Last posts on maoïsme2024-03-28T10:12:13+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/maoïsme/atom.xmlRatatoskhttp://euro-synergies.hautetfort.com/about.htmlXi Jinping et l'adaptation du maoïsme à la réalité contemporainetag:euro-synergies.hautetfort.com,2024-01-08:64793022024-01-08T19:14:58+01:002024-01-08T19:14:58+01:00 Xi Jinping et l'adaptation du maoïsme à la réalité contemporaine...
<p style="text-align: center;"><strong><span style="font-size: 14pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;"><img id="media-6502984" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/01/00/3033683193.jpg" alt="17032018_xi_jinping.jpg" /></span></strong></p><p><span style="color: #ff6600; font-family: 'arial black', sans-serif; font-size: 24pt;"><strong>Xi Jinping et l'adaptation du maoïsme à la réalité contemporaine</strong></span></p><p><span style="font-size: 18pt; font-family: 'arial black', sans-serif;"><strong><span style="color: #999999;">Luca Bagatin</span></strong></span></p><p><span style="color: #999999; font-family: 'arial black', sans-serif; font-size: 12pt;"><strong>Source: https://electomagazine.it/xi-jinping-e-ladeguamento-del-maoismo-alla-realta-contemporanea/</strong></span></p><p><strong><span style="font-size: 14pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Le 26 décembre a marqué le 130ème anniversaire de la naissance de Mao Tsé-Toung, père fondateur de la Chine socialiste et héros de la libération de l'oppression, non seulement de la Chine, mais aussi de la plupart des pays du tiers-monde.</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 14pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Le récent article que Ben Chacko, rédacteur en chef du journal britannique d'inspiration socialiste <em>Morning Star,</em> a consacré à la mémoire de Mao, en établissant des parallèles avec l'actuelle direction socialiste chinoise dirigée par le président Xi Jinping, est très intéressant.</span></strong></p><p style="text-align: center;"><strong><span style="font-size: 14pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;"><img id="media-6502985" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/00/01/1179596721.jpg" alt="_methode_sundaytimes_prodmigration_web_bin_d9fe1cfb-db2c-4a6e-9ff0-23e21a28d038.jpg" /></span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 14pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Ben Chacko (photo), qui a vécu en Chine pendant plusieurs années, estime que l'idée que beaucoup se font de Xi Jinping en tant que "révisionniste du maoïsme" est totalement erronée, soulignant que les dirigeants chinois, tous autant qu'ils sont, n'ont jamais accepté l'idée que la Chine ait pu rompre avec Mao et sa vision de la construction d'une société socialiste.</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 14pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Chacko reconnaît qu'il existe des parallèles entre Mao et Xi Jinping, notamment en ce qui concerne la nécessité de lutter contre la corruption interne, de répandre la prospérité économique dans tout le pays et de devenir le chef de file d'un nouveau mouvement de décolonisation et de promotion de l'essor du Sud mondial (pensez à la promotion par le président Xi de l'alliance des BRICS et de la Nouvelle route de la soie elle-même, ainsi qu'aux excellentes relations de la Chine moderne avec tous les pays du Sud mondial).</span></strong></p><p style="text-align: center;"><strong><span style="font-size: 14pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;"><img id="media-6502986" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/00/02/2498267470.jpg" alt="web-dubios.jpg" /></span></strong></p><p style="text-align: center;"><strong><span style="font-size: 14pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;"><img id="media-6502987" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/02/02/1184011219.jpg" alt="9781108798778i.jpg" /></span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 14pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">En fait, la Chine maoïste, bien plus que l'Union soviétique, a fait tout son possible pour promouvoir les mouvements de libération du colonialisme dans tous les pays du tiers-monde, ce qui est probablement dû à l'influence de William Edward Burghardt Du Bois (1869-1963) (photo) sur Mao, essayiste et sociologue américain qui fut l'un des premiers à lutter pour les droits civiques des Noirs, ami proche de Mao, candidat du Parti travailliste américain dans l'État de New York à l'âge de 82 ans, obtenant par suite 4% des voix, et qui, à un âge avancé, adhéra au Parti communiste des États-Unis d'Amérique.