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Creseveur
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Lula veut la paix à n'importe quel prix
tag:creseveur.hautetfort.com,2023-04-07:6437283
2023-04-07T19:44:28+02:00
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<p style="text-align: center;"><img id="media-6438187" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://creseveur.hautetfort.com/media/01/02/1089340900.JPG" alt="Lula veut la paix en Ukraine.JPG" /></p>
Creseveur
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Bolsonaro mut sur sa défaite
tag:creseveur.hautetfort.com,2022-10-31:6409318
2022-10-31T14:03:41+01:00
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<p style="text-align: center;"><img id="media-6398165" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://creseveur.hautetfort.com/media/02/00/2516091308.JPG" alt="Bolsonaro pas réélu.JPG" /></p>
Jean-Luc ROMERO-Michel
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Joie de voir Lula, citoyen d’honneur de Paris en tête au 1er tour des élections au Brésil !
tag:www.romero-blog.fr,2022-10-03:6404687
2022-10-03T00:05:00+02:00
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Joie de voir Lula, citoyen d’honneur de Paris en tête au premier tour des...
<div style="caret-color: #000000; color: #000000; font-family: Calibri; font-style: normal; font-variant-caps: normal; font-weight: 400; letter-spacing: normal; text-align: justify; text-indent: 0px; text-transform: none; white-space: normal; word-spacing: 0px; -moz-text-size-adjust: auto; -webkit-text-stroke-width: 0px; text-decoration: none;">Joie de voir Lula, citoyen d’honneur de Paris en tête au premier tour des élections générales au Brésil ! Espérons que le second tour marquera la défaite du populisme d’extrême droite et le retour des droits humains.<p style="text-align: center;"><a href="http://www.romero-blog.fr/media/00/00/870811411.JPG" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-6391680" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://www.romero-blog.fr/media/00/00/298270695.JPG" alt="Lula.JPG" /></a></p></div>
ylepape
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Le Vent se léve - Christophe Ventura : « Lula ne compte pas montrer patte blanche à Washington »
tag:lactualitedessocialistes.hautetfort.com,2022-09-08:6397380
2022-09-08T11:55:00+02:00
2022-09-08T11:55:00+02:00
Pedro Castillo, Gabriel Boric, Gustavo Petro… la gauche enchaîne les...
<p>Pedro Castillo, Gabriel Boric, Gustavo Petro… la gauche enchaîne les victoires en Amérique latine, comme il y a deux décennies. La victoire de Lula au Brésil en octobre prochain pourrait constituer un tournant majeur pour le sous-continent. Pour autant, l’Amérique latine redevient-elle un centre de contestation au néolibéralisme comme elle le fut ? Pour analyser le cycle qui s’ouvre, nous nous entretenons avec Christophe Ventura, directeur de recherche à l’IRIS (Institut de relations internationales et stratégiques), responsable du programme Amérique latine/Caraïbe et de l’Observatoire électoral 2022 de l’Amérique latine. Il publiera, le 6 octobre 2022, <em>Géopolitique de l’Amérique latine</em>, Editions Eyrolles, Paris, 2022. Entretien mené par Keïsha Corantin et Vincent Ortiz.</p><p><a href="https://lvsl.fr/christophe-ventura-lula-ne-compte-pas-montrer-patte-blanche-a-washington/"><strong>Lire la suite</strong></a><br />______________________<br />______________________</p>
lanvert
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L’ancien président Lula vient d’être libéré
tag:lanvert.hautetfort.com,2019-11-10:6189499
2019-11-10T23:21:14+01:00
2019-11-10T23:21:14+01:00
Extraits de l'article de Guy Pichard , Rachel Knaebe l ...
<p class="publication" style="text-align: justify;"><span class="authors">Extraits de l'article de <span class="vcard author">Guy Pichard</span>, <span class="vcard author">Rachel Knaebe<a class="url fn spip_in" href="https://www.bastamag.net/Rachel-Knaebel">l</a></span></span><time datetime="2019-11-09T09:26:53Z"> pour <strong><a href="https://www.bastamag.net/Lula-libre-liberation-Bresil-ancien-president-tribunal-supreme-Bolsonaro">Bastamag</a></strong> le 9 novembre 2019.</time></p><p class="publication" style="text-align: justify;">C'était la fin de l’après-midi au Brésil quand Lula, l’ancien président brésilien, a été libéré de prison ce 8 novembre à Curitiba (en photo ci-dessus avec, à droite, sa nouvelle compagne, la sociologue Rosângela da Silva). Il était incarcéré depuis avril 2018, suite à une condamnation à 12 ans de prison pour des accusations de corruption largement contestées. Sa condamnation avait été prononcée sur la base de preuves relativement fragiles. Le juge, Sergio Moro, qui a condamné Lula, l’empêchant de se présenter à l’élection présidentielle qui a suivi, est devenu quelques mois plus tard le ministre de la Justice de Jair Bolsonaro, le président d’extrême droite élu.</p><p class="publication" style="text-align: justify;">(...)</p><p class="publication" style="text-align: justify;">Incarcéré, Lula n’avait pas pu concourir aux élections présidentielles d’octobre alors qu’il était largement favori dans les sondages. C’est finalement le candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro qui a été élu président. Bolsonaro a ensuite nommé comme ministre de la Justice le juge Sergio Moro, celui-là même chargé de l’enquête impliquant Lula. En juin, le site d’informations <em>The Intercept Brasil</em> a révélé des conversations du juge Moro sur Telegram qui étayent largement l’hypothèse d’une manipulation politico-judiciaire pour exclure l’ancien président de gauche de la scène politique.</p><p style="text-align: justify;">Samedi, Lula se rendra au siège du syndicat des métallurgistes de la banlieue de São Paulo pour prononcer un discours. C’est là qu’il a commencé sa carrière politique, à la fin des années 1970. C’est là qu’il avait passé 24 heures entouré de milliers de soutiens avant d’être envoyé en prison. Des procès impliquant Lula et des responsables de son ancienne administration sont toujours en cours.</p><p style="text-align: center;"><img style="margin: 0.7em 0;" src="https://www.bastamag.net/local/adapt-img/740/10x/IMG/arton7565.jpg?1573299756" alt="arton7565.jpg?1573299756" width="582" height="388" /></p><p style="text-align: center;"><img style="margin: 0.7em 0;" src="https://www.bastamag.net/local/adapt-img/740/10x/IMG/jpg/1-12.jpg?1573261795" alt="1-12.jpg?1573261795" width="587" height="391" /></p><p style="text-align: justify;"><em>Les milliers de personnes venues accueillir Lula à sa sortie de prison le vendredi 8 novembre à Curitiba, dans le sud du Brésil. ©Guy Pichard</em></p>
diazd
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Lula : une situation alarmante au Brésil
tag:pcfevry.hautetfort.com,2018-05-19:6052806
2018-05-19T09:52:12+02:00
2018-05-19T09:52:12+02:00
A quelques mois des élections présidentielles brésiliennes, des...
<p style="text-align: center;"><a href="http://pcfevry.hautetfort.com/media/00/01/2985276483.jpeg" target="_blank" rel="noopener noreferrer"><img id="media-5817131" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://pcfevry.hautetfort.com/media/00/01/3517912394.jpeg" alt="LulaLibre.jpeg" width="442" height="410" /></a></p><p><strong>A quelques mois des élections présidentielles brésiliennes, des parlementaires dénoncent le «simulacre de procès» et «l'incarcération arbitraire» dont est victime l'ancien président, qui représente pourtant une alternative sérieuse dans un pays en crise</strong></p><div class="article-body read-left-padding"><p>Nous, élus de diverses sensibilités politiques, sommes particulièrement inquiets de l’incarcération arbitraire de l’ancien président du Brésil Luiz Inácio Lula da Silva, emprisonné depuis le 7 avril dans la ville de Curitiba, Etat du Parana.</p><p>Après le coup d’Etat institutionnel contre Dilma Rousseff en 2016, l’emprisonnement sans preuves de Lula ne peut laisser aucun démocrate indifférent. Qu’en est-il du respect de l’état de droit au Brésil ?</p><p>Alors que les élections présidentielles doivent se tenir en octobre, Lula représente une alternative pour de nombreuses Brésiliennes et de nombreux Brésiliens face à la crise que traverse actuellement le pays, il est gênant pour ceux qui se sont emparés du pouvoir et qui ne comptent pas s’en départir.</p><p>Le simulacre de procès qui lui a été fait a également révélé la partialité d’une partie du ministère Public et du pouvoir judiciaire brésilien. Celui-ci s’est déroulé avec l’appui des grands médias et d’une partie de l’armée, qui en a profité pour s’immiscer dans les affaires politiques et judiciaires en cours. Ceci est très préoccupant dans un pays encore marqué par les stigmates de la dictature militaire de 1964-1985.</p><p>Cet emprisonnement a lieu dans un contexte politique et social particulièrement tendu au Brésil, avec pour point d’orgue l’assassinat de la conseillère municipale de Rio de Janeiro Marielle Franco le 14 mars et alors que le Brésil connaît une escalade de violence, des favelas au monde politique. Le 27 mars, la caravane de l’ex-président Lula a ainsi été visée par des tirs lors de son passage dans le sud du pays.</p><p>Nulle opposition politique ne saurait justifier le déni démocratique qui règne aujourd’hui au Brésil. Nul processus judiciaire ne doit être utilisé à des fins politiques, afin de réduire au silence un leader charismatique et embarrassant. Si la lutte contre la corruption est légitime et essentielle, elle ne doit pas être menée au détriment de la présomption d’innocence et du respect de la Constitution. C’est pourquoi, nous appelons les démocrates du monde entier à réagir et nous nous associons à toutes les forces politiques, syndicales et sociales, ainsi qu’à toutes les Brésiliennes et tous les Brésiliens qui s’opposent à l’incarcération arbitraire de l’ancien président Lula.</p><p>Nous publions ci-dessous la liste de tous les parlementaires qui se joignent à cet appel.</p><ul><li>Laurence Cohen, Sénatrice (CRCE) du Val-de-Marne</li><li>Martina Anderson, Députée européenne, Sinn Féin, Irlande</li><li>Eliane Assassi, Sénatrice (CRCE) de Seine Saint-Denis, Présidente du groupe CRCE</li><li>Clémentine Autain, Députée (FI) de Seine Saint-Denis</li><li>Esther Benbassa, Sénatrice EELV de Paris</li><li>Ugo Bernalicis, Député (FI) du Nord</li><li>Eric Bocquet, Sénateur (CRCE) du Nord</li><li>Lynn Boylan, Députée européenne, Sinn Féin, Irlande</li><li>Alain Bruneel, Député (GDR) du Nord</li><li>Matt Carthy, Député Européen, Sinn Féin, Irlande</li><li>Luc Carvounas, Député (PS) du Val-de-Marne</li><li>André Chassaigne, Député (GDR) du Puy-de-Dôme, Président du Groupe GDR</li><li>Pierre-Yves Collombat, Sénateur (CRCE) du Var</li><li>Eric Coquerel, Député (FI) de Seine Saint-Denis</li><li>Nikos Chountis, Député Européen, Unité Populaire, Grèce</li><li>Javier Couso Permuy, Député européen, Izquierda Unida, Espagne</li><li>Cécile Cukierman, Sénatrice (CRCE) de la Loire</li><li>Pierre Dharréville, Député (GDR) des Bouches-du-Rhône</li><li>Caroline Fiat, Députée (FI) de Meurthe-et-Moselle</li><li>Elsa Faucillon, Députée (GDR) des Hauts-de-Seine</li><li>Eleonora Forenza, Députée européenne, Altra Europa con Tsipras, Italie</li><li>Fabien Gay, Sénateur (CRCE) de Seine Saint-Denis</li><li>Guillaume Gontard, Sénateur (CRCE) de l’Isère</li><li>Tania Gonzalez Peñas, Députée européenne, Podemos, Espagne</li><li>Michelle Gréaume, Sénatrice (CRCE) du Nord</li><li>Patrice Joly, Sénateur (PS) de la Nièvre</li><li>Michel Larive, Député (FI) de l’Ariège</li><li>Joël Labbé, Sénateur (RDSE) du Morbihan</li><li>Pierre Laurent, Sénateur (CRCE) de Paris, Secrétaire Nationale du PCF</li><li>Jean-Paul Lecoq, Député (GDR) de Seine-Maritime</li><li>Patrick Le Hyaric, Député européen PCF-Front de Gauche</li><li>Serge Letchimy, Député (PPM) de Martinique</li><li>Marie-Noëlle Lienneman, Sénatrice (PS) de Paris</li><li>Paloma Lopez Bermejo, Députée européenne Izquierda Unida, Espagne</li><li>Edouard Martin, Député Européen PS</li><li>Emmanuel Maurel, Députée Européen PS</li><li>Luke Ming Flanagan, Député européen, Indépendant, Irlande</li><li>Liadh Ní Riada, Députée européenne, Sinn Féin, Irlande</li><li>Danièle Obono, Députée (FI) de Paris</li><li>Pierre Ouzoulias, Sénateur (CRCE) des Hauts-de-Seine</li><li>Stéphane Peu, Député (GDR) de Seine Saint-Denis</li><li>Joao Pimenta Lopes, Député européen, PCP, Portugal</li><li>Loïc Prud’Homme, Député (FI) de Gironde</li><li>Christine Prunaud, Sénatrice (CRCE) des Côtes d’Armor</li><li>Adrien Quatennens, Député (FI) du Nord</li><li>François Ruffin, Député (FI) de la Somme</li><li>Pascal Savoldelli, Sénateur (CRCE) du Val-de-Marne</li><li>Neoklis Sylikiotis, Député Européen, AKEL, Chypre</li><li>Estefanía Torres Martinez, Députée européenne, Podemos, Espagne</li><li>Marie-Christine Vergiat, Députée européenne, Front de Gauche</li><li>Marie-Pierre Vieu, Députée européenne PCF-Front de Gauche</li><li>Dominique Watrin, Sénateur (CRCE) du Pas-de-Calais</li></ul></div>
diazd
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Brésil : imposture et aveuglement
tag:pcfevry.hautetfort.com,2014-06-14:5391056
2014-06-14T13:02:17+02:00
2014-06-14T13:02:17+02:00
Point de vue José Fort. Ceux qui en Europe font grand cas de la...
