Last posts on laura2024-03-28T20:32:53+01:00All Rights Reserved blogSpirithttps://www.hautetfort.com/https://www.hautetfort.com/explore/posts/tag/laura/atom.xmlCreseveurhttp://creseveur.hautetfort.com/about.htmlN'Diaye annonce des grands débats à l'écoletag:creseveur.hautetfort.com,2022-06-11:63865462022-06-11T16:39:17+02:002022-06-11T16:39:17+02:00
<p style="text-align: center;"><img id="media-6364575" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://creseveur.hautetfort.com/media/02/02/1663947386.JPG" alt="Le grand débat de N'Diaye.JPG" /></p>
GregDamonhttp://gregoiredamon.hautetfort.com/about.htmlLauratag:gregoiredamon.hautetfort.com,2016-04-28:57935192016-04-28T07:00:00+02:002016-04-28T07:00:00+02:00 Laura c'est une tapette n'empêche qu'elle est pas conne :...
<p></p><p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal; line-height: 150%; page-break-before: always;" align="JUSTIFY"><font face="Verdana, sans-serif"><font size="3">Laura c'est une tapette</font></font></p><p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal; line-height: 150%;" align="JUSTIFY"><font face="Verdana, sans-serif"><font size="3">n'empêche qu'elle est pas conne :</font></font></p><p style="margin-bottom: 0cm; line-height: 150%;" align="JUSTIFY"><font face="Verdana, sans-serif"><font size="3"><em>arrêtez de taper</em></font></font></p><p style="margin-bottom: 0cm; line-height: 150%;" align="JUSTIFY"><font face="Verdana, sans-serif"><font size="3"><em>vous allez me mélanger le cerveau</em></font></font></p><p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal; line-height: 150%;" align="JUSTIFY"><font face="Verdana, sans-serif"><font size="3">maintenant elle a les idées dans les chaussettes</font></font></p><p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal; line-height: 150%;" align="JUSTIFY"><font face="Verdana, sans-serif"><font size="3">la mémoire dans les seins</font></font></p><p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal; line-height: 150%;" align="JUSTIFY"><font face="Verdana, sans-serif"><font size="3">et l'intelligence au ras des ovaires</font></font></p><p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal; line-height: 150%;" align="JUSTIFY"><font face="Verdana, sans-serif"><font size="3">faut beaucoup la maquiller pour la sortir</font></font></p><p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal; line-height: 150%;" align="JUSTIFY"><font face="Verdana, sans-serif"><font size="3">surtout qu'avec son fauteuil</font></font></p><p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal; line-height: 150%;" align="JUSTIFY"><font face="Verdana, sans-serif"><font size="3">les gens ont toujours l'impression qu'elle est triste</font></font></p><p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal; line-height: 150%;" align="JUSTIFY"><font face="Verdana, sans-serif"><font size="3">alors des fois on la pousse </font></font></p><p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal; line-height: 150%;" align="JUSTIFY"><font face="Verdana, sans-serif"><font size="3">jusqu'au centre commercial</font></font></p><p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal; line-height: 150%;" align="JUSTIFY"><font face="Verdana, sans-serif"><font size="3">et on fait des courses </font></font></p><p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal; line-height: 150%;" align="JUSTIFY"><font face="Verdana, sans-serif"><font size="3">celui qui atteint les caddies = un point</font></font></p><p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal; line-height: 150%;" align="JUSTIFY"><font face="Verdana, sans-serif"><font size="3">celui qui atteint les caddies sans la faire basculer = deux points</font></font></p><p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal; line-height: 150%;" align="JUSTIFY"><font face="Verdana, sans-serif"><font size="3">y a que le vigile qui gueule</font></font></p><p style="margin-bottom: 0cm; line-height: 150%;" align="JUSTIFY"><font face="Verdana, sans-serif"><font size="3"><em>ça vous fait marrer ?</em></font></font></p><p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal; line-height: 150%;" align="JUSTIFY"><font face="Verdana, sans-serif"><font size="3">Ben oui nous</font></font></p><p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal; line-height: 150%;" align="JUSTIFY"><font face="Verdana, sans-serif"><font size="3">ça nous fait marrer. </font></font></p><p style="margin-bottom: 0cm; font-style: normal; line-height: 150%;" align="JUSTIFY"> </p><p> </p>
Le Blog de Chevreusehttp://leblogdechevreuse.hautetfort.com/about.htmlBipBiptag:leblogdechevreuse.hautetfort.com,2015-07-03:56508222015-07-03T22:39:00+02:002015-07-03T22:39:00+02:00 Vous ne voyez pas où va la politique locale? L'intercommunalité,...
