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Notes sur le tag : laurent albarracin

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Dernières notes

Catastrophes, revue numérique de poésie

     Contrairement à ce que l’on pourrait penser, très peu de revues exclusivement, ou presque, consacrées à la publication de poèmes sont publiées sur internet, comme par exemple, ce qui reste . Catastrophes , depuis octobre, a fait ce pari : pas de notes de lecture, pas de commentaires, seulement un éditorial en accord avec le titre retenu pour chaque...

Publié le 17/03/2018 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Laurent Albarracin, Le Grand Chosier

                                         Les orages grondent et grondent mais ils grondent Sans qu’on sache d’où cela vient, comme une vitre Tremble, comme sous la poussée d’un taureau vague, Un taureau venant, taureau se formant dans l’air.   Né de son souffle, de...

Publié le 29/04/2016 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Herbe pour herbe (extrait) de Laurent Albarracin

Se-Ok Suh   [...] Les ronces sont difficiles — on dirait qu’elles sont en végétation montées en épingles sur elles leur peine à les extirper   De l’inextricable on peut extraire l’inextricable — ce sera toujours un fibreux  jus   L’herbe floute le sol — le hache doucement — tant il est vrai comme venu au tout proche un...

Publié le 15/01/2016 dans vivelescouleurs par DH | Lire la suite...

Laurent Albarracin, Herbe pour herbe

[...] Les ronces sont difficiles — on dirait qu’elles sont en végétation montées en épingles sur elles leur peine à les extirper   De l’inextricable on peut extraire l’inextricable — ce sera toujours un fibreux jus   L’herbe floute le sol — le hache doucement — tant il est vrai comme venu au tout proche un peu du lointain horizon...

Publié le 04/06/2015 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

Rafiot dans le raffut, Albarracin pensait sans le savoir à Jean Branciard

  Jean Branciard, la Grande Limule (crabe des Moluques), 2009, ph. Bruno Montpied     "Regardez comme le papillon roule et tangue sur les très réels et enivrants flots du néant, il a l'air d'un rafiot dans le silencieux raffut." (Laurent Albarracin, Le Ruisseau, l’éclair , Rougerie, 2013).

Publié le 14/12/2013 dans Le Poignard... par Le Sciapode | Lire la suite...

Laurent ALBARRACIN et les GRENOUILLES

Les grenouilles qui coassent sont les cœurs éphémères de l'eau elles appellent comme une pompe amorçant sa disparition un soufflet attisant son envolée La bulle est aussi une fleur en ses pétales nuls   Laurent ALBARRACIN , Le secret secret, Flammarion 2012.

Publié le 27/08/2013 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

Laurent ALBARRACIN et la FOUGÈRE

Fougère foudre légère poussée en son point d'impact comme une cravache de l'air un harnais de cuir en pot un fouet sage, la côte d'une cage où naît l'oiseau du ciel   Laurent ALBARRACIN , Le Secret secret, Flammarion 2012.  

Publié le 07/05/2013 dans Sur du vent par SUR du VENT par Henri CHEVIGNARD | Lire la suite...

Laurent Albarracin, Le Secret secret

Les armes découvertes       [...] L'herbe on dirait un peigne mou ondoyant dans la nuit du jour étendant ses cils tactiles aveugles et verts aquatiquement sous la lune du soleil On dirait un peigne fou, une houle très calme comme des clés libres dans des pênes bleus une échine se levant dans un poulpe du monde un poil de la bête qui...

Publié le 18/06/2012 dans litteratured... par Littérature de partout | Lire la suite...

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