<p><strong><a href="http://pcfevry.hautetfort.com/media/01/00/412833408.jpg" target="_blank"><img id="media-4594763" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" title="" src="http://pcfevry.hautetfort.com/media/01/00/658238505.jpg" alt="bresil.jpg" /></a>Point de vue José Fort. </strong></p><p><strong>Ceux qui en Europe font grand cas de la colère d'une frange de la population brésilienne et s'emploient en France à vivement critiquer les cheminots, les gens de la culture et du spectacle sont-ils les mieux placés pour exprimer leur compassion ?"</strong></p><p>Ce qui se dit et s'écrit sur le Brésil frôle l'imposture et l'aveuglement. Les mouvements sociaux, les revendications, les grèves correspondent bien entendu à la réalité dans cet immense pays en plein développement, souverain, non servile à l'égard des Etats-Unis et de l'Europe capitaliste. Et comment ne pas s'indigner devant les scènes de violences policières contre les manifestants.</p><p>Mais ceux qui en Europe font grand cas de la colère d'une frange de la population brésilienne (couches moyennes) et s'emploient en France à vivement critiquer les cheminots, les gens de la culture et du spectacle sont-ils les mieux placés pour exprimer leur compassion, eux qui oublient qu'après les années de dictature et grâce à la politique menée par Lula, des millions de Brésiliens sont sortis de la misère, tandis que la démocratie était rétablie, que le pays retrouvait sa dignité, gagnait en liberté, souveraineté, prestige et poids international?</p><p>Ces misérables médias euro centristes totalement recroquevillés sur leurs nombrils restent fidèles à leur posture de toujours concernant l'Amérique latine: ignorance et imbécillité crasse.</p><p>- See more at: http://www.humanite.fr/bresil-imposture-et-aveuglement-544541#sthash.Azrf7LS2.dpuf</p>
diazd
http://pcfevry.hautetfort.com/about.html
Pierre Laurent a achevé sa visite au Brésil, aux côtés de Dilma Rousseff et Lula
tag:pcfevry.hautetfort.com,2013-05-18:5072927
2013-05-18T14:38:00+02:00
2013-05-18T14:38:00+02:00
La délégation du PCF conduite par Pierre Laurent, sénateur, secrétaire...
<p style="margin-bottom: 0cm;"><strong><a href="http://cuba2013.hautetfort.com/media/02/01/2804931615.jpg" target="_blank"><img id="media-4105601" style="margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://cuba2013.hautetfort.com/media/02/01/63800771.jpg" alt="dimapl.jpg" /></a>La délégation du PCF conduite par Pierre Laurent, sénateur, secrétaire national du PCF et président du PGE, achève sa visite de 4 jours au Brésil ponctuée par 3 étapes (Sao Paulo, Porto Alegre et Brasilia) et une série de rencontres avec les plus hautes instances du pays, la présidence du PT, le secrétariat général du PCdoB, la mairie de Sao Paulo et le gouverneur de l'État de Rio Grande do Sul.</strong></p><p>A Porto Alegre, Pierre Laurent a participé, mardi 13 mai, au meeting sur les enjeux internationaux et la politique étrangère du Brésil, organisé par le PT à l'occasion du 10e anniversaire de l'arrivée au pouvoir du PT aux côtés de la présidente Dilma Rousseff, de l'ancien président Luiz Iniacio Lula da Silva, de plusieurs ministres, députés et sénateurs, de Tarso Genro, gouverneur de l'État de Rio Grande do Sul, de Rui Falcao, président du PT, et de représentants des partis de la coalition gouvernementale dirigée par madame Rousseff (PCdoB, PMDB, PSB).</p><p style="margin-bottom: 0cm;">L'ancien président est revenu dans son allocution sur les progrès réalisés dans le pays en 10 ans marqués par des avancées sociales et de développement économique permettant aujourd'hui de mieux préserver le Brésil des conséquences de la crise mondiale. « Sans le PT, le Brésil ne serait pas le même aujourd'hui » a-t-il résumé en rendant hommage à l'action poursuivie maintenant par la présidente Rousseff pour consolider dans un même mouvement le marché intérieur et développer le commerce extérieur du Brésil dans le cadre de relations de coopérations et d'échanges respectueuses et mutuellement avantageuses avec les pays du Mercosur, les États de l'UNASUR et de la CELAC, avec les BRICS, et avec le continent africain.</p><p style="margin-bottom: 0cm;">Depuis son accession au pouvoir, le PT a permis au Brésil de résister aux pressions du FMI, d'améliorer la redistribution des richesses par une politique salariale forte, d'engager une politique de l'emploi et une politique sociale permettant de sortir chaque année un million de Brésiliens de la pauvreté. Plaidant pour des dynamiques de coopérations multilatérales, la chef de l'État s'est félicitée de l'élection d'un Brésilien à la tête de l'OMC dont le Brésil veut contribuer à faire évoluer le rôle, présidence qui vient s'ajouter à celle également brésilienne de la FAO.</p><p style="margin-bottom: 0cm;">Communiqué du Parti communiste français, Brasilia, le 16 mai 2013.</p>
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Pierre Laurent a achevé sa visite au Brésil, aux côtés de Dilma Rousseff et Lula
tag:cuba2013.hautetfort.com,2013-05-17:5072904
2013-05-17T14:03:00+02:00
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La délégation du PCF conduite par Pierre Laurent, sénateur, secrétaire...
<p style="margin-bottom: 0cm;"><strong><a href="http://cuba2013.hautetfort.com/media/02/01/2804931615.jpg" target="_blank"><img id="media-4105601" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://cuba2013.hautetfort.com/media/02/01/63800771.jpg" alt="dimapl.jpg" /></a>La délégation du PCF conduite par Pierre Laurent, sénateur, secrétaire national du PCF et président du PGE, achève sa visite de 4 jours au Brésil ponctuée par 3 étapes (Sao Paulo, Porto Alegre et Brasilia) et une série de rencontres avec les plus hautes instances du pays, la présidence du PT, le secrétariat général du PCdoB, la mairie de Sao Paulo et le gouverneur de l'État de Rio Grande do Sul.</strong></p><p style="margin-bottom: 0cm;">A Porto Alegre, Pierre Laurent a participé, mardi 13 mai, au meeting sur les enjeux internationaux et la politique étrangère du Brésil, organisé par le PT à l'occasion du 10e anniversaire de l'arrivée au pouvoir du PT aux côtés de la présidente Dilma Rousseff, de l'ancien président Luiz Iniacio Lula da Silva, de plusieurs ministres, députés et sénateurs, de Tarso Genro, gouverneur de l'État de Rio Grande do Sul, de Rui Falcao, président du PT, et de représentants des partis de la coalition gouvernementale dirigée par madame Rousseff (PCdoB, PMDB, PSB).</p><p style="margin-bottom: 0cm;">L'ancien président est revenu dans son allocution sur les progrès réalisés dans le pays en 10 ans marqués par des avancées sociales et de développement économique permettant aujourd'hui de mieux préserver le Brésil des conséquences de la crise mondiale. « Sans le PT, le Brésil ne serait pas le même aujourd'hui » a-t-il résumé en rendant hommage à l'action poursuivie maintenant par la présidente Rousseff pour consolider dans un même mouvement le marché intérieur et développer le commerce extérieur du Brésil dans le cadre de relations de coopérations et d'échanges respectueuses et mutuellement avantageuses avec les pays du Mercosur, les États de l'UNASUR et de la CELAC, avec les BRICS, et avec le continent africain.</p><p style="margin-bottom: 0cm;">Depuis son accession au pouvoir, le PT a permis au Brésil de résister aux pressions du FMI, d'améliorer la redistribution des richesses par une politique salariale forte, d'engager une politique de l'emploi et une politique sociale permettant de sortir chaque année un million de Brésiliens de la pauvreté. Plaidant pour des dynamiques de coopérations multilatérales, la chef de l'État s'est félicitée de l'élection d'un Brésilien à la tête de l'OMC dont le Brésil veut contribuer à faire évoluer le rôle, présidence qui vient s'ajouter à celle également brésilienne de la FAO.</p><p style="margin-bottom: 0cm;">Communiqué du Parti communiste français, Brasilia, le 16 mai 2013.</p>
MILIQUE
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Printemps des poètes 2013 : Sonia Branglidor
tag:aumagmapresentdelecriture.hautetfort.com,2013-03-26:5026805
2013-03-26T23:03:00+01:00
2013-03-26T23:03:00+01:00
Poème sans titre de Sonia Branglidor Lu par Maëlys...