<p> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: medium; font-family: arial black,avant garde;">Vous ne voyez pas où va la politique locale?</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: small; font-family: arial black,avant garde;">L'intercommunalité, c'est flou?</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: x-small; font-family: arial black,avant garde;">Écoutez le message d'oncle Pierre:</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: xx-small; font-family: arial black,avant garde;">'Changez de lunettes'.</span></p><p> </p><p style="text-align: center;"><a title="Le messasge d'Oncle Pierre" href="https://www.youtube.com/watch?v=_3XiRPfnmtQ&feature=youtu.be" target="_blank"><img id="media-5092000" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://leblogdechevreuse.hautetfort.com/media/00/01/3012044502.JPG" alt="chevreuse,optique,roosen,pierre,laura,bipbip,video" /></a></p><p style="text-align: center;"><a title="Le message d'Oncle Pierre" href="https://www.youtube.com/watch?v=_3XiRPfnmtQ&feature=youtu.be" target="_blank"><em>ClicCLic pour lire l'intégralité du message</em></a></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p><p> </p>
Cassiopéehttp://unpolar.hautetfort.com/about.htmlJ’ai voulu oublier ce jour, de Laura Lippmantag:unpolar.hautetfort.com,2014-01-27:52827002014-01-27T14:42:26+01:002014-01-27T14:42:26+01:00 Une chronique de Cassiopée Amateur de...
<p> </p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #0000ff; font-family: times new roman,times; font-size: small;"><strong><em><img id="media-4418334" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://unpolar.hautetfort.com/media/02/02/421125462.jpg" alt="j'aivouluoubliercejour.jpg" />Une chronique de <span style="text-decoration: underline;"><a href="http://unpolar.hautetfort.com/chroniques-de-cassiopee.html" target="_self"><span style="color: #0000ff; text-decoration: underline;">Cassiopée</span></a></span> </em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Amateur de thriller glaçant, de suspense angoissant, d’enquêtes aux multiples ramifications, ce livre n’est pas fait pour vous ! Si vous cherchez un livre d’ambiance, d’évolution des relations humaines au fil du temps et transformées par un événement particulier, vous pourrez trouver votre bonheur….</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Décliné en cinq parties (Go-go, nous, eux, pitié pour eux, pitié pour nous) de longueur inégale (la première ne faisant que quelques pages), ce roman nous entraîne de façon singulière au cœur d’une époque où les téléphones portables n’existaient pas et où les rapports entre les jeunes gens étaient simples, ceci pour ce qui est du passé. Le présent étant lui, bien plus complexe et compliqué…. En effet, le décès de l’un d’eux va remuer ce que chacun s’était appliqué à oublier.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Ils étaient cinq amis, trois frères, deux bonnes copines, et passaient beaucoup de temps ensemble. Suite à un fait, dont nous ne savons rien, chacun a suivi son chemin, différent de ce qu’il aurait pu être….</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Laura Lippman sait à merveille se pencher sur les êtres, leurs tourments secrets, leurs questions, leur évolution, leur regard sur la société mais également sur les uns et les autres, sur les liens tissés qui se tendent, se distendent, se resserrent au gré du temps. Ceci est un point fort du roman ou comment le passé conditionne (empoisonne pour certains) le présent, ligotant l’expression d’une certaine façon surtout lorsqu’il y a un secret.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Car bien, entendu, il y a quelque chose de caché, évoqué entre les lignes, à mots couverts.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Alternant le passé et le présent, le style impersonnel (avec un narrateur extérieur) puis différent et particulier : un « nous » qui raconte alors que tous les individus sont nommés, comme s’il y avait une sixième personne…. Je crois pour rebondir sur cette formulation du « nous » que c’est volontaire de la part de l’auteur. Elle insiste, de nombreuses fois, sur le fait que les cinq compagnons forment, au début de leur amitié, un « bloc » serré et compact, d’où l’emploi de ce nous car aucun ne peut se mettre en avant pour « parler ». C’est leur histoire, leur vie….</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">De flash-back en flash back avec des pauses dans le présent, nous cheminerons avec les protagonistes et comprendront ce qui a provoqué l’éclatement du groupe.