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Notes sur le tag : le bonheur est un drôle de serpent

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Dernières notes

Le quatrième de couv

Publié le 28/09/2009 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

A paraître bientôt...

Voici la couv, le roman devrait paraître fin octobre... Tout ça, c'est aussi beaucoup de travail, ce blog va être en pause pendant quelques jours, à très bientôt...

Publié le 28/09/2009 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Faire l’amour avec elle était comme un diamant noir

Elle s’est installée près d’Argenteuil, début pour nous de fréquents va-et-vient entre Paris et le Midi. Faire l’amour avec elle était comme un diamant noir. Des années après, je me souviens de ses robes fuchsia, leur frôlement sur la peau, les gestes lents ou brusques pour les enlever, la lumière indigo qui tombait le soir sur la maison au bord de l’eau, avec l’odeur de bois vermoulu,...

Publié le 24/09/2009 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Parution

Mon roman "Le Bonheur est un drôle de serpent" paraîtra en fin d'année aux éditions Lucie . On en trouvera de nombreux extraits dans la rubrique "En cours d'écriture"

Publié le 25/07/2009 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

En suspens

Quand le vent souffle, on dirait que tout est déplaçable, en suspens. Au milieu de ce grand cirque, avec le ciel immense, on a continué de parler. Une façon de dévorer l’autre. A notre première rencontre, déjà au Mexique, j’avais eu l’impression que tout se figeait, elle et moi on devenait imperméables à tout mouvement extérieur. De nouveau, presque palpable, une corde, tendue entre nous,...

Publié le 08/07/2009 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Vision des anges déchus

Vision des anges déchus. Une ville solaire, à l’écart des grandes routes du Mexique. Abandonnée de tous, sauf du vent. Et de l’autobus quotidien au départ de la grande ville. Avant, il y avait de l’or, maintenant il reste un hôtel, quelques bars sur la rue principale, des maisons basses. Un soleil âpre et mordant et le vent qui balaie la poussière. Je suis serveur dans cet hôtel, logé,...

Publié le 30/05/2009 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Le grand pow woh de la lumière

La neige vint cet hiver-là, en brouillard qui apaise les contours. La mer était grise, grise et blanche. Des nuées de mouettes voletaient en rangs serrés au dessus de l'eau. Quelques pas derrière, les flamants, suspendus, jetaient des taches roses sur le vert des étangs. Je marchais de longues heures jusqu'à la cathédrale de Maguelone. Les étangs offraient leur placidité sauvage, le...

Publié le 21/03/2009 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Et maintenant...

Et maintenant, je fondais mes rêves dans le bleu délavé de l’horizon, l’amas désordonné des nuages et ce bateau qui filait au milieu de tous ces cataclysmes. La pluie au loin traçait un rideau épais, en grandes orgues joufflues gonflées de nuit. Une trépidation de lames. Le ciel, une lutte, un amas de lances, un combat fratricide. Une symphonie du nouveau monde. Même si c’est vers l’ancien...

Publié le 04/03/2009 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Le bonheur est...

Le vent s’est calmé. Ici, la mer fait l’amour avec la terre, paisiblement. Dans une infinie solitude, gris, bleu et vert sauge. Les plus belles couleurs du monde. Tout est plat à perte de vue. Seule une langue de sable sillonne entre les étangs et la mer. Au bout d’un moment, on ne sait plus où est la terre, où est l’eau. Raymond Alcovère, extrait de "Le Bonheur est un drôle de...

Publié le 22/11/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

Nous serons à Lisbonne

Nous serons à Lisbonne, dans les rues sombres descendant vers le Tage, au milieu d’ombres erratiques, avec cette lumière blanche qui baigne la ville et à l’Hôtel Borges on fera l’amour encore, on ne verra pas le soleil mais aucune importance, avec cet air humide qu’on ne trouve que là-bas, les immeubles délabrés, cette atmosphère anglaise et surannée, Fernando Pessoa, son chapeau, son...

Publié le 04/10/2008 dans Raymond... par Raymond ALCOVERE | Lire la suite...

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