<p style="text-align: center;"><iframe width="481" height="139" src="http://www.franceculture.fr/player/export-reecouter?content=4588183" frameborder="0" scrolling="no"></iframe></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large;"><strong>Poème sans titre de <span style="color: #0000ff;">Sonia Branglidor</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: arial black,avant garde; font-size: x-large;"><strong>Lu par<span style="color: #0000ff;"> Maëlys Ricordeau</span></strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: arial black,avant garde; font-size: medium;"><strong>Poème inédit écrit pour le <a title="La 15ème édition du Printemps des poètes" href="http://www.printempsdespoetes.com/"><span style="color: #000000;"> Printemps des poètes 2013.</span></a> "Les voix du poème" est le thème choisi pour cette 15ème édition.</strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><strong><span style="color: #0000ff; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;">Edito de Jean-Pierre Siméon, directeur artistique: "Dès sa naissance, au début des temps humains, la poésie est une parole levée. Qu'il soit murmure, cri ou chant, le poème garde toujours quelque chose de son oralité native. Il est donc peu ou prou une affaire de voix, la voix intérieure du poète répondant aux voix du monde. </span></strong><br /><strong><span style="color: #0000ff; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"> Le partage des poèmes dans la cité, qui est depuis quinze ans l'ambition du Printemps des Poètes, passe nécessairement par la voix haute. </span></strong><br /><strong><span style="color: #0000ff; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"> Le Printemps des Poètes 2013 fera entendre plus que jamais cette polyphonie vivante."</span></strong></p><p style="text-align: center;"> </p><div class="dnd-drop-wrapper atom-type-image" style="text-align: center;"><div class="image atom-Image"><img class="dnd-dropped" src="http://www.franceculture.fr/sites/default/files/imagecache/ressource_full/2013/03/13/4589499/photo%20Ma%C3%ABlys.JPG" alt="" width="205" height="205" /><div class="opaque"><p>Maëlys Ricordeau <span>Richeux © RF</span></p></div></div></div><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="background-color: #ffffff; color: #000000;"><strong>A l'occasion du <a title="La 15ème édition du Printemps des poètes" href="http://www.printempsdespoetes.com/"><span style="background-color: #ffffff; color: #000000;">Printemps des Poètes</span></a>, les <a href="http://www.franceculture.fr/emission-poeme-du-jour-avec-la-comedie-francaise"><span style="background-color: #ffffff; color: #000000;">Poèmes du jour</span></a> sont lus toute la semaine par la comédienne Maëlys Ricordeau, membre du collectif <a title="Le collectif Das Plateau" href="http://www.dasplateau.net/"><span style="background-color: #ffffff; color: #000000;">Das Plateau</span></a>.</strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>***</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Dans les voix du poème, le silence des pauvres</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Voix des brumes</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong> Au pieds des feux</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong> Sur la mer</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>L'âme des marins morts</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Aile de vague douce</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Chant lointain des eaux vives</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Lever de lune sous un ciel d'or</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Vaisseau fantôme</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Hommes de flammes</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Rire des enfants d'Alep</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong> Aux chars abandonnés</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Houles et vents</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong> Réinventent les gris</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong> Pour des nuages qui dansent</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Table de roses et de lumières</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Pétales embarqués</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Rêve d'un soir flouté</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Tremblant de deviner le chant du monde</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Voix des chimères</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Voix réfractaire voix solaire</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Voix blanche voix caverneuse</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Dire des maux simples</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Des mots pour tous</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Les damnés de la Terre</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Difficiles à trouver</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Les mots légers pour dire le lourd</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Des mots d'écume pour les abysses</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>De petites fleurs de terril</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Pour la vie sacrifiée des mineurs</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Voix du secret</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Voix des Roms</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Cailloux jetés aux routes d'infamie</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Loin de la belle errance</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Cris de colère en torches violentes</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Pour que surgissent</strong></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Les rencontres enflammées de la vie chatoyante.</strong></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="color: #339966; font-family: arial black,avant garde; font-size: large;"><strong>Sonia Branglidor</strong></span></p>
ylepape
http://lactualitedessocialistes.hautetfort.com/about.html
Rencontre entre Harlem Désir et Lula
tag:lactualitedessocialistes.hautetfort.com,2012-12-13:4927030
2012-12-13T22:05:00+01:00
2012-12-13T22:05:00+01:00
Rencontre entre Harlem Désir et l’ancien... par PartiSocialiste
<p><iframe width="480" height="270" frameborder="0" src="http://www.dailymotion.com/embed/video/xvuttr"></iframe><br /><a href="http://www.dailymotion.com/video/xvuttr_rencontre-entre-harlem-desir-et-l-ancien-president-bresilien-luiz-inacio-lula-da-silva_news" target="_blank">Rencontre entre Harlem Désir et l’ancien...</a> <em>par <a href="http://www.dailymotion.com/PartiSocialiste" target="_blank">PartiSocialiste</a></em></p>
zazle
http://chroniquesdebuenosaires.hautetfort.com/about.html
Entretien de Jean-Luc Mélenchon dans Pagina 12
tag:chroniquesdebuenosaires.hautetfort.com,2012-10-16:4866669
2012-10-16T02:19:00+02:00
2012-10-16T02:19:00+02:00
Le leader du Front de Gauche était ces derniers jours à Buenos Aires pour...
<p class="MsoNormal"><img id="media-3793320" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://chroniquesdebuenosaires.hautetfort.com/media/02/01/1826028484.jpg" alt="Jean-Luc Mélenchon, Pagina 12, Martin Granovsky, révolution citoyenne, Chavez, Lula, Kirchner, mariage égalitaire, avortement, banque centrale, retraite par capitalisation, action populaire" />Le leader du Front de Gauche était ces derniers jours à Buenos Aires pour participer à un colloque international « Le défi de la politique dans un monde multipolaire ». Il a accordé à Martin Granovsky, journaliste au quotidien de gauche Pagina 12 un <a href="http://www.pagina12.com.ar/diario/elpais/1-205530-2012-10-14.html">entretien exclusif</a>, dont nous traduisons ici quelques extraits significatifs.</p><p class="MsoNormal">[Dans une première partie de l’interview, JL Mélenchon explique en quoi consiste la « révolution citoyenne », basée sur la prise de conscience qu’il n’existe qu’ « un seul et unique écosystème compatible avec la vie humaine » et qu’il existe bel et bien un intérêt général. Cette révolution citoyenne est menée par le peuple lui-même à travers cette prise de conscience. Jean-Luc Mélenchon précise que cette idée de révolution citoyenne n’a pas été inventée en France ; elle a surgi en Amérique latine qu’il présente comme un modèle.]</p><p style="margin-left: 36.0pt; text-indent: -18.0pt; mso-list: l0 level1 lfo1;"><span style="font-size: 11.0pt;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt 'Times New Roman';"> </span></span></span><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">L’Amérique du Sud, à la différence du chemin emprunté dans vos pays [“développés”] construit à l’heure actuelle, un Etat fondé sur le bien-être. L’Europe à l’inverse semble en train de détruire l’Etat de bien-être. Peut-on parler d’un moment de citoyenneté [en Amérique latine] ?</span></em></p><p style="margin-top: 0cm; margin-right: 0cm; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 36.0pt; text-indent: -18.0pt; mso-list: l0 level1 lfo1;"><span style="font-size: 11.0pt;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt 'Times New Roman';"> </span></span></span><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">Un grand moment. De citoyenneté et de civilisation. Aujourd’hui, nous reculons en Europe. En France, il y avait autrefois une culture politique et géopolitique très importante, avec un <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">vrai intérêt pour l’Amérique latine</strong>, en raison des liens culturels et des grands-parents communs. Aujourd’hui, il n’y a presque plus rien de tout ça. </span></p><p style="margin-top: 0cm; margin-right: 0cm; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 36.0pt;"><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;"> </span></em></p><p style="margin-left: 36.0pt; text-indent: -18.0pt; mso-list: l0 level1 lfo1;"><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-weight: normal;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt 'Times New Roman';"> </span></span></span></strong><strong><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;">Comment expliquer cette évolution négative ?</span></em></strong><strong><em style="mso-bidi-font-style: normal;"></em></strong></p><p style="margin-top: 0cm; margin-right: 0cm; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 36.0pt; text-indent: -18.0pt; mso-list: l0 level1 lfo1;"><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-weight: normal;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt 'Times New Roman';"> </span></span></span></strong><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;">Par la </span></strong><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">diabolisation des révolutions citoyennes en Amérique du Sud</span></strong><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;">. Pour que se taisent les peuples d’Europe, il faut les convaincre que rien de bon ne peut se passer dans aucun autre endroit du globe. Chavez est un diable. Kirchner aussi. A peine moins que des Cubains dissimulés. L’ignorance est totale sur les programmes et les réalités. </span></strong><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">Nous les Français ne savons rien de ce qui se passe avec la modernisation de l’Argentine</span></strong><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;">.</span></strong><strong></strong></p><p style="margin-top: 0cm; margin-right: 0cm; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 36.0pt;"><strong><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; font-weight: normal;"> </span></em></strong></p><p style="margin-left: 36.0pt; text-indent: -18.0pt; mso-list: l0 level1 lfo1;"><span style="font-size: 11.0pt;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt 'Times New Roman';"> </span></span></span><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">Se rajoute à cela, pour le Brésil, une diabolisation à l’envers. Pour désacréditer Lula, la droite européenne le présentait élogieusement comme le conservauteur qu’il n’est absolument pas.</span></em></p><p style="margin-left: 36.0pt; text-indent: -18.0pt; mso-list: l0 level1 lfo1;"><span style="font-size: 11.0pt;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt 'Times New Roman';"> </span></span></span><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">Effectivement. Lula a été sanctifié par certaines voix européennes, quand elles ont vu que l’influence de Chavez continuait de se développer. Elles ont inventé <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">l’image d’une gauche tranquille </strong>qui ne faisait rien de mal. […] <strong><span style="font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;">Mais un jour apparut la vidéo de Lula appelant à la victoire de Chavez. Le jour suivant, et sans aucune honte, on expliquait que Lula était un sans-gêne et un alcoolique. Peu importe la vérité. </span></strong><strong><span style="font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">Ne compte que la propagande. C’est pourquoi personne ne s’intéresse à ce qui se passe en Argentine</span></strong><strong><span style="font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;">. […] Je crois que la prise de contrôle du pétrole par l’Etat a été l’une des rares fois au cours des 5 dernières années où une nouvelle argentine est sortie dans la presse française. Une autre peut-être a été la solidarité avec les pauvres et misérables paysans en 2008 qui ne voulaient pas payer de droits pour exporter leur soja… Rien sur le </span></strong><strong><span style="font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">mariage égalitaire</span></strong><strong><span style="font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;">, rien sur la </span></strong><strong><span style="font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">réforme de la loi organique de la Banque centrale</span></strong><strong><span style="font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;">, que vous avez mis en place et que nous réclamons pour la BCE, rien sur le venin </span></strong><strong><span style="font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">que représente la retraite par capitalisation et la façon dont l’Argentine y a mis un terme</span></strong><strong><span style="font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;">.