</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 14pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Dans son article, Ben Chacko note que la République populaire de Chine n'a en fait jamais rompu avec le maoïsme : "En 2003, le président de l'époque, Hu Jintao, a fait l'éloge de Mao pour avoir apporté "les changements sociaux les plus profonds et les plus importants de l'histoire de la Chine". C'est sous Deng que le parti a émis le fameux verdict selon lequel Mao avait 70% de raison et 30% d'erreur".</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 14pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Il poursuit en soulignant que le président Hu avait déjà renforcé la loi sur les contrats de travail en 2007, notant "l'impact négatif de la marchandisation sur les droits des travailleurs".</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 14pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Chacko souligne également que le président Xi, bien que d'orientation socialiste réformiste comme ses prédécesseurs, a déplacé la politique du parti communiste chinois vers la gauche, en subordonnant "la croissance économique à l'équité et aux considérations environnementales et écologiques".</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 14pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Et comment il promeut l'éducation publique au détriment de l'éducation privée, et comment il traite le marché avec plus de suspicion, en promouvant "une éthique plus égalitaire, en sévissant contre les milliardaires et en demandant au gouvernement de réguler les "revenus excessifs" des classes supérieures".</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 14pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Dans son article, Ben Chacko souligne également comment "Xi a promu une culture du volontariat, en incitant les étudiants à passer leurs vacances dans les régions rurales les plus pauvres pour travailler sur des projets de développement, et a jumelé des régions riches avec des régions pauvres, avec une obligation légale pour les premières d'investir dans les secondes". Il a également appelé les diplômés de l'université et les hommes d'affaires à s'installer dans leurs villes natales afin d'encourager un mouvement de "revitalisation rurale" qui se perdait peu à peu dans la Chine moderne et hyper-technologique.</span></strong></p><p><strong><span style="font-size: 14pt; font-family: arial, helvetica, sans-serif; color: #999999;">Il est certain que l'on se souviendra des dirigeants socialistes chinois actuels comme on s'est souvenu de l'épopée de Mao. Un marxisme renouvelé avec des caractéristiques chinoises et des aspects socialistes réformistes qui, malheureusement, dans notre Europe et dans notre Occident (en excluant évidemment l'excellente Amérique latine socialiste avec, en tête, Cuba, le Mexique, le Nicaragua, le Brésil, la Colombie, le Venezuela, pour ne mentionner que quelques réalités socialistes sérieuses), semblent avoir été oubliés pendant de trop nombreuses décennies.</span></strong></p>
Zedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.htmlMaoïsme et tradition...tag:metapoinfos.hautetfort.com,2021-06-18:63221172021-06-18T16:00:00+02:002021-06-18T16:00:00+02:00 Les éditions ars magna viennent de publier un long article de Claudio...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 12pt;">Les éditions ars magna viennent de publier un long article de <strong>Claudio Mutti</strong> intitulé <em><strong>Maoïsme et tradition</strong></em>. Philologue, directeur de la revue <em>Eurasia</em>, Claudio Mutti a également été une des figures du traditionalisme révolutionnaire italien de la fin du vingtième siècle... </span></p><p> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-6268706" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/00/01/3120868760.jpg" alt="Mutti_Maoïsme et tradition.jpg" /></p><div id="tab-description" class="tab-pane active"><blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 12pt;">" La pensée de Mao Tse Tong ne fut-elle qu’une version chinoise du marxisme-léninisme ou fut-elle quelque chose de très différent issu de Marx mais aussi de bien d’autres sources ? Telle est la question que pose le traditionaliste italien Claudio Mutti.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: verdana, geneva, sans-serif; font-size: 12pt;">Et sa réponse a de quoi surprendre et déranger. En effet, pour lui, la pensée de Mao Tse Tong est étroitement redevable au taoïsme et à la Tradition propre du peuple Chinois. Ceci permet à Claudio Mutti de tresser des liens entre les écrits de Mao Tse Tong, de Corneliu Codreanu et de Ferenc Szalazi. "</span></p></blockquote></div>
Jacques-Emile Mirielhttp://jemiriel.hautetfort.com/about.htmlLe concept de révolutiontag:jemiriel.hautetfort.com,2017-03-01:59162382017-03-01T00:17:00+01:002017-03-01T00:17:00+01:00 Dans son livre paru fin 2016, Relire la Révolution ,...
