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Notes sur le tag : lamartine

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Alphonse de Lamartine:”La prière”

Le roi brillant du jour, se couchant dans sa gloire, Descend avec lenteur de son char de victoire. Le nuage éclatant qui le cache à nos yeux Conserve en sillons d'or sa trace dans les cieux, Et d'un reflet de pourpre inonde l'étendue. Comme une lampe d'or, dans l'azur suspendue, La lune se balance aux bords de l'horizon ; Ses rayons affaiblis dorment sur le gazon, Et le voile des nuits...

Publié le 10/04/2007 dans Laura... par laura | Lire la suite...

Alphonse de Lamartine:biographie

1790 Naissance, le 21 octobre, d'Alphonse de Lamartine. Son père , et sa mère sont des aristocrates et de fervents catholiques. 1797 La famille de Lamartine s'établit à Milly . Le poète conservera cette propriété jusqu'en 1860 et l'évoquera dans plusieurs de ses œuvres, notamment Milly et la Vigne et la Maison . 1811-1812...

Publié le 03/02/2007 dans Laura... par laura | Lire la suite...

Alphonse de Lamartine:”Méditations poétiques”

Les Méditations poétiques ont été publiées en 1820. Ces vingt-quatre pièces furent créées entre 1815 et 1820 et constituaient une sorte de journal intime des expériences vécues ces années-là par le poète, expériences dont la plus célèbre fut inspirée par Julie Charles, la femme évoquée par Lamartine dans Le Lac . À l'origine, les Méditations eurent un tel succès, en...

Publié le 03/02/2007 dans Laura... par laura | Lire la suite...

Alphonse de Lamartine, ”Le poète mourant”(Nouvelles méditations poétiques)

La coupe de mes jours s'est brisée encor pleine ; Ma vie hors de mon sein s'enfuit à chaque haleine ; Ni baisers ni soupirs ne peuvent l'arrêter ; Et l'aile de la mort, sur l'airain qui me pleure, En sons entrecoupés frappe ma dernière heure ; Faut-il gémir ? faut-il chanter ?... Chantons, puisque mes doigts sont encor sur la lyre ; Chantons, puisque la mort, comme au cygne,...

Publié le 22/01/2007 dans Laura... par laura | Lire la suite...

Le retraite (Méditations poétiques)

Aux bords de ton lac enchanté, Loin des sots préjugés que l'erreur déifie, Couvert du bouclier de ta philosophie, Le temps n'emporte rien de ta félicité ; Ton matin fut brillant ; et ma jeunesse envie L'azur calme et serein du beau soir de ta vie ! Ce qu'on appelle nos beaux jours N'est qu'un éclair brillant dans une nuit d'orage, Et rien, excepté nos amours, N'y mérite un regret du...

Publié le 20/10/2006 dans Laura... par laura | Lire la suite...

Alphonse de Lamartine:”Le golfe de Baya” (Méditations poétiques)d'Alphonse de Lamartine

près de Naples Vois-tu comme le flot paisible Sur le rivage vient mourir ! Vois-tu le volage zéphyr Rider, d'une haleine insensible, L'onde qu'il aime à parcourir ! Montons sur la barque légère Que ma main guide sans efforts, Et de ce golfe solitaire Rasons timidement les bords. Loin de nous déjà fuit la rive. Tandis que d'une main craintive Tu tiens le docile aviron, Courbé...

Publié le 20/10/2006 dans Laura... par laura | Lire la suite...

Alphonse de Lamartine:Elégie (Nouvelles méditations poétiques)

Cueillons, cueillons la rose au matin de la vie; Des rapides printemps respire au moins les fleurs. Aux chastes voluptés abandonnons nos coeurs, Aimons-nous sans mesure, à mon unique amie! Quand le nocher battu par les flots irrités Voit son fragile esquif menacé du naufrage, Il tourne ses regards aux bords qu'il a quittés, Et regrette trop tard les loisirs du rivage. Ah! qu'il...

Publié le 20/10/2006 dans Laura... par laura | Lire la suite...

Alphonse de Lamartine:La providence à l'homme (Méditations poétiques)

Quoi ! le fils du néant a maudit l'existence ! Quoi ! tu peux m'accuser de mes propres bienfaits ! Tu peux fermer tes yeux à la magnificence Des dons que je t'ai faits ! Tu n'étais pas encor, créature insensée, Déjà de ton bonheur j'enfantais le dessein ; Déjà, comme son fruit, l'éternelle pensée Te portait dans son sein. Oui, ton être futur vivait dans ma mémoire ; Je préparais...

Publié le 20/10/2006 dans Laura... par laura | Lire la suite...

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