</span></strong> Vous ne savez pas à quel point vous avez à travers ces différents sujets pris de <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">l’avance sur le monde d’aujourd’hui. </strong></span></p><p style="margin-left: 36.0pt;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>[…]</span></p><p style="margin-left: 36.0pt; text-indent: -18.0pt; mso-list: l0 level1 lfo1;"><span style="font-size: 11.0pt;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt 'Times New Roman';"> </span></span></span><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">Une discussion de la gauche classique est de savoir quel type de crise traverse le capitalisme. Une crise terminale ? Je vous demande comme homme de gauche de quelle crise il s’agit. </span></em></p><p style="margin-left: 36.0pt; text-indent: -18.0pt; mso-list: l0 level1 lfo1;"><span style="font-size: 11.0pt; mso-ansi-language: ES;" lang="ES"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt 'Times New Roman';"> </span></span></span><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">Une crise très classique. Seulement un conflit pour la distribution de la richesse. Mon pays est plus riche que jamais. Mais la richesse continue de passer de plus en plus du travail au capital. Où est passé l’argent de la France ? Il est désormais dans la sphère financière qui vit sa vie à part, et de temps en temps quand survient une crise importante, transforme l’argent en fumée. <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">La Banque centrale, pour comble, ne veut pas prêter un seul euro à aucune des banques centrales des Etats</strong>. Mais elle a prêté des millions et des millions aux banques pour qu’elles se refinancent. Les banques ont obtenu de l’argent bon marché et l’ont ensuite remis sur le marché à taux élevé.[…] Elles croient qu’il y a une manière unique de gouverner la société et l’économie. Et dans les faits, on voit le <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">parasitisme social de certains qui vivent toujours mieux, pendant que de nombreux autres vivent toujours plus mal</strong>. L’Amérique latine a idéalisé l’Union Européenne ? Mais où sont les instances démocratiques du Mercosur ? <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">L’intégration économique ne conduit pas automatiquement à une intégration citoyenne</strong>. Au contraire. Le capital accepte l’intégration à condition qu’il y ait de le moins de régulation possible. Maintenant en Europe, avant d’examiner le projet de budget dans les parlements nationaux, il faut le présenter à la commission européenne pour qu’elle approuve le niveau de déficit. Si ce n’est pas le cas, elle le coupe. […] </span></p><p style="margin-left: 36.0pt;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; mso-ansi-language: ES;" lang="ES">[…]</span></p><p style="margin-left: 36.0pt; text-indent: -18.0pt; mso-list: l0 level1 lfo1;"><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt 'Times New Roman';"> </span></span></span></strong><strong><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;">Comment arrêter [le cercle vicieux de nos pays en crise] ?</span></em></strong></p><p style="margin-top: 0cm; margin-right: 0cm; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 36.0pt; text-indent: -18.0pt; mso-list: l0 level1 lfo1;"><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt 'Times New Roman';"> </span></span></span></strong><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;">Encore une fois : par </span></strong><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">l’action populaire</span></strong><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;">. Aujourd’hui les gens ne comprennent rien à la question de la dette. Il faut expliquer, informer, provoquer la réflexion, travailler avec humour, lever le voile sur ce sujet. Tout va se passer comme en Argentine. A un moment, les gens ne comprenaient rien, non ? Et l’instant suivant, ils ont senti qu’on leur sautait à la gorge. […] <br /> Durant les manifestations, les gens s’approchent de moi et me demandent de faire quelque chose. Que puis-je faire si je n’ai aucun pouvoir ? <br /> </span></strong><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">A Buenos Aires, il y a moins de gens dormant dans la rue qu’à Paris, et nous sommes la 5<sup>e</sup> puissance du monde</span></strong><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;">. Dans certains quartiers n’entrent ni les policiers, ni les pompiers. En Europe, nous commençons à connaître ce que les latino-américains connaissent déjà : l’action des cartels de la drogue. Ils tuent dans la rue. C’est quelque chose auquel nous ne sommes pas habitués. Cela me fait beaucoup de peine pour mon pays.</span></strong></p><p style="margin-top: 0cm; margin-right: 0cm; margin-bottom: .0001pt; margin-left: 36.0pt;"><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;"> </span></strong></p><p style="margin-left: 36.0pt; text-indent: -18.0pt; mso-list: l0 level1 lfo1;"><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt 'Times New Roman';"> </span></span></span></strong><strong><em style="mso-bidi-font-style: normal;"><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;">En quoi consisterait votre action si vous étiez au gouvernement ?</span></em></strong></p><p style="margin-left: 36.0pt; text-indent: -18.0pt; mso-list: l0 level1 lfo1;"><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;"><span style="mso-list: Ignore;">-<span style="font: 7.0pt 'Times New Roman';"> </span></span></span></strong><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;">Tout d’abord, je n’irai pas demander des permissions à Madame Angela Merkel. Je ne lui demanderais pas si elle est d’accord avec ce que je veux faire. […] Ensuite, </span></strong><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">je travaillerais au changement du statut de la Banque centrale européenne</span></strong><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;">. Cela serait le </span></strong><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">premier outil pour financer le développement et la récupération de l’activité économique</span></strong><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;">. Et après, cette radicalité concrète que j’ai mentionnée. La </span></strong><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin;">planification écologique</span></strong><strong><span style="font-size: 11.0pt; font-family: 'Calibri','sans-serif'; mso-ascii-theme-font: minor-latin; mso-hansi-theme-font: minor-latin; font-weight: normal; mso-bidi-font-weight: bold;">. Le soin de ne pas détruire la planète et nous-mêmes. Nous sommes face à une urgence ! Mais nous souffrons de leaders qui ne savent pas comment est le monde et que faire pour l’améliorer.</span></strong></p><p class="MsoNormal"> </p><p class="MsoNormal">(Un des autres points abordés au cours de cet entretien dense –et parfois confus !- a été la question de l’avortement. Jean-Luc Mélenchon a déclaré à ce propos : “Pour moi, <strong style="mso-bidi-font-weight: normal;">le retard sur le droit à l’avortement est l’aspect le plus négatif des révolutions
lafautearousseau royaliste
http://lafautearousseau.hautetfort.com/about.html
Affaire Battisti : Y aurait-il un ”droit à tuer”, un ”droit à la Terreur” ?...
tag:lafautearousseau.hautetfort.com,2011-03-11:3077305
2011-03-11T00:25:00+01:00
2011-03-11T00:25:00+01:00
Lula a surpris tout son monde....
<p><span style="font-family: Tahoma; font-size: small;"> Lula a surpris tout son monde. Plutôt sympathique, en tant que personne; plutôt raisonnable, en tant que Chef d'Etat; et plutôt positif, dans son bilan (si l'on met à part la persistance de ces deux plaies endémiques que sont la violence et la misère, auxquelles il s'est malgré tout attaqué....), voilà quelqu'un qui partait pour ne laisser qu'un bon souvenir après son départ des affaires. </span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"><span style="font-size: small;"> C'est peu de dire que l' "affaire Battisti", c'est-à-dire sa décision controversée de ne pas extrader celui que l'Italie demande, pour le juger, a jeté une ombre sur ce tableau frisant l'idyllique.....</span></span><span style="font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"><span style="font-size: small;"> </span></span></p><p style="text-align: center;"><a href="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/01/02/2203370971.jpg" target="_blank"><img id="media-2857564" style="margin: 0.7em 0;" src="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/01/02/3580882952.jpg" alt="LulaBattisti.jpg" width="427" height="309" /></a></p><p><span style="font-family: Tahoma; font-size: small;"> On ne va pas redire ici ce que l'on trouve partout ailleurs, ni re-expliquer par le détail une "affaire" que tout le monde connaît, du moins en gros, dans ses grandes lignes. On va plutôt se demander s'il y a quelque chose derrière ce refus d'extrader quelqu'un sur qui pèsent de très lourdes charges; qui plus est, non pas vers une dictatures féroce et sanguinaire, où la notion même de Droit n'existe pas, ou plus, mais vers un pays "normal", civilisé, dans lequel règnent toutes les garanties accordées à la Défense, et où le sieur Battisti n'aurait de toutes façons aucun mal à prouver ses dires ni son innocence, si elle était avérée. </span></p><p><span style="font-family: Tahoma; font-size: small;"> Mais, rien à faire, il ne veut pas y aller, en Italie. Et Lula le couvre, par une décision surprenante qui ne l'honore pas, et qui vient mettre comme une sorte de tâche indélebile sur sa fin de mandat.</span></p><p><span style="font-family: Tahoma; font-size: small;"> Alors, oui, on est en droit de se poser des questions. Car, de fait, l' "affaire Battisti" n'est rien d'autre qu'une banale affaire de Justice, de droit commun, comme il y en a tant de par le vaste monde, et, à dire la vérité, en tant que telle, elle n'existe pas. Du moins, elle ne devrait pas exister. Ce qui la crée, cette "affaire", c'est ce passe-droit ahurissant accordé à un terroriste de la pire espèce. Tout le monde doit répondre de ses actes, encore plus quelqu'un qui a tué. Qu'il déguise ses crimes en ce qu'il voudra (action politique ou autre...), c'est son affaire : il n'empêche, il doit passer devant la Justice. Or Battisti compte bien - et c'est Lula qui l'aide, du moins pour l'instant... - ne pas y passer, devant la Justice, lui qui a déjà été condamné par contumace à la perpétuité pour 2 assassinats et pour complicité dans deux autres, commis en 78 et 79. </span></p><p><span style="font-family: Tahoma; font-size: small;"> Voilà à qui Lula a offert l'asile politique. Cela signifierait-il donc que, pour lui, Lula, tuer est un acte politique, si c'est de la part d'un révolutionnaire ? Mais alors, qu'il le dise franchement, et qu'il assume jusqu'au bout.</span></p><p><span style="font-family: Tahoma; font-size: small;"> Après tout, "on" nous a inventé des droits à beaucoup de choses, à presque tout, en fait, alors, pourquoi pas celui-là : le droit à la Terreur, le droit de tuer ? Mais, attention, pas pour n'importe qui, ce droit-là. Uniquement pour les terroristes de gauche et d'extrême-gauche, dûment repertoriés et estampillés révolutionnaires purs et durs. Genre Battisti. Sinon, vous ne les intéressez pas. Qui çà ? Mais les journalistes, intellos, penseurs et autres gourous de la bien-pensance et de la cléricature médiatique auto-proclamée, diseuse du Vrai et donneuse de leçons. Eux qui ont réussi à mettre en place cette immense dictature tentaculaire des "correct" en tous genres : c'est cette pieuvre-là qui protège des gens comme Battisti, et qui le fera tant qu'elle n'aura pas été mise à terre.... </span></p>
lanvert
http://lanvert.hautetfort.com/about.html
Battisti ne sera pas extradé
tag:lanvert.hautetfort.com,2011-01-01:3048294
2011-01-01T19:29:00+01:00
2011-01-01T19:29:00+01:00
Cesare Battisti a été condamné en son absence en Italie, pour des faits...
<p><span style="font-family: arial black,avant garde;">Cesare Battisti a été condamné en son absence en Italie, pour des faits remontant à plus de trente ans.</span></p><p> </p><p style="text-align: justify;">L'Etat italien refuse de tourner la page de ces années noires, et veut que le Brésil expulse Battisti.</p><p style="text-align: justify;">La France, après avoir donné sa parole, est revenue sur son engagement, et a voulu le livrer à l'Italie. <img style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" src="http://farm1.static.flickr.com/166/430826226_f5d7020252.jpg" alt="430826226_f5d7020252.jpg" width="224" height="328" />C'est pour cela qu'il s'est réfugié au Brésil. Le président Lula a pris la dernière décision de son mandat en refusant la demande de l'Italie. La situation de Battisti avait amené à la création d'un comité de soutien, dans lequel Fred Vargas a été très active. Voici sa réaction aux dernières informations venant du Brésil :</p><p style="text-align: justify;"> </p><p> </p><p style="text-align: justify;"><em>Auteure à succès de romans policiers, Fred Vargas a très activement soutenu la cause de Cesare Battisti lorsque, vivant en France, il était menacé d'extradition vers l'Italie.</em></p><p style="text-align: justify;"><em>Elle a salué dans un communiqué "l'exceptionnelle sagacité" du président brésilien qui selon elle "a su s'élever au-dessus dy climat passionnel pour prononcer la non extradition de Cesare Battisti, en se basant sur des éléments factuels, juridiques et humains".</em></p><p style="text-align: justify;"><em>"Nous espérons que la libération de Cesare Battisti adviendra dès lors le plus rapidement possible", ajoute-t-elle.</em></p><p style="text-align: justify;"><em>Condamné par défaut en 1993 dans son pays à la réclusion à perpétuité pour quatre meurtres et complicité de meurtres commis en 1978 et 1979, il se dit innocent.</em></p><p style="text-align: justify;"><em>Cesare Battisti appartient à la centaine de militants d'extrême gauche italiens des années 1970 qui avaient reconstruit leur vie en France dans les années 1990, sous la protection du président François Mitterrand.</em></p><p style="text-align: justify;"><em>Une dizaine d'années plus tard, le gouvernement français avait décidé de remettre en cause cette promesse de ne pas les poursuivre et de donner suite à des demandes d'extradition italiennes.</em></p>
NB
http://10mai.hautetfort.com/about.html
Etats-unis, Brésil: quelles leçons pour la gauche?
tag:10mai.hautetfort.com,2010-11-04:2972142
2010-11-04T13:35:00+01:00
2010-11-04T13:35:00+01:00
Ces derniers jours , le continent américain a été marqué par deux...
