Last posts on maraîchage2024-03-28T16:49:29+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/maraîchage/atom.xmlAlbert Dreslonhttp://vanvesauquotidien.hautetfort.com/about.htmlUN RENDEZ-VOUS INCONTOURNABLE AUX PORTES DE VANVES : Le Salon de l’Agriculture avec son stand francilientag:vanvesauquotidien.hautetfort.com,2017-02-22:59135282017-02-22T05:00:00+01:002017-02-22T05:00:00+01:00 Si le salon de l’agriculture sera inauguré samedi par F.Hollande,...
<p><img src="http://vanvesauquotidien.hautetfort.com/media/02/02/752029734.JPG" id="media-5570796" alt="" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial, helvetica, sans-serif; font-size: 14pt;"><strong>Si le salon de l’agriculture sera inauguré samedi par F.Hollande, le stand de l’Ile de France (Hall 3 Allée A – Stand 080) le sera dimanche matin par Valérie Pécresse… et Bernard Gauducheau conseiller régional (UDI) qui sera sûrement présent. Il mettra en avant le nouveau visage de l’agriculture francilienne digitale, connectée et innovante. Ses visiteurs pourront suivre le travail des drones survolant des mini champs de céréales, tester des lunettes en réalité augmentée pour une immersion totale dans la campagne francilienne ou découvrir l’Ile de France agricole via une carte interactive. Un espace sera entièrement dédié aux boulangers de la première région meunière de France, qui chaque jour partageront leur savoir-faire historique et fabriqueront sur place les pains avec les céréales issues d’IDF. Une opération menée avec le soutien des coopératives et de 4 meuniers régionaux. Un marché de produits locaux (macarons, bières artisanales, menthe poivrée de Milly-la-Forêt, moutarde de Provins, yaourts fermiers, confitures, etc.) complétera la visite.</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Près de la moitié du territoire francilien est agricole. Loin de la caricature urbaine qu’elle véhicule encore trop souvent, l’IDF est une grande région agricole, riche de terres parmi les meilleures d’Europe et de la proximité de 12 millions de consommateurs. C’est une terre propice au maraîchage, à l’arboriculture, à l’élevage et bien sûr à la culture céréalière dont les performances sont parmi les plus élevées d’Europe et du monde. Avec plus de 3.2 millions de tonnes de céréales produites sur son territoire, 22 moulins et 43 000 personnes employées dans le secteur, l’IDF est la plus grande région meunière française. La filière céréalière y est particulièrement dynamique et innovante, tant sur le plan technologique que structurel: diversification des cultures (quinoa et lentilles par exemple), non-labour comme solution d’enrichissement des sols, microbrasseries, etc.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Pour valoriser ces atouts incomparables, les agriculteurs franciliens ont fait depuis longtemps le choix de l’innovation. Et le Salon International de l’Agriculture est l’occasion, chaque année, à cette époque, de partir à la découverte de cette agriculture francilienne résolument tournée vers l’avenir et de celles et ceux qui la font vivre ! L’IDF est un incubateur du modèle agricole de demain. Oubliés les vieux clichés, l’agriculteur francilien est ultra connecté. Station météo en réseau, capteurs sur moissonneuse, logiciels de gestion connectés, utilisation de drones sur les parcelles, robots agricoles d’assistance à la récolte… de nouvelles technologies qui permettent une meilleure précision et performance, en respectant l’environnement. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 14pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif;">Il faut savoir que 79% des agriculteurs utilisent internet (soit plus que la moyenne française), 46% des agriculteurs sont équipés de GPS en 2013, 50% des agriculteurs français qui s’installent en laitier achètent un robot de traite, 8000 agriculteurs en France utilisent des drones. Attachés à faire connaître et reconnaître leur métier, les agriculteurs sont de plus en plus présents sur Internet et les réseaux sociaux. Au-delà des informations, ils partagent également leurs matériels, grâce à des applications de mise en réseau et ils impliquent les citoyens dans le financement de leurs projets, via des plateformes de crowdfunding. La vente directe, elle aussi, innove : potagers connectés, distributeurs automatiques sur l’exploitation, regroupement de producteurs au sein de « Drive Fermier » et réseau «Bienvenue à la Ferme », les initiatives se multiplient. </span></p>
Opapilleshttp://opapilles.hautetfort.com/about.htmlUn potager collectif, le Pot’coltag:opapilles.hautetfort.com,2014-06-04:53830132014-06-04T06:19:00+02:002014-06-04T06:19:00+02:00 A Dijon, 6 hectares promis à l’urbanisation sont occupés depuis quatre ans....