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Je suis immédiatement rentrée dans le récit, avide d’avancer dans les différentes directions et de savoir, j’ai lu d’une traite les deux cent-trente premières pages et puis une forme de lassitude s’est installée. L’écriture m’a semblé plus terne, plus redondante, les redites sur les personnages ne m’apportaient rien et au lieu de m’attacher à eux, ils ne m’intéressaient plus.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Laura Lippman dit que l’intrigue se déroule dans un coin qu’elle connaît bien… A-t-elle trop mis de ses souvenirs dans le texte ? Je ne sais pas. Toujours est-il que, bien qu’elle glisse ça et là, des choses ayant existé (l’ouragan de la Nouvelle Orléans) ou des faits de société marquants (l’homosexualité), tout ceci me semble trop « léger », pas assez fouillé, comme d’ailleurs l’âme de ses personnages. De plus, il aurait été intéressant d’en savoir plus sur l’attitude des parents. Leur place est assez obscure et méritait mieux pour en faire un vrai roman d’atmosphère.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">L’ensemble n’est pas mauvais (la traduction m’a malgré tout posé quelques questions, certaines tournures de phrases me semblant « bizarres ») mais globalement, un manque de rythme et de profondeur en font un roman correct mais qui ne se détache pas et n’emballera peut-être pas les foules…</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;">Je reste néanmoins persuadée que l’auteur a un excellent potentiel, je ne suis sans doute pas tombée sur son meilleur livre….</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><strong><em>Titre : J’ai voulu oublier ce jour<br /></em></strong></span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><strong><em>Auteur : Laura Lippman<br /></em></strong></span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><strong><em>Traduction : Yoko Lacour<br /></em></strong></span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><strong><em>Les Éditions du Toucan (novembre 2013)<br /></em></strong></span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><strong><em>Collection : Suspense<br /></em></strong></span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><strong><em>Nombre de pages : 430<br /></em></strong></span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><strong><em>ISBN : 9782810005316</em></strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><strong>Quatrième de couverture</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"> </span><span style="font-family: times new roman,times; font-size: small;"><em>Il y a quelques années, ils formaient une bande d’amis, les meilleurs amis du monde. Mais le temps a passé et ils sont maintenant presque tous mariés, sont pris dans leurs vies de famille et se sont lentement perdus de vue. Jusqu’à oublier même leur terrible mensonge. Mais quand Gordon, le plus attendrissant de la bande, meurt soudainement, tout s’écroule. Et les soupçons commencent à émerger….</em></span></p>
Lizouzouhttp://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/about.html”Le bleu des abeilles” de Laura Alcobatag:lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com,2013-08-29:51186152013-08-29T18:10:58+02:002013-08-29T18:10:58+02:00 C'est l'histoire d'une petite fille de 11 ans qui quitte...
<p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-4230689" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://lespetitslivresdelizouzou.hautetfort.com/media/02/00/2125794026.JPG" alt="le bleu des abeilles.JPG" /></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #800080; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">C'est l'histoire d'une petite fille de 11 ans qui quitte l'Argentine, son pays natal pour rejoindre sa mère réfugié en France. Son père est prisonnier politique en Argentine. Avant de partir, elle lui a promis de lui écrire toute les semaines et a appris les bases du français avec sa professeur Noémie. </span><br /><span style="color: #800080; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Une fois là-bas, elle raconte son arrivée et surtout son adaptation petit à petit à la civilisation française. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #800080; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Des anecdotes, des souvenirs, l'auteure nous livre ici une partie de sa vie. De ses 11 ans à son adolescence, Laura Alcoba nous fait part d'une période de transition et de changement important dans sa vie, qui ne peut que l'avoir marqué et changé. Grâce à des photos et aux lettres de son père, elle a réussit à transposer sa mémoire dans ce court roman. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #800080; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">C'est touchant et émouvant car on suit le parcours d'une petite fille obligé à grandir plus vite que prévu, qui fait face aux difficultés de la vie sans toutefois la comprendre. Elle se fera des amis portugais et espagnols au départ avant d'avoir sa première copine française. Des amis argentins réfugiés en Suède viendront leur rendre visite. Elle découvrira les montagnes grâce à une famille française. Et elle connaitra les prémices de sa vie de femme...