<p><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman, serif;"><strong>Ces derniers jours</strong>, le continent américain a été marqué par deux scrutins importants: aux Etats-Unis avec les <span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><span style="font-family: Times New Roman, serif;"><strong><img id="media-2732062" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://10mai.hautetfort.com/media/02/01/2271247725.jpg" alt="Lula.jpg" /></strong></span></span>élections de mi-mandat et au Brésil avec la présidentielle. Dans le premier cas, la ligne de gauche modérée incarnée par Lula a été approuvée avec l'élection de son dauphin, Dilma Rousseff. Au nord du continent par contre, la volonté réformatrice d'Obama a été rejetée par les électeurs des Etats-Unis qui l'obligent à une cohabitation problématique avec la Chambre des représentants désormais dominée par les républicains. Les deux présidents ont un point commun: ils ont incarné un vrai espoir dans leur pays, et plus largement dans le monde, celui de changements en douceur pour aller vers une plus grande justice sociale. Pourtant, l'un, Obama, est stoppé net simplement au bout de deux ans alors que l'autre, Lula, voit sa politique confirmée (bien que critiquée à gauche comme à droite) après huit ans de pouvoir marqué par des échecs (en termes notamment de redistribution des terres) et quelques scandales de corruption? Pourquoi l'un imprime durablement sa marque au pays alors que l'autre, à peine élu, est déjà contesté?</span></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><strong>Bien entendu</strong>, les contextes sont loin d'être comparables. La puissance nord-américaine su<img id="media-2732065" style="float: right; margin: 0.2em 0 1.4em 0.7em;" src="http://10mai.hautetfort.com/media/01/01/2415078065.jpg" alt="obama_2.jpg" />bit encore les contre-coups de la grave crise financière et immobilière qui a démarré voici trois ans. Le chômage atteint presque la barre des 10% ; la situation des classes moyennes reste assez précaire; la question du logement reste très aigüe et les marchés financiers qui ont repris de la splendeur continuent à imposer leur loi. De plus, la société américaine, dans ses profondeurs, ne s'est pas débarrassée de son <strong>inconscient raciste</strong> : une partie des Américains WASP (« white anglo-saxon protestants ») continue à voir dans le premier président noir des Etats-Unis un intrus, un accident de l'histoire. Tout autre est la situation du Brésil, puissance émergente, dont la croissance économique, et le dynamisme culturel, sportif (ce pays va accueillir la coupe du monde de football puis les Jeux olympiques) font saliver tous les dirigeants occidentaux. Malgré les insuffisances de Lula, son bilan est largement approuvé par les Brésiliens qui font preuve d'un pragmatisme assez impressionnant.</span></p><p style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;">Aux Etats-Unis (mais la remarque s'applique très souvent aux pays occidentaux), toutes les difficultés sont attribuées au président actuel, même celles qui relèvent de son prédécesseur. Les électeurs ont la mémoire courte, oubliant le calamiteux bilan de George Bush, aussi bien sur le plan économique et social que international (avec l'engagement dans la guerre en Irak). Certes, les espoirs placés en Barack Obama étaient immenses, sans doute disproportionnés, et la déception est forcément au rendez-vous, mais en tout cas sur le plan intérieur, il n'a pas chômé, bataillant pour faire accepter sa réforme de la protection sociale. </span></p><p style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><strong>L'exemple Obama</strong> montre la difficulté – voire l'impossibilité – de réformes en profondeur en faveur des couches les plus démunies dans ce type de société. Là où le sentiment de déclin s'installe, où les couches moyennes ont peur d'être rattrapées par les plus pauvres, où la préoccupation principale des vieux est de percevoir leur pension (qui, rappelons-le, sont liées aux Etats-Unis à la bonne santé financière des grands groupes), toute volonté de bousculer – même raisonnablement – la donne se heurte à des peurs parfois instrumentalisées, à des réflexes de crispation. Il devient très <strong>compliqué de mener des politiques de gauche </strong>(donc des réformes) dans des espaces géographiques dominés - politiquement, économiquement, culturellement - par une population âgée. La tentation de la conservation de l'acquis, surtout quand celui-ci se rétrécit, prend le dessus sur tout projet innovateur qui bouscule les habitudes et représente toujours un saut vers l'inconnu.</span></p><p style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: medium;"><strong>Ce que des sociétés jeunes</strong>, en essor, confiantes dans leur avenir acceptent, d'autres présentant des caractéristiques inverses le refusent. Ce n'est pas pour rien si la plupart des pays d'Amérique latine sont dirigés par des gouvernements de gauche et si le monde occidental est très souvent contrôlé par des équipes conservatrices. Avis (notamment) à la gauche française qui rêve de reprendre les rênes du pouvoir en 2012! </span></p>
PP
http://plunkett.hautetfort.com/about.html
Mme Rousseff : une imposture de gros calibre
tag:plunkett.hautetfort.com,2010-10-18:2949890
2010-10-18T20:06:00+02:00
2010-10-18T20:06:00+02:00
...qui n'est plus certaine d'être élue le 31...
<p style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-size: small; font-family: verdana,geneva;"><strong><span style="color: #ff0000;"><span><img id="media-2703189" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" src="http://plunkett.hautetfort.com/media/02/01/3667106681.jpg" alt="DILMA ROUSSEF.jpg" />...qui n'est plus certaine d'être élue </span></span></strong></span></p><p style="margin-bottom: 0cm;"><span style="font-size: small; font-family: verdana,geneva;"><strong><span style="color: #ff0000;"><span> le 31 octobre :</span></span></strong></span></p><p> </p><p style="margin-bottom: 0.3cm; line-height: 200%; text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Ce qui se passe au Brésil est haut en couleurs. <em>« Dieu s'est invité avec fracas dans la campagne présidentielle du second tour ,</em> <em>au grand dam de sa principale victime, Dilma Rousseff, 62 ans », </em><span style="font-style: normal;">écrit</span><em> Le Monde</em> : le duel du 31 octobre s'annonce <em>« beaucoup plus serré qu'on ne s'y attendait ».</em> Vingt millions de voix au premier tour ont fait défaut à Mme Rousseff ; et, en majorité, ne se reporteront pas sur elle au second – pour des raisons éthiques. Le quotidien parisien s'en irrite, Mme Rousseff ayant tout pour lui plaire : une ex-gauche réduite aux nouvelles moeurs et acquise aux intérêts financiers... Comment a-t-on osé ne pas l'élire au premier tour alors que Lula (fétiche de la néo-bourgeoisie) en avait donné l'ordre ? <em>Le Monde</em> accuse <em>« la campagne menée par certains milieux chrétiens conservateurs, catholiques et, surtout, évangéliques »</em> : ceux qui ont voté en masse pour Marina Silva. </span></p><p style="margin-bottom: 0.3cm; line-height: 200%; text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">En quoi serait-il <em>« conservateur »</em> de voter pour une prolétaire de gauche écolo-radicale, combattante émérite aux côtés des paysans sans terre ? </span></p><p style="margin-bottom: 0.3cm; line-height: 200%; text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">En ceci : Marina et ses électeurs sont contre l'avortement, comme 72 % des Brésiliens. </span></p><p style="margin-bottom: 0.3cm; line-height: 200%; text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">Qualifier de <em>« conservateurs »</em> autant de pauvres est présomptueux. Mais <em>Le Monde</em> n'a peur de rien.</span></p><p style="margin-bottom: 0.3cm; line-height: 200%; text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;">On vérifie ce culot journalistique en lisant la suite du papier. Il nous apprend que Mme Rousseff, lourdement irritée (et inquiète pour la suite de sa carrière), vire de bord en catastrophe. Elle et l'état-major néo-bourgeois n'ont, dit <em>Le Monde,</em> <em>« pas su évaluer l'ampleur de ce mouvement d'opinion qui a d'abord circulé par le bouche-à-oreille des ouailles chrétiennes, influencées par les prêtres et les pasteurs</em> [mais quels imbéciles que ces pauvres !],<em> avant de surgir au grand jour à un moment où il était trop tard pour le contenir. Cette entrée en scène de la question de l'avortement – et d'un autre thème cher aux évangéliques, la dénonciation de l'homosexualité – a modifié le ton, le contenu et la dynamique de la campagne... » </em> </span></p><p style="margin-bottom: 0.3cm; font-style: normal; line-height: 200%; text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"> Donc voilà l'opulente Mme Rousseff mise en danger par une marée de pauvres, chrétiens et de gauche. Comment surnager ? Elle tente de se déguiser en paroissienne d'ici au 31 octobre. Elle se met à dire qu'elle n'est pas (ou plus) pour l'avortement, alors qu'elle se déclarait en sa faveur en mars dernier <em>(« l'avortement est une question de santé publique »)</em> ; elle raconte qu'elle est croyante, alors qu'en février elle déclarait ne pas l'être ; elle court se faire photographier au sanctuaire de la sainte patronne du Brésil... </span></p><p style="margin-bottom: 0.3cm; font-style: normal; line-height: 200%; text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"> Et puis, parce que les grosses ruses finissent par être trop grosses, elle prend pour allié ce que<em> Le Monde</em> dit être <em>« la plus puissante [...] des dénominations évangéliques, l'Eglise universelle du royaume de Dieu ».</em> Là, <em>Le Monde</em> nous prend pour des c... ! Car « l'Eglise universelle du royaume de Dieu » (EURD), dont l'emblème n'est pas la croix mais un oiseau blanc dans un coeur rouge, n'est pas une Eglise évangélique, ni d'ailleurs chrétienne. C'est une firme fondée en 1977 : des chaînes de télévision, des stations de radio, et trois millions d'adeptes parmi lesquels Lula avait mis son vice-président José Alencar. La religion de l'EURD est le salut matériel et la richesse. L'EURD (disent les journaux brésiliens) est <em>« une secte tournée surtout vers les paradis fiscaux », « la foi dans le package marketing + religion + promesses de gain »</em> : l'EURD <em>« guérit toutes les maladies, il suffit pour cela de prier et de financer l'Eglise ». </em> </span></p><p style="margin-bottom: 0.3cm; font-style: normal; line-height: 200%; text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"> Voilà l' « Eglise » à laquelle Mme Rousseff s'allie pour rester au pouvoir. </span></p><p style="margin-bottom: 0.3cm; font-style: normal; line-height: 200%; text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"> Mme Rousseff est l'amie de la presse parisienne ; le dessinateur Plantu la croque amoureusement. </span></p><p style="margin-bottom: 0.3cm; font-style: normal; line-height: 200%; text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"> Marina n'est pas l'amie de la presse parisienne. Elle est chrétienne. Elle se bat pour la vie et contre l'argent.</span></p><p style="margin-bottom: 0.3cm; font-style: normal; line-height: 200%; text-align: justify;"><span style="font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><span style="color: #ffffff;">-</span></span><span style="color: #000000; font-family: verdana,geneva; font-size: small;"><span><br /></span></span></p>
lafautearousseau royaliste
http://lafautearousseau.hautetfort.com/about.html
Succès de la gauche au Brésil ? Peut-être, mais il y a gauche et gauche.....
tag:lafautearousseau.hautetfort.com,2010-10-05:2914252
2010-10-05T00:20:00+02:00
2010-10-05T00:20:00+02:00
Il resterait encore à s'assurer que cela est vrai, mais, si cela...
