éducation, politesse, enfants, apprentissage" /></a>Papa, Maman, quel sera le premier mot de l’enfant ? Plus vraisemblablement caca, ce qui ramène homo sapiens à une forme de vérité abrupte, nous ne sommes finalement pas grand-chose dans cette vallée de larmes.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">La parole est un petit miracle devant lequel les parents de jeunes enfants ne cessent de s’émerveiller, exultant devant une onomatopée ressemblant vaguement à un wouaf-wouaf pour désigner tout animal quadrupède à poil, court ou long ou s’extasiant devant le premier non prononcé (avant que ce mot devienne synonyme d’enfer)…</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Après des mois de pleurs et d’incompréhension mutuelle, le langage va permettre de passer une nouvelle étape dans la relation parents-enfant, et pas forcément pour le meilleur à vrai dire. Cependant, l’acquisition du vocabulaire et de la grammaire est un processus long et vous serez tels des béotiens confrontés à une nouvelle langue, qu’il conviendra d’apprendre autant qu’enseigner. Ainsi de l’onomatopée DEUH qui peut vouloir dire donne en liliputien ou deux, ou passe-moi le sel… Nous ne sommes pas devant une science exacte, faut-il l’admettre.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Au tout début, on ne distingue que babillages, mais petit à petit, tant la mise en contexte que la différenciation de plus en plus prononcée des syllabes vont ouvrir un espace de dialogue. Pour les seuls parents faut-il le préciser. Le quidam continuera à entendre un charabia pire que de l’hébreu ou du grec ancien et vous pensera demeurés en voyant votre extase pour un aéja-in, que vous avez interprété fort justement : « les parents, auriez-vous l’amabilité de m’ouvrir la porte pour que je puisse aller me dégourdir les jambes dans le jardin, vous serez bien urbain et si au passage vous pouviez m’aider à me chausser je vous serai éternellement reconnaissant. »</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">C’est fou ce que l’on peut faire avec un vocabulaire de base d’une vingtaine de mots. Bonjour, merci, manger, eau, caca… Avec ça, à défaut de conquérir le monde on peut tout de même en faire le tour sans trop de désagréments.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Mais il n’y pas que bob qui soit une éponge, le cerveau des tout-petits l’est encore plus… ils apprennent vite les bougres et le vocabulaire s’enrichit tous les jours. Les progrès sont fulgurants, l’ordre des mots commencent à venir, le sujet-verbe-complément n’est pas loin, un but que certains n’atteindront jamais malgré un parcours scolaire honorable : n’est-on pas surpris de voir à l’occasion quelque congénère se limiter à seulement claquer des doigts pour vous faire deviner qu’ils souhaiteraient que vous leur passiez le sel plutôt que de faire une phrase complète…</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Les progrès sont fulgurants surtout pour prendre les tics de langage des parents et notamment les mots interdits, les fameux gros mots. Le « merde » échappé inopportunément, l’innocent « putain » laché inconsciemment vont faire le délice du petit d’Homme. Il va le répéter sans faute, et analysant votre gêne, à l’avoir dit et à l’entendre le prononcer, va en faire un élément de langage courant jusqu’à ce que le pouvoir du dit mot disparaisse. Cela viendra non par une opération du Saint-Esprit mais plus prosaïquement avec la retenue dans les propos parentales (le pitoyable mer…credi et l’insipide ouch pour remplacer l’héroïque putain) et surtout en déminant le terrain en veillant à ôter toute magie à ces mots. Il faut banaliser la chose, montrer qu’en aucun cas, vous ne semblez affecter par l’utilisation de ce mot dans sa bouche : une seule tactique, faire le dos rond. </span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"><a href="http://defensederire.hautetfort.com/media/02/00/1550116893.jpg" target="_blank"><img id="media-4096902" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://defensederire.hautetfort.com/media/02/00/4052306819.jpg" alt="parents, parole, pipi caca, éducation, politesse, enfants, apprentissage" /></a>Mais autant vous prévenir tout de suite, il est une période à laquelle vous n’échapperez pas, la phase plus ou moins longue mais finalement assez rigolote Pipi-Caca-Prout…</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Depuis la nuit des temps, cette trinité, que nous ne qualifierons pas de sainte, est magique, l’humour scatologique transcendant les époques, les cultures, les générations. Mais c’est au cours de la petite enfance qu’il va atteindre son paroxysme. L’enfant le mettra à toutes les sauces, non sans humour mais toujours avec sérieux. Le répétant comme un mantra, remplaçant n’importe quel mot par celui-ci, à la manière du parler schtroumpf… Au-delà de la lassitude de la répétition, c’est bien la honte que vous risquez à tous les coins de rue. Ainsi, vous lui demandez de remercier la vendeuse à la boulangerie, il répondra au tac au tac, merci madame caca… La boulangère vous fusille du regard tout en lâchant un subtil bien que contrit, j’ai l’habitude avec les enfants de cet âge… Ne cherchez pas, vous êtes désormais classé dans la catégorie des parents irresponsables et impolis… Mais on ne naît pas poli, on le devient, le parcours sera semé d’embûches, mais c’est une autre histoire…</span></p>