</span><br /><span style="color: #800080; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">On perçoit qu'elle se sent partagé entre deux pays : l'Argentine son pays natal avec qui elle garde contact via les lettres de son père, et la France où elle doit apprendre à vivre.</span><br /><br /><span style="color: #800080; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Je ne vous raconterais pas la fin pour garder un peu de suspense et de découverte, mais sachez que celle ci permet de cloturer ce livre avec simplicité et efficacité. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #800080; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;">Ce roman autobiographique se lit très rapidement, notamment grâce aux chapitres très courts relatifs aux souvenirs de l'auteure. On sent que l'auteure y a mis beaucoup d'elle même et qu'il doit être vraiment important à ses yeux.<br /><br />Pour feuilleter quelques pages du livre c'est par <a title="ici" href="http://flipbook.cantook.net/?d=http%3A%2F%2Fwww.edenlivres.fr%2Fflipbook%2Fpublications%2F28656.js&oid=3&c=&m=&l=&r=&f=pdf" target="_blank">ici</a> !<br /><br />Rentrée Littéraire : Parution le 29 août 2013</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #800080; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"><span style="color: #800080; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"><span style="color: #800080; font-family: Tahoma; font-size: small;">J'ai lu ce livre dans le cadre de l'opération "On vous lit tout" de Libfly. Je remercie donc Libfly, Le Furet du Nord et les éditions Gallimard pour l'envoi et la découverte en avant-première de ce roman de cette nouvelle rentrée littéraire ! :)</span></span></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #800080; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"><span style="color: #800080; font-family: tahoma,arial,helvetica,sans-serif; font-size: small;"><span style="color: #800080; font-family: Tahoma; font-size: small;"><a href="http://www.furet.com/" target="_blank"><img style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" src="http://p2.storage.canalblog.com/21/93/583285/87221727_p.jpg" alt="FuretNOIR" width="130" height="154" border="0" /></a><a href="http://www.libfly.com/" target="_blank"><img style="margin-right: auto; margin-left: auto; display: block;" src="http://p6.storage.canalblog.com/69/40/583285/87221765_p.jpg" alt="Logo_libfly_WEB" width="140" height="52" border="0" /></a><a href="http://www.libfly.com/" target="_blank"><img src="http://p8.storage.canalblog.com/88/31/583285/87221790_p.jpg" alt="logo_okrentreelitt-110" width="110" height="110" border="0" /></a></span></span></span></p>
Auréliehttp://lacuisinedaurelieetdesesamis.hautetfort.com/about.htmlMmmozza (Paris III)tag:lacuisinedaurelieetdesesamis.hautetfort.com,2011-10-10:38148262011-10-10T07:13:00+02:002011-10-10T07:13:00+02:00 J'ai enfin testé la boutique Italienne "Mmmozza" dans le IIIè. L'accueil de...
<p>J'ai enfin testé la boutique Italienne "Mmmozza" dans le IIIè.</p><p>L'accueil de Laura est des plus enthousiasmants. Laura te tutoie d'emblée comme si t'étais sa vieille copine. Et tu ne sais pas pourquoi mais tu as immédiatement envie d'être sa copine.</p><p>Laura te conseille si tu en as envie, te fait goûter si tu hésites. Bref, elle est un peu la vendeuse idéale.</p><p> </p><p>J'ai voulu innover : j'ai choisi de la mozza fumée avec du jambon de Toscane.</p><p style="text-align: center;"><img id="media-3235280" style="margin: 0.7em 0pt;" title="" src="http://lacuisinedaurelieetdesesamis.hautetfort.com/media/00/00/2245889666.jpg" alt="mmmozza, paris III, laura, rue de Bretagne, mozzarella fumée" /></p><p>Eh bien, ma foi, c'est simple mais terriblement efficace sur le plan gustatif...</p><p>Ce qui m'a surprise, c'est le prix très abordable!</p><p>D'ailleurs, le midi, tu peux acheter des sandwichs maison à 4,50 euros et déjeuner sur place (mini table avec jeu vidéo version années 80).</p><p>Bien évidemment on trouve dans cette boutique plein de produits italiens (fromages, pâtes fraîches, charcuterie...).</p><p> </p><p><strong>Mmmozza</strong>, 57 rue de Bretagne, Tél : + 33 1 42 71 82 98</p><p>du mardi au samedi de 10h00 à 14h30 et de 17h00 à 20h00</p>
Amandio DE OLIVEIRAhttp://reguengo.hautetfort.com/about.htmlSelf control melhor que a versão original de Laura Braningamtag:reguengo.hautetfort.com,2008-01-09:14022132008-01-09T21:40:00+01:002008-01-09T21:40:00+01:00 Ganda Voz esta bonita Soraya !!!