<p style="text-align: center;"><a href="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/00/02/1747238209.jpg" target="_blank"><img id="media-2661571" style="margin: 0.7em 0;" src="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/00/02/2115379003.jpg" alt="lula.jpg" /></a></p><p style="text-align: center;"><em>Il resterait encore à s'assurer que cela est vrai, mais, si cela l'était, il y a aussi une explication qui a peut-être échappée à ceux qui on fait cette Une.....</em></p><p style="text-align: left;"> <span style="font-size: small;">Oui, il resterait d'abord à s'assurer que ce soit bien vrai, ce succès de la gauche et, donc, du Brésil. On le souhaite, d'ailleurs, car ce pays est plutôt sympathique. Et puis, ils vont bien finir par nous les acheter, nos Rafales, non ?... </span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: small;"> Bon, allez, trêve de plaisanteries, redevenons sérieux : la Une des Inrockuptibles fait délibérement l'impasse sur les deux chancres majeurs d'une société effectivement en essor : d'effroyables poches de misère un peu partout, accolées - ou juxtaposées... - à de non moins effroyables poches d'une violence extrême dont - malgré tout ce qu'on voit chez nous, et on en voit !... - nous n'avons pas vraiment idée ici.....</span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: small;"> Mais, bon : imaginons que ce soit vrai, et que "la gauche ait réussi au Brésil". Admettons-le, pour faire court, et prenons le postulat comme hypothèse d'école. Il resterait encore à savoir <em><strong>pourquo</strong></em>i. </span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: small;"> Sans prétendre tout expliquer sur terre, nous pouvons avancer une explication. Elle est simple, mais elle va loin. C'est que, à l'exception de leurs franges idéologiques et extrêmistes évidemment, les gauches latino-américaines ne sont pas <em>idéologiques </em>jusqu'au trognon, comme en France, qui a répandu ce satané virus de l'idéologie non seulement chez nous, mais dans toute l'Europe et dans le monde entier.....</span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: small;"> Du Mexique à la Terre de Feu, donc, et si vous enlevez (car c'est quand même vrai qu'ils existent) les <em>fous de Marx </em>- comme il y a des <em>fous de Dieu</em>... - qui sont les gens de gauche ? Eh, bien, quitte à en surprendre plus d'un, ce sont des gens qui, ici, détonneraient sacrément dans les partis de gauche ! Et qui se feraient probablement virer, dans un délai assez court. </span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: small;"> Notamment parce qu'ils n'ont pas chevillée au coeur et au corps, comme nos états-majors ici, cette haine de la Religion, déguisée en hypocrité laïcité, qui n'est pour eux rien d'autre qu'une grossière <em>arme de destruction </em>massive de la religion chrétienne... Et c'est déjà énorme. On se souvient de Lula, justement - qui fait ici, donc, la une du Journal qui nous intéresse aujourd'hui...- venu assister aux obsèques de Jean-Paul II et déclarant en substance <em>Je suis un travailleur venu saluer un autre travailleur. </em>Imagine-t-on n'importe lequel de nos responsables politiques majeurs faire la même chose en France ? On se souvient - même au-delà de la gauche... - de la froideur du discours de Jacques Chirac, alors Président de la République, recevant Jean-Paul II : un discours à la limite de l'incorrection et de la grossiéreté.</span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: small;"> Et, pour parler encore de Lula, le fait qu'il ait invoqué Dieu à plusieurs reprises, et lors de plusieurs meetings électoraux, en affirmant qu'il protégeait "sa" candidate, a du en désesperer plus d'un, ici, à Billancourt !....</span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: small;"> Mais il n'y a pas que le <em>religieux </em>qui sépare les gauches de "là-bas" de celles "d'ici". Il y a aussi <em>l'économique. </em>Et, comme le religieux, ce n'est pas rien non plus. Prenez le programme économique de l'ancienne Présidente socialiste chilienne, Michèle Bachelet. Dans ses grandes lignes et dans ses orientations majeures, ici, c'était un programme de droite, voire, dans certains de ses chapitres, de <em>droite extrême</em>. Le Pen lui-même n'en aurait supprimé que deux ou trois points, et encore, mineurs ! Et c'est pareil pour Lula, au Brésil....</span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: small;"> Alors, pour conclure, il ne s'agit pas de dire que la gauche américaine est "de droite", au sens où on l'entend ici. Elle est bien "de gauche", avec ses extrêmistes fous de Marx - nous l'avons vu... - mais aussi ses utopies, ses fantasmes et les rêveries de ses <em>doux-dingues, </em>qu'elle connaît aussi, et dont nous n'avons pas l'exclusivité, ici. </span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: small;"> Mais, et c'est cela qui compte, elle est bien de gauche, comme on l'est là-bas : avec beaucoup d'idéologie(s) en moins et beaucoup de pragmatisme en plus... </span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-size: small;"> Et ça change, sinon tout, du moins beaucoup !.... <em> </em></span></p>
Ratatosk
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Brasile e Venezuela, due processi elettorali cruciali per questo autunno
tag:euro-synergies.hautetfort.com,2010-09-15:2897500
2010-09-15T00:15:00+02:00
2010-09-15T00:15:00+02:00
Brasile e Venezuela, due processi elettorali cruciali per questo...
<p><strong><span style="font-family: comic sans ms,sans-serif;"><span class="newsSottotitolo" style="font-size: small; color: #c0c0c0;"><div class="Titolo_big"><p style="text-align: center;"><img id="media-2644034" style="display: block; margin: 0.7em auto;" src="http://euro-synergies.hautetfort.com/media/00/01/4208413928.jpg" alt="Chavez-Lula.jpg" /></p><span style="font-size: xx-large; font-family: arial black,avant garde;"><strong><span style="color: #c0c0c0;">Brasile e Venezuela, due processi elettorali cruciali per questo autunno</span></strong></span></div></span><p><span style="font-family: trebuchet ms,geneva;"><p><span class="newsSottotitolo" style="font-size: small; color: #c0c0c0;"> </span></p><p><span style="font-size: medium;">Introduzione</span></p><p> </p></span></p><p> </p><span style="font-family: trebuchet ms,geneva;"><span class="newsSottotitolo" style="font-size: small; color: #c0c0c0;"><strong><span class="newsSottotitolo" style="font-size: small; color: #c0c0c0;"><p><p><span style="font-size: medium;">Quest’autunno, l’America Latina sarà protagonista di due importanti processi elettorali, decisivi nel designare la direzione della politica estera ed economica della regione per il prossimo decennio.</span></p><p><span style="font-size: medium;">Le elezioni legislative venezuelane del 26 ottobre determineranno se il presidente Chávez sarà capace di ottenere la maggioranza dei 2/3, necessaria per la continuazione del suo programma social-democratico, senza che questo subisca, durante il percorso, i blocchi continui imposti da una destra sempre più forte.</span><br /><span style="font-size: medium;">Il Brasile, ovvero, l’economia industriale ed esportatrice di prodotti agrari più forte e dinamica della regione, affronterà le elezioni presidenziali il 3 di ottobre.</span><br /><span style="font-size: medium;">In entrambi i Paesi l’elettorato è molto polarizzato, sebbene nel secondo caso non si strutturi intorno l’asse socialismo-capitalismo.</span><br /><span style="font-size: medium;">In Venezuela, la destra mira a frenare nuovi processi di nazionalizzazione di industrie strategiche, a fomentare la destabilizzazione promuovendo la disobbedienza e il sabotaggio delle iniziative politiche di base delle comunità locali, ed imporre restrizioni al budget di spesa dei programmi sociali e dei finanziamenti pubblici. L’obiettivo strategico della destra venezuelana è quello di incrementare la penetrazione istituzionale dell’esercito, i servizi di intelligence e le agenzie di aiuti statunitensi, col fine di ridurre le iniziative della politica estera indipendente promossa dal presidente Chávez e far pressione sul suo governo affinché svolga concessioni alla Casa Bianca, soprattutto, indebolendo i rapporti con l’Iran, la Palestina, e specialmente i rapporti con le organizzazioni politico-economiche indipendenti dell’America Latina che escludono la presenza di Washington (MERCOSUR, ALBA, UNASUR).</span></p><p><span style="font-size: medium;">Elezioni presidenziali: Brasile</span></p><p><span style="font-size: medium;">In Brasile, il confronto si gioca fra la candidata del Partito dei Lavoratori, Dilma Rousseff, sostenuta dal presidente uscente Lula Da Silva, e l’ex governatore dello Stato di San Paolo, leader del Partito Socialdemocratico Brasiliano, José Serra.</span><br /><span style="font-size: medium;">Le etichette del partito sono irrilevanti dato che ambo i candidati hanno promosso e stanno proponendo di continuare con una politica di sviluppo agro-minerale, di libero commercio esortato dalle esportazioni, ed entrambi sono spalleggiati dalle élite imprenditoriali e finanziarie. Nonostante, però, i legami con queste ultime, ed evitando ogni tipo di trasformazione radicale (o anche solo moderata) ad un sistema di distribuzione di ricchezza e proprietà delle terre, enormemente disuguale, sono presenti alcune differenze di pensiero, primarie, che determineranno il risultato: 1) l’equilibro di forze del continente americano, 2) la capacità di movimenti sociali brasiliani di articolare liberamente le loro richieste, 3) il futuro dei regimi di centro-sinistra dei Paesi vicini (in particolar modo Bolivia, Venezuela e Argentina), 4)i consorzi di capitale pubblico e privato riservati ai campi petroliferi appena scoperti, di fronte ai suoi costi.Serra sposterà la politica estera verso un maggiore adeguamento agli Stati Uniti, indebolendo o rompendo i rapporti con l’Iran e riducendo o addirittura eliminando i programmi di investimento congiunti a Bolivia e Venezuela; tuttavia, non modificherà le politiche commerciali e di investimento verso l’estero per quel che riguarda l’Asia.</span><br /><span style="font-size: medium;">Proseguirà con le politiche di libero commercio di Lula con l’intenzione di diversificare i mercati (salvo riguardo ciò che gli Stati Uniti definiscono “minacce” geopolitiche o in cui ripongono interessi militari) e promuoverà le esportazioni del settore agrario ed energetico-minerario; manterrà la politica di Lula di surplus di bilancio e di risanamento dei conti pubblici e di reddito.</span><br /><span style="font-size: medium;">In ambito sociale è probabile che le politiche di Serra approfondiranno e amplieranno i tagli alle pensioni pubbliche e continueranno con un criterio di restrizione salariale, in modo da ridurre la spesa pubblica, specialmente nell’educazione, nella sanità e nella lotta contro la povertà.</span><br /><span style="font-size: medium;">Per la questione fondamentale dello sfruttamento dei nuovi giacimenti di gas e petrolio, Serra ridurrà il ruolo dello Stato (e la sua partecipazione nell’entrata, nei benefici e nelle proprietà) a favore delle imprese petrolifere estere private; è meno probabile che promuova accordi con i dirigenti sindacali e che ricorra ad una maggiore repressione “legale” degli scioperi o alla criminalizzazione dei movimenti sociali rurali, soprattutto quelli di occupazione di terre del Movimento dei Senza Terra (MST).</span><br /><span style="font-size: medium;">In ambito diplomatico si avvicinerà maggiormente agli Stati Uniti e alle sue politiche militari, senza mostrare sostegno evidente negli interventi militari diretti; un segnale, da parte di Serra, di condivisione al programma di Washington, già si aveva avuto nel momento in cui l’ex governatore di San Paolo indicò il governo riformista della Bolivia come uno “Stato narcotrafficante”, facendosi eco della retorica Hillary Clinton, in forte contrasto con i rapporti amichevoli fra Brasile e Bolivia durante il mandato di Lula.