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Notes sur le tag : littéraires

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Dernières notes

noms communs (xyz)

Xérès :  Or pâle et liquoreux où je bois mon reflet  qu’as-tu fait de mes yeux ? Le monde n’y est plus  sous le ciel vaporeux ni au coin de la rue  et ses bruits se sont tus sans même dire adieu  Ton sang trouble le mien avec application  la paume où je te tiens s’arrime à ta fraîcheur  quand un souffle survient d’obscures profondeurs...

Publié le 24/08/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

comme est dit

A main gauche, l'histoire un livre ouvert du soleil plein le dos à même la peau sous un flot de lanières rivières lancées au galop entrelacées sur l'échevaut de chair A main droite, la faible lumière d'un loupiot Et au milieu, la mer rideau J'applaudis des yeux des lèvres des oreilles ce moment précieux, cet éveil une pièce de choix : allégresse, éloquence une perle de foi...

Publié le 23/07/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

ris marin

Léger ris (singulier) le souffle du marin chante un silence plein de mon plaint, ma sirène et cette vague amène d'une rive lointaine ta lente mélodie dans un soupçon de pluie les embruns qui s'enfuient un pleur s'est égaré il n'ira pas goutter sur le sable mouillé mais dans un pli du ciel une danse nouvelle ourle sa ribambelle et le prend par la main au souffle...

Publié le 13/07/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

chercher, l'erreur

Il s'est dépêché de disparaître avant que l'erreur ait un visage* il préférait ne pas comparaître demain devant le Conseil des Sages Comme de jouer avec le feu son audace était irrémédiable bientôt cela sauterait aux yeux bientôt on chercherait le coupable Il est de ces trésors que l'on tient à l'écart de toute tentation la règle en est connue de chacun (d'autant plus grande est la...

Publié le 02/06/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

trop shoe!

Pris d'un fameux coup de pompe, à l'instant même où je posai un cul sur ce banc mes yeux perdus quelque part dans la nuit s'étonnaient dans le petit matin gris Mon regard s'étirant sur le gazon du square où je m'offrais une station fut capté par cette unique chaussure baillant sous mon nez sa belle facture Il ferait beau voir que je méritasse jamais, au vrai, de si belles godasses...

Publié le 28/05/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

relative-m'en

Qui suis-je ? Où, verge ? Et dans quelle armoiré-je ? Le long train que tu files n'est bordé d'aucun chant que le tien, comme un fil tendu sur l'océan j'arrime donc l'intime et serein engouement que j'ai pour tes maximes à ce ponton mouvant sous le marin dès prime Ce corps où je m'abîme est le tien cependant qu'affleure en acronyme l'ésotérique rime d'un verre de vain blanc...

Publié le 05/05/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Hey, Joe!

ne cherchez plus, car c'est bien lui c'est l'incongru des arguties vous l'aurez déjà lu, sans doute ce culotté de la déroute déboussolant l'académiasme et bousculant des lectoplasmes il fait des mots un tri porteur et s'en va les livrer dans l'heur d'en rire serial writer pédalant dru dans la choucroute, il tire à vue son trait d'esprit briconoclaste vers la tour d'ivoire et...

Publié le 26/03/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

pas pagaille

petite clé d'or, fais ton office ouvre ce jardin de délices sur son juteux feu d'artifices négoutu ! niabontesque, même nétou régalatoire, dis 'core un niam dans la chair fresque et bonsoir, ma folie petite clé d'or, fais-moi plaisir que la galerie des soupirs s'ouvre enfin grand comme un sourire mérous, merlans que vous avez de grands dedans ! sans médire, si...

Publié le 10/03/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

Pat!

Thiepat, un patelin paumé , plus paumé que nulle part, avec la campagne autour, brumeuse. La campagne autour d'une ferme, serrant ses bosquets contre un lopin de terre en friche. Dans la ferme, une poignée de personnes autour d'une partie d'échecs. Autour du plateau, deux fronts : l'un moite et dégarni, l'autre couvert d'une broussaille rousse émergeant de la fumée dense d'une...

Publié le 09/02/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

l'enfer du miroir

I tiens-le bien droit que je regarde, voir... je regarde, hein... mais je ne vois rien ça doit être ça l'enfer, tiens. II Je te préfèrais, onde lisse à peine troublée par le vent, que vitrine où soudain s'immisce l'ombre furtive d'un passant. Comme j'aimais le précipice où tu m'accueillais chaque fois. Ah, le doux temps des interstices dans mon calendrier de...

Publié le 06/01/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

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