<p style="text-align: left;"><img id="media-5575096" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://jemiriel.hautetfort.com/media/02/01/2074011041.jpg" alt="cy-twombly-untitled-eckhart.jpg" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 12pt;"> Dans son livre paru fin 2016, <em>Relire la Révolution</em>, Jean-Claude Milner réfléchit de manière tout à fait passionnante sur le concept de "révolution". Plus précisément, il met en perspective la Révolution française avec les deux autres grandes révolutions du XXe siècle, la russe et la chinoise. En fait, il s'attarde surtout sur la première des trois, dont il décrit les caractères spécifiques, presque la grandeur, et ce qu'elle eut d'unique. Milner a été maoïste dans les années 70, au temps de la révolution culturelle en Chine. On comprend à le lire aujourd'hui qu'il ne l'est sans doute plus du tout. Il n'hésite pas, dans ce livre, à faire des réserves sur les révolutions au XXe siècle, mais c'est pour mieux adhérer à l'idéal fondateur de la Révolution française, en particulier à travers le personnage charismatique de Robespierre. Si Milner critique la Terreur, il estime que le rôle de Robespierre, contrairement à celui de Saint-Just, a été de vouloir en sortir : "pour prix de sa clairvoyance, écrit Milner de Robespierre, il porta la responsabilité des errements qu'il combattait. La Terreur se termina, comme il le souhaitait, mais il en fut l'une des dernières et plus glorieuses victimes." Milner pense par conséquent que tout ne fut pas mauvais dans le bloc de la Révolution, à condition d'y aller avec circonspection. La "croyance révolutionnaire", qui trouve ici son origine, est très ambiguë et même mauvaise dans sa postérité : "elle n'est rien de plus qu'une longue erreur, écrit même Milner. La révolution française [Milner écrit "révolution française" avec un r minuscule] est radicalement hétérogène aux révolutions idéales qui se réclament d'elle." Cette mise à l'écart des révolutions russe et chinoise par l'auteur me semble assez notable pour être soulignée. Il n'y a guère que les situationnistes, jadis, qui faisaient dans leurs écrits une telle distinction. Ils avaient bien vu où était le mal, et Milner aujourd'hui me semble marcher sur les mêmes traces. En tout cas, son essai livre une pensée qui n'a pas peur de s'affronter aux grandes questions qui se posent encore, même si pour le moment la "croyance révolutionnaire" ne nous semble plus aussi imminente et impérieuse qu'elle le fut. Peut-être ce temps reviendra-t-il, cependant, et alors il faudra être prêt.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times,serif; font-size: 10pt;">Jean-Claude Milner, <em>Relire la Révolution. </em>Éd. Verdier, 2016, 16 €.</span></p>
Cinéma militanthttp://cinemamilitant.hautetfort.com/about.htmlChine, le nouvel empire: de l'humiliation à la domination. 1911-2013tag:cinemamilitant.hautetfort.com,2015-07-21:56604212015-07-21T15:20:00+02:002015-07-21T15:20:00+02:00 Réalisation: Jean-Michel Carré Année de sortie: 2013 Pays: France...
<p lang="zxx" style="margin-bottom: 0cm;"><strong><img id="media-5106323" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://cinemamilitant.hautetfort.com/media/00/01/1762748935.jpg" alt="Chine, le nouvel empire de l'humiliation à la domination 1911-2013,Mao Tsé-Toung , Deng Xiaoping, Hu Jintao,Chine, documentaire, Jean-Michel Carré,2013" />Réalisation:</strong> Jean-Michel Carré</p><p lang="zxx" style="margin-bottom: 0cm;"><strong>Année de sortie:</strong> 2013</p><p lang="zxx" style="margin-bottom: 0cm;"><strong>Pays:</strong> France</p><p lang="zxx" style="margin-bottom: 0cm;"><strong>Durée:</strong> 3 x 1h</p><p lang="zxx" style="margin-bottom: 0cm;" align="justify">Comportant de nombreuses images d'archives ainsi que des entretiens avec des ressortissants chinois de couches sociales diverses, ce documentaire en trois parties narre l'histoire de la Chine depuis les guerres de l'opium jusqu'en 2013.</p><p lang="zxx" style="margin-bottom: 0cm;" align="justify">La première partie (<em>la Chine s'éveille</em>) finit avec la mort de Mao Tsé-Toung en 1976. La seconde (<em>la Chine s’affirme</em>), consacrée au programme dit des quatre modernisations et à l'introduction de parcelles d'économie de marché dans le pays, s'arrête avec les événements de la place Tian'anmen en 1989. La troisième partie (<em>la Chine domine</em>) décrit le projet de "société harmonieuse" lancé par Hu Jintao en 2003 qui a cours encore aujourd'hui.</p><p lang="zxx" style="margin-bottom: 0cm; text-align: justify;">Selon ce documentaire, la Chine serait actuellement la deuxième puissance économique mondiale et serait en passe de devenir la première.</p><p lang="zxx" style="margin-bottom: 0cm;"> </p><p lang="zxx" style="margin-bottom: 0cm; text-decoration: none;">un entretien avec le réalisateur:</p><p><iframe width="360" height="270" src="https://www.youtube.com/embed/PzcEk1PsOnM?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p>
Ratatoskhttp://euro-synergies.hautetfort.com/about.htmlEl Archipiélago Orwelltag:euro-synergies.hautetfort.com,2015-05-14:56190952015-05-14T00:05:00+02:002015-05-14T00:05:00+02:00 Archivio 2002 El Archipiélago Orwell Ex:...