</span><br /><span style="font-size: medium;">Di sicuro Serra respingerà ogni tipo di iniziativa diplomatica indipendente che sia in conflitto con le aspirazioni militari statunitensi.La campagna elettorale della Rousseff, in sostanza, promette di mantenere le politiche economiche e diplomatiche di Lula, includendo l’attuazione di una proprietà pubblica maggioritaria dei nuovi giacimenti di petrolio e gas, lo sviluppo di programmi di lotta contro la povertà e alcuni margini di tolleranza (non sostegno) ai movimenti sociali come l’MST o i sindacati.In altre parole, le alternative sono: compiere un passo indietro e regredire alle politiche repressive e conformiste degli anni ’90, o mantenere lo status quo del libero mercato, di una politica estera indipendente, dei programmi di lotta contro la povertà e di una maggiore integrazione con l’America Latina.</span><br /><span style="font-size: medium;">Se vince Serra, l’equilibrio di forze in America Latina si sposterà verso destra e, con esso, si riaffermerà l’influenza e la capacità di azione verso tutti gli Stati vicini di centro-sinistra.</span><br /><span style="font-size: medium;">In politica interna continuerà a percorrere, grossomodo, i passi di Lula, amministrando programmi di lotta contro la povertà, tramite i suoi funzionari,e assicurandosi di indebolire il sostegno a Lula da parte dei movimenti sociali.</span><br /><span style="font-size: medium;">Con opzioni così limitate, Serra gode dell’appoggio delle principali associazioni impresarie di San Paolo(anche se alcuni protagonisti del mercato economico promuovono entrambi i candidati), mentre nell’orbita della Rousseff sono presenti tutti i principali sindacati; inoltre, i principali movimenti sociali come l’MST, seppur sentendosi traditi dal mancato compimento della riforma agraria promessa da Lula, stanno svolgendo una campagna anti-Serra, appoggiando indirettamente la Rousseff.</span><br /><span style="font-size: medium;">Il detto, secondo il quale “l’America Latina va dove va il Brasile” ha qualcosa in più di un pizzico di verità, soprattutto se analizziamo il futuro e le prospettive economiche di maggiore integrazione della regione.Elezioni legislative: Venezuela </span></p><p><span style="font-size: medium;">Il Venezuela di Chávez è la chiave per le prospettive di cambiamento sociale progressista in America Latina. Il governo social-democratico sostiene i regimi riformisti dell’America Latina e dei Caraibi, e con la sua spesa pubblica ha consolidato evoluzioni pionieristiche nell’ambito della salute dell’educazione e nella distribuzione di sussidi alimentari, distribuiti per il 60% dei settori più poveri della popolazione. Nonostante, l’immensa popolarità di Chávez durante l’intero decennio di governo, i programmi innovatori di ridistribuzione e i cambi strutturali progressisti, esiste il rischio evidente e imminente che la destra realizzi progressi significativi nelle prossime elezioni legislative.</span></p><p><span style="font-size: medium;">Il Partito Socialista Unito del Venezuela ( PSUV), guidato dal presidente Chávez, ha dalla sua parte sei anni di attività chiusi con: un tasso di crescita elevato, un aumento delle entrate e un declino del tasso di disoccupazione. Di contro giocano, invece, i 18 mesi di recessione in corso,un tasso d’inflazione e criminalità molto alto ed una restrizione di fondi a disposizioni che limitano l’avvio di nuovi programmi.</span></p><p><span style="font-size: medium;">Secondo i documenti dell’agenzia ufficiale di aiuti esteri statunitense, durante il periodo precedente la campagna elettorale venezuelana, Washington avrebbe depositato più di 50 milioni di dollari nelle casse di un’opposizione controllata da “fronti” politici e ONG – promotori degli interessi statunitensi – concentrandosi nell’unificazione delle fazioni oppositrici, sovvenzionando il 70% dei mezzi di comunicazioni privati e finanziando organizzazioni comunitarie controllate dall’opposizione, situate nei quartieri di classe media e bassa. A differenza degli Stati Uniti, il Venezuela non esige che i destinatari dei fondi provenienti dall’estero, operanti in nome di una potenza straniera, siano registrati come agenti stranieri.</span></p><p><span style="font-size: medium;">La campagna della destra si focalizza sulla corruzione del governo e nel traffico di droga, orientamento ispirato dalla Casa Bianca e dal New York Times, dimenticando di segnalare che il pubblico ministero generale del Venezuela ha annunciato l’apertura di processi giudiziari contro 2700 casi di corruzione e 17000 casi di traffico di droga. L’opposizione e il Washington Post indicano che il sistema di distribuzione statale (PDVAL) ha fallito nella consegna di diverse migliaia di tonnellate di cibo, causandone il marciume e lo scarto, non contando, però, che tre dei precedenti direttori sono attualmente in carcere e che il Ministero dell’Alimentazione somministra nel paese 1/3 degli alimenti base per il consumo, ad un prezzo del 50% inferiore ai prezzi imposti dai supermercati privati.</span><br /><span style="font-size: medium;">Senza dubbio, la destra realizzerà progressi significativi alle prossime elezioni legislative, semplicemente perché parte da una situazione esigua, il suo minimo, dovuta anche al fatto di aver boicottato le ultime elezioni. Non è comunque probabile che la campagna contro la corruzione prevarichi la maggioranza di Chávez, vista anche la condanna, inflitta al suo ultimo leader, l’ex presidente Carlos Andrés Perez, per frode di migliaia di milioni di dollari a causa di appropriazioni illecita di fondi pubblici. Allo stesso modo, i governatori e i sindaci oppositori sono stati accusati di frode e malversazione di fondi, rifugiandosi a Miami.</span><br /><span style="font-size: medium;">Tuttavia, anche se la maggior parte degli elettori considera Chávez onesto e pulito, la stessa cosa non può essere detta per alcune cariche pubbliche del suo governo.</span><br /><span style="font-size: medium;">La domanda, quindi, è se i votanti siano disposti a rieleggerli, pur di sostenere Chávez ,nonostante i loro precedenti, o se preferiranno astenersi. E proprio un’astensione nata dal disincanto, e non da un giro elettorale a destra, rappresenta la minaccia maggiore ad una vittoria decisiva del PSUV.</span></p><p><span style="font-size: medium;">Nella corsa verso le elezioni legislative, il PSUV ha festeggiato la vittoria alle primarie, in cui molti consigli comunitari hanno eletto candidati locali e popolari, sopraffacendo quelli scelti “dall’alto”. Di certo, una vittoria dei primi rafforzerebbe i settori socialisti del PSUV in contrapposizione ai moderati.</span><br /><span style="font-size: medium;">Il processo elettorale è molto polarizzato lungo quelle che sono le principali demarcazioni delle classi sociali, in base alle quali la maggioranza delle classi più basse sostengono il PSUV, mentre le classi medie e alte appoggiano quasi uniformemente la destra politica.</span><br /><span style="font-size: medium;">Esiste, comunque, un settore significativo fra le classi più povere e i sindacati, che si trova in una posizione di indecisione, poco motivata ad esprimere il proprio voto. Magari saranno loro stessi a decidere il risultato finale in distretti elettorali importanti, ed è proprio in questo campo che la campagna elettorale si fa più dura.</span><br /><span style="font-size: medium;">Per la vittoria del PSUV, oltre ai sindacati, è fondamentale che i comitati delle fabbriche gestiti dai lavoratori e i consigli comunitari si sforzino seriamente affinché gli elettori più reticenti votino per i candidati di centro-sinistra. Perfino i sindacalisti militanti e le organizzazioni di base di lavoratori si sono visibilmente concentrati a discolpare (questioni salariali) “locali” e “economicisti” o a ignorare le questioni politiche più generali.</span><br /><span style="font-size: medium;">Il loro voto e la loro attività come leader di opinione, incaricati di mostrare “il panorama globale”, sono fondamentali per vincere l’inerzia politica, oltre che la delusione verso alcuni candidati del PSUV.Conclusione </span></p></p></span></strong></span><span class="newsSottotitolo" style="font-size: small; color: #c0c0c0;"><strong><span class="newsSottotitolo" style="font-size: small; color: #c0c0c0;"><p><p><span style="font-size: medium;">Le prossime elezioni in Brasile e Venezuela eserciteranno un impatto decisivo nella politica di Stato, nella politica economica e nelle relazioni dell’America Latina con gli Stati Uniti, per tutta la seconda decade di questo secolo. Se il Brasile “gira a destra”, rafforzerà enormemente l’influenza statunitense nella regione, mettendo a tacere una voce indipendente. Anche se nessun candidato compierà grandi passi verso una migliore giustizia sociale, se a essere eletta sarà la candidata Dilma Rousseff, si procederà comunque verso una maggiore integrazione latinoamericana e internazionale, relativamente indipendente. Vincere non aprirà, quindi, la porta a nessun cambiamento strutturale con grandi conseguenze.</span></p></p></span></strong></span><span class="newsSottotitolo" style="font-size: small; color: #c0c0c0;"><strong><span class="newsSottotitolo" style="font-size: small; color: #c0c0c0;"><p><p><span style="font-size: medium;">Una vittoria dei socialisti venezuelani rafforzerà la determinazione di Chávez e la sua capacità di proseguire con le sue politiche di benessere sociale, contro l’imperialismo, e di sostegno all’integrazione. La posizione ferma del presidente venezuelano nell’opporsi alla militarizzazione statunitense, incluso il colpo di Stato in Honduras e le basi militari USA in Colombia, animano i regimi di centro-sinistra ad adottare un atteggiamento moderato, ma allo stesso tempo stabile contro la presenza militare degli Stati Uniti. Le riforme di Chávez in Venezuela esercitano pressione affinché i regimi di centro-sinistra introducano mezzi legislativi di riforma sociale e promuovono programmi di lotta contro la povertà e la creazione di consorzi pubblico-privati, invece di seguire i mezzi neo liberali della destra pro statunitense più dura.</span><br /><span style="font-size: medium;">Mentre in Brasile si tratta di votare per il male minore, in Venezuela l’indecisione è sul votare il bene maggiore.</span></p><p><span style="font-size: medium;">fonte: <a href="http://www.lahaine.org/index.php?p=47578" target="_blank">http://www.lahaine.org/index.php?p=47578</a> </span></p><p><span style="font-size: medium;">Traduzione di Stefano Pistore (Università dell’Aquila. Contribuisce frequentemente al sito di Eurasia)</span></p></p></span></strong><br /><span style="font-size: medium;"><strong><span class="newsSottotitolo" style="color: #c0c0c0;">Tante altre notizie su <a title="www.ariannaeditrice.it" href="http://www.ariannaeditrice.it/">www.ariannaeditrice.it</a> </span></strong></span><br /></span></span></span></strong></p><p><span style="font-size: medium; font-family: arial black,avant garde;"><strong><span class="artAutore" style="color: #c0c0c0;">di James Petras</span></strong></span><br /><br /><span style="font-size: medium; font-family: arial black,avant garde;"><strong><span class="newsSottotitolo" style="color: #c0c0c0;">Fonte: <a title="eurasia" href="http://www.ariannaeditrice.it/scheda_fonte.php?id=116">eurasia [scheda fonte]</a> </span></strong></span><br /><br /></p><p><h2><span style="font-size: medium;"><em>Le prossime elezioni eserciteranno, per tutta il secondo decennio di questo secolo, un impatto decisivo nella politica, nell’economia e nelle relazioni dell’America Latina con gli Stati Uniti.</em></span></h2></p><p><p> </p></p><p> </p>
Solko
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Le monde est foot
tag:solko.hautetfort.com,2010-07-09:2821268
2010-07-09T15:43:00+02:00
2010-07-09T15:43:00+02:00
Un mondial n’est pas achevé que le logo du prochain (2014), qui sera...