S. Lle noelhttp://defensederire.hautetfort.com/about.htmlChroniques d'un jeune parent : 50 nuances plus explicites (enfin un peu moins) de : et le couple dans tout ça?tag:defensederire.hautetfort.com,2013-05-05:50630652013-05-05T17:03:16+02:002013-05-05T17:03:16+02:00 Dans la vie d’un couple de jeunes parents, les dés sont pipés dès le...
<p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"><a href="http://defensederire.hautetfort.com/media/01/00/2188846592.jpg" target="_blank"><img id="media-4088721" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://defensederire.hautetfort.com/media/01/00/1766863399.jpg" alt="parents, sexualité, cinquante nuances de grey, calinothérapie, amant, maitresse" /></a>Dans la vie d’un couple de jeunes parents, les dés sont pipés dès le départ, si l’on peut dire. L’homme est prisonnier de sa mécanique sanguine, sa partenaire de sa mécanique cognitive… Après la naissance, si les premiers temps ne sont pas aux retrouvailles sensuelles, l’impatience se fait néanmoins jour plus ou moins rapidement chez le porteur du chromosome Y. Impatience contenue mais démonstrative : popol monte la garde nuits et jours, frôlant l’objet du désir dès que celui-ci approche de son périmètre restreint, c’est-à-dire du champ visuel de son propriétaire. De son côté, la femme porte psychologiquement la croix des changements physiques rapides qui l’ont plus ou moins affectés… La fameuse phrase : « non je me sens pas belle et attirante, je ne me sens pas désirable… » que l’on peut traduire par rentre popol à la niche, est un standard bien connu et qui a encore de beaux jours devant lui. Il est souvent accompagné du non moins fameux « Je ressemble à un sac de pomme de terre, ça te donne pas envie quand même… ? ». L’afflux sanguin chez l’homme lui ôtant la capacité simultanée et de réfléchir et de tenir une érection, offensera une fois sur deux sa partenaire par un malencontreux : « ben ça peut aller, tu restes jolie pour un sac de patates… ». Verdict : Monsieur, vous reculez de trois cases et reprenez un mois dans la vue …</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Une calinothérapie adaptée, composée de mots doux et d’attentions variées, plus surement que le best of des œuvres de Clara Morgane, permettra à un male en rut et à un sac de pomme de terre de renouer avec les plaisirs charnels. Accompagnée bien entendu de restaurants, d’un ou deux bijoux et d’un abonnement à une salle de sport. L’amour n’a pas de prix, c’est bien connu…</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Un autre aspect malencontreux de la sexualité des jeunes parents tient dans le caractère parfois bâclé parce que trop rapide de la chose. La peur d’être interrompus inopportunément conduit les malheureux parents à se référer à la philosophie chiraquienne du cinq minutes douche comprise. On lutine avec rapidité, les préliminaires se résument à une invitation à se déshabiller, au final c’est un sprint dont personne ne sort vainqueur. Les pauvres parents sont tels Adam et Eve venant de croquer dans le fruit de la connaissance, à demi-gênés et honteux des plaisirs que prodigue la nature.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">Plusieurs solutions existent :</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">- Se réveiller sur les coups de 3 heures du matin pour être assurés de ne pas être bêtement interrompus et pouvoir se laisser un peu de temps pour renouer avec les plaisirs de la luxure comme aux prémices de la rencontre.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">- S’évader en laissant les enfants aux grands-parents, amis, baby-sitter pour jouer au rendez-vous galant des amants de circonstances. Cette solution coûte chère en hôtel (quoique pour une place de cinéma d’un film qui fait un bide, de nos jours les fauteuils sont confortables…) mais redonne du pep’s à une vie de couple malmenée par un quotidien un peu vachard.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;">- Prendre chacun un amant/maîtresse ou se le/la partager pour des raisons de commodité. Après tout vous n’êtes pas ensemble que sur une base sexuelle, mais aussi et principalement pour construire une famille, autant spécialiser les tâches dans le couple, en laissant cette base besogne purement hygiénique à une tierce personne, toute entière désignée, et le plus souvent dévouée, pour la chose.</span></p><p><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: medium;"><a href="http://defensederire.hautetfort.com/media/00/00/1443087951.jpg" target="_blank"><img id="media-4088723" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://defensederire.hautetfort.com/media/00/00/311069098.jpg" alt="parents, sexualité, cinquante nuances de grey, calinothérapie, amant, maitresse" /></a>Mais n’allez pas croire que la parentalité soit la mort du petit cheval. Des couples peuvent voir la situation accentuer les envies et le désir, à la manière de ces adolescents qui doivent cacher leur amourette devant les parents : les petits regards câlins et coquins, emplis de complicité, les frôlements et les baisers volés entre deux portes, les retrouvailles dans l’intimité, les échappés de quelques heures... Ce retour du grand frisson, il est là, pas très loin. Laissez-lui une chance de montrer le bout de son nez, il vous le rendra au centuple…</span></p>