<p><span style="font-size: large; font-family: arial black,avant garde;"><strong><span style="color: #c0c0c0;">Archivio 2002</span></strong></span></p><p><span style="font-size: xx-large; font-family: arial black,avant garde; color: #ff6600;"><strong><span>El Archipiélago Orwell </span></strong></span></p><p><span style="font-family: arial black,avant garde;"><strong><span style="color: #c0c0c0; font-size: small;"><span style="font-size: large;">Ex: http://www.galeon.com/razonespanola</span> </span></strong></span></p><p><strong><span style="color: #c0c0c0; font-family: arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Rosúa, Mercedes. <em><span style="color: #99cc00;">El Archipiélago Orwell.</span></em> Grupo Unisón Ediciones. Madrid, 2002, 488 páginas.<br /> <br /> <img id="media-5034567" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/01/01/2787738499.jpg" alt="george-orwell-nsa.jpg" />La implantación del comunismo en China en 1949, después de una prolongada guerra civil, en cuyo desenlace jugó un importante papel la incomprensión del problema por parte del gobierno de los Estados Unidos miembros de la Secretaría de Estado veían en Mao Tse tung, no un marxista leninista, sino a un «reformador agrario»-, supuso la realización de los experimentos sociales de consecuencias más desoladoras en la historia de la humanidad. Ante la magnitud de los datos que se conocen hoy, es muy posible que, en número de víctimas, se superase incluso las terribles cifras del estalinismo. Sobre dichas consecuencias trágicas existen numerosísimos testimonios no sólo de estudiosos occidentales, sino originales chinos.<br /> <br /> Pero el libro de la doctora Rosúa, catedrática de Lengua y Literatura, supone el enfoque del problema desde perspectivas nuevas, en gran parte desconocidas. La autora no sólo ha sido una estudiosa de las consecuencias del «Gran Salto adelante», la campaña de «Las cien flores» o la «Revolución Cultural», sino que vivió y enseñó en China durante varios años en plena efervescencia de la misma, experimentando personalmente en la vida cotidiana de diferentes centros de enseñanza los terribles efectos de la más gigantesca campaña de agitación de masas en la historia humana.<br /> <br /> El título del extenso y apretado libro es sumamente acertado . Las premoniciones de Orwell en su más conocida obra: «1984» inspiradas en su época indudablemente en el estalinismo, con su «lavado de cerebro" sobre las masas, el dominio y control total de la mente, no sólo fueron llevadas a la realidad en la China maoista, sino que superan las predicciones orwelianas. De forma más absoluta, si cabe, en el control del pensamiento, en el uso del «doblepensar», de la neolengua, sin necesidad de utilizar instrumentos técnicos como los descritos en la fantasía de Orwvell, como las máquinas repetitivas, o la especie de televisores-receptores vigilando la intimidad. No, la «revolución cultural», y el culto al nuevo «gran hermano orwelliano» -Mao- y a las consignas cambiantes del partido, se impone sin necesidad de técnica, sino de modo más eficaz, mediante el control y la sumisión total de las conciencias. Y cuando el ser humano se convierte en esclavo mediante la sumisión total del propio pensamiento, sólo cabe el suicidio como escape a la auto-tiranía controladora.<br /> <br /> Mercedes Rosúa, a lo largo de la obra, extensa y sumamente apretada como antes decíamos, ofrece numerosos ejemplos por ella vividos en diferentes centros de enseñanza del Estado chino verdaderamente estremecedores. El control del pensamiento, la sumisión a las normas y consignas impuestas por el partido ofrecen paralelismos increibles con el «1984» de Orwell. Así las consignas del odio contra los que ayer eran líderes y camaradas de armas del presidente Mao y ejemplo para el partido comunista, constituyen el más fiel reflejo de la «semana del odio» orweliana. De golpe un ultraizquierdista como el íntimo amigo, seguidor y fiel discípulo del déspota Mao, cual era Lin Piao, se transforma en el reptil más venenoso y repugnante; el comunista puro y ejemplo para el partido pasa a ser un ultraderechista rabioso, fascista, traidor que busca la restauración del capitalismo. Rosúa asiste a sesiones donde se corean las consignas, donde se siguen furibundamente, sin que quepa la más mínima reserva mental, no ya contra Confucio y Mencio cuyas obras así como la cultura clásica deben ser destruidas, sino contra los políticos, profesores, intelectuales del partido, acusados de revisionismo, oportunismo y de traidores al proletariado, al campesinado, y enemigos del pueblo.<br /> <br /> Se exalta con lo que nos parecería verdadero infantilismo, sino fuese algo trágico, a héroes populares para los que se intentan leyendas e historias magnificadoras de su papel en circunstancias heroicas. Así se habla de un alumno que se lanza sin vacilar entre las llamas de un incendio para salvar los bienes del Estado. Al recobrar el conocimiento en el hospital, lo primero que preguntó fue «¿Cómo están los bienes del Estado?»