<strong>A Dijon, 6 hectares promis à l’urbanisation sont occupés depuis quatre ans.</strong> Un paysage hybride et apaisant, une zone plus bucolique qu’horticole parsemée de haies, d’arbres et de chemins sinueux. Le «quartier libre des Lentillères» est composé d'un potager collectif, le Pot’col, un hectare de terre pour cultiver ensemble fraises, patates, choux, radis, épinards. </br><br /><p style="text-align: center"><img src="http://opapilles.hautetfort.com/media/02/00/2413166743.jpg" id="media-4580397" title="" alt="potagers,collectif,maraîchage,jardinage,sciences sociales" style="margin: 0.7em 0;" /></p><br /><strong>Selon Yannick Sencébé, sociologue du monde rural à l’Inra de Dijon</strong>, qui a fait du potager des Lentillères son terrain d’études, on vient autant pour le lien social que pour la production, à partir, d’une posture de participation observante, chacun choisit sa parcelle et se l’approprie. Vient ensuite «l’espace des maraîchers», grande parcelle horticole, dont la production permet d’alimenter un marché à prix libres, chaque jeudi soir, où se pressent de plus en plus de Dijonnais. Antoine, l’un des maraîchers, vit sur place et partage son temps de travail entre les Lentillères et d’autres terres à 30 kilomètres de là. «Monomaniaque du jardin», il a «découvert ici l’autogestion, le collectif», une expérience qu’il espère valoriser au sein d’une ferme collective.</br><br />Pour en savoir plus sur ce projet, on peut consulter le site <a href="http://www.liberation.fr/terre/2014/05/22/subversion-maraichere_1024398" target="_blank">liberation.fr</a>
Opapilleshttp://opapilles.hautetfort.com/about.htmlAvril et mai, les mois de pleine saisontag:opapilles.hautetfort.com,2012-06-14:47463532012-06-14T05:32:00+02:002012-06-14T05:32:00+02:00 Avril et mai, sont normalement des mois de pleine saison pour le...
<p><strong>Avril et mai, sont normalement des mois de pleine saison pour le maraîchage.</strong> Or, les pluies répétées et les températures nocturnes basses de ces derniers temps provoquent des pertes de plantes et des retards dans les récoltes. En Gironde, au mois de mai les nuits ont été froides, la température est même descendue jusqu’à 0 °C, dans la première quinzaine ». Les plantes en ont souffert et certaines, parmi lesquelles des radis et des salades, se sont noyés. Les semis de carottes ont aussi dû être refaits. Le basilic a gelé et les fèves ont trois semaines à un mois de retard. Seule la pomme de terre d’Eysines a bien résisté.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-3623541" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://opapilles.hautetfort.com/media/00/01/1346139567.jpg" alt="alimentation,alimentation biologique,amap,maraîchage,maraicher,pluie,potager,gironde" /></p><p><strong>Le système d’Amap engage les gens par contrats</strong> pour certaines quantités et protège un maraîcher de ce type d'aléas. Mais certains Amapiens risquent de ne pas comprendre le manque de diversité des produits proposés dans les paniers hebdomadaires et quittent le circuit à la fin du contrat.</p><p>Source l'artcile d'Elsa Provenzano du journal 20 minutes</p>
Opapilleshttp://opapilles.hautetfort.com/about.htmlL'histoire des légumestag:opapilles.hautetfort.com,2010-04-24:27020662010-04-24T05:58:00+02:002010-04-24T05:58:00+02:00 Les premiers hommes du Paléolithique vivaient de chasse et de cueillette ,...
