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Notes sur le tag : maurice barrès

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Le Chasseur de La Mothe

Le Chasseur de La Mothe , roman historique d'Alcide Marot, est enfin réédité ! Le Lorrain Alcide Marot publia cette chronique en 1892 s'inscrivant dans le courant du fort sentiment identitaire lorrain qui alimenta une riche vie intellectuelle entre la deuxième moitié du XIXe siècle et le premier quart du XXe. Une belle relation d'amitié  le liait à Georges Sadoul, le rédacteur en chef...

Publié le 11/12/2012 dans Histoire &... par HISTOIRE & PATRIMOINE BLEURVILLOIS | Lire la suite...

Maurice Barrès : Les déracinés

Ce roman – paru en 1897 – est le plus connu des textes  de l’œuvre de Maurice Barrès (1862-1923) alors que paradoxalement, il n’est pas romancier mais essayiste, chroniqueur, journaliste. Le roman débute à Nancy, dans un lycée où nous faisons connaissance d’un groupe de sept jeunes hommes à l’aube de leur vie et de leur professeur de philosophie, représentation du républicain kantien...

Publié le 09/10/2012 dans Le Bouquineur par Le Bouquineur | Lire la suite...

Les 150 ans de Maurice Barrès

[Vosges Matin]

Publié le 19/08/2012 dans Histoire &... par HISTOIRE & PATRIMOINE BLEURVILLOIS | Lire la suite...

Ernst Jünger, lecteur de Maurice Barrès

Harald HARZHEIM: Ernst Jünger, lecteur de Maurice Barrès Nationalisme, culte du moi et extase “Je ne suis pas national, je suis nationaliste”: cette phrase a eu un effet véritablement électrisant sur Ernst Jünger, soldat revenu du front après la fin de la première guerre mondiale qui cherchait une orientation spirituelle. Soixante-dix ans plus tard, Jünger considérait toujours que...

Publié le 12/04/2012 dans Euro-Synergies par Ratatosk | Lire la suite...

L’AIGLON DE ROSTAND, POÈME DE L’IMPUISSANCE HISTORIQUE

            20 mars 2011. Aujourdhui, bicentenaire de la naissance de Napoléon II, le roi de Rome. Le 20 mars 1811 fut l’un des jours les plus heureux de la vie de Napoléon : ce jour-là, il put croire que la naissance de ce garçon assurait l’avenir de sa lignée, faisant de lui non pas un météore, mais un fondateur de dynastie. L’avenir,...

Publié le 20/03/2011 dans Dernière gerbe par Le déclinologue | Lire la suite...

Le 2 novembre de Maurice Barrès. Sur le tombeau d’un homme libre, par Raphaël Dargent...

Crédits photographiques : Christopher Furlong (Getty Images). Tous les infréquentables . C’est à chaque fois le même rituel. Recommencé chaque année, à la même époque. Penché sur la tombe de mes aïeux, ce matin de novembre, alors qu’un fin brouillard enveloppe la ville, j’arrache une à une, méticuleusement, les petites mousses vertes qui ont poussé entre les graviers de la dalle....

Publié le 22/02/2011 dans STALKER -... par Juan Asensio | Lire la suite...

Un oublié de la Pléiade

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Publié le 13/01/2011 dans off-shore par nauher | Lire la suite...

Les Cahiers de Maurice Barrès

"Peut-on sauver Barrès, faire relire aujourd'hui ses Cahiers ? Le temps serait-il venu de tirer l'auteur du Culte du moi , des Déracinés , de La colline inspirée , mort en 1923, du purgatoire où il séjourne depuis un bon demi-siècle ? Barrès est un antimoderne exemplaire, car nul ne fut plus ambivalent, plus joueur que lui à l'égard de la modernité, à la fois partie prenante de...

Publié le 08/11/2010 dans Histoire &... par HISTOIRE & PATRIMOINE BLEURVILLOIS | Lire la suite...

Maurice Barrès : Les déracinés

Ce roman – paru en 1897 – est le plus connu des textes  de l’œuvre de Maurice Barrès (1862-1923) alors que paradoxalement, il n’est pas romancier mais essayiste, chroniqueur, journaliste. Le roman débute à Nancy, dans un lycée où nous faisons connaissance d’un groupe de sept jeunes hommes à l’aube de leur vie et de leur professeur de philosophie, représentation du républicain kantien...

Publié le 06/07/2010 dans Corboland78 par Le Corbeau 78 | Lire la suite...

Tant de beau monde pour un poivrot !

Lorsque meurt sa mère en 1886, Verlaine perd le dernier soutien moral et matériel à même de le protéger de la misère absolue qui le guette. Errant de garnis en chambres d’hôpital (Broussais, Cochin, Tenon, Saint-Louis, Bichat) durant les neuf dernières années de sa vie, cet homme malade malgré la force de l’âge (entre 42 et 52) va passer les neuf dernières années de sa vie à Paris, dans...

Publié le 08/01/2010 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

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