<br /> <br /> En una especie de catecismo laico maoista, el profesor escribe en una pizarra lo que no es correcto, utiliza la neolengua para la doble expresión de conceptos antaño burgueses, y repite sin cesar temas memorizados, preguntando al alumno: «¿Eres tu buen alumno del presidente Mao?. Si lo soy. ¿Por qué? Porque estudio todos los días las obras escogidas del presidente Mao» Los ejemplos por ella vividos ofrecidos por la autora en el Instituto de Lenguas Extranjeras, en otros centros en Pekín, en Xian, en el Hotel de la Amistad entre los Pueblos, etc. resultan abrumadores. Rosúa penetra hasta lo más íntimo en la mentalidad china más que deformada, creación de nuevo cuño, del maoismo. Mao admira al mítico emperador Shi Huang ti, pero lo supera en su crueldad en la consecución no del poder material, sino en la consecución del hombre nuevo. Los experimentos anteriores tan terribles de Lenin y de Stalin en esa consecución de un nuevo especímen, el «homo sovieticus», son trascendidos en extensión y en profundidad. Mientras tanto los oráculos occidentales del progresismo como «Le Monde» no sólo ignoraban el sin número de atrocidades, sino que ponían de relieve la aportación de los nuevos valores a la busqueda de la sociedad sin clases.<br /> <br /> El fracaso en el tema específlco que llevó a la autora a residir en China esos años, el de la cultura, concretamente el de formación de profesores, traductores e intérpretes, es total. El desastre causado por la «revolución cultural» en su persecución a los antiguos profesores conocedores de idiomas, acusados de traidores, renegados, burgueses, derechistas, atacados aún con más furor si ocuparon puestos en el partido, desterrados al campo, humillados, o destinados a limpiar letrinas y trabajos semejantes, dejaron en cuadro a los aprendices de idiomas, con un nivel ínfimo, para elevar el cual no sirven las consignas repetitivas del libro rojo de Mao. Este utilizado de forma tan grotesca para querer dar más calidad a la fundición de objetos domésticos, únicamente no fue utilizado en las plantas de energía nu-clear, o en la aviación, pues los aviones y los edificios, por mucho que cueste admitirlo, no se sostienen en el aire aplicando sólo los pensamientos maoistas.<br /> <br /> Después de la extensísima parte del libro destinada al análisis del archipiélago Orwell, la autora extrae conclusiones aplicables a España, y que por su enjundia merecerían una obra aparte. Resulta verdaderamente trágico el comprobar, como demuestra fehacientemente Rosúa analizando la situación de la educación en España, la terrible similitud con la exposición maoista provocada por la experiencia socialista española. Acertadamente expone que la extensión del desastre intelectual de la reforma educativa comenzada en los ochenta dispuso de una fuerza de choque que se investía a si misma con todos los atributos de la falsa ciencia, con el monopolio de la modernidad, imponiendo una innegable dictadura a favor de las utopías. Entre las medidas dictatoriales adobadas con la ignorancia, la ridiculez y la necedad, figura de forma destacada la imposición de esa neolengua orwelliana, con el aluvión de palabras desprovistas de su verdadero sentido y utilizadas en el «doblepensar»: curricular, transversal, habilidades y destrezas, estrategias didácticas, instrumento, taller, herramientas.... sustitución de conceptos de fácil comprensión y claridad inequívoca como recreo, por segmento de ocio, etc. etc. Acogidas también con gran gozo, por sentar aureola de progresismo por el presidente de la comunidad de Madrid, hombre tan proclive a hacer suyo cualquier planteamiento de izquierda, siempre que tenga resonancia propagandística, como es el control de la reforma educativa. Aún correspondiendo a un partido en principio distante del socialismo neo marxista-capitalista, pero ambos coincidentes, hasta ahora, en la aplicación totalitaria en la enseñanza de la utopía más absurda e irreal, a pesar del riesgo de formar generaciones de ignorantes, cada vez más acentuados en esa ignorancia enciclopédica que envuelve inmisericordemente a gran parte de la juventud actual.<br /> <br /> El nuevo proceso totalitario, señala Rosúa, dispone una especial animosidad contra la grandeza. una perversión del término democracia y una imposición generalizada del gregarismo y del anonimato. Apunta todas sus baterías, concluye la autora, hacia la anulación del individuo y no advierte que, con él, elimina la fuente y raíz fundamental del progreso y la aventura humana.<br /> <br /> <br /> Angel Maestro.</span></strong></p>
Zedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.html« Libération », du maoïsme au moralisme...tag:metapoinfos.hautetfort.com,2014-04-03:53357342014-04-03T10:00:00+02:002014-04-03T10:00:00+02:00 Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Xavier Raufer , cueilli...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de <strong>Xavier Raufer</strong>, cueilli sur <a href="http://www.lenouveleconomiste.fr/"><em>Le nouvel Économiste</em></a> et consacré à la ligne éditoriale du quotidien Libération dont les ventes en kiosque sont en constante diminution et ne sont plus en mesure d'assurer sa survie...