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Notes sur le tag : lettres 1926-1955

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Dernières notes

Nicolas de Staël, Lettres 1926-1955

                                        Paris, 1953   Toute ma vie j’ai eu besoin de penser peinture, de voir des tableaux, de faire de la peinture pour m’aider à vivre, me libérer de toutes les impressions, toutes les sensations, toutes les inquiétudes auxquelles je n’ai jamais...

Publié le 13/11/2017 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Nicolas de Staël, Lettres 1926-1955

                                                À Jacques Dubourg, Le Lavandou, juin 1952   (…)    Je ne peux pas prévoir ce que je ferai demain, mais pour l’instant je suis au maximum du plan aux confins de la toile vierge, je veux dire que la...

Publié le 15/04/2017 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Nicolas de Staël, Lettres 1926-1955

                           [...] Nous hériterons du mépris ou de leur tristesse, des eaux troubles, parce que notre vie sera plus vie que la leur. Mais nous enterrerons, mon amour, cet héritage.    Je t’aime, et ils choisissent tous en toi ton extrémité...

Publié le 30/05/2015 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Nicolas de Staël, Lettres 1926-1955

       À Roger Van Gindertael Paris, 14 avril 1950   Départ — pas un départ, tout au plus un faux recul... Il se peut que le départ soit une certaine inquiétude de l’esprit avec bien sûr un besoin immédiat de l’assouvir.    La conscience du possible, l’inconscience de l’impossible et le rythme libre.    Respirer,...

Publié le 16/03/2015 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

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