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Notes sur le tag : michel leiris

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Dernières notes

Michel Leiris, Nuits sans nuit et quelques jours sans jour

                            19-20 mai 1942      Condamné à mort par les Allemands, je prends la chose courageusement jusqu'au moment où l'on me dit qu'on viendra me faire la barbe au début de l'après-midi, dernière toilette avant l'exécution. Cette dernière toilette, événement sur lequel toute...

Publié le 27/06/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Michel Leiris, Le ruban au cou d'Olympia

  À main droite, ma manie de manipuler, démantibuler, désaxer et malaxer les mots, pour moi mamelles imméoriales, que je tète en ahanant.   Murmure barbare, en ma Babel, tu me tiens saoul sous ta tutelle et, bavard balourd, je balbutie.   À ma in gauche, mes machins, mes zinzins, mes zizanies, les soucis (chichis et...

Publié le 22/12/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Bellone ou la pente de la guerre...

Les éditions Flammarion publient dans leur collection de poche Champs l'essai de Roger Caillois intitulé Bellone ou la pente de la guerre . Co-fondateur en 1938 avec Georges Bataille, Michel Leiris et Jules Monnerot, notamment, du Collège de sociologie, Roger Caillois est un penseur inclassable qui s'est intéressé au sacré, au jeu, à la guerre ou au fantastique. Une partie de son oeuvre...

Publié le 21/09/2012 dans Métapo infos par Zed | Lire la suite...

Michel Leiris, Mots sans mémoire

  Marrons sculptés pour Miró                  1   Les poches veuves de cailloux blancs, viens-nous-en où va la ligne qui s'envole sans avoir à jeter du lest                  2   Ciel...

Publié le 04/08/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Michel Leiris, Ondes, Images de marque

                                  Leiris par Giacometti                        Printemps   De gauche à droite ou de cour à jardin égrener le chapelet du vocabulaire et malaxer chacun de ses grains...

Publié le 11/04/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Michel Leiris, Le Ruban au cou d'Olympia

À main droite ma manie de manipuler, démantibuler, désaxer et malaxer les mots, pour moi mamelles immémoriales, que je tète en ahanant. Murmure barbare, en ma Babel, tu me tiens saoul sous ta tutelle et, bavard balourd, je balbutie. À main gauche, mes machins, mes zinzins, mes zizanies, les soucis (chichis et chinoiseries) qui me cherchent noise,...

Publié le 27/11/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Michel Leiris, Journal, 1922-1989

  Contre la tendance (ou mieux : les prétentions) totalitaire du surréalisme : l'artiste n'a pas à se mêler à tout prix de tous les problèmes du jour (qu'il envisage fatalement sous un angle esthétique, mettant de l'art partout, infestant toutes choses, — alors qu'à l'origine il se proposait de nier l'art en abattant ses barrières (ce faisant, il n'a réussi qu'à libérer, rendre plus...

Publié le 31/10/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Michel Leiris, Nuits sans nuit et quelques jours sans jour

                                               16-17 mai 1944         Comme résistant, comme otage ou à tout autre titre je dois être exécuté, et cela donne lieu à une espèce de fiesta amicale. Je fais mes adieux à Z… 1 , très déchirants. Je...

Publié le 13/07/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Michel Leiris, Quelques nuits sans nuit (récits de rêves)

                                         16-17 mai 1944         Comme résistant, comme otage ou à tout autre titre je dois être exécuté, et cela donne lieu à une espèce de fiesta amicale. Je fais mes adieux à Z… ( 1 ) , très déchirants. Je dis adieu aussi...

Publié le 17/05/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Michel Leiris & Georges Limbour, André Masson et son univers

           Dans le feu de l’inspiration        Si les objets des natures mortes — mettons : les pommes — étaient conscients et savaient parler, quels vivants et indiscrets portraits des peintres ils pourraient faire ; car ils connaîtraient leur regard dans l’action, et leurs passions, et leurs...

Publié le 18/04/2011 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

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