</span></p><p> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-4502923" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/02/02/4166380534.jpg" alt="libération chute.jpg" width="416" height="237" /></p><p> </p><blockquote><p class="western" style="text-align: justify;"><strong><span style="font-size: medium;">« Libération », du maoïsme au moralisme</span></strong></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><a name="more-22041"></a>De leur passé gauchiste, les bourgeois-bohèmes de Libé conservent cependant la phobie de la sécurité et de l’ordre</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">D’abord, le doute : doit-on tirer sur une ambulance ? Peut-on courir le risque d’attenter à la liberté de la presse ? Puis le sens du réel l’emporte : ces vingt années écoulées, Libération a tant soutenu les pires lubies de la “culture de l’excuse”, tant déversé de moralisme et d’“antiracisme” monochrome sur les criminologues fermes face au crime, que la crise vécue par ce quotidien tourne à la bonne nouvelle pour la liberté de penser.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Remontons d’abord aux origines : en 1973, Libé est fondé par des gauchistes idolâtrant Mao Tsé-Toung, (les “Maos”), au moment même où leur dieu vient de présider, coup sur coup, à deux des pires génocides du XXe siècle, dont la funeste “Révolution culturelle” et ses millions de morts – une “catastrophe nationale” pour le pouvoir communiste chinois d’aujourd’hui.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Mais bien pire encore et même méconnu, ce “Grand bond en avant” (1958-1962) dont le “Soljenitsyne chinois” Yang Jisheng, communiste lui-même, a établi qu’il avait provoqué 36 millions de morts (bien plus que la première Guerre mondiale… 450 fois le nombre de victimes du bombardement atomique de Nagazaki !).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Ce “génocide le plus épouvantable de toute l’histoire humaine” (New York Times, 7/12/2012) trouve son origine dans le pur fanatisme communiste d’un Mao alors divinisé, en pleine paix, hors de tout désastre naturel et dans une orgie d’horreurs : cadavres jonchant les routes, cannibalisme et nécrophagie familiales, etc.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Extrait des archives du PC chinois, ces rapports, parmi des milliers d’autres : un paysan exhume quatre cadavres pour les dévorer… une fillette abandonnée tue son petit frère de quatre ans pour le manger… Traversant en bus une province ravagée par la disette, un journaliste de l’agence officielle Xinhua confesse : “Je voyais un cadavre après l’autre au bord de la route, mais nul dans le bus n’osait parler de la famine…”</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Quelques brèves années après ces tragiques crimes contre l’humanité, de jeunes bourgeois gauchistes français s’entichent de Mao et du maoïsme.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Mais précisons d’abord le concept de “crime contre l’humanité” : la Cour pénale internationale y prévoit clairement l’extermination : “Le fait d’imposer intentionnellement des conditions de vie telles que la privation d’accès à la nourriture et aux médicaments, calculées pour entraîner la destruction d’une partie de la population.” S’agissant aujourd’hui de la Syrie, cette définition est encore renforcée par la voix autorisée du prix Nobel de la paix Elie Wiesel, qui martèle : “Lorsqu’on tue ses propres citoyens en nombre, cela s’appelle un crime contre l’humanité.” (AFP, 23/2/2014.)</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Retour aux “Maos” : hors du prolétariat qu’ils fantasment, point de salut ! Leur idéal : “Servir le peuple”, défendre la “Cause du peuple”. C’est l’époque où un chœur de gosses de riches chante sans rire : “Ecoutez-les nos voix, qui montent des usines…” </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Dans la foulée, Libération est créé. Sa charte d’origine est claire : il doit “donner la parole au peuple”. Mais la désillusion vient vite : les vrais prolétaires rejettent leur indigeste cocktail Mao-Althusser-Lacan. Les maoïstes et leur journal virent alors à l’anarchisme bohème, au libéralisme libertaire ; le contenu du quotidien passant, lui, du journalisme à l’exorcisme et de l’information à l’inquisition.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Pour les ex-Maos devenus bobos, ces ouvriers qui les ont dédaignés deviennent ensuite objet de mépris, puis de haine : de “Servir le peuple” à salir le peuple… Le 24 novembre 2011, à l’issue de cette trajectoire de trahison, un article de Libé intitulé “Debout les autodamnés d’Angleterre”, vomit une culture ouvrière – de fait éloignée des Gay Prides – marquée par “l’obsession de la masculinité … imprégnée par un violent racisme et sexisme”, avec le risque “d’interprétations réactionnaires et fascistes”.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Alors, des damnés de la Terre, les prolos ? Pas du tout : ces proto-fachos n’ont que ce qu’ils méritent.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">De leur passé gauchiste, les bourgeois-bohèmes de Libé conservent cependant la phobie de la sécurité et de l’ordre. Dans ses articles et dans les colloques qu’il organise, Libé pourfend toute mesure d’ordre, assurant que l’insécurité est un fantasme et les pires voyous, des victimes de l’exclusion et du racisme. Ceux qui prônent la sécurité ? Des fascistes et rien d’autre.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">En février 2013, son colloque “Prise d’élans pour la ville”, consacré aux “quartiers populaires” et banlieues, ne pipe mot du crime ni des bandes – Libé ou l’art d’ignorer l’éléphant dans la pièce…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Le 4 octobre dernier encore, entre les tirs de kalachnikov et le pillage des campagnes, Pierre Marcelle, Bobo-en-chef de Libé, ironise lourdement sur “le maxi délinquant de 14 ans déjà épinglé quatorze fois pour vols de Carambars, racket de tickets de métro et tapage nocturne à Mobylette”.