<p> Ganda Voz esta bonita Soraya !!!</p> <p><object classid="clsid:D27CDB6E-AE6D-11cf-96B8-444553540000" codebase="http://download.macromedia.com/pub/shockwave/cabs/flash/swflash.cab#version=6,0,29,0" width="425" height="355"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/TqYen5ybVrg&rel=1" /> <param name="quality" value="high" /> <param name="menu" value="false" /> <param name="wmode" value="" /> <embed src="http://www.youtube.com/v/TqYen5ybVrg&rel=1" wmode="" quality="high" menu="false" pluginspage="http://www.macromedia.com/go/getflashplayer" type="application/x-shockwave-flash" width="425" height="355" /></object></p>
kl lothhttp://kl-loth-dailylife.hautetfort.com/about.htmlL'aura de l'artiste (Marc Biétry) - (suite)tag:kl-loth-dailylife.hautetfort.com,2007-11-11:13085172007-11-11T21:50:00+01:002007-11-11T21:50:00+01:00 Dans Libération du 8 novembre 2007, un article d' Yves Michaud sur...
<p>Dans <i>Libération</i> du 8 novembre 2007, un article d'<a href="http://michaud-philo.com/sites/pages/accueilpag.html" title="le site d'Yves Michaud" target="_blank">Yves Michaud</a> sur <a href="http://www.liberation.fr/culture/289947.FR.php" target="_blank">L’aura de «Laura»</a>, qui offre un éclairage intéressant sur la perception de l'œuvre participative <a href="http://www.solidart.net/" target="_blank">Laura</a> par le monde de l'art.<br /> <br /> En voici un extrait :<br /> <font color="#0000FF"><i>"L’intelligence et la subtilité du sculpteur concepteur Marc Biétry sont à souligner. Il fut un des rares concurrents à saisir les implications participatives du projet et en faire quelque chose d’ouvert, de collectif et de solidaire, au lieu de proposer du «prêt à installer». Jusqu’ici l’histoire est édifiante et émouvante. La suite est plutôt ironique.<br /> <br /> Preuve. Car dans l’histoire de l’art in situ, de la commande publique, de l’esthétique relationnelle qui fait communiquer les hommes et resserre la communauté, et aussi à titre d’exemple d’une esthétique environnementale qui va bientôt devenir à la mode, Laura aurait dû retenir l’attention de tous ceux qui célèbrent «l’art dans la cité». Ce slogan sert en général à justifier ces commandes publiques désolantes de banalité et d’arrogance qui agrémentent le parcours d’un tramway ou ajoutent un monument encombrant à un espace urbain déjà saturé. Et pourtant, Laura, qui répond à tous les critères de l’œuvre d’art la plus contemporaine qui soit (créativité, force relationnelle, intégration des exclus, force symbolique, professionnalisation, solidarité, tourisme), n’est pas reconnue par le «monde de l’art» – elle est renvoyée au mieux au folklore solidaire et à l’identité montagnarde. Belle preuve que les grands principes du monde de l’art contemporain sont en fait destinés à amuser la galerie, au propre et au figuré."</i></font><br /> <br /> L'« esthétique relationnelle » est un concept développé par Nicolas Bourriaud dans le <a href="http://www.lespressesdureel.com/ouvrage.php?id=4&menu=4" target="_blank">livre éponyme</a>, paru aux Presses du réel en 2000.<br /> Ce concept passionnant ouvre de vastes possibilité de recherches.<br /> Pour ma part, j'ai toujours regretté que les œuvres réalisées dans cette optique n'aient pas fait l'objet d'une approche critique sans complaisance. Cela a eu pour conséquence un amalgame entre travaux anecdotiques et recherches bien plus pertinentes. La lassitude du public commence à s'ensuivre, ce qui est bien dommageable pour un domaine qui s'évère particulièrement fécond.</p> <p>(cf. <a href="http://kl-loth-dailylife.hautetfort.com/archive/2007/09/25/l-aura-de-l-artiste.html" title="Marc Biétry,art contemporain">mon premier billet sur « Laura »</a>)</p> <p> </p>