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Notes sur le tag : littéraires

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”Trente-six chandelles” de Marie-Sabine Roger

Mortimer Decime se prépare à mourir le 15 février à 11h pile, le jour de son anniversaire. Il le sait car chaque homme de sa famille est mort le jour de leur 36 ans à onze heure du matin. Le problème c'est qu'aujourd'hui Mortimer n'est pas mort. Alors il cherche à comprendre pourquoi avec ses deux amis Paquita et Nassardine. J'avais adoré " Vivement l'avenir " de Marie Sabine Roger...

Publié le 20/11/2014 dans Les Petits... par Lizouzou | Lire la suite...

”Le silence des Oliviers” de Monique Le Dantec

Quelle vie meilleure souhaite donc Artus? Celle qu'il mène depuis vingt ans est déjà si riche ! Ecrivain au faîte de sa carrière, propriétaire prospère d'un vaste domaine au coeur des oliviers qu'il exploite auc côtés de Claire, maîtresse enflammée autant qu'assistante de haut vol. Rien à priori. Sauf l'appel ancestral de la mer. Et Claire, que désire-t-elle de plus qu'être la compagne...

Publié le 13/07/2011 dans Les Petits... par Lizouzou | Lire la suite...

et avec ça, ce sera tout ?

Avec tout le bois mort des forêts insoumises tous les élans des amours ravageuses tout le soutien des terres généreuses tous les secrets attendant qu'on les dise Avec les chiens perdus pour la bonne caresse les orphelins du plus simple sourire les solitudes à n'en plus finir les portes closes sans laisser d'adresse Avec le peu de temps que chante la...

Publié le 02/11/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

chanson d'automne

(chanson de genre tsoin-tsoin ) Les feuilles mortes, mortes, mortes 'faut que j'en sorte, sorte, sorte avant de prendre un coup de pelle un coup de trop dans la cervelle ou que me pousse un champignon là, sur le front Les ciels d'automne, tonnent, tonnent qu'on leur pardonne, donne, donne d'être si longs que cramoisis crème framboise sous le gris éclaboussant - courbé le dos,...

Publié le 18/10/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

fractales

(ma ration d'obtus ?) noir au boulier des sourires niais des chapeaux en chapelets camaïeu de linges légers le toutim en espalier noir enfin, je quitte mon pied noir est-ce un magma de cheveux roux ? dans l'arbre un dernier vent d'août ? la dérobade d'un matou ? intension floue ? noir je m'en frotte l'étui, pour le coup noir le...

Publié le 14/10/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

lessivé

Je vais tout oublier, alors je fais des nœuds à ces vieux draps mouillés empilés sur mes yeux que j'ai laissé traîner tout près de la cuisine dans la petite cour où les tâches bassinent au quotidien les jours J'ai la mémoire humide et son linge glissant bruine et dégouline et dégoutte du sang tout le flux des corvées qui n'ont jamais fini de vouloir attacher nos gestes à nos dits...

Publié le 05/10/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

fumerolles

(à Joe KRAPOV, poète à ses heures et photographe à 16h30) l'aube tardait à se frayer un chemin sous les frondaisons et les oiseaux avec raison n'avaient de cœur à gazouiller le vent se cachait sous le saule retenant sa respiration et dans cet air en suspension il faisait comme un froid de pôle j'étais là, je ne sais comment parvenu au bout d'une course que...

Publié le 03/10/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

c'est tout vu, amour

- fais-moi voir. - quoi donc ? - je ne sais... quelque chose... - quelque chose comme un bouquet de roses ? - quelque chose comme ça, oui. - quelque chose qui te dit comme je t'aime ? - oui, oh oui ! très exactement ça, même. - tu ne veux pas d'un poème ? - non, non, merci non... fais-moi voir, simplement. - attends... j'enlève mes gants. - j'attends, comme toujours. - par amour. - pardi ! -...

Publié le 01/10/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

connais-toi, c'est l'automne...

Connais-toi, c'est l'automne ma peine fredonne de là, pardonne et laisse aller mon regard qui s'étonne dans le vent frais Connais-tu cet or ange qui plane au ciel et le mange ? C'est bien assez de feu pour la soirée les pieds mouillés, le nez qui coule l'envie de s'embrasser roulés en boule C'est la canopée qui déteint puis, dans le matin frêle vois qu'on rassemble ses cheveux à la...

Publié le 22/09/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

substantifs (stu)

Sort : A la tablée du homard ayant copieusement soupé un vieux hareng goguenard entreprit de se vanter prétendant à l’assemblée qu’il était en son pouvoir quand tous étaient bien repus de se fendre d’une poire sur sa soupe à la tortue ce qu’il fit sans même choir du moins tant qu’il fut dedans sitôt dehors,...

Publié le 04/09/2009 dans paVupApRi par tiniak | Lire la suite...

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