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Résultat : outrés par cet aveuglement et par ces anathèmes, des lecteurs se détournent. Les ventes s’effondrent : moins 40 % de 2012 à 2013. Et même, Libé aurait déjà disparu, sans les millions d’euros de subventions de l’Etat et les dotations de ses actionnaires. Et quels actionnaires pour un journal naguère gauchiste ! Un “promoteur”, une “société foncière” une “banque d’affaires”… Un “capitaliste italien”…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Cette déroute ramènera-t-elle Libé à la raison ? A exposer la réalité criminelle ? A ne plus ironiser sur le martyre que vivent les habitants de HLM dont les couloirs sont occupés par des racailles ; ou les usagers du RER détroussés par des voyous ?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">A ne plus s’indigner par pleines pages de l’antisémitisme de Martin Heidegger, en occultant totalement celui, pire encore, de Karl Marx ? A abandonner son sectarisme aveugle ?</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Bref, Libé, qui exalte la “diversité”, comprendra-t-il un jour que ce concept peut dépasser la couleur de l’épiderme pour atteindre celui de sa ligne éditoriale ? </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Qu’il se reprenne ainsi et Libé verra à coup sûr ses ventes augmenter. Une renaissance qui serait alors, et tout ensemble, bénéfique à la liberté de la presse, comme à celle de penser librement.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;"><strong>Xavier Raufer</strong> <em>(Le Nouvel Économiste</em>, 21 mars 2014)</span></p></blockquote><p> </p>
Cinéma militanthttp://cinemamilitant.hautetfort.com/about.htmlMao: une histoire chinoisetag:cinemamilitant.hautetfort.com,2013-03-01:50033612013-03-01T19:49:00+01:002013-03-01T19:49:00+01:00 Réalisation: Adrian Maben Année de sortie: 2006 Pays: France,...
<p style="margin-bottom: 0cm;"><strong><img id="media-3996072" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://cinemamilitant.hautetfort.com/media/01/00/1838901775.jpg" alt="Mao une histoire chinoise, Adrian Maben,la longue marche,le grand bond en avant,la révolution culturelle,mao tsé-toung,maoïsme,chine,documentaire,adrian maben" />Réalisation:</strong> Adrian Maben</p><p style="margin-bottom: 0cm;"><strong>Année de sortie: </strong>2006<strong><br /></strong></p><p style="margin-bottom: 0cm;"><strong>Pays:</strong> France, Allemagne</p><p style="margin-bottom: 0cm;"><strong>Durée:</strong> 4x1h</p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: justify;" align="JUSTIFY">Un documentaire en quatre parties consacré à la figure de Mao Tsé-Toung (1883-1976), aux changements qu'il a impulsés en Chine et à ce qu'il en reste aujourd'hui. Sont entre autres abordés les épisodes de la Longue marche, du Grand Bond en avant et de la Révolution culturelle.</p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: justify;" align="JUSTIFY">Il a notamment été élaboré à l'aide de nombreuses images d'archives, de témoignages de survivants ou de leurs descendants, ou encore de commentaires d'historiens.</p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: justify;" align="JUSTIFY"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: justify;" align="JUSTIFY">Première partie: Contre vents et marées</p><p><iframe width="370" height="276" frameborder="0" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x15u6y1" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: justify;" align="JUSTIFY"> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: justify;" align="JUSTIFY">Deuxième partie: L'apprenti sorcier</p><p><iframe width="370" height="276" frameborder="0" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x15u6y6" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: justify;" align="JUSTIFY">Troisième partie : La révolution n'est pas un dîner de gala 1/2</p><p><iframe width="370" height="276" frameborder="0" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x15uvj2" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p><p>2/2:</p><p><iframe width="370" height="276" frameborder="0" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x15uwcn" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: justify;" align="JUSTIFY">Quatrième partie: Mao n'est pas mort</p><p><iframe width="370" height="276" frameborder="0" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/x15u72d" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p>
