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En France, le nombre de banquiers millionnaires s'envole
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2017-05-18T08:28:00+02:00
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Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2017 Par Auteur ...
<p>Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2017</p><div id="block-valeurs-actuelles-content" class="block block-system block-system-main-block"><div class="content"><article class="node main-node node--type-article node--promoted node--view-mode-full clearfix anonymous" data-history-node-id="83325"><header><div class="node__meta" style="text-align: right;"><span class="author">Par </span>Auteur <a href="http://www.valeursactuelles.com/historique/valeursactuellescom" hreflang="fr">valeursactuelles.com</a> <span class="created-at">/ Mercredi 17 mai 2017 </span> </div><div class="node__meta" style="text-align: right;"> </div></header><div class="node__content clearfix"><div class="field field--name-field-image field--type-image field--label-hidden field__items"><div class="field__item"><img class="image-style-image-article" title="Entre la Société Générale, BNP Paribas, Natixis et le Crédit Agricole, une centaine de banquiers ont gagné plus d'un million d'euros en 2016. © Michel Euler/AP/SIPA" src="http://www.valeursactuelles.com/sites/default/files/styles/image_article/public/2017-05/SIPA_ap21857419_000001.jpg?itok=1Zp2jUGn" alt="Entre la Société Générale, BNP Paribas, Natixis et le Crédit Agricole, une centaine de banquiers ont gagné plus d'un million d'euros en 2016. © Michel Euler/AP/SIPA" width="650" height="455" /><div class="image-caption" style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Entre la Société Générale, BNP Paribas, Natixis et le Crédit Agricole, une centaine de banquiers ont gagné plus d'un million d'euros en 2016. © Michel Euler/AP/SIPA</span></div></div></div><div class="clearfix text-formatted field field--name-field-chapo field--type-text-long field--label-hidden field__item" style="text-align: justify;"><p><span style="font-size: 10pt;">Rémunération. Plus de 100 salariés des banques françaises ont gagné l'an dernier au moins un million d'euros.</span></p></div><div class="clearfix text-formatted field field--name-body field--type-text-with-summary field--label-hidden field__item"><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Banquier, un métier qui rapporte de plus en plus. <a href="https://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/0212087989518-le-nombre-de-banquiers-millionnaires-en-nette-hausse-en-france-2086997.php" target="_blank">Selon des calculs des <em>Echos</em></a>, le nombre de banquiers installés en France qui ont gagné plus d'un million d'euros l'an dernier a grimpé de 24 % par rapport à 2015. Entre BNP Paribas, la Société Générale, le Crédit Agricole et Natixis, ce sont pas moins de 102 salariés des groupes bancaires français qui ont été rémunéré plus d'un million d'euros.</span></p><h3 style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Par crainte du brexit, certains expatriés au salaire exorbitant rentrent en France</span></h3><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Selon le quotidien économique, deux éléments permettent d'expliquer l'envolée du nombre de ces millionnaires. D'une part, la bonne santé des activités de marché dans l'Hexagone l'an dernier. Le brexit a également joué un rôle : un certain nombre de banquiers expatriés à Londres ont commencé à rentrer en France, craignant de ne plus pouvoir exercer de la même manière à l'avenir.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 10pt;">Source : <a href="http://www.valeursactuelles.com/economie/en-france-le-nombre-de-banquiers-millionnaires-senvole-83325">valeursactuelles</a></span></p></div></div></article></div></div>
Boreas
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L'Allemagne n'a pas intérêt à sortir de l'euro
tag:verslarevolution.hautetfort.com,2012-04-17:4682547
2012-04-17T15:56:00+02:00
2012-04-17T15:56:00+02:00
Pas le choix, Madame Merkel... J'ai déjà dit qu'à mon...