Tousstoutouihttp://radiomirliton.hautetfort.com/about.htmlPARENTStag:radiomirliton.hautetfort.com,2013-03-31:50320342013-03-31T18:11:00+02:002013-03-31T18:11:00+02:00 Chansons ...
<p style="text-align: center;"><img src="http://radiomirliton.hautetfort.com/media/00/00/1788980559.jpeg" alt="" width="150" height="178" /></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK25;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK43;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK20;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK24;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK38;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK46;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK47;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK58;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK63;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK55;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK54;"><span style="font-size: 18.0pt; font-family: 'Georgia','serif';">Chansons</span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></p><p style="text-align: center;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK25;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK43;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK20;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK24;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK38;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK46;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK47;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK58;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK63;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK55;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK54;"><span style="font-size: 18.0pt; font-family: 'Georgia','serif';"> </span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: large;"><span style="font-family: 'Georgia','serif';">Baiser parfumé - </span></span><span style="font-size: 14.0pt; font-family: Cambria; mso-fareast-font-family: 'Arial Unicode MS'; mso-bidi-font-family: 'Arial Unicode MS'; mso-ansi-language: FR; mso-fareast-language: FR; mso-bidi-language: AR-SA;"><a title="Son site" href="http://www.hervedemon.com/" target="_blank" rel="noopener">Hervé Demon</a></span><!-- [if gte mso 9]><![endif]--></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;" align="center"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK18;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK25;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK43;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK20;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK24;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK38;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK46;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK47;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK58;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK63;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK55;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK54;"><span style="font-size: 10.0pt; font-family: 'Georgia','serif';">Les liens sont fournis uniquement quand ils mènent à un site dépourvu de publicité.</span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></p><p style="text-align: center;" align="center"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK18;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK25;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK43;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK20;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK24;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK38;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK46;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK47;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK58;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK63;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK55;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK54;"><span style="font-size: 10.0pt; font-family: 'Georgia','serif';">Vous retrouverez facilement la plupart des chansons</span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></p><p style="text-align: center;" align="center"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK18;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK25;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK43;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK20;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK24;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK38;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK46;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK47;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK58;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK63;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK55;"><span style="mso-bookmark: OLE_LINK54;"><span style="font-size: 10.0pt; font-family: 'Georgia','serif';">et artistes à l'aide de tout moteur de recherche.</span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></span></p>