Zedhttp://metapoinfos.hautetfort.com/about.htmlMammouth...tag:metapoinfos.hautetfort.com,2013-01-28:49690772013-01-28T16:05:00+01:002013-01-28T16:05:00+01:00 Les éditions Liana Lévi viennent de publier Mammouth , le premier roman...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">Les éditions Liana Lévi viennent de publier <em><strong>Mammouth</strong></em>, le premier roman d'<strong>Antonio Pennacchi</strong>. Ecrivain populiste inclassable, passé dans sa jeunesse du néo-fascisme au maoïsme, et se réclamant désormais, l'âge venu, d'un facho-communisme aussi original que sympathique, Antonio Pennacchi est l'auteur de <em><strong>Mon frère est fils unique</strong></em> (Le Dilettante, 2007), chronique de l'éducation sentimentale et politique d'un jeune italien dans les années 60, et de <em><strong><a href="http://metapoinfos.hautetfort.com/archive/2012/01/05/canal-mussolini.html">Canal Mussolini</a> </strong></em>(Liana Lévi, 2012), récit des aventures d'une famille engagée dans le colossal chantier mussolinien de l'assèchement des marais Pontins au sud de Rome.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-3941858" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://metapoinfos.hautetfort.com/media/02/01/3126392204.jpg" alt="Mammouth.jpg" /></p><blockquote><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: small;">"Bleu de travail et bleus à l’âme. Tels sont les signes distinctifs de Benassa, le coriace leader syndical de l’usine de câbles Supercavi. Depuis vingt ans, dans chaque manif, chaque grève, les ouvriers ont scandé avec lui : « Un pour tous, tous pour un ! » Mais, en Italie comme ailleurs, la loi du marché torpille peu à peu l’unité syndicale et les idéaux révolutionnaires. Le drapeau rouge est en berne et Benassa broie du noir. Ça tombe bien : les patrons aussi en</span> <span style="font-size: small;">ont assez de cet énergumène et ont décidé de lui faire une offre qui ne se refuse pas…</span><br /><span style="font-size: small;">Entremêlant le récit des quelques jours qui précèdent sa décision, les faits d’armes du syndicat et les portraits savoureux des ouvriers de Supercavi, ce roman d’Antonio Pennacchi compose une peinture drôle et fraternelle de la classe ouvrière."</span></p></blockquote>
Cinéma militanthttp://cinemamilitant.hautetfort.com/about.htmlVivre ! (活着)tag:cinemamilitant.hautetfort.com,2011-03-30:31632942011-03-30T00:53:00+02:002011-03-30T00:53:00+02:00 Réalisateur: Yimou Zhang Année de sortie: 1994...
<p><strong><span style="text-decoration: none;"><span style="font-style: normal;"><img id="media-2958455" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0pt;" title="" src="http://cinemamilitant.hautetfort.com/media/00/01/1226915282.jpg" alt="Vivre !, maoïsme, Chine, Yimou Zhang" />Réalisateur: </span></span></strong><strong><span style="text-decoration: none;"><span style="font-style: normal;"><span style="font-weight: normal;">Yimou Zhang</span></span></span></strong></p><p style="margin-bottom: 0cm;"><strong><span style="text-decoration: none;"><span style="font-style: normal;">Année de sortie:</span></span></strong><span style="text-decoration: none;"><span style="font-style: normal;"> 1994</span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;"><strong><span style="text-decoration: none;"><span style="font-style: normal;">Durée:</span></span></strong><span style="text-decoration: none;"><span style="font-style: normal;"> 2h26</span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;"><strong><span style="text-decoration: none;"><span style="font-style: normal;">Pays</span></span></strong><span style="text-decoration: none;"><span style="font-style: normal;">: Chine<br /></span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: justify;" align="JUSTIFY">Xu Fugui, accroc au jeu de dés, s'endette jusqu'à perdre la maison familiale. Pour aller de l'avant, il sillonne le pays comme marionnettiste.</p><p style="margin-bottom: 0cm; text-align: justify;" align="JUSTIFY">A travers le parcours de Fugui et de sa famille, ce film nous fait entrevoir le climat politique en Chine avant et pendant le régime du "Grand Timonier".</p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY">Un extrait du film (VOST français):</p><p style="margin-bottom: 0cm;" align="JUSTIFY"><object data="http://www.dailymotion.com/swf/video/x2luvi?theme=none" type="application/x-shockwave-flash" width="365" height="270"><param name="wmode" value="transparent"></param><param name="wmode" value="transparent" /><param name="wmode" value="transparent" /><param name="wmode" value="transparent" /><param name="wmode" value="transparent" /><param name="wmode" value="transparent" /><param name="allowFullScreen" value="true" /><param name="allowScriptAccess" value="always" /><param name="src" value="http://www.dailymotion.com/swf/video/x2luvi?theme=none" /><param name="allowfullscreen" value="true" /><param name="allowscriptaccess" value="always" /></object></p>
Cinéma militanthttp://cinemamilitant.hautetfort.com/about.htmlLa chinoisetag:cinemamilitant.hautetfort.com,2010-07-21:28332562010-07-21T00:14:00+02:002010-07-21T00:14:00+02:00 Réalisation: Jean-Luc Godard Année de sortie: 1967 Pays:...
<p><strong><img id="media-2567336" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://cinemamilitant.hautetfort.com/media/00/00/1291407814.jpg" alt="la chinoise.jpg" /></strong><strong>Réalisation:</strong> Jean-Luc Godard<br /> <strong><br /> Année de sortie:</strong> 1967<br /> <br /> <strong>Pays:</strong> France<br /> <strong><br /> Durée:</strong> 96 minutes</p><p style="text-align: justify;">Dans un appartement, quatre jeunes gens désireux de hâter la révolution dans la France gaulliste lisent et interprètent des passages du Petit livre rouge de Mao.</p><p> </p><p>La bande-annonce:</p><p><iframe width="350" height="276" src="https://www.youtube.com/embed/IfuFjA2NOx0?rel=0" frameborder="0" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p>