<p style="text-align: center;"><img style="margin: 0.7em 0;" src="http://verslarevolution.hautetfort.com/images/Angela%20Merkel.jpg" alt="" width="560" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: small;"><strong><em>Pas le choix, Madame Merkel...</em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><a href="http://verslarevolution.hautetfort.com/archive/2011/09/07/l-allemagne-a-t-elle-un-interet-commercial-a-sortir-de-l-eur.html" target="_blank">J'ai déjà dit</a> qu'à mon avis, l'Allemagne n'avait pas intérêt à sortir de l'euro.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Une confirmation comptable supplémentaire vient d'être apportée à cette thèse, par Patrick Artus pour Natixis :</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">« <em>L'explosion de l'euro aurait pour l'Allemagne deux sources de coûts considérables :</em><br /></span></p><ul><li><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">la perte de compétitivité-coût due à l'appréciation du "mark" ;</span></em></li></ul><ul><li><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">les pertes en capital sur les actifs accumulés par l'Allemagne dans les autres pays de la zone euro, et dans le Reste du Monde (si le mark s'apprécie par rapport à toutes les monnaies).</span></em></li></ul><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">On considère le plus souvent que ces coûts sont tellement élevés que l'Allemagne devra accepter toutes les politiques, quelles qu'elles soient, nécessaires pour assurer la stabilité de la zone euro. Mais on voit aussi grandir en Allemagne le sentiment qu'assurer la stabilité de la zone euro va être durablement extrêmement coûteux pour l'Allemagne ; si les pays du Sud de la zone euro ne parviennent pas à équilibrer leurs balances courantes, la seule solution pour éviter l'éclatement de l'euro serait des transferts de l'Allemagne vers ces pays couvrant leur déficit extérieur ; il ne pourrait plus s'agir de prêts, puisque la dette extérieure de ces pays est excessive.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><em>La question est donc de savoir si l'Allemagne ne finira pas par préférer le coût de la rupture de l'euro au coût du "fédéralisme forcé". Notre réponse est négative : le coût de l'explosion de l'euro est beaucoup plus important, pour l'Allemagne, que celui de transferts fédéraux forcés.<strong></strong></em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><em><strong>Les coûts de l'explosion de l'euro pour l'Allemagne</strong></em></span></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">L'explosion de la zone euro aurait deux types de coûts pour l'Allemagne :</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><strong>1 -</strong> L'appréciation induite du "mark" conduirait à une forte dégradation de la compétitivité-prix de l'Allemagne, comme lors de l'explosion du Système Monétaire Européen en 1992-93. Le taux de change réel de l'Allemagne s'était alors apprécié de 30%, ce qu'il a fallu 20 ans à l'Allemagne pour corriger.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Les exportations de l'Allemagne vers la zone euro représentent 17% du PIB de l'Allemagne, les exportations totales de l'Allemagne 42% du PIB de l'Allemagne.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Une appréciation effective réelle de 30% de l'Allemagne (du "mark") comme en 1992-93 [lui] coûterait donc 5 points de PIB (chaque année) (...). Ce calcul tient compte du poids de la zone euro dans les exportations de l'Allemagne et de la concurrence entre l'Allemagne et les autres pays de la zone euro sur les marchés non européens.<br /></span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><strong>2 -</strong> L'appréciation induite du mark conduirait à une perte en capital sur les actifs extérieurs bruts de l'Allemagne.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">L'Allemagne a accumulé, avec ses excédents extérieurs des actifs extérieurs nets vis-à-vis des autres pays de la zone euro mais aussi vis-à-vis du Reste du Monde. S'il y a appréciation effective réelle de 30% de l'Allemagne, la perte en capital, sur les actifs extérieurs bruts de l'Allemagne, serait de 65 points de PIB.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><strong>Mais stabiliser la zone euro pourrait se révéler extrêmement coûteux pour l'Allemagne</strong></span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><strong></strong>Le problème fondamental de la zone euro est connu : les pays du Sud de la zone euro (France, Espagne, Italie, Portugal, Grèce) ont un déficit extérieur chronique qui est dû à leur forte désindustrialisation par rapport aux pays du Nord de la zone euro (Allemagne, Pays-Bas, Belgique, Autriche, Finlande).