<p style="margin-bottom: 0.5cm;"><b>Les premiers hommes du Paléolithique vivaient de chasse et de cueillette</b>, les seuls fruits et légumes consommés étaient des espèces sauvages, des baies, des salades ou épinards primitifs.<br /> Puis durant le Néolithique, on apprit à conserver certaines plantes comestibles d'une saison sur l'autre grâce à leurs graines Les plantes, sélectionnées pour leurs qualités étaient replantées et donnaient ainsi des plantes améliorées. Ensuite, le greffage a permis de créer des variétés plus résistantes ou plus nourrissantes. Bien plus tard, les variétés hybrides, issues de croisements entre des individus de lignées différentes, apparurent. L'agriculture a commencé 7000 av. J-C., dans le croissant fertile, vaste région allant de la Mésopotamie à l'Egypte. Les potagers du pharaon Chéops, étaient riches de fruits et légumes variés : melons, radis, ail, laitues, concombres, asperges, lentilles, poireaux, prunes, dattes...<br /> 4000 av.J-C., <b>l'arboriculture et le maraîchage apparaissent et deviennent une activité majeure des peuples de la Méditerranée</b>. Les Romains rapportent de l'Orient et des côtes africaines, des plants de légumes et d'arbres fruitiers : le cédrat, le fenouil et la rhubarbe, l'artichaut... et exportent vers le nord la vigne, l'olivier, les salades, les choux dans le nord. La seule culture de légumes connue des peuples celtes de Gaule étaient celle de la carotte. A noter tout de même que les Gaulois étaient d'excellents céréaliers et que leurs outils de moissons étaient largement supérieurs à ceux de leurs conquérants...</p> <div style="text-align: center"><img src="http://opapilles.hautetfort.com/media/02/01/1608518183.png" id="media-2404356" alt="histoire-legumes.png" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></div> <p style="margin-bottom: 0.5cm;"><b>Durant le Moyen-Age, les paysans mangeaient manger des légumes racines</b> comme la carotte, le navet, le topinambour ou la betterave. Ces légumes étaient jugés impurs et réservés aux paysans car en contact avec la terre. Par ailleurs, on cultivait des choux, des courges et des poireaux. A l'époque de la Renaissance, l'influence italienne fait revenir sur les tables de France une plus grande variété de fruits et de légumes verts. Autour des grandes villes des ceintures maraîchères sont consacrées à la culture des fruits et légumes<span style="color: #b93933;"><span style="font-size: x-small;"><b>.<br /></b></span></span>Les fruits et légumes frais allaient s'imposer sous le règne de Louis XIV. On mit au point des cultures sous cloches qui permettaient de faire pousser hors saison des fraises, des melons, du cresson et toutes sortes de salades, de l'oseille, des aubergines originaires de l'Inde, des concombres, des asperges, des petits pois<span style="color: #b93933;"><span style="font-size: x-small;"><b>...</b></span></span></p> <p style="margin-bottom: 0.5cm;"><b>La pomme de terre, la tomate, le maïs et le cacao, cultivés dans la Cordillère des Andes par les tribus Incas, ont été introduits en Europe</b> par les Espagnols. Parmentier, pharmacien militaire, rédigea un Traité sur la culture et l'usage de la pomme de terre, pour faire accepter ce nouveau légume. Plus tard, le gouvernement révolutionnaire adopta la pomme de terre pour sauver le peuple de la disette. Les Marseillais, montés à Paris pendant la Révolution, firent apprécier la tomate aux consommateurs parisiens. Les fruits et légumes frais, à partir du XIXe siècle, vont entrer dans les menus quotidiens des peuples d'Europe, mais jusqu'au milieu du XXe siècle, la base de l'alimentation reste la viande, le pain, la pomme de terre, le chou, la carotte... La connaissance des vertus des fruits et légumes frais va se diffuser partout dès les années 50.</p> <p style="margin-bottom: 0.5cm;"><b>A mesure que le niveau de vie s'élève, la qualité de la nourriture consommée s'équilibre</b> : moins de viande et de pain, plus d'aliments riches en fibres et en vitamines. Aujourd'hui, les fruits et légumes frais ont conquis le monde entier. La variété des fruits et légumes actuels n'empêche pas la redécouverte de légumes oubliés comme le pâtisson, la roquette, le mesclun, le pourpier, le topinambour, le rutabaga, le panais, le pissenlit, l'ortie, les fleurs comestibles...</p> <p style="margin-bottom: 0.5cm;">Pour en savoir plus, on peut consulter le site <a title="L'histoire des légumes" href="http://www.fraichattitude.fr/fruits-legumes-l-histoire-des-fruits-et-legumes.html">fraichattitude.fr</a></p>
Opapilleshttp://opapilles.hautetfort.com/about.htmlCe soir, c'est la clôture du salon de l'agriculturetag:opapilles.hautetfort.com,2008-03-02:14932952008-03-02T13:41:00+01:002008-03-02T13:41:00+01:00 Volente, la superbe rouge des prés à l'affiche du salon de...
<p style="margin-bottom: 0cm"> </p> <p style="margin-bottom: 0cm"><img src="http://opapilles.hautetfort.com/media/00/02/1915589637.gif" id="media-879207" alt="384620673.gif" style="border-width: 0pt; margin: 0.2em 0pt 1.4em 0.7em; float: right" />Volente, la superbe rouge des prés à l'affiche du salon de l'agriculture rentrera chez elle.<br /> Ce salon a été l'occasion de fêter le centenaire de la race des rouges des prés obtenue par croisement de la race laitère « la mancelle » et de la race bouchère « la durham ». En 2007, le revenu moyen des agriculteurs s'est amélioré mais les disparités sont grandes d'un secteur à l'autre. L'évolution du revenu moyen par actif non salarié entre 2006 et 2007, -55% pour le maraîchage et -35% pour les fruits alors qu'on atteint pratiquement +100% pour les céréales. Ces résultats confortent mon projet de proposer les produits du Val d'Oise avec un rapport qualité prix intéressant à la fois pour le producteur et le consommateur. </p> <p style="margin-bottom: 0cm"> </p> <p style="margin-bottom: 0cm"> </p>