<p class="MsoNoSpacing" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: &amp;amp; mso-ascii-theme-font: major-latin; mso-hansi-theme-font: major-latin;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: georgia,palatino;"><span style="color: #000000;"><span style="color: #000000;">Un mondial n’est pas achevé que le logo du prochain (2014), qui sera organisé au Brésil, est déjà dévoilé ; le marketing sportif est un feuilleton sans fin, dont les politiques de tout pays se saisissent à pleines mains pour faire le leur. En présentant l’objet hier à Johannesburg, le président Lula a ainsi expliqué qu’il représentait « les talents des Brésiliens, leur goût du travail, les couleurs du pays ». Jaune et verte comme le drapeau brésilien, en effet, deux mains s’enlacent jusqu’à profiler la silhouette du trophée, avec 2014 écrit dessus en rouge. Le sang du peuple ? Le lyrisme de Lula n’a pas été jusque là. Une future victoire de son pays ? Il en est convaincu Voyez comment les mains se saisissent du trophée, jusqu'à le former à partir du seul vide :</span><br /></span></span></span></span></p> <div style="text-align: center;"><span style="font-family: &amp;amp; mso-ascii-theme-font: major-latin; mso-hansi-theme-font: major-latin;"><span style="color: #000000;"><img id="media-2551155" style="margin: 0.7em 0;" src="http://solko.hautetfort.com/media/02/01/435269882.jpg" alt="logo-2014.jpg" /></span></span></div> <p class="MsoNoSpacing" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: &amp;amp; mso-ascii-theme-font: major-latin; mso-hansi-theme-font: major-latin;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: georgia,palatino;"><span style="color: #000000;">Un autre, qui avait déjà les yeux rivés vers 2014, et qui fait une drôle de tête, c’est Bruno Souza, le gardien et capitaine de Flamengo, le club le plus populaire au Brésil. Il vient de déclarer aux policiers qui l’ont arrêté que son espoir de disputer cette Coupe 2014 risquait d’être en effet bien terminé. Pas très adroit, alors qu’il est mis en examen dans <a href="http://lci.tf1.fr/monde/amerique/2010-07/foot-sexe-et-meurtre-au-bresil-5921978.html"><span style="color: #ff0000;">l’affaire du meurtre de son ancienne petite amie</span></a>, une certaine Eliza Samudio, dont le corps aurait été découpé en morceaux et partiellement donné à manger à des chiens, rien de moins. On sent se profiler à l’horizon une saga médiatique de l'effet le plus gore, devant laquelle les partouzes, coups de boule, injures et autres maladresses de communication des <em style="mso-bidi-font-style: normal;">Bleus</em> repris en mains par Blanc risquent de passer pour du bien pâle amateurisme de banlieue franchouillarde. « Nous allons organiser la meilleure Coupe du monde jamais montrée à la terre », a claironné l’innénarrable Lula, en rajoutant que le Mondial serait organisé « dans la transparence ; toutes les dépenses publiques seront consultables sur internet » Diable !</span></span></span></span></p> <p class="MsoNoSpacing" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="font-family: &amp;amp; mso-ascii-theme-font: major-latin; mso-hansi-theme-font: major-latin;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: georgia,palatino;"><span style="color: #000000;">En attendant, le poulpe Paul, qui a réalisé dans son aquarium teuton un sans-fautes dans les pronostics, reçoit, paraît-il, des lettres de menaces des supporters de toutes les équipes éliminées. A commencer par la sienne, celle d'Allemagne. Il vient d’annoncer à l'instant que</span> <a href="http://www.tdg.ch/depeches/people/mondial-2010-paul-poulpe-devin-predit-succes-espagne"><span style="color: #ff0000;">les espagnols seront les prochains champions du monde</span></a>. <span style="color: #000000;">Le sieur Zapatero, pour faire bonne figure, lui promet une</span> <a href="http://www.20min.ch/ro/cm2010/actualites/story/25390577"><span style="color: #ff0000;">protection rapprochée</span></a>, <span style="color: #000000;">en cas d’attentats…</span></span></span></span></p> <p class="MsoNoSpacing" style="text-align: justify; margin: 0cm 0cm 0pt;"><span style="color: #000000;"><span style="font-size: small;"><span style="font-family: georgia,palatino;">Pendant ce temps, Nicolas…</span></span></span></p>
lafautearousseau royaliste
http://lafautearousseau.hautetfort.com/about.html
Du Brésil à... ”Kiel et Tanger”.
tag:lafautearousseau.hautetfort.com,2009-09-08:2356469
2009-09-08T00:05:00+02:00
2009-09-08T00:05:00+02:00
Sarkozy...
<p> Sarkozy se démène comme un beau diable pour vendre le <em>Rafale</em>. Excellent avion, très certainement l'un des tous meilleurs du monde -et, dans certains domaines, le meilleur- celui-ci n'a encore pas trouvé preneur à l'exportation. Le dernier <em>ratage</em>, on s'en souvient, est celui du Maroc, où une vente disons <em>possible</em>, a été perdue pour des raisons, disons <em>techniques</em>, ne portant pas, de fait, sur les qualités -ou les défauts- de l'appareil.</p> <p> Aujourd'hui c'est le Brésil qui est visé, pour devenir le premier acquéreur de ce petit bijou. On ne peut que souhaiter voir les efforts du Président couronnés de succès, car un succès du <em>Rafale,</em> c'est un succès pour la France, et de la France </p> <div style="text-align: center"><a target="_blank" href="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/01/02/1884668296.jpg"><img src="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/01/02/1225667738.jpg" alt="RAFALE 17 JUIN 2009 LE BOURGET.jpg" name="media-1964410" id="media-1964410" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></a></div> <div style="text-align: center"><em>Le Rafale effectue une démonstration,</em></div> <div style="text-align: center"><em>le 17 juin 2009 au Salon du Bourget </em></div><div style="text-align: left;"> Pourtant, ce n'est pas du <em>Rafale</em> en tant que tel que nous allons traiter ici, ni du <em>G20.</em> Et si le déplacement de Nicolas Sarkozy au Brésil, chez Lula, attire notre attention, ce sera pour tout autre chose, même si, nous l'avons dit, les enjeux économico-militaires, donc politiques et géo-stratégiques sont importants.</div> <div style="text-align: left;"></div> <div style="text-align: left;"></div> <div style="text-align: left;"> Non, si nous nous arrêtons sur ce déplacement c'est parce que ce que va tâcher de faire Sarkozy au Brésil, ce qu'il va y chercher -et qui dépasse très largement la seule vente du <em>Rafale</em>- illustre bien -aujourd'hui en 2009- <em>Que la France pourrait manoeuvrer et grandir.</em></div> <div style="text-align: left;"></div> <div style="text-align: left;"> Cela ne vous rappelle rien ? Mais, si, bien sûr ! C'est le titre du XXIVème chapitre de l'extra-ordinaire <em>Kiel et Tanger,</em> de Charles Maurras ! Écrit en 1921 et toujours d'une surprenante actualité (<em>inoxydable</em>, comme on dit volontiers aujourd'hui...)</div> <div style="text-align: left;"></div> <div style="text-align: left;"> Il est de notoriété publique (il en a lui-même conseillé la lecture à ses étudiants...) que ce livre ne quittait pas la table de chevet de Georges Pompidou, Président de la République française. Les oppositions politiques sont une chose, le réalisme en est une autre. Pompidou, comme tant d'autres, était sensible -par delà, donc, toutes les contingences et toutes les péripéties- à l'acuité de l'analyse, à sa pertinence, à sa <em>fulgurance.</em> Qu'on emploie le mot qu'on voudra, le fait est là: le XXIVème chapitre de cet ouvrage d'il y a quatre vingts ans n'a pas pris une ride, il semble écrit d'hier, ses pressentiments sont confirmés par l'évolution actuelle du monde. N'est-ce pas, en forçant à peine le trait, quelque chose qui donne une idée du <em>fascinant</em> ? (1)</div> <div style="text-align: left;"> </div> <div style="text-align: left;"></div> <div style="text-align: left;"></div> <div style="text-align: left;"> Vous pouvez lire l'intégralité de ce XXIVème chapitre de <em>Kiel et Tanger</em> en cliquant sur le lien ci dessous (il a été préparé sous forme de Pdf, afin que vous puissiez le télécharger) <a name="media-1966630" href="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/02/01/296748299.pdf" id="media-1966630">Chapitre24.pdf</a>, ou en vous reportant à la Catégorie "<strong>Grand Textes",</strong> où vous le trouverez, toujours dans son intégralité, comme <strong>Grand Texte II.</strong> <div style="text-align: center"></div> <div style="text-align: center"><strong><a target="_blank" href="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/01/02/1565478542.jpg"><img src="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/01/02/856741383.jpg" alt="KIEL ET TANGER.jpg" name="media-1964760" id="media-1964760" style="border-width: 0; margin: 0.7em 0;" /></a></strong></div> <div style="text-align: left;"></div> <div style="text-align: left;"></div> <div style="text-align: left;"> Et vous pouvez également, chanceux que vous êtes, lire l'ensemble de cet ouvrage en vous rendant sur cette autre malle aux trésors qu'est l'indispensable site maurras.net ( <a target="_blank" href="http://maurras.net/">http://maurras.net/</a> ). <div style="text-align: left;"> En arrivant sur la page d'accueil de ce site -pour celles et eux qui ne le connaîtraient pas encore...- vous avez tout en haut un bandeau offrant quatre choix: <strong>ACCUEIL - GALERIE - TEXTES SUR CHARLES MAURRAS - BIBLIOTHEQUE MAURRASSIENNE</strong>.</div> <div style="text-align: left;"> Il vous suffit de cliquer sur cette quatrième option, et vous tombez sur la page <strong>TEXTES ET OEUVRES DE CHARLES MAURRAS</strong>, sur laquelle vous voyez défiler, classés par ordre chronologique (le premier étant de 1882) tous les textes de Maurras actuellement proposés par le site. Pour Kiel et Tanger, en l'occurrence, il vous suffit de <em>descendre</em> la liste, et de vous arrêter en 1921.</div> <div style="text-align: left;"> A noter: le site maurras.net est en <em>progression perpétuelle</em>, si l'on peut dire, et lui non plus <em>ne s'arrête jamais</em>. De nouveaux textes, des ouvrages entiers, sont régulièrement mis en ligne et viennent donc enrichir la liste déjà fort intéressante proposée à tout le monde.....</div> <div style="text-align: left;"></div> <div style="text-align: left;">(1) : Maurras a donc fait preuve de fulgurance dans les pages de ce chapitre, tout comme Chateaubriand, qu'il n'aimait guère (doux euphémisme !...), écrivant cette autre page fulgurante <em>L'Avenir du monde</em>, que nous avons proposée dans l'Ephéméride du 4 septembre, jour de sa naissance, et que vous pouvez liré également en cliquant sur le lien ci dessous <a name="media-1966635" href="http://lafautearousseau.hautetfort.com/media/02/00/407174165.pdf" id="media-1966635">L'avenirdumonde.pdf</a>(ou en vous reportant à l'Ephéméride du 4 septembre).</div> <div style="text-align: left;"></div> <div style="text-align: left;"> Deux écrivains royalistes, différents au possible et que tant de choses séparent, ont donc par deux fois fait preuve d'une clairvoyance et d'une lucidité face à l'avenir -par définition inconnu...- qui mérite d'être notée....</div> </div> </div>
PP
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Brésil : alignement quasi-complet de Lula sur Bush - Marina Silva démissionne
tag:plunkett.hautetfort.com,2008-05-18:1622361
2008-05-18T19:45:00+02:00
2008-05-18T19:45:00+02:00
L’écoeurement a eu raison de la militante amazonienne : Au...
<b><i><span style="font-size: 10pt; color: red; line-height: 150%; font-family: Verdana"><img name="media-1022348" src="http://plunkett.hautetfort.com/media/00/01/1330637006.jpg" alt="2080454087.jpg" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0px; border-width: 0px" id="media-1022348" />L’écoeurement a eu raison de la militante amazonienne :</span></i></b> <p align="justify"><font color="#000000"><span style="font-size: 11pt; line-height: 150%; font-family: Verdana">Au Brésil, la combattante écologiste Marina Silva vient de quitter son poste de ministre de l’Environnement. Depuis cinq ans elle se battait contre la sujétion croissante de l’équipe Lula envers les multinationales : libéralisation du commerce du soja transgénique au profit de Monsanto, agrobusiness pour l’exportation, biocarburants... La fatigue et la déception ont eu raison de Mme Silva (née dans une plantation amazonienne et malade d’une contamination au mercure). Désavouée par Lula, consternée par l’ampleur de la déforestation qu’elle ne pouvait plus empêcher, elle a préféré démissionner. On l’a aussitôt remplacée par l’ultralibéral Carlos Minc, chargé d’un programme d’industrialisation massive en Amazonie.</span></font> <span style="font-size: 11pt; line-height: 150%; font-family: Verdana"><font color="#000000">Marina Silva avait été camarade de combat du célèbre Chico Mendes, défenseur de l’Amazonie assassiné en 1988.</font></span></p> <p align="justify"><span style="font-size: 11pt; line-height: 150%; font-family: Verdana"><font color="#FFFFFF">m</font></span></p> <span style="font-size: 8pt; font-family: Verdana">PS/ Aux lecteurs neocons - Inutile de m’écrire pour approuver Lula et m’inciter <i>à « plus d’humilité » </i>: c’est-à-dire à m’aligner sur des sites d'<em>«</em> <em>informations »</em> genre <i>« rébellion (des amis du business) contre la pensée unique (écologiste) »</i>. <span> </span></span> <p> </p>
PP
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Bizarre Lula ! Pour qui roule-t-il ?
tag:plunkett.hautetfort.com,2007-10-16:1268621
2007-10-16T10:30:00+02:00
2007-10-16T10:30:00+02:00
Washington n'est pas loin :
<strong><em>Washington n'est pas loin :</em></strong>