</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">La désindustrialisation est elle-même due à la perte de compétitivité, à l'insuffisance d'effort d'innovation, au positionnement trop bas en gamme.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Dans une Union Monétaire sans fédéralisme, et où les solutions de court terme (prêts du FESF, du FMI, repos de la BCE) ne peuvent pas être prolongées dans le long terme, les pays ne peuvent pas conserver un déficit extérieur permanent (ils sont confrontés à une contrainte de solvabilité extérieure).</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Ce déficit extérieur ayant des causes structurelles (désindustrialisation, perte de compétitivité, positionnement bas en gamme), il ne peut pas être réduit facilement ou rapidement, surtout si les pays finissent par rejeter la hausse du chômage qui vient de la baisse de la demande intérieure, seul moyen pour réduire à court terme le déficit extérieur.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Ceci veut dire que les pays du Sud de la zone euro vont conserver un déficit extérieur :</span></em></p><ul style="text-align: justify;"><li><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">puisqu'à court terme ils ne peuvent pas modifier leur structure productive ;</span></em></li></ul><ul style="text-align: justify;"><li><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">puisque la hausse du chômage qui correspondrait à une baisse de la demande intérieure suffisante pour faire disparaître le commerce extérieur, est insupportable socialement.</span></em></li></ul><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Mais, pour éviter l'explosion de l'euro, il faudra alors que l'Allemagne (les pays du Nord de la zone euro) finance le déficit extérieur qui subsiste des pays du Sud de la zone euro. Si ce déficit n'est pas financé, il y a inévitablement crise de balance des paiements et explosion de l'euro. Il ne peut pas s'agir de financements par des prêts, puisque les pays du Sud de la zone euro ont déjà une dette extérieure excessive.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Il ne peut donc s'agir que de transferts publics, liés à la mise en place du fédéralisme, allant des pays du Nord de la zone euro vers les pays du Sud de la zone euro. La taille de ces transferts fédéraux est celle du déficit qui subsistera de la balance courante des pays du Sud de la zone euro, soit probablement 4 points environ de PIB de l'Allemagne par an.</span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><strong>Synthèse : le choix que devra faire l'Allemagne</strong><br /></span></em></p><p style="text-align: justify;"><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">L'Allemagne devra choisir entre :</span></em></p><ul style="text-align: justify;"><li><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">les coûts associés à l'explosion de l'euro : perte de compétitivité, perte en capital sur les actifs étrangers détenus. Si l'explosion de l'euro conduit à une appréciation de 30% du taux de change effectif du mark, il s'agit d'un coût de 65 points de PIB de l'Allemagne immédiatement puis de 5 points de PIB chaque année ;</span></em></li></ul><ul style="text-align: justify;"><li><em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">le coût lié à la mise en place d'un "fédéralisme contraint", visant à financer les déficits extérieurs des pays du Sud de la zone euro pour qu'ils puissent rester dans l'euro. Nous estimons ce coût pour l'Allemagne à 4 points de PIB chaque année.</span></em></li></ul><p style="text-align: justify;"><em><strong><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Au total, la comparaison est claire : le coût pour l'Allemagne de l'explosion de l'euro est beaucoup plus grand que le coût du fédéralisme forcé. </span></strong></em><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">»</span></p><p style="text-align: justify;"><a href="http://cib.natixis.com/flushdoc.aspx?id=63191" target="_blank"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Source</span></a><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"> (comprenant de nombreux graphiques)</span></p>
quitterie
http://lesjeuneslibres.hautetfort.com/about.html
Une lecture pour le week-end : le supplément Alternatives économiques sur la RSE
tag:lesjeuneslibres.hautetfort.com,2009-11-13:2465536
2009-11-13T13:52:00+01:00
2009-11-13T13:52:00+01:00
Dans la même veine que No Low Cost , afin de mieux choisir les entreprises...
<p>Dans la même veine que <a target="_blank" href="http://nolowcost.over-blog.com/article-un-livre-un-blog-une-video-pour-tout-savoir-39289287.html">No Low Cost</a>, afin de mieux choisir les entreprises à qui nous donnons une partie de nos salaires, un hors série Alternatives économiques est en vente depuis quelques jours dans vos kiosques.</p> <p><a href="http://www.alternatives-economiques.fr/page.php?lg=fr&rub=99&add_mag=874">J'achète ce numéro</a> <a href="http://www.alternatives-economiques.fr/Forfait-48h_fr_16_00.html">J'achète un forfait</a><a target="_blank" href="http://www.alternatives-economiques.fr/page.php?lg=fr&rub=99"><img src="http://lesjeuneslibres.hautetfort.com/media/02/02/1876111789.jpg" id="media-2098746" alt="altereco41.jpg" style="border-width: 0; float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" name="media-2098746" /></a><br /> <a href="http://www.alternatives-economiques.fr/page.php?lg=fr&rub=06&srub=01">Je m'abonne</a></p> <p>Au sommaire :</p> <h1>"Le chemin est encore long...</h1> <p>Depuis une dizaine d'années, les grandes entreprises françaises ont progressivement accepté l'idée qu'elles n'avaient pas seulement des comptes à rendre à leurs actionnaires. Sous la pression des organisations non gouvernementales (ONG), elles se sont mises en effet à publier des rapports sociaux et environnementaux et, en France comme ailleurs, colloques et brochures sur papier glacé se sont multipliés à propos de la responsabilité sociale des entreprises. Mais la réalité des pratiques n'a pas encore fondamentalement changé.</p> <p>S'il en était besoin, la tempête économique récente l'a rappelé : BNP Paribas avait ouvert la crise à l'été 2007 en avouant avoir trempé les doigts dans le pot de confiture des <i>subprime</i>, tandis que la Société générale montrait à travers l'incroyable affaire Kerviel combien l'appât du gain à court terme avait perverti l'ensemble de son fonctionnement. Sans oublier bien sûr les déboires de Natixis, pourtant filiale de banques coopératives... Mais les dérives des institutions financières ne doivent pas faire oublier la responsabilité des autres multinationales : les banques sont très loin d'être les seules entreprises françaises à utiliser massivement les paradis fiscaux pour éviter de s'acquitter de leur contribution au bien-être collectif... Et la façon dont les multinationales profitent de la crise pour accélérer encore les délocalisations montre que les belles paroles sur leur attachement aux territoires où elles sont implantées ne sont toujours que des discours.</p> <p>Enfin, même si les revenus des patrons ont globalement baissé l'an dernier, un Bernard Arnault, le patron de LVMH, s'octroie 17 millions d'euros et 19 % d'augmentation par rapport à 2007 ou encore un Franck Riboud, le patron de Danone, 8 millions d'euros, alors qu'il s'affiche au côté de Muhammad Yunus, le prix Nobel de la paix 2006, pour les bonnes oeuvres de son groupe au Bangladesh. Nombreux sont encore les patrons qui n'ont décidément rien compris à ce que signifie une entreprise socialement responsable. Sans oublier la très faible place toujours laissée aux femmes dans les instances de direction, où elles sont encore plus maltraitées que dans la sphère politique.</p> <p>Bref, la route est encore très longue pour les entreprises françaises. Et on ne peut guère continuer à compter sur leur bonne volonté pour avancer : il faut renforcer les contraintes légales qui s'imposent à elles. Ne serait-ce d'ailleurs que pour ne pas pénaliser celles qui sont prêtes à faire des efforts significatifs."