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Notes sur le tag : mallarmé

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Dernières notes

Jean Bollack, Au jour le jour

                              Mallarmé   X 631     Pour Mallarmé, tout écrit est vers, et fournit la matière du beau ; il est « partout dans la langue où il y a rythme » , même si le plus souvent le rythme que porte l'énoncé est entravé. Il n'existe donc pas de frontière — de...

Publié le 05/10/2013 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

The-blue-pipe - V - and she is soon to be mine - Alphonse Rabbe

    Extrait d' Album d'un Pessimiste, 1835 (posthume), Alphonse Rabbe (1784-1829)  : Jeune homme, allume ma pipe ; allume et donne, pour que je chasse un peu l'ennui de vivre ; pour que je me livre à l'oubli de toutes choses, tandis que ce peuple imbécile, avide de grossières émotions, précipite ses pas vers la pompeuse cérémonie du sacré...

Publié le 17/05/2013 dans Fichtre par Fichtre | Lire la suite...

Grande clarté

      Que les poètes s’inspirent plus de la nature, où, si le fond de tout est un et obscur, la forme de tout est individuelle et claire. Avec le secret de la vie, elle leur apprendra le dédain de l’obscurité. Est-ce que la nature nous cache le soleil, ou les milliers d’étoiles qui brillent sans voiles, éclatantes et indéchiffrables aux yeux de presque...

Publié le 15/12/2012 dans Theatrum Mundi par Pascal Adam | Lire la suite...

”LE TOMBEAU D'EDGAR POE” DE MALLARME

    "Le Tombeau d'Edgar Poe Tel qu'en Lui-même enfin l'éternité le change, Le Poète suscite avec un glaive nu Son siècle épouvanté de n'avoir pas connu Que la mort triomphait dans cette voix étrange ! Eux, comme un vil sursaut d'hydre oyant jadis l'ange Donner un sens plus pur aux mots de la tribu Proclamèrent très haut le sortilège bu Dans le flot sans honneur de quelque noir...

Publié le 19/08/2012 dans l'écrivain... par Christian Jougla | Lire la suite...

Sonner matines

Cloître de l'abbaye Saint-Pierre de Moissac Un commentaire de Sophie K. sur un texte récent m'a ramené, par un effet de ricochets amusant, à une réflexion sur le rapport singulier (et la beauté -ou la laideur- tout aussi singulière) du mot. Elle utilisait la belle expression « sonnant matines ». Belle expression, en effet, parce qu'elle activait un découpage du jour...

Publié le 02/03/2012 dans off-shore par nauher | Lire la suite...

PETITE HISTOIRE DU DESASTRE (2)

Résumé : je ne vois que ce que je sais, et je ne fais que ce que j’ai appris (proverbe telugu).     La transparence a disparu lorsque les peintres ont cru dur comme fer saisir le monde « tel qu’il était », au moment où il était. Autrement dit, l’illusionnisme a été à son comble quand il a changé de camp. Avant, les peintres savaient qu’ils étaient des...

Publié le 19/12/2011 dans ALEXIPHARMAQ... par fredlautre | Lire la suite...

Sur la scène

J’ai trop souvent l’impression, lorsque je me rends au théâtre, que cet art a cessé d’être le grand rassembleur qu’il fut jadis, pour n’être plus, parmi d’autres, qu’un anodin représentant en images. Voilà pourquoi, contraint par l’époque, je peux passer de longs mois à ignorer son chemin qui me fut cher. Et puis soudain, cinq , six spectacles, une sorte de boulimie presque...

Publié le 28/01/2011 dans SOLKO par Solko | Lire la suite...

Truc mauvais

C’est assez amusant, d’écrire un truc vraiment mauvais. On ne peut peut-être rien faire de plus méchant. Ubu Roi, par exemple, est volontairement très mauvais. C’est pour cela que c’est un chef d’œuvre, sans doute. Et que la chose de Jarry la plus potache a éclipsé les mallarméennes autres, très littéraires, difficiles certes, mais difficiles pour pas grand-chose, ce qui est un comble....

Publié le 18/12/2010 dans Theatrum Mundi par Pascal Adam | Lire la suite...

L'Azur, de Mallarmé

De l'éternel azur la sereine ironie Accable, belle indolemment comme les fleurs Le poète impuissant qui maudit son génie A travers un désert stérile de Douleurs. Fuyant, les yeux fermés, je le sens qui regarde Avec l'intensité d'un remords atterrant, Mon âme vide, Où fuir? Et quelle nuit hagarde Jeter, lambeaux, jeter sur ce mépris navrant? Brouillards, montez!...

Publié le 01/06/2010 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...

Apprendre c'est faire

Peut être faut-il attribuer à un certain scientisme ou positivisme propres au 19ème siècle, cette phrase de Paul Valéry  : "Tu ne m'apprends rien si tu ne m'apprends à faire quelque chose". Mais si cette phrase avait été dite par Tchouang-Tseu on y aurait  vu l'illustration  de ce que l'homme n'est qu'activité et que celle-ci associe indissolublement corps et esprit. Ailleurs,...

Publié le 14/05/2010 dans WILLEMS... par Jean-Pierre WILLEMS | Lire la suite...

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