</p> <div class="textright">Claire Cotentin et Guillaume Duval <a href="http://www.alternatives-economiques.fr/la-responsabilite-sociale-des-entreprises-francaises_fr_pub_874.html#45474" class="issu">Alternatives Economiques - Pratique n°41 - Novembre 2009</a></div><h2 class="sommaire">Etat des lieux</h2> <p><a name="45475"></a></p> <h3>Les trois âges de la RSE</h3> <p><a name="45476"></a></p> <h3>Les outils de la RSE</h3> <p><a name="45477"></a></p> <h3>Les rapports développement durable ou l’art de bien communiquer</h3> <p><a name="45478"></a></p> <h3>La dérive des salaires des patrons</h3> <p><a name="45479"></a></p> <h3>Les entreprises françaises aiment les paradis fiscaux</h3> <p><a name="45480"></a></p> <h3>Dans les cuisines fiscales des entreprises</h3> <p><a name="45481"></a></p> <h3>CAC 40 : où sont les femmes ?</h3> <p><a name="45482"></a></p> <h3>Quand la pub lave plus vert</h3> <p><a name="45483"></a></p> <h3>Qui doit contrôler la pub ?</h3> <p><a name="Les_grands_enjeux_secteur_par_secteur" id="Les_grands_enjeux_secteur_par_secteur"></a></p> <h2 class="sommaire">Les grands enjeux secteur par secteur</h2> <div class="srub">Automobile</div> <p><a name="45484"></a></p> <h3>Voiture verte : la route est encore longue</h3> <p><a name="45485"></a></p> <h3>Des restructurations en chaîne</h3> <div class="srub">Finances</div> <p><a name="45486"></a></p> <h3>Des financiers encore peu regardants</h3> <p><a name="45487"></a></p> <h3>A quand une gestion d’actifs socialement responsable ?</h3> <p><a name="45488"></a></p> <h3>Le piège du crédit revolving</h3> <div class="srub">Grande distribution</div> <p><a name="45489"></a></p> <h3>Quand les distributeurs veulent se racheter une vertu</h3> <p><a name="45490"></a></p> <h3>Du bio oui, mais surtout importé…</h3> <div class="srub">Energie</div> <p><a name="45491"></a></p> <h3>Energies renouvelables, le parent pauvre</h3> <p><a name="45492"></a></p> <h3>Le cas Total en Birmanie</h3> <div class="srub">Agroalimentaire</div> <p><a name="45493"></a></p> <h3>Danone, ou le yaourt « bon pour la santé »</h3> <div class="srub">Pharmacie</div> <p><a name="45494"></a></p> <h3>Le cercle non vertueux des big pharma</h3> <div class="srub">Télécoms</div> <p><a name="45495"></a></p> <h3>Ces très chers opérateurs des télécommunications</h3> <div class="srub">Transports</div> <p><a name="45496"></a></p> <h3>Copenhague fait pousser des ailes au transport aérien</h3> <p><a name="45497"></a></p> <h3>SNCF : un prix peut en cacher un autre</h3> <div class="srub">Bâtiment</div> <p><a name="45498"></a></p> <h3>Le bâtiment n’est pas encore durable…</h3> <p><a name="45499"></a></p> <h3>La responsabilité sociale est-elle soluble dans la sous-traitance et l’intérim ?, entretien avec Nicolas Jounin</h3> <p><a name="Quel_avenir_pour_la_RSE_?"></a></p> <h2 class="sommaire">Quel avenir pour la RSE ?</h2> <p><a name="45500"></a></p> <h3>Des entreprises sous pression, par Véronique Smée et Anne-Catherine Traore</h3> <p><a name="45501"></a></p> <h3>Un outil pour les salariés, par Natacha Seguin</h3> <p><a name="45502"></a></p> <h3>« Il est important que le mouvement syndical prenne la RSE à bras-le-corps », entretien avec Jean-Paul Raillard</h3> <p><a name="45503"></a></p> <h3>Pour de nouvelles règles publiques, par Pascal Canfin</h3> <div class="srub">Le point de vue des chercheurs</div> <p><a name="45504"></a></p> <h3>Les entreprises vont-elles enfin devenir responsables ?, par Eve Chiapello</h3> <p><a name="45505"></a></p> <h3>De la concurrence à la coopération, par Julienne Brabet</h3> <p><a name="45506"></a></p> <h3>Derrière les initiatives volontaires, de véritables mutations institutionnelles, par Corinne Gendron</h3> <p><a name="45507"></a></p> <h3>A la recherche des nouvelles frontières de l’entreprise, par Jean-Claude Dupuis</h3> <p><a name="45508"></a></p> <h3>« Il faut développer l’esprit critique des jeunes », entretien avec Jean-Christophe Carteron</h3>
Parti National Français
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Natixis: pour 9 mois de présence, un membre du directoire reçoit 1,3 million d'euros
tag:partinationalfrancais.hautetfort.com,2009-04-11:2142225
2009-04-11T12:48:00+02:00
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La banque Natixis est la banque française qui a subi les plus grosses...
<p id="ynw-article-part2">La banque Natixis est la banque française qui a subi les plus grosses pertes en 2008.</p> <p>Pas moins de 2,8 milliards d’euros. Une perte due essentiellement en raison de ses activités de marché.</p> <p>C’est dans un contexte de pertes abyssales, qu’un membre du directoire de la banque, Jean-Pascal Beaufret, a touché un véritable pactole.</p> <p>Jean-Pascal Beaufret n’a siégé que neuf mois comme membre du directoire. De mi-février à fin novembre 2008.</p> <p>En démissionnant, fin novembre, Jean-Pascal Beaufret est parti avec un chèque de 1,3 million d’euros, dont 500.000 euros de « prime d’arrivée ».</p> <p>Selon le Nouvel Observateur, une porte-parole de Natixis a expliqué que l'indemnité "pour préjudice", consécutive à la rupture du contrat de travail de Jean-Pascal Beaufret, fixée à six mois de salaire annuel, se monte à 300.0000 euros.</p> <p>Elle a ajouté qu'une disposition prévoyait initialement qu'en cas de son éviction du directoire, il pouvait bénéficier d'une indemnité équivalente à deux ans et demi.</p> <p>Mais les deux parties sont tombées d’accord pour limiter cette indemnité de départ à 300.000 euros.</p> <p>Selon Libération qui révèle cette affaire, en cumulant prime d’arrivée, salaire fixe (500.647€) et indemnité de départ, Jean-Pascal Beaufret a perçu en neuf mois, chez Natixis, 1,3 million d’euros.</p> <p>Natixis est une filiale commune de la Caisse d'Epargne et des Banques Populaires.</p> <p>Après avoir annoncé la suppression de 1.250 emplois, la banque a précisé qu'elle entendait supprimer cette année près de 166 postes supplémentaires dans l'hexagone.</p> <p>Commentaires du PNF:</p> <p>Le racket à grande échelle par la caste des financiers continue, et ceci en toute impunité. Le vol en col blanc rapporte décidément bien plus que les attaques à main armée, et pour couronner le tout, ces pratiques seraient "légales"... Tout simplement écoeurant.</p> <p>D'ailleurs, cette personne a-t-elle démissionné ou a-t-elle été renvoyée? Depuis quand touche-t-on des primes lorsque l'on démissionne? N'est-ce pas un pousse-au-crime?</p> <p> </p> <p> </p> <p> </p>
Marie-Paule DARCHICOURT
http://blogdemariepauledarchicourt.hautetfort.com/about.html
L' Ecureuil convole !
tag:blogdemariepauledarchicourt.hautetfort.com,2008-10-08:1835051
2008-10-08T16:49:00+02:00
2008-10-08T16:49:00+02:00
Selon l' AFP, le conseil de surveillance de la Caisse d' Epargne a autorisé...
<p>Selon l' AFP, le conseil de surveillance de la Caisse d' Epargne a autorisé le directoire à entamer des discussions avec le groupe Banque Populaire en vue du rapprochement de leurs organes centraux; un rapprochement qui pourrait générer le deuxième groupe bancaire français.</p> <div style="text-align: center"> <div style="text-align: center"> <div style="text-align: center"> <div style="text-align: center"><img src="http://blogdemariepauledarchicourt.hautetfort.com/media/01/00/358295011.jpg" alt="ALeqM5jXQiDM2eL_9uoDOyyv9eDheoFncA.jpg" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" id="media-1319578" /></div> </div> </div> </div> <p>On observera cependant que l' Ecureuil, comme la Banque Populaire, contrôlent paritairement la banque Natixis; Natixis en pleine déconfiture financière et dont le titre s' est effondré de 19,55€ (prix d' introduction en novembre 2006) à 2,30€ ce jour. En conséquence, les Caisses d' Epargne et les Banques Populaires devraient donc logiquement être tenues de provisionner des sommes très importantes dans leurs bilans de fin d' année, d' autant que "Challenge" vient de révèler que les deux groupes ont accru leur participation dans Natixis, passant de 34,50 à 35,25% du capital chacun. Une obligation de provisionner qui pourrait fragiliser leur solvabilité, surtout si la méfiance gagnait leurs clientèles, entraînant des retraits massifs. Tout n' est pas rose dans ce mariage de raison, souhaitons que les petits épargnants n' en fassent pas les frais.</p> <p><strong>Marie-Paule Darchicourt</